Première expérience

Récit érotique écrit par Jason Mastersword [→ Accès à sa fiche auteur]
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Première expérience
Je n’ai jamais eu de rapport sexuel avec une transexuelle. La plupart que je croisais au Bois de Boulogne, ou dans d’autres quartiers à prostituées, me semblait trop viriles, on voyait encore l’homme derrière. Sans parce qu’il y a différents types de putains transgenres : des hommes transformés en femme, mais aussi des intersexe, ceux qu’on appelait autrefois des hermaphrodites. Un corps de femme : seins, épaules tombantes, larges hanches… Mais avec un pénis et un scrotum, certes en taille réduite. Beaucoup des ladyboy que j’ai croisé étaient des anciens hommes. Mais Maylis était différente : il était quasiment impossible de deviner qu’elle avait une queue entre ses cuisses. Ses larges hanches recourbées, ses fesses callipyges, ses seins généreux, son visage féminins, tout faisait d’elle une femme parfaite et désirable.
Je décida de tenter l’expérience avec elle. Je l’informa de mon hétérosexualité, ce qui excluait toute fellation envers elle et pénétration reçue. Elle accepta sans rechigner, elle devait être habituée de cette clientèle. Elle monta dans ma voiture. Je lui donna ses 50 euros pour une sodomie précédée de fellation et caresse, le tout largement déshabillée (sauf ses bas et ses chaussures à talon). Elle me conduisit dans un endroit calme, discret bien qu’éclairé : une petite cave en sous-sol.
Là, elle enleva ses vêtements. Je vis une superbe poitrine ferme, suffisament siliconée pour être abondante, mais d’aspect naturel. Elle avait son string, on distinguait à peine une bosse dans l’entrejambe. Ses fesses étaient sublime, une peau lisse, douce, elles invitaient aux caresses.
Je me déshabillais à mon tour. J’étais totalement nu, mon sexe dressé vers elle comme pointant l’objet de mon excitation.
Gardant son string, elle s’approcha de moi, me caressa, pris ma bite dans ses mains et commença à me masturber délicatement. Je pris ses seins dans mes mains, les pétris, les pelota, puis les baisa, les lécha… mes mains descendirent le long de son dos vers ses fesses que je pris à pleine mains. Elle haleta au fur et à mesure de mes caresses. Mes doigts glissèrent dans sa raie puis s’enfoncèrent délicatement dans cet anus, elle poussa un soupir de plaisir tout en me branlant plus fort.
Puis je lui dis :
-Suce-moi petite pute.
Elle se pencha vers moi et mis mon pénis, sans préservatif, dans sa bouche. Commença une longue et langoureuse sucion. Elle avala ma queue en entier, collant ses lèvres sur mon pubis, mon gland se fichant dans sa gorge. Sa bouche baveuse recouvrant ma verge de salive, qui coulait sur mes bourses. Elle fit plusieurs mouvement de va et vient, et je lui dis d’arrêter. Je ne souhaitais pas éjaculer aussi vite, je tenais à l’enculer plus que tout.
Elle posa alors sur ma verge une capote, et avant qu’elle se retourne je la pris, la baissa, la tira vers moi en agrippant une fesse, les mains accrochés à sa raie, et je lui enleva son string de force. Ses petits couinements révélaient qu’elle aimait ça. Et surtout, le string enlevé exhiba un pénis, pas très grand, qui se dressa de désir
Avec mes mains j’écarta ses fessiers pour dévoiler le trou tant convoité. Un anus bien travaillé tant de nombreux sexes ont du venir s’y fourrer. J’approcha mon visage, y passe mon nez. Il était propre, bien nettoyé, shampoingné même, sentant bon, bien épilé… Je le lécha, je planta ma langue dedans afin de préparer le passage de ma queue. Ma bite se durcit encore plus et elle gémissait de plaisir.
