Première expérience féminine
Récit érotique écrit par Gigaking [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2007 dans la catégorie Plus on est
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Première expérience féminine
Le temps est venu pour moi de vous raconter mes aventures, notamment ma découverte du libertinage et mes nombreuses rencontres, toutes aussi intéressantes qu’agréables.
Cela a débuté il y a 6 ans, alors que j’étais avec Stéphane, dans la région de Montréal. Stéphane est un grand brun costaud, d’1m80, que j’ai rencontré par mon travail. C’est lui qui m’a vraiment fait découvrir mon corps et initié aux plaisirs féminins… Voici comment ça s’est déroulé la première fois, en commençant par un coup de téléphone pour le moins intriguant :
« Allo Joyce ? »
« Oui ? »
« Ecoutes, j’ai pas trop le temps de te parler là, mais je voudrais que tu t’habilles pour ce soir, je t’emmène manger au restaurant… »
« Ah, et je dois m’habiller comment ? Dans quel genre de restaurant tu veux m’emmener ? »
« Euh, disons que tu n’as qu’à mettre cet ensemble sexy dans lequel je te trouve si bien… »
« La jupe noire et le chemisier blanc ? »
« Oui, voilà, ce sera parfait… Pas trop le temps là, je passe te prendre à la maison vers 19h00
« Ok, à tout à l’heure, je t’embrasse. »
« Moi aussi, bisous. »
Revenue à la maison, un peu émoustillée par la demande de Stéphane concernant mes vêtements, j’accordai un soin tout particulier à mon apparence, je me maquillai légèrement, je m’épilai parfaitement et je mis ce fameux ensemble que Stéphane aimait tout particulièrement : la jupe noire un peu serrée arrivait à mi-cuisse, je me décidai pour un string blanc très fin et après avoir essayé le soutien-gorge avec le chemisier, finalement, le reflet dans le miroir ne me plût guère, j’optai donc pour rester seins nus sous le chemisier très léger. J’étais à la fois anxieuse et un peu excitée par l’invitation de Stéphane. Une fois maquillée légèrement, l’image renvoyée cette fois par mon miroir me plaisait assez : une femme rousse un peu sophistiquée, sexy, avec les cheveux courts et de grands yeux brillants.
Stéphane arriva à l’heure dite et nous nous rendîmes à l’endroit prévu, je ne fis pas tellement attention au nom de l’endroit. Stéphane donna notre nom au portier, et nous pénétrâmes dans un grand couloir où la pénombre ne laissait pas voir grand chose. Nous fûmes accueilli par une charmante dame habillée plutôt classe si ce n’est un décolleté très profond qui laissait entrevoir une très jolie poitrine. Elle nous accompagna, en nous décrivant l’endroit. Il y avait très peu de monde. Je me rendis compte que nous n’étions pas dans une discothèque ordinaire, sans toutefois imaginer un seul instant qu’il s’agissait d’un club libertin…
Il y avait de petites tables, avec de larges fauteuils très confortables, quelques divans dans le fond de la pièce et une grande piste de danse, entourée sur trois côtés de tabourets et dont les murs étaient couverts de miroirs. Sur la droite de la piste, un corridor menait à une douche ouverte pouvant recevoir au moins 8 personnes, en face de cette pièce, un salon, avec un téléviseur géant, et juste derrière, j’ai aperçu une espèce de scène sur laquelle se trouvait des chaises longues couvertes de coussins, derrière cette scène se trouvait un grand sauna. Le doute s’est peu à peu retiré de mon esprit lorsque la femme nous a emmené voir la suite du club. Nous avons découvert de grandes pièces, remplies de plusieurs matelas, à même le sol mais dans une propreté impeccable. Les pièces communiquaient entres-elles par de grandes fenêtres. Je glissai à Stéphane discrètement :
« C’est un club libertin ici, n’est-ce pas ? »
« Oui… », me répond-t-il d’un air penaud, « Tu veux partir ? »
« Non, non, ça va… mais je ne veux pas venir dans ces chambres, ici, je ne suis pas prête…»
« Ok »
Je me sentais gênée et en même temps attirée par ce qui pouvait bien se passer dans ce genre d’endroit, Stéphane et moi en avions souvent parlé, en tête à tête, de nos envies respectives, de nos fantasmes mais j’étais loin d’imaginer que c’était à cet instant qu’il avait décidé de franchir le cap.
