PREMIÈRE EXPÉRIENCE
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2018 dans la catégorie Plus on est
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PREMIÈRE EXPÉRIENCE
L'endroit n'était pas difficile à trouver. L'homme au téléphone m'avait donné d'excellentes indications. Nous ne savions pas réellement ce qui nous attendait. Lorsque nous pénétrâmes dans le parking derrière le bâtiment, nous avons avons été surpris par le grand nombre de véhicules stationnés. Des sentiments mélangés nous habitaient. De l'excitation, bien sûr, mais aussi de la nervosité et de l'anxiété. Pour ma part, j'espérais voir ma femme, Sharon, se révéler. Bien sûr, j'avais confiance en elle, en ses capacités, mais j'espérais découvrir des secrets plus intimes. Au cours des dernières semaines, nous avions discuté de la possibilité de trouver un partenaire qui pimenterait nos jeux sexuels d'une excitation supplémentaire.
L'ancien entrepôt était reconverti en un club libertin. Un endroit où les gens de toutes couleurs et de tous milieux se réunissent avec une seule idée en tête, BAISER. Une fois garé, nous nous sommes dirigés lentement vers une porte éclairée de lumières vives. En nous faufilant entre les voitures, nous vîmes plusieurs femmes en train de se changer, troquant leurs habits de ville contre des tenues plus sexy.
Dès que nous eûmes franchi la porte, un petit panneau s'est ouvert et un homme âgé a demandé s'il pouvait nous aider. Je me suis présenté, en me recommandant de M. Frank, mon parrain, qui avait averti le club et que nous assisterions à cette soirée. Le vieil homme s'est présenté comme M. Frank et m'a tendu une main tremblante. Ce monsieur avait une main chaude et une forte poigne.
Il nous désigna une porte en nous disant que sa femme allait s'occuper des formalités d'inscription.
En franchissant la porte, nous nous sommes retrouvés dans un bureau très luxueux et décoré avec goût. Dès notre entrée, nous fûmes accueillis par une femme d'un âge avancé mais très sexy et très attirante. Elle se leva en souriant chaleureusement et se dirigea vers nous, la main tendue. Elle nous fit prendre place dans de confortables fauteuils, nous offrit des cocktails de bienvenue, en nous expliquant l'histoire de ce club, passant en revue les règles de bienséance. Elle nous a ensuite donné une demande d'adhésion à remplir en détaillant les coûts et ce à quoi nous aurions droit.
Trop impressionné par l'atmosphère du lieu, je n'arrivais pas à me concentrer sur le babillage de la vieille femme.
Ma seule préoccupation était de remplir le formulaire. J'aurais probablement dû demander son avis à ma femme, mais j'ai simplement pris le stylo, répondu aux questions et ensuite rendu le formulaire à la femme avec mon chèque.
Ensuite, la femme âgée nous a emmenés visiter les lieux.
Le club a été aménagé en plusieurs espaces offrant chacun quelque chose de différent. Le premier espace était l'espace détente. Il offrait une piscine, des bains à remous, des saunas, des plages équipées de fauteuils, ainsi que des vestiaires séparées pour les hommes et les femmes où chacun pouvait se doucher, changer de vêtements avec des casiers pour ranger les affaires. Comme c'était notre première fois et que personne ne nous avait parlé de la piscine, nous n'avions pas apporté de maillot de bain. Bien sûr, à en juger par la tenue des personnes présentes à cet instant, les maillots de bain n'étaient pas nécessaires.
Le deuxième espace était une sorte de dancing. Il y avait de la musique, une piste de danse, un bar, avec buffet et des boxes, sortes de recoins équipés de canapés profonds et confortables, où des groupes pouvaient se prélasser ou se bécoter. Peut-être même qu'à des moments différents, cet espace pouvait être utilisé à un autre usage, mais à ce moment-là, nous étions les trois seules personnes présentes.
Le dernier espace était clairement un baisodrome. Soudain, je me suis sentis mal à l'aise, ma tenue, chemise blanche, pantalon noir, chaussures cirées, ne convenait visiblement pas à l'endroit. Beaucoup trop habillé. Ma femme aussi, sa petite robe noire sexy avec les dentelles qui avaient du mal à contenir sa plantureuse poitrine, faisait tache dans cette espace où la plupart des personnes présentes étaient très peu vêtues. D'un coup d’œil circulaire, je vis pêle-mêle des personnes curieusement déguisées en animaux, des hommes portant des couches-culottes, des femmes vêtues de cuir, en corset, ou liées par des cordes. Toute une cour des miracles du déguisement loufoque, égrillard, et une majorité de gens entièrement nus. Et nous étions tous les trois habillés comme si nous allions à un concert. Nous avons traversé ce salon et nous nous sommes engagés dans un long couloir.
De part et d'autre de ce couloir, se trouvait des chambres. Chaque chambre contenait un lit et était équipée d'une fenêtre. On pouvait accéder à une chambre si la porte était ouverte, occupée ou non. Les personnes qui s'y trouvaient pouvaient décider, soit de laisser la porte ouverte pour que d'autres personnes puissent les rejoindre, soit de fermer le verrou pour ne pas être dérangés. De même pour la fenêtre, ils pouvaient tirer les rideaux pour s'isoler ou les laisser ouverts afin que d'autres puissent profiter du spectacle. Cela dit, elle nous a demandé si nous avions des questions. Nous n'avions pas de questions et la femme nous a planté là, entre le salon et le couloir.
Nous étions là tous deux, un peu décontenancés, et parlant entre nous à voix basse. J'ai suggéré de remonter le couloir pour voir ce qui se passait dans les chambres. La plupart étaient occupés, portes closes, volets tirés. Quelques unes étaient vides. Une seule était occupée, porte ouverte, rideaux ouverts. Beaucoup de monde devant cette pièce se pressait pour regarder, difficile de voir ce qui s'y passait, deux couples s'y livraient à des jeux plutôt acrobatiques.
En voulant profiter de ma taille pour me faufiler afin de mieux voir, je pris conscience de la façon dont ma tenue me mettait hors jeu.
Sharon aussi, qui avait l'air très sexy dans sa robe noire, n'était pas à sa place dans ce couloir où l'essentiel des gens étaient nus.
Nous sommes retournés dans le salon mais, là encore, notre tenue ne convenait pas à l'endroit, où des gens curieusement déguisés se livraient à des jeux divers. Nous avons traversé cette pièce pour retourner dans l'espace dancing, prendre un verre au bar et discuter de ce que nous avions vu.
J'étais très excité à propos de ce que nous venions de voir dans le couloir. Ce qui se passait à l'intérieur des chambres, bien sûr, mais aussi la proximité de l'assistance, dans le couloir. Il y avait aussi quelques femmes avec qui j'aurais aimé passer du temps. Sharon a avoué qu'elle avait aussi trouvé les activités plaisantes et que quelques messieurs l'intéressaient.
Je l'ai attirée contre moi, j'ai mis mon bras autour de sa taille, et je me suis penché pour l'embrasser. Elle a ouvert la bouche et me rendit mon baiser, aussi passionnément que je lui donnais. C'était une combinaison de l'excitation que nous avions ressentie à l'étage et de notre passion l'un pour l'autre. Son corps se serrait contre le mien, ses seins pressés contre ma poitrine. J'étais prêt à la prendre là, sur la moquette.
Nous sommes restés là longtemps, à nous embrasser, enlacés, amoureux. Ses yeux, lorsque nous nous sommes séparés, disaient clairement: "Je t'aime, prends-moi maintenant!" Nous étions en parfaite harmonie, je ne me préoccupais plus de rien d'autre que de l'emmener dans une chambre pour la baiser. Je lui pris la main et commençais à l'entraîner dans les escaliers. Je traversais le salon sans rien voir, remontais le couloir avec ma femme en remorque. En cet instant, je n'avais qu'une idée en tête, trouver une chambre vide où je pourrais la prendre et profiter de son corps.
Mais en passant devant une fenêtre ouverte, j'ai jeté un coup d’œil à l'intérieur, et je suis immédiatement arrêté. Je voulais regarder l'action dans cette pièce. Il y avait deux couples. Une femme était allongée sur le dos, la tête pendante sur le côté du lit, complètement nue. Les jambes repliées et maintenues écartées par un homme agenouillé qui la baisait durement. Elle suçait la bite d'un autre homme qui se tenait debout, les jambes écartées, juste au-dessus de sa tête. La plupart du temps, il restait droit pour que la femme puisse sucer son gland. Et de temps en temps, il pliait les jambes pour s'enfoncer dans la bouche accueillante. Une autre femme était à califourchon sur la première, la bouche soudée à la bouche de l'homme debout, une main prenant appui sur la poitrine de l'homme qu'elle embrassait, l'autre main triturant le sein de la femme couchée.
Ma femme vint s'appuyer contre moi, sa main sur ma fesse, pour regarder la scène se dérouler devant nous. Je l'enlaçais par les épaules, puis descendais ma main sur son sein, palpant le mamelon déjà dur à travers le mince tissu de sa robe. Nous regardions les quatre personnes évoluer dans la chambre en nous pelotant mutuellement.
