PREMIÈRE FELLATION - Julie la Rouge (04)
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 117 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de VIEULOU ont reçu un total de 1 113 692 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2014 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 5 146 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
PREMIÈRE FELLATION - Julie la Rouge (04)
PREMIÈRE FELLATION - Julie la Rouge (04)
Hervé, directeur d’une société d’informatique est très pris par ses affaires, il s’occupe peu de sa jeune femme Armelle. Celle-ci apprend par une lettre anonyme et des photos jointes que son mari participe à des soirées dans des clubs échangistes. Elle est effondrée et veut divorcer. Se confiant à son amie d’enfance, Julie, celle-ci sert d’intermédiaire auprès du mari et héberge provisoirement Armelle pour la nuit. Julie, profite du désarroi de son amie pour la faire se caresser devant elle, et, la pauvre femme ne sachant plus où elle en est, Julie l’embrasse et la masturbe habilement jusqu’à lui provoquer plusieurs orgasmes. Armelle se laisse à rendre la pareille à son amie, se déchainant pour la première fois de sa vie dans une lubricité étonnante. Puis les deux femmes retournent au domicile d’Armelle pour attendre Hervé.
Lorsque le mari d’Armelle arrive enfin vers vingt et une heures, les retrouvailles sont un peu tendues. Heureusement, je détends l’atmosphère en riant et plaisantant avec mes deux amis avant de passer à table. Le dîner est silencieux et les regards que s’échangent, gênés, nos deux tourtereaux, ne laissent pas présager une prompte réconciliation. Aussi, de retour au salon pour prendre le café, je prends les choses en main. Je fais raconter à Armelle la cause de sa frigidité, l’obligeant à s’expliquer sur sa peur du sexe de l’homme suite aux agissements de son oncle lorsqu’elle était adolescente. Armelle laisse couler ses larmes en évoquant ce souvenir douloureux. Puis, je décris crûment à Hervé ce que j’ai fait découvrir à son épouse en lui apprenant à se masturber. Armelle est devenue rouge pivoine en m’entendant décrire par le détail la découverte de sa féminité et de ses premiers émois. Je ne la laisse pourtant pas se reprendre.
- Ma chérie. À présent tu vas montrer à Hervé ce dont, tu es capable. Je veux que tu relèves ta robe et que tu écartes cette petite culotte en dentelle que tu as achetée tout spécialement à l’attention de ton époux. Allons, ne te fais prier, ou je vais te déculotter moi-même.
Armelle me regarde, épouvantée par ce que je viens de lui dire. Elle me connaît assez pour savoir que je suis capable de mettre m menace à exécution. Fermant les yeux et se renversant sur le canapé, elle retrousse le bas de sa robe en soie et glisse deux doigts dans l’entrejambe de son slip. Hervé regarde intensément les doigts de son épouse qui s’agitent dans la dentelle. Je me lève et je m’assois tout contre mon amie. Elle ouvre les yeux et me regarde d’un air suppliant. N’en tenant pas compte. Je retrousse sa robe le plus haut possible, puis, écartant ses mains, je lui retire vivement son slip, exposant ainsi tout son bas-ventre à nos regards concupiscents. Je lui prends ses mains en les appliquant de chaque côté de sa vulve, tout en lui susurrant.
- Allons ma Chérie. Caresse-toi comme tu l’as si bien fait chez moi hier au soir. Fais voir à ton mari comment tu sais te faire du bien avec tes doigts pénétrant au fond de ton vagin et frotte bien ton clitoris ma chérie pour te faire jouir.
