Première expérience bi
Récit érotique écrit par Plaisirsexbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Première expérience bi
A force de lire les récits des autres, j’ai eu cette idée folle de vous narrer ma première véritable expérience bi, début de beaucoup de chamboulements dans ma vie affective et amoureuse et cause de quelques soucis mais aussi de plaisirs inestimables. Nous sommes en 1991, j’ai 34 ans, (64 maintenant) marié à une femme adorable et jolie, aimant le sexe, adorant même le sexe, ouverte à mes demandes particulières, nous avons un fils, nous formons une petite famille « formidable », sans problème matériel et financier. La vie est belle pour nous trois sans problème. Et pourtant en février, l'hiver s'éternise, et la météo ne permet pas de retourner faire du sport, je m’ennuie quelque peu.
Je me souviens nostalgique de quelques expériences lors de mon passage dans « l’armée Française » en 1976 à Nancy ou dans une chambrée de 28 j’avais eu quelques petites « aventures », plutôt tactiles, caresses et quelques masturbations avec Thierry, je ne sais pas comment cela s'est fait mais un soir, je me suis retrouvé avec la queue de Thierry dans la main et lui avec la mienne....on a souvent joué à ce petit jeu entre militaires à l'époque on avait pas l'impression de faire du mal au contraire que de bonnes paluchades nous nous prodiguions chaque fois que possible.
Mon compagnon de chambre aurait souhaité aller plus loin, mais j’ai toujours refusé.
C'est d'ailleurs en pensant à cette aventure avec Thierry que l'idée me vient.
Dès lors je passais mon temps libre à fantasmer ou bien à me masturber car j'avais des grosses envies...d'hommes. Les jeux de mon année de service national revenaient à la surface..........les chaudes soirées étaient bien présentes. Et pourtant j’avais des relations plutôt soutenues et très régulières avec mon épouse.
Une nuit, à la maison je me suis connecté alors sur le minitel comme ça au hasard pour voir comme on dit souvent comme pour trouver une excuse à mes pulsions de mecs et je découvris alors un monde vicieux qui me faisait bander comme un ado. Au début timide, je me contentais de lire des dialogues, des scénarios ou des confessions, très vite je suis devenu accro, me connectant au minitel de mon bureau, me donnais aussi un pseudo bien vicieux "sexmecbi" et à chaque fois je me faisais du bien, je me décalottais et jouissais plein les mains et sur le ventre avant de m'essuyer dans un mouchoir en papier en prenant soin au préalable de fermer à clé la porte de mon bureau. Par ailleurs cela ne m’empêchait d’avoir de multiples relations avec mon épouse que je n’avais jamais trompé, elle était pourtant « experte », aimait le sexe, appréciait les fellations, et même la sodomie que nous pratiquions régulièrement à sa demande.
Très vite, j'allais entrer dans le monde virtuel.... pas facile avec le Minitel. !!! Sauf qu'une fois excité dans un dial super chaud avec un homme beaucoup plus âgé que moi, (52 ans) celui-ci à force de mots coquins me fit comprendre que de se finir à poil sur nos lits, (sauf que moi j’étais à mon bureau) la queue à la main en s'écoutant se masturber serait bien pour nous deux...à force d'hésitation et aussi à force de me branler en le lisant j'ai fini par donner mon numéro de téléphone professionnel ...J'attendais, le téléphone contre moi anxieux et un peu honteux....drinnnnnnng....drinnnnnnng...oui j'écoute ?
• - C'est moi Denis du minitel t'es Éric ?
• - Oui c'est moi dis-je timidement, Éric...
• - Tu n'as jamais fait une branlette au téléphone ?
• - Non c'est la première fois j'espère que tu ne garderas pas mon numéro car je n’aimerais pas avoir des ennuis...
• - Non Éric rassures toi je suis sérieux on se branle ensemble et j'oublie ton numéro sans problème...........
• - Ok t'es sympa.
• - Tu sais j'aime beaucoup me branler entre mecs.
• - Heu heu moi je n’ai pas encore osé mais je trouve ta voix douce agréable je suis tout nu comme convenu et toi ? (j’étais déjà aux ordres, j’étais nu dans mon bureau, entre 12h00 et 13h30 mais.)• - Moi aussi chéri je suis nu et je me branle doucement, je suis tout raide tu m'as chauffé à fond salope tu aimerais caresser mon sexe?
• - Je ne sais pas peut être que ça doit être bon entre copains de se branler...
• - Hum oui tu sais je le fais souvent moi je me gode aussi tu as des jouets pour t'envoyer en l'air?
• - Non je me doigte juste parfois un peu en me masturbant.
• - Bien alors laisse-moi te guider je vais te faire jouir comme jamais....
• Je dois avouer que pour une première fois j'avais effectivement bien jouit.
Et puis nous avons souvent recommencé en nous organisant mieux, je revenais chez moi, quand mon épouse était absente et puis ensuite Denis a eu envie de me rencontrer physiquement, je ne réalisais pas vraiment, j’étais bien.. Je continuais d’avoir des relations normales avec Marie mon épouse, voir peut être plus bestiale, mais elle appréciait.
