Premier essais Ep01
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Premier essais Ep01
Premier essais Ep01
Quelques semaines plut tôt je ne savais même pas que ça existait. C'est par le plus grand des hasards que je suis tombé dessus, sur internet. Tout de suite ma cervelle s'est mise en ébullition. Ma première réaction était , c'est pas possible, c'est un fake …
vérifications faites, c'était pas un fake. J'ai passé commande le jour même.
J'y ai pensé tous les jours, j'imaginais ma petite queue enfermée dans ce dispositif, il avait l'air sévère. On le disait confortable, je ne savais pas s'il fallait y croire, mais je voulais absolument essayer.
Le dispositif arrivait enfin, plus d'une semaine à attendre tout de même. Tout excité j'ouvrais le colis et déjà je bandais. Là je me disais que je pouvais me laisser aller C'est la dernière fois ! Me disais-je.
Mais ça se passe comment quand on le porte, est-ce vraiment confortable comme ils le disent. En une semaine vous imaginez bien que j'avais lu des commentaires, des appréciation, des critiques et des avis contradictoires. On pouvait lire tout et n'importe quoi.
Tout ça se bousculait dans ma tête et ma queue protestait ou je ne sais pas quoi. Peut être criait-elle de peur.
Je me disait qu'il faudrait que je me calme si je voulais mettre ce petit truc.
Ce petit truc oui, tout petit truc, bien trop petit truc. Je le sortais de son emballage, la taille était bonne, les mesures étaient bonnes mais il semblait terriblement petit dans la main.
Je me caressais la queue au travers de mon pantalon en regardant le dispositif et il fallait se rendre à l'évidence, il était trop petit !
J'étais décidé à l'essayé. Rapidement je retirais tous mes vêtements. Ça me semblait plus simple. Et là je confirmais mon impression. Ma queue faisait plus du double en longueur, et en largeur je m'imaginais ma queue attachée, ligotée comme un saucisson. J'ai vu des photos sur Internet, ça fait peur mais c'est pas laid à regarder … Et en plus ça fait bander.
Et justement c'était le problème que j'avais à ce moment. Mais comme tout le monde le sait la solution est à portée de main ! Éh Éh !
Je n'avais plus qu'à me masturber. Vous remarquerez le côté contradictoire de la chose. Je me retrouvais obligé de me masturber pour pouvoir ne plus me masturber.
Oh je bandais bien, je crachais dans ma main et mes caresses devenaient rapidement douces, ma main glissait sur mon gland et déjà je frissonnais de plaisir. Je tentais par réflexe de me retenir, de faire durer le plaisir, ça me semblait futé vu que c'était la dernière fois, enfin il y avait un petit goût de dernière fois. En fait il n'était pas question d'une dernière fois, je ne tenterais de porter le dispositif que de temps en temps et c'est tout.
Mon affaire était réglée en un petit quart d'heure. Je lâchais un décharge généreuse et tellement plaisante. Deux trois autres suivaient, c'était le pied. J'avais l'impression de n'avoir que rarement joui autant, très rarement joui aussi fort.
Je retrouvais mon souffle, je me nettoyais, j'étais revenu à mon point de départ sauf que je ne bandais plus. Le dispositif semblait plus adapté, il semblait plus grand, en fait c'est ma queue qui était pus petite mais ça faisait pareil.
Suivaient quelques instants d'hésitations puis je passais l'anneau sans difficultés. Je ne traînait pas pour glisser ma queue dans la cage, je sentait une nouvelle érection qui arrivait, je parvenais à refermer la cage à temps. Mas queue s'énervait déjà et le dispositif était déjà bien plein. Je le verrouillais.
J'étais presque essoufflé après tout ça, l'émotion, l'orgasme, et pour finir ce confinement. Pour finir cette sensation de saucissonnage. Ma queue ressemblait bien un peu à un saucisson mais ce n'était pas désagréable, ça ne faisait pas mal. Sur le moment, ça ne faisait pas mal.
Je rangeais les clés dans un tiroir, comme je ne savais pas comment mon corps allait réagir.
