Première dilation extrème par un gode
Récit érotique écrit par fvkway [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Première dilation extrème par un gode
Bonjour,
La suite de mon expérience en extérieur.
Je retourne vers la maison et je suis toujours habillé comme une femme et j’ai l’odeur de l’urine du mec qui me remonte au nez avec la chaleur de mon corps.
Je suis assis dans le fauteuil baquet de ma voiture et l’imperméable me colle à la peau, ce qui fait que je sens l’aire frais de la climatisation sur la poitrine.
Je m’excite tout seul et en plus je n’ai pas giclé mais seulement servi de pute à deux mecs en ruts.
Mon téléphone sonne, c’est Valérie qui m’appelle et je pense qu’elle est impatiente de savoir comment c’est passé la rencontre et si je ne suis pas énervé de leur subterfuge.
Je décroche et elle me dit « Chérie, tu dois faire un détour car le mec que tu as rencontré a trouvé ton portefeuille au pied de ta voiture en repartant. Il t’attend chez lui pour le récupérer. ».
Merde, je pensais rentrer et me taper la fente de ma femme et lui faire avouer sa manigance.
Je lui confirme que je vais chercher mes papiers mais qu’elles doivent se préparer pour me cajoler l’anus quand je vais rentrer.
Valérie me donne une adresse et je la rentre sur le gps.
Je suis à 20km et complètement à l’opposé de la maison mais je ne veux pas laisser toutes mes données à quelqu’un que je ne connais pas mais que j’ai seulement pris dans la bouche et le cul.
Arrivé à destination, je vois de la lumière dans la maison et le mec qui me regarde par la fenêtre. Dès que j’ai coupé le moteur, il se retire de la fenêtre.
Je regarde autour de moi si personne ne me regarde du voisinage et je me lance vers la porte qui s’ouvre à mon arrivée.
Je suis dans l’entrée, il me dit « tu ne viens pas que pour tes papiers ma salope, tu en veux encore dans ton gros cul ! Salope ! »
Je rétorque que « non, je viens chercher seulement mes papiers »
Lui « Ta gueule, ne fait pas ta timide » et aussitôt, il m’attrape le poignet et il me passe une paire de menottes et me met les bras dans le dos pour fermer sur le deuxième poignet. Je me rends compte qu’il s’agit de vraies menottes de police.
Il me pousse alors vers le salon malgré ma protestation et il me pousse dans le fauteuil qui est devant moi.
« Maintenant, tu vas arrêter de te payer ma gueule et tu vas te soumettre à tous mes désirs, alors tu vas commencer pas me sucer »
Il baisse son pantalon, pour laisser apparaitre son sexe comme un ressort.
A la lumière, je me rends compte qu’il n’est vraiment pas important son sexe.
Il s’approche de moi et présente son sexe à l’entrée de mes lèvres et j’ouvre doucement pour le laisser rentrer.
Il me lime la bouche et je subis encore les coups de reins.
J’en profite pour regarder autour de moi et inspecter tous les objets de sexe qui sont posés partout.
Je vois des godes plus ou moins gros, de couleur, en verre et ce qui attire mon regard c’est une bite noire plantée sur la table de salon, qui me laisse penser que c’est un objet de décoration plutôt qu’un gode, vu la grosseur et la hauteur qu’il fait.
Il est muni d’un petit gland de diamètre 3 à 4 cm de diamètre et plus tu descends, plus le diamètre est gros. Je pense que la base, fait au moins 20cm de diamètre. Je ne pense pas que cet engin est déjà servi à un trou du cul, surtout comme le mien.
« Tu l’as vu le plug ! il te plait ? tous ceux qui l’ont essayé, m’en on dit que du bien ! mais ton petit cul de salope ne pourra pas l’accepter pour une première, bien que tu m’aies l’aire d’une bonne chienne qui ne demande que de se faire péter le cul par une bite énorme ! »
Je ne peux pas parler avec ce que j’ai en bouche, mais je fais non de la tête.