Le rendez-vous fut pris, un parking à la sortie du pont de Tancarville, près du Havre, mais à 1h30 de mon domicile, pour la discrétion c’était rassurant, en fin d’après-midi, pour un côté pratique, j’étais souvent en déplacement commercial à l’époque je pouvais donc jongler avec mes horaires de retour pour mon épouse.
Je suis allé à ce rendez-vous sans appréhension en pensant faire connaissance avec Denis, simplement, innocemment, mettre un visage sur cette belle voix, je ne m’imaginais pas une seule seconde faire quelque chose sur ce parking.
Je suis arrivé au parking vers 17h00, enfin je crois, il faisait encore jour, à l’époque il n’y avait pas de téléphone portable, et donc pour retrouver Denis je me faufilais entre les camions, il y avait beaucoup de camions, Denis lui venait de Lisieux, à une quarantaine de minutes du parking, il devait normalement être arrivé. Je ne retrouvais pas la voiture de Denis, une BMW 530 bleu marine, j’ai un peu attendu, en me disant que finalement j’étais certainement en train de faire une grosse bêtise !!! Et puis soudain Denis arriva à pieds, venant à ma fenêtre pour me demander si j’étais bien Éric du minitel et des conversations téléphoniques.
Il m’invita de laisser ma voiture sur ce parking, la sienne étant garée de l’autre côté sur un parking légèrement moins fréquenté. Je dois avouer que Denis malgré ses 52 printemps, est un très bel homme, la différence de 18 années ne me gêne pas, je l’observe, il est très classe, très bien habillé, charmant, très beau sourire… il me plait.
Nous montons dans sa voiture, bizarrement, je suis plutôt à l’aise, Denis me parle beaucoup, très charmant, commence à me caresser, je ne me contrôle pas, j’ai très envie de l’embrasser, je me jette sur lui pour l’embrasser, il me calme légèrement, puis au fil de la conversation, il devient plus directif, m’ordonne de retirer vêtement après vêtement, pour finalement pour retrouver entièrement nu dans une voiture d’un presque inconnu, au mois de février, avec une température légèrement positive. Mais j’ai chaud, ses caresses et ses mains me sont agréables, il me demande de me tourner, il trouve que j’ai de jolies fesses, puis il m'embrasse de nouveau dans le cou, me suce l'oreille, me lèche les tétons, sa main effleure mon sexe, il positionne les sièges avant en « couchette » pour être mis sous forme de lit on s'allonge l'un contre l'autre, on s'embrasse, il prenait sans cesse l'ascendant sur moi, se mettait sur moi, me bloquait les mains derrière la tête, je pouvais sentir son sexe contre moi à travers son pantalon, puis il se baissa, ses mains le long de mon torse, se glissa entre mes jambes, me caresse, je bandais déjà, il entame une douce fellation, il me fixe en même temps, me caresse le torse, me mange le sexe sans les mains, je gonfle petit à petit dans sa bouche, c'était excitant de le voir me manger le sexe. Puis, il s'arrête, remonte vers moi, m'embrasse, nous nous retournons, je m'assis sur lui, il m'embrasse, pose ses mains sur mes fesses et commence à s'approcher de mon anus doucement, des petites approches. La nuit est tombée, cela fait au moins 1h30 que nous sommes ensemble. L’endroit est peu rassurant et bien trop fréquenté, nous sommes souvent dérangés par les phares et les klaxons des routiers.
A mon tour, je glisse entre ses jambes, Denis avait toujours ses vêtements, je me laisse totalement aller, je lèche son sexe par-dessus son pantalon, de façon peut-être un peu maladroite, je dégrafe sa ceinture, je déboutonne le pantalon. !!!! Mais Denis me demande autoritairement de sortir de la voiture car il souhaite m’avoir à ses genoux. !!!! Je suis entièrement nu, sur un parking avec un fort passage de camion, il fait très froid, et pourtant je m’exécute, Denis me tend une couverture pour protéger mes genoux, il s’installe à la portière arrière gauche, debout, il fait très froid et pourtant je suis en feu, je baisse son pantalon puis j'enlève son boxer, je prends son sexe en main, le regarde, il est énorme, je suis impressionné par ce sexe, un vrai concombre, je dois être bien ridicule avec mon sexe de taille moyenne, je commence par le branler naturellement, puis je me suis mis à le lécher pour enfin le mettre dans ma bouche, j'y vais de tout mon cœur, je le tiens avec ma main à la base et de mon autre main je caresse ses couilles, je m'amuse avec son gland, je m'amuse comme un fou avec sa bite, je reproduis les bonnes pratiques de Marie qui est une très bonne suceuse, Denis semble apprécié, je le regarde dans les yeux, je le suce comme si ma vie en dépendait, je ne veux pas le décevoir, c’est ma première pipe, Je n'ai jamais pris un pieds pareil. La dureté de son membre m'a surpris une fois que je l'ai eu en bouche, c'est dur une queue qui bande bien raide. Je l'ai pompé goulument comme une actrice de x qui veut faire jaillir le foutre. J'ai pris son sexe en entier en bouche, avec quelques soucis, car Denis m’ayant coincé la tête, il me tirait les cheveux et me faisait faire un va et vient sur sa grosse matraque, mais pas expérimenté, j’avais des haut-le-cœur, quand Denis pénétrait ma bouche trop profondément j'ai apprécié le gout et son excitation me rendait fou.