La femme nous laissa nous installer à une table à côté de la piste de danse. Stéphane avait apporté, sous les conseils de la tenancière, de la vodka-orange car l’endroit ne servait pas d’alcool. Il fit attention à ce que mon verre soit toujours rempli durant toute la soirée. Après quelques vodkas, je me sentais beaucoup plus à l’aise et je ne fis plus attention aux regards insistants des quelques personnes présentes qui semblaient disserter sur ma tenue légère.
La piste de danse était absolument vide alors que la musique battait son plein. Un savant mélange de disco et de rythmes plus actuels faisait vibrer mon corps. Je n’avais qu’une envie, m’élancer sur la piste pour danser mais je ne voulais pas être la première. Je remarquai que Stéphane et moi étions le seul couple à être collé à son partenaire. Il y avait d’autres couples, mais ils semblaient plus intéressés par leurs voisins et voisines de table que par leurs partenaires respectifs. Les gens présents semblaient pour la plupart des habitués qui avait déjà eu l’occasion de faire connaissance par le passé.
La musique rythmée a laissé sa place à un slow et ç’est ce moment précis que les gens attendaient pour se lever de table. Tous ensemble, ils ont gagné la piste et ont formé des couples. Nous avons observé ces couples danser langoureusement et à un moment, Stéphane m’a demandé :
« On y va ? J’ai envie de sentir ton corps contre le mien… »
« D’accord »
Je n’attendais que ça depuis des minutes qui m’ont semblé durer des heures…
Nous nous sommes rendus sur la piste et avons commencé un slow très serré. Stéphane étant très grand et très corpulent, je n’avais aucun mal à m’enfouir la tête complètement dans son cou. Je ne voyais pas grand chose de ce qui se passait autour de nous. J’ai remarqué à un instant que l’intensité de la lumière avait baissé et qu’il y avait désormais tellement de monde sur la piste que cette dernière était pleine. Je me sentais bien dans les bras de Stéphane. Les titres s’enchaînaient.
J’ai cru sentir une main sur mes fesses à un moment. Mais je n’y ai pas prêté plus d’attention que ça, pensant qu’il s’agissait d’un autre couple qui nous avait frôlé.
« Euhhh Jo, regarde derrière toi, sur la droite »
Je me retourne doucement et à quelques pas derrière nous, un homme se faisait faire une fellation par une femme agenouillée devant lui. Elle le suçait tout en continuant à se déhancher sur la musique.
Complètement tétanisée par la gêne, je n’ai regardé que quelques secondes et je me suis retourné bien vite m’enfouir le visage dans le torse de Stéphane. J’ai fermé les yeux, je revoyais cette femme en train de pomper cet homme, comme ça, en plein milieu de cette piste remplie de monde. J’ai senti comme une douce chaleur envahir le bas de mon ventre. Je me sentais en même temps très mal à l’aise et en même temps très bien, doucement excitée. Le temps d’un deuxième morceau et Stéphane me dit :
« Jo, regarde doucement, à ta gauche maintenant »
Je me suis tournée et j’ai vu une très jolie femme, avec une longue robe blanche déboutonnée jusqu’à la taille. Elle était en train de se faire caresser par deux hommes, le premier, derrière elle, lui pelotait les seins tandis que l’autre était agenouillé devant elle et lui caressait la vulve d’une main, tout en retenant sa robe avec l’autre. On pouvait voir ses doigts disparaître dans le sexe de la belle.
Tout autour, les couples continuaient de danser mais les caresses se faisaient plus précises, ils mataient les couples en action et parfois se quittaient pour que l’un ou l’autre partenaire se joigne à un couple en action. A plusieurs reprises, j’ai senti des mains me caresser les fesses, je dit :
« Stéphane, j’ai senti plusieurs fois des mains sur mes fesses… »
« Ne t’en fais pas Jo, ces gens là sont respectueux, si tu leur montres que tu n’es pas intéressée, il n’insisteront pas », me répondit-il avec un petit sourire coquin.
Nous sommes retournés ensuite à notre table pour siroter nos verres tout en regardant les couples. Stéphane a insisté pour que nous allions observer du côté des « chambres ». Dans l’une d’elle, une quinzaine de personnes baisaient ensemble.
« Je ne veux pas faire ça » ai-je dit avec le peu d’esprit qui me restait non embrumé par les vapeurs d’alccol.