« Ne t’inquiète pas ma pétasse, j’ai d’autres calibres pour toi ! »
Il me baise la bouche comme si ce soir on venait seulement de se rencontrer.
Il est en train de se déchainer comme une bête sauvage et il pousse des cris et des ralles de jouissances. Je m’attends à recevoir les décharges de jets de spermes dans la gorge et ça ne loupe pas il balance la totale de son jus dans ma bouche et il me tire par les cheveux pour que je ne puisse pas me retirer.
Je me force à avaler et je manque de respiration. Il ne me lâche toujours pas et je m’étouffe mais son sperme n’est pas dégueulasse.
Il me libère enfin de son dard qui devient mou.
Je me dis qu’il s’est fait plaisir et que je vais pouvoir repartir.
Il m’attrape par la chevelure, me relève et m’ordonne de me mettre à genoux sur le fauteuil et la poitrine contre le dossier puis me libère un poignet des menottes pour me tirer le bras vers l’arrière du fauteuil. Bien entendu, je me laisse faire et il m’attache les deux, ensembles et je ne peux plus bouger sauf mon cul.
Il se colle derrière moi et il me dit « tu vas essayer tous mes gode et tu pourras me dire celui que tu aimes le plus ! »
Je lui réponds que je n’ai plus trop de temps et que je dois rentrer maintenant.
« Tu ne vas pas commencer à jouer le lapin ! allé on commence par un petit mais qui va-t’en donner ».
Il m’enfonce une tige que je n’ai pas vu venir et il démarre la vibration, qui me font de l’effet mais rapidement je m’habitue.
Je lui dis « pas mal mais as-tu d’autres cadences ? »
« Mais finalement il aime ça la salope ! Oui on va essayer une autre version pour te dilater ».
Il retire sans ménagement le vibro et il m’introduit un autre qui m’a l’aire mou mais plus long car il butte dans le fond. Je l’entends manipuler quelque chose alors je me tourne et je vois qu’il est en train de presser une poire raccordée par un tuyau à mon cul mais au gode. Je ressens alors le gonflement de l’intérieur de mes intestins et de ma rondelle.
Il continu à pomper et je ne peux pas me retenir de gémir lorsque ma rondelle subit l’écartement de plusieurs centimètres.
Il m’ordonne de fermer ma « gueule » mais je ne peux pas me retenir.
Je pensais qu’il allait me passer un bâillon pour étouffer mes gémissements, mais il me dit « regarde le dossier ! il y a des morsures, c’est celles des petits lopes comme toi qui l’on mordu pour éviter qu’on entende leurs cris. Alors si tu cris, à chaque fois je te claque le cul. »
Moi « vas-y doucement quand même ! »
Il me pousse la tête d’une main sur le dossier, alors j’ai ouvert la bouche pour planter mes dents sur le cuir. J’ai vu qu’il y avait plusieurs morsures et de la bave séchée mais trop tard pour refuser
Sans dégonfler le gode, il me l’a retiré et il m’a introduit un autre engin mais avec du mal et je le sens passer à ma rondelle. Une fois introduit, je sens le gode tourner et il me pénètre de plus en plus.
Je suis défoncé au niveau de la rondelle, je pense que je vais me retourner par la jouissance que j’éprouve.
Lui « Alors tu jouis ma salope ? tu es sous mon appétit de faire gueuler une pute ! alors tu peux te lâcher ! ».
Il me lime ma douce et intime entre cuisse, même ma femme ne n’a jamais sondé le cul comme ça.
J’avoue que mon dominateur est un maitre dans la matière de la défonce.
Il me retire à nouveau le gode et le jette au sol, je suis attiré du regard quand je le vois rebondir et s’immobiliser.
