Premier job de la grosse Monique épisode 1
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2025 dans la catégorie A dormir debout
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Premier job de la grosse Monique épisode 1
Au début de ma carrière professionnelle, j’ai commencé en tant que coiffeuse. À 20 ans, après avoir obtenu mon Brevet Professionnel (BP) en coiffure, j’avais trouvé un poste dans un salon de coiffure réputé. Tout semblait bien se dérouler dans cet environnement de travail.
Cependant, le comportement du patron était parfois inapproprié. Il adoptait des attitudes déplacées qui, à l’époque, étaient malheureusement souvent banalisée, mettant des mains aux fesses derrière les bacs a shampoing ou il nous prenait parfois par la taille. Dans ce contexte, les femmes hésitaient à réagir, de peur de compromettre leur emploi ou leur réputation.
Mon collègue et moi étions tenues, à la demande de notre employeur, de porter une jupe ou une robe les vendredis et samedis. À l’époque, ce type d’exigence vestimentaire était perçu comme une manière de refléter une certaine image du salon, bien que cela était pour le plaisir de notre patron.
Cette situation reflétait une époque où certaines limites professionnelles n’étaient pas toujours respectées, et où il était difficile pour les employées de se défendre face à ces comportements.
Surtout dans ce métier, où il existait une sorte de réseau informel entre les patrons. Tous semblaient se connaître, et le bouche-à-oreille circulait rapidement. Votre comportement au travail, vos attitudes, et même vos choix étaient souvent relayés de l’un à l’autre. Cela créait une certaine pression, car une réputation pouvait se construire – ou se défaire – en un rien de temps.
Notre employeur organisait des entretiens individuels chaque mois pour faire le point sur nos objectifs et notre chiffre d’affaires. Pour ma part, ces réunions se déroulaient toujours très bien, et j’en ressortais satisfaite. Cependant, j’ai remarqué que ma collègue Chantal semblait parfois mal à l’aise en sortant de ces entretiens, qui avaient lieu le vendredi. Elle prenait souvent un moment pour réajuster ses vêtements, ce qui me laissait perplexe. Cela reflétait une ambiance où tout n’était peut-être pas aussi professionnel qu’il aurait dû l’être.
Un samedi soir, alors que je terminais une coupe sur une cliente âgée, je constatais que j’étais la dernière à travailler avant la fermeture. Pendant que je nettoyais mon poste, j’entendais des éclats de rire provenant du bureau du patron, où se trouvaient Chantal, Alain (notre collègue coiffeur) et l’employeur. Curieuse de l’ambiance joyeuse, je décidais de les rejoindre une fois mes tâches terminées.
En entrant dans le bureau, je remarquais que Chantal était assise sur les genoux d’Alain, car il ne restait plus de chaise disponible. Le patron, avec un ton jovial, m’interpela en me disant : « Monique, viens t’asseoir ici », en désignant ses genoux. Sans malice et ne percevant rien d’anormal dans la situation, je m’assis sur ses genoux, passant un bras autour de lui pour m’appuyer sur le dossier du fauteuil. L’atmosphère semblait légère et bon enfant, bien que, avec du recul, je réalise que cette situation n’était pas aussi anodine qu’elle en avait l’air.
Au début, il gardait les mains posées sur le bureau, , mais à un moment sa main glissa doucement sur mon genou, couvert par un collant, car je portais une jupe comme tous les samedis. Sur le moment je me sentais un peu gênée, mais je ne savais pas comment réagir . Lorsqu’il tenta de remonter légèrement sa main, je bougeai discrètement ma jambe pour exprimer mon inconfort. Il comprit et s’arrêta aussitôt laissant tout de même sa main sur mon genou.
L’ambiance était détendue et joyeuse, Chantal ayant sorti une bouteille de mousseux qui restait dans le frigo pour marquer la fin de la journée. Les discussions étaient animées et ponctuées de quelques blagues légèrement coquines, qui nous faisaient beaucoup rire et ajoutaient à l’atmosphère conviviale.
Alors que je bougeais légèrement pour me repositionner sur ses genoux, je remarquai un certain inconfort grandissant sous mes fesses. Mon patron bandait sous mon gros cul et cela ne descendait pas.L’ambiance dans la pièce restait légère, et Alain lança une blague particulièrement osée qui déclencha un éclat de rire général. En riant à mon tour, je laissai échapper une remarque un peu taquine, dans le même esprit léger que les autres : « Ah, avec ton histoire il n’est pas le seul a être excité ! »
Il avait désormais posé ses mains sur moi, me maintenant légèrement, sans pour autant forcer. Dans cet ambiance qui se voulait toujours légère, je me laissais aller à de légers mouvements du bassin, accentuant son barreau , tout en continuant à participer à l’atmosphère de plaisanteries et de taquineries. Je le sentais à bloc prêt à exploser.
Alors que l’atmosphère devenait de plus en plus chargée, je décidais de mettre fin à la situation en disant : « Il se fait tard, je vais rentrer. » Me levant brusquement, je le surpris au point qu’il recula légèrement avec sa chaise sous le bureau. Avec un sourire un peu gêné, il déclara : « Moi, je vais terminer les comptes. » La tension retomba, et nous nous saluâmes avant de partir.
En me dirigeant vers ma voiture, Chantal m’interpella : « Tu aurais peut-être dû poser des limites. » Je répondis calmement : « T’inquiète, je suis grande, je sais gérer. » Elle insista : « Je dis ça pour toi, il risque de devenir de plus en plus insistant. » Je haussai les épaules : « Je vais gérer, ne t’inquiète pas. »
Chantal ajouta alors, d’un ton mi-sérieux mi-taquin : « En tout cas, prévois des protège-slips… le vieux ne se retient pas toujours et il fait beaucoup. » Bien qu’il n’ait que 45 ans, nous l’appelions souvent « le vieux » entre nous. À cet instant, je compris mieux pourquoi Chantal prenait toujours le temps de se réajuster en sortant de son bureau.
Le mardi matin, après un week-end bien rempli, je retournais au travail sans vraiment repenser aux événements du samedi soir. Cependant, un geste de mon employeur me rappela rapidement cette situation. Alors que je rinçais une couleur pour une cliente, je le sentis s’approcher et poser ses mains sur mes hanches.
Mes mains étant occupées et pleines de produit, je ne pouvais réagir immédiatement. Instinctivement, je fis un mouvement du bassin vers l’arrière pour le repousser discrètement, tout en continuant mon travail, espérant ainsi mettre un terme à cette attitude sans faire de scène.
Vexé, il me dit : « Monique, lorsque vous aurez terminé, venez me voir dans mon bureau. » Une fois mon travail achevé, je toquai à la porte et refermai derrière moi en entrant. À ma surprise, il se leva et, d’un geste brusque, me plaqua contre le mur, posant une main à plat contre celui-ci, près de mon visage. S’approchant un peu trop près, il murmura : « Samedi, tu m’as beaucoup troublé petite salope. »
Tentant de garder mon sang-froid, je répondis calmement : « Oubliez ça, cela ne se reproduira pas. » Mais il insista, posant une main sur mon épaule, puis la déplaçant sur mon sein. Je le coupai fermement : « Arrêtez immédiatement, ou je crie. » Il marqua une pause, visiblement surpris par ma détermination. Je pris une grande inspiration, prête à agir, ce qui le fit reculer : « Très bien, très bien », dit-il en s’éloignant.
Je quittai rapidement le bureau, mais quelques instants plus tard, il appela Chantal à son tour. Elle y resta environ 20 minutes. En sortant, elle passa devant moi et murmura doucement, presque avec résignation : « Tu vois, maintenant, j’ai dû prendre à ta place. »
Ce moment me laissa un profond sentiment de culpabilité. Bien que je me sois défendue, je réalisais que Chantal, mariée et déjà sous pression, subissait ces comportements en silence, sans pouvoir s’y opposer. Chantal avait une maison à rembourser et un enfant à charge, ce qui, je pense, la rendait particulièrement vulnérable. Elle devait sans doute craindre de perdre son emploi si elle s’opposait à notre employeur. Cette situation la plaçait dans une position délicate, où elle Cela ajoutait encore à ma culpabilité, car je comprenais à quel point elle était prise au piège.
Il sortit de son bureau et lança d’un ton autoritaire : « Monique, faites-moi la poussière partout. » Pendant toute l’après-midi, je passai mon temps à nettoyer et à astiquer chaque recoin du salon de coiffure. À la fin de la journée, il ajouta : « Désormais, tous les soirs, vous serez en charge de nettoyer les toilettes. »
Ainsi, pour le reste du mois, je me retrouvai à accomplir des tâches ingrates, devenant une sorte de “Cosette” au salon. Je m’exécutais sans protester, attendant patiemment que le moment propice se présente pour faire valoir mes droits. Ce jour arriva lors de la réunion mensuelle sur les objectifs.
Bizarrement, Chantal semblait rayonnante ces derniers temps. Elle paraissait presque apprécier ses fréquents passages dans le bureau du patron, ce qui me laissait perplexe. Son attitude contrastait avec ce que je ressentais face à cette situation, et cela me troublait davantage.
Lors de la réunion, le patron déclara d’un ton sévère :
-Vos chiffres ne sont pas bons !
-Je ne peux pas passer mon temps à nettoyer, cela m’empêche d’atteindre mes objectifs. »
Puis, avec un air sarcastique, il ajouta :
-Mais ça ne dépend que de vous pour que je partage les tâches équitablement.
-Alors, qu’est-ce que j’y gagne ?
S’approchant davantage, il reprit : « Tu sais, je peux être très, très gentil avec toi. » Lassée par cette situation qui durait depuis trop longtemps, je pris une grande inspiration, hésitant sur la manière de réagir. Croisant mes jambes, je laissai ma jupe remonter, dévoilant mes cuisses cal. Il sembla ravi, souriant avec satisfaction, et s’avança encore davantage, déboutonnant son pantalon.
C’est alors que je répondis d’un ton calme : « Pas maintenant, ce n’est pas possible, j’ai mon cycle menstruel. » Cette déclaration, bien que directe, ne mit pas fin à son avancée. Il s’arrêta, le caleçon baissé, me prenant pour une gamine il dit :
-Tu as déjà sucé un zizi ?