Armelle sanglote tout en se masturbant devant nous, écartant les replis de ses grandes lèvres à peine recouvertes des légers poils blonds qui forment un duvet bien doux autour de son pubis. Soudain, elle accélère le frottement de ses doigts sur le bouton érigé de son clitoris et c’est en gémissant qu’elle se laisse aller, ayant certainement éprouvé un orgasme mystérieux encore inconnu chez elle. Alors elle s’abandonne sur le sofa, épuisée par le plaisir sexuel qu’elle vient de ressentir, se blottissant langoureusement contre moi. Tout en l’enlaçant, je lui prends sa bouche, introduisant ma langue entre ses lèvres qui s’ouvrent facilement. Armelle répond avec fougue à mon baiser, ses sens exacerbés par ce que je viens de l'obliger à se faire, ayant oublié apparemment que son époux assiste à nos ébats lesbiens. Discrètement, je fais signe à Hervé de venir nous rejoindre. Celui-ci, ne perdant pas de temps, s’agenouille entre les jambes de son épouse. Aussitôt, il applique délicatement des baisers, dans l’entrecuisse, grande ouverte, de la belle alanguie et lèche bientôt la vulve qui dégouline de mouille. Armelle, occupée à m’embrasser goulûment, ne se rend même pas compte que son mari broute son minou. Soudain, lorsqu’il entreprend de sucer son clitoris, elle gémit sous la caresse linguale, qui surexcite son bouton déjà longuement sollicité pas ses propres doigts. Malgré un sursaut de pudeur lorsqu’elle prend conscience que son mari découvre au plus près toute son intimité, elle projette son pubis à la rencontre de la bouche qui a pris possession de sa chair la plus sensible et qui lui provoque une jouissance exaltante. Elle projette ses jambes en tous sens alors qu’elle m’embrasse et me serre très fort contre elle jusqu’à ce que, abandonnant mes lèvres, elle laisse fuser de sa gorge un long hululement, ne pouvant plus nous laisser ignorer l’orgasme, qui la laisse cette fois presque évanouie entre mes bras. Tandis qu’Hervé se redresse en me soufflant tout bas merci, j’étends doucement Armelle sur le sofa. La pauvre chérie, subit à présent le contrecoup des évènements de ces deux jours très éprouvants, aussi bien psychiquement que charnellement. Des larmes coulent abondamment de ses yeux qu’elle n’ose ouvrir, songeant sans doute à son indignité de ce qu’elle vient de faire.
Pourtant, ne voulant pas qu’elle puisse se reprendre, je veux lui faire découvrir à présent le corps de l’homme qui partage sa vie et qu’elle connaît si peu. Je demande en catimini à Hervé si cela ne le gêne pas de se montrer nu devant moi. En souriant, il m’assure que cela ne le dérange nullement, comprenant sans doute un peu mes intentions. Il se déshabille donc en un tour de main, me faisant admirer le beau mâle que j’ai déjà vu à maintes reprises en maillot de bain, mais sans les attributs virils que je peux admirer aujourd’hui. Son sexe est en érection complète et doit bien mesurer vingt bons centimètres de longueur et cinq centimètres de diamètre. Je ne peux m’empêcher en passant près de lui de lui flatter sa verge, dont je me satisferais bien après toute la tension accumulée par le déniaisement de sa jeune et jolie femme. Hervé me sourit malicieusement et répond à ma caresse furtive en glissant adroitement sa main sous ma robe pour me palper les fesses. Ses doigts ne rencontrant que la peau nue de ma croupe, il est assez surpris de constater que je ne porte pas de culotte. Je ne le laisse pas s’éterniser sur ma personne, lui faisant comprendre d’un geste qu’il faut s’occuper de sa chère et tendre. Dans un premier temps, profitant de la presque inconscience d’Armelle, et aidée par Hervé, je retire la robe vaporeuse que mon amie avait revêtue pour cette soirée de retrouvailles avec son époux. Je n’ai que son soutien-gorge à lui retirer, car j’ai déjà enlevé sa petite culotte, mais je lui laisse son porte-jarretelles, ses bas et ses escarpins. Puis, nous prenons place de chaque côté de la jeune femme. Très doucettement, je lèche la nuque d’Armelle, insistant derrière une oreille et mordillant légèrement le lobe. Mon amie reprend peu à peu conscience, et, comme elle est tournée vers moi, elle ne s’aperçoit pas que son mari se trouve à côté d’elle dans le plus simple appareil. Elle me tend d’abord ses lèvres que je prends immédiatement dans les miennes, lui caressant aussi ses seins, qui sont à portée de mes mains. Elle se rend compte soudain qu’elle est pratiquement nue, et se retourne effarée, pour se heurter à la nudité de son mari qui la serre de près. Le rouge de la confusion monte à ses joues et elle ne sait plus où porter ses yeux embués de larmes. C’est alors que je continue mon rôle d’initiatrice.
