Premier job de la grosse Monique épisode 2

- Par l'auteur HDS Momonique -
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Premier job de la grosse Monique épisode 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2025 dans la catégorie Plus on est
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Premier job de la grosse Monique épisode 2
Le patron coiffeur nous conviait dans son bureau selon ses humeurs. Parfois, c’était moi qu’il sautait plusieurs fois d’affilée ; d’autres fois, c’était Chantal qui se retrouvait à ses côtés à répétition. Par moments, il alternait entre nous, trouvant visiblement son équilibre dans cette routine particulière. Étonnamment, cette situation ne me dérangeait pas. J’avais toujours été attirée par des hommes plus âgés, et avec ses 25 ans de plus, il avait ce quelque chose d’expérimenté et de sûr de lui qui éveillait chez moi une certaine curiosité, voire un certain plaisir.

Le salon était calme, désert de clients ce jour la entre midi , et Chantal et moi profitions de ce moment pour discuter. Alain et le patron étaient parti déjeuner. La conversation, légère au départ, prit peu à peu un tournant plus personnel.
Chantal, avec un sourire malicieux, me lança :
— Je peux te poser une question indiscrète ?
Intriguée, je répondis sans hésiter :
— Bien sûr, vas-y, on partage déjà le même queue, après tout ! (rires)
Elle s’approcha un peu, baissant légèrement la voix :
— Est-ce que tu as déjà eu des relations avec une autre femme ?
Surprise, je secouai doucement la tête :
— Non, jamais. Pourquoi ?
Chantal sourit, jouant avec une mèche de ses cheveux :
— Tu aimerais ?
Je pris un instant pour réfléchir avant de répondre :
— J’aime les nouvelles expériences… alors pourquoi pas.
C’est à ce moment-là qu’elle m’avoua, presque timidement :
— Moi, je l’ai déjà fait. Plusieurs fois, même. En fait, je suis bi.
Son aveu me surprit, mais je ne pus m’empêcher de la regarder avec curiosité.
Chantal posa doucement sa main sur mon bras, un sourire léger au coin des lèvres.
— Si tu veux, je peux te montrer… murmura-t-elle.
Un peu gênée, je sentis mes joues s’empourprer. Je ne répondis rien, mais je ne fis rien non plus pour interrompre ce moment.
Assise sur le tabouret du laboratoire, je la regardais, intriguée. Elle posa délicatement sa main sur mon genou, son geste plein de douceur, caressa ma cuisse sous ma robe estivale.

— Tu as la peau vraiment douce, dit-elle dans un souffle, presque comme un compliment.

Son geste, empreint de finesse et de délicatesse, éveilla en moi une sensation étrange et nouvelle. Instinctivement, sans même y réfléchir, j’écartai me laissant faire. Elle me caressa le mont de vénus a travers ma culotte tout en me soutenant du regard.
Chantal me regarda avec un sourire complice, presque timide.

— Est-ce que tu as déjà touché une autre femme ? demanda-t-elle doucement.
Je baissai les yeux, un peu embarrassée, et répondis dans un souffle :
— Non, jamais…
Elle se pencha légèrement vers moi, comme pour ne pas briser l’intimité du moment.
— Tu voudrais essayer ?
Sans trouver les mots, j’acquiesçai doucement de la tête, portée par une curiosité nouvelle. Elle se redressa lentement, se tenant juste devant moi. Puis, avec une douceur infinie, elle prit ma main dans la sienne, la guidant délicatement dans son chemisier. Le geste empreint de respect, je pelotais son sein. Je sentis son téton se durcir dans la paume de ma main.
La tentation devint irrésistible, et sans un mot, nos regards se croisèrent une dernière fois avant que nos visages ne se rapprochent. Dans un élan partagé, nous nous embrassâmes doucement.
Nos visages se séparèrent et sa tête descendit vers mon sexe. Elle plongeât sa tête sous ma robe, abaissant ma culotte.
Assise au bord du tabouret, Dans un geste instinctif, je posai une jambe sur le bord du plan de travail du laboratoire, cherchant à m’installer plus confortablement, tout en laissant à Chantal l’espace pour se rapprocher doucement.
Elle écarta mes lèvres et lécha mon clitoris. Elle léchait ma chatte avec un plaisir évident, l’explorant de sa langue avec rapidité. Elle me faisait du bien, cela s’entendait à mes gémissements.
La clochette de la porte d’entrée retentit, suivie d’un « Bonjour ! » qui résonna dans la pièce. Chantal se redressa précipitamment, essuyant sa bouche d’un revers de main, et tenta de se réajuster pour accueillir la cliente qui venait d’entrer.
Quant à moi, encore complètement déboussolée par ce qui venait de se passer, je remis ma petite culotte en place tant bien que mal, incapable de faire taire le tumulte dans ma tête. Mon esprit tournoyait entre confusion et gêne, comme si tout autour de moi avait perdu son sens.