-oui bien sur !
-alors tu attends quoi ?
Blasée je prenais son sexe de la main le dirigeant vers ma bouche.
Je fis deux ou trois mouvements lents de pipage puis arrêtai, jouant de l’ambiance, j’attrapai ses deux grosses burnes dans ma mains. Je les serrai légèrement, le fixant du regard avec une expression malicieuse. “Alors, j’attends quoi ?” lançai-je, un sourire en coin. Puis, sans attendre de réponse, j’ajoutai avec un air provocateur : “Et si je te la mordais ou si je te tordais les couilles ?”
Sans lui laisser le temps de réagir, je portai sa queue à ma bouche et commençai à la serrer entre les dents. Je dis la bouche pleine :“Alors, tu veux que j’arrête ? Demande-moi pardon.”
Soudain, il écarquilla les yeux, visiblement pris au dépourvu. “Non, tu ne vas pas faire ça !” répondit-il, un mélange de panique et de frayeur dans la voix.
Je continuai à serrer lentement, soutenant son regard, et répétai : “Alors ? Demande-moi pardon, sinon…”
Après un court silence tendu, il céda enfin. “Pardonne-moi !” lança-t-il en levant les mains, vaincu.
Je reprenais ma fellattion.
Sa queue était étrangement redevenue caoutchouteuse, je la coinçais entre mon palais et ma langue pour faire des mouvements de succion.
Son érection regonflait dans ma cavité buccale. Je m’appliquais désormais à bien pomper de bas en haut. Son sexe n’étant pas très grand je pouvais aller bien loin vers la garde. Il caressa mes cheveux, je sentai la tension monter en lui et je décidai de le terminer à la main. Il ne tarda pas a venir je dirigeai sa bite pour éviter d’avoir son sperme sur moi. Un premier jet puissant alla se coller sur la porte, cinq spasmes aux volumes aussi abondant mais moins énergiques suivirent.
J’avais les mains légèrement souillées, alors j’attrapai un mouchoir dans la boîte posée sur son bureau pour m’essuyer discrètement. Même si j’avais envie de me lécher les doigts, je me retenais volontairement, refusant de lui donner une satisfaction supplémentaire.
Chantal avait raison, à 20 ans, je fus étonnée par la quantité de sperme qui avait gicler de ses gros testicules. Cela dépassait tout ce que j’avais pu imaginer ou expérimenter jusque-là. Il avait des couilles comme de grosses clémentines juteuses paradoxalement à la taille normale de sa bite.
Je me relevai, me remettant debout avec lenteur. Je relevai ma jupe dévoilant mon postérieur et ma petite culotte blanche sous les collants. Je sentis son regard et je dis : « Regarde… et rêves »
Je sortis du bureau, et Chantal, qui m’observait, me regarda d’un air moqueur, sans doute en pensant que je m’étais faite gronder. Elle esquissa un sourire en coin, prête à me taquiner.
Je lui lançai, avec un air à peine agacé : « Tu as raison, il éjacule beaucoup.
Mais son étonnement fut palpable quand, juste derrière moi, le vieux sortit à son tour, le sourire radieux, visiblement satisfait. Il s’approcha de moi et, d’une voix chaleureuse, me dit : “Monique, vous avez bien travaillé, vous pouvez y aller.”
Sans perdre un instant, je pris mes affaires et me dirigeai vers la porte, laissant Chantal, figée, avec un air stupéfait sur le visage. J’aurais voulu voir son expression un peu plus longtemps, mais je préférais partir sans ajouter de commentaire, savourant intérieurement la surprise de ma collègue.
Le patron s’était montré patient et étonnamment gentil ces derniers jours, attendant que mon cycle se termine. Je savais parfaitement qu’une fois cette excuse levée, il passerait à l’action. Chantal, de son côté, semblait avoir vécu une expérience similaire dans ce bureau, mais nous n’en avions jamais parlé, chacune gardant un silence complice sur ce qui se passait derrière cette porte.
Ce matin-là, il me lança d’un ton presque détaché, mais plein de sous-entendus : “Alors, toujours réglée ?”
Je répondis calmement, avec une assurance feinte : “Ça se termine demain, je n’aurai plus rien.”
Le lendemain, un jeudi, je pris soin de choisir ma tenue avec attention. Je mis une jupe longue, m’arrivant à mi-mollet, d’un style que je réservais habituellement au vendredi ou au samedi. Elle cachait astucieusement les bas autofixants noirs que j’avais décidé de porter, une pièce qui ajoutait une surprise à ma tenue.
Lorsque j’entrai dans le salon de coiffure , il sembla surpris de me voir ainsi vêtue. Ses yeux s’attardèrent un instant sur ma jupe, intrigué. “Tiens, Monique, c’est rare de vous voir habillée comme ça un jeudi,” dit-il, un sourire en coin.
Je passai près de lui, légèrement provocante, et lui glissai d’une voix douce mais assurée : “Regarde… et rêve.” Puis je m’éloignai pour prendre en charge la première cliente de la journée.
Le hasard fit que ce jour-là, je sois seule au salon entre midi et deux. Nous faisions cela à tour de rôle Chantal , Alain ou moi, permettant de garder le salon ouvert pendant la pause déjeuner, tandis que le patron allait manger. Mais ce jour-là, les choses prirent une tournure différente.
Alors que je rangeais quelques produits, il lança soudain : “Monique, je reste avec vous ce midi.”
Je me retournai, surprise par sa déclaration, mais je n’eus pas le temps de répondre que Chantal, en passant à côté de moi, me murmura discrètement : “Tu vas un peu me soulager.”
Son ton et son attitude étaient difficiles à déchiffrer. Était-ce de la compassion, comme si elle comprenait parfaitement ce que j’allais vivre, ou un soupçon de jalousie, comme si elle regrettait de ne pas être à ma place ?
Il était midi lorsque Chantal et Alain partirent déjeuner. Je me demandais quand il passerait à l’action. Je n’eus pas longtemps à attendre. Dix minutes plus tard, il n’y avait plus aucun client dans la boutique. Il verrouilla discrètement la porte d’entrée et tamisa les lumières de la vitrine, donnant l’impression que l’endroit était fermé.
Il se dirigea vers son bureau et lança : ‘Monique, tu peux venir, s’il te plaît.’ Il se tenait debout près de la porte lorsque je pénétrai dans la pièce, refermant doucement la porte derrière nous.
Il me regarda et dit :
-Lève ta jupe !
-Et qu’est-ce que j’y gagne ?
-Tu veux vraiment que ça recommence ?
Je ne pus m’empêcher de rire avant de lever ma jupe au dessus des hanches enlever ma culotte et de m’asseoir sur le bureau les jambes écartées. Ce qu’il ne savait pas, c est que j’avais la cuisse légère. Il restait stoïque voyant que je portais des bas, son regard rivé sur mes cuisses et mon entre-jambe.
Tant d’audace le laissa bouche bée. Il restait là, figé, l’air d’un idiot planté sur place, incapable de réagir. Je le regardai et je lui lançai ma culotte au visage : « Alors, viens… qu’est-ce que tu attends ? »
Il s’avança vers moi, baissa son pantalon et son boxer. Son penis déjà gorgé de sang était raide comme un piquet. L’atmosphère se chargea de tension, et je sentis mon cœur battre plus fort à mesure qu’il s’approchait. Il me regarda un moment, avant de présenter sa queue a l’entrée de ma chatte.
Assise au bord du meuble, je m’appuyai sur mes mains derrière moi pour garder mon équilibre.
Il posa ses mains sur mes hanches, et me pénétra doucement. J’avais la queue de mon patron en moi, et il bougeait doucement. C’était à la fois déstabilisant et excitant.
Le coup de rein assuré j’appréciai ses coups de bites. Il redoubla maintenant d’efforts et se mit à bien me démonter. Cette soudaine accélération, me combla. Entre chaque coups de hanches, je ne pus retenir des petits gémissements, ce qui l’encouragea encore plus.
Je me mis à jouir et le vieux, voyant mon état, semblait particulièrement fier de lui. Il s’arrêta restant au fond de mon vagin, il approcha ses mains déboutonnant mon chemisier. Il posa une main légère sur ma grosse poitrine, puis il sorti chaque sein les laissant simplement maintenus par l’armature du soutien gorges. Il positionna mes jambes, mettant mes chevilles sur ses épaules, j ‘étais maintenant couchée sur son bureau.
À chaque mouvement, ses grosses couilles frappaient ma vulve avec un rythme régulier. Il avait mes seins en main, m’obligeant à fléchir d avantage mes jambes. La position était plus profonde, poussant mes organes génitaux à chacun de ses coups, rendant le rapport à la fois intense et agréable. Voyant que je suivais chaque mouvement avec envie, il augmenta un peu la cadence. Je sentais la mouille me couler le long des lèvres vaginales !
Finalement, je ne résistai plus et je criai de jouissace. .Dans un élan de faiblesse et, sans ajouter de surprise, il lâcha son sperme en moi, en mettant quelques derniers coups appuyés. Il restait au fond de moi sans bouger, me bloquant, empêchant tout mouvements comme si il voulait me fécondée.
Il se retira enfin, visiblement satisfait, tandis que je reprenais doucement mes esprits. Je me levai pour me redresser et arranger ma tenue, prenant soin de m’essuyer la chatte avec délicatesse car il avait fait une bonne dose avant de remettre de l’ordre dans ma chemise.
Il me demanda, d’un ton léger mais curieux : “Tu prends un moyen de contraception ?”
C’était la fin des années 80, une époque où le préservatif n’était pas encore systématiquement utilisé pour se protéger. Je répondis, légèrement amusée : “Oui, je prends la pilule… mais c’est un peu tard pour poser la question, tu ne crois pas ?”
Il sourit, un peu soulagé, et lâcha sur un ton mi-sérieux, mi-taquin : “Ouf, ça me rassure… parce que je suis plutôt généreux.”
Je levai un sourcil, amusée par sa remarque, mais ne pus m’empêcher de répondre : “Ça, je l’avais bien remarqué.”
Il reprit, un brin provocateur : “Tu peux me faire une faveur ?”
