Première exhibition– Une infirmière en Beauce 11
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Première exhibition– Une infirmière en Beauce 11
Première exhibition– Une infirmière en Beauce 11
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur chez HDS), racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu ce texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Hervé a décidé d’offrir à Valérie une panoplie de femme libérée. Après avoir écumé les magasins et boutique sexy de Montparnasse et de Saint Germain à Paris, le couple se rend rue de la Gaité pour acheter différents accessoires dans un sex-shop. Valérie doit se plier aux exigences de son mari qui demande à la vendeuse du magasin de lui descendre sa culotte, à sa plus grande honte, et de lui introduire des boules de geisha dans les muqueuses de sa fente.
De retour à la gare Montparnasse, alors que le couple attend le départ du train pour Chartres, Valérie se laisse surprendre à jouir dans un wagon devant des lycéens ébahis. Le train une fois en route, les garçons se lèvent et passent dans une autre voiture. Valérie est soulagée, ses couleurs lui reviennent. Elle regarde son époux d’un œil torve.
• Il faut croire que ça te plaît que je montre mes cuisses.
• Oui, je l’avoue, mais tu n’as pas seulement montré tes cuisses à ces garçons, tu t’es fait jouir devant eux. Ils ont vu ta main dans ta culotte et ta mouille qui dégoulinait ma petite salope adorée.
• Tu vois comme tu me traites ! Tu ne m’aimes plus j’en suis sûre !
Hervé enlace sa douce moitié, la bécotant dans le cou, lui susurrant des mots doux.
• Ma chérie, bien entendu que je t’aime. Encore davantage chaque jour, où tu te libères un peu plus et où tu deviens l’épouse que j’ai toujours désirée. C’est vrai que cela m’excite lorsque tu es sexy devant d’autres hommes.
• Ah ! C’est bien un truc d’homme répond Valérie en riant
• Puisque ta culotte est trempée, retire-la lui propose Hervé
• Tu es fou ! Je ne vais pas me déshabiller dans le train et me balader les fesses nues en pleine ville
• Allons, il n’y a personne dans le wagon et tu n’as pas à te baisser jusqu’à ce que nous arrivions à la maison
En maugréant à moitié, Valérie retire sa culotte qui est trempée. Hervé lui prend des mains et la renifle avec volupté. Les boules de gesha glissent hors de la chatte inondée et apparaissent sur le siège de la banquette entre les cuisses de Valérie. Celle-ci est affolé, mais Hervé s’en empare prestement et les enferme dans la boite en plastique d’origine qu’il avait conservée dans sa poche.
Prenant des mouchoirs en papier et regardant de tout côté si un voyageur ne se pointe pas, Valérie s’essuie l’entrecuisse, tout en faisant des reproches à son mari.
• Tu vois où ta perversité nous entraine. Je suis morte de honte de tout ce que tu me fais subir
• Mais tu n’arrêtes pas de jouir ma chérie ! Avoue que tu prends ton pied. Ne me dis pas que le fait de te masturber devant ces étudiants ne t’a pas réjoui, tu étais ivre de plaisir
• Oh ! Tu es un monstre
Le train arrive en gare de Chartres. Hervé retient son épouse pour que la masse des voyageurs s’amenuise. Enfin, lorsque le flot des usagers s’est estompé, ils descendent de leur wagon et se dirigent vers la sortie.
Hervé marche juste derrière elle, admirant la croupe bien formée qu’épouse étroitement le cuir de la minijupe. Il est vrai que si elle se penche un petit peu, la chair blanche du haut des cuisses apparaît au-dessus de la lisière des bas et on voit même le renflement des fesses nues.
À un moment, son épouse ayant trébuché, Hervé a pu entrapercevoir l’abricot dénudé entre les rondelles du cul nu. Cela a accentué encore l’érection commencée au sex-shop et il a bien du mal à marcher pour conduire son épouse jusqu’au parking où il a garé leur automobile.
