Premier été sans Emilie (1)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Premier été sans Emilie (1)
L'été arriva. Nous passâmes notre bac et célébrâmes notre réussite en passant la nuit ensemble. La nuit fut d'autant plus chaude que nous allions passer deux mois sans nous voir. Emelie partait le lendemain avec son père à New-York et irait avec sa mère a la campagne. Pour ma part j'avais trouvé un boulot dans un genre de village de vacances sur la côte atlantique.
Ma tête reposait entre ses seins après une dernière baise. Elle me caressait doucement la bite espérant sans doute une autre séance. Je glissais un doigt en elle juste pour le plaisir.
- Tu vas sans doute rencontrer des nanas, me dit-elle, les G.O. ça ramasse grave.
- C'est possible. D'un autre côté tu va sans doute revoir Sandra.
- Ça te dérange?
Non ça ne me dérangeais pas. Je lui dis que je trouvais plutôt excitant de la savoir avec Sandra. Que je croyais, que je pensais que notre "couple", nos relations, notre relation était suffisamment saine, stable pour accepter de savoir l'autre avec un ou une autre. Elle approuva et nous nous quittâmes au matin en nous souhaitant un bon été.
Ce ne sont pas les filles qui manquaient. Et comme Emilie l'avait prédit mon statut m'aurait sans doute permis de niquer comme un malade. Sauf qu'aucune de ces nanas malgré leurs avances n'arriva à m'attirer dans son lit. Je ne les accueillais pas plus dans le mien. A part une qui me suça derrière un bungalow lors de la première soirée de l'été alors que j'étais bourré, je n'eu aucune aventure féminine. En revanche je goutais a nouveau aux plaisirs avec un mec.
Bruno avait deux ans de plus que moi. C'était la troisième année qu'il bossait au village. Il m'aida a me repérer parmi les installations, les gens et les procédure. C'était un peu notre grand frère, le chef officieux de la bande d'animateurs. Comme. Nous avions le même jour de repos après nous. Nous sommes retrouvé le premier dimanche soir à boire un verre au bar. Apres avoir échangé quelques politesses il m'invita a sortir. Je déclinais la proposition, j'étais fatigué et voulais me coucher. Je le retrouvais le lendemain. Il vint s'installer à cote de moi sur la plage. Nous parlâmes de choses diverses. Il me demanda ce que je faisais, si j'avais une copine. Ou un copain rajouta-t-il. Je lui parlais un peu d'Emilie avant de lui retourner la question.
- Non pas vraiment, me répondit-il, des trucs pas sérieux, des coups d'un soir. Je papillonne. Je profite. Je butine.
Il me sourit de façon malicieuse. Je compris ce qu'il avait en tête mais je ne répondis pas a cette avance.
Je le retrouvais le dimanche suivant, au bar, une bière a la main. Il me fit signe et j'allais le rejoindre. Nous parlâmes de notre semaine. Il ne me fit aucune autre allusion. Et ne m'invita pas à le suivre quand il me quitta en me disant qu'il sortais en boite. J'allais me coucher un peu déçu.
Le lendemain je le croisais sur le chemin de la plage. Il m'accompagna et devant la foule qui couvrait presque chaque centimètre carré de sable, il me dit qu'il connaissait un coin plus tranquille. Je le suivais. Nous marchâmes un long moment avant d'arriver. Nous étions en nage et Bruno n'attendit pas il jeta ses vêtements avant de courir nu dans les vagues. L'endroit était presque désert mais je ne me sentais pas assez en confiance pour faire de même. Je gardais mon maillot avant d'aller le rejoindre.
Il sortit de l'eau un peu avant moi. Je le regardais marcher sur le sable. Son corps intégralement bronzé. Athlétique. Si je n'avait pas été dans l'eau froide je pense que j'aurais bandé.
Je le rejoignis. Il était allongé sur le ventre. Il tourna la tête vers moi et me demanda si je pouvais lui passer de la crème solaire. Je m'exécutais. Mes mains glissèrent sur sa peau étalant la crème. Ce contact réveilla des envies et mon sexe qui se tendait dans mon maillot.
- N'oublie pas mon cul, me dit Bruno en me jetant un coup d'œil plein de sans entendus.
Puis remarquant la bosse dans mon maillot il me sourit de toutes ses dents.
Je répandis de la crème sur ses fesses et les massais longuement. Nous n'étions pas seul sur la plage mais un coup d'œil circulaire me permit de voir que personne de s'intéressait a nous. Je glissais alors ma main entre ses fesses jusqu'à toucher ses couilles et sa bite en pleine érection.