« Non, ,non, rassures-toi, on ne le fera pas » m’a répondu Stéphane en me prenant la main pour m’attirer vers lui et m’embrasser voluptueusement.
Réflexion faite, à la vue de tous ces couples plus ou moins déshabillés et en train de faire l’amour, les quelques effleurements que j’avais sentis ne m’avaient pas paru désagréables, bien au contraire, je trouvais ces légers contacts très excitant. Nous somme revenus vers la piste de danse et tout en continuant de danser, alors que je me cachais toujours dans les bras de Stéphane, ce dernier me dirigea subtilement vers quelqu’un qu’il avait repéré et qui semblait l’intéresser. Je continuais à danser sans bien me rendre compte du manège orchestré par Stéphane.
Un peu plus tard, je sentis des mains me toucher les fesses et les hanches mais de manière plus soutenue que précédemment. J’ai relevé les yeux vers Stéphane, sans oser me retourner pour voir l’auteur des faits.
« Laisse-toi aller », dit Stéphane en me souriant.
Je me suis aperçue que la personne qui me caressait était dos à moi, nos fesses se touchaient pendant la danse tandis que ses mains passaient de ma taille à mes cuisses.
Tout en continuant à bouger, la personne s’est retournée pour se coller à moi et continuer ses caresses de façon plus approfondie encore. Je n’osais pas me retourner, ni même rendre ce qu’on me prodiguait, j’étais honteusement gênée qu’on touche mon corps alors que j’étais dans les bras de l’homme que j’aimais et je ne savais pas du tout comment réagir. Je me crispais contre Stéphane tout en appréciant les mains qui remontaient de ma taille à mes cuisses.
J’ai fini par être troublée par le plaisir montant en moi et c’est sans doute mon regard qui a trahi cette excitation à Stéphane, il m’a doucement retiré mes mains de sa taille pour les poser sur le corps de la personne qui me faisait du bien. Nous ne nous sommes pas séparés mais avons simplement pivoté pour que la personne puisse mieux me caresser et moi de même. Je n’avais toujours pas vu s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme mais mes doutes se sont vite évanouis quand mes mains ont fini par rencontrer un tissu soyeux et léger. Il s’agissait d’une jupe ample…
Je me suis finalement décidée à me retourner pour voir la personne. C’était une très jolie jeune femme d’une vingtaine d’années, avec de longs cheveux bruns et la peau un peu mate, un visage très doux rempli d’un beau sourire.
J’étais ravie car les femmes que j’avais remarquée pendant que nous buvions nos verres étaient plus âgées et je n’avais pas vu cette très jolie jeune femme dans l’assemblée. Je me dis que Stéphane avait eu bon goût pour moi.
Nous avons continué à danser à trois, formant un triangle, nos mains se faisaient très actives, à la découverte de nos corps, je sentais parfois la main de Stéphane sur son corps et parfois leurs mains se retrouvaient sur mes fesses. Ils ont entrepris tout les deux de relever ma jupe pour faciliter le contact avec ma peau. L’alcool aidant, je me laissais petit à petit complètement aller et je me déhanchais de plus belle tout en devenant moi-même beaucoup plus entreprenante. Quelques temps plus tard, nous nous sommes retrouvés face à face, elle et moi tandis que Stéphane restait sur notre côté. Pendant qu’il nous caressait toutes les deux, elle a approché son visage du mien et m’a embrassé très langoureusement. Son baiser m’a littéralement fait chavirer, elle avait des lèvres douces, fraîches et agréables. Elle a commencé par me sucer doucement la lèvre inférieure pour enfin glisser sa langue à la rencontre de la mienne. C’était la première fois que j’embrassais une femme et j’ai souhaité que ce baiser ne finisse jamais. Tout en s’embrassant longuement ainsi, nos caresses devenaient de plus en plus passionnées et précises.
Ma main gauche était passée sous sa jupe et je palpais ses fesses, avec ma main droite, je caressais ses seins, dressés par l’excitation. J’ai ensuite déboutonné tout le haut de sa robe et découvert sa poitrine, qu’elle avait menue mais très jolie. J’étais maintenant également moi aussi seins nus, la jupe relevée avec mon seul string comme dernière barrière. Je mouillais terriblement, ce fut certainement une des excitations les plus agréables que j’ai eu dans ma vie.