“Ça dépend,” répondis-je, méfiante mais intriguée.
“Ce serait bien que, quand tu portes une jupe, tu ne mettes pas de culotte.”
Je le fixai, mi-agacée, mi-divertie : “Tu ne crois pas que tu exagères un peu ?”
Il haussa les épaules en souriant, attendant ma réponse. Après un court moment de réflexion, je soupirai et dis simplement : “Je vais y réfléchir.”
Pendant le reste de la pause, il se montra particulièrement attentionné, me câlinant doucement tandis que je finissais mon déjeuner. Puis, lorsque l’heure arriva, je me levai pour réorganiser le salon avant sa réouverture, la tête encore un peu troublée par cet échange.
J’étais dans le laboratoire, rangeant quelques produits, lorsque Chantal entra. Elle me lança un regard complice et dit avec un sourire en coin : “Alors, ça s’est bien passé ?”
Je haussai les épaules, esquissant un sourire énigmatique : “Tu dois bien t’en douter.”
Elle s’approcha et reprit d’un ton amusé : “Il a dû encore…. Bien juter .”
Je laissai échapper un petit rire nerveux : “On peut dire ça, oui. Ça se remarque, ma culotte est un peu humide.”
Chantal secoua la tête, comme si elle s’attendait à cette réponse. “Je t’avais dit de prévoir un protège-slip.”
“Je sais, mais je n’en avais pas sous la main,” répondis-je avec un soupçon de gêne.
Elle soupira, puis sortit un petit paquet de son sac. “Tiens, je vais t’en passer un, ça t’évitera des soucis.”
“Merci,” murmurai-je, reconnaissante.
Puis elle ajouta en baissant la voix, avec un air malicieux : “Je suis sûre qu’il t’a demandé de ne plus porter de culotte.”
Je la regardai, un peu surprise. “Comment tu sais ?”
Elle éclata de rire doucement. “Parce qu’il m’a fait la même demande. Tu verras, il est assez… audacieux.”
Je secouai la tête, mi-intriguée, mi-amusée. “Mais comment tu fais si… tu sais, si ça coule ?”
Elle haussa les épaules, l’air blasé mais complice. “Pas le choix, pour éviter les désagréments, je mets un tampon après. C’est plus pratique.”
Nous échangeâmes un sourire, chacune comprenant ce que l’autre vivait, avant de retourner à nos occupations, le ton léger malgré tout.
Le lendemain, je venai au travail en jupe, mais cette fois en collants sans culotte. Je continuai ma matinée comme si de rien n’était, concentrée sur mes tâches.
Alors que je lavais les cheveux d’une cliente, il s’approcha discrètement derrière moi et posa une main légère sur ma hanche, presque imperceptible. Il murmura doucement, suffisamment près pour que seule moi l’entende : “Mmm… tu as suivi mes conseils.”
Je ne répondis pas, préférant me concentrer sur mon travail, et il s’éloigna avec un léger sourire, me laissant à mes occupations.
Plus tard, Chantal passa près de moi et me lança d’un ton complice : “Alors, tu as suivi le dress code du patron aujourd’hui ?”
Je baissai légèrement la voix, souriant : “Oui, et toi ?”
Elle hocha la tête en riant doucement. “Pareil. Je crois qu’il va être particulièrement de bonne humeur aujourd’hui.”
Nous échangeâmes un regard amusé avant de retourner chacune à nos postes, continuant la journée avec professionnalisme, malgré les petits sous-entendus qui flottaient dans l’air.
Le vieux m’appela au bureau. Lorsque j’entrai, il était allongé sur une couverture au le sol, l’air détendu mais avec un regard malicieux. “Approche, lève un peu ta jupe” dit-il calmement.
Intriguée, je m’avançai, hésitant un instant avant de me placer à côté de lui. Il me regarda avec insistance et ajouta doucement : “Viens, mets-toi là. Écarte bien”
Je pris une grande inspiration et, avec précaution, me positionnai, une jambe de chaque côté de sa tête maintenant un écart sans exagérer, me demandant ce qu’il allait dire. Il resta silencieux un moment, observant, avant de murmurer : “Accroupis-toi au dessus de mon visage que je te sente.”
Je suivis son instruction avec une certaine réserve, me demandant jusqu’où ce jeu allait aller.
Je restai un instant dans cette position, immobile, hésitante face à l’étrangeté de la situation. Il posa ses mains sur chaque fesses tirant dessus pour entrebâiller mes orifices, et pour m’aider à garder l’équilibre.Il resta là, les yeux fermés, reniflant a plein poumons mes odeurs de chatte et d’anus libérées par la posture. Il me dit « tu sens bon, tu peux retourner travailler maintenant ».
Je me redressai doucement, m’éloignant avec précaution, tout en réajustant ma tenue pour reprendre une contenance.
Après un moment, il appela Chantal à son tour. Elle entra dans le bureau, l’air intrigué mais habituée à ses demandes. Je continuai mes tâches dans le salon, mais ne pus m’empêcher de me demander ce qu’il se passait derrière la porte close.
Environ dix minutes plus tard, Chantal ressortit, ajustant sa tenue avec un visage neutre, comme si de rien n’était. Nous échangeâmes un bref regard, mais elle ne fit aucun commentaire. Je supposai alors qu’elle avait vécu une expérience similaire, sans pour autant en être certaine.
Curieuse, je profitai d’un moment où nous étions seules pour demander discrètement à Chantal : “Alors, il t’a demandé de lui montrer sous ta jupe toi aussi ?”
Elle me répondit à voix basse, un peu blasée mais sans surprise : “Oui, et de m’accroupir pour… tu sais, sentir.”
Je la regardai avec étonnement. “Tout comme moi,” murmurai-je.
Chantal hocha la tête avec un petit sourire sarcastique. “À mon avis, on va passer au bureau régulièrement. Pour l’instant, ça reste assez soft, mais parfois, il ne se prive pas pour aller un peu plus loin.”
Un peu troublée, je m’exclamai discrètement : “Ah bon ?”
Elle acquiesça d’un air à la fois résigné et complice, mais sans entrer dans les détails. Nous continuâmes nos tâches.
La semaine se déroula sans événements marquants, hormis quelques gestes furtifs et mains baladeuses du patron. Le week-end passa tranquillement, et nous étions de retour au salon le mardi matin.
Alors que nous travaillions, une voix s’éleva depuis le bureau du fond : “Venez voir !”
Intriguées, Chantal et moi nous rendîmes dans le bureau, où il venait visiblement d’ajouter un nouveau meuble. Un clic-clac flambant neuf trônait désormais dans un coin de la pièce.
Alain, le coiffeur, lança avec un sourire moqueur : “Eh ben, comme ça, ce sera plus confortable pour vous, les filles.”
Nous échangeâmes un regard amusé en ressortant du bureau. Une fois à l’écart, Chantal demanda : “Comment tu sais qu’il n’a pas installé ça pour toi aussi ?”
Alain répondit en riant : “Ça fait huit ans que je bosse ici, je commence à bien le connaître. Mais ne vous inquiétez pas, les filles, je suis gay.”
Nous éclatâmes de rire à cette remarque, un peu rassurées par son ton léger et complice, avant de retourner à nos postes pour reprendre la journée.
Pendant la journée, il m’appela dans son bureau. Je terminai mon travail, pris une profonde inspiration et me préparai mentalement, persuadée de passer a la casserole. Mais, contre toute attente, il n’en fut rien.
En arrivant, il était assis sur le canapé, m’observant calmement. Ce jour-là, j’avais opté pour un short moulant et des collants, assortis à un chemisier ajusté. À un moment, il me demanda avec un sourire : “Fais un tour sur toi-même, que je voie cette tenue.”
Amusée, je m’exécutai, pivotant doucement pour lui laisser apprécier ma tenue. Puis, pour ajouter une touche de défi, je posai un pied sur le canapé, une main sur la hanche, le fixant avec un sourire en coin.
Il resta silencieux un moment, avant de dire simplement, en haussant légèrement les épaules : “Non, pas aujourd’hui.”
Intriguée par cette réponse énigmatique, je repris mon sérieux.
Il me tendit un paquet soigneusement emballé. Je le déballai pour découvrir un flacon de parfum. “Je veux que tu le portes à chaque fois que tu viens ici,” dit-il, son ton à la fois sérieux et légèrement charmeur.
Je ne pus m’empêcher de sourire, touchée par le geste malgré tout. Instinctivement, je l’embrassai rapidement sur la joue en le remerciant : “Merci, c’est vraiment gentil.”
Il sembla un peu surpris par mon geste et ajouta, avec un sourire malicieux : “Et, tant qu’on y est… quelle taille fais-tu en sous-vêtements ?”
Un peu prise de court, je répondis sans réfléchir : “95D et 42.” Puis, un brin gênée car j’étais déjà potelée à l’époque, je retournai à mon poste.
Le soir, alors que nous nous apprêtions à fermer, il nous réunit brièvement. “À partir de demain et pour le reste de la semaine, c’est Alain qui prend la direction.”
Cette annonce surprit tout le monde, mais Alain, fidèle à son humour, répondit avec légèreté : “Alors, préparez-vous, parce que avec moi, ça va danser autrement !” Nous rîmes tous, et la journée se termina sur cette note légère et inattendue.
Profitant de cette semaine où le patron était moins présent, j’engageai la conversation avec Chantal au sujet du parfum qu’il m’avait offert. Curieuse, je lui demandai : “Il t’a déjà offert des cadeaux comme ça ?”
Elle me répondit avec un sourire complice : “Oh oui, ça lui arrive souvent. Il peut être attentionné et parfois autoritaire, mais il sait se montrer généreux. Il m’a couverte de petites attention au fil du temps, tu verras.”
Intriguée, je continuai : “Et… ça fait longtemps qu’il te… enfin tu comprends ?”
Chantal haussa légèrement les épaules, un brin amusée. “Depuis mes débuts ici. Mais honnêtement, ça ne me dérange pas. Je m’entends bien avec lui, et j’aime le sexe, alors je prends cela comme ça vient. Mais je crois que certaines filles n’apprécient pas toujours, et c’est peut-être pour ça qu’elles ne restent pas longtemps.”