Tu aimes ça, salope ?
- Oui j’aime ça.
- Assieds-toi contre la voiture.
J’obéis et alors que ma tête reposait contre la portière, il exigea que je reste les lèvres bien ouvertes afin qu’il me baise la bouche.
Il allait et venait doucement au début. Il enfonçait son membre au fond de ma gorge et ressortait complètement pour mieux revenir ensuite.
- Ça te plaît, petite pute ?
- Oui.
Il rentre et ressort.
- Tu aimes la bite ?
- J’adoreNouveau passage dans ma bouche.
- Dis-le encore.
- J’aime ta bite !
Puis au bout d'un moment, il me demande si je veux gouter à autre chose, si je suis prêt à tenter une expérience, car il est proche de l’éjaculation, j’étais simplement venu faire connaissance, et pourtant je ne peux résister à cette tentation.
Il me demande de m’allonger sur la banquette arrière de sa voiture. Là, les caresses reprirent, il s'allonge sur moi, me domine, j'essaye de faire mine de résister, on joue un petit peu au chat et à la souris , puis il me dit dans l'oreille : " mets-toi sur le ventre ", je m'allonge sur le ventre, il s'allonge sur moi, me donne des petits coups de bassin me laissant présager la suite, me suce l'oreille, je sens sa chaleur contre moi, il se lève pour prendre dans le vide poche avant un petit tube, c’est de la vaseline, mais pas de préservatif, j’y pense, mais je n’ose lui demander, tant Denis est directif, et puis la différence d’âge enfin je reste allongé, il commence à " préparer le terrain ", il passe de la vaseline entre mes fesses, cela me semble un peu froid, commence à me doigter doucement, il sait ce qu'il fait.
Dans ma tête, je me dis " ça y est, je vais y passer ", je suis offert à un homme, j'ai un peu d'appréhension, je me sens à la place d'une femme, il commence à me mettre un deuxième puis un troisième doigt, je ne sais pas trop comment dire ce que je ressens, c'est une petite intrusion dans mon intimité, c'est plutôt agréable puis il mit de la vaseline sur son énorme gourdin, me dit d'écarter un peu les jambes, ce que je fis, s'allonge sur moi.
Il est très attentionné mais directif, me dit que si ça ne va pas de le dire et qu'on arrête, il m'écarte un peu plus les jambes, il me caresse les fesses, je suis à lui. Enfin, il me pénètre doucement, je sens son gland essayer de rentrer, mon anus s'ouvre, c'était un peu douloureux, très douloureux je respire fort, il me demande toujours si ça va, j'acquiesce , je ne veux pas le décevoir, puis il progresse, et là mon anus l'aspire, il rentre en moi, je ne peux bouger, il s'allonge complètement sur moi, il me tient les mains, m'écarte un peu plus les jambes avec les siennes et commence les va-et-vient, je suis pris, je ne peux bouger, il fait des petits mouvements de bassin, il va très doucement pendant plusieurs minutes, je ne ressens presque plus de douleur, le plaisir vient petit à petit, puis il me glisse des baisers dans le cou, me suce l'oreille, il adore faire ça et le fait très bien.
Puis, il me fait changer de position, il me dit de m'allonger sur le dos, puis de relever les jambes, sur le coup, je ne comprends pas, il était face à moi au-dessus de moi, il glisse mes jambes par-dessus ses épaules ( là je comprends ), il me pénètre de nouveau, là je ressens encore des petites douleurs, mais c’est plus agréable (c'est presque rentré comme dans du beurre ), la position est très excitante, par moment je le regarde dans les yeux, il ne cesse de me regarder avec un air si ferme, si sûr de lui, qui semble prendre plaisir à me prendre, par moment je regarde les mouvements de son bassin, je le vois me pénétrer, je me vois me faire enculer, je vois son pubis taper contre mes fesses, il commence à accélérer la cadence, il va au plus profond de mon cul, , je suis coincé sous lui, par moment il descend pour m'embrasser.
Cela dure un moment, un long moment, je sens son très gros sexe en moi, (22cm, mais c’est plus tard que j’ai connu sa taille), je ne réalise pas vraiment d’être aussi profondément pénétré et on change de position, il me fait mettre assis sur lui mais on ne dure pas longtemps, je ne suis pas à l'aise dans cette position, alors il me fait mettre à 4 pattes, je me sens comme une chienne dans cette position, ses mains qui se baladent sur mes hanches, ses couilles qui tapent sur mes fesses, j’ai même envie qu'il me claque les fesses, je commence à ressentir des frissons le long du dos, une chaleur monte à moi, et c’est le début d’une fessée magistrale à ma demande, le rythme s’accélère, il me défonce littéralement, en me traitant de petite pute, de salope qui aime sa bite puis on change à nouveau de position, on revient à celle du début, lui allongé sur moi.