Stéphane, qui n’a pas arrêté de nous caresser toutes les deux a fini par s’accroupir devant moi pour retirer mon string trempé, et tandis que je m’enhardissais à sucer un téton de la jeune femme, il s’occupa aussi de lui retirer sa petite culotte. De son côté, elle aussi s’occupait de mes seins, elle suçotait et mordillait mes tétons, ce qui provoquait de grandes vagues de plaisir dans mon bas-ventre.
Petit à petit, les mains de Stéphane sont allées naturellement fouiller nos grottes, trempées de plaisir, il me glissait un doigt ou deux et ramenait la cyprine vers mon anus pour favoriser les caresses sur le bord. Il faisait de même à la jeune femme. Je continuais de m’occuper de ses seins et de sa bouche mais les caresses de Stéphane ont tôt fait de nous faire jouir toutes les deux. Il savait exactement où se trouvait le point sensible de ma vulve et trouvait immanquablement le moyen de me faire gémir ma jouissance, et ça, quelques fois de suite. J’ai senti énormément de liquide couler le long de mes cuisses. Pour sa part, la jeune femme penchait sa tête en arrière et réprimait un petit cri à chacun de ses orgasmes. Ça m’excitait encore plus de la voir prendre autant de plaisir que moi.
Je me suis ensuite penchée sur elle pour lui lécher son clitoris tout en introduisant mes doigts dans sa chatte. C’est à ce moment que j’ai senti une main qui n’était pas celle de Stéphane se poser sur mes fesses. La main à commencé à me caresser le globe de mon cul mais s’est rapidement dirigé vers mon anus, déjà glissant de mouille, pour y glisser un index d’un seul coup. Je suis restée tellement surprise que j’ai arrêté immédiatement ce que j’étais en train de faire.
« Stéphane, y’a quelqu’un qui vient de m’introduire son doigt dans le cul… »
Stéphane, tout occupé avec nos chattes me sourit mais ne répondit rien. Je me relevais pour voir qui était cette personne qui a aussitôt pris l’initiative de me caresser les seins. C’était un homme, plutôt grand, probablement arabe.
« Tu as le plus beau cul que j’ai jamais vu… je peux continuer ?» m’a-t‘il susurré à l’oreille d’une voix douce.
« Maintenant que vous avez commencé, ce serait dommage d’arrêter » me suis-je entendue dire à mon plus grand étonnement.
Je me suis aussitôt retournée pour continuer mon cunnilingus. Tout autour de nous, des hommes et des femmes se mélangeaient, se touchaient et prenaient énormément de plaisir. J’ai encore joui un nombre incalculable de fois, avec les doigts de Stéphane dans mon antre et de l’autre personne dans mon cul. Une autre personne s’est jointe à notre groupe et nous a demandé si nous ne souhaitions pas aller dans les « chambres ». J’étais tellement « high » que je n’y voyais aucun inconvénient, j’étais prête à faire n’importe quoi.
« Jo, c’est bien toi qui disait que tu ne voulais pas aller dans les « chambres » et te faire pénétrer par un autre homme, as-tu oublié ? »
Au même moment qu’il me dit ça, le petit ami de la jeune femme vient vers nous, il semblait déçu ou mécontent, difficile à dire, c’était un beau jeune homme blond avec les cheveux ébouriffés. Je crois qu’il voulait récupérer sa copine qui avait passé beaucoup de temps avec nous, sans doute trop à son goût. Le garçon fini par emmener sa petite amie loin de nous, après nous avoir fait un sourire désolé.
Ça a brisé un peu l’ambiance, et en même temps, j’étais totalement épuisée par tous les orgasmes que j’avais eus. Nous nous sommes décidés à rentrer à la maison et en prenant congé de l’homme qui n’arrêtait pas de me tripoter, même lorsque je parlais à Stéphane.
« Ne partez pas maintenant, tenez, ma carte, j’ai tellement envie de vous faire jouir… Vous êtes si belle… Venez chez moi…»
« Une autre fois, peut-être… » Répondit Stéphane à ses supplications.
Une fois rentré, nous avons fait l’amour mais j’étais trop épuisée pour prendre encore du plaisir, par contre, toute la semaine qui a suivi a été extraordinaire au lit, nous parlions sans cesse de notre expérience et cela nous excitait mutuellement.
