Première fellation

- Par l'auteur HDS Artif -
Récit érotique écrit par Artif [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Première fellation Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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Première fellation
Nous avons tous connu nos premiers amours. Ces relations qui vous font perdre tout bon sens, qui transforment l’autre en la perfection incarnée, en dépit de toute réalité. Eh bien c’était dans une de ces relations que je m’étais embarqué.

Ma copine (que j’appellerais A) était en première tandis que je me préparais au bac dans la classe supérieure. On s’était rencontrés dans une salle de détente comme il y en a dans tous les lycées. C’est elle qui est venue vers moi et j’ai tout de suite apprécié sa forte personnalité. De fil en aiguille, on s’est mis à se parler, tout d’abord les petits messages le soir avant de se coucher pour en arriver aux longues discussions que j’affectionne tant (bien que dommage qu’il y ait des écrans entre nous) où l’on parle de tout et de rien. Nos vies, nos envies, nos problèmes et nos amours.

Pour présenter les deux protagonistes, je commencerais premièrement par moi : je suis un jeune homme près de la majorité, d’environ 1m80 avec des cheveux bruns et rien de si spécial dans mon physique. Je ne prêtais pas beaucoup attention aux habits que je mettais et je passais donc plutôt inaperçu, traînant majoritairement avec mon groupe de potes. Cependant je pense avoir de la conversation et un humour qui peut plaire, ce qui doit sûrement un peu rééquilibrer la balance. Quant à elle, A est une petite adolescente qui doit culminer à 1m65 de hauteur avec des cheveux courts d’un brun foncé et un style vestimentaire qui, bien que particulier, ne choque pas.

Après quelques semaines de conversations mais aussi de rencontres physiques, je me décide enfin à l’embrasser, marquant ainsi le début de notre histoire. Parlant ouvertement de nos relations intimes, j’ai appris qu’elle avait déjà fait sa première fois alors qu’en ce qui me concerne, je n’avais jusque là qu’expérimenté la masturbation mutuelle, mais rien de plus. Cela me rassurait un peu : j’avais moins de pression car je savais que si l’on allait plus loin, elle pourrait me guider.

Un mois de couple plus tard, j’accepte enfin son offre de venir passer un week-end chez elle. En effet, c’était plutôt elle qui insistait pour que l’on fasse des choses ensemble : de mon côté j’étais encore assez réservé pour cela. Je prends donc le train pour venir jusqu’à chez elle et c’est sa mère qui l’accompagne pour venir me récupérer, faisant ainsi connaissance durant le trajet. L’après-midi fut assez banale, se constituant d’un déjeuner avec mes hôtes et de jeux avec son frère que j’apprécie beaucoup.

En début de soirée elle va prendre sa douche avant le repas et me demande de l’accompagner. N’étant pas habitué à ça, surtout alors que sa famille est à la maison et que c’est la première fois que je les vois, j’hésite avant de finalement la rejoindre dans la salle de bain. Même si je l’avais déjà vue nue auparavant, c’est avec un plaisir non dissimulé que je découvre à nouveau les courbes de son corps. Comme A a un complexe avec ses seins (qu’elle trouve trop petits), elle se tourne dos à moi pour retirer son soutien-gorge, me laissant ainsi une magnifique vue sur son cul d’enfer. Toujours en jouant la carte du mystère avec sa poitrine, que j’avais pourtant déjà pu apprécier une autre fois, elle rentre en première dans la cabine de douche. La promiscuité aidant, je me retrouve très proche d’elle et mon membre commence à prendre de l’ampleur, jusqu’à entrer en contact avec ses fesses, ce qui ne semble déplaire à aucun de nous deux. Malgré le début d’une scène érotique digne de film, avec moi lui caressant la poitrine -sous prétexte de la savonner bien sûr-, le temps n’est pas extensible et sa mère nous appelle déjà à nous dépêcher pour venir aider à préparer le repas de ce soir.

C’est un peu frustré mais tout de même heureux de ce début prometteur de la soirée que je prends mon dîner, en parlant tour à tour avec chacun des membres de la famille, tous très avenants et sympathiques avec moi. Après avoir fini de manger et aidé à débarrasser la table, je commence à me réjouir des retrouvailles seuls à seuls imminentes. Mais c’était sans compter sur une partie de jeu de société inattendue qui retarda ce moment tant désiré d’une bonne heure.