Des quatre acteurs devant nous, seul l'homme agenouillé entre les cuisses de la femme couchée sur le dos semblait motivé. Les trois autres n'ont pas changé de position. La femme sur le dos ne faisait que téter le gland dans sa bouche. L'homme debout échangeait des baisers lourds et passionnés avec l'autre femme et, à l'occasion, il bougeait son bassin de haut en bas, s'enfonçant dans la bouche gourmande. L'autre femme semblait se contenter de ses baisers et de jouer avec le mamelon de la femme couchée. Pourtant, l'homme agenouillé travaillait avec vigueur la chatte de la femme couchée sous lui.
J'étais excité et étonné par ces deux couples. Pas tellement à cause de leurs positions respectives, mais parce qu'ils ne me semblaient pas intéressés par ce qu'ils faisaient. Je ne percevais pas pourquoi ils semblaient si blasés, et pourquoi ils perdaient leur temps.
Mais la possibilité de rester là, à les regarder faire un tel acte, le partage avec ma femme, sa présence contre moi, son mamelon qui durcissait sous ma caresse, m'échauffait les sens. J'espérais que Sharon éprouvait une sensation similaire et que de sa chatte, une source de jus sucrés humidifiait son entrejambe.
Je fus soudain conscient du monde qui nous entourait. Autour de nous, il y avait une demi-douzaine de personnes et tous regardaient la scène se dérouler dans la chambre. Sauf un. Un homme se tenait très proche de Sharon et ses yeux étaient fixés sur ma main caressant son sein. J'espérais qu'il nous suivrait.
J'ai commencé à m'éloigner avec ma femme à la recherche d'une chambre libre. Au bout du couloir, j'ai trouvé mon bonheur. Pénétrant dans la pièce, j'ai refermé la porte sans la verrouiller et j'ai laissé les rideaux ouverts. Je m'assis sur le bord du lit et je l'attirais contre moi, entre mes jambes écartées. Levant les yeux vers elle, je commençai à caresser lentement l'arrière de ses cuisses sous le bas de sa robe. Elle me regardait passionnément. Elle me transmettait son désir et pourtant il y avait quelque chose d'autre que je ne pouvais pas comprendre. Elle tournait le dos à la fenêtre ouverte. En remontant mes mains sur ses jambes gainées de soie, mes bras ont soulevé le bas de sa robe de plus en plus haut. Je palpais la chair nue au-dessus des bas. Je glissais mes doigts sous les sangles du porte-jarretelles. Sharon avait posé ses mains sur mes épaules, et me regardait sans faire un geste, tandis que mes mains palpaient son cul nu.
Je ne savais pas s'il y avait quelqu'un qui se tenait à la fenêtre ou pas. Ma femme devant moi m'obstruait la vue et je ne voulais pas savoir. J'espérais qu'il y avait beaucoup de monde, se pressant pour admirer les fesses de la belle femme que je tenais entre mes bras. Je voulais que tout le monde voit Sharon. Pour envier ma chance d'être aimé de cette superbe femelle.
Mes doigts palpaient la chair ferme de ses fesses, et j'ai remonté un peu plus sa robe pour la coincer dans la ceinture de son porte-jarretelles, laissant son cul entièrement à découvert. Ensuite, mes mains sont redescendues, suivant le chemin de la fente de son cul, jusqu'à son entrejambe humide de ses jus. Alors que mes doigts exploraient cette zone, ses mains se resserrèrent sur mes épaules.
Je commençai à masser l'ouverture humide et elle changea rapidement de position, se cambrant en écartant les jambes, afin que mes doigts aient un meilleur accès à sa chatte impatiente. Et j'étais pleinement disposé à profiter de cette opportunité.
Je glissais deux doigts dans l'ouverture de sa chatte humide. Lentement, me faisant désirer. La vulve parfaitement lubrifiée était accueillante et chaude. Sharon, les yeux fermés, sa respiration se fit plus profonde. J'espérais que, depuis la fenêtre, beaucoup de monde pouvait voir mes doigts s'enfoncer dans sa chatte. En voyant son visage se crisper, je ne pouvais pas savoir si c'était de plaisir ou si elle était préoccupée par la possibilité que quelqu'un pouvait observer son cul depuis la fenêtre.
Mes deux doigts coulissant profondément dans sa chatte, j'ai appuyé mon pouce sur son clitoris, massant de façon circulaire son bourgeon érigé. Ses doigts se sont crispés sur mes épaules, son corps s'est mis à trembler, j'ai compris que son orgasme allait arriver, alors j'ai stoppé mon mouvement, la laissant se calmer pour me faire désirer.
Ouvrant les yeux, elle m'apostropha: "Qu'est-ce que tu fais? Pourquoi tu t'arrêtes?"Sans me laisser intimider, de ma main libre je soulevais sa robe: "Enlève ta robe!"Elle semblait rétive et il était évident qu'elle ne voulait pas se déshabiller. J'ai agrippé la robe, je l'ai secouée en lui répétant d'une voix plus forte et plus dure: "Déshabille-toi! Enlève ta robe!"Ses yeux clignèrent plusieurs fois avant de faire passer la robe par-dessus sa tête. Elle se tenait là devant moi, sa robe à la main, en soutien-gorge, sa ceinture retenant ses bas par les porte-jarretelles, campées sur ses chaussures à talons hauts, mes doigts enfoncés dans sa chatte, donnant l'image d'une salope bourgeoise venue s'exhiber pour se faire sauter par n'importe qui. Satisfait, car c'est exactement l'effet que je recherchais, je lui arrachais sa robe des mains et je l'ai jetée par-dessus ma tête, sans voir où elle atterrissait.
Mais je voulais savoir. Je me suis penché pour regarder la fenêtre. J'ai été récompensé par une demi-douzaine de paires d'yeux qui nous scrutaient. Ma femme, surprenant mon geste, a tourné la tête pour regarder elle aussi. Je l'ai sentie se figer. Rapidement, j'ai repris mon mouvement dans sa féminité, deux doigts pénétrants sa chatte, le pouce massant son clitoris.
Instantanément, elle a serré les jambes, un gémissement rauque s'est échappé de sa bouche et elle a saisi mon poignet d'une main.
Utilisant ma main libre, j'ai fait glisser son sein hors du bonnet de dentelle, et j'ai massé son téton entre mes doigts. De ma main coincée je ne pouvais bouger que les deux doigts qui étaient dans son vagin. Prenant mon temps, je recourbais un doigt puis l'autre, redressais le premier puis l'autre, pour recommencer le processus. Il ne m'a pas fallut longtemps avant qu'elle libère mon poignet.
Maintenant je voulais lui donner autre chose à penser. Je me penchais en avant et capturais l'anneau qui pendait d'un de ses mamelons entre mes dents, suçant le mamelon avec mes lèvres. J'ai utilisé ma langue pour déplacer l'anneau d'avant en arrière et le tirer légèrement vers moi. Utilisant ma main libre entre ses cuisses, je l'ai forcée à écarter encore plus ses jambes. Travaillant avec mes deux doigts à l'intérieur de sa chatte, massant son clitoris avec mon pouce. Haletante, elle gémissait et geignait et, même si elle avait toujours les mains en contact avec mon poignet, elle n'essayait plus de restreindre mes mouvements.
Je ne pourrais pas dire combien de temps je l'ai masturbée. Travaillant à la fois son sein et sa chatte, plusieurs fois je l'ai sentie se crisper en gémissant plus fort, à chaque fois j'ai stoppé net mes sollicitations, provocant des signes de mécontentement. Mais je la voulais à ma botte, obéissante et soumise. J'ai profité de son corps le plus longtemps possible. Ce n'était pas parce que je n'appréciais pas ce que je faisais que je m'arrêtais, mais il y a une chose que j'apprécie beaucoup plus. J'ai totalement cessé tout contact avec elle, ne la touchant en aucune façon. Sa réponse fut un halètement, comme quelqu'un en manque. Ses yeux exprimaient un mélange de souffrance et de colère. Cela me fit sourire, j'avais réussi la première partie de mon plan.
Je l'ai laissée là, pantelante, pendant quelques secondes et puis je l'ai attrapée, tirée, roulée et poussée pour qu'elle soit maintenant allongée sur le dos, sur le lit, à côté de moi. Alors, assis à côté de Sharon, j'admirais son corps, pendant que je déboutonnais puis ôtais ma chemise. Je l'ai jetée dans un coin de la pièce et elle a été rapidement rejointe par mes deux chaussures et une chaussette. Il m'a fallu un peu plus de temps avant que je puisse retirer mon autre chaussette. J'avais son jouet planqué dans la chaussette.
Son jouet est un gode pourpre, c'est son préféré et j'ai tendance à croire qu'il ressemble beaucoup au sexe de son ex-mari. J'aime l'utiliser sur elle pour le plaisir qu'il lui fourni. J'ai fini de me déshabiller rapidement, en jetant son jouet sur le lit, à côté d'elle.
Ma bite n'est pas aussi longue et aussi épaisse que son jouet, mais son jouet ne sera jamais aussi raide que je le suis en ce moment.
Je me suis positionné entre ses jambes écartées pour concentrer mon attention sur sa chatte rasée. Je pris le temps de l'admirer en profitant de l'éclat de ses jus. Et puis, j'ai commencé avec une jambe. Posant ma langue dessus, je l'ai promenée juste à l'intérieur de sa cuisse, près de l'aine. J'ai répété l'opération plusieurs fois, en prenant soin de se rapprocher des lèvres de sa belle chatte sans les toucher. Chaque fois que je me rapprochais, sa jambe tremblait. Et puis, j'ai recommencé le même processus sur l'autre jambe avant de me concentrer sur la fourche entre ses jambes. Du bout de ma langue j'écartais ses grandes lèvres, savourant le goût sucré.
