Premier bâtard
Récit érotique écrit par FED ERIC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Premier bâtard
Le lendemain j'ai eu la surprise de me découvrir en bas et porte jarretelle. Tellement las que je m'étais endormi avec. Résultat prévisible , la trique. Comme domino était partie au taff de bonne heure j'ai profité de Manuelle qui a poussé un petit cri mais à vite accompagné mes coups de reins libérateurs. Une fois giclé je me suis penché sur sa queue raide pour sucer. Il a pas été long et m'a retiré de sa bouche pour jouir sur mon visage puis loin sur mes cheveux.
Putain un réveil comme ça tous les matins le rêve.
Merde t'as vu l'heure? Il faut foncer sinon on les fait attendre. Le temps d'ôter les bas et le porte jarretelle, on a pris la douche ensemble se savonnant mutuellement avant d'enfile un short et un tee shirt et de monter sur la bécane rejoindre la gabare. Pas le temps de l'amener au bord on a plongé et une fois à bord et détaché de la bouée on a filé jusqu'au château de Montsoreauet le quai ou le car attendait avec ses touristes. J'ai regardé mais on était pile poil à l'heure et la gabare a fait l'objet de pas mal de flash à l'arrivée. Je suis resté à bord ,Manuelo (je reprenais nos prénoms hors du troglo)les aidaient à monter et une fois au complet j'ai viré pour les amener de l'autre coté de la Loire pour les photos traditionnelles de ce beau monument. Puis une fois dans le lit de la Loire je n'ai eu qu'à la guider dans les courants, Manuelo stoppant au moteur le temps d'explications sur les divers endroits et les changements soudain des bancs de sable, histoire de les mettre dans l'ambiance de ce fleuve sauvage.
Je n'ai pas eu de mal à dénicher notre troglo puis en ai montré un plus visible faisant traduire par l'interprète l'usage de ses grottes et leur diverses tailles. J'étais perché sur le toit et maniait la longue rame qui faisait office de gouvernail. J'a imais ce moment qui demandait de l'effort et faisait saillir mes muscles quand j'évitais un remous pouvant cacher un rocher. Je ne me lassais pas de parler de ma Loire. Des personnes ont été surprise que je ne passe pas au bas du château mais après l'île quand on est remonté assez éloigné et à contre courant pour leurs photos , j'ai guidé la gabare pour l'amarrer juste le bord , près du parking où le car les attendait il y a eu des sourires et des courbettes qu'ils réservaient quand ils étaient content. Une fois débarqués, j'ai éloigné la gabare pour une dernière photo souvenir et on est remonté au moteur . Je restais sur le toit pour guider Manuelo dans le courant. Les prochains étaient en début d'aprem et on a eu le temps de s'arrêter pour manger , à l'ancre près de notre île.
On a vu approcher le pêcheur.
Bonjour, j'ai pas vu la gabare et j'ai pensé que vous alliez passer au retour.
Attends un peu là. Déjà quand tu nous parle tu baisses ton short! Il a rosi et frémi mais obéi.Son petit sexe pas tendu était mignon à voir.
Je crois que tu vois ce qu'on attend d'un mec?
La docilité? Le manque de pudeur?
Plus que ça. T'es un peu maso?
J'ai vu littéralement son sexe tressauter et se redresser un peu. Oui tout à fait du moins je le pense mais vous êtes de vrais maîtres?
Pourquoi tu poses des questions dont tu connais la réponse! T'es puceau?
Des fesses oui mais je n'attends que de les offrir, ma bouche a servi deux fois à Tours.
Bon vendredi vers 17heures tu mets un short et un slip, un tee shirt qui ne seront plus réutilisable ensuite. Dans un sac de sport tu mets un jogging. Une voiture se garera juste au pont entre la Loire et la Vienne. Coté Candes. Je serais au volant. Tu montes et tu ne fréagis pas quoi qu'il arrive. Ton prénom?
Claude. Je ferais comme vous dites . Personne ne m'attend et je suis en vacances.
Bien. Cette fois sa petite bite avait enflée sans trop grandir. Ne te branle pas et pense à avoir le cul ultra propre! Ok?
Oui maîtres!
Barre toi on mange et on repart au taff.
Il a remonté son short , rangeant sa queue mais avec quelques regrets et il est parti comme il est venu en silence.
Celui là on va s'amuser. Puceau du cul, après ils pourra plus le dire.