Je me contentai d’acquiescer avec un sourire, sans rien ajouter. Ce qu’elle ignorait, c’est que, malgré mon jeune âge, je n’étais pas non plus totalement novice dans ce domaine. J’avais déjà eu ma part d’expériences, j’avais été dépucelé très tôt dans mon adolescence. Ce genre de situation ne me dérangeait pas spécialement, mais je préférais garder cela pour moi.
-Ça se passe généralement en début de semaine, quand il n’y a pas trop de monde, ajouta-t-elle, avec un ton à la fois complice et pragmatique.
-Eh bien, me voilà donc prévenue. répondis-je avec un léger sourire aux lèvres.
-Un autre truc, normalement à partir de ce week-end, je suis indisposée. Donc, prépare-toi à être sollicitée, parce qu’il va revenir de ses congés en pleine forme. Et comme son épouse n’est pas très chaleureuse avec lui, il risque d’être encore plus… avenant.
J’avais donc tout prévu pour cette semaine, consciente que je pourrais être invitée à des moments plus particuliers avec le patron. Pour m’y préparer avec une certaine discrétion, j’avais acheté des collants ouverts à l’entrejambe, pour leur praticité, tout en me permettant de porter une culotte par-dessus si nécessaire. Cela me donnait un sentiment de contrôle, tout en me sentant prête à toute éventualité. J’avais également pris le temps de me préparer soigneusement, en faisant une petite toilette à ma chatte. J’avais taillé les poils qui pouvaient dépasser de ma culotte, veillant à rester soignée et à la laissée touffue. Surtout que, naturellement, j’étais assez fournie à ce niveau-là. Je veillais donc à ce que tout soit bien entretenu et soigné, tout en restant dans les habitudes de l’époque, où l’épilation intégrale n’était pas encore répandue.
Pour ce début de semaine, j’avais soigneusement choisi ma tenue. Je portais un soutien-gorge qui mettait en valeur ma poitrine, accompagné d’un chemisier ajusté. Une jupe arrivant au dessus du genou, mes fameux collants couleur chair, légèrement satinés avec des reflets blanchâtres, complétaient l’ensemble. Par-dessus, j’avais ajouté une culotte en dentelle blanche, parfaitement assortie, pour rester élégante et soignée tout en me sentant prête à devoir l’abaissée.
Comme je m’y attendais, ma tenue ne passa pas inaperçue auprès du patron. Toute la matinée, je remarquai ses regards insistants, et il ne manqua pas de s’arranger pour que je reste seule avec lui au salon entre midi. Mes collègues, devinant probablement ce qui se préparait, me lancèrent un clin d’œil complice avant de partir déjeuner.
Il m’appela dans son bureau, et, en entrant, je remarquai que le clic-clac était déployé, ce qui ne fit que confirmer mes soupçons. Il m’invita à m’approcher, et dans un mouvement un peu brusque il me poussa, je perdis l’équilibre et tombai en arrière sur le canapé, il s’exclama en soulevant entièrement ma jupe : “Magnifique.”
Il se pencha vers moi avec un mélange d’empressement et d’assurance, baissant ma culotte avec un sourire satisfait. “Tu es bien poilue, ça me plaît,” dit-il d’un ton presque admiratif, comme pour souligner son enthousiasme face à ce qu’il découvrait.
Il se décida, s’agenouilla et me lécha la chatte. Je sentait sa langue se glisser entre mes lèvres. Il attaquait directement le clitoris qu’il lapait a grands coup de langues rapides. Il introduisait un doigt , puis deux doigts tout en remuant en moi, toujours en léchouillant mon Clitoris qui était maintenant bien sorti et gonflé. Je commençais à mouiller considérablement, accompagnant du bassin le bruit mouillé ses mouvements de doigts.
Il ne quitta pas sa chemise et retira son pantalon et son boxer.
J’étais sur le dos, offerte. La scène était très excitante, Moi les jambes écartées ouvrant mes lèvres avec mes deux mains, mon patron bien raide , son chibre tellement tendu qu’il se courbait vers le haut. Il présenta sa bite au bord de mon vagin et entra en moi en missionnaire. Il m’embrassait en faisant des va et viens pas trop rapide mais constants.
Je me mis assez rapidement à chouiner, ce qui avait dû encourager le vieux qui se mit à me ramoner avec plus de vigueur. Le clic clac se mit à grincer avec la régularité d'un métronome.
Au bout de cinq minutes il me demanda de me mettre en levrette.
Je me plaçai à quatre pattes, et sans perdre de temps, il posa ses deux mains de chaque côté de mes fesses et s'enfonça dans ma chatte d'un coup sec. Je me crispais de surprise, mais il m'attirait vers lui pour rester bien a fond. J’avais bien senti passer sa queue, et ça me plaisait. Son membre vigoureux s’agitant, faisait en moi monter l’extase.
Il se mit à ma limer avec plus de ferveur, s'appliquant à essayer de taper au fond à chaque mouvement.
Ma chatte faisait des bruits de succion sur la queue de mon amant, de la cyprine coulait abondamment mouillant ses grosses couilles ,c'était très excitant.
Après un bon moment de limage dans cette position et sans prévenir, il se retira et me fit basculer sur le dos de façon assez brutale. J’étais assez surprise mais j’écartais les cuisses en grand à nouveau pour recevoir la queue du patron.
Celui-ci s'introduisit à nouveau et ses couilles virent frotter sur les clic clac avec les va et viens. Il se coucha presque entièrement sur moi, pour me baiser quelques minutes avec le corps quasiment immobile, juste en bougeant les fesses d'avant en arrière comme un pendule.
Soudain, Il glissa ses avant-bras sous mes mollets et ramena mes jambes vers le milieu quasiment à la verticale, et il plaça mes chevilles sur ses épaules.
Il reprit son affaire à grands coups de bite, ce qui faisait tout grincer assez fortement. Je jouissais bruyamment et cela dû accentuer l’excitation du vieux et il jouit vaillamment quelques minutes plus tard au fond de moi, a son tour, en se penchant et en m'écrasant de son poids, dans un mélange de gros râles et d'expression de bien-être.
Il resta allongé quelques minutes sur moi, me roulant des pelles et faisant encore de temps en temps des allés et retours. Je le retenait en l’encerclant avec mes jambes. Notre excitation descendit progressivement. Il se retira d'un coup , ma vulve gouttât de jus blanchâtre.
J’étais restée allongée les cuisses grandes ouvertes avec la chatte dilatée et le clito gonflé.
Il se rhabilla soigneusement, ajustant chaque pièce de sa tenue comme pour reprendre contenance. Pendant ce temps, je restais encore, profitant de quelques instants pour me remettre de mes émotions. Je pris ensuite le temps de m’essuyer avec précaution, car, fidèle à son habitude, il avait été particulièrement généreux, j aurai presque pu croire qu’il avait pissé en moi. Une fois cela fait, je me relevai pour me rhabiller avec soin, réajustant mes vêtements pour retrouver une allure impeccable avant de prendre notre déjeuner ensemble.
Mes collègues revinrent peu après, et en voyant mon visage légèrement radieux, un sourire en coin se dessina sur leurs lèvres. Il était évident qu’ils avaient deviné que j’avais passé un moment des plus agréables. Leur regard complice n’avait pas besoin de mots pour traduire leur pensée.
Il avait laissé son empreinte profonde en moi, tant la sensation d’humidité persistait sur mon protège slip que j ‘avais changé plusieurs fois cet après-midi là .
Chantal étant “indisponible”, comme il le disait avec un certain dédain, c’est moi qui fus l’objet de toutes ses attentions et de ses ardeurs tout au long de la semaine.
Seul le samedi fit exception, car la journée fut particulièrement chargée avec l’afflux de clients.
Lors de ces moments, il enchaîna toutes les positions imaginables, faisant preuve d’une inventivité qui me surprenait chaque fois. Il ne semblait jamais se lasser, et je ne pouvais m’empêcher de me demander comment un homme pouvait avoir autant de sperme dans ses couilles.
Il avait une étonnante capacité à se remettre rapidement, pouvant cracher une nouvelle grosse dose de sperme après seulement une ou deux heures. J’en fis l’expérience lors d’un après-midi où, à ma grande surprise, il revint à la charge alors que je pensais qu’il en avait fini.
Il me rappela un peu plus tard alors qu’il y avait peu de clients, et en entrant je le trouvai assis derrière son bureau, son pantalon baissé. Sa bite à la main il se masturbait. Il dit :
-viens me sucer comme tu sais si bien faire ».
-Bon, murmurai-je, “je viens gros gourmand.”
Je me mis à genoux, je pris sa bite en bouche, puis je lui massai ses grosses couilles. Avec soin, je fis glisser sa verge dans ma bouche et commençai à sucer délicatement, alternant mouvements lents et rapides. Devant moi, il se tenait vulnérable, fermant les yeux. Il levait la tête au ciel, soupirant de bien être . Au fil des allers-retours, je sentais qu’il appréciait, il me tenait la tête de ses mains. J’allais de plus en plus vite. Je pensai naïvement a ce moment qu’il n’ejaculerait plus vu ce qu’il m’avait mis auparavant
Puis, soudainement, au moment où je m’y attendais le moins, je sentais un gros spasme. Il éjacula dans ma bouche. Maintenant ma tête fortement je ne pouvais pas me retirer.
Sous le coup, je déglutis, avalant involontairement, se liquide mélange de satisfaction et de soulagement. Il me regarda avec des yeux ronds, avant de sourire et de s’exclamer : “Ohhh, tu es la meilleure !” C’était la première fois que j’avalais du sperme, je me relevai en me sentant nauséeuse, prenant précipitamment la direction des toilettes. Il éclata de rire, sans essayer de dissimuler son amusement face à ma réaction.
Je revins, et lui dis d’un ton ferme : “C’est la première et dernière fois. La prochaine fois, je te la mord.” Mon regard était clair, déterminé, ne laissant aucune place à l’ambiguïté.
Agacée, je retournai à mon poste, tentant de retrouver ma concentration malgré l’agitation intérieure qui me gagnait. Chaque geste que je faisais reflétait mon irritation, mais je m’efforçais de rester professionnelle.