Puis j'ai suivit le sillon qui m'a conduit jusqu'à son clitoris. J'ai pris le temps de le taquiner doucement en utilisant seulement le bout de ma langue. Je l'ai entendue gémir et j'ai senti son corps frémir. Cela m'a plu de lui apporter du plaisir. Pendant que je massais son clitoris avec ma langue, en faisant attention à n'utiliser que la pointe, j'ai commencé à écarter les lèvres de sa chatte avec mes pouces jusqu'à ce que son ouverture soit complètement exposée. Puis j'ai mordillé son clitoris.
Immédiatement, elle replia ses jambes et ses mains plaquèrent mon visage contre sa chatte. Ce n'était pas de la douleur, mais un pur bonheur. Il n'y avait aucun doute dans mon esprit qu'elle appréciait ce que je lui faisais. J'ai maintenu la pression un bref instant. Puis j'ai recommencé la caresse du bout de la langue. Très doucement, je massais le bouton de sa féminité. Elle augmenta la pression de ses mains sur ma nuque, sentant arriver une vague de bonheur, mais je voulais retarder sa jouissance. Par conséquent, j'ai abandonné son clitoris pour glissé ma langue vers l'ouverture de sa chatte.
Les jus qui s'échappent de sa chatte sont comme du miel pour moi. J'aime pénétrer sa chatte avec ma langue. Ma seule déception provenait du fait que ma langue n'était pas assez longue. Et puis j'ai commencé à la niquer avec ma langue comme si c'était un petit sexe. Ma plus grande crainte résidait dans ma propre résistance. Plus je la taquinais, plus mes sens s'enflammaient, et je risquais l'éjaculation précoce. Je devais la maintenir en état de grande excitation tout en me calmant moi-même.
J'ai remonté ma bouche et ma langue tout au long de sa chatte, jusqu'à son clitoris. Puis j'ai continué à me déplacer sur son pubis, son ventre, m'arrêtant momentanément pour jouer avec l'anneau d'or qui reposait sous son nombril. Puis, j'ai continué mon voyage le long de sa poitrine, glissant entre ses seins gonflés, gobant les tétons, puis vers son cou et jusqu'à son oreille que j'ai mordillée.
Ensuite, je l'ai embrassée amoureusement.
Elle avait déjà enserré ma taille entre ses jambes, poussant avec ses talons contre mes fesses, espérant que ma bite durcie viendrait pénétrer sa chatte affamée. Ses bras m'ont entouré, essayant de me plaquer contre elle. J'aimais la voir quémander comme ça, mais je voulais que ça dure encore un peu.
Je murmurais à son oreille: "Pas tout de suite, ne penses même pas à jouir.""Ooh! S'il te plaît!" gémit-elle. Comme j'ai aimé ce moment où elle s'abandonne, suppliante et soumise.
"Non" murmurai-je sévèrement: "J'ai mieux en tête pour toi, mais nous devons faire quelques ajustements." Sur ce, je roulais sur moi-même, m'éloignant d'elle, et je me plaçais sur le lit de manière à voir la porte de la chambre.
Sharon agenouillée au bord du lit, entre mes jambes, le cul tourné vers la porte. Cela ne m'a pas pris très longtemps pour nous placer exactement comme je le voulais.
Je lui ai tendu "son jouet" et lui ai demandé de s'en servir. Elle m'a obéit, souriante. Positionnant l'objet contre l'ouverture de sa chatte. "Doucement" lui soufflais-je. "Prends ton temps, profite, allume l'assistance!"Sur ce, je me suis positionné sous elle, j'ai glissé ma main dans ses cheveux courts, puis je guidais son visage vers ma queue dressée.
Pour la pipe, c'est une véritable artiste. Je ne sais pas si c'est quelque chose d'inné chez elle, juste un instinct naturel qui récompense le plaisir qu'elle reçoit en accomplissant ce geste, ou si un grand maître a pu lui enseigner cet art. Mais quand elle joue sa partition sur moi, peu importe où et comment elle l'a appris. Personne, jamais, aucune femme n'a pu me faire ce que Sharon me fait.
Elle a commencé par caresser le gland avec sa langue. Dégustant le pré-éjacula qui suinte. Dans un premier temps, elle ne s'occupe que du gland. De la langue, des lèvres et des dents, elle taquine le gland. Léchant, suçant et mordillant, elle me fait courir des frissons le long de la tige. Inconsciemment, toute à son art, elle sourit. Ensuite, elle a léché ma bite sur toute sa longueur à de nombreuses reprises, la laissant luisante de salive. Puis, mon pieu suffisamment lubrifié à son goût, elle plaça ses lèvres contre le gland et enfonça mon orgueil dans sa bouche jusqu'à ce que ses lèvres viennent toucher mon pubis. Là, elle a fait une pause, ma bite totalement encastrée dans sa bouche, et a manœuvré avec sa langue tout le long de la tige. On aurait crû qu'une main de velours enserrait et masturbait ma colonne de chair. C'était divin!
Depuis le début de l'opération, je garde un œil sur la porte. Je me fiche de ceux qui nous regardent, je veux juste savoir si quelqu'un entre dans la pièce. Et si quelqu'un entre, que ce soit la bonne personne, celle que j'attends, et pas n'importe qui!
C'est juste quand elle a totalement englouti ma bite que j'ai vu la porte s'ouvrir et la personne entrer. La bonne personne.
Alors, je me suis adressé à ma femme: "Ton jouet, bébé, travaille ta chatte avec ton jouet!"Sharon a marmonné quelque chose d'inaudible. Difficile de parler la bouche pleine.
Je voulais être sûr: "Tu dis quoi, Princesse?"Elle a ôté ma bite de sa bouche. Me regardant en souriant, elle répondit doucement "Oui, Monsieur"Merde, comme elle est bandante quand elle joue ce jeu sexuel de maître/esclave. J'ai failli partir avant l'heure!
"Bonne fille! Joue doucement! Reste au bord! Je ne veux pas que tu jouisses! Pas encore! Pas tant que tu n'auras pas une bite en toi! Tu pourras jouir seulement avec une bite dans ta chatte! OK?"Elle l'a compris et l'a accepté. Peu importe que ce soit ce qu'elle avait envie, puisque je lui avais indiqué mon désir, je savais qu'elle allait tout faire pour me plaire. Il y avait une petite déception dans ses yeux quand elle répéta: "Oui, Monsieur"J'ai laissé Sharon s'amuser avec ma bite et avec son jouet, en la félicitant:"Bonne fille! Suce-moi bien!" Ajoutant: "Rappelle-toi, tant qu'une queue est dans ta chatte, tu peux jouir autant que tu veux!" À cet instant, je me suis intéressé à l'homme qui venait de pénétrer dans la pièce, épiant ses gestes à travers mes paupières mi-closes.
Il était entré dans la pièce, faisant attention de ne pas faire de bruit pour ne pas déranger. Refermant et verrouillant pour ne pas être interrompu, il resta là à admirer le cul bien formé de ma femme qu'elle tenait haut dans les airs, fesses écartées, l'anneau marron barrant la fente et en dessous, cette tige pourpre qui disparaissait dans sa chatte. Ma femme se masturbait à un rythme régulier.
Il s'approchait lentement d'elle. Il détaillait tranquillement Sharon. Son cul bien moulé, le jouet pourpre qui coulissait dans sa chatte, et aussi cet anus offert qui lui faisait dresser sa queue. Il tendait ses mains vers ce cul joufflu, à quelques centimètres, mais sans le toucher, comme s'il se réchauffait les mains sur un petit feu par une nuit fraîche.
Je posais mes deux mains sur la nuque de Sharon, passant mes doigts dans ses cheveux courts. J'étais persuadé qu'au moment où il la toucherait, elle sursauterait. Mon idée était de la retenir un instant, pour que sa réaction initiale se calme et lui donner une chance dans ses avances.
Il n'osait pas poser ses mains sur son cul nu par peur d'interrompre ce mouvement qui l'hypnotisait, ce jouet pourpre entrant et sortant de cette chatte juteuse à un rythme agréable. Il déplaça ses mains plus haut sur son cul, au bas des reins. Il a posé ses mains à plat, en faisant doucement. Il a ensuite déplacé légèrement ses doigts vers ses hanches. Elle semblait ne pas s'apercevoir de sa présence.
Elle devait être fatiguée d'avoir ma bite au fond de sa bouche, car elle a ressortit ma queue pour lécher la tige, puis embrasser le gland, et la couvrir de petits baisers sur toute la longueur. Elle descendit un peu plus bas, prendre une de mes couilles dans sa bouche. Cela me rendit un peu anxieux. Supposons qu'elle se rende compte de la présence d'un homme derrière elle juste à ce moment. Qu'elle sursaute et qu'elle morde. Mes couilles sont beaucoup plus fragiles que ma bite.
D'un autre côté, si j'interrompais Sharon dans ses œuvres et que le gars derrière elle bougeait, il pourrait bien la faire cesser toute activité en révélant sa présence. Je suis donc restée immobile, priant pour que son mouvement ne soit pas interrompu brutalement, et qu'elle continue à me sucer doucement. Utilisant sa langue, elle faisait tourner l'objet sensible dans sa bouche.