- Ma petite chérie arrête de t’affoler ainsi. Tu as montré à Hervé que tu savais à présent prendre du plaisir avec ton délicieux minou. Il est temps à présent que tu fasses connaissance avec le sexe du mâle. Prends sa verge dans tes mains. Allons ne fait pas l’enfant. C’est le sexe de ton mari et tu en as la copropriété par ton mariage, comme le reste de son corps d’ailleurs. Bien, je vois que tu es toujours bloquée. Tiens, c’est moi qui la prends puisque tu ne veux pas le faire. Donne-moi ta main. Voilà, mets tes doigts autour de la hampe.
Tout en lui parlant, je me suis agenouillée face au couple au bas du sofa et j’ai pris le membre érigé d’Hervé dans une main, tandis que de l’autre, j’attirais celle d’Armelle que je posais d’autorité sur le sexe de son mari. Cette situation peut paraître incongrue, mais à ce stade de l’évolution de la sexualité de mon amie, je ne voyais pas d’autre moyen pour arriver à mes fins. Tout en expliquant mes gestes, j’apprends à Armelle les mille façons de maîtriser un organe masculin. La verge à demi érigée d’Hervé est en train de prendre des proportions énormes entre nos doigts réunis. Prenant plaisir à caresser cette poupée de chair, mes doigts entrelacés avec ceux de mon amie opèrent une lente friction sur la colonne annelée. Alors, rabattant l'épais capuchon qui recouvre le gland, nos doigts tirent bien la peau vers l'arrière et le gros nœud rouge et luisant se congestionne sous le regard confondu d’Armelle qui ne peut détacher ses yeux du spectacle de l’énorme verge de son mari qu’elle n’a jamais voulu contempler depuis leur mariage. Nos mains, tout en masturbant lentement la verge dressée, glissent sur la hampe avec délicatesse et font glisser la peau du membre noueux, décalottant le gland qui apparaît rouge violacé puis remontant la peau jusqu'à cacher complètement le prépuce.
- Ma Chérie, ne sois pas choquée, c'est ton mari après tout et il a droit à tes caresses. Regarde d'abord comment un homme est fait et contemple le sexe en érection de celui qui te désire et qui ne demande qu’à t’aimer. Allons ne soit pas effrayée, la bête ne va pas te sauter dessus. Pour l'instant, je voudrais seulement que tu regardes les préliminaires dont l'homme a aussi droit avant de faire l'amour.
Armelle, bien que mal à l’aise, est fascinée et ne repousse pas mes doigts qui masturbent ainsi son mari en même temps qu’elle. Je vois bien qu’elle prend, même à présent, un certain plaisir à sentir le sexe vibrer entre ses doigts malhabiles. J’en profite pour aller plus loin dans son éducation.
- Maintenant, tu sais, tous les hommes adorent certaines caresses que beaucoup de femmes refusent de leur faire. Souvent, c'est une des causes de leur infidélité quand ce n'est pas la première dans beaucoup de couples. Même si ton époux ne te l’as jamais demandé, te respectant trop à mon avis, tu te doutes de quoi on parle lorsqu’on évoque le mot fellation ? Oui, je vois que tu rougis et que cela doit te paraître dégoûtant. Pourtant comme moi hier et comme Hervé te l’as fait tout à l’heure, nous t’avons léché ta vulve et sucé ton petit bouton d'amour. Tu dois à ton cher et tendre époux la même chose. Regarde ! Et si tu veux m'accompagner, ne te gênes pas.