Les semaines suivantes, il continua à nous appeler régulièrement dans son bureau, entretenant ce rituel devenu presque habituel. Mais cette dynamique, et tout ce qui s’ensuivit, appartient à une autre histoire… a suivre
Cependant, le comportement du patron était parfois inapproprié. Il adoptait des attitudes déplacées qui, à l’époque, étaient malheureusement souvent banalisée, mettant des mains aux fesses derrière les bacs a shampoing ou il nous prenait parfois par la taille. Dans ce contexte, les femmes hésitaient à réagir, de peur de compromettre leur emploi ou leur réputation.
Mon collègue et moi étions tenues, à la demande de notre employeur, de porter une jupe ou une robe les vendredis et samedis. À l’époque, ce type d’exigence vestimentaire était perçu comme une manière de refléter une certaine image du salon, bien que cela était pour le plaisir de notre patron.
Cette situation reflétait une époque où certaines limites professionnelles n’étaient pas toujours respectées, et où il était difficile pour les employées de se défendre face à ces comportements.
Surtout dans ce métier, où il existait une sorte de réseau informel entre les patrons. Tous semblaient se connaître, et le bouche-à-oreille circulait rapidement. Votre comportement au travail, vos attitudes, et même vos choix étaient souvent relayés de l’un à l’autre. Cela créait une certaine pression, car une réputation pouvait se construire – ou se défaire – en un rien de temps.
Notre employeur organisait des entretiens individuels chaque mois pour faire le point sur nos objectifs et notre chiffre d’affaires. Pour ma part, ces réunions se déroulaient toujours très bien, et j’en ressortais satisfaite. Cependant, j’ai remarqué que ma collègue Chantal semblait parfois mal à l’aise en sortant de ces entretiens, qui avaient lieu le vendredi. Elle prenait souvent un moment pour réajuster ses vêtements, ce qui me laissait perplexe. Cela reflétait une ambiance où tout n’était peut-être pas aussi professionnel qu’il aurait dû l’être.
Un samedi soir, alors que je terminais une coupe sur une cliente âgée, je constatais que j’étais la dernière à travailler avant la fermeture. Pendant que je nettoyais mon poste, j’entendais des éclats de rire provenant du bureau du patron, où se trouvaient Chantal, Alain (notre collègue coiffeur) et l’employeur. Curieuse de l’ambiance joyeuse, je décidais de les rejoindre une fois mes tâches terminées.
En entrant dans le bureau, je remarquais que Chantal était assise sur les genoux d’Alain, car il ne restait plus de chaise disponible. Le patron, avec un ton jovial, m’interpela en me disant : « Monique, viens t’asseoir ici », en désignant ses genoux. Sans malice et ne percevant rien d’anormal dans la situation, je m’assis sur ses genoux, passant un bras autour de lui pour m’appuyer sur le dossier du fauteuil. L’atmosphère semblait légère et bon enfant, bien que, avec du recul, je réalise que cette situation n’était pas aussi anodine qu’elle en avait l’air.
Au début, il gardait les mains posées sur le bureau, , mais à un moment sa main glissa doucement sur mon genou, couvert par un collant, car je portais une jupe comme tous les samedis. Sur le moment je me sentais un peu gênée, mais je ne savais pas comment réagir . Lorsqu’il tenta de remonter légèrement sa main, je bougeai discrètement ma jambe pour exprimer mon inconfort. Il comprit et s’arrêta aussitôt laissant tout de même sa main sur mon genou.
L’ambiance était détendue et joyeuse, Chantal ayant sorti une bouteille de mousseux qui restait dans le frigo pour marquer la fin de la journée. Les discussions étaient animées et ponctuées de quelques blagues légèrement coquines, qui nous faisaient beaucoup rire et ajoutaient à l’atmosphère conviviale.
Alors que je bougeais légèrement pour me repositionner sur ses genoux, je remarquai un certain inconfort grandissant sous mes fesses. Mon patron bandait sous mon gros cul et cela ne descendait pas.L’ambiance dans la pièce restait légère, et Alain lança une blague particulièrement osée qui déclencha un éclat de rire général. En riant à mon tour, je laissai échapper une remarque un peu taquine, dans le même esprit léger que les autres : « Ah, avec ton histoire il n’est pas le seul a être excité ! »
Il avait désormais posé ses mains sur moi, me maintenant légèrement, sans pour autant forcer. Dans cet ambiance qui se voulait toujours légère, je me laissais aller à de légers mouvements du bassin, accentuant son barreau , tout en continuant à participer à l’atmosphère de plaisanteries et de taquineries. Je le sentais à bloc prêt à exploser.
Alors que l’atmosphère devenait de plus en plus chargée, je décidais de mettre fin à la situation en disant : « Il se fait tard, je vais rentrer. » Me levant brusquement, je le surpris au point qu’il recula légèrement avec sa chaise sous le bureau. Avec un sourire un peu gêné, il déclara : « Moi, je vais terminer les comptes. » La tension retomba, et nous nous saluâmes avant de partir.
En me dirigeant vers ma voiture, Chantal m’interpella : « Tu aurais peut-être dû poser des limites. » Je répondis calmement : « T’inquiète, je suis grande, je sais gérer. » Elle insista : « Je dis ça pour toi, il risque de devenir de plus en plus insistant. » Je haussai les épaules : « Je vais gérer, ne t’inquiète pas. »
Chantal ajouta alors, d’un ton mi-sérieux mi-taquin : « En tout cas, prévois des protège-slips… le vieux ne se retient pas toujours et il fait beaucoup. » Bien qu’il n’ait que 45 ans, nous l’appelions souvent « le vieux » entre nous. À cet instant, je compris mieux pourquoi Chantal prenait toujours le temps de se réajuster en sortant de son bureau.
Le mardi matin, après un week-end bien rempli, je retournais au travail sans vraiment repenser aux événements du samedi soir. Cependant, un geste de mon employeur me rappela rapidement cette situation. Alors que je rinçais une couleur pour une cliente, je le sentis s’approcher et poser ses mains sur mes hanches.
Mes mains étant occupées et pleines de produit, je ne pouvais réagir immédiatement. Instinctivement, je fis un mouvement du bassin vers l’arrière pour le repousser discrètement, tout en continuant mon travail, espérant ainsi mettre un terme à cette attitude sans faire de scène.
Vexé, il me dit : « Monique, lorsque vous aurez terminé, venez me voir dans mon bureau. » Une fois mon travail achevé, je toquai à la porte et refermai derrière moi en entrant. À ma surprise, il se leva et, d’un geste brusque, me plaqua contre le mur, posant une main à plat contre celui-ci, près de mon visage. S’approchant un peu trop près, il murmura : « Samedi, tu m’as beaucoup troublé petite salope. »
Tentant de garder mon sang-froid, je répondis calmement : « Oubliez ça, cela ne se reproduira pas. » Mais il insista, posant une main sur mon épaule, puis la déplaçant sur mon sein. Je le coupai fermement : « Arrêtez immédiatement, ou je crie. » Il marqua une pause, visiblement surpris par ma détermination. Je pris une grande inspiration, prête à agir, ce qui le fit reculer : « Très bien, très bien », dit-il en s’éloignant.
Je quittai rapidement le bureau, mais quelques instants plus tard, il appela Chantal à son tour. Elle y resta environ 20 minutes. En sortant, elle passa devant moi et murmura doucement, presque avec résignation : « Tu vois, maintenant, j’ai dû prendre à ta place. »
Ce moment me laissa un profond sentiment de culpabilité. Bien que je me sois défendue, je réalisais que Chantal, mariée et déjà sous pression, subissait ces comportements en silence, sans pouvoir s’y opposer. Chantal avait une maison à rembourser et un enfant à charge, ce qui, je pense, la rendait particulièrement vulnérable. Elle devait sans doute craindre de perdre son emploi si elle s’opposait à notre employeur. Cette situation la plaçait dans une position délicate, où elle Cela ajoutait encore à ma culpabilité, car je comprenais à quel point elle était prise au piège.
Il sortit de son bureau et lança d’un ton autoritaire : « Monique, faites-moi la poussière partout. » Pendant toute l’après-midi, je passai mon temps à nettoyer et à astiquer chaque recoin du salon de coiffure. À la fin de la journée, il ajouta : « Désormais, tous les soirs, vous serez en charge de nettoyer les toilettes. »
Ainsi, pour le reste du mois, je me retrouvai à accomplir des tâches ingrates, devenant une sorte de “Cosette” au salon. Je m’exécutais sans protester, attendant patiemment que le moment propice se présente pour faire valoir mes droits. Ce jour arriva lors de la réunion mensuelle sur les objectifs.
Bizarrement, Chantal semblait rayonnante ces derniers temps. Elle paraissait presque apprécier ses fréquents passages dans le bureau du patron, ce qui me laissait perplexe. Son attitude contrastait avec ce que je ressentais face à cette situation, et cela me troublait davantage.
Lors de la réunion, le patron déclara d’un ton sévère :
-Vos chiffres ne sont pas bons !
-Je ne peux pas passer mon temps à nettoyer, cela m’empêche d’atteindre mes objectifs. »
Puis, avec un air sarcastique, il ajouta :
-Mais ça ne dépend que de vous pour que je partage les tâches équitablement.
-Alors, qu’est-ce que j’y gagne ?
S’approchant davantage, il reprit : « Tu sais, je peux être très, très gentil avec toi. » Lassée par cette situation qui durait depuis trop longtemps, je pris une grande inspiration, hésitant sur la manière de réagir. Croisant mes jambes, je laissai ma jupe remonter, dévoilant mes cuisses cal. Il sembla ravi, souriant avec satisfaction, et s’avança encore davantage, déboutonnant son pantalon.
C’est alors que je répondis d’un ton calme : « Pas maintenant, ce n’est pas possible, j’ai mon cycle menstruel. » Cette déclaration, bien que directe, ne mit pas fin à son avancée. Il s’arrêta, le caleçon baissé, me prenant pour une gamine il dit :
-Tu as déjà sucé un zizi ?
-oui bien sur !
-alors tu attends quoi ?
Blasée je prenais son sexe de la main le dirigeant vers ma bouche.