Je fermais complètement les yeux en savourant les sensations qui traversaient mon corps et mon esprit. D'une part, la sensation bénie due aux bons soins de ma femme. De l'autre, l'excitation due à la présence de quelqu'un avec nous.
Une caresse légère du bout des doigts sur tout son cul pour faire connaissance, puis recommencer le même mouvement en appuyant un peu plus fort pour en apprécier l'élasticité. Sharon n'avait aucune réaction. Elle semblait ne pas se rendre compte de sa présence. Il appréciait la vue de cet œillet brun qui semblait cligner de l’œil chaque fois que le jouet pourpre pénétrait la chatte de Sharon. Cet orifice le tentait beaucoup, pourtant je l'avais averti de ne pas placer sa bite dans ce trou.
Il déplaça sa main et posa son pouce contre son anus.
Difficile de savoir ce que Sharon pensait. Quand elle a pris conscience de la présence d'un autre homme, elle s'est figée. Elle a arrêté sa succion sur mes couilles et a cessé de se masturber avec son jouet. Elle est en attente. Bien sûr, on en a parlé depuis des semaines, de ce plan à trois et elle se doutait bien qu'elle serait mise à l'épreuve. Je comprenais qu'elle désirait ce piment dans notre couple et qu'en même temps elle le redoutait. J'avais arrangé ce scénario pour lui plaire mais aussi pour faire tomber cette dernière barrière psychologique, celle qui l'empêchait de se libérer sexuellement.
Mais comme elle avait arrêté sa caresse, j'ai supplié: "Non, chérie, s'il te plaît, n'arrête pas!" Et j'ai resserré ma prise sur ses cheveux.
Maintenant, c'était peut-être dû à la caresse de l'autre homme, elle continua à me taquiner avec sa langue, mais elle ne le faisait plus avec la même intensité qu'avant. C'était comme si son esprit n'était pas complètement concentré sur ce qu'elle faisait.
Avec son pouce il a commencé à masser l’œillet brun. Ne pas appliquer de pression comme pour entrer dans l'anus. Simplement pour la détendre et la taquiner. En s'apercevant qu'elle appréciait sa caresse, il commença à augmenter la pression de son pouce et vit l'ouverture se détendre et s'ouvrir pour le recevoir.
Elle se tenait parfaitement immobile et ne faisait aucun mouvement pour s'échapper, il décida de laisser son pouce pénétrer entièrement en elle. Une fois là, il commença lentement à retirer son pouce, puis répéta le processus encore et encore. Comme elle ne bougeait plus sa main qui tenait le jouet pourpre, il saisit l'outil mauve. Il était aussi lubrifié que s'il venait d'être plongé dans l'huile. Le même lubrifiant qui poissait les doigts de la femme et suintait de sa chatte.
Il commença à la masturber dans un rythme aussi proche que possible de celui de son pouce. Il sentit la femme se cambrer en soupirant. Il travaillait avec les deux outils, le jouet et son pouce. Comme elle semblait apprécier à ce qu'il faisait, il accéléra un peu son rythme.
Sharon n'émettait aucune plainte, mais elle se repositionnait. Prenant appui de ses deux mains sur mes cuisses, elle se contentait de suçoter mon gland du bout des lèvres, se cambrant et écartant ses cuisses au maximum, offrant ses orifices à l'inconnu derrière elle, son esprit entièrement concentré sur les caresses qu'elle recevait.
Il était évident pour l'inconnu que Sharon était très sensible à ce qu'il lui faisait. En même temps, s'il était heureux de pouvoir lui plaire, il était très conscient de l'état de sa queue ... Elle s'était dressée et raidie depuis qu'il était entré dans la pièce et il était très désireux de la faire pénétrer dans la chatte trempée de cette belle femme.
Dans le même mouvement, il retira le gode de la chatte à Sharon et son pouce de son anus, et inter-changea les deux outils dans les deux orifices. Une fois en position, il enfonça rapidement son pouce dans la chatte bruissante de ma femme alors que ses doigts massaient son clitoris. Il a rapidement enfoncé le jouet en caoutchouc dans les entrailles de ma femme. Bouche grande ouverte, souffle court, Sharon, les yeux fermés, vibrait des sensations que lui procuraient ces deux pénétrations conjointes. Incapable désormais de me sucer, elle posa son front sur mon ventre, agrippa mon sexe d'une main pour me masturber. Mais j'étais déjà si excité que je devais me concentrer pour ne pas éjaculer trop tôt.
Le jouet pourpre enfoncé à mi-chemin, il enleva le pouce de sa chatte trempée et présenta sa bite à l'entrée de son orifice. Il s'est enfoncé dans son vagin sans rencontrer la moindre résistance et son ventre a heurté le gode, le faisant s'enfoncer aussi.
Ensuite, il saisit Sharon par ses hanches et commença à poignarder sa chatte accueillante.
La chaleur, la douceur de cette chatte qui enserrait sa bite lui a causé une forte réaction. Presque instantanément, il était prêt à jouir. Personne ne lui avait déjà causé une telle réaction auparavant. Il essayait de se concentrer pour pouvoir durer longtemps.
Il a accéléré son rythme. Il sentait son pubis heurter le jouet pourpre, le faisant pénétrer profondément dans l'anus de Sharon tandis que sa queue lui perforait la chatte. Les yeux fermés, les dents serrées, sa tête roulant de droite à gauche, l'esprit obnubilé par une seule pensée, le désir de tenir, de résister à l'envie d'éjaculer qui montait de ses reins. Il l'a senti venir. Et puis le corps de la femme sous lui se mis à trembler. Sa respiration haletante devint sifflante, son corps s'est arqué sur cette bite qui la travaillait en profondeur.
Sa chatte agrippait sa queue comme pour essayer de la retenir en elle. L'emprise de sa chatte ne faisait qu'ajouter aux sensations extrêmes qui se formaient en lui.
Et puis, sans prévenir, la femme s'est simplement effondrée. Elle l'a laissé à genoux sur le lit, sans aucune idée de ce qui venait de se passer. L'instant d'avant, il était si bien, jouissant de la chaleur de cette chatte avide et, sans prévenir, il s'est retrouvé la queue à l'air, aussi dure qu'une barre d'acier, et la femme qu'il était en train de baiser était allongée sur son mari.
Pendant ce temps, Sharon rampait sur moi, son corps se lovant contre le mien, ses rondeurs épousant mes formes et nos deux bouches s'aimaient avec passion. Nos lèvres serrées l'une contre l'autre, nos bouches s'ouvraient, et chacun essayait de mettre sa langue dans la bouche ardente de l'autre.
D'une main, elle saisit mon sexe et, soulevant son bassin, vint s'empaler dessus. Rendu fou de désir, je m'agrippais à ses hanches, à ses seins, pour la baiser durement. Mais l'autre gars, frustré de s'être fait voler la place dans la chatte de Sharon, retira le jouet pourpre de son cul pour y installer sa bite. Il a pris la jambe de Sharon et l'a soulevée avant d'approcher sa bite.
C'est alors que j'ai senti le mouvement de ma femme et en levant les yeux j'ai vu l'autre mâle se mettre en position pour enculer ma femme. Quand il fut dans la position qu'il désirait, il pénétra son anus d'une seule poussée. Son sexe glissa facilement en elle.
En quelques secondes, il appréciait de nouveau grandement la sensation que son corps ressentait ... le résultat de l'activité qu'il effectuait. De manière coordonnée, nous nous sommes tous deux enfoncés en elle. Il semblait que chacun l'utilisait strictement dans l'intention de satisfaire son propre désir égoïste. J'ai regardé comment l'autre homme s'était enfoncé dans ma femme, et j'ai adopté le même rythme.
Je déplaçais mes hanches de bas en haut , répondant aux coups de l'autre homme de haut en bas.
Je n'allais pas pouvoir me retenir plus longtemps. En un rien de temps, c'était un désir bestial de céder à ce flot d'émotions qui me submergeait. Et juste à ce moment-là, j'ai vu l'autre gars plonger profondément et durement sa queue dans ma femme et rester figé là, tenant fermement ses hanches comme s'il était terrifié de s'éloigner d'elle. Il avait la tête rejetée en arrière et un son s'échappait de sa gorge. Il se sentait arriver, dur et rapide, et savait qu'à ce moment la libération qu'il avait cherchée allait finalement être atteinte.
J'avais atteint mon paroxysme, laissant fuser une crue de sperme qui giclait profondément dans la chatte de ma femme.
Ma femme n'a pas réussi à gérer cette double éruption et fut elle-même emportée par un orgasme dévastateur.
Ceux qui se tenaient à l'extérieur de la pièce et regardaient par la fenêtre étaient bien conscients que chacun des partenaires avaient jouis presque au même moment. Quelques-uns faisaient des commentaires sur ce qu'ils avaient vu se dérouler là sur le lit. Ils virent l'homme se détacher de la femme et sortir du lit, laissant le couple se reposer sur le lit, chacun perdu dans ses pensées.