Je retira mon visage, je garda mes mains sur ses fesses en les maintenant écartés, et je glissa délicatement mon pénis dans son rectum. Ma bite dans son cul de pute. Un plaisir intense me traversa en la pénétrant. Un cri sortit de sa bouche, cri qu’elle tenta de refouler pour ne pas attirer les curieux...Mais elle n’y parvint, il était plus fort qu’elle. Doucement, je m’enfonçais dans ses entrailles, la pénétrant de toute la longueur de ma verge, écartant davantage ses fesses pour gagner quelques millimètres de plus, quitte à comprimer mon pubis. Ma queue continuait de durcir dans son cul.
Je devinais son visage déformé par un mélange de douleur et de plaisir. Son sphincter dilaté de force, son rectum élargit, sa prostate compressée. Je commença des mouvements en me retirant partiellement puis en rentrant à nouveau profondément, ces mouvements était de plus en plus rapides, de plus en plus violents. Simultanément je la tractait par les hanches et je poussais violemment ma bite avec un coup du bassin. Je fis ça une dizaine de fois, chaque fois plus vite, plus fort, plus profond, et ses cris de plaisir, ses halètement de jouissance et ses râles de douleur était plus forts, plus longs, plus excitant.
Tu aimes ça sale pute ? Tu aimes que je t’encule comme une chienne.
Oui, je suis ta pute, ta chienne, viole moi, défonce mon cul.
Je vais te défoncer salope.
Et je continua cette sodomie violente tout en l’insultant, sous ses hurlements de chienne en chaleur. Elle comprenait ce que c’était de se faire enculer par un homme, cette femme à bite. Et elle bandait comme une folle, sur le sol tombait des gouttes de liquide séminal ruisselant de sa queue d’hermaphrodite.
Et vînt le moment tant attendu, une puissance de plaisir commença à surgir. Alors je continua de l’enculer de toute mes forces comme si je voulais l’empaler avec mon sexe. Je mis mon énergie dans bras pour la tirer avec une violence extrême, dans mon bassin pour la transpercer de ma verge, et un flot de sperme jaillaissa en même temps qu’un râle de ma gorge et qu’un cri de la sienne…
Je m’étendis sur elle, ma queue encore dans son cul. Allongée sur le sol, face contre terre, je la sentis se masturber pendant que ma bite débandait dans son anus. D’un coup elle gémissa, son sphincter se détendit et elle éjacula.
Je décida de tenter l’expérience avec elle. Je l’informa de mon hétérosexualité, ce qui excluait toute fellation envers elle et pénétration reçue. Elle accepta sans rechigner, elle devait être habituée de cette clientèle. Elle monta dans ma voiture. Je lui donna ses 50 euros pour une sodomie précédée de fellation et caresse, le tout largement déshabillée (sauf ses bas et ses chaussures à talon). Elle me conduisit dans un endroit calme, discret bien qu’éclairé : une petite cave en sous-sol.
Là, elle enleva ses vêtements. Je vis une superbe poitrine ferme, suffisament siliconée pour être abondante, mais d’aspect naturel. Elle avait son string, on distinguait à peine une bosse dans l’entrejambe. Ses fesses étaient sublime, une peau lisse, douce, elles invitaient aux caresses.
Je me déshabillais à mon tour. J’étais totalement nu, mon sexe dressé vers elle comme pointant l’objet de mon excitation.
Gardant son string, elle s’approcha de moi, me caressa, pris ma bite dans ses mains et commença à me masturber délicatement. Je pris ses seins dans mes mains, les pétris, les pelota, puis les baisa, les lécha… mes mains descendirent le long de son dos vers ses fesses que je pris à pleine mains. Elle haleta au fur et à mesure de mes caresses. Mes doigts glissèrent dans sa raie puis s’enfoncèrent délicatement dans cet anus, elle poussa un soupir de plaisir tout en me branlant plus fort.
Puis je lui dis :
-Suce-moi petite pute.