Voilà l’instant attendu du repos et de la fin de cette dilatation. Je ressens ma rondelle très chaude par le frottement des godes mais l’orifice est dilaté alors l’aire rentre pour me rafraichir. Je lâche prise de la mâchoire qui était planté dans le cuir. J’en profite pour reprendre une bonne respiration.
Pensant que le mec était en train de se reculotter, mes jambes sont pétrifiées et je n’ose pas bouger le temps que je me reprenne.
Le mec me dit par derrière « tu reste comme ça, parce que tu attends l’extase ? ne bouges pas ! ».
Et il m’introduit un nouveau gode mais il force dessus pour forcer jusqu’au blocage. Je pousse un cri de douleur par la dilatation extrême de mon entrailles et de mes boyaux et instinctivement, je replante mes dents sur le dossier du fauteuil et je mords à fond le cuir. Mes dents sont entrain de perforer le cuir de rage en conséquence de la douleur.
Lui « Oh la salope, il aime ça le plug royal ! Tu es une vraie chienne, je viens de te l’enfoncer plus loin que le trait que j’ai fait pour la dernière salope ! Tu as battu le record ! »
Je grogne de la douleur, sans avoir la qualité de la jouissance comme quand il m’a sodomisé avec son petit sexe.
Il tourne son énorme gode et voyant qu’il ne pourrait pas aller plus loin, il me le retire d’un seul coup. J’ai l’impression que je viens de déféquer.
Je l’entends déposer le gode sur la table de salon et en lâchant prise, je regarde derrière moi, pour constater qu’il m’avait introduit le gode monumental.
Il me libère et me fait remarquer que j’ai dépouillé le dossier du fauteuil mais il est fier du résultat.
Lui « Je pense que la prochaine salope qui va mordre, elle aura du mal à faire mieux ! ».
Je me retourne mais j’ai peur de m’assoir. Je sens que mon trou de balle est encore ouvert.
Je baisse l’imperméable pour recouvrir mon cul est je suis prêt à repartir, pas forcément en bon état.
A la porte, il me dit, « tu peux revenir quand tu veux ! ma porte sera toujours ouverte en grand comme ton cul ! »
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Bises
La suite de mon expérience en extérieur.
Je retourne vers la maison et je suis toujours habillé comme une femme et j’ai l’odeur de l’urine du mec qui me remonte au nez avec la chaleur de mon corps.
Je suis assis dans le fauteuil baquet de ma voiture et l’imperméable me colle à la peau, ce qui fait que je sens l’aire frais de la climatisation sur la poitrine.
Je m’excite tout seul et en plus je n’ai pas giclé mais seulement servi de pute à deux mecs en ruts.
Mon téléphone sonne, c’est Valérie qui m’appelle et je pense qu’elle est impatiente de savoir comment c’est passé la rencontre et si je ne suis pas énervé de leur subterfuge.
Je décroche et elle me dit « Chérie, tu dois faire un détour car le mec que tu as rencontré a trouvé ton portefeuille au pied de ta voiture en repartant. Il t’attend chez lui pour le récupérer. ».
Merde, je pensais rentrer et me taper la fente de ma femme et lui faire avouer sa manigance.
Je lui confirme que je vais chercher mes papiers mais qu’elles doivent se préparer pour me cajoler l’anus quand je vais rentrer.
Valérie me donne une adresse et je la rentre sur le gps.
Je suis à 20km et complètement à l’opposé de la maison mais je ne veux pas laisser toutes mes données à quelqu’un que je ne connais pas mais que j’ai seulement pris dans la bouche et le cul.
Arrivé à destination, je vois de la lumière dans la maison et le mec qui me regarde par la fenêtre. Dès que j’ai coupé le moteur, il se retire de la fenêtre.
Je regarde autour de moi si personne ne me regarde du voisinage et je me lance vers la porte qui s’ouvre à mon arrivée.