Je prends le sexe masculin entre mes lèvres, lui faisant des petits bisous sur toute la hampe, puis j’engloutis la tige, enfonçant et retirant ma bouche alternativement avec lenteur, enfin, je lèche le gland turgescent et titille de la pointe de ma langue l'intérieur du méat. Armelle est complètement interdite de mon audace. Je ne sais si c’est le fait que j’ose prendre en bouche le vit de son mari devant elle, ne tenant aucun compte qu’elle est la femme de l’homme que je pompe avec application, ou si, cette situation ambiguë n’excite ses sens et la fait se dépasser. Car, après un long moment d'hésitation, elle applique ses lèvres sur le bâton noueux enduit de salive, le léchant comme elle me voit faire. Soudain, me repoussant un peu par jalousie certainement et émoustillée par ce qu'elle ose faire, elle se décide à prendre en bouche la verge qui vibre sous la douceur de ses lèvres délicates, pompant sans hésiter le gland qui tressaute dans sa jolie bouche.
Le mari de mon amie se retient le plus possible, car il ne veut pas éjaculer, pas maintenant, voulant faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Mais son sperme remonte le canal de l'urètre au galop et il sent qu’il perle au bout de son gland. Je m’en aperçois en voyant son visage cramoisi et ses yeux qui me supplient d’intervenir. J’écarte mon amie sans ménagement, prenant moi-même le bout entre mes lèvres, recevant aussitôt le jet brûlant qui gicle jusqu’au fond de ma gorge. Puis je me dégage pour que mon amie puisse voir les jets saccadés qui jaillissent du gland violacé. Je lèche le jus qui coule le long de la hampe et enfourne le membre dans ma bouche pour le ressortir gluant de sperme. Armelle, qui a d'abord eu un mouvement de répulsion en voyant le foutre qui jaillit par saccades, se décide à faire comme moi, elle lèche aussi le membre maculé et ose le prendre dans sa bouche, absorbant un peu de la liqueur séminale qui reste encore. Apparemment, elle ne trouve plus cela répugnant, goûtant la saveur qui en est légèrement salée. Surtout, elle semble heureuse de voir le contentement de son époux, alors que se retirant, il se baisse et l'embrasse tendrement sur ses lèvres.
Les voyants tendrement enlacés, je m’éclipse en catimini et je rejoins ma chambre pour les laisser tous les deux se retrouver sans témoins. Je prends un bain chaud et je me masturbe pour apaiser mes sens exacerbés par cette soirée où j’ai beaucoup donné, mais rien reçu. Puis enfilant un déshabillé vaporeux, je me couche en songeant à la queue du bel Hervé que j’ai sucé avec un grand plaisir et qui m’aurait fait le plus grand bien en ce moment entre mes cuisses. Je plonge trois doigts dans ma chatte en feu, fouillant mes chairs avec force, m’imaginant que c’est Hervé qui me pilonne ainsi ma matrice qui laisse couler une mouille abondante.
À suivre…
Hervé, directeur d’une société d’informatique est très pris par ses affaires, il s’occupe peu de sa jeune femme Armelle. Celle-ci apprend par une lettre anonyme et des photos jointes que son mari participe à des soirées dans des clubs échangistes. Elle est effondrée et veut divorcer. Se confiant à son amie d’enfance, Julie, celle-ci sert d’intermédiaire auprès du mari et héberge provisoirement Armelle pour la nuit. Julie, profite du désarroi de son amie pour la faire se caresser devant elle, et, la pauvre femme ne sachant plus où elle en est, Julie l’embrasse et la masturbe habilement jusqu’à lui provoquer plusieurs orgasmes. Armelle se laisse à rendre la pareille à son amie, se déchainant pour la première fois de sa vie dans une lubricité étonnante. Puis les deux femmes retournent au domicile d’Armelle pour attendre Hervé.