Il me bloque les mains très fermement, là il devient très bestial, encore plus violent il me démonte le cul, il accélère de plus en plus, il continue les fessées, il me fait mal, très mal, mais je n’ose lui dire, je ne cesse de gémir, je m'abandonne totalement à ses coups de butoir, il s'arrête par moments pour me donner un coup de sexe profond, j'adore quand il fait ça, il continue, je transpire, je ne sais pas si c'est ce qu'on appelle un orgasme mais j'étais en pleine extase, je ressentais des spasmes dans le dos, j'étais ailleurs.
Il se retire avant d'éjaculer, on s'allonge l'un contre l'autre, malgré notre grande taille, car nous mesurons l’un et l’autre 1.87ml, ce n’est pas facile et confortable dans une voiture, l’autre fait troublant, nous sommes nés le même jour de septembre avec 18 années d’écart, nous avons beaucoup d’autres points communs.
On s’embrasse en se branlant mutuellement, puis dans un élan, je me glisse entre ses jambes, je me mis à le sucer, je veux le sentir jouir en moi, je ne me contrôle pas.
- Ça te plaît, petite pute ?
- Oui.
- Tu aimes la bite ?
- J’adore- Dis-le encore, salope.
- J’aime ta bite !
je fais de long va-et-vient, il ne tarde pas à venir, il me dit d'arrêter, je le regarde en même temps lui montrant que je ne souhaite pas m’arrêter, puis il gémit, et je sens son jus chaud dans ma bouche, plusieurs petits jets, j'avale tout ce que je peux, un peu de son sperme coule le long de mes lèvres sur mon menton et on s'arrête là, je me lèche, je m'allonge contre lui, on reste un moment comme ça sans rien dire dans la voiture, je n'ai jamais pris autant de plaisir avec une femme, ce n'est pas une simple lubie.
Denis vient de nouveau me caresser les fesses, vient me toucher « la chambre noire » qui est très douloureuse, mais le massage de l’entrée des artistes me fait du bien et est apprécié puis nous devons nous séparer, j’ai beaucoup de mal à le quitter, je me rhabille il me donne des conseils, je repars vers ma voiture, il me raccompagne, il me conseille de préparer Marie, de lui dire la vérité.
Je repars vers mon domicile, je suis heureux, mais l’excitation retombée, « le Trou de Balle » me fait horriblement souffrir. Le retour à la maison est compliqué, j’évite Marie pour la douche, car mes fesses sont toujours rougies par les fessées, mes fesses sont aussi rouges que des pommes. Marie me trouve bizarre, mais nous avons à sa demande une relation coquine.
Les jours qui suivirent, je me dis que je ne dois pas revoir Denis, la douleur est toujours présente, que je vais ruiner mon couple !!!! Que j’ai une épouse formidable, qui me comble sexuellement !!!!
Denis m’avait demandé de le rappeler, il m'avait dit que c'était à moi de voir si je souhaitais le revoir.
Et puis j’ai commencé à parler à Marie de fantasmes, de sodomie, que j’aimerai éventuellement gouter à cette pratique qu’elle appréciait tant. Elle m’a compris, elle m’a ramené des jouets qu’elle a achetés dans un Sex-Shop à Rouen.
Nous sommes tout de suite passés à l’acte, Marie à bien lubrifié ma petite rondelle, et fut étonné de ma facilité à absorber mes nouveaux jouets, et pour cause, cela avait rien à voir avec le sexe de Denis. Marie est douée pour m’enculer, mais c’est bien fade par rapport à ce que j’ai connu avec Denis. J’ai pourtant décidé de ne pas contacter Denis pour préserver mon couple, malgré l’envie de retrouver l’extase avec lui.
Pendant quatre ou cinq semaines je résiste à la tentation d’appeler Denis, et pourtant je pense souvent à ces moments délicieux de ma première pipe, ma première sodomie et de la première fois où j’ai avalé le nectar d’un homme. Mais je résiste.
Quelques jours plus tard, en fin de matinée, le téléphone sonne sur ma ligne directe au bureau, je décroche :• - C'est moi Denis, c’est Éric, je te dérange ?
• - Oui c'est moi dis-je timidement,... Euh oui, enfin non,…• - Tu es disponible ce midi et cet après-midi ?
• - Non, enfin je ne sais pas, peut-être,… • - Nous pouvons déjeuner ensemble à Rouen ?
• - Ok t'es sympa.
• - Tu peux ?
• - Heu,… Je vais m’arranger,…• - T’es disponible cet après-midi ?
• - Non, je vais demander à mon assistante d’annuler mes rendez-vous.