Un instant plus tard, je refis surface, reprenant doucement le contrôle de mes émotions. D’un pas assuré, je me dirigeai vers le client qui attendait, prête à le prendre en charge comme si rien d’inhabituel ne s’était passé quelques instants auparavant.
Je devais encore émaner des hormones après ce qui venait de se passer, incapable de masquer complètement mon trouble. Alors que je m’approchais instinctivement en lui coupant les cheveux, je réalisai trop tard que je m’étais penchée un peu trop près. Ma poitrine tamponna son épaule, et il en profita aussitôt pour essayer de me draguer avec un sourire charmeur et une remarque audacieuse.
Un frisson de gêne me traversa, mais je me repris rapidement, redressant ma posture et affichant un sourire crispé. Il était hors de question de laisser cette situation déraper à nouveau.
Après cet interlude troublant, le reste de la semaine s’écoula sans autre événement marquant.

Alain étant en congé, la semaine s’annonçait calme. Le mardi et mercredi passèrent sans coquineries notable, puis arriva le jeudi matin, où le salon était particulièrement vide de clients.

Le patron, était plongé dans sa comptabilité dans son bureau, Chantal époussetait le salon. Pendant ce temps, je m’activais à ranger le laboratoire, cherchant à mettre un peu d’ordre. Alors que je plaçais les derniers objets à leur place, elle entra sans bruit. Elle me fixa un instant, un sourire énigmatique sur les lèvres, puis déclara :
« Cette fois, tu ne t’en tireras pas aussi facilement. »
Avant que je ne puisse réagir, elle me plaqua contre le mur et m’embrassa avec une passion qui me laissa sans voix. Dans la précipitation, ma tête heurta légèrement la cloison, provoquant un bruit sourd. Ce bruit alerta le patron, qui quitta immédiatement son bureau. Lorsqu’il ouvrit la porte du laboratoire, il nous surprit, enlacées, incapables de cacher ce qui se passait.

Il s’arrêta, un sourire en coin, et lança d’un ton moqueur :
« Eh ben, les coquines ! »
Rouges de surprise et figées, nous nous tournâmes vers lui, béates. Il nous observa quelques secondes, puis, sans un mot de plus, s’approcha de la porte d’entrée de la boutique et la verrouilla discrètement.
L’horloge affichait 11 heures.Il était encore tôt pour fermer la boutique, mais visiblement, il s’en fichait. Après avoir tourné le verrou de la porte d’entrée, il se retourna vers nous avec un sourire énigmatique.

« Venez dans mon bureau », dit-il d’un ton qui ne laissait pas place à la discussion.

Hésitantes mais curieuses, nous le suivîmes en silence. Avant même que nous n’ayons franchi le seuil de la pièce, il s’empressa de déplier le clic-clac.
Avec un sourire en coin, le patron s’adossa au mur et dit d’un ton qui se voulait détendu :
« Allez, les filles, reprenez où vous en étiez. »
Un bref échange de regards entre Chantal et moi suffit pour comprendre que la situation prenait une tournure inattendue. Hésitantes mais résignées, nous nous installâmes sur le clic-clac, ne sachant pas vraiment comment réagir à sa présence.
Sous son regard insistant, Chantal et moi reprîmes notre proximité, renouant timidement avec ce moment que nous pensions privé.

Le patron, lui, resta en retrait, silencieux, se contentant d’observer, tandis que nous tentions de retrouver un semblant de naturel dans cette situation inhabituelle. Il se déshabilla, toujours adossé au mur, finit par s’approcher doucement, son sourire ne quittant pas ses lèvres. Sans un mot, il s’installa près de nous, se glissant subtilement dans notre espace.

Il était a genoux et se branlait en nous regardant. Il tenta de participer, se mêlant à notre échange avec une certaine audace, posant une main légère sur nos fesses comme pour s’intégrer à notre moment.

Finalement, je me redressai doucement et, dans un élan que je ne comprenais pas totalement, je me tournai vers lui pour le sucer brièvement. Chantal, de son côté retira calmement ses vêtements. Elle me lança un regard complice, comme pour m’inviter à suivre son exemple, avant de reprendre sa place sur le clic-clac. Elle prit le relais et le suça a son tour, pendant que j ôtai mes vêtements. Il était sur le dos, elle lui gobait la bite comme une gloutonne. Elle était à quatre pattes les fesses tendues..