Enfin seuls dans sa chambre, c’est sur son lit double que l’on laisse libre cours à nos envies. Après avoir enlevé nos habits, on commence à s’embrasser passionnément et à se lover l’un contre l’autre comme si l’on avait chacun désespérément besoin de chaleur corporelle. On parcourt, on explore, on découvre le corps de l’autre avec de plus en plus d’aplomb, la confiance nous chuchotant d’aller toujours plus loin vers l’inconnu. Je ne me gêne pas pour généreusement caresser ses seins, malaxer ses superbes fesses, parcourir ses jambes et titiller son intimité, la lumière tamisée me guidant dans mes gestes et me permettant aussi de profiter du spectacle visuel. Elle fait de même, me caressant délicatement le pénis, explorant le début de mes fesses et admirant mon torse. On change plusieurs fois de positions, pour accéder aux recoins plus cachés ou plus simplement avoir un nouveau regard sur le corps nu de l’autre.

Après l’avoir mise sur le dos, je commence à lui téter les seins, mordiller sa poitrine, avant de descendre progressivement sur son ventre jusqu’à arriver à son intimité. Je la fais languir en léchant ses deux jambes mais elle m’intime l’ordre, par une pression sur ma tête, d’enfin lui donner ce qu’elle veut. Je commence ainsi un cunnilingus, lent et passionné. Le goût de sa fleur n’a pas changé depuis la dernière fois : une mouille qui ne m’est pas désagréable, mais je n’apprécie pas particulièrement non plus. Je commence à suçoter son clitoris délicatement avant d’introduire un doigt dans son vagin, rapidement suivi d’un deuxième. En se basant sur sa respiration irrégulière, je m’escrime sur son bouton de rose tout en la doigtant pour lui donner le plus de plaisir possible. Elle n’a pas d’orgasme mais je remonte sur ses lèvres pour l’embrasser et continuer de la prendre dans mes bras. En me remerciant, elle demande à demi-mot ce que je voudrais qu’elle fasse pour moi. Je lui propose de me faire découvrir les joies du plaisir buccal, bien que je sache que mon pénis n’est pas le membre de ses rêves. En effet, malgré 16cm de long et une largeur respectable, j’ai subi récemment une opération visant à traiter des difficultés à décalotter. Celle-ci m’a laissé avec une cicatrice sur le frein et un décalottage plus facile mais qui n’est pas non plus aisé.

Pourtant, contrairement à ce que je pensais, elle met sa main sur mon torse pour me faire comprendre de m’allonger sur et dos, m’embrasse avec un sourire malicieux en coin et entame une descente sur mon torse. En arrivant sur mon bas-ventre, je sens ma verge en contact avec sa poitrine alors que sa bouche continue de rejoindre ma virilité. L’excitation que je ressens me donne l’impression que le chemin entre mon bas-ventre et mon pénis est infiniment long. C’est alors qu’elle lèche ma hampe avec sa langue si douce, me faisant découvrir une nouvelle sensation incroyable qui en annonçait bien d’autres. Sa langue remonte pour atteindre mon gland, qu’elle englobe de ses lèvres pulpeuses tout en entourant mon membre de sa main, comme pour le maintenir dans son étreinte. En s’aidant de sa salive comme d’un lubrifiant naturel, elle décalotte presque entièrement mon pénis en faisant coulisser sa bouche autour de mon gland. C’est une sensation magique que je vis là : j’ai l’impression que sa bouche est faite pour moi, c’est un fourreau d’une douceur jusqu’à présent insoupçonnable que je découvre. Lorsque je me remets des émotions et sensations ressenties lors de ce premier contact, c’est pour sentir sa langue lécher mon frein, me procurant un autre moment de plénitude. Durant ce temps, elle s’enfonce toujours plus loin sur mon pieu, sans pour autant arriver à buter contre mon pubis. Je lui caresse les cheveux pendant tout l’acte, non pour lui intimer un quelconque rythme mais plutôt pour garder un contact physique avec elle et qu’elle puisse ressentir au travers de mon étreinte saccadée le plaisir qu’elle me donne. Ces assauts répétés de sa bouche autour de mon phallus mêlés à sa langue experte me poussent au bord de l’orgasme :- Je sens que je vais venir !
- Ejacule ne t’inquiète pasC’est donc dans sa bouche chaude que j’explose, lâchant de grands jets de sperme dans sa gorge dans un orgasme dévastateur d’une puissance jusqu’ici inconnue. Je ressens chacune de mes giclées partir et se loger entre les lèvres qui m’ont donné tant de plaisir. Alors qu’elle avale ma semence, je me relève pour l’embrasser et la remercier de ce moment.

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