Nous avions envie tous les deux de réitérer au plus vite cette fabuleuse soirée, et j’espère bien vous raconter dans un autre récit, la suite de ma découverte du libertinage
Gigaking
Cela a débuté il y a 6 ans, alors que j’étais avec Stéphane, dans la région de Montréal. Stéphane est un grand brun costaud, d’1m80, que j’ai rencontré par mon travail. C’est lui qui m’a vraiment fait découvrir mon corps et initié aux plaisirs féminins… Voici comment ça s’est déroulé la première fois, en commençant par un coup de téléphone pour le moins intriguant :
« Allo Joyce ? »
« Oui ? »
« Ecoutes, j’ai pas trop le temps de te parler là, mais je voudrais que tu t’habilles pour ce soir, je t’emmène manger au restaurant… »
« Ah, et je dois m’habiller comment ? Dans quel genre de restaurant tu veux m’emmener ? »
« Euh, disons que tu n’as qu’à mettre cet ensemble sexy dans lequel je te trouve si bien… »
« La jupe noire et le chemisier blanc ? »
« Oui, voilà, ce sera parfait… Pas trop le temps là, je passe te prendre à la maison vers 19h00
« Ok, à tout à l’heure, je t’embrasse. »
« Moi aussi, bisous. »
Revenue à la maison, un peu émoustillée par la demande de Stéphane concernant mes vêtements, j’accordai un soin tout particulier à mon apparence, je me maquillai légèrement, je m’épilai parfaitement et je mis ce fameux ensemble que Stéphane aimait tout particulièrement : la jupe noire un peu serrée arrivait à mi-cuisse, je me décidai pour un string blanc très fin et après avoir essayé le soutien-gorge avec le chemisier, finalement, le reflet dans le miroir ne me plût guère, j’optai donc pour rester seins nus sous le chemisier très léger. J’étais à la fois anxieuse et un peu excitée par l’invitation de Stéphane. Une fois maquillée légèrement, l’image renvoyée cette fois par mon miroir me plaisait assez : une femme rousse un peu sophistiquée, sexy, avec les cheveux courts et de grands yeux brillants.
Stéphane arriva à l’heure dite et nous nous rendîmes à l’endroit prévu, je ne fis pas tellement attention au nom de l’endroit. Stéphane donna notre nom au portier, et nous pénétrâmes dans un grand couloir où la pénombre ne laissait pas voir grand chose. Nous fûmes accueilli par une charmante dame habillée plutôt classe si ce n’est un décolleté très profond qui laissait entrevoir une très jolie poitrine. Elle nous accompagna, en nous décrivant l’endroit. Il y avait très peu de monde. Je me rendis compte que nous n’étions pas dans une discothèque ordinaire, sans toutefois imaginer un seul instant qu’il s’agissait d’un club libertin…
Il y avait de petites tables, avec de larges fauteuils très confortables, quelques divans dans le fond de la pièce et une grande piste de danse, entourée sur trois côtés de tabourets et dont les murs étaient couverts de miroirs. Sur la droite de la piste, un corridor menait à une douche ouverte pouvant recevoir au moins 8 personnes, en face de cette pièce, un salon, avec un téléviseur géant, et juste derrière, j’ai aperçu une espèce de scène sur laquelle se trouvait des chaises longues couvertes de coussins, derrière cette scène se trouvait un grand sauna. Le doute s’est peu à peu retiré de mon esprit lorsque la femme nous a emmené voir la suite du club. Nous avons découvert de grandes pièces, remplies de plusieurs matelas, à même le sol mais dans une propreté impeccable. Les pièces communiquaient entres-elles par de grandes fenêtres. Je glissai à Stéphane discrètement :
« C’est un club libertin ici, n’est-ce pas ? »
« Oui… », me répond-t-il d’un air penaud, « Tu veux partir ? »
« Non, non, ça va… mais je ne veux pas venir dans ces chambres, ici, je ne suis pas prête…»
« Ok »
Je me sentais gênée et en même temps attirée par ce qui pouvait bien se passer dans ce genre d’endroit, Stéphane et moi en avions souvent parlé, en tête à tête, de nos envies respectives, de nos fantasmes mais j’étais loin d’imaginer que c’était à cet instant qu’il avait décidé de franchir le cap.