• - Je te propose de me retrouver dans un hôtel de luxe à Rouen, il y a un magnifique Spa, une piscine intérieure, un hammam et un sauna, et une suite qui nous attend pour remplacer la voiture, cela te tente ?
• - J’ai très envie, oui.
En fonction du retour et des commentaires à ce premier récit, je peux continuer à vous raconter trente années de libertinage, de ma bisexualité, d’aventures candaulistes et triolistes !!!
Je me souviens nostalgique de quelques expériences lors de mon passage dans « l’armée Française » en 1976 à Nancy ou dans une chambrée de 28 j’avais eu quelques petites « aventures », plutôt tactiles, caresses et quelques masturbations avec Thierry, je ne sais pas comment cela s'est fait mais un soir, je me suis retrouvé avec la queue de Thierry dans la main et lui avec la mienne....on a souvent joué à ce petit jeu entre militaires à l'époque on avait pas l'impression de faire du mal au contraire que de bonnes paluchades nous nous prodiguions chaque fois que possible.
Mon compagnon de chambre aurait souhaité aller plus loin, mais j’ai toujours refusé.
C'est d'ailleurs en pensant à cette aventure avec Thierry que l'idée me vient.
Dès lors je passais mon temps libre à fantasmer ou bien à me masturber car j'avais des grosses envies...d'hommes. Les jeux de mon année de service national revenaient à la surface..........les chaudes soirées étaient bien présentes. Et pourtant j’avais des relations plutôt soutenues et très régulières avec mon épouse.
Une nuit, à la maison je me suis connecté alors sur le minitel comme ça au hasard pour voir comme on dit souvent comme pour trouver une excuse à mes pulsions de mecs et je découvris alors un monde vicieux qui me faisait bander comme un ado. Au début timide, je me contentais de lire des dialogues, des scénarios ou des confessions, très vite je suis devenu accro, me connectant au minitel de mon bureau, me donnais aussi un pseudo bien vicieux "sexmecbi" et à chaque fois je me faisais du bien, je me décalottais et jouissais plein les mains et sur le ventre avant de m'essuyer dans un mouchoir en papier en prenant soin au préalable de fermer à clé la porte de mon bureau. Par ailleurs cela ne m’empêchait d’avoir de multiples relations avec mon épouse que je n’avais jamais trompé, elle était pourtant « experte », aimait le sexe, appréciait les fellations, et même la sodomie que nous pratiquions régulièrement à sa demande.
Très vite, j'allais entrer dans le monde virtuel.... pas facile avec le Minitel. !!! Sauf qu'une fois excité dans un dial super chaud avec un homme beaucoup plus âgé que moi, (52 ans) celui-ci à force de mots coquins me fit comprendre que de se finir à poil sur nos lits, (sauf que moi j’étais à mon bureau) la queue à la main en s'écoutant se masturber serait bien pour nous deux...à force d'hésitation et aussi à force de me branler en le lisant j'ai fini par donner mon numéro de téléphone professionnel ...J'attendais, le téléphone contre moi anxieux et un peu honteux....drinnnnnnng....drinnnnnnng...oui j'écoute ?
• - C'est moi Denis du minitel t'es Éric ?
• - Oui c'est moi dis-je timidement, Éric...
• - Tu n'as jamais fait une branlette au téléphone ?
• - Non c'est la première fois j'espère que tu ne garderas pas mon numéro car je n’aimerais pas avoir des ennuis...
• - Non Éric rassures toi je suis sérieux on se branle ensemble et j'oublie ton numéro sans problème...........
• - Ok t'es sympa.
• - Tu sais j'aime beaucoup me branler entre mecs.
• - Heu heu moi je n’ai pas encore osé mais je trouve ta voix douce agréable je suis tout nu comme convenu et toi ? (j’étais déjà aux ordres, j’étais nu dans mon bureau, entre 12h00 et 13h30 mais.)• - Moi aussi chéri je suis nu et je me branle doucement, je suis tout raide tu m'as chauffé à fond salope tu aimerais caresser mon sexe?
• - Je ne sais pas peut être que ça doit être bon entre copains de se branler...
• - Hum oui tu sais je le fais souvent moi je me gode aussi tu as des jouets pour t'envoyer en l'air?
• - Non je me doigte juste parfois un peu en me masturbant.
• - Bien alors laisse-moi te guider je vais te faire jouir comme jamais....
• Je dois avouer que pour une première fois j'avais effectivement bien jouit.
Et puis nous avons souvent recommencé en nous organisant mieux, je revenais chez moi, quand mon épouse était absente et puis ensuite Denis a eu envie de me rencontrer physiquement, je ne réalisais pas vraiment, j’étais bien.. Je continuais d’avoir des relations normales avec Marie mon épouse, voir peut être plus bestiale, mais elle appréciait.
Le rendez-vous fut pris, un parking à la sortie du pont de Tancarville, près du Havre, mais à 1h30 de mon domicile, pour la discrétion c’était rassurant, en fin d’après-midi, pour un côté pratique, j’étais souvent en déplacement commercial à l’époque je pouvais donc jongler avec mes horaires de retour pour mon épouse.