Bruno se retourna. Il avait un belle bite. Plus grosse et un peu plus longue que la mienne.
- Je savais que je te ferrais de l'effet, me dit-il, et comme tu vois c'est réciproque.
Je le laissais baiser mon maillot et prendre ma bite en main pendant que de mon côté j'en faisait autant avec la sienne. J'aimais retrouver le contact avec un sexe masculin. La douceur de la peau, la chaleur du membre dressé.
- Je ne suis pas ton premier mec, ajouta-t-il, en me caressant.
- Non, j'ai eu un copain avant.
- Super, je déteste jouer les initiateur. Je préfère les mecs qui ont un peu d'expérience. Tu veux bien me sucer alors.
Je dis oui de la tête et me penchais pou rendre sa queue en bouche. Je sentais mes palpitation de son sexe sous mes lèvres. Plus grosse que celle de Marc elle m'emplissait la bouche. Je pompais Bruno avec délectation. J'aimais son gout, sa taille, le plaisir de m'emplir d'un sexe bien dur. Je me foutais a cet instant que les autres personnes sur cette plage puisse nous voir. Je suçais et seul cette action comptait. Bruno m'envoya une longue giclée de sperme au fond de la bouche. Le foutre chaud et gluant me brula la gorge. J'eu un léger haut le cœur et en recrachais une partie qui coula sur mon menton. Bruno vint le lécher, m'embrassa et me remercia.
- Tu es plutôt bon, me dit-il, en plus tu avales ce qui est un plus.
Je lui dit merci en rougissant.
- J'aurais aimé faire un peu plus mais je vais me contenter de te sucer. La plage n'est pas assez déserte pour qu'on s'encule. Plus tard.
Il prit ma bite en bouche et me suça tout doucement. S'attardant sur mon gland, léchant mon frein avant de m'avaler, de descendre le long de ma bite, de garder ma queue en bouche et d'en jouer avec sa langue. En même temps il caressait mes couilles. Il fit monter le plaisir jusqu'à la paroxysme avant de me foutre un doigt dans le cul libérant un torrent de sperme dot il avala jusqu'à la dernière goutte.
Nous allâmes ensuite nous baigner. Je restais nu et appréciais de sentir les vagues jouer sur tout mon corps. Nous passâmes le reste de la journée entre baignade et bain de soleil. Nous discutâmes un peu. Je lui parlait d’Emilie et de Marc. Il rit en écoutant mes histoires, il trouvait que pour mon âge j’avais déjà de belles histoires de cul.
Ma tête reposait entre ses seins après une dernière baise. Elle me caressait doucement la bite espérant sans doute une autre séance. Je glissais un doigt en elle juste pour le plaisir.
- Tu vas sans doute rencontrer des nanas, me dit-elle, les G.O. ça ramasse grave.
- C'est possible. D'un autre côté tu va sans doute revoir Sandra.
- Ça te dérange?
Non ça ne me dérangeais pas. Je lui dis que je trouvais plutôt excitant de la savoir avec Sandra. Que je croyais, que je pensais que notre "couple", nos relations, notre relation était suffisamment saine, stable pour accepter de savoir l'autre avec un ou une autre. Elle approuva et nous nous quittâmes au matin en nous souhaitant un bon été.
Ce ne sont pas les filles qui manquaient. Et comme Emilie l'avait prédit mon statut m'aurait sans doute permis de niquer comme un malade. Sauf qu'aucune de ces nanas malgré leurs avances n'arriva à m'attirer dans son lit. Je ne les accueillais pas plus dans le mien. A part une qui me suça derrière un bungalow lors de la première soirée de l'été alors que j'étais bourré, je n'eu aucune aventure féminine. En revanche je goutais a nouveau aux plaisirs avec un mec.
Bruno avait deux ans de plus que moi. C'était la troisième année qu'il bossait au village. Il m'aida a me repérer parmi les installations, les gens et les procédure. C'était un peu notre grand frère, le chef officieux de la bande d'animateurs. Comme. Nous avions le même jour de repos après nous. Nous sommes retrouvé le premier dimanche soir à boire un verre au bar. Apres avoir échangé quelques politesses il m'invita a sortir. Je déclinais la proposition, j'étais fatigué et voulais me coucher. Je le retrouvais le lendemain. Il vint s'installer à cote de moi sur la plage. Nous parlâmes de choses diverses. Il me demanda ce que je faisais, si j'avais une copine. Ou un copain rajouta-t-il. Je lui parlais un peu d'Emilie avant de lui retourner la question.