La femme nous laissa nous installer à une table à côté de la piste de danse. Stéphane avait apporté, sous les conseils de la tenancière, de la vodka-orange car l’endroit ne servait pas d’alcool. Il fit attention à ce que mon verre soit toujours rempli durant toute la soirée. Après quelques vodkas, je me sentais beaucoup plus à l’aise et je ne fis plus attention aux regards insistants des quelques personnes présentes qui semblaient disserter sur ma tenue légère.
La piste de danse était absolument vide alors que la musique battait son plein. Un savant mélange de disco et de rythmes plus actuels faisait vibrer mon corps. Je n’avais qu’une envie, m’élancer sur la piste pour danser mais je ne voulais pas être la première. Je remarquai que Stéphane et moi étions le seul couple à être collé à son partenaire. Il y avait d’autres couples, mais ils semblaient plus intéressés par leurs voisins et voisines de table que par leurs partenaires respectifs. Les gens présents semblaient pour la plupart des habitués qui avait déjà eu l’occasion de faire connaissance par le passé.
La musique rythmée a laissé sa place à un slow et ç’est ce moment précis que les gens attendaient pour se lever de table. Tous ensemble, ils ont gagné la piste et ont formé des couples. Nous avons observé ces couples danser langoureusement et à un moment, Stéphane m’a demandé :
« On y va ? J’ai envie de sentir ton corps contre le mien… »
« D’accord »
Je n’attendais que ça depuis des minutes qui m’ont semblé durer des heures…
Nous nous sommes rendus sur la piste et avons commencé un slow très serré. Stéphane étant très grand et très corpulent, je n’avais aucun mal à m’enfouir la tête complètement dans son cou. Je ne voyais pas grand chose de ce qui se passait autour de nous. J’ai remarqué à un instant que l’intensité de la lumière avait baissé et qu’il y avait désormais tellement de monde sur la piste que cette dernière était pleine. Je me sentais bien dans les bras de Stéphane. Les titres s’enchaînaient.
J’ai cru sentir une main sur mes fesses à un moment. Mais je n’y ai pas prêté plus d’attention que ça, pensant qu’il s’agissait d’un autre couple qui nous avait frôlé.
« Euhhh Jo, regarde derrière toi, sur la droite »
Je me retourne doucement et à quelques pas derrière nous, un homme se faisait faire une fellation par une femme agenouillée devant lui. Elle le suçait tout en continuant à se déhancher sur la musique.
Complètement tétanisée par la gêne, je n’ai regardé que quelques secondes et je me suis retourné bien vite m’enfouir le visage dans le torse de Stéphane. J’ai fermé les yeux, je revoyais cette femme en train de pomper cet homme, comme ça, en plein milieu de cette piste remplie de monde. J’ai senti comme une douce chaleur envahir le bas de mon ventre. Je me sentais en même temps très mal à l’aise et en même temps très bien, doucement excitée. Le temps d’un deuxième morceau et Stéphane me dit :
« Jo, regarde doucement, à ta gauche maintenant »
Je me suis tournée et j’ai vu une très jolie femme, avec une longue robe blanche déboutonnée jusqu’à la taille. Elle était en train de se faire caresser par deux hommes, le premier, derrière elle, lui pelotait les seins tandis que l’autre était agenouillé devant elle et lui caressait la vulve d’une main, tout en retenant sa robe avec l’autre. On pouvait voir ses doigts disparaître dans le sexe de la belle.
Tout autour, les couples continuaient de danser mais les caresses se faisaient plus précises, ils mataient les couples en action et parfois se quittaient pour que l’un ou l’autre partenaire se joigne à un couple en action. A plusieurs reprises, j’ai senti des mains me caresser les fesses, je dit :
« Stéphane, j’ai senti plusieurs fois des mains sur mes fesses… »
« Ne t’en fais pas Jo, ces gens là sont respectueux, si tu leur montres que tu n’es pas intéressée, il n’insisteront pas », me répondit-il avec un petit sourire coquin.
Nous sommes retournés ensuite à notre table pour siroter nos verres tout en regardant les couples. Stéphane a insisté pour que nous allions observer du côté des « chambres ». Dans l’une d’elle, une quinzaine de personnes baisaient ensemble.
« Je ne veux pas faire ça » ai-je dit avec le peu d’esprit qui me restait non embrumé par les vapeurs d’alccol.
« Non, ,non, rassures-toi, on ne le fera pas » m’a répondu Stéphane en me prenant la main pour m’attirer vers lui et m’embrasser voluptueusement.