Je suis allé à ce rendez-vous sans appréhension en pensant faire connaissance avec Denis, simplement, innocemment, mettre un visage sur cette belle voix, je ne m’imaginais pas une seule seconde faire quelque chose sur ce parking.
Je suis arrivé au parking vers 17h00, enfin je crois, il faisait encore jour, à l’époque il n’y avait pas de téléphone portable, et donc pour retrouver Denis je me faufilais entre les camions, il y avait beaucoup de camions, Denis lui venait de Lisieux, à une quarantaine de minutes du parking, il devait normalement être arrivé. Je ne retrouvais pas la voiture de Denis, une BMW 530 bleu marine, j’ai un peu attendu, en me disant que finalement j’étais certainement en train de faire une grosse bêtise !!! Et puis soudain Denis arriva à pieds, venant à ma fenêtre pour me demander si j’étais bien Éric du minitel et des conversations téléphoniques.
Il m’invita de laisser ma voiture sur ce parking, la sienne étant garée de l’autre côté sur un parking légèrement moins fréquenté. Je dois avouer que Denis malgré ses 52 printemps, est un très bel homme, la différence de 18 années ne me gêne pas, je l’observe, il est très classe, très bien habillé, charmant, très beau sourire… il me plait.
Nous montons dans sa voiture, bizarrement, je suis plutôt à l’aise, Denis me parle beaucoup, très charmant, commence à me caresser, je ne me contrôle pas, j’ai très envie de l’embrasser, je me jette sur lui pour l’embrasser, il me calme légèrement, puis au fil de la conversation, il devient plus directif, m’ordonne de retirer vêtement après vêtement, pour finalement pour retrouver entièrement nu dans une voiture d’un presque inconnu, au mois de février, avec une température légèrement positive. Mais j’ai chaud, ses caresses et ses mains me sont agréables, il me demande de me tourner, il trouve que j’ai de jolies fesses, puis il m'embrasse de nouveau dans le cou, me suce l'oreille, me lèche les tétons, sa main effleure mon sexe, il positionne les sièges avant en « couchette » pour être mis sous forme de lit on s'allonge l'un contre l'autre, on s'embrasse, il prenait sans cesse l'ascendant sur moi, se mettait sur moi, me bloquait les mains derrière la tête, je pouvais sentir son sexe contre moi à travers son pantalon, puis il se baissa, ses mains le long de mon torse, se glissa entre mes jambes, me caresse, je bandais déjà, il entame une douce fellation, il me fixe en même temps, me caresse le torse, me mange le sexe sans les mains, je gonfle petit à petit dans sa bouche, c'était excitant de le voir me manger le sexe. Puis, il s'arrête, remonte vers moi, m'embrasse, nous nous retournons, je m'assis sur lui, il m'embrasse, pose ses mains sur mes fesses et commence à s'approcher de mon anus doucement, des petites approches. La nuit est tombée, cela fait au moins 1h30 que nous sommes ensemble. L’endroit est peu rassurant et bien trop fréquenté, nous sommes souvent dérangés par les phares et les klaxons des routiers.
A mon tour, je glisse entre ses jambes, Denis avait toujours ses vêtements, je me laisse totalement aller, je lèche son sexe par-dessus son pantalon, de façon peut-être un peu maladroite, je dégrafe sa ceinture, je déboutonne le pantalon. !!!! Mais Denis me demande autoritairement de sortir de la voiture car il souhaite m’avoir à ses genoux. !!!! Je suis entièrement nu, sur un parking avec un fort passage de camion, il fait très froid, et pourtant je m’exécute, Denis me tend une couverture pour protéger mes genoux, il s’installe à la portière arrière gauche, debout, il fait très froid et pourtant je suis en feu, je baisse son pantalon puis j'enlève son boxer, je prends son sexe en main, le regarde, il est énorme, je suis impressionné par ce sexe, un vrai concombre, je dois être bien ridicule avec mon sexe de taille moyenne, je commence par le branler naturellement, puis je me suis mis à le lécher pour enfin le mettre dans ma bouche, j'y vais de tout mon cœur, je le tiens avec ma main à la base et de mon autre main je caresse ses couilles, je m'amuse avec son gland, je m'amuse comme un fou avec sa bite, je reproduis les bonnes pratiques de Marie qui est une très bonne suceuse, Denis semble apprécié, je le regarde dans les yeux, je le suce comme si ma vie en dépendait, je ne veux pas le décevoir, c’est ma première pipe, Je n'ai jamais pris un pieds pareil. La dureté de son membre m'a surpris une fois que je l'ai eu en bouche, c'est dur une queue qui bande bien raide. Je l'ai pompé goulument comme une actrice de x qui veut faire jaillir le foutre. J'ai pris son sexe en entier en bouche, avec quelques soucis, car Denis m’ayant coincé la tête, il me tirait les cheveux et me faisait faire un va et vient sur sa grosse matraque, mais pas expérimenté, j’avais des haut-le-cœur, quand Denis pénétrait ma bouche trop profondément j'ai apprécié le gout et son excitation me rendait fou.