On a fini de manger avant de remonter jusqu'au quai d'embarquement. Le car n'était pas là on a attendu. En fait, quand je parle de car, c'était le plus souvent des mini-cars de luxe.Une fois garé devant l'hôtel ils se sont approchés, bien disciplinés vers la gabare. Leurs smartphones déjà au bout de perches.Manuelo les a fait embarquer, distribuant à chacun le gilet réglementaire. L'itinéraire n'a pas varié, mon commentaire c'était un peu étoffé, manoeuvrant la barre du toit. J'observais la plupart du temps de jeunes couples et là cette fois un jeune mec visiblement seul m'observait discrètement. Je n'ai pas fait trop attention je connaissais les orientaux très pudiques pour la plupart. Ce n'est qu'une fois arrivée à Saumur qu'en repartant vers le car qu'en me serrant la main il m'a glissé un papier. J'ai attendu de décoller le bateau du quai pour le lire. C'était un ami du mec que j'avais baisé dans les bois de Candes qui ayant discuté avec lui et apprécié ma bite me disait qu'il serait ce soir à Candes à coté du pont en voiture de location. J'ai levé la tête il me fixait de loin et j'ai levé le pouce en l'air. Il a souri et a fait de même , prenant une dernière photo de la gabare.
Manuelo une fois dans le courant , au moteur m'a demandé ce qui se passait. Je lui avais déjà parlé du chinois et lui ai tendu le papier.
Hé bé! T'es célèbre mec, même en Chine ils vont parler de toi au retour.
Oui , ils sont serrés mais une fois dedans ils se laissent aller comme des chiennes. Ils couinent et remuent pire que nous, affamé de queue, Je crois qu'en plus , sans me vanter la taille de la mienne les fait décoller.
Ben celui là sera gâté on ira à deux. Toi en bécane et moi je vous rejoindrais à pied. Je connais le bois de peuplier où tu vas.
Sans problème , je partage. On s'est arrêté à Candes le temps de prendre du pain et un poulet déja cuit, juste à réchauffer au micro onde et des frites proposées avec.
La gabare une fois Manuel débarqué je l'ai amarrée à la bouée et l'ai rejoins en piquant une tête. L'eau était fraîche et ça faisait du bien. Arrivé à la rive J'ai laissé Manuelo conduire la bécane Il faisait un peu frais pour être devant mouillé comme j'étais mais je mle suis vite réchauffé derrière lui. Il a ri en passant la main derrière lui. Attend un peu , pense au chinois.
Il me faisais marrer, j'y pensais justement! A l'arrivée on a pris une douche ensemble et comme Dominique n'arrivait pas on a laissé un mot et je suis reparti en bécane laissant Manuelo avant le parking de l'entrée à Candes .
Là dans une petite Yaris attendait mon chinois. Il ne parlait pas français il avait mis sur le petit mot que c'était l'ami qui l'avait écrit . Je me suis garé à coté et lui ai fait signe de me suivre. Juste après le pont un petit chemin descendait et on a pu se garer sans problème. J'ai mis l'antivol et l'ai emmené dans le bois. Une fois caché par la végétation je l'ai chopé par le col et baissant d'une main sa tête j'ai baissé mon short de l'autre. Il a pas hésité , plongeant comme un mort de faim sur ma queue et têtant mon gland en me matant par dessous. Une fois bien raide je l'ai redressé pour qu'il se déssape. Il a rangé bien soigneusement ses affaires sur l'herbe.
Nu il était presque maigre, seul son sexe saillait de sa silhouette. Il avait de curieux tétons marqués comme si on les avait forcé à tenir en pointe. Mais vraiment bien étirés! Je l'ai fait s'appuyer les mains sur un arbre abattu et aprés avoir enduit de salive sa fente de mec déja utilisé j'ai appuyé le gland qui a pénétré de 10 centimètre avant qu'il commence à grogner. Je l'ai labouré, de plus en plus profond. je l'ai senti d'un coup se ressserrer et tenter de se redresser mais j'ai appuyé sur ses reins. Manuelo est arrivé, bite raide et sortie. Le mec l'a reconnu et a ouvert la bouche pour le recevoir. Il a pas été déçu et a eu nos deux queues dans ses trous avant qu'on jouisse , moi sur sa tronche et Manuelo sur ses reins J'ai vu sa fente devenue rondelle bien dilatée et il s'est essuyé comme il a pu avec un mouchoir sorti de ses poches au retour près des fringues.