Je fis deux ou trois mouvements lents de pipage puis arrêtai, jouant de l’ambiance, j’attrapai ses deux grosses burnes dans ma mains. Je les serrai légèrement, le fixant du regard avec une expression malicieuse. “Alors, j’attends quoi ?” lançai-je, un sourire en coin. Puis, sans attendre de réponse, j’ajoutai avec un air provocateur : “Et si je te la mordais ou si je te tordais les couilles ?”
Sans lui laisser le temps de réagir, je portai sa queue à ma bouche et commençai à la serrer entre les dents. Je dis la bouche pleine :“Alors, tu veux que j’arrête ? Demande-moi pardon.”
Soudain, il écarquilla les yeux, visiblement pris au dépourvu. “Non, tu ne vas pas faire ça !” répondit-il, un mélange de panique et de frayeur dans la voix.
Je continuai à serrer lentement, soutenant son regard, et répétai : “Alors ? Demande-moi pardon, sinon…”
Après un court silence tendu, il céda enfin. “Pardonne-moi !” lança-t-il en levant les mains, vaincu.
Je reprenais ma fellattion.
Sa queue était étrangement redevenue caoutchouteuse, je la coinçais entre mon palais et ma langue pour faire des mouvements de succion.
Son érection regonflait dans ma cavité buccale. Je m’appliquais désormais à bien pomper de bas en haut. Son sexe n’étant pas très grand je pouvais aller bien loin vers la garde. Il caressa mes cheveux, je sentai la tension monter en lui et je décidai de le terminer à la main. Il ne tarda pas a venir je dirigeai sa bite pour éviter d’avoir son sperme sur moi. Un premier jet puissant alla se coller sur la porte, cinq spasmes aux volumes aussi abondant mais moins énergiques suivirent.
J’avais les mains légèrement souillées, alors j’attrapai un mouchoir dans la boîte posée sur son bureau pour m’essuyer discrètement. Même si j’avais envie de me lécher les doigts, je me retenais volontairement, refusant de lui donner une satisfaction supplémentaire.
Chantal avait raison, à 20 ans, je fus étonnée par la quantité de sperme qui avait gicler de ses gros testicules. Cela dépassait tout ce que j’avais pu imaginer ou expérimenter jusque-là. Il avait des couilles comme de grosses clémentines juteuses paradoxalement à la taille normale de sa bite.
Je me relevai, me remettant debout avec lenteur. Je relevai ma jupe dévoilant mon postérieur et ma petite culotte blanche sous les collants. Je sentis son regard et je dis : « Regarde… et rêves »
Je sortis du bureau, et Chantal, qui m’observait, me regarda d’un air moqueur, sans doute en pensant que je m’étais faite gronder. Elle esquissa un sourire en coin, prête à me taquiner.
Je lui lançai, avec un air à peine agacé : « Tu as raison, il éjacule beaucoup.
Mais son étonnement fut palpable quand, juste derrière moi, le vieux sortit à son tour, le sourire radieux, visiblement satisfait. Il s’approcha de moi et, d’une voix chaleureuse, me dit : “Monique, vous avez bien travaillé, vous pouvez y aller.”
Sans perdre un instant, je pris mes affaires et me dirigeai vers la porte, laissant Chantal, figée, avec un air stupéfait sur le visage. J’aurais voulu voir son expression un peu plus longtemps, mais je préférais partir sans ajouter de commentaire, savourant intérieurement la surprise de ma collègue.
Le patron s’était montré patient et étonnamment gentil ces derniers jours, attendant que mon cycle se termine. Je savais parfaitement qu’une fois cette excuse levée, il passerait à l’action. Chantal, de son côté, semblait avoir vécu une expérience similaire dans ce bureau, mais nous n’en avions jamais parlé, chacune gardant un silence complice sur ce qui se passait derrière cette porte.
Ce matin-là, il me lança d’un ton presque détaché, mais plein de sous-entendus : “Alors, toujours réglée ?”
Je répondis calmement, avec une assurance feinte : “Ça se termine demain, je n’aurai plus rien.”
Le lendemain, un jeudi, je pris soin de choisir ma tenue avec attention. Je mis une jupe longue, m’arrivant à mi-mollet, d’un style que je réservais habituellement au vendredi ou au samedi. Elle cachait astucieusement les bas autofixants noirs que j’avais décidé de porter, une pièce qui ajoutait une surprise à ma tenue.
Lorsque j’entrai dans le salon de coiffure , il sembla surpris de me voir ainsi vêtue. Ses yeux s’attardèrent un instant sur ma jupe, intrigué. “Tiens, Monique, c’est rare de vous voir habillée comme ça un jeudi,” dit-il, un sourire en coin.
Je passai près de lui, légèrement provocante, et lui glissai d’une voix douce mais assurée : “Regarde… et rêve.” Puis je m’éloignai pour prendre en charge la première cliente de la journée.
Le hasard fit que ce jour-là, je sois seule au salon entre midi et deux. Nous faisions cela à tour de rôle Chantal , Alain ou moi, permettant de garder le salon ouvert pendant la pause déjeuner, tandis que le patron allait manger. Mais ce jour-là, les choses prirent une tournure différente.
Alors que je rangeais quelques produits, il lança soudain : “Monique, je reste avec vous ce midi.”
Je me retournai, surprise par sa déclaration, mais je n’eus pas le temps de répondre que Chantal, en passant à côté de moi, me murmura discrètement : “Tu vas un peu me soulager.”
Son ton et son attitude étaient difficiles à déchiffrer. Était-ce de la compassion, comme si elle comprenait parfaitement ce que j’allais vivre, ou un soupçon de jalousie, comme si elle regrettait de ne pas être à ma place ?
Il était midi lorsque Chantal et Alain partirent déjeuner. Je me demandais quand il passerait à l’action. Je n’eus pas longtemps à attendre. Dix minutes plus tard, il n’y avait plus aucun client dans la boutique. Il verrouilla discrètement la porte d’entrée et tamisa les lumières de la vitrine, donnant l’impression que l’endroit était fermé.
Il se dirigea vers son bureau et lança : ‘Monique, tu peux venir, s’il te plaît.’ Il se tenait debout près de la porte lorsque je pénétrai dans la pièce, refermant doucement la porte derrière nous.
Il me regarda et dit :
-Lève ta jupe !
-Et qu’est-ce que j’y gagne ?
-Tu veux vraiment que ça recommence ?
Je ne pus m’empêcher de rire avant de lever ma jupe au dessus des hanches enlever ma culotte et de m’asseoir sur le bureau les jambes écartées. Ce qu’il ne savait pas, c est que j’avais la cuisse légère. Il restait stoïque voyant que je portais des bas, son regard rivé sur mes cuisses et mon entre-jambe.
Tant d’audace le laissa bouche bée. Il restait là, figé, l’air d’un idiot planté sur place, incapable de réagir. Je le regardai et je lui lançai ma culotte au visage : « Alors, viens… qu’est-ce que tu attends ? »
Il s’avança vers moi, baissa son pantalon et son boxer. Son penis déjà gorgé de sang était raide comme un piquet. L’atmosphère se chargea de tension, et je sentis mon cœur battre plus fort à mesure qu’il s’approchait. Il me regarda un moment, avant de présenter sa queue a l’entrée de ma chatte.
Assise au bord du meuble, je m’appuyai sur mes mains derrière moi pour garder mon équilibre.
Il posa ses mains sur mes hanches, et me pénétra doucement. J’avais la queue de mon patron en moi, et il bougeait doucement. C’était à la fois déstabilisant et excitant.
Le coup de rein assuré j’appréciai ses coups de bites. Il redoubla maintenant d’efforts et se mit à bien me démonter. Cette soudaine accélération, me combla. Entre chaque coups de hanches, je ne pus retenir des petits gémissements, ce qui l’encouragea encore plus.
Je me mis à jouir et le vieux, voyant mon état, semblait particulièrement fier de lui. Il s’arrêta restant au fond de mon vagin, il approcha ses mains déboutonnant mon chemisier. Il posa une main légère sur ma grosse poitrine, puis il sorti chaque sein les laissant simplement maintenus par l’armature du soutien gorges. Il positionna mes jambes, mettant mes chevilles sur ses épaules, j ‘étais maintenant couchée sur son bureau.
À chaque mouvement, ses grosses couilles frappaient ma vulve avec un rythme régulier. Il avait mes seins en main, m’obligeant à fléchir d avantage mes jambes. La position était plus profonde, poussant mes organes génitaux à chacun de ses coups, rendant le rapport à la fois intense et agréable. Voyant que je suivais chaque mouvement avec envie, il augmenta un peu la cadence. Je sentais la mouille me couler le long des lèvres vaginales !
Finalement, je ne résistai plus et je criai de jouissace. .Dans un élan de faiblesse et, sans ajouter de surprise, il lâcha son sperme en moi, en mettant quelques derniers coups appuyés. Il restait au fond de moi sans bouger, me bloquant, empêchant tout mouvements comme si il voulait me fécondée.
Il se retira enfin, visiblement satisfait, tandis que je reprenais doucement mes esprits. Je me levai pour me redresser et arranger ma tenue, prenant soin de m’essuyer la chatte avec délicatesse car il avait fait une bonne dose avant de remettre de l’ordre dans ma chemise.
Il me demanda, d’un ton léger mais curieux : “Tu prends un moyen de contraception ?”
C’était la fin des années 80, une époque où le préservatif n’était pas encore systématiquement utilisé pour se protéger. Je répondis, légèrement amusée : “Oui, je prends la pilule… mais c’est un peu tard pour poser la question, tu ne crois pas ?”
Il sourit, un peu soulagé, et lâcha sur un ton mi-sérieux, mi-taquin : “Ouf, ça me rassure… parce que je suis plutôt généreux.”
Je levai un sourcil, amusée par sa remarque, mais ne pus m’empêcher de répondre : “Ça, je l’avais bien remarqué.”
Il reprit, un brin provocateur : “Tu peux me faire une faveur ?”
“Ça dépend,” répondis-je, méfiante mais intriguée.
“Ce serait bien que, quand tu portes une jupe, tu ne mettes pas de culotte.”
Je le fixai, mi-agacée, mi-divertie : “Tu ne crois pas que tu exagères un peu ?”