Profitant que son véhicule soit garé au troisième sous-sol et qu’aucune voiture ni aucun quidam ne soient susceptible de venir troubler leur tranquillité, sitôt dans la voiture, il dégrafe rapidement son pantalon, sort du slip la verge dure comme un morceau de bois et supplie sa femme de le soulager. Valérie nous l’avons dit, malgré son a priori, est une reine de la fellation. Elle a toujours adoré ça depuis ses premiers émois avec Serge lorsqu’elle avait seize ans. Elle s’applique à lécher savamment la queue bien raide de son mari, en la faisant coulisser entre ses lèvres jusqu’au plus profond de son gosier. Elle s’aide de ses mains fait coulisser le bâton de chair entre ses doigts habiles, et titille de la langue le méat et le gland congestionnés. Le foutre trop longtemps emprisonné vient frapper le fond de la gorge de Valérie qui avale sans sourciller la semence de son mari.
Celui-ci, encore surexcité par cette journée libidineuse, renverse son épouse et fait basculer le dossier du siège passager en couchette. Il n’a aucun mal à attendre la fente vulvaire, car elle est déjà presque à poil, tout du moins le bas. Il entreprend de lui bouffer la chatte, enfonçant son nez dans les chairs gonflées par le bouillonnement des sens et léchant le moindre recoin du puits d’amour, mordillant légèrement les grandes et petites lèvres, suçant le clitoris qui n’en peut plus d’être sollicité depuis des heures. Valérie hurle à présent sa jouissance, les orgasmes défilent sans interruption, alors que sa muqueuse éjecte un jus abondant, trempant ses cuisses, ses jambes et le siège en tissu du monospace.
Hervé contemple sa femme presque nue avec une certaine délectation. Dans ses rêves les plus fous, il n’espérait pas que sa Valérie arriverait un jour à se livrer ainsi devant ses yeux, la conque béante laissant s’écouler les sécrétions vaginales.
Valérie essaie de remettre de l’ordre dans ses vêtements. Elle est dépoitraillée, les seins sortis de son corsage et le redresse seins ne cachant rien de sa jolie poitrine. Quant au reste, sa jupe enroulée autour de sa taille la rend quasiment nue. Elle en profite pour se dénuder complètement, tranquillisée par l’inexistence de mouvement dans ce troisième sous-sol et pour revêtir les vêtements avec lesquels elle est partie, plus convenables pour retrouver sa fille qui au grand jamais ne l’a vue dans une tenue aussi indécente…
À suivre…
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur chez HDS), racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu ce texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Hervé a décidé d’offrir à Valérie une panoplie de femme libérée. Après avoir écumé les magasins et boutique sexy de Montparnasse et de Saint Germain à Paris, le couple se rend rue de la Gaité pour acheter différents accessoires dans un sex-shop. Valérie doit se plier aux exigences de son mari qui demande à la vendeuse du magasin de lui descendre sa culotte, à sa plus grande honte, et de lui introduire des boules de geisha dans les muqueuses de sa fente.
De retour à la gare Montparnasse, alors que le couple attend le départ du train pour Chartres, Valérie se laisse surprendre à jouir dans un wagon devant des lycéens ébahis. Le train une fois en route, les garçons se lèvent et passent dans une autre voiture. Valérie est soulagée, ses couleurs lui reviennent. Elle regarde son époux d’un œil torve.
• Il faut croire que ça te plaît que je montre mes cuisses.
• Oui, je l’avoue, mais tu n’as pas seulement montré tes cuisses à ces garçons, tu t’es fait jouir devant eux. Ils ont vu ta main dans ta culotte et ta mouille qui dégoulinait ma petite salope adorée.
• Tu vois comme tu me traites ! Tu ne m’aimes plus j’en suis sûre !
Hervé enlace sa douce moitié, la bécotant dans le cou, lui susurrant des mots doux.
• Ma chérie, bien entendu que je t’aime. Encore davantage chaque jour, où tu te libères un peu plus et où tu deviens l’épouse que j’ai toujours désirée. C’est vrai que cela m’excite lorsque tu es sexy devant d’autres hommes.
• Ah ! C’est bien un truc d’homme répond Valérie en riant
• Puisque ta culotte est trempée, retire-la lui propose Hervé
• Tu es fou ! Je ne vais pas me déshabiller dans le train et me balader les fesses nues en pleine ville
• Allons, il n’y a personne dans le wagon et tu n’as pas à te baisser jusqu’à ce que nous arrivions à la maison
En maugréant à moitié, Valérie retire sa culotte qui est trempée. Hervé lui prend des mains et la renifle avec volupté. Les boules de gesha glissent hors de la chatte inondée et apparaissent sur le siège de la banquette entre les cuisses de Valérie. Celle-ci est affolé, mais Hervé s’en empare prestement et les enferme dans la boite en plastique d’origine qu’il avait conservée dans sa poche.
