Premier Amour Sonia II - histoire érotique

Un petit sourire creusant ses petites fossettes, Sonia approchait de moi comme une chatte. Je prenais son visage entre mes mains et je l’embrassais tendrement, je ne voulais pas me jeter sur elle malgré l’ardent et évident désir que j’avais. Ses yeux gris bleus étaient moins tristes presque pétillants. Si c’était grâce a moi j’étais déjà heureux. Je suis comme çà je ne pense pas à moi en premier. Combien de fois ais ke fais jouir une femme sans que la contrepartie suive immédiatement ou même ne vienne jamais. Je m’en moque un peu car mon grand plaisir et de voir jouir ma partenaire. Je n’arrive pas a comprendre les hommes qui pense à leur plaisir d’abord. J’avais bien l’intention de faire du bien à Sonia. Mais j’avais compté sans son désir à elle de me faire du bien. Elle me poussa en arrière sur le lit, caressant mon corps de mon cou à mon ventre, puis ses baisers descendirent vers mon sexe. Tendu ? Bien plus que çà mode help le gland clignote et tout. Avec assurance, elle pose ses mains sur ma queue, me regarde et me dit avec un sourire.

- Je suppose que tu ne diras pas non ?

Un peu interdit je fais juste un geste indiquant que je ne résisterais pas. Elle pose ses lévres sur le sommet du gland. Je frissonne mes mains dans ses cheveux blonds. Son regard en dit long, elle ne changerait de place pour rien au monde. Sa bouche gobe mon gland et descend sur la tige gonflée, sa langue câline toutes les aspérités. Et elle mouille énormément tout mon sxe de sa salive. Quand elle remonte, mon sexe est luisant trempé et encore plus gonflé qu’il y a 1 minute. Elle m’a sorti de sa bouche mais sa langue léche ma tige, descend sur mes couilles. Les poils ne semblent pas la gêner et elle m’aspire les testicules dans sa bouche où elle les fait rouler l’une contre l’autre Elle prend tout mon paquet dans sa bouche tout en me masturbant lentement. Sonia me parait expérimentée et elle aime faire l’amour c’est évident. Elle joue ainsi un long moment. Je caresse ses épaules et cette fois c’est moi qui d’autorité l’allonge sur le dos. Un long baiser encore, sa bouche m’attire, je descends le long de son cou et mal langue dessine des chemins humides sur sa peau, je monte sur les collines de ses seins et je m’attarde sur les tendres tétons roses qui durcissent sous mes coups de langue. Elle frémit, geint sa main abandonne a regret ma queue qu’elle tenait fermement depuis un moment, redoutant peut-être la disparition de mon érection. Sonia ne me connait pas encore, en général mes partenaire n’on plus cette crainte après un couple de nuits et elle se demandera dans quelques jours comment faire disparaitre mes érections. Aucune gloire, je suis juste comme çà .. Enfin j’étais comme çà.

Je taquine son nombril du bout de ma langue. Un petit ventre plat, les collines de sont pubis, les quelques poils blonds ne cache rien de son anatomie. Je n’ai aucun geste a faire. Sonia ouvre largement ses cuisses m'offrant son trésor. Elle s’ouvre comme un coquillage, et il est tout frais péché et tout mouillé se coquillage.

- Alors Gilles elle te plait ma chatte ? Fait-elle en souriant.

- Il faudrait que je sois bien difficile, et en plus offerte avec tant de gentillesse.

C’est une gourmande elle raffoles de la langue.

- Dans ce cas ma belle je vais te dévorer jusqu’à ce que tu demandes grâce

- Hummm je suis prête mon chéri.

Je m’installe entre ses cuisses, j’aspire ses petites lèvres qui ne sont petites que de nom. Elle frémit quand je les étire entre mes lèvres, les mordille légèrement. J’ai senti un petit raidissement de son corps quand elle a senti mes dents contre les délicates protectrices de son clitoris. J'écarte les lèvres son clito est vraiment caché, un petit coup de langue dessus la fait bondir.

- Ohhhh c’est fort !!

Je lèche les replis roses de son sexe, il est frémissant. Sonia a les hanches qui roulent et elle laisse échapper une petite plainte continue qui est modulée par l’intensité du plaisir qu'elle ressent. Une sorte de chant d’amour que je saurais décoder assez rapidement.

- Oh oui Gilles là comme çà c’est bon encore, encore ouii mon chéri.

Ce n’est pas que ma salive qui coule dans ce sexe, Sonia me gratifies de son petit lait qui vient du fond de son sexe et épaissis rapidement. Les pulsations de son vagin sont de plus en plus affolées, étatiques. Ses cris de plus en plus forts Ses pieds sur mon dos tentent de faire entrer mon visage au fond de son sexe. Ses mains son crispés sur mon crâne, avec ma coupe T.A.P elle ne peut pas s’accrocher à mes cheveux.

Le clitoris de Sonia est bien gonflé et ms coups de langues la font crier mais elle ne trouve plus que c’est trop fort. Elle fait des sauts de cabri dans le lit,

- Ouiiiii ouiiiii oh c’est bon arrêtes pas.