Réflexion faite, à la vue de tous ces couples plus ou moins déshabillés et en train de faire l’amour, les quelques effleurements que j’avais sentis ne m’avaient pas paru désagréables, bien au contraire, je trouvais ces légers contacts très excitant. Nous somme revenus vers la piste de danse et tout en continuant de danser, alors que je me cachais toujours dans les bras de Stéphane, ce dernier me dirigea subtilement vers quelqu’un qu’il avait repéré et qui semblait l’intéresser. Je continuais à danser sans bien me rendre compte du manège orchestré par Stéphane.
Un peu plus tard, je sentis des mains me toucher les fesses et les hanches mais de manière plus soutenue que précédemment. J’ai relevé les yeux vers Stéphane, sans oser me retourner pour voir l’auteur des faits.
« Laisse-toi aller », dit Stéphane en me souriant.
Je me suis aperçue que la personne qui me caressait était dos à moi, nos fesses se touchaient pendant la danse tandis que ses mains passaient de ma taille à mes cuisses.
Tout en continuant à bouger, la personne s’est retournée pour se coller à moi et continuer ses caresses de façon plus approfondie encore. Je n’osais pas me retourner, ni même rendre ce qu’on me prodiguait, j’étais honteusement gênée qu’on touche mon corps alors que j’étais dans les bras de l’homme que j’aimais et je ne savais pas du tout comment réagir. Je me crispais contre Stéphane tout en appréciant les mains qui remontaient de ma taille à mes cuisses.
J’ai fini par être troublée par le plaisir montant en moi et c’est sans doute mon regard qui a trahi cette excitation à Stéphane, il m’a doucement retiré mes mains de sa taille pour les poser sur le corps de la personne qui me faisait du bien. Nous ne nous sommes pas séparés mais avons simplement pivoté pour que la personne puisse mieux me caresser et moi de même. Je n’avais toujours pas vu s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme mais mes doutes se sont vite évanouis quand mes mains ont fini par rencontrer un tissu soyeux et léger. Il s’agissait d’une jupe ample…
Je me suis finalement décidée à me retourner pour voir la personne. C’était une très jolie jeune femme d’une vingtaine d’années, avec de longs cheveux bruns et la peau un peu mate, un visage très doux rempli d’un beau sourire.
J’étais ravie car les femmes que j’avais remarquée pendant que nous buvions nos verres étaient plus âgées et je n’avais pas vu cette très jolie jeune femme dans l’assemblée. Je me dis que Stéphane avait eu bon goût pour moi.
Nous avons continué à danser à trois, formant un triangle, nos mains se faisaient très actives, à la découverte de nos corps, je sentais parfois la main de Stéphane sur son corps et parfois leurs mains se retrouvaient sur mes fesses. Ils ont entrepris tout les deux de relever ma jupe pour faciliter le contact avec ma peau. L’alcool aidant, je me laissais petit à petit complètement aller et je me déhanchais de plus belle tout en devenant moi-même beaucoup plus entreprenante. Quelques temps plus tard, nous nous sommes retrouvés face à face, elle et moi tandis que Stéphane restait sur notre côté. Pendant qu’il nous caressait toutes les deux, elle a approché son visage du mien et m’a embrassé très langoureusement. Son baiser m’a littéralement fait chavirer, elle avait des lèvres douces, fraîches et agréables. Elle a commencé par me sucer doucement la lèvre inférieure pour enfin glisser sa langue à la rencontre de la mienne. C’était la première fois que j’embrassais une femme et j’ai souhaité que ce baiser ne finisse jamais. Tout en s’embrassant longuement ainsi, nos caresses devenaient de plus en plus passionnées et précises.
Ma main gauche était passée sous sa jupe et je palpais ses fesses, avec ma main droite, je caressais ses seins, dressés par l’excitation. J’ai ensuite déboutonné tout le haut de sa robe et découvert sa poitrine, qu’elle avait menue mais très jolie. J’étais maintenant également moi aussi seins nus, la jupe relevée avec mon seul string comme dernière barrière. Je mouillais terriblement, ce fut certainement une des excitations les plus agréables que j’ai eu dans ma vie.