Il a fait signe de rester nu et a pris son smartphone pour immortaliser l'instant comme un souvenir de vacances.Lui entre nous deux tenant le smartphone avec sa perche. On l'a laissé partir avant de nous baigner dans la Vienne pour se rafraîchir et se laver avant de rentrer.
Putain un réveil comme ça tous les matins le rêve.
Merde t'as vu l'heure? Il faut foncer sinon on les fait attendre. Le temps d'ôter les bas et le porte jarretelle, on a pris la douche ensemble se savonnant mutuellement avant d'enfile un short et un tee shirt et de monter sur la bécane rejoindre la gabare. Pas le temps de l'amener au bord on a plongé et une fois à bord et détaché de la bouée on a filé jusqu'au château de Montsoreauet le quai ou le car attendait avec ses touristes. J'ai regardé mais on était pile poil à l'heure et la gabare a fait l'objet de pas mal de flash à l'arrivée. Je suis resté à bord ,Manuelo (je reprenais nos prénoms hors du troglo)les aidaient à monter et une fois au complet j'ai viré pour les amener de l'autre coté de la Loire pour les photos traditionnelles de ce beau monument. Puis une fois dans le lit de la Loire je n'ai eu qu'à la guider dans les courants, Manuelo stoppant au moteur le temps d'explications sur les divers endroits et les changements soudain des bancs de sable, histoire de les mettre dans l'ambiance de ce fleuve sauvage.
Je n'ai pas eu de mal à dénicher notre troglo puis en ai montré un plus visible faisant traduire par l'interprète l'usage de ses grottes et leur diverses tailles. J'étais perché sur le toit et maniait la longue rame qui faisait office de gouvernail. J'a imais ce moment qui demandait de l'effort et faisait saillir mes muscles quand j'évitais un remous pouvant cacher un rocher. Je ne me lassais pas de parler de ma Loire. Des personnes ont été surprise que je ne passe pas au bas du château mais après l'île quand on est remonté assez éloigné et à contre courant pour leurs photos , j'ai guidé la gabare pour l'amarrer juste le bord , près du parking où le car les attendait il y a eu des sourires et des courbettes qu'ils réservaient quand ils étaient content. Une fois débarqués, j'ai éloigné la gabare pour une dernière photo souvenir et on est remonté au moteur . Je restais sur le toit pour guider Manuelo dans le courant. Les prochains étaient en début d'aprem et on a eu le temps de s'arrêter pour manger , à l'ancre près de notre île.
On a vu approcher le pêcheur.
Bonjour, j'ai pas vu la gabare et j'ai pensé que vous alliez passer au retour.
Attends un peu là. Déjà quand tu nous parle tu baisses ton short! Il a rosi et frémi mais obéi.Son petit sexe pas tendu était mignon à voir.
Je crois que tu vois ce qu'on attend d'un mec?
La docilité? Le manque de pudeur?
Plus que ça. T'es un peu maso?
J'ai vu littéralement son sexe tressauter et se redresser un peu. Oui tout à fait du moins je le pense mais vous êtes de vrais maîtres?
Pourquoi tu poses des questions dont tu connais la réponse! T'es puceau?
Des fesses oui mais je n'attends que de les offrir, ma bouche a servi deux fois à Tours.
Bon vendredi vers 17heures tu mets un short et un slip, un tee shirt qui ne seront plus réutilisable ensuite. Dans un sac de sport tu mets un jogging. Une voiture se garera juste au pont entre la Loire et la Vienne. Coté Candes. Je serais au volant. Tu montes et tu ne fréagis pas quoi qu'il arrive. Ton prénom?
Claude. Je ferais comme vous dites . Personne ne m'attend et je suis en vacances.
Bien. Cette fois sa petite bite avait enflée sans trop grandir. Ne te branle pas et pense à avoir le cul ultra propre! Ok?
Oui maîtres!
Barre toi on mange et on repart au taff.
Il a remonté son short , rangeant sa queue mais avec quelques regrets et il est parti comme il est venu en silence.
Celui là on va s'amuser. Puceau du cul, après ils pourra plus le dire.