Elle s’achemine vers le plaisir. Tout son être est tendu vers ce but. Sonia est une fille simple directe, elle est également directe pour son plaisir. Elle se laisse emporter sans tenter de gagner un peu de temps résister a son envie de jouir. Sonia elle va au plus court et elle jouit violemment. Dans un hurlement de bête qui me surprend. Cela semble si fort que je suis un peu dérouté.

- Arggggggggggggggggggggggghhhhhhhhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Quand je l’ai senti se lâcher ainsi ma queue c’est soudain tendu à l’extrême j’ai cru que j’allais éjaculer en même temps qu’elle jouissait. Mais je désirais me fondre en elle, c’est si important pour moi la première fois où je jouis dans ma partenaire. Marque l’instant où j’estime avoir fait l'amour avec elle. Mon marqueur c’est la possession de l’autre. Ce n’est vrai que si j’ai conçu in lien sentimental avec elle. Ce phénomène ne joue pas dans les partouzes par exemple. Et si j’ai cette sensation je dois me méfier c’est qu’au-delà du plaisir physique un attachement existe. Je ne nierais pas que j’ai ressenti cela pour plusieurs amies que je voyais assez souvent.

Sonia venait de jouir. Je glissais vers elle, mon sexe glissait doucement dans sa chatte trempée quelle douceur quelle chaleur et son vagi se contracta sur ma queue.

- Ohhh Ouiiiiiii viens prends moi vite dit-elle en m’agrippant pour que je l’embrasse.

Elle oscillait du bassin venant au-devant de mes coups de reins. Nos corps se heurtant avec un claquement cadencé. C’était assez je ne dirais pas violent mais viril si j’ose dire. Mon désir était intense et je possédais Sonia avec mon cerveau reptilien sans doute et elle était dans la même sensibilité. Tous les deux nous voulions mettre notre marque sur l’autre. Ce n’étais pas uniquement le sexe mais nous étions tous les deux amoureux à cet instant. Je suis désolé mais je ne peux parler de ces moments de ma vie en restant uniquement sur l’aspect sexe. Le reste est important. Sonia est la première femme dont je fus réellement amoureux, envisageant l’avenir a deux. C’est autre chose que le coup d’un soir.

Elle tenait mon cou, nos bouches se mangeaient, nos corps semblaient essayer de se fondre en un seul, comme si j’allais me glisser totalement en elle. C’est un peu ce que l’on cherche au fond la fusion de deux êtres. Sonia gémissait de plus en plus fort, son sexe totalement affolé me malaxais la queue avec force. Avec un tel traitement je n’allais pas tarder à jouir. Là dans ma tête je me remémore que nous n’avions pas évoqué la contraception. Ce n’était pas le bon moment. Je me retirais donc avant d’éjaculer.

- Nooon t’en vas pas fit elle en geignant

- Je n’ai pas de capote je ne sais pas si toi ...

- On s’en fout !! Prends-moi je veux te sentir venir en moi.

Je revenais dans son sexe avec délice, il était toujours bouillant et affolé Elle croisa ses jambes sur mes reins pour que je ne puisse me sauver. Je n’en avais plus l’intention. Ses bras autour de mon cou, le baiser interrompu reprend, elle me mange la langue c’est vraiment sensuel et pour le moins mouvementé.
Nous roulons tous les deux sur le côté parfaitement uni. Elle se redresse me chevauchant, mes mains s’emparent de sa taille. Echevelée, le rouge au joues, transpirant, elle est belle luisant dans la lumière. Ses mains appuyées sur ma poitrine, ses doigts trouvent mes tétons et elle commence à jouer avec. Sonia viens de trouver un de mes points faibles. J’ai les tétons ultra sensibles. Je frissone quand elle m’attrappe les petits bouts.

- Tu aimes demande t elle essouflée

- J’adore est le seul mot que je puisse dire

Elle donne des coups de reins, tout en me triturant les pointes.

- Ahhhh ghhhh ahhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiii criais je

En même temps que mes cris, je plongeais au fond d’elle en la maintenant pressée contre moi par sa taille. Je giclais en elle avec violence, cela semblait ne pas arrêter. Enfin un dernier sursaut. Sonia se penche sur moi m'embrasse tendrement et laisse mon sexe sortir de sa chatte. Je suis toujours bien raide.

Elle regarde mon engin bien droit recouvert du sperme qui n’est pas resté en elle. Sans la moindre hésitation elle se met à lécher, a nettoyer tout le sperme autour de ma queue. Elle a la bouche couverte de mon jus.

- Viens m’embrasser dis-je.

- Comme çà fit elle montrant mon jus dans sa bouche sur sa langue.

- Oui viens j’aimes çà

Les yeux pétillants, elle approcher de moi et dans un nouveau profond baiser qui nous permet de partager mon sperme avec elle. Il est vrai que j’adore ça. Sonia me dit ensuite que c’était la première fois qu’un homme lui demandais çà. A cette époque Sonia n’avait pas eu des dizaines d’amants. Moi un peu plus mais j’étais loin de penser qu’il y aurait tant de Sonia.