Prenant des mouchoirs en papier et regardant de tout côté si un voyageur ne se pointe pas, Valérie s’essuie l’entrecuisse, tout en faisant des reproches à son mari.
• Tu vois où ta perversité nous entraine. Je suis morte de honte de tout ce que tu me fais subir
• Mais tu n’arrêtes pas de jouir ma chérie ! Avoue que tu prends ton pied. Ne me dis pas que le fait de te masturber devant ces étudiants ne t’a pas réjoui, tu étais ivre de plaisir
• Oh ! Tu es un monstre
Le train arrive en gare de Chartres. Hervé retient son épouse pour que la masse des voyageurs s’amenuise. Enfin, lorsque le flot des usagers s’est estompé, ils descendent de leur wagon et se dirigent vers la sortie.
Hervé marche juste derrière elle, admirant la croupe bien formée qu’épouse étroitement le cuir de la minijupe. Il est vrai que si elle se penche un petit peu, la chair blanche du haut des cuisses apparaît au-dessus de la lisière des bas et on voit même le renflement des fesses nues.
À un moment, son épouse ayant trébuché, Hervé a pu entrapercevoir l’abricot dénudé entre les rondelles du cul nu. Cela a accentué encore l’érection commencée au sex-shop et il a bien du mal à marcher pour conduire son épouse jusqu’au parking où il a garé leur automobile.
Profitant que son véhicule soit garé au troisième sous-sol et qu’aucune voiture ni aucun quidam ne soient susceptible de venir troubler leur tranquillité, sitôt dans la voiture, il dégrafe rapidement son pantalon, sort du slip la verge dure comme un morceau de bois et supplie sa femme de le soulager. Valérie nous l’avons dit, malgré son a priori, est une reine de la fellation. Elle a toujours adoré ça depuis ses premiers émois avec Serge lorsqu’elle avait seize ans. Elle s’applique à lécher savamment la queue bien raide de son mari, en la faisant coulisser entre ses lèvres jusqu’au plus profond de son gosier. Elle s’aide de ses mains fait coulisser le bâton de chair entre ses doigts habiles, et titille de la langue le méat et le gland congestionnés. Le foutre trop longtemps emprisonné vient frapper le fond de la gorge de Valérie qui avale sans sourciller la semence de son mari.
Celui-ci, encore surexcité par cette journée libidineuse, renverse son épouse et fait basculer le dossier du siège passager en couchette. Il n’a aucun mal à attendre la fente vulvaire, car elle est déjà presque à poil, tout du moins le bas. Il entreprend de lui bouffer la chatte, enfonçant son nez dans les chairs gonflées par le bouillonnement des sens et léchant le moindre recoin du puits d’amour, mordillant légèrement les grandes et petites lèvres, suçant le clitoris qui n’en peut plus d’être sollicité depuis des heures. Valérie hurle à présent sa jouissance, les orgasmes défilent sans interruption, alors que sa muqueuse éjecte un jus abondant, trempant ses cuisses, ses jambes et le siège en tissu du monospace.
Hervé contemple sa femme presque nue avec une certaine délectation. Dans ses rêves les plus fous, il n’espérait pas que sa Valérie arriverait un jour à se livrer ainsi devant ses yeux, la conque béante laissant s’écouler les sécrétions vaginales.
Valérie essaie de remettre de l’ordre dans ses vêtements. Elle est dépoitraillée, les seins sortis de son corsage et le redresse seins ne cachant rien de sa jolie poitrine. Quant au reste, sa jupe enroulée autour de sa taille la rend quasiment nue. Elle en profite pour se dénuder complètement, tranquillisée par l’inexistence de mouvement dans ce troisième sous-sol et pour revêtir les vêtements avec lesquels elle est partie, plus convenables pour retrouver sa fille qui au grand jamais ne l’a vue dans une tenue aussi indécente…
À suivre…
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