Finalement ça ne se passait pas trop mal, je ne pensais plus qu'à ça pendant le reste de la journée, je sentais ma cage, son anneau, cette pression pendant le reste de la journée. J'avais pris un pantalon un peu large pour éviter que le pantalon n'écrase trop mes parties sensibles.
La nuit ne s'est pas trop bien passée. Mais c'est normal, la nuit la pression de la cage et de l'anneau est toujours au même endroit, et forcément au réveil, ça fait gros bobo ! Et en plus on bande.
Il faut alors tout remettre en place, on tire sur la peau dans un sens puis dans l'autre, puis quand on finit par débander ça va mieux … En un mot pas top le premier matin.
Et ce n'est que le début.
Au bout de deux semaines, j'avais décidé de le porter au moins trois. C'est un minimum. Je finissais pas supporter le dispositif, toujours douloureusement la nuit. Avec l'habitude, je réajustais mon dispositif sans presque me réveiller, enfin je me rendormais aussitôt.
Je bandais tout le temps, en fait j'avais l'impression de bander tous les jours, tout le temps. Et je vous le dis, c'est pas facile tous les jours ! Deux semaines sans plaisir, sans branlette, sans baiser et là j'étais en manque !
Il faisait beau, l'été se terminait mais il faisait encore très doux, et même quelquefois très chaud. C'est un de ces après midi que j'ai eu comme une envie de me faire défoncer le cul. Je savais que je ne pourrais pas faire grand chose d'autre.
Je me retrouvais à déambuler dans un coin de la forêt que je connaissais bien. Il y avait un peu de passage, il y avait du beau monde. Je me promenais, je prenais bien mon temps, je croisais un mec puis un autre, puis encore un, puis … Oui bon on est là pour ça.
Ma queue se calmait à moitié jusqu'au moment ou je la sentais durcir, je la sentait prendre du volume ou alors c'était la cage qui se réduisait, mais ça c'était impossible.
Un mec bien massif. Cuisses épaisse, torse et corps larges. Il avait un visage carré des bras musclés et un sourire qui me faisait fondre, des yeux magnifiques.
Il me regardais. Son regard parcourait mon corps de haut en bas. Là j'ai frissonné. Je lui rendais regard pour regard, son sourire s'éclairait ? Je lui rendais son sourire.
J'ai rapidement remarqué cette bosse proéminente entre ses cuisses, en haut. C'était net, c'était visible, c'était beau à regarder. J'avais la même. Un court instant je me suis demandé, j'ai pensé qu'il pourrait avoir lui aussi une cage à bite. Ce ne serait pas de chances, mais combien étions nous à porter un tel dispositif dans ce coin ?
Il regardait à gauche et à droite, s'assurait que nous étions seuls et rapidement ouvrait son pantalon, il n'avait pas de sous vêtement et c'est une belle grosse bite qui en sortait. Elle était de belle taille et pourtant encore molle. Là j'ai frémi. Là j'en ai eu envie. Là je ne me suis pas retenu.
Je m'approchais de lui et arrivé à sa hauteur, je le regardais dans les yeux quelques instant avant de m'accroupir et de prendre dans ma bouche cette belle grosse queue qui prenait du volume.
Là je me suis laissé allé à mon plaisir, je pouvais le sucer, ça je pouvais le faire. Il me caressait les cheveux et appuyait tout doucement sur ma tête. Sa queue entrait et ressortait, lentement, sans résistance, avec fluidité. Il arrivait rapidement au fond de ma gorge et là il poussait un peu, pas trop fort, il en avait une grosse mais savait s'en servir sans forcer, en restant très agréable.
Quand je reculais ma tête, j'en profitais pour le caresser, pour le masturber avec douceur. Je passais mon pouce sur son gland encore humide, il gémissait. A cet instant j'ai bien cru qu'il allait éjaculer et que j'allais tour prendre dans la figure. Là je ne pensais à rien, je ne pensais même plus à ma furieuse envie de me faire défoncer le cul.
Il passait une main sur mon cou, je relevais la tête.
– Tu es passif ? Me demandait-il.
Je faisais oui de la tête
– Moi je suis actif !
– C'est mieux quand on a une grosse queue comme la tienne.
Pour seule réponse il rigolait.
– Et ma grosse queue ne te fait pas peur ?