Stéphane, qui n’a pas arrêté de nous caresser toutes les deux a fini par s’accroupir devant moi pour retirer mon string trempé, et tandis que je m’enhardissais à sucer un téton de la jeune femme, il s’occupa aussi de lui retirer sa petite culotte. De son côté, elle aussi s’occupait de mes seins, elle suçotait et mordillait mes tétons, ce qui provoquait de grandes vagues de plaisir dans mon bas-ventre.
Petit à petit, les mains de Stéphane sont allées naturellement fouiller nos grottes, trempées de plaisir, il me glissait un doigt ou deux et ramenait la cyprine vers mon anus pour favoriser les caresses sur le bord. Il faisait de même à la jeune femme. Je continuais de m’occuper de ses seins et de sa bouche mais les caresses de Stéphane ont tôt fait de nous faire jouir toutes les deux. Il savait exactement où se trouvait le point sensible de ma vulve et trouvait immanquablement le moyen de me faire gémir ma jouissance, et ça, quelques fois de suite. J’ai senti énormément de liquide couler le long de mes cuisses. Pour sa part, la jeune femme penchait sa tête en arrière et réprimait un petit cri à chacun de ses orgasmes. Ça m’excitait encore plus de la voir prendre autant de plaisir que moi.
Je me suis ensuite penchée sur elle pour lui lécher son clitoris tout en introduisant mes doigts dans sa chatte. C’est à ce moment que j’ai senti une main qui n’était pas celle de Stéphane se poser sur mes fesses. La main à commencé à me caresser le globe de mon cul mais s’est rapidement dirigé vers mon anus, déjà glissant de mouille, pour y glisser un index d’un seul coup. Je suis restée tellement surprise que j’ai arrêté immédiatement ce que j’étais en train de faire.
« Stéphane, y’a quelqu’un qui vient de m’introduire son doigt dans le cul… »
Stéphane, tout occupé avec nos chattes me sourit mais ne répondit rien. Je me relevais pour voir qui était cette personne qui a aussitôt pris l’initiative de me caresser les seins. C’était un homme, plutôt grand, probablement arabe.
« Tu as le plus beau cul que j’ai jamais vu… je peux continuer ?» m’a-t‘il susurré à l’oreille d’une voix douce.
« Maintenant que vous avez commencé, ce serait dommage d’arrêter » me suis-je entendue dire à mon plus grand étonnement.
Je me suis aussitôt retournée pour continuer mon cunnilingus. Tout autour de nous, des hommes et des femmes se mélangeaient, se touchaient et prenaient énormément de plaisir. J’ai encore joui un nombre incalculable de fois, avec les doigts de Stéphane dans mon antre et de l’autre personne dans mon cul. Une autre personne s’est jointe à notre groupe et nous a demandé si nous ne souhaitions pas aller dans les « chambres ». J’étais tellement « high » que je n’y voyais aucun inconvénient, j’étais prête à faire n’importe quoi.
« Jo, c’est bien toi qui disait que tu ne voulais pas aller dans les « chambres » et te faire pénétrer par un autre homme, as-tu oublié ? »
Au même moment qu’il me dit ça, le petit ami de la jeune femme vient vers nous, il semblait déçu ou mécontent, difficile à dire, c’était un beau jeune homme blond avec les cheveux ébouriffés. Je crois qu’il voulait récupérer sa copine qui avait passé beaucoup de temps avec nous, sans doute trop à son goût. Le garçon fini par emmener sa petite amie loin de nous, après nous avoir fait un sourire désolé.
Ça a brisé un peu l’ambiance, et en même temps, j’étais totalement épuisée par tous les orgasmes que j’avais eus. Nous nous sommes décidés à rentrer à la maison et en prenant congé de l’homme qui n’arrêtait pas de me tripoter, même lorsque je parlais à Stéphane.
« Ne partez pas maintenant, tenez, ma carte, j’ai tellement envie de vous faire jouir… Vous êtes si belle… Venez chez moi…»
« Une autre fois, peut-être… » Répondit Stéphane à ses supplications.
Une fois rentré, nous avons fait l’amour mais j’étais trop épuisée pour prendre encore du plaisir, par contre, toute la semaine qui a suivi a été extraordinaire au lit, nous parlions sans cesse de notre expérience et cela nous excitait mutuellement.
Nous avions envie tous les deux de réitérer au plus vite cette fabuleuse soirée, et j’espère bien vous raconter dans un autre récit, la suite de ma découverte du libertinage
Gigaking
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