Il haussa les épaules en souriant, attendant ma réponse. Après un court moment de réflexion, je soupirai et dis simplement : “Je vais y réfléchir.”
Pendant le reste de la pause, il se montra particulièrement attentionné, me câlinant doucement tandis que je finissais mon déjeuner. Puis, lorsque l’heure arriva, je me levai pour réorganiser le salon avant sa réouverture, la tête encore un peu troublée par cet échange.
J’étais dans le laboratoire, rangeant quelques produits, lorsque Chantal entra. Elle me lança un regard complice et dit avec un sourire en coin : “Alors, ça s’est bien passé ?”
Je haussai les épaules, esquissant un sourire énigmatique : “Tu dois bien t’en douter.”
Elle s’approcha et reprit d’un ton amusé : “Il a dû encore…. Bien juter .”
Je laissai échapper un petit rire nerveux : “On peut dire ça, oui. Ça se remarque, ma culotte est un peu humide.”
Chantal secoua la tête, comme si elle s’attendait à cette réponse. “Je t’avais dit de prévoir un protège-slip.”
“Je sais, mais je n’en avais pas sous la main,” répondis-je avec un soupçon de gêne.
Elle soupira, puis sortit un petit paquet de son sac. “Tiens, je vais t’en passer un, ça t’évitera des soucis.”
“Merci,” murmurai-je, reconnaissante.
Puis elle ajouta en baissant la voix, avec un air malicieux : “Je suis sûre qu’il t’a demandé de ne plus porter de culotte.”
Je la regardai, un peu surprise. “Comment tu sais ?”
Elle éclata de rire doucement. “Parce qu’il m’a fait la même demande. Tu verras, il est assez… audacieux.”
Je secouai la tête, mi-intriguée, mi-amusée. “Mais comment tu fais si… tu sais, si ça coule ?”
Elle haussa les épaules, l’air blasé mais complice. “Pas le choix, pour éviter les désagréments, je mets un tampon après. C’est plus pratique.”
Nous échangeâmes un sourire, chacune comprenant ce que l’autre vivait, avant de retourner à nos occupations, le ton léger malgré tout.
Le lendemain, je venai au travail en jupe, mais cette fois en collants sans culotte. Je continuai ma matinée comme si de rien n’était, concentrée sur mes tâches.
Alors que je lavais les cheveux d’une cliente, il s’approcha discrètement derrière moi et posa une main légère sur ma hanche, presque imperceptible. Il murmura doucement, suffisamment près pour que seule moi l’entende : “Mmm… tu as suivi mes conseils.”
Je ne répondis pas, préférant me concentrer sur mon travail, et il s’éloigna avec un léger sourire, me laissant à mes occupations.
Plus tard, Chantal passa près de moi et me lança d’un ton complice : “Alors, tu as suivi le dress code du patron aujourd’hui ?”
Je baissai légèrement la voix, souriant : “Oui, et toi ?”
Elle hocha la tête en riant doucement. “Pareil. Je crois qu’il va être particulièrement de bonne humeur aujourd’hui.”
Nous échangeâmes un regard amusé avant de retourner chacune à nos postes, continuant la journée avec professionnalisme, malgré les petits sous-entendus qui flottaient dans l’air.
Le vieux m’appela au bureau. Lorsque j’entrai, il était allongé sur une couverture au le sol, l’air détendu mais avec un regard malicieux. “Approche, lève un peu ta jupe” dit-il calmement.
Intriguée, je m’avançai, hésitant un instant avant de me placer à côté de lui. Il me regarda avec insistance et ajouta doucement : “Viens, mets-toi là. Écarte bien”
Je pris une grande inspiration et, avec précaution, me positionnai, une jambe de chaque côté de sa tête maintenant un écart sans exagérer, me demandant ce qu’il allait dire. Il resta silencieux un moment, observant, avant de murmurer : “Accroupis-toi au dessus de mon visage que je te sente.”
Je suivis son instruction avec une certaine réserve, me demandant jusqu’où ce jeu allait aller.
Je restai un instant dans cette position, immobile, hésitante face à l’étrangeté de la situation. Il posa ses mains sur chaque fesses tirant dessus pour entrebâiller mes orifices, et pour m’aider à garder l’équilibre.Il resta là, les yeux fermés, reniflant a plein poumons mes odeurs de chatte et d’anus libérées par la posture. Il me dit « tu sens bon, tu peux retourner travailler maintenant ».
Je me redressai doucement, m’éloignant avec précaution, tout en réajustant ma tenue pour reprendre une contenance.
Après un moment, il appela Chantal à son tour. Elle entra dans le bureau, l’air intrigué mais habituée à ses demandes. Je continuai mes tâches dans le salon, mais ne pus m’empêcher de me demander ce qu’il se passait derrière la porte close.
Environ dix minutes plus tard, Chantal ressortit, ajustant sa tenue avec un visage neutre, comme si de rien n’était. Nous échangeâmes un bref regard, mais elle ne fit aucun commentaire. Je supposai alors qu’elle avait vécu une expérience similaire, sans pour autant en être certaine.
Curieuse, je profitai d’un moment où nous étions seules pour demander discrètement à Chantal : “Alors, il t’a demandé de lui montrer sous ta jupe toi aussi ?”
Elle me répondit à voix basse, un peu blasée mais sans surprise : “Oui, et de m’accroupir pour… tu sais, sentir.”
Je la regardai avec étonnement. “Tout comme moi,” murmurai-je.
Chantal hocha la tête avec un petit sourire sarcastique. “À mon avis, on va passer au bureau régulièrement. Pour l’instant, ça reste assez soft, mais parfois, il ne se prive pas pour aller un peu plus loin.”
Un peu troublée, je m’exclamai discrètement : “Ah bon ?”
Elle acquiesça d’un air à la fois résigné et complice, mais sans entrer dans les détails. Nous continuâmes nos tâches.
La semaine se déroula sans événements marquants, hormis quelques gestes furtifs et mains baladeuses du patron. Le week-end passa tranquillement, et nous étions de retour au salon le mardi matin.
Alors que nous travaillions, une voix s’éleva depuis le bureau du fond : “Venez voir !”
Intriguées, Chantal et moi nous rendîmes dans le bureau, où il venait visiblement d’ajouter un nouveau meuble. Un clic-clac flambant neuf trônait désormais dans un coin de la pièce.
Alain, le coiffeur, lança avec un sourire moqueur : “Eh ben, comme ça, ce sera plus confortable pour vous, les filles.”
Nous échangeâmes un regard amusé en ressortant du bureau. Une fois à l’écart, Chantal demanda : “Comment tu sais qu’il n’a pas installé ça pour toi aussi ?”
Alain répondit en riant : “Ça fait huit ans que je bosse ici, je commence à bien le connaître. Mais ne vous inquiétez pas, les filles, je suis gay.”
Nous éclatâmes de rire à cette remarque, un peu rassurées par son ton léger et complice, avant de retourner à nos postes pour reprendre la journée.
Pendant la journée, il m’appela dans son bureau. Je terminai mon travail, pris une profonde inspiration et me préparai mentalement, persuadée de passer a la casserole. Mais, contre toute attente, il n’en fut rien.
En arrivant, il était assis sur le canapé, m’observant calmement. Ce jour-là, j’avais opté pour un short moulant et des collants, assortis à un chemisier ajusté. À un moment, il me demanda avec un sourire : “Fais un tour sur toi-même, que je voie cette tenue.”
Amusée, je m’exécutai, pivotant doucement pour lui laisser apprécier ma tenue. Puis, pour ajouter une touche de défi, je posai un pied sur le canapé, une main sur la hanche, le fixant avec un sourire en coin.
Il resta silencieux un moment, avant de dire simplement, en haussant légèrement les épaules : “Non, pas aujourd’hui.”
Intriguée par cette réponse énigmatique, je repris mon sérieux.
Il me tendit un paquet soigneusement emballé. Je le déballai pour découvrir un flacon de parfum. “Je veux que tu le portes à chaque fois que tu viens ici,” dit-il, son ton à la fois sérieux et légèrement charmeur.
Je ne pus m’empêcher de sourire, touchée par le geste malgré tout. Instinctivement, je l’embrassai rapidement sur la joue en le remerciant : “Merci, c’est vraiment gentil.”
Il sembla un peu surpris par mon geste et ajouta, avec un sourire malicieux : “Et, tant qu’on y est… quelle taille fais-tu en sous-vêtements ?”
Un peu prise de court, je répondis sans réfléchir : “95D et 42.” Puis, un brin gênée car j’étais déjà potelée à l’époque, je retournai à mon poste.
Le soir, alors que nous nous apprêtions à fermer, il nous réunit brièvement. “À partir de demain et pour le reste de la semaine, c’est Alain qui prend la direction.”
Cette annonce surprit tout le monde, mais Alain, fidèle à son humour, répondit avec légèreté : “Alors, préparez-vous, parce que avec moi, ça va danser autrement !” Nous rîmes tous, et la journée se termina sur cette note légère et inattendue.
Profitant de cette semaine où le patron était moins présent, j’engageai la conversation avec Chantal au sujet du parfum qu’il m’avait offert. Curieuse, je lui demandai : “Il t’a déjà offert des cadeaux comme ça ?”
Elle me répondit avec un sourire complice : “Oh oui, ça lui arrive souvent. Il peut être attentionné et parfois autoritaire, mais il sait se montrer généreux. Il m’a couverte de petites attention au fil du temps, tu verras.”
Intriguée, je continuai : “Et… ça fait longtemps qu’il te… enfin tu comprends ?”
Chantal haussa légèrement les épaules, un brin amusée. “Depuis mes débuts ici. Mais honnêtement, ça ne me dérange pas. Je m’entends bien avec lui, et j’aime le sexe, alors je prends cela comme ça vient. Mais je crois que certaines filles n’apprécient pas toujours, et c’est peut-être pour ça qu’elles ne restent pas longtemps.”
Je me contentai d’acquiescer avec un sourire, sans rien ajouter. Ce qu’elle ignorait, c’est que, malgré mon jeune âge, je n’étais pas non plus totalement novice dans ce domaine. J’avais déjà eu ma part d’expériences, j’avais été dépucelé très tôt dans mon adolescence. Ce genre de situation ne me dérangeait pas spécialement, mais je préférais garder cela pour moi.