J’avais cette vue devant moi, et pourtant, une hésitation me paralysait. Je n’osais pas poser mes mains sur elle. L’idée de caresser une femme m’était totalement nouvelle.
Finalement, je tendis une main tremblante et la posai doucement sur ses fesses. Sa peau était chaude, douce, et ce simple contact me donna l’impression de franchir une barrière invisible.

Elle se tourna légèrement pour m’encourager à aller plus loin. D’un mouvement subtil, elle se plaça de manière à m’inviter à lui caresser son sexe. Je glissai timidement ma main sur sa chatte, explorant du bout des doigts, mes gestes encore maladroits mais emplis de curiosité.

Chantal semblait détendue, presque apaisée par mes gestes, ce qui m’aida peu à peu à me sentir plus confiante. Je fouillais ses lèvres intimes et je lui titillais le clito , comme si je l’avais fait pour moi.
Alors que je doigtai profondément Chantal, le vieux se redressa. Avant que je ne puisse réagir, il me fit glisser légèrement sur le côté, prenant ma place derrière Chantal.

« Toi, va ici », ajouta-t-il en me désignant la place qu’il occupait quelques instants auparavant.
Sans un mot, je m’installai écartant les cuisses, Chantal me lécha directement, pendant que le patron prenait son temps pour la pénétrer en levrette.
Chaque coup de reins profond du vieux se transmettait à la tête de Chantal. Je ressentais ainsi sa puissance pendant qu’elle me broutait. Sa langue s’écrasait sur ma chatte a chaque fois qu’il lui tamponnait la chatte.
Cette situation nouvelle pour moi, me faisant basculer dans un état de bien être. Je jouis rapidement, miaulant comme