– Si ! Mais c'est pas une raison pour …
– Pour ?
Je ne répondait pas, j'avais recommencé à lui sucer la queue, je la caressais avec ma main, je la suçais avec ma langue, et je refermais mes doigts sur son gland, il sursautait par moment.
Il appuyait plus fort sur ma tête, son gland s'écrasait avec un peu plus de force dans le fond de ma gorge. Je faisais des efforts pour lui faire plaisir. Il avait une grosse queue et ça ne passait facilement, mais il n'était pas le seul à trouver cela agréable.
Je me régalais.
Je lui tripotais les couilles, je lui caressais la queue, il me caressais la joue . Il finissait par se pencher sur moi et m'embrassait. Je me relevais, ses lèvres ne se séparaient pas des miennes.
Encore quelques câlins puis il s'éloignait lentement de moi, il me retenait par mon ceinturon, il l'ouvrait, j'écartais les bras pour le laisser faire. Je ne pensais pas, je ne pensais plus à rien. J'avais oublié que j'avais une cage à bite. Le jour même je n'aurais pas cru cela possible mais j'en étais là au moment ou mon pantalon tombait et que ma cage apparaissait.
Il lâchait tout, mon pantalon tombait sur mes chevilles.
– Oh ! S'exclamait-il.
– Oui je suis passif ! Rajoutais-je.
– Je vois mieux maintenant !
Il admirait mon dispositif.
– Alors là, je ne m'attendais pas à ça. Mais c'est chouette, J'aime bien.
Il continuait à me tripoter les couilles avec plus ou moins de douceur, plus ou moins de force. Par moment il ma faisait presque mal. Ma queue s'énervait, de nouveau elle tentait de bander et de nouveau le dispositif redevenait très inconfortable.
La peau ressortait par les trous d'aération.
– Tu me suis chez moi ? J'aimerais bien en profiter pour te défoncer le cul. Me demandait le gars.
C'est précisément ce que je voulais depuis le début, aussi c'est avec un large sourire que je répondais oui.
– Au fait moi c'est Kevin. Rajoutait-il.
– Charly ! Répondais-je.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Quelques semaines plut tôt je ne savais même pas que ça existait. C'est par le plus grand des hasards que je suis tombé dessus, sur internet. Tout de suite ma cervelle s'est mise en ébullition. Ma première réaction était , c'est pas possible, c'est un fake …
vérifications faites, c'était pas un fake. J'ai passé commande le jour même.
J'y ai pensé tous les jours, j'imaginais ma petite queue enfermée dans ce dispositif, il avait l'air sévère. On le disait confortable, je ne savais pas s'il fallait y croire, mais je voulais absolument essayer.
Le dispositif arrivait enfin, plus d'une semaine à attendre tout de même. Tout excité j'ouvrais le colis et déjà je bandais. Là je me disais que je pouvais me laisser aller C'est la dernière fois ! Me disais-je.
Mais ça se passe comment quand on le porte, est-ce vraiment confortable comme ils le disent. En une semaine vous imaginez bien que j'avais lu des commentaires, des appréciation, des critiques et des avis contradictoires. On pouvait lire tout et n'importe quoi.
Tout ça se bousculait dans ma tête et ma queue protestait ou je ne sais pas quoi. Peut être criait-elle de peur.
Je me disait qu'il faudrait que je me calme si je voulais mettre ce petit truc.
Ce petit truc oui, tout petit truc, bien trop petit truc. Je le sortais de son emballage, la taille était bonne, les mesures étaient bonnes mais il semblait terriblement petit dans la main.
Je me caressais la queue au travers de mon pantalon en regardant le dispositif et il fallait se rendre à l'évidence, il était trop petit !
J'étais décidé à l'essayé. Rapidement je retirais tous mes vêtements. Ça me semblait plus simple. Et là je confirmais mon impression. Ma queue faisait plus du double en longueur, et en largeur je m'imaginais ma queue attachée, ligotée comme un saucisson. J'ai vu des photos sur Internet, ça fait peur mais c'est pas laid à regarder … Et en plus ça fait bander.
Et justement c'était le problème que j'avais à ce moment. Mais comme tout le monde le sait la solution est à portée de main ! Éh Éh !
