Premier été sans Emilie (4)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Premier été sans Emilie (4)
Emilie m’écrivit une lettre depuis chez sa grand-mère.
« Mon petit pédé, mon bel enculé, mon suceur de bite,
« Tu me manques aussi, et même si j’ai retrouvé Sandra pour quelques jours je regrette de ne pas être avec toi pour jouer avec la grosse bite de ton copain. Je regrette de ne pas avoir de queue a te faire sucer avant de t´enculer. Je n'ai que ma chatte et mon cul. Oui mon cul. Je te promet que tu m'enculeras.
"Donc Sandra est revenue. Je craignais un peu de ne pas la voir. Nous ne nous parlons le reste de l'année et je ne sais rien d'elle. Mais elle est venue. Elle s'est coupé les cheveux. Une coupe a la garçonne qui lui va très bien. J'adore.
" Tu te doute que je mouillais ma culotte et que j'aurais aimé lui sauter dessus sans attendre. Il a fallu que je sois sage. Je n'étais pas seule. Nous n'avons pas attendu longtemps pour faire l'amour. Je l'ai accompagnée jusqu'a la rivière.La maison qui avait vu nos premiers ébats n'était plus là. Seuls restaient quelques gravats. Nous avons marché le long de la berge en nous racontant notre année. Je lui ai tout dit de nous. Nos jeux sexuels dans des lieux publics. Le plaisir que nous partageons. De son côté Sandra a eu aussi quelques histoire. Avec un mec mais elle préfère les nanas. Avec un fille aussi pas longtemps.
" Nous avons trouvé un coin tranquille. Un peu a l'abris. Sur les serviette étalées sur l'herbe fraiche je l'ai enfin embrassée. J'ai retrouvée sa langue. Ses lèvres. Sa peau douce. Son parfum. Je te comprends quand tu me dis que tu n peux pas choisir entre un mec et une fille. Que les sensations sont différentes. Je ne pourrais pas me passer d'un bite. J'aime la tienne. J'aime faire l'amour avec toi. J'aime te sentir en moi et jouir par toi. Mais je ne pourrais pas me passer de Sandra. Si tu me le demander, et je sais que tu ne le feras pas, je ne pourrais pas choisir.
" Nous nous sommes déshabillées mutuellement. J'ai pris les seins de Sandra dans mes mains. J'avais oublié qu'ils étaient si gros. Bien plus gros que les miens. J'ai embrassé ses tétons durcit. Elle caressais ma peau. M'embrassais. Nous avons joué a nous redécouvrir. Elle avait rasé sa chatte ne laissant qu'une petit touffe de poil au dessus de son clito. J'ai trouvé ça beau. Plus beau que la mienne toute poilue. Je suis descendu pour embrasser son petit sexe tout lisse. Tout humide. Ma langue a glissé sur ses lèvres, s'est insinué entre elle, a gouté son parfum. Je me sentais bien entre ses cuisses lui léchant la chatte. La faisant gémir de plaisir. Je buvais son plaisir à pleine bouche.
" Elle a joui et ma bouffée. Ma chatte toute poilue dégoulinait. Tu me bouffe bien. Tu me fais jouir mais comme toi quand tu te fais sucer par tes mecs, c'est diffèrent avec Sandra. Le résultat est le même mais, et peut être que c'est uniquement dans la tête,le cheminement pour y arriver est un diffèrent. Un chemin parallèle.
" Nous sommes restée allongées nues au bord de la rivière, enlacée. Nous ne voulions pas nous quitter. Nous parlions de choses et d'autres. De l'avenir. De sexe. Nous avons rit de bon coeur. Heureuse de nos retrouvailles. Anticipant les plaisirs qu'allait nous apporter cette semaine.
" Je te raconterais plus de choses quand nous nous retrouverons. Comment elle m'a rasé la chatte (tu verras tu va adorer mon minou) en me doigtant. Ou son gode. Elle s'est achetée un gode rose. Elle m'en a fait profiter. C'est un jouet super. Il nous en faut un. Ou la fois où mon frère s'est branlé en nous regardant nous gouiner. C'était une semaine fabuleuse.