Chantal s’arrêta brusquement, relevant lentement la tête . Elle ferma les yeux, un air de calme absolu se peignant sur son visage. Elle semblait elle aussi jouir se pinçant les lèvres. Il avait augmenter son rythme et la bourrait comme une brute. Elle gémît a son tour.
Il se retira lentement, un sourire apaisant aux lèvres. Avec une douceur surprenante, il la guida sur le côté comme pour lui laisser un instant de répit.Puis, il se pencha vers moi, approchant avec sa bite engluée de la mouille de Chantal. Lentement, il perça mon vagin, venant se poser sur moi. Son corps, lourd mais rassurant, ondulait sur moi. Je restai immobile, l’encerclant de mes bras les jambes écartées comme une grenouille.
Il ajusta sa position, glissant ses mains sous mes mollets. Lentement, il souleva mes jambes et les plaça délicatement sur ses épaules. Il me pilonna en position de l’enclume.Il n’eut pas de difficulté à me pénétrer, grâce à l’effet que m’avait procurer le cuni de Chantal. Il me prit vigoureusement et rapidement, ce qui me plaisait. Je gémis et atteignis l’orgasme très rapidement. Lui aussi arriva rapidement, aider par mes petits cris , il éjacula au plus profond de moi, comme à son habitude un flux volumineux.Il se retira lentement, tendant sa queue, quelques gouttes de sperme glissaient encore. Chantal, sans dire un mot, attrapa sa bite et s’approcha de lui. Avec des gestes doux et appliqué elle le suça, nettoyant soigneusement sa main, prenant soin d’avaler chaque trace de sperme et de cyprine.
Après tout cela, nous avons pris notre déjeuner ensemble, dans une ambiance détendue et presque complice. Nous étions tous encore dans notre plus simple appareil, comme si cette situation inhabituelle était devenue naturelle le temps d’un instant.
Une fois le repas terminé, nous nous sommes rhabillés tranquillement, chacun reprenant peu à  peu son sérieux. Nous avons ensuite remis le bureau en ordre, rangeant tout à sa place, effaçant les traces de ce moment singulier.
Heureusement, tout était rentré dans l’ordre avant l’arrivée de sa femme, qui débarqua vers 14 h. Dès qu’elle entra dans le bureau, son regard se posa immédiatement sur le clic-clac. Elle plissa les yeux, remarquant les taches visibles sur le tissu presque neuf.
« Franchement, tu pourrais faire attention ! » sermonna-t-elle en se tournant vers le patron, exaspérée. « Combien de fois je t’ai dit d’arrêter de manger ici ? Tu sais bien que ça finit toujours en catastrophe ! »
Chantal et moi échangeâmes un regard complice, tentant de dissimuler nos sourires amusés. Il nous fallut toute notre maitrise pour ne pas éclater de rire sur place. Le patron, se contenta de hausser les épaules, marmonnant un vague « Oui, oui, je ferai attention la prochaine fois », avant de détourner le sujet de conversation.
Mais sa femme, pas dupe, sembla froncer les sourcils Elle s’attarda un instant de trop sur le clic-clac.Je sentis qu’elle avait des soupçons. peut-être connaissait-elle trop bien ‘l’oiseau’ , comme elle devait surnommer intérieurement son mari. Ses allusions et son regard en disait long .
Il faisait chaud ce jour-là , une chaleur lourde qui nous poussait, Chantal et moi, à nous vêtir légèrement. Nos tenues aériennes, bien involontairement, semblaient troubler notre patron, qui ne quittait pas nos mouvements du regard. Il était visiblement agité, perturbé par la façon dont nos silhouettes bougeaient , et se dessinaient sous les tissus légers.
Ce midi-là , c’était mon tour de rester seule avec lui pendant la pause. Comme à son habitude, il verrouilla discrètement la porte du salon de coiffure avant de m’appeler dans son bureau. Sachant très bien comment allait se dérouler cette pause, j’avais pris soin d’enlever ma petite culotte en coton blanc de pucelle avec une certaine anticipation. D’un pas assuré, je me dirigeai vers le bureau, posant mes mains sur la surface lisse du meuble, le dos légèrement cambré, offrant involontairement une posture accentuée par mes chaussures à hauts talons.
Il ne tarda pas. Dans un geste rapide, il leva ma robe au dessus de mes reins, déboutonna son pantalon, baissa son slip. Il murmura d’une voix grave : « Salope ». Son sexe raide à la bonne hauteur pointa directement entre les babines de ma vulve transpirée. Il poussa d’un coup sec sa queue dans mon ventre. Surprise par la soudaineté de son geste, mon corps se tendit instinctivement. Il me baisa avec intensité, laissant entendre le bruit de son corps frappant mes grosses fesses.
Mais ce que nous ignorions, c’était que ce jour-là , le 29 juin, jour de la Saint-Pierre, sa femme avait décidée de lui faire une surprise pour sa fête . Afin de marquer l’événement, elle avait pris l’initiative de lui préparer un déjeuner spécial et de venir le lui apporter. Détenant un double des clés, elle déverrouilla la porte sans bruit et entra dans le salon. Absorbés dans notre moment, nous ne l’avions pas entendue arrivé.
Sa femme, sans doute persuadée de lui faire une belle surprise, avançait dans le salon sans un bruit. Ne s’attendant à  rien d’inhabituel, elle poussa doucement la porte du bureau… et se figea. Un instant de silence suspendit le temps, avant quant un cri de stupéfaction ne brise l’atmosphère. Son regard, d’abord incrédule, se transforma en une expression de colère mêlée de douleur.
« Alors c’était ça, les fameuses taches sur le clic-clac… Je m’en doutais ! » lança-t-elle d’une voix tremblante. Puis, se tournant vers son mari, les larmes aux yeux, elle hurla avec un mélange de rage et de chagrin : « Tu me dégoutes, Comment as-tu pu ? » L’émotion était trop forte, sa voix oscillant entre indignation et peine profonde. L’instant venait de basculer dans un chaos inattendu, et personne dans la pièce ne savait comment réagir face à cette scène brutale.
Sous le choc, son épouse tourna les talons, les larmes aux yeux, et quitta le salon en claquant violemment la porte derrière elle. Un silence pesant s’installa aussitôt, comme si le temps c‘était figé après la tempête. Sans un mot, nous nous sommes rapidement rhabillés, l’atmosphère désormais lourde et inconfortable. Mon patron attrapa ses affaires à la hâte avant de sortir à son tour. Il partit la rejoindre, sans se retourner, et ne revint pas de tout l’après-midi.
L’ambiance dans le salon avait changé. Une tension invisible flottait dans l’air, rendant chaque échange plus froid, plus distant. Mon patron, lui, semblait avoir tiré un trait sur ses anciennes habitudes. Il ne me touchait plus. J’ai tenu encore quelques mois, tentant d’ignorer le poids de cette atmosphère pesante. Mais au fond, je savais que mon départ était inévitable. Alors, quand l’occasion c’est présentée, j’ai saisi une nouvelle opportunité et j’ai quitté le salon, sans regrets.

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