Lorsque le mari d’Armelle arrive enfin vers vingt et une heures, les retrouvailles sont un peu tendues. Heureusement, je détends l’atmosphère en riant et plaisantant avec mes deux amis avant de passer à table. Le dîner est silencieux et les regards que s’échangent, gênés, nos deux tourtereaux, ne laissent pas présager une prompte réconciliation. Aussi, de retour au salon pour prendre le café, je prends les choses en main. Je fais raconter à Armelle la cause de sa frigidité, l’obligeant à s’expliquer sur sa peur du sexe de l’homme suite aux agissements de son oncle lorsqu’elle était adolescente. Armelle laisse couler ses larmes en évoquant ce souvenir douloureux. Puis, je décris crûment à Hervé ce que j’ai fait découvrir à son épouse en lui apprenant à se masturber. Armelle est devenue rouge pivoine en m’entendant décrire par le détail la découverte de sa féminité et de ses premiers émois. Je ne la laisse pourtant pas se reprendre.
- Ma chérie. À présent tu vas montrer à Hervé ce dont, tu es capable. Je veux que tu relèves ta robe et que tu écartes cette petite culotte en dentelle que tu as achetée tout spécialement à l’attention de ton époux. Allons, ne te fais prier, ou je vais te déculotter moi-même.
Armelle me regarde, épouvantée par ce que je viens de lui dire. Elle me connaît assez pour savoir que je suis capable de mettre m menace à exécution. Fermant les yeux et se renversant sur le canapé, elle retrousse le bas de sa robe en soie et glisse deux doigts dans l’entrejambe de son slip. Hervé regarde intensément les doigts de son épouse qui s’agitent dans la dentelle. Je me lève et je m’assois tout contre mon amie. Elle ouvre les yeux et me regarde d’un air suppliant. N’en tenant pas compte. Je retrousse sa robe le plus haut possible, puis, écartant ses mains, je lui retire vivement son slip, exposant ainsi tout son bas-ventre à nos regards concupiscents. Je lui prends ses mains en les appliquant de chaque côté de sa vulve, tout en lui susurrant.
- Allons ma Chérie. Caresse-toi comme tu l’as si bien fait chez moi hier au soir. Fais voir à ton mari comment tu sais te faire du bien avec tes doigts pénétrant au fond de ton vagin et frotte bien ton clitoris ma chérie pour te faire jouir.
Armelle sanglote tout en se masturbant devant nous, écartant les replis de ses grandes lèvres à peine recouvertes des légers poils blonds qui forment un duvet bien doux autour de son pubis. Soudain, elle accélère le frottement de ses doigts sur le bouton érigé de son clitoris et c’est en gémissant qu’elle se laisse aller, ayant certainement éprouvé un orgasme mystérieux encore inconnu chez elle. Alors elle s’abandonne sur le sofa, épuisée par le plaisir sexuel qu’elle vient de ressentir, se blottissant langoureusement contre moi. Tout en l’enlaçant, je lui prends sa bouche, introduisant ma langue entre ses lèvres qui s’ouvrent facilement. Armelle répond avec fougue à mon baiser, ses sens exacerbés par ce que je viens de l'obliger à se faire, ayant oublié apparemment que son époux assiste à nos ébats lesbiens. Discrètement, je fais signe à Hervé de venir nous rejoindre. Celui-ci, ne perdant pas de temps, s’agenouille entre les jambes de son épouse. Aussitôt, il applique délicatement des baisers, dans l’entrecuisse, grande ouverte, de la belle alanguie et lèche bientôt la vulve qui dégouline de mouille. Armelle, occupée à m’embrasser goulûment, ne se rend même pas compte que son mari broute son minou. Soudain, lorsqu’il entreprend de sucer son clitoris, elle gémit sous la caresse linguale, qui surexcite son bouton déjà longuement sollicité pas ses propres doigts. Malgré un sursaut de pudeur lorsqu’elle prend conscience que son mari découvre au plus près toute son intimité, elle projette son pubis à la rencontre de la bouche qui a pris possession de sa chair la plus sensible et qui lui provoque une jouissance exaltante. Elle projette ses jambes en tous sens alors qu’elle m’embrasse et me serre très fort contre elle jusqu’à ce que, abandonnant mes lèvres, elle laisse fuser de sa gorge un long hululement, ne pouvant plus nous laisser ignorer l’orgasme, qui la laisse cette fois presque évanouie entre mes bras. Tandis qu’Hervé se redresse en me soufflant tout bas merci, j’étends doucement Armelle sur le sofa. La pauvre chérie, subit à présent le contrecoup des évènements de ces deux jours très éprouvants, aussi bien psychiquement que charnellement. Des larmes coulent abondamment de ses yeux qu’elle n’ose ouvrir, songeant sans doute à son indignité de ce qu’elle vient de faire.