Tu aimes ça, salope ?
- Oui j’aime ça.
- Assieds-toi contre la voiture.
J’obéis et alors que ma tête reposait contre la portière, il exigea que je reste les lèvres bien ouvertes afin qu’il me baise la bouche.
Il allait et venait doucement au début. Il enfonçait son membre au fond de ma gorge et ressortait complètement pour mieux revenir ensuite.
- Ça te plaît, petite pute ?
- Oui.
Il rentre et ressort.
- Tu aimes la bite ?
- J’adoreNouveau passage dans ma bouche.
- Dis-le encore.
- J’aime ta bite !
Puis au bout d'un moment, il me demande si je veux gouter à autre chose, si je suis prêt à tenter une expérience, car il est proche de l’éjaculation, j’étais simplement venu faire connaissance, et pourtant je ne peux résister à cette tentation.
Il me demande de m’allonger sur la banquette arrière de sa voiture. Là, les caresses reprirent, il s'allonge sur moi, me domine, j'essaye de faire mine de résister, on joue un petit peu au chat et à la souris , puis il me dit dans l'oreille : " mets-toi sur le ventre ", je m'allonge sur le ventre, il s'allonge sur moi, me donne des petits coups de bassin me laissant présager la suite, me suce l'oreille, je sens sa chaleur contre moi, il se lève pour prendre dans le vide poche avant un petit tube, c’est de la vaseline, mais pas de préservatif, j’y pense, mais je n’ose lui demander, tant Denis est directif, et puis la différence d’âge enfin je reste allongé, il commence à " préparer le terrain ", il passe de la vaseline entre mes fesses, cela me semble un peu froid, commence à me doigter doucement, il sait ce qu'il fait.
Dans ma tête, je me dis " ça y est, je vais y passer ", je suis offert à un homme, j'ai un peu d'appréhension, je me sens à la place d'une femme, il commence à me mettre un deuxième puis un troisième doigt, je ne sais pas trop comment dire ce que je ressens, c'est une petite intrusion dans mon intimité, c'est plutôt agréable puis il mit de la vaseline sur son énorme gourdin, me dit d'écarter un peu les jambes, ce que je fis, s'allonge sur moi.
Il est très attentionné mais directif, me dit que si ça ne va pas de le dire et qu'on arrête, il m'écarte un peu plus les jambes, il me caresse les fesses, je suis à lui. Enfin, il me pénètre doucement, je sens son gland essayer de rentrer, mon anus s'ouvre, c'était un peu douloureux, très douloureux je respire fort, il me demande toujours si ça va, j'acquiesce , je ne veux pas le décevoir, puis il progresse, et là mon anus l'aspire, il rentre en moi, je ne peux bouger, il s'allonge complètement sur moi, il me tient les mains, m'écarte un peu plus les jambes avec les siennes et commence les va-et-vient, je suis pris, je ne peux bouger, il fait des petits mouvements de bassin, il va très doucement pendant plusieurs minutes, je ne ressens presque plus de douleur, le plaisir vient petit à petit, puis il me glisse des baisers dans le cou, me suce l'oreille, il adore faire ça et le fait très bien.
Puis, il me fait changer de position, il me dit de m'allonger sur le dos, puis de relever les jambes, sur le coup, je ne comprends pas, il était face à moi au-dessus de moi, il glisse mes jambes par-dessus ses épaules ( là je comprends ), il me pénètre de nouveau, là je ressens encore des petites douleurs, mais c’est plus agréable (c'est presque rentré comme dans du beurre ), la position est très excitante, par moment je le regarde dans les yeux, il ne cesse de me regarder avec un air si ferme, si sûr de lui, qui semble prendre plaisir à me prendre, par moment je regarde les mouvements de son bassin, je le vois me pénétrer, je me vois me faire enculer, je vois son pubis taper contre mes fesses, il commence à accélérer la cadence, il va au plus profond de mon cul, , je suis coincé sous lui, par moment il descend pour m'embrasser.
Cela dure un moment, un long moment, je sens son très gros sexe en moi, (22cm, mais c’est plus tard que j’ai connu sa taille), je ne réalise pas vraiment d’être aussi profondément pénétré et on change de position, il me fait mettre assis sur lui mais on ne dure pas longtemps, je ne suis pas à l'aise dans cette position, alors il me fait mettre à 4 pattes, je me sens comme une chienne dans cette position, ses mains qui se baladent sur mes hanches, ses couilles qui tapent sur mes fesses, j’ai même envie qu'il me claque les fesses, je commence à ressentir des frissons le long du dos, une chaleur monte à moi, et c’est le début d’une fessée magistrale à ma demande, le rythme s’accélère, il me défonce littéralement, en me traitant de petite pute, de salope qui aime sa bite puis on change à nouveau de position, on revient à celle du début, lui allongé sur moi.