Je suis dans l’entrée, il me dit « tu ne viens pas que pour tes papiers ma salope, tu en veux encore dans ton gros cul ! Salope ! »
Je rétorque que « non, je viens chercher seulement mes papiers »
Lui « Ta gueule, ne fait pas ta timide » et aussitôt, il m’attrape le poignet et il me passe une paire de menottes et me met les bras dans le dos pour fermer sur le deuxième poignet. Je me rends compte qu’il s’agit de vraies menottes de police.
Il me pousse alors vers le salon malgré ma protestation et il me pousse dans le fauteuil qui est devant moi.
« Maintenant, tu vas arrêter de te payer ma gueule et tu vas te soumettre à tous mes désirs, alors tu vas commencer pas me sucer »
Il baisse son pantalon, pour laisser apparaitre son sexe comme un ressort.
A la lumière, je me rends compte qu’il n’est vraiment pas important son sexe.
Il s’approche de moi et présente son sexe à l’entrée de mes lèvres et j’ouvre doucement pour le laisser rentrer.
Il me lime la bouche et je subis encore les coups de reins.
J’en profite pour regarder autour de moi et inspecter tous les objets de sexe qui sont posés partout.
Je vois des godes plus ou moins gros, de couleur, en verre et ce qui attire mon regard c’est une bite noire plantée sur la table de salon, qui me laisse penser que c’est un objet de décoration plutôt qu’un gode, vu la grosseur et la hauteur qu’il fait.
Il est muni d’un petit gland de diamètre 3 à 4 cm de diamètre et plus tu descends, plus le diamètre est gros. Je pense que la base, fait au moins 20cm de diamètre. Je ne pense pas que cet engin est déjà servi à un trou du cul, surtout comme le mien.
« Tu l’as vu le plug ! il te plait ? tous ceux qui l’ont essayé, m’en on dit que du bien ! mais ton petit cul de salope ne pourra pas l’accepter pour une première, bien que tu m’aies l’aire d’une bonne chienne qui ne demande que de se faire péter le cul par une bite énorme ! »
Je ne peux pas parler avec ce que j’ai en bouche, mais je fais non de la tête.
« Ne t’inquiète pas ma pétasse, j’ai d’autres calibres pour toi ! »
Il me baise la bouche comme si ce soir on venait seulement de se rencontrer.
Il est en train de se déchainer comme une bête sauvage et il pousse des cris et des ralles de jouissances. Je m’attends à recevoir les décharges de jets de spermes dans la gorge et ça ne loupe pas il balance la totale de son jus dans ma bouche et il me tire par les cheveux pour que je ne puisse pas me retirer.
Je me force à avaler et je manque de respiration. Il ne me lâche toujours pas et je m’étouffe mais son sperme n’est pas dégueulasse.
Il me libère enfin de son dard qui devient mou.
Je me dis qu’il s’est fait plaisir et que je vais pouvoir repartir.
Il m’attrape par la chevelure, me relève et m’ordonne de me mettre à genoux sur le fauteuil et la poitrine contre le dossier puis me libère un poignet des menottes pour me tirer le bras vers l’arrière du fauteuil. Bien entendu, je me laisse faire et il m’attache les deux, ensembles et je ne peux plus bouger sauf mon cul.
Il se colle derrière moi et il me dit « tu vas essayer tous mes gode et tu pourras me dire celui que tu aimes le plus ! »
Je lui réponds que je n’ai plus trop de temps et que je dois rentrer maintenant.
« Tu ne vas pas commencer à jouer le lapin ! allé on commence par un petit mais qui va-t’en donner ».
Il m’enfonce une tige que je n’ai pas vu venir et il démarre la vibration, qui me font de l’effet mais rapidement je m’habitue.
Je lui dis « pas mal mais as-tu d’autres cadences ? »
« Mais finalement il aime ça la salope ! Oui on va essayer une autre version pour te dilater ».
Il retire sans ménagement le vibro et il m’introduit un autre qui m’a l’aire mou mais plus long car il butte dans le fond. Je l’entends manipuler quelque chose alors je me tourne et je vois qu’il est en train de presser une poire raccordée par un tuyau à mon cul mais au gode. Je ressens alors le gonflement de l’intérieur de mes intestins et de ma rondelle.