" Je t'écris alors qu'elle vient juste de quitter ma chambre. Elle s'en va demain. C'était la dernière fois que nous baisions. Elle ne pense pas revenir l'année prochaine. Mais nous n'allons pas nous perdre de vue. J'ai son adresse. Elle a la mienne.
"Je suis un peu triste. Tu me manques."
Je reposais la lettre par terre. Je bandais. Heureusement Cedric dormait a côté de moi.
Il m'avait retrouvé deux jours après son depucelage violent. Il m'aborda en me remerciant pour ce que j'avais dit après que Bruno l'avait humilié. Il était touchant. Je voyais bien qu'il avait envie que je le prenne par la main et que je le guide vers ma chambre et sur le chemin de l'acceptation de sa sexualité.
- Tu veux boire un verre, lui demandais-je ?
- On peut aller chez toi plutôt, répondit-il en baissant les yeux.
Je fermais la porte. Il se jeta sur moi pour m'embrasser. Il était maladroit. Trop fougueux. Trop brouillon. Je le repoussais doucement.
- Prenons notre temps lui dis-je. Tu vas voir toit va bien se passer
Je le déshabillais et prit sa bite en main.
- Tu bandes déjà fort. Tu dois avoir très envie. Je vais te branler. Assied toi sur le lit. Tu vas te laisser faire. Et ne t'inquiète pas si tu jouis trop vite.
Comme prévu il éjacula en quelques secondes. Je le rassurais en lui disant que jśavais fait exprès. Pour lui faire lâcher la pression.
- Maintenant, en attendant que tu rebandes, tu va me sucer. Tu t'y prends bien. Alors fait moi plaisir.
Il s'exécuta sans attendre. Il sortit ma vite de mon short et la lécha avant de l'avaler, de la sucer, d'en faire son jouet. Il aimait ça c'était une évidence. Je profitais du plaisir. Je regardais son corps fluet. Il ne m'aurait jamais attiré mais je le trouvais mignon et au fur et à mesure que le plaisir montait dans ma queue l'envie de me faire prendre par sa petite bite se faisait plus fort. Je lui envoyais mon foutre dans la bouche. Il en avala une partie et recracha le reste sur mon ventre.
- Tu vas m'enculer maintenant. Attrape une capotes et enfile la pendant que je prépare mon trou.
Je me mis en position. Il se glissa derrière moi. Sa bite vint presser contre mon anus lubrifié. Je l'encourageais. Tendais mon cul vers lui. Il m'enfila d'un coup. Je l'entendis soupirer d'aise. Il commença doucement. S'habituant a mon cul. Aux sensations sur sa bite. Moins grosse que celle de Bruno elle était parfaite. Je n'eu aucune douleur et le plaisir vint immédiatement. Il me baisa fermement mais sans violence. C'était bon. Je n'étais pas sa chose, mais un complice. Quand il jouit il poussa un petit cri aigu. Presque un cri s'oiseau.
- C'était bon lui demandais-je?
- Oui tres bon.
- Tu me donnes ton cul maintenant
Il se mit a quatre patte et je le pris d'un coup. Je restais en lui sans bouger pour qu'il s'élargisse et que la douleur s'évanouisse puis je l'enculais en douceur, laissant mon plaisir venir, écoutant mon corps et le sien. Je le fis jouir deux fois avant de venir a mon tour.
Il me demanda s'il pouvait rester un peu. Je le laissais prendre une douche et s'allonger sur le lit ou il s'endormit pendant que je lisais la lettre d'Emilie.
J'allais le réveiller. Il vit ma queue dressée et sans que je lui demande me suça avant de m'offrir a nouveau son petit trou bien confortable.
Apres cela, il m'embrassa me remercia et me demanda s’il pouvait me revoir. Je ne voulais pas le froisser alors je lui ai dit oui, même si je savais que je ne le revérais plus jamais je partais deux jours plus tard.
J’avais eu deux amants cet été sans Emilie. Un égoïste, cherchant du sexe pur et dur. Un autre jeune et innocent tendre et maladroit. J’ai aimé le sexe avec les deux. Maintenant il me tardait de revoir Emilie et de gouter à sa chatte rasée.