Je n'étais même pas au courant que l'homme partait. J'ai entendu ma femme me demander si tout allait bien. C'était important pour moi de lui faire savoir que j'étais content d'elle. Le moment le plus merveilleux que je pouvais me souvenir d'avoir vécu. J'ai ouvert les yeux et je l'ai vue allongée là à me regarder. Pour quelle raison, cette inquiétude dans ses yeux? Quelque chose l'ennuyait et je n'avais aucune idée de ce que c'était. Je l'ai prise dans mes bras. Je savais qu'aucun mot ne devait être prononcé. Car chacun de nous ressentait de l'amour envers l'autre, et chacun de nous était bien au-delà du bonheur, et pas seulement pour ce qui venait de se passer.
L'ancien entrepôt était reconverti en un club libertin. Un endroit où les gens de toutes couleurs et de tous milieux se réunissent avec une seule idée en tête, BAISER. Une fois garé, nous nous sommes dirigés lentement vers une porte éclairée de lumières vives. En nous faufilant entre les voitures, nous vîmes plusieurs femmes en train de se changer, troquant leurs habits de ville contre des tenues plus sexy.
Dès que nous eûmes franchi la porte, un petit panneau s'est ouvert et un homme âgé a demandé s'il pouvait nous aider. Je me suis présenté, en me recommandant de M. Frank, mon parrain, qui avait averti le club et que nous assisterions à cette soirée. Le vieil homme s'est présenté comme M. Frank et m'a tendu une main tremblante. Ce monsieur avait une main chaude et une forte poigne.
Il nous désigna une porte en nous disant que sa femme allait s'occuper des formalités d'inscription.
En franchissant la porte, nous nous sommes retrouvés dans un bureau très luxueux et décoré avec goût. Dès notre entrée, nous fûmes accueillis par une femme d'un âge avancé mais très sexy et très attirante. Elle se leva en souriant chaleureusement et se dirigea vers nous, la main tendue. Elle nous fit prendre place dans de confortables fauteuils, nous offrit des cocktails de bienvenue, en nous expliquant l'histoire de ce club, passant en revue les règles de bienséance. Elle nous a ensuite donné une demande d'adhésion à remplir en détaillant les coûts et ce à quoi nous aurions droit.
Trop impressionné par l'atmosphère du lieu, je n'arrivais pas à me concentrer sur le babillage de la vieille femme.
Ma seule préoccupation était de remplir le formulaire. J'aurais probablement dû demander son avis à ma femme, mais j'ai simplement pris le stylo, répondu aux questions et ensuite rendu le formulaire à la femme avec mon chèque.
Ensuite, la femme âgée nous a emmenés visiter les lieux.
Le club a été aménagé en plusieurs espaces offrant chacun quelque chose de différent. Le premier espace était l'espace détente. Il offrait une piscine, des bains à remous, des saunas, des plages équipées de fauteuils, ainsi que des vestiaires séparées pour les hommes et les femmes où chacun pouvait se doucher, changer de vêtements avec des casiers pour ranger les affaires. Comme c'était notre première fois et que personne ne nous avait parlé de la piscine, nous n'avions pas apporté de maillot de bain. Bien sûr, à en juger par la tenue des personnes présentes à cet instant, les maillots de bain n'étaient pas nécessaires.
Le deuxième espace était une sorte de dancing. Il y avait de la musique, une piste de danse, un bar, avec buffet et des boxes, sortes de recoins équipés de canapés profonds et confortables, où des groupes pouvaient se prélasser ou se bécoter. Peut-être même qu'à des moments différents, cet espace pouvait être utilisé à un autre usage, mais à ce moment-là, nous étions les trois seules personnes présentes.
Le dernier espace était clairement un baisodrome. Soudain, je me suis sentis mal à l'aise, ma tenue, chemise blanche, pantalon noir, chaussures cirées, ne convenait visiblement pas à l'endroit. Beaucoup trop habillé. Ma femme aussi, sa petite robe noire sexy avec les dentelles qui avaient du mal à contenir sa plantureuse poitrine, faisait tache dans cette espace où la plupart des personnes présentes étaient très peu vêtues. D'un coup d’œil circulaire, je vis pêle-mêle des personnes curieusement déguisées en animaux, des hommes portant des couches-culottes, des femmes vêtues de cuir, en corset, ou liées par des cordes. Toute une cour des miracles du déguisement loufoque, égrillard, et une majorité de gens entièrement nus. Et nous étions tous les trois habillés comme si nous allions à un concert. Nous avons traversé ce salon et nous nous sommes engagés dans un long couloir.
De part et d'autre de ce couloir, se trouvait des chambres. Chaque chambre contenait un lit et était équipée d'une fenêtre. On pouvait accéder à une chambre si la porte était ouverte, occupée ou non. Les personnes qui s'y trouvaient pouvaient décider, soit de laisser la porte ouverte pour que d'autres personnes puissent les rejoindre, soit de fermer le verrou pour ne pas être dérangés. De même pour la fenêtre, ils pouvaient tirer les rideaux pour s'isoler ou les laisser ouverts afin que d'autres puissent profiter du spectacle. Cela dit, elle nous a demandé si nous avions des questions. Nous n'avions pas de questions et la femme nous a planté là, entre le salon et le couloir.
Nous étions là tous deux, un peu décontenancés, et parlant entre nous à voix basse. J'ai suggéré de remonter le couloir pour voir ce qui se passait dans les chambres. La plupart étaient occupés, portes closes, volets tirés. Quelques unes étaient vides. Une seule était occupée, porte ouverte, rideaux ouverts. Beaucoup de monde devant cette pièce se pressait pour regarder, difficile de voir ce qui s'y passait, deux couples s'y livraient à des jeux plutôt acrobatiques.
En voulant profiter de ma taille pour me faufiler afin de mieux voir, je pris conscience de la façon dont ma tenue me mettait hors jeu.
Sharon aussi, qui avait l'air très sexy dans sa robe noire, n'était pas à sa place dans ce couloir où l'essentiel des gens étaient nus.
Nous sommes retournés dans le salon mais, là encore, notre tenue ne convenait pas à l'endroit, où des gens curieusement déguisés se livraient à des jeux divers. Nous avons traversé cette pièce pour retourner dans l'espace dancing, prendre un verre au bar et discuter de ce que nous avions vu.
J'étais très excité à propos de ce que nous venions de voir dans le couloir. Ce qui se passait à l'intérieur des chambres, bien sûr, mais aussi la proximité de l'assistance, dans le couloir. Il y avait aussi quelques femmes avec qui j'aurais aimé passer du temps. Sharon a avoué qu'elle avait aussi trouvé les activités plaisantes et que quelques messieurs l'intéressaient.
Je l'ai attirée contre moi, j'ai mis mon bras autour de sa taille, et je me suis penché pour l'embrasser. Elle a ouvert la bouche et me rendit mon baiser, aussi passionnément que je lui donnais. C'était une combinaison de l'excitation que nous avions ressentie à l'étage et de notre passion l'un pour l'autre. Son corps se serrait contre le mien, ses seins pressés contre ma poitrine. J'étais prêt à la prendre là, sur la moquette.
Nous sommes restés là longtemps, à nous embrasser, enlacés, amoureux. Ses yeux, lorsque nous nous sommes séparés, disaient clairement: "Je t'aime, prends-moi maintenant!" Nous étions en parfaite harmonie, je ne me préoccupais plus de rien d'autre que de l'emmener dans une chambre pour la baiser. Je lui pris la main et commençais à l'entraîner dans les escaliers. Je traversais le salon sans rien voir, remontais le couloir avec ma femme en remorque. En cet instant, je n'avais qu'une idée en tête, trouver une chambre vide où je pourrais la prendre et profiter de son corps.
Mais en passant devant une fenêtre ouverte, j'ai jeté un coup d’œil à l'intérieur, et je suis immédiatement arrêté. Je voulais regarder l'action dans cette pièce. Il y avait deux couples. Une femme était allongée sur le dos, la tête pendante sur le côté du lit, complètement nue. Les jambes repliées et maintenues écartées par un homme agenouillé qui la baisait durement. Elle suçait la bite d'un autre homme qui se tenait debout, les jambes écartées, juste au-dessus de sa tête. La plupart du temps, il restait droit pour que la femme puisse sucer son gland. Et de temps en temps, il pliait les jambes pour s'enfoncer dans la bouche accueillante. Une autre femme était à califourchon sur la première, la bouche soudée à la bouche de l'homme debout, une main prenant appui sur la poitrine de l'homme qu'elle embrassait, l'autre main triturant le sein de la femme couchée.
Ma femme vint s'appuyer contre moi, sa main sur ma fesse, pour regarder la scène se dérouler devant nous. Je l'enlaçais par les épaules, puis descendais ma main sur son sein, palpant le mamelon déjà dur à travers le mince tissu de sa robe. Nous regardions les quatre personnes évoluer dans la chambre en nous pelotant mutuellement.
Des quatre acteurs devant nous, seul l'homme agenouillé entre les cuisses de la femme couchée sur le dos semblait motivé. Les trois autres n'ont pas changé de position. La femme sur le dos ne faisait que téter le gland dans sa bouche. L'homme debout échangeait des baisers lourds et passionnés avec l'autre femme et, à l'occasion, il bougeait son bassin de haut en bas, s'enfonçant dans la bouche gourmande. L'autre femme semblait se contenter de ses baisers et de jouer avec le mamelon de la femme couchée. Pourtant, l'homme agenouillé travaillait avec vigueur la chatte de la femme couchée sous lui.