Je n'avais plus qu'à me masturber. Vous remarquerez le côté contradictoire de la chose. Je me retrouvais obligé de me masturber pour pouvoir ne plus me masturber.
Oh je bandais bien, je crachais dans ma main et mes caresses devenaient rapidement douces, ma main glissait sur mon gland et déjà je frissonnais de plaisir. Je tentais par réflexe de me retenir, de faire durer le plaisir, ça me semblait futé vu que c'était la dernière fois, enfin il y avait un petit goût de dernière fois. En fait il n'était pas question d'une dernière fois, je ne tenterais de porter le dispositif que de temps en temps et c'est tout.
Mon affaire était réglée en un petit quart d'heure. Je lâchais un décharge généreuse et tellement plaisante. Deux trois autres suivaient, c'était le pied. J'avais l'impression de n'avoir que rarement joui autant, très rarement joui aussi fort.
Je retrouvais mon souffle, je me nettoyais, j'étais revenu à mon point de départ sauf que je ne bandais plus. Le dispositif semblait plus adapté, il semblait plus grand, en fait c'est ma queue qui était pus petite mais ça faisait pareil.
Suivaient quelques instants d'hésitations puis je passais l'anneau sans difficultés. Je ne traînait pas pour glisser ma queue dans la cage, je sentait une nouvelle érection qui arrivait, je parvenais à refermer la cage à temps. Mas queue s'énervait déjà et le dispositif était déjà bien plein. Je le verrouillais.
J'étais presque essoufflé après tout ça, l'émotion, l'orgasme, et pour finir ce confinement. Pour finir cette sensation de saucissonnage. Ma queue ressemblait bien un peu à un saucisson mais ce n'était pas désagréable, ça ne faisait pas mal. Sur le moment, ça ne faisait pas mal.
Je rangeais les clés dans un tiroir, comme je ne savais pas comment mon corps allait réagir.
Finalement ça ne se passait pas trop mal, je ne pensais plus qu'à ça pendant le reste de la journée, je sentais ma cage, son anneau, cette pression pendant le reste de la journée. J'avais pris un pantalon un peu large pour éviter que le pantalon n'écrase trop mes parties sensibles.
La nuit ne s'est pas trop bien passée. Mais c'est normal, la nuit la pression de la cage et de l'anneau est toujours au même endroit, et forcément au réveil, ça fait gros bobo ! Et en plus on bande.
Il faut alors tout remettre en place, on tire sur la peau dans un sens puis dans l'autre, puis quand on finit par débander ça va mieux … En un mot pas top le premier matin.
Et ce n'est que le début.
Au bout de deux semaines, j'avais décidé de le porter au moins trois. C'est un minimum. Je finissais pas supporter le dispositif, toujours douloureusement la nuit. Avec l'habitude, je réajustais mon dispositif sans presque me réveiller, enfin je me rendormais aussitôt.
Je bandais tout le temps, en fait j'avais l'impression de bander tous les jours, tout le temps. Et je vous le dis, c'est pas facile tous les jours ! Deux semaines sans plaisir, sans branlette, sans baiser et là j'étais en manque !
Il faisait beau, l'été se terminait mais il faisait encore très doux, et même quelquefois très chaud. C'est un de ces après midi que j'ai eu comme une envie de me faire défoncer le cul. Je savais que je ne pourrais pas faire grand chose d'autre.
Je me retrouvais à déambuler dans un coin de la forêt que je connaissais bien. Il y avait un peu de passage, il y avait du beau monde. Je me promenais, je prenais bien mon temps, je croisais un mec puis un autre, puis encore un, puis … Oui bon on est là pour ça.
Ma queue se calmait à moitié jusqu'au moment ou je la sentais durcir, je la sentait prendre du volume ou alors c'était la cage qui se réduisait, mais ça c'était impossible.
Un mec bien massif. Cuisses épaisse, torse et corps larges. Il avait un visage carré des bras musclés et un sourire qui me faisait fondre, des yeux magnifiques.
Il me regardais. Son regard parcourait mon corps de haut en bas. Là j'ai frissonné. Je lui rendais regard pour regard, son sourire s'éclairait ? Je lui rendais son sourire.