On a fini de manger avant de remonter jusqu'au quai d'embarquement. Le car n'était pas là on a attendu. En fait, quand je parle de car, c'était le plus souvent des mini-cars de luxe.Une fois garé devant l'hôtel ils se sont approchés, bien disciplinés vers la gabare. Leurs smartphones déjà au bout de perches.Manuelo les a fait embarquer, distribuant à chacun le gilet réglementaire. L'itinéraire n'a pas varié, mon commentaire c'était un peu étoffé, manoeuvrant la barre du toit. J'observais la plupart du temps de jeunes couples et là cette fois un jeune mec visiblement seul m'observait discrètement. Je n'ai pas fait trop attention je connaissais les orientaux très pudiques pour la plupart. Ce n'est qu'une fois arrivée à Saumur qu'en repartant vers le car qu'en me serrant la main il m'a glissé un papier. J'ai attendu de décoller le bateau du quai pour le lire. C'était un ami du mec que j'avais baisé dans les bois de Candes qui ayant discuté avec lui et apprécié ma bite me disait qu'il serait ce soir à Candes à coté du pont en voiture de location. J'ai levé la tête il me fixait de loin et j'ai levé le pouce en l'air. Il a souri et a fait de même , prenant une dernière photo de la gabare.
Manuelo une fois dans le courant , au moteur m'a demandé ce qui se passait. Je lui avais déjà parlé du chinois et lui ai tendu le papier.
Hé bé! T'es célèbre mec, même en Chine ils vont parler de toi au retour.
Oui , ils sont serrés mais une fois dedans ils se laissent aller comme des chiennes. Ils couinent et remuent pire que nous, affamé de queue, Je crois qu'en plus , sans me vanter la taille de la mienne les fait décoller.
Ben celui là sera gâté on ira à deux. Toi en bécane et moi je vous rejoindrais à pied. Je connais le bois de peuplier où tu vas.
Sans problème , je partage. On s'est arrêté à Candes le temps de prendre du pain et un poulet déja cuit, juste à réchauffer au micro onde et des frites proposées avec.
La gabare une fois Manuel débarqué je l'ai amarrée à la bouée et l'ai rejoins en piquant une tête. L'eau était fraîche et ça faisait du bien. Arrivé à la rive J'ai laissé Manuelo conduire la bécane Il faisait un peu frais pour être devant mouillé comme j'étais mais je mle suis vite réchauffé derrière lui. Il a ri en passant la main derrière lui. Attend un peu , pense au chinois.
Il me faisais marrer, j'y pensais justement! A l'arrivée on a pris une douche ensemble et comme Dominique n'arrivait pas on a laissé un mot et je suis reparti en bécane laissant Manuelo avant le parking de l'entrée à Candes .
Là dans une petite Yaris attendait mon chinois. Il ne parlait pas français il avait mis sur le petit mot que c'était l'ami qui l'avait écrit . Je me suis garé à coté et lui ai fait signe de me suivre. Juste après le pont un petit chemin descendait et on a pu se garer sans problème. J'ai mis l'antivol et l'ai emmené dans le bois. Une fois caché par la végétation je l'ai chopé par le col et baissant d'une main sa tête j'ai baissé mon short de l'autre. Il a pas hésité , plongeant comme un mort de faim sur ma queue et têtant mon gland en me matant par dessous. Une fois bien raide je l'ai redressé pour qu'il se déssape. Il a rangé bien soigneusement ses affaires sur l'herbe.
Nu il était presque maigre, seul son sexe saillait de sa silhouette. Il avait de curieux tétons marqués comme si on les avait forcé à tenir en pointe. Mais vraiment bien étirés! Je l'ai fait s'appuyer les mains sur un arbre abattu et aprés avoir enduit de salive sa fente de mec déja utilisé j'ai appuyé le gland qui a pénétré de 10 centimètre avant qu'il commence à grogner. Je l'ai labouré, de plus en plus profond. je l'ai senti d'un coup se ressserrer et tenter de se redresser mais j'ai appuyé sur ses reins. Manuelo est arrivé, bite raide et sortie. Le mec l'a reconnu et a ouvert la bouche pour le recevoir. Il a pas été déçu et a eu nos deux queues dans ses trous avant qu'on jouisse , moi sur sa tronche et Manuelo sur ses reins J'ai vu sa fente devenue rondelle bien dilatée et il s'est essuyé comme il a pu avec un mouchoir sorti de ses poches au retour près des fringues.
Il a fait signe de rester nu et a pris son smartphone pour immortaliser l'instant comme un souvenir de vacances.Lui entre nous deux tenant le smartphone avec sa perche. On l'a laissé partir avant de nous baigner dans la Vienne pour se rafraîchir et se laver avant de rentrer.
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