Il me bloque les mains très fermement, là il devient très bestial, encore plus violent il me démonte le cul, il accélère de plus en plus, il continue les fessées, il me fait mal, très mal, mais je n’ose lui dire, je ne cesse de gémir, je m'abandonne totalement à ses coups de butoir, il s'arrête par moments pour me donner un coup de sexe profond, j'adore quand il fait ça, il continue, je transpire, je ne sais pas si c'est ce qu'on appelle un orgasme mais j'étais en pleine extase, je ressentais des spasmes dans le dos, j'étais ailleurs.
Il se retire avant d'éjaculer, on s'allonge l'un contre l'autre, malgré notre grande taille, car nous mesurons l’un et l’autre 1.87ml, ce n’est pas facile et confortable dans une voiture, l’autre fait troublant, nous sommes nés le même jour de septembre avec 18 années d’écart, nous avons beaucoup d’autres points communs.
On s’embrasse en se branlant mutuellement, puis dans un élan, je me glisse entre ses jambes, je me mis à le sucer, je veux le sentir jouir en moi, je ne me contrôle pas.
- Ça te plaît, petite pute ?
- Oui.
- Tu aimes la bite ?
- J’adore- Dis-le encore, salope.
- J’aime ta bite !
je fais de long va-et-vient, il ne tarde pas à venir, il me dit d'arrêter, je le regarde en même temps lui montrant que je ne souhaite pas m’arrêter, puis il gémit, et je sens son jus chaud dans ma bouche, plusieurs petits jets, j'avale tout ce que je peux, un peu de son sperme coule le long de mes lèvres sur mon menton et on s'arrête là, je me lèche, je m'allonge contre lui, on reste un moment comme ça sans rien dire dans la voiture, je n'ai jamais pris autant de plaisir avec une femme, ce n'est pas une simple lubie.
Denis vient de nouveau me caresser les fesses, vient me toucher « la chambre noire » qui est très douloureuse, mais le massage de l’entrée des artistes me fait du bien et est apprécié puis nous devons nous séparer, j’ai beaucoup de mal à le quitter, je me rhabille il me donne des conseils, je repars vers ma voiture, il me raccompagne, il me conseille de préparer Marie, de lui dire la vérité.
Je repars vers mon domicile, je suis heureux, mais l’excitation retombée, « le Trou de Balle » me fait horriblement souffrir. Le retour à la maison est compliqué, j’évite Marie pour la douche, car mes fesses sont toujours rougies par les fessées, mes fesses sont aussi rouges que des pommes. Marie me trouve bizarre, mais nous avons à sa demande une relation coquine.
Les jours qui suivirent, je me dis que je ne dois pas revoir Denis, la douleur est toujours présente, que je vais ruiner mon couple !!!! Que j’ai une épouse formidable, qui me comble sexuellement !!!!
Denis m’avait demandé de le rappeler, il m'avait dit que c'était à moi de voir si je souhaitais le revoir.
Et puis j’ai commencé à parler à Marie de fantasmes, de sodomie, que j’aimerai éventuellement gouter à cette pratique qu’elle appréciait tant. Elle m’a compris, elle m’a ramené des jouets qu’elle a achetés dans un Sex-Shop à Rouen.
Nous sommes tout de suite passés à l’acte, Marie à bien lubrifié ma petite rondelle, et fut étonné de ma facilité à absorber mes nouveaux jouets, et pour cause, cela avait rien à voir avec le sexe de Denis. Marie est douée pour m’enculer, mais c’est bien fade par rapport à ce que j’ai connu avec Denis. J’ai pourtant décidé de ne pas contacter Denis pour préserver mon couple, malgré l’envie de retrouver l’extase avec lui.
Pendant quatre ou cinq semaines je résiste à la tentation d’appeler Denis, et pourtant je pense souvent à ces moments délicieux de ma première pipe, ma première sodomie et de la première fois où j’ai avalé le nectar d’un homme. Mais je résiste.
Quelques jours plus tard, en fin de matinée, le téléphone sonne sur ma ligne directe au bureau, je décroche :• - C'est moi Denis, c’est Éric, je te dérange ?
• - Oui c'est moi dis-je timidement,... Euh oui, enfin non,…• - Tu es disponible ce midi et cet après-midi ?
• - Non, enfin je ne sais pas, peut-être,… • - Nous pouvons déjeuner ensemble à Rouen ?
• - Ok t'es sympa.
• - Tu peux ?
• - Heu,… Je vais m’arranger,…• - T’es disponible cet après-midi ?
• - Non, je vais demander à mon assistante d’annuler mes rendez-vous.
• - Je te propose de me retrouver dans un hôtel de luxe à Rouen, il y a un magnifique Spa, une piscine intérieure, un hammam et un sauna, et une suite qui nous attend pour remplacer la voiture, cela te tente ?
• - J’ai très envie, oui.
En fonction du retour et des commentaires à ce premier récit, je peux continuer à vous raconter trente années de libertinage, de ma bisexualité, d’aventures candaulistes et triolistes !!!
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est assez étrange, je suis candauliste et pas intéressé par l'homosexualité et pourtant j'ai aimé votre récit !