J'étais excité et étonné par ces deux couples. Pas tellement à cause de leurs positions respectives, mais parce qu'ils ne me semblaient pas intéressés par ce qu'ils faisaient. Je ne percevais pas pourquoi ils semblaient si blasés, et pourquoi ils perdaient leur temps.
Mais la possibilité de rester là, à les regarder faire un tel acte, le partage avec ma femme, sa présence contre moi, son mamelon qui durcissait sous ma caresse, m'échauffait les sens. J'espérais que Sharon éprouvait une sensation similaire et que de sa chatte, une source de jus sucrés humidifiait son entrejambe.
Je fus soudain conscient du monde qui nous entourait. Autour de nous, il y avait une demi-douzaine de personnes et tous regardaient la scène se dérouler dans la chambre. Sauf un. Un homme se tenait très proche de Sharon et ses yeux étaient fixés sur ma main caressant son sein. J'espérais qu'il nous suivrait.
J'ai commencé à m'éloigner avec ma femme à la recherche d'une chambre libre. Au bout du couloir, j'ai trouvé mon bonheur. Pénétrant dans la pièce, j'ai refermé la porte sans la verrouiller et j'ai laissé les rideaux ouverts. Je m'assis sur le bord du lit et je l'attirais contre moi, entre mes jambes écartées. Levant les yeux vers elle, je commençai à caresser lentement l'arrière de ses cuisses sous le bas de sa robe. Elle me regardait passionnément. Elle me transmettait son désir et pourtant il y avait quelque chose d'autre que je ne pouvais pas comprendre. Elle tournait le dos à la fenêtre ouverte. En remontant mes mains sur ses jambes gainées de soie, mes bras ont soulevé le bas de sa robe de plus en plus haut. Je palpais la chair nue au-dessus des bas. Je glissais mes doigts sous les sangles du porte-jarretelles. Sharon avait posé ses mains sur mes épaules, et me regardait sans faire un geste, tandis que mes mains palpaient son cul nu.
Je ne savais pas s'il y avait quelqu'un qui se tenait à la fenêtre ou pas. Ma femme devant moi m'obstruait la vue et je ne voulais pas savoir. J'espérais qu'il y avait beaucoup de monde, se pressant pour admirer les fesses de la belle femme que je tenais entre mes bras. Je voulais que tout le monde voit Sharon. Pour envier ma chance d'être aimé de cette superbe femelle.
Mes doigts palpaient la chair ferme de ses fesses, et j'ai remonté un peu plus sa robe pour la coincer dans la ceinture de son porte-jarretelles, laissant son cul entièrement à découvert. Ensuite, mes mains sont redescendues, suivant le chemin de la fente de son cul, jusqu'à son entrejambe humide de ses jus. Alors que mes doigts exploraient cette zone, ses mains se resserrèrent sur mes épaules.
Je commençai à masser l'ouverture humide et elle changea rapidement de position, se cambrant en écartant les jambes, afin que mes doigts aient un meilleur accès à sa chatte impatiente. Et j'étais pleinement disposé à profiter de cette opportunité.
Je glissais deux doigts dans l'ouverture de sa chatte humide. Lentement, me faisant désirer. La vulve parfaitement lubrifiée était accueillante et chaude. Sharon, les yeux fermés, sa respiration se fit plus profonde. J'espérais que, depuis la fenêtre, beaucoup de monde pouvait voir mes doigts s'enfoncer dans sa chatte. En voyant son visage se crisper, je ne pouvais pas savoir si c'était de plaisir ou si elle était préoccupée par la possibilité que quelqu'un pouvait observer son cul depuis la fenêtre.
Mes deux doigts coulissant profondément dans sa chatte, j'ai appuyé mon pouce sur son clitoris, massant de façon circulaire son bourgeon érigé. Ses doigts se sont crispés sur mes épaules, son corps s'est mis à trembler, j'ai compris que son orgasme allait arriver, alors j'ai stoppé mon mouvement, la laissant se calmer pour me faire désirer.
Ouvrant les yeux, elle m'apostropha: "Qu'est-ce que tu fais? Pourquoi tu t'arrêtes?"Sans me laisser intimider, de ma main libre je soulevais sa robe: "Enlève ta robe!"Elle semblait rétive et il était évident qu'elle ne voulait pas se déshabiller. J'ai agrippé la robe, je l'ai secouée en lui répétant d'une voix plus forte et plus dure: "Déshabille-toi! Enlève ta robe!"Ses yeux clignèrent plusieurs fois avant de faire passer la robe par-dessus sa tête. Elle se tenait là devant moi, sa robe à la main, en soutien-gorge, sa ceinture retenant ses bas par les porte-jarretelles, campées sur ses chaussures à talons hauts, mes doigts enfoncés dans sa chatte, donnant l'image d'une salope bourgeoise venue s'exhiber pour se faire sauter par n'importe qui. Satisfait, car c'est exactement l'effet que je recherchais, je lui arrachais sa robe des mains et je l'ai jetée par-dessus ma tête, sans voir où elle atterrissait.
Mais je voulais savoir. Je me suis penché pour regarder la fenêtre. J'ai été récompensé par une demi-douzaine de paires d'yeux qui nous scrutaient. Ma femme, surprenant mon geste, a tourné la tête pour regarder elle aussi. Je l'ai sentie se figer. Rapidement, j'ai repris mon mouvement dans sa féminité, deux doigts pénétrants sa chatte, le pouce massant son clitoris.
Instantanément, elle a serré les jambes, un gémissement rauque s'est échappé de sa bouche et elle a saisi mon poignet d'une main.
Utilisant ma main libre, j'ai fait glisser son sein hors du bonnet de dentelle, et j'ai massé son téton entre mes doigts. De ma main coincée je ne pouvais bouger que les deux doigts qui étaient dans son vagin. Prenant mon temps, je recourbais un doigt puis l'autre, redressais le premier puis l'autre, pour recommencer le processus. Il ne m'a pas fallut longtemps avant qu'elle libère mon poignet.
Maintenant je voulais lui donner autre chose à penser. Je me penchais en avant et capturais l'anneau qui pendait d'un de ses mamelons entre mes dents, suçant le mamelon avec mes lèvres. J'ai utilisé ma langue pour déplacer l'anneau d'avant en arrière et le tirer légèrement vers moi. Utilisant ma main libre entre ses cuisses, je l'ai forcée à écarter encore plus ses jambes. Travaillant avec mes deux doigts à l'intérieur de sa chatte, massant son clitoris avec mon pouce. Haletante, elle gémissait et geignait et, même si elle avait toujours les mains en contact avec mon poignet, elle n'essayait plus de restreindre mes mouvements.
Je ne pourrais pas dire combien de temps je l'ai masturbée. Travaillant à la fois son sein et sa chatte, plusieurs fois je l'ai sentie se crisper en gémissant plus fort, à chaque fois j'ai stoppé net mes sollicitations, provocant des signes de mécontentement. Mais je la voulais à ma botte, obéissante et soumise. J'ai profité de son corps le plus longtemps possible. Ce n'était pas parce que je n'appréciais pas ce que je faisais que je m'arrêtais, mais il y a une chose que j'apprécie beaucoup plus. J'ai totalement cessé tout contact avec elle, ne la touchant en aucune façon. Sa réponse fut un halètement, comme quelqu'un en manque. Ses yeux exprimaient un mélange de souffrance et de colère. Cela me fit sourire, j'avais réussi la première partie de mon plan.
Je l'ai laissée là, pantelante, pendant quelques secondes et puis je l'ai attrapée, tirée, roulée et poussée pour qu'elle soit maintenant allongée sur le dos, sur le lit, à côté de moi. Alors, assis à côté de Sharon, j'admirais son corps, pendant que je déboutonnais puis ôtais ma chemise. Je l'ai jetée dans un coin de la pièce et elle a été rapidement rejointe par mes deux chaussures et une chaussette. Il m'a fallu un peu plus de temps avant que je puisse retirer mon autre chaussette. J'avais son jouet planqué dans la chaussette.
Son jouet est un gode pourpre, c'est son préféré et j'ai tendance à croire qu'il ressemble beaucoup au sexe de son ex-mari. J'aime l'utiliser sur elle pour le plaisir qu'il lui fourni. J'ai fini de me déshabiller rapidement, en jetant son jouet sur le lit, à côté d'elle.
Ma bite n'est pas aussi longue et aussi épaisse que son jouet, mais son jouet ne sera jamais aussi raide que je le suis en ce moment.
Je me suis positionné entre ses jambes écartées pour concentrer mon attention sur sa chatte rasée. Je pris le temps de l'admirer en profitant de l'éclat de ses jus. Et puis, j'ai commencé avec une jambe. Posant ma langue dessus, je l'ai promenée juste à l'intérieur de sa cuisse, près de l'aine. J'ai répété l'opération plusieurs fois, en prenant soin de se rapprocher des lèvres de sa belle chatte sans les toucher. Chaque fois que je me rapprochais, sa jambe tremblait. Et puis, j'ai recommencé le même processus sur l'autre jambe avant de me concentrer sur la fourche entre ses jambes. Du bout de ma langue j'écartais ses grandes lèvres, savourant le goût sucré.