Il continu à pomper et je ne peux pas me retenir de gémir lorsque ma rondelle subit l’écartement de plusieurs centimètres.
Il m’ordonne de fermer ma « gueule » mais je ne peux pas me retenir.
Je pensais qu’il allait me passer un bâillon pour étouffer mes gémissements, mais il me dit « regarde le dossier ! il y a des morsures, c’est celles des petits lopes comme toi qui l’on mordu pour éviter qu’on entende leurs cris. Alors si tu cris, à chaque fois je te claque le cul. »
Moi « vas-y doucement quand même ! »
Il me pousse la tête d’une main sur le dossier, alors j’ai ouvert la bouche pour planter mes dents sur le cuir. J’ai vu qu’il y avait plusieurs morsures et de la bave séchée mais trop tard pour refuser
Sans dégonfler le gode, il me l’a retiré et il m’a introduit un autre engin mais avec du mal et je le sens passer à ma rondelle. Une fois introduit, je sens le gode tourner et il me pénètre de plus en plus.
Je suis défoncé au niveau de la rondelle, je pense que je vais me retourner par la jouissance que j’éprouve.
Lui « Alors tu jouis ma salope ? tu es sous mon appétit de faire gueuler une pute ! alors tu peux te lâcher ! ».
Il me lime ma douce et intime entre cuisse, même ma femme ne n’a jamais sondé le cul comme ça.
J’avoue que mon dominateur est un maitre dans la matière de la défonce.
Il me retire à nouveau le gode et le jette au sol, je suis attiré du regard quand je le vois rebondir et s’immobiliser.
Voilà l’instant attendu du repos et de la fin de cette dilatation. Je ressens ma rondelle très chaude par le frottement des godes mais l’orifice est dilaté alors l’aire rentre pour me rafraichir. Je lâche prise de la mâchoire qui était planté dans le cuir. J’en profite pour reprendre une bonne respiration.
Pensant que le mec était en train de se reculotter, mes jambes sont pétrifiées et je n’ose pas bouger le temps que je me reprenne.
Le mec me dit par derrière « tu reste comme ça, parce que tu attends l’extase ? ne bouges pas ! ».
Et il m’introduit un nouveau gode mais il force dessus pour forcer jusqu’au blocage. Je pousse un cri de douleur par la dilatation extrême de mon entrailles et de mes boyaux et instinctivement, je replante mes dents sur le dossier du fauteuil et je mords à fond le cuir. Mes dents sont entrain de perforer le cuir de rage en conséquence de la douleur.
Lui « Oh la salope, il aime ça le plug royal ! Tu es une vraie chienne, je viens de te l’enfoncer plus loin que le trait que j’ai fait pour la dernière salope ! Tu as battu le record ! »
Je grogne de la douleur, sans avoir la qualité de la jouissance comme quand il m’a sodomisé avec son petit sexe.
Il tourne son énorme gode et voyant qu’il ne pourrait pas aller plus loin, il me le retire d’un seul coup. J’ai l’impression que je viens de déféquer.
Je l’entends déposer le gode sur la table de salon et en lâchant prise, je regarde derrière moi, pour constater qu’il m’avait introduit le gode monumental.
Il me libère et me fait remarquer que j’ai dépouillé le dossier du fauteuil mais il est fier du résultat.
Lui « Je pense que la prochaine salope qui va mordre, elle aura du mal à faire mieux ! ».
Je me retourne mais j’ai peur de m’assoir. Je sens que mon trou de balle est encore ouvert.
Je baisse l’imperméable pour recouvrir mon cul est je suis prêt à repartir, pas forcément en bon état.
A la porte, il me dit, « tu peux revenir quand tu veux ! ma porte sera toujours ouverte en grand comme ton cul ! »
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