Elle se pencha vers moi et mis mon pénis, sans préservatif, dans sa bouche. Commença une longue et langoureuse sucion. Elle avala ma queue en entier, collant ses lèvres sur mon pubis, mon gland se fichant dans sa gorge. Sa bouche baveuse recouvrant ma verge de salive, qui coulait sur mes bourses. Elle fit plusieurs mouvement de va et vient, et je lui dis d’arrêter. Je ne souhaitais pas éjaculer aussi vite, je tenais à l’enculer plus que tout.
Elle posa alors sur ma verge une capote, et avant qu’elle se retourne je la pris, la baissa, la tira vers moi en agrippant une fesse, les mains accrochés à sa raie, et je lui enleva son string de force. Ses petits couinements révélaient qu’elle aimait ça. Et surtout, le string enlevé exhiba un pénis, pas très grand, qui se dressa de désir
Avec mes mains j’écarta ses fessiers pour dévoiler le trou tant convoité. Un anus bien travaillé tant de nombreux sexes ont du venir s’y fourrer. J’approcha mon visage, y passe mon nez. Il était propre, bien nettoyé, shampoingné même, sentant bon, bien épilé… Je le lécha, je planta ma langue dedans afin de préparer le passage de ma queue. Ma bite se durcit encore plus et elle gémissait de plaisir.
Je retira mon visage, je garda mes mains sur ses fesses en les maintenant écartés, et je glissa délicatement mon pénis dans son rectum. Ma bite dans son cul de pute. Un plaisir intense me traversa en la pénétrant. Un cri sortit de sa bouche, cri qu’elle tenta de refouler pour ne pas attirer les curieux...Mais elle n’y parvint, il était plus fort qu’elle. Doucement, je m’enfonçais dans ses entrailles, la pénétrant de toute la longueur de ma verge, écartant davantage ses fesses pour gagner quelques millimètres de plus, quitte à comprimer mon pubis. Ma queue continuait de durcir dans son cul.
Je devinais son visage déformé par un mélange de douleur et de plaisir. Son sphincter dilaté de force, son rectum élargit, sa prostate compressée. Je commença des mouvements en me retirant partiellement puis en rentrant à nouveau profondément, ces mouvements était de plus en plus rapides, de plus en plus violents. Simultanément je la tractait par les hanches et je poussais violemment ma bite avec un coup du bassin. Je fis ça une dizaine de fois, chaque fois plus vite, plus fort, plus profond, et ses cris de plaisir, ses halètement de jouissance et ses râles de douleur était plus forts, plus longs, plus excitant.
Tu aimes ça sale pute ? Tu aimes que je t’encule comme une chienne.
Oui, je suis ta pute, ta chienne, viole moi, défonce mon cul.
Je vais te défoncer salope.
Et je continua cette sodomie violente tout en l’insultant, sous ses hurlements de chienne en chaleur. Elle comprenait ce que c’était de se faire enculer par un homme, cette femme à bite. Et elle bandait comme une folle, sur le sol tombait des gouttes de liquide séminal ruisselant de sa queue d’hermaphrodite.
Et vînt le moment tant attendu, une puissance de plaisir commença à surgir. Alors je continua de l’enculer de toute mes forces comme si je voulais l’empaler avec mon sexe. Je mis mon énergie dans bras pour la tirer avec une violence extrême, dans mon bassin pour la transpercer de ma verge, et un flot de sperme jaillaissa en même temps qu’un râle de ma gorge et qu’un cri de la sienne…
Je m’étendis sur elle, ma queue encore dans son cul. Allongée sur le sol, face contre terre, je la sentis se masturber pendant que ma bite débandait dans son anus. D’un coup elle gémissa, son sphincter se détendit et elle éjacula.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Par pitié , achète un Bescherelle et évite l’emploi du passé simple qui rend le récit illisible
Récit torride qui laisse reveur