« Mon petit pédé, mon bel enculé, mon suceur de bite,
« Tu me manques aussi, et même si j’ai retrouvé Sandra pour quelques jours je regrette de ne pas être avec toi pour jouer avec la grosse bite de ton copain. Je regrette de ne pas avoir de queue a te faire sucer avant de t´enculer. Je n'ai que ma chatte et mon cul. Oui mon cul. Je te promet que tu m'enculeras.
"Donc Sandra est revenue. Je craignais un peu de ne pas la voir. Nous ne nous parlons le reste de l'année et je ne sais rien d'elle. Mais elle est venue. Elle s'est coupé les cheveux. Une coupe a la garçonne qui lui va très bien. J'adore.
" Tu te doute que je mouillais ma culotte et que j'aurais aimé lui sauter dessus sans attendre. Il a fallu que je sois sage. Je n'étais pas seule. Nous n'avons pas attendu longtemps pour faire l'amour. Je l'ai accompagnée jusqu'a la rivière.La maison qui avait vu nos premiers ébats n'était plus là. Seuls restaient quelques gravats. Nous avons marché le long de la berge en nous racontant notre année. Je lui ai tout dit de nous. Nos jeux sexuels dans des lieux publics. Le plaisir que nous partageons. De son côté Sandra a eu aussi quelques histoire. Avec un mec mais elle préfère les nanas. Avec un fille aussi pas longtemps.
" Nous avons trouvé un coin tranquille. Un peu a l'abris. Sur les serviette étalées sur l'herbe fraiche je l'ai enfin embrassée. J'ai retrouvée sa langue. Ses lèvres. Sa peau douce. Son parfum. Je te comprends quand tu me dis que tu n peux pas choisir entre un mec et une fille. Que les sensations sont différentes. Je ne pourrais pas me passer d'un bite. J'aime la tienne. J'aime faire l'amour avec toi. J'aime te sentir en moi et jouir par toi. Mais je ne pourrais pas me passer de Sandra. Si tu me le demander, et je sais que tu ne le feras pas, je ne pourrais pas choisir.
" Nous nous sommes déshabillées mutuellement. J'ai pris les seins de Sandra dans mes mains. J'avais oublié qu'ils étaient si gros. Bien plus gros que les miens. J'ai embrassé ses tétons durcit. Elle caressais ma peau. M'embrassais. Nous avons joué a nous redécouvrir. Elle avait rasé sa chatte ne laissant qu'une petit touffe de poil au dessus de son clito. J'ai trouvé ça beau. Plus beau que la mienne toute poilue. Je suis descendu pour embrasser son petit sexe tout lisse. Tout humide. Ma langue a glissé sur ses lèvres, s'est insinué entre elle, a gouté son parfum. Je me sentais bien entre ses cuisses lui léchant la chatte. La faisant gémir de plaisir. Je buvais son plaisir à pleine bouche.
" Elle a joui et ma bouffée. Ma chatte toute poilue dégoulinait. Tu me bouffe bien. Tu me fais jouir mais comme toi quand tu te fais sucer par tes mecs, c'est diffèrent avec Sandra. Le résultat est le même mais, et peut être que c'est uniquement dans la tête,le cheminement pour y arriver est un diffèrent. Un chemin parallèle.
" Nous sommes restée allongées nues au bord de la rivière, enlacée. Nous ne voulions pas nous quitter. Nous parlions de choses et d'autres. De l'avenir. De sexe. Nous avons rit de bon coeur. Heureuse de nos retrouvailles. Anticipant les plaisirs qu'allait nous apporter cette semaine.
" Je te raconterais plus de choses quand nous nous retrouverons. Comment elle m'a rasé la chatte (tu verras tu va adorer mon minou) en me doigtant. Ou son gode. Elle s'est achetée un gode rose. Elle m'en a fait profiter. C'est un jouet super. Il nous en faut un. Ou la fois où mon frère s'est branlé en nous regardant nous gouiner. C'était une semaine fabuleuse.