Puis j'ai suivit le sillon qui m'a conduit jusqu'à son clitoris. J'ai pris le temps de le taquiner doucement en utilisant seulement le bout de ma langue. Je l'ai entendue gémir et j'ai senti son corps frémir. Cela m'a plu de lui apporter du plaisir. Pendant que je massais son clitoris avec ma langue, en faisant attention à n'utiliser que la pointe, j'ai commencé à écarter les lèvres de sa chatte avec mes pouces jusqu'à ce que son ouverture soit complètement exposée. Puis j'ai mordillé son clitoris.
Immédiatement, elle replia ses jambes et ses mains plaquèrent mon visage contre sa chatte. Ce n'était pas de la douleur, mais un pur bonheur. Il n'y avait aucun doute dans mon esprit qu'elle appréciait ce que je lui faisais. J'ai maintenu la pression un bref instant. Puis j'ai recommencé la caresse du bout de la langue. Très doucement, je massais le bouton de sa féminité. Elle augmenta la pression de ses mains sur ma nuque, sentant arriver une vague de bonheur, mais je voulais retarder sa jouissance. Par conséquent, j'ai abandonné son clitoris pour glissé ma langue vers l'ouverture de sa chatte.
Les jus qui s'échappent de sa chatte sont comme du miel pour moi. J'aime pénétrer sa chatte avec ma langue. Ma seule déception provenait du fait que ma langue n'était pas assez longue. Et puis j'ai commencé à la niquer avec ma langue comme si c'était un petit sexe. Ma plus grande crainte résidait dans ma propre résistance. Plus je la taquinais, plus mes sens s'enflammaient, et je risquais l'éjaculation précoce. Je devais la maintenir en état de grande excitation tout en me calmant moi-même.
J'ai remonté ma bouche et ma langue tout au long de sa chatte, jusqu'à son clitoris. Puis j'ai continué à me déplacer sur son pubis, son ventre, m'arrêtant momentanément pour jouer avec l'anneau d'or qui reposait sous son nombril. Puis, j'ai continué mon voyage le long de sa poitrine, glissant entre ses seins gonflés, gobant les tétons, puis vers son cou et jusqu'à son oreille que j'ai mordillée.
Ensuite, je l'ai embrassée amoureusement.
Elle avait déjà enserré ma taille entre ses jambes, poussant avec ses talons contre mes fesses, espérant que ma bite durcie viendrait pénétrer sa chatte affamée. Ses bras m'ont entouré, essayant de me plaquer contre elle. J'aimais la voir quémander comme ça, mais je voulais que ça dure encore un peu.
Je murmurais à son oreille: "Pas tout de suite, ne penses même pas à jouir.""Ooh! S'il te plaît!" gémit-elle. Comme j'ai aimé ce moment où elle s'abandonne, suppliante et soumise.
"Non" murmurai-je sévèrement: "J'ai mieux en tête pour toi, mais nous devons faire quelques ajustements." Sur ce, je roulais sur moi-même, m'éloignant d'elle, et je me plaçais sur le lit de manière à voir la porte de la chambre.
Sharon agenouillée au bord du lit, entre mes jambes, le cul tourné vers la porte. Cela ne m'a pas pris très longtemps pour nous placer exactement comme je le voulais.
Je lui ai tendu "son jouet" et lui ai demandé de s'en servir. Elle m'a obéit, souriante. Positionnant l'objet contre l'ouverture de sa chatte. "Doucement" lui soufflais-je. "Prends ton temps, profite, allume l'assistance!"Sur ce, je me suis positionné sous elle, j'ai glissé ma main dans ses cheveux courts, puis je guidais son visage vers ma queue dressée.
Pour la pipe, c'est une véritable artiste. Je ne sais pas si c'est quelque chose d'inné chez elle, juste un instinct naturel qui récompense le plaisir qu'elle reçoit en accomplissant ce geste, ou si un grand maître a pu lui enseigner cet art. Mais quand elle joue sa partition sur moi, peu importe où et comment elle l'a appris. Personne, jamais, aucune femme n'a pu me faire ce que Sharon me fait.
Elle a commencé par caresser le gland avec sa langue. Dégustant le pré-éjacula qui suinte. Dans un premier temps, elle ne s'occupe que du gland. De la langue, des lèvres et des dents, elle taquine le gland. Léchant, suçant et mordillant, elle me fait courir des frissons le long de la tige. Inconsciemment, toute à son art, elle sourit. Ensuite, elle a léché ma bite sur toute sa longueur à de nombreuses reprises, la laissant luisante de salive. Puis, mon pieu suffisamment lubrifié à son goût, elle plaça ses lèvres contre le gland et enfonça mon orgueil dans sa bouche jusqu'à ce que ses lèvres viennent toucher mon pubis. Là, elle a fait une pause, ma bite totalement encastrée dans sa bouche, et a manœuvré avec sa langue tout le long de la tige. On aurait crû qu'une main de velours enserrait et masturbait ma colonne de chair. C'était divin!
Depuis le début de l'opération, je garde un œil sur la porte. Je me fiche de ceux qui nous regardent, je veux juste savoir si quelqu'un entre dans la pièce. Et si quelqu'un entre, que ce soit la bonne personne, celle que j'attends, et pas n'importe qui!
C'est juste quand elle a totalement englouti ma bite que j'ai vu la porte s'ouvrir et la personne entrer. La bonne personne.
Alors, je me suis adressé à ma femme: "Ton jouet, bébé, travaille ta chatte avec ton jouet!"Sharon a marmonné quelque chose d'inaudible. Difficile de parler la bouche pleine.
Je voulais être sûr: "Tu dis quoi, Princesse?"Elle a ôté ma bite de sa bouche. Me regardant en souriant, elle répondit doucement "Oui, Monsieur"Merde, comme elle est bandante quand elle joue ce jeu sexuel de maître/esclave. J'ai failli partir avant l'heure!
"Bonne fille! Joue doucement! Reste au bord! Je ne veux pas que tu jouisses! Pas encore! Pas tant que tu n'auras pas une bite en toi! Tu pourras jouir seulement avec une bite dans ta chatte! OK?"Elle l'a compris et l'a accepté. Peu importe que ce soit ce qu'elle avait envie, puisque je lui avais indiqué mon désir, je savais qu'elle allait tout faire pour me plaire. Il y avait une petite déception dans ses yeux quand elle répéta: "Oui, Monsieur"J'ai laissé Sharon s'amuser avec ma bite et avec son jouet, en la félicitant:"Bonne fille! Suce-moi bien!" Ajoutant: "Rappelle-toi, tant qu'une queue est dans ta chatte, tu peux jouir autant que tu veux!" À cet instant, je me suis intéressé à l'homme qui venait de pénétrer dans la pièce, épiant ses gestes à travers mes paupières mi-closes.
Il était entré dans la pièce, faisant attention de ne pas faire de bruit pour ne pas déranger. Refermant et verrouillant pour ne pas être interrompu, il resta là à admirer le cul bien formé de ma femme qu'elle tenait haut dans les airs, fesses écartées, l'anneau marron barrant la fente et en dessous, cette tige pourpre qui disparaissait dans sa chatte. Ma femme se masturbait à un rythme régulier.
Il s'approchait lentement d'elle. Il détaillait tranquillement Sharon. Son cul bien moulé, le jouet pourpre qui coulissait dans sa chatte, et aussi cet anus offert qui lui faisait dresser sa queue. Il tendait ses mains vers ce cul joufflu, à quelques centimètres, mais sans le toucher, comme s'il se réchauffait les mains sur un petit feu par une nuit fraîche.
Je posais mes deux mains sur la nuque de Sharon, passant mes doigts dans ses cheveux courts. J'étais persuadé qu'au moment où il la toucherait, elle sursauterait. Mon idée était de la retenir un instant, pour que sa réaction initiale se calme et lui donner une chance dans ses avances.
Il n'osait pas poser ses mains sur son cul nu par peur d'interrompre ce mouvement qui l'hypnotisait, ce jouet pourpre entrant et sortant de cette chatte juteuse à un rythme agréable. Il déplaça ses mains plus haut sur son cul, au bas des reins. Il a posé ses mains à plat, en faisant doucement. Il a ensuite déplacé légèrement ses doigts vers ses hanches. Elle semblait ne pas s'apercevoir de sa présence.
Elle devait être fatiguée d'avoir ma bite au fond de sa bouche, car elle a ressortit ma queue pour lécher la tige, puis embrasser le gland, et la couvrir de petits baisers sur toute la longueur. Elle descendit un peu plus bas, prendre une de mes couilles dans sa bouche. Cela me rendit un peu anxieux. Supposons qu'elle se rende compte de la présence d'un homme derrière elle juste à ce moment. Qu'elle sursaute et qu'elle morde. Mes couilles sont beaucoup plus fragiles que ma bite.
D'un autre côté, si j'interrompais Sharon dans ses œuvres et que le gars derrière elle bougeait, il pourrait bien la faire cesser toute activité en révélant sa présence. Je suis donc restée immobile, priant pour que son mouvement ne soit pas interrompu brutalement, et qu'elle continue à me sucer doucement. Utilisant sa langue, elle faisait tourner l'objet sensible dans sa bouche.
Je fermais complètement les yeux en savourant les sensations qui traversaient mon corps et mon esprit. D'une part, la sensation bénie due aux bons soins de ma femme. De l'autre, l'excitation due à la présence de quelqu'un avec nous.