Pourtant, ne voulant pas qu’elle puisse se reprendre, je veux lui faire découvrir à présent le corps de l’homme qui partage sa vie et qu’elle connaît si peu. Je demande en catimini à Hervé si cela ne le gêne pas de se montrer nu devant moi. En souriant, il m’assure que cela ne le dérange nullement, comprenant sans doute un peu mes intentions. Il se déshabille donc en un tour de main, me faisant admirer le beau mâle que j’ai déjà vu à maintes reprises en maillot de bain, mais sans les attributs virils que je peux admirer aujourd’hui. Son sexe est en érection complète et doit bien mesurer vingt bons centimètres de longueur et cinq centimètres de diamètre. Je ne peux m’empêcher en passant près de lui de lui flatter sa verge, dont je me satisferais bien après toute la tension accumulée par le déniaisement de sa jeune et jolie femme. Hervé me sourit malicieusement et répond à ma caresse furtive en glissant adroitement sa main sous ma robe pour me palper les fesses. Ses doigts ne rencontrant que la peau nue de ma croupe, il est assez surpris de constater que je ne porte pas de culotte. Je ne le laisse pas s’éterniser sur ma personne, lui faisant comprendre d’un geste qu’il faut s’occuper de sa chère et tendre. Dans un premier temps, profitant de la presque inconscience d’Armelle, et aidée par Hervé, je retire la robe vaporeuse que mon amie avait revêtue pour cette soirée de retrouvailles avec son époux. Je n’ai que son soutien-gorge à lui retirer, car j’ai déjà enlevé sa petite culotte, mais je lui laisse son porte-jarretelles, ses bas et ses escarpins. Puis, nous prenons place de chaque côté de la jeune femme. Très doucettement, je lèche la nuque d’Armelle, insistant derrière une oreille et mordillant légèrement le lobe. Mon amie reprend peu à peu conscience, et, comme elle est tournée vers moi, elle ne s’aperçoit pas que son mari se trouve à côté d’elle dans le plus simple appareil. Elle me tend d’abord ses lèvres que je prends immédiatement dans les miennes, lui caressant aussi ses seins, qui sont à portée de mes mains. Elle se rend compte soudain qu’elle est pratiquement nue, et se retourne effarée, pour se heurter à la nudité de son mari qui la serre de près. Le rouge de la confusion monte à ses joues et elle ne sait plus où porter ses yeux embués de larmes. C’est alors que je continue mon rôle d’initiatrice.
- Ma petite chérie arrête de t’affoler ainsi. Tu as montré à Hervé que tu savais à présent prendre du plaisir avec ton délicieux minou. Il est temps à présent que tu fasses connaissance avec le sexe du mâle. Prends sa verge dans tes mains. Allons ne fait pas l’enfant. C’est le sexe de ton mari et tu en as la copropriété par ton mariage, comme le reste de son corps d’ailleurs. Bien, je vois que tu es toujours bloquée. Tiens, c’est moi qui la prends puisque tu ne veux pas le faire. Donne-moi ta main. Voilà, mets tes doigts autour de la hampe.