" Je t'écris alors qu'elle vient juste de quitter ma chambre. Elle s'en va demain. C'était la dernière fois que nous baisions. Elle ne pense pas revenir l'année prochaine. Mais nous n'allons pas nous perdre de vue. J'ai son adresse. Elle a la mienne.
"Je suis un peu triste. Tu me manques."
Je reposais la lettre par terre. Je bandais. Heureusement Cedric dormait a côté de moi.
Il m'avait retrouvé deux jours après son depucelage violent. Il m'aborda en me remerciant pour ce que j'avais dit après que Bruno l'avait humilié. Il était touchant. Je voyais bien qu'il avait envie que je le prenne par la main et que je le guide vers ma chambre et sur le chemin de l'acceptation de sa sexualité.
- Tu veux boire un verre, lui demandais-je ?
- On peut aller chez toi plutôt, répondit-il en baissant les yeux.
Je fermais la porte. Il se jeta sur moi pour m'embrasser. Il était maladroit. Trop fougueux. Trop brouillon. Je le repoussais doucement.
- Prenons notre temps lui dis-je. Tu vas voir toit va bien se passer
Je le déshabillais et prit sa bite en main.
- Tu bandes déjà fort. Tu dois avoir très envie. Je vais te branler. Assied toi sur le lit. Tu vas te laisser faire. Et ne t'inquiète pas si tu jouis trop vite.
Comme prévu il éjacula en quelques secondes. Je le rassurais en lui disant que jśavais fait exprès. Pour lui faire lâcher la pression.
- Maintenant, en attendant que tu rebandes, tu va me sucer. Tu t'y prends bien. Alors fait moi plaisir.
Il s'exécuta sans attendre. Il sortit ma vite de mon short et la lécha avant de l'avaler, de la sucer, d'en faire son jouet. Il aimait ça c'était une évidence. Je profitais du plaisir. Je regardais son corps fluet. Il ne m'aurait jamais attiré mais je le trouvais mignon et au fur et à mesure que le plaisir montait dans ma queue l'envie de me faire prendre par sa petite bite se faisait plus fort. Je lui envoyais mon foutre dans la bouche. Il en avala une partie et recracha le reste sur mon ventre.
- Tu vas m'enculer maintenant. Attrape une capotes et enfile la pendant que je prépare mon trou.
Je me mis en position. Il se glissa derrière moi. Sa bite vint presser contre mon anus lubrifié. Je l'encourageais. Tendais mon cul vers lui. Il m'enfila d'un coup. Je l'entendis soupirer d'aise. Il commença doucement. S'habituant a mon cul. Aux sensations sur sa bite. Moins grosse que celle de Bruno elle était parfaite. Je n'eu aucune douleur et le plaisir vint immédiatement. Il me baisa fermement mais sans violence. C'était bon. Je n'étais pas sa chose, mais un complice. Quand il jouit il poussa un petit cri aigu. Presque un cri s'oiseau.
- C'était bon lui demandais-je?
- Oui tres bon.
- Tu me donnes ton cul maintenant
Il se mit a quatre patte et je le pris d'un coup. Je restais en lui sans bouger pour qu'il s'élargisse et que la douleur s'évanouisse puis je l'enculais en douceur, laissant mon plaisir venir, écoutant mon corps et le sien. Je le fis jouir deux fois avant de venir a mon tour.
Il me demanda s'il pouvait rester un peu. Je le laissais prendre une douche et s'allonger sur le lit ou il s'endormit pendant que je lisais la lettre d'Emilie.
J'allais le réveiller. Il vit ma queue dressée et sans que je lui demande me suça avant de m'offrir a nouveau son petit trou bien confortable.
Apres cela, il m'embrassa me remercia et me demanda s’il pouvait me revoir. Je ne voulais pas le froisser alors je lui ai dit oui, même si je savais que je ne le revérais plus jamais je partais deux jours plus tard.
J’avais eu deux amants cet été sans Emilie. Un égoïste, cherchant du sexe pur et dur. Un autre jeune et innocent tendre et maladroit. J’ai aimé le sexe avec les deux. Maintenant il me tardait de revoir Emilie et de gouter à sa chatte rasée.
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