Une caresse légère du bout des doigts sur tout son cul pour faire connaissance, puis recommencer le même mouvement en appuyant un peu plus fort pour en apprécier l'élasticité. Sharon n'avait aucune réaction. Elle semblait ne pas se rendre compte de sa présence. Il appréciait la vue de cet œillet brun qui semblait cligner de l’œil chaque fois que le jouet pourpre pénétrait la chatte de Sharon. Cet orifice le tentait beaucoup, pourtant je l'avais averti de ne pas placer sa bite dans ce trou.
Il déplaça sa main et posa son pouce contre son anus.
Difficile de savoir ce que Sharon pensait. Quand elle a pris conscience de la présence d'un autre homme, elle s'est figée. Elle a arrêté sa succion sur mes couilles et a cessé de se masturber avec son jouet. Elle est en attente. Bien sûr, on en a parlé depuis des semaines, de ce plan à trois et elle se doutait bien qu'elle serait mise à l'épreuve. Je comprenais qu'elle désirait ce piment dans notre couple et qu'en même temps elle le redoutait. J'avais arrangé ce scénario pour lui plaire mais aussi pour faire tomber cette dernière barrière psychologique, celle qui l'empêchait de se libérer sexuellement.
Mais comme elle avait arrêté sa caresse, j'ai supplié: "Non, chérie, s'il te plaît, n'arrête pas!" Et j'ai resserré ma prise sur ses cheveux.
Maintenant, c'était peut-être dû à la caresse de l'autre homme, elle continua à me taquiner avec sa langue, mais elle ne le faisait plus avec la même intensité qu'avant. C'était comme si son esprit n'était pas complètement concentré sur ce qu'elle faisait.
Avec son pouce il a commencé à masser l’œillet brun. Ne pas appliquer de pression comme pour entrer dans l'anus. Simplement pour la détendre et la taquiner. En s'apercevant qu'elle appréciait sa caresse, il commença à augmenter la pression de son pouce et vit l'ouverture se détendre et s'ouvrir pour le recevoir.
Elle se tenait parfaitement immobile et ne faisait aucun mouvement pour s'échapper, il décida de laisser son pouce pénétrer entièrement en elle. Une fois là, il commença lentement à retirer son pouce, puis répéta le processus encore et encore. Comme elle ne bougeait plus sa main qui tenait le jouet pourpre, il saisit l'outil mauve. Il était aussi lubrifié que s'il venait d'être plongé dans l'huile. Le même lubrifiant qui poissait les doigts de la femme et suintait de sa chatte.
Il commença à la masturber dans un rythme aussi proche que possible de celui de son pouce. Il sentit la femme se cambrer en soupirant. Il travaillait avec les deux outils, le jouet et son pouce. Comme elle semblait apprécier à ce qu'il faisait, il accéléra un peu son rythme.
Sharon n'émettait aucune plainte, mais elle se repositionnait. Prenant appui de ses deux mains sur mes cuisses, elle se contentait de suçoter mon gland du bout des lèvres, se cambrant et écartant ses cuisses au maximum, offrant ses orifices à l'inconnu derrière elle, son esprit entièrement concentré sur les caresses qu'elle recevait.
Il était évident pour l'inconnu que Sharon était très sensible à ce qu'il lui faisait. En même temps, s'il était heureux de pouvoir lui plaire, il était très conscient de l'état de sa queue ... Elle s'était dressée et raidie depuis qu'il était entré dans la pièce et il était très désireux de la faire pénétrer dans la chatte trempée de cette belle femme.
Dans le même mouvement, il retira le gode de la chatte à Sharon et son pouce de son anus, et inter-changea les deux outils dans les deux orifices. Une fois en position, il enfonça rapidement son pouce dans la chatte bruissante de ma femme alors que ses doigts massaient son clitoris. Il a rapidement enfoncé le jouet en caoutchouc dans les entrailles de ma femme. Bouche grande ouverte, souffle court, Sharon, les yeux fermés, vibrait des sensations que lui procuraient ces deux pénétrations conjointes. Incapable désormais de me sucer, elle posa son front sur mon ventre, agrippa mon sexe d'une main pour me masturber. Mais j'étais déjà si excité que je devais me concentrer pour ne pas éjaculer trop tôt.
Le jouet pourpre enfoncé à mi-chemin, il enleva le pouce de sa chatte trempée et présenta sa bite à l'entrée de son orifice. Il s'est enfoncé dans son vagin sans rencontrer la moindre résistance et son ventre a heurté le gode, le faisant s'enfoncer aussi.
Ensuite, il saisit Sharon par ses hanches et commença à poignarder sa chatte accueillante.
La chaleur, la douceur de cette chatte qui enserrait sa bite lui a causé une forte réaction. Presque instantanément, il était prêt à jouir. Personne ne lui avait déjà causé une telle réaction auparavant. Il essayait de se concentrer pour pouvoir durer longtemps.
Il a accéléré son rythme. Il sentait son pubis heurter le jouet pourpre, le faisant pénétrer profondément dans l'anus de Sharon tandis que sa queue lui perforait la chatte. Les yeux fermés, les dents serrées, sa tête roulant de droite à gauche, l'esprit obnubilé par une seule pensée, le désir de tenir, de résister à l'envie d'éjaculer qui montait de ses reins. Il l'a senti venir. Et puis le corps de la femme sous lui se mis à trembler. Sa respiration haletante devint sifflante, son corps s'est arqué sur cette bite qui la travaillait en profondeur.
Sa chatte agrippait sa queue comme pour essayer de la retenir en elle. L'emprise de sa chatte ne faisait qu'ajouter aux sensations extrêmes qui se formaient en lui.
Et puis, sans prévenir, la femme s'est simplement effondrée. Elle l'a laissé à genoux sur le lit, sans aucune idée de ce qui venait de se passer. L'instant d'avant, il était si bien, jouissant de la chaleur de cette chatte avide et, sans prévenir, il s'est retrouvé la queue à l'air, aussi dure qu'une barre d'acier, et la femme qu'il était en train de baiser était allongée sur son mari.
Pendant ce temps, Sharon rampait sur moi, son corps se lovant contre le mien, ses rondeurs épousant mes formes et nos deux bouches s'aimaient avec passion. Nos lèvres serrées l'une contre l'autre, nos bouches s'ouvraient, et chacun essayait de mettre sa langue dans la bouche ardente de l'autre.
D'une main, elle saisit mon sexe et, soulevant son bassin, vint s'empaler dessus. Rendu fou de désir, je m'agrippais à ses hanches, à ses seins, pour la baiser durement. Mais l'autre gars, frustré de s'être fait voler la place dans la chatte de Sharon, retira le jouet pourpre de son cul pour y installer sa bite. Il a pris la jambe de Sharon et l'a soulevée avant d'approcher sa bite.
C'est alors que j'ai senti le mouvement de ma femme et en levant les yeux j'ai vu l'autre mâle se mettre en position pour enculer ma femme. Quand il fut dans la position qu'il désirait, il pénétra son anus d'une seule poussée. Son sexe glissa facilement en elle.
En quelques secondes, il appréciait de nouveau grandement la sensation que son corps ressentait ... le résultat de l'activité qu'il effectuait. De manière coordonnée, nous nous sommes tous deux enfoncés en elle. Il semblait que chacun l'utilisait strictement dans l'intention de satisfaire son propre désir égoïste. J'ai regardé comment l'autre homme s'était enfoncé dans ma femme, et j'ai adopté le même rythme.
Je déplaçais mes hanches de bas en haut , répondant aux coups de l'autre homme de haut en bas.
Je n'allais pas pouvoir me retenir plus longtemps. En un rien de temps, c'était un désir bestial de céder à ce flot d'émotions qui me submergeait. Et juste à ce moment-là, j'ai vu l'autre gars plonger profondément et durement sa queue dans ma femme et rester figé là, tenant fermement ses hanches comme s'il était terrifié de s'éloigner d'elle. Il avait la tête rejetée en arrière et un son s'échappait de sa gorge. Il se sentait arriver, dur et rapide, et savait qu'à ce moment la libération qu'il avait cherchée allait finalement être atteinte.
J'avais atteint mon paroxysme, laissant fuser une crue de sperme qui giclait profondément dans la chatte de ma femme.
Ma femme n'a pas réussi à gérer cette double éruption et fut elle-même emportée par un orgasme dévastateur.
Ceux qui se tenaient à l'extérieur de la pièce et regardaient par la fenêtre étaient bien conscients que chacun des partenaires avaient jouis presque au même moment. Quelques-uns faisaient des commentaires sur ce qu'ils avaient vu se dérouler là sur le lit. Ils virent l'homme se détacher de la femme et sortir du lit, laissant le couple se reposer sur le lit, chacun perdu dans ses pensées.
Je n'étais même pas au courant que l'homme partait. J'ai entendu ma femme me demander si tout allait bien. C'était important pour moi de lui faire savoir que j'étais content d'elle. Le moment le plus merveilleux que je pouvais me souvenir d'avoir vécu. J'ai ouvert les yeux et je l'ai vue allongée là à me regarder. Pour quelle raison, cette inquiétude dans ses yeux? Quelque chose l'ennuyait et je n'avais aucune idée de ce que c'était. Je l'ai prise dans mes bras. Je savais qu'aucun mot ne devait être prononcé. Car chacun de nous ressentait de l'amour envers l'autre, et chacun de nous était bien au-delà du bonheur, et pas seulement pour ce qui venait de se passer.
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