-Ça se passe généralement en début de semaine, quand il n’y a pas trop de monde, ajouta-t-elle, avec un ton à la fois complice et pragmatique.
-Eh bien, me voilà donc prévenue. répondis-je avec un léger sourire aux lèvres.
-Un autre truc, normalement à partir de ce week-end, je suis indisposée. Donc, prépare-toi à être sollicitée, parce qu’il va revenir de ses congés en pleine forme. Et comme son épouse n’est pas très chaleureuse avec lui, il risque d’être encore plus… avenant.
J’avais donc tout prévu pour cette semaine, consciente que je pourrais être invitée à des moments plus particuliers avec le patron. Pour m’y préparer avec une certaine discrétion, j’avais acheté des collants ouverts à l’entrejambe, pour leur praticité, tout en me permettant de porter une culotte par-dessus si nécessaire. Cela me donnait un sentiment de contrôle, tout en me sentant prête à toute éventualité. J’avais également pris le temps de me préparer soigneusement, en faisant une petite toilette à ma chatte. J’avais taillé les poils qui pouvaient dépasser de ma culotte, veillant à rester soignée et à la laissée touffue. Surtout que, naturellement, j’étais assez fournie à ce niveau-là. Je veillais donc à ce que tout soit bien entretenu et soigné, tout en restant dans les habitudes de l’époque, où l’épilation intégrale n’était pas encore répandue.
Pour ce début de semaine, j’avais soigneusement choisi ma tenue. Je portais un soutien-gorge qui mettait en valeur ma poitrine, accompagné d’un chemisier ajusté. Une jupe arrivant au dessus du genou, mes fameux collants couleur chair, légèrement satinés avec des reflets blanchâtres, complétaient l’ensemble. Par-dessus, j’avais ajouté une culotte en dentelle blanche, parfaitement assortie, pour rester élégante et soignée tout en me sentant prête à devoir l’abaissée.
Comme je m’y attendais, ma tenue ne passa pas inaperçue auprès du patron. Toute la matinée, je remarquai ses regards insistants, et il ne manqua pas de s’arranger pour que je reste seule avec lui au salon entre midi. Mes collègues, devinant probablement ce qui se préparait, me lancèrent un clin d’œil complice avant de partir déjeuner.
Il m’appela dans son bureau, et, en entrant, je remarquai que le clic-clac était déployé, ce qui ne fit que confirmer mes soupçons. Il m’invita à m’approcher, et dans un mouvement un peu brusque il me poussa, je perdis l’équilibre et tombai en arrière sur le canapé, il s’exclama en soulevant entièrement ma jupe : “Magnifique.”
Il se pencha vers moi avec un mélange d’empressement et d’assurance, baissant ma culotte avec un sourire satisfait. “Tu es bien poilue, ça me plaît,” dit-il d’un ton presque admiratif, comme pour souligner son enthousiasme face à ce qu’il découvrait.
Il se décida, s’agenouilla et me lécha la chatte. Je sentait sa langue se glisser entre mes lèvres. Il attaquait directement le clitoris qu’il lapait a grands coup de langues rapides. Il introduisait un doigt , puis deux doigts tout en remuant en moi, toujours en léchouillant mon Clitoris qui était maintenant bien sorti et gonflé. Je commençais à mouiller considérablement, accompagnant du bassin le bruit mouillé ses mouvements de doigts.
Il ne quitta pas sa chemise et retira son pantalon et son boxer.
J’étais sur le dos, offerte. La scène était très excitante, Moi les jambes écartées ouvrant mes lèvres avec mes deux mains, mon patron bien raide , son chibre tellement tendu qu’il se courbait vers le haut. Il présenta sa bite au bord de mon vagin et entra en moi en missionnaire. Il m’embrassait en faisant des va et viens pas trop rapide mais constants.
Je me mis assez rapidement à chouiner, ce qui avait dû encourager le vieux qui se mit à me ramoner avec plus de vigueur. Le clic clac se mit à grincer avec la régularité d'un métronome.
Au bout de cinq minutes il me demanda de me mettre en levrette.
Je me plaçai à quatre pattes, et sans perdre de temps, il posa ses deux mains de chaque côté de mes fesses et s'enfonça dans ma chatte d'un coup sec. Je me crispais de surprise, mais il m'attirait vers lui pour rester bien a fond. J’avais bien senti passer sa queue, et ça me plaisait. Son membre vigoureux s’agitant, faisait en moi monter l’extase.
Il se mit à ma limer avec plus de ferveur, s'appliquant à essayer de taper au fond à chaque mouvement.
Ma chatte faisait des bruits de succion sur la queue de mon amant, de la cyprine coulait abondamment mouillant ses grosses couilles ,c'était très excitant.
Après un bon moment de limage dans cette position et sans prévenir, il se retira et me fit basculer sur le dos de façon assez brutale. J’étais assez surprise mais j’écartais les cuisses en grand à nouveau pour recevoir la queue du patron.
Celui-ci s'introduisit à nouveau et ses couilles virent frotter sur les clic clac avec les va et viens. Il se coucha presque entièrement sur moi, pour me baiser quelques minutes avec le corps quasiment immobile, juste en bougeant les fesses d'avant en arrière comme un pendule.
Soudain, Il glissa ses avant-bras sous mes mollets et ramena mes jambes vers le milieu quasiment à la verticale, et il plaça mes chevilles sur ses épaules.
Il reprit son affaire à grands coups de bite, ce qui faisait tout grincer assez fortement. Je jouissais bruyamment et cela dû accentuer l’excitation du vieux et il jouit vaillamment quelques minutes plus tard au fond de moi, a son tour, en se penchant et en m'écrasant de son poids, dans un mélange de gros râles et d'expression de bien-être.
Il resta allongé quelques minutes sur moi, me roulant des pelles et faisant encore de temps en temps des allés et retours. Je le retenait en l’encerclant avec mes jambes. Notre excitation descendit progressivement. Il se retira d'un coup , ma vulve gouttât de jus blanchâtre.
J’étais restée allongée les cuisses grandes ouvertes avec la chatte dilatée et le clito gonflé.
Il se rhabilla soigneusement, ajustant chaque pièce de sa tenue comme pour reprendre contenance. Pendant ce temps, je restais encore, profitant de quelques instants pour me remettre de mes émotions. Je pris ensuite le temps de m’essuyer avec précaution, car, fidèle à son habitude, il avait été particulièrement généreux, j aurai presque pu croire qu’il avait pissé en moi. Une fois cela fait, je me relevai pour me rhabiller avec soin, réajustant mes vêtements pour retrouver une allure impeccable avant de prendre notre déjeuner ensemble.
Mes collègues revinrent peu après, et en voyant mon visage légèrement radieux, un sourire en coin se dessina sur leurs lèvres. Il était évident qu’ils avaient deviné que j’avais passé un moment des plus agréables. Leur regard complice n’avait pas besoin de mots pour traduire leur pensée.
Il avait laissé son empreinte profonde en moi, tant la sensation d’humidité persistait sur mon protège slip que j ‘avais changé plusieurs fois cet après-midi là .
Chantal étant “indisponible”, comme il le disait avec un certain dédain, c’est moi qui fus l’objet de toutes ses attentions et de ses ardeurs tout au long de la semaine.
Seul le samedi fit exception, car la journée fut particulièrement chargée avec l’afflux de clients.
Lors de ces moments, il enchaîna toutes les positions imaginables, faisant preuve d’une inventivité qui me surprenait chaque fois. Il ne semblait jamais se lasser, et je ne pouvais m’empêcher de me demander comment un homme pouvait avoir autant de sperme dans ses couilles.
Il avait une étonnante capacité à se remettre rapidement, pouvant cracher une nouvelle grosse dose de sperme après seulement une ou deux heures. J’en fis l’expérience lors d’un après-midi où, à ma grande surprise, il revint à la charge alors que je pensais qu’il en avait fini.
Il me rappela un peu plus tard alors qu’il y avait peu de clients, et en entrant je le trouvai assis derrière son bureau, son pantalon baissé. Sa bite à la main il se masturbait. Il dit :
-viens me sucer comme tu sais si bien faire ».
-Bon, murmurai-je, “je viens gros gourmand.”
Je me mis à genoux, je pris sa bite en bouche, puis je lui massai ses grosses couilles. Avec soin, je fis glisser sa verge dans ma bouche et commençai à sucer délicatement, alternant mouvements lents et rapides. Devant moi, il se tenait vulnérable, fermant les yeux. Il levait la tête au ciel, soupirant de bien être . Au fil des allers-retours, je sentais qu’il appréciait, il me tenait la tête de ses mains. J’allais de plus en plus vite. Je pensai naïvement a ce moment qu’il n’ejaculerait plus vu ce qu’il m’avait mis auparavant
Puis, soudainement, au moment où je m’y attendais le moins, je sentais un gros spasme. Il éjacula dans ma bouche. Maintenant ma tête fortement je ne pouvais pas me retirer.
Sous le coup, je déglutis, avalant involontairement, se liquide mélange de satisfaction et de soulagement. Il me regarda avec des yeux ronds, avant de sourire et de s’exclamer : “Ohhh, tu es la meilleure !” C’était la première fois que j’avalais du sperme, je me relevai en me sentant nauséeuse, prenant précipitamment la direction des toilettes. Il éclata de rire, sans essayer de dissimuler son amusement face à ma réaction.
Je revins, et lui dis d’un ton ferme : “C’est la première et dernière fois. La prochaine fois, je te la mord.” Mon regard était clair, déterminé, ne laissant aucune place à l’ambiguïté.
Agacée, je retournai à mon poste, tentant de retrouver ma concentration malgré l’agitation intérieure qui me gagnait. Chaque geste que je faisais reflétait mon irritation, mais je m’efforçais de rester professionnelle.
Les semaines suivantes, il continua à nous appeler régulièrement dans son bureau, entretenant ce rituel devenu presque habituel. Mais cette dynamique, et tout ce qui s’ensuivit, appartient à une autre histoire… a suivre
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Comme j'aimerais te connaître délicieuse Monique
Cyrille
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