- Non pas vraiment, me répondit-il, des trucs pas sérieux, des coups d'un soir. Je papillonne. Je profite. Je butine.
Il me sourit de façon malicieuse. Je compris ce qu'il avait en tête mais je ne répondis pas a cette avance.
Je le retrouvais le dimanche suivant, au bar, une bière a la main. Il me fit signe et j'allais le rejoindre. Nous parlâmes de notre semaine. Il ne me fit aucune autre allusion. Et ne m'invita pas à le suivre quand il me quitta en me disant qu'il sortais en boite. J'allais me coucher un peu déçu.
Le lendemain je le croisais sur le chemin de la plage. Il m'accompagna et devant la foule qui couvrait presque chaque centimètre carré de sable, il me dit qu'il connaissait un coin plus tranquille. Je le suivais. Nous marchâmes un long moment avant d'arriver. Nous étions en nage et Bruno n'attendit pas il jeta ses vêtements avant de courir nu dans les vagues. L'endroit était presque désert mais je ne me sentais pas assez en confiance pour faire de même. Je gardais mon maillot avant d'aller le rejoindre.
Il sortit de l'eau un peu avant moi. Je le regardais marcher sur le sable. Son corps intégralement bronzé. Athlétique. Si je n'avait pas été dans l'eau froide je pense que j'aurais bandé.
Je le rejoignis. Il était allongé sur le ventre. Il tourna la tête vers moi et me demanda si je pouvais lui passer de la crème solaire. Je m'exécutais. Mes mains glissèrent sur sa peau étalant la crème. Ce contact réveilla des envies et mon sexe qui se tendait dans mon maillot.
- N'oublie pas mon cul, me dit Bruno en me jetant un coup d'œil plein de sans entendus.
Puis remarquant la bosse dans mon maillot il me sourit de toutes ses dents.
Je répandis de la crème sur ses fesses et les massais longuement. Nous n'étions pas seul sur la plage mais un coup d'œil circulaire me permit de voir que personne de s'intéressait a nous. Je glissais alors ma main entre ses fesses jusqu'à toucher ses couilles et sa bite en pleine érection.
Bruno se retourna. Il avait un belle bite. Plus grosse et un peu plus longue que la mienne.
- Je savais que je te ferrais de l'effet, me dit-il, et comme tu vois c'est réciproque.
Je le laissais baiser mon maillot et prendre ma bite en main pendant que de mon côté j'en faisait autant avec la sienne. J'aimais retrouver le contact avec un sexe masculin. La douceur de la peau, la chaleur du membre dressé.
- Je ne suis pas ton premier mec, ajouta-t-il, en me caressant.
- Non, j'ai eu un copain avant.
- Super, je déteste jouer les initiateur. Je préfère les mecs qui ont un peu d'expérience. Tu veux bien me sucer alors.
Je dis oui de la tête et me penchais pou rendre sa queue en bouche. Je sentais mes palpitation de son sexe sous mes lèvres. Plus grosse que celle de Marc elle m'emplissait la bouche. Je pompais Bruno avec délectation. J'aimais son gout, sa taille, le plaisir de m'emplir d'un sexe bien dur. Je me foutais a cet instant que les autres personnes sur cette plage puisse nous voir. Je suçais et seul cette action comptait. Bruno m'envoya une longue giclée de sperme au fond de la bouche. Le foutre chaud et gluant me brula la gorge. J'eu un léger haut le cœur et en recrachais une partie qui coula sur mon menton. Bruno vint le lécher, m'embrassa et me remercia.
- Tu es plutôt bon, me dit-il, en plus tu avales ce qui est un plus.
Je lui dit merci en rougissant.
- J'aurais aimé faire un peu plus mais je vais me contenter de te sucer. La plage n'est pas assez déserte pour qu'on s'encule. Plus tard.
Il prit ma bite en bouche et me suça tout doucement. S'attardant sur mon gland, léchant mon frein avant de m'avaler, de descendre le long de ma bite, de garder ma queue en bouche et d'en jouer avec sa langue. En même temps il caressait mes couilles. Il fit monter le plaisir jusqu'à la paroxysme avant de me foutre un doigt dans le cul libérant un torrent de sperme dot il avala jusqu'à la dernière goutte.
Nous allâmes ensuite nous baigner. Je restais nu et appréciais de sentir les vagues jouer sur tout mon corps. Nous passâmes le reste de la journée entre baignade et bain de soleil. Nous discutâmes un peu. Je lui parlait d’Emilie et de Marc. Il rit en écoutant mes histoires, il trouvait que pour mon âge j’avais déjà de belles histoires de cul.
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