J'ai rapidement remarqué cette bosse proéminente entre ses cuisses, en haut. C'était net, c'était visible, c'était beau à regarder. J'avais la même. Un court instant je me suis demandé, j'ai pensé qu'il pourrait avoir lui aussi une cage à bite. Ce ne serait pas de chances, mais combien étions nous à porter un tel dispositif dans ce coin ?
Il regardait à gauche et à droite, s'assurait que nous étions seuls et rapidement ouvrait son pantalon, il n'avait pas de sous vêtement et c'est une belle grosse bite qui en sortait. Elle était de belle taille et pourtant encore molle. Là j'ai frémi. Là j'en ai eu envie. Là je ne me suis pas retenu.
Je m'approchais de lui et arrivé à sa hauteur, je le regardais dans les yeux quelques instant avant de m'accroupir et de prendre dans ma bouche cette belle grosse queue qui prenait du volume.
Là je me suis laissé allé à mon plaisir, je pouvais le sucer, ça je pouvais le faire. Il me caressait les cheveux et appuyait tout doucement sur ma tête. Sa queue entrait et ressortait, lentement, sans résistance, avec fluidité. Il arrivait rapidement au fond de ma gorge et là il poussait un peu, pas trop fort, il en avait une grosse mais savait s'en servir sans forcer, en restant très agréable.
Quand je reculais ma tête, j'en profitais pour le caresser, pour le masturber avec douceur. Je passais mon pouce sur son gland encore humide, il gémissait. A cet instant j'ai bien cru qu'il allait éjaculer et que j'allais tour prendre dans la figure. Là je ne pensais à rien, je ne pensais même plus à ma furieuse envie de me faire défoncer le cul.
Il passait une main sur mon cou, je relevais la tête.
– Tu es passif ? Me demandait-il.
Je faisais oui de la tête
– Moi je suis actif !
– C'est mieux quand on a une grosse queue comme la tienne.
Pour seule réponse il rigolait.
– Et ma grosse queue ne te fait pas peur ?
– Si ! Mais c'est pas une raison pour …
– Pour ?
Je ne répondait pas, j'avais recommencé à lui sucer la queue, je la caressais avec ma main, je la suçais avec ma langue, et je refermais mes doigts sur son gland, il sursautait par moment.
Il appuyait plus fort sur ma tête, son gland s'écrasait avec un peu plus de force dans le fond de ma gorge. Je faisais des efforts pour lui faire plaisir. Il avait une grosse queue et ça ne passait facilement, mais il n'était pas le seul à trouver cela agréable.
Je me régalais.
Je lui tripotais les couilles, je lui caressais la queue, il me caressais la joue . Il finissait par se pencher sur moi et m'embrassait. Je me relevais, ses lèvres ne se séparaient pas des miennes.
Encore quelques câlins puis il s'éloignait lentement de moi, il me retenait par mon ceinturon, il l'ouvrait, j'écartais les bras pour le laisser faire. Je ne pensais pas, je ne pensais plus à rien. J'avais oublié que j'avais une cage à bite. Le jour même je n'aurais pas cru cela possible mais j'en étais là au moment ou mon pantalon tombait et que ma cage apparaissait.
Il lâchait tout, mon pantalon tombait sur mes chevilles.
– Oh ! S'exclamait-il.
– Oui je suis passif ! Rajoutais-je.
– Je vois mieux maintenant !
Il admirait mon dispositif.
– Alors là, je ne m'attendais pas à ça. Mais c'est chouette, J'aime bien.
Il continuait à me tripoter les couilles avec plus ou moins de douceur, plus ou moins de force. Par moment il ma faisait presque mal. Ma queue s'énervait, de nouveau elle tentait de bander et de nouveau le dispositif redevenait très inconfortable.
La peau ressortait par les trous d'aération.
– Tu me suis chez moi ? J'aimerais bien en profiter pour te défoncer le cul. Me demandait le gars.
C'est précisément ce que je voulais depuis le début, aussi c'est avec un large sourire que je répondais oui.
– Au fait moi c'est Kevin. Rajoutait-il.
– Charly ! Répondais-je.
A suivre
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