Tout en lui parlant, je me suis agenouillée face au couple au bas du sofa et j’ai pris le membre érigé d’Hervé dans une main, tandis que de l’autre, j’attirais celle d’Armelle que je posais d’autorité sur le sexe de son mari. Cette situation peut paraître incongrue, mais à ce stade de l’évolution de la sexualité de mon amie, je ne voyais pas d’autre moyen pour arriver à mes fins. Tout en expliquant mes gestes, j’apprends à Armelle les mille façons de maîtriser un organe masculin. La verge à demi érigée d’Hervé est en train de prendre des proportions énormes entre nos doigts réunis. Prenant plaisir à caresser cette poupée de chair, mes doigts entrelacés avec ceux de mon amie opèrent une lente friction sur la colonne annelée. Alors, rabattant l'épais capuchon qui recouvre le gland, nos doigts tirent bien la peau vers l'arrière et le gros nœud rouge et luisant se congestionne sous le regard confondu d’Armelle qui ne peut détacher ses yeux du spectacle de l’énorme verge de son mari qu’elle n’a jamais voulu contempler depuis leur mariage. Nos mains, tout en masturbant lentement la verge dressée, glissent sur la hampe avec délicatesse et font glisser la peau du membre noueux, décalottant le gland qui apparaît rouge violacé puis remontant la peau jusqu'à cacher complètement le prépuce.
- Ma Chérie, ne sois pas choquée, c'est ton mari après tout et il a droit à tes caresses. Regarde d'abord comment un homme est fait et contemple le sexe en érection de celui qui te désire et qui ne demande qu’à t’aimer. Allons ne soit pas effrayée, la bête ne va pas te sauter dessus. Pour l'instant, je voudrais seulement que tu regardes les préliminaires dont l'homme a aussi droit avant de faire l'amour.
Armelle, bien que mal à l’aise, est fascinée et ne repousse pas mes doigts qui masturbent ainsi son mari en même temps qu’elle. Je vois bien qu’elle prend, même à présent, un certain plaisir à sentir le sexe vibrer entre ses doigts malhabiles. J’en profite pour aller plus loin dans son éducation.
- Maintenant, tu sais, tous les hommes adorent certaines caresses que beaucoup de femmes refusent de leur faire. Souvent, c'est une des causes de leur infidélité quand ce n'est pas la première dans beaucoup de couples. Même si ton époux ne te l’as jamais demandé, te respectant trop à mon avis, tu te doutes de quoi on parle lorsqu’on évoque le mot fellation ? Oui, je vois que tu rougis et que cela doit te paraître dégoûtant. Pourtant comme moi hier et comme Hervé te l’as fait tout à l’heure, nous t’avons léché ta vulve et sucé ton petit bouton d'amour. Tu dois à ton cher et tendre époux la même chose. Regarde ! Et si tu veux m'accompagner, ne te gênes pas.
Je prends le sexe masculin entre mes lèvres, lui faisant des petits bisous sur toute la hampe, puis j’engloutis la tige, enfonçant et retirant ma bouche alternativement avec lenteur, enfin, je lèche le gland turgescent et titille de la pointe de ma langue l'intérieur du méat. Armelle est complètement interdite de mon audace. Je ne sais si c’est le fait que j’ose prendre en bouche le vit de son mari devant elle, ne tenant aucun compte qu’elle est la femme de l’homme que je pompe avec application, ou si, cette situation ambiguë n’excite ses sens et la fait se dépasser. Car, après un long moment d'hésitation, elle applique ses lèvres sur le bâton noueux enduit de salive, le léchant comme elle me voit faire. Soudain, me repoussant un peu par jalousie certainement et émoustillée par ce qu'elle ose faire, elle se décide à prendre en bouche la verge qui vibre sous la douceur de ses lèvres délicates, pompant sans hésiter le gland qui tressaute dans sa jolie bouche.
Le mari de mon amie se retient le plus possible, car il ne veut pas éjaculer, pas maintenant, voulant faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Mais son sperme remonte le canal de l'urètre au galop et il sent qu’il perle au bout de son gland. Je m’en aperçois en voyant son visage cramoisi et ses yeux qui me supplient d’intervenir. J’écarte mon amie sans ménagement, prenant moi-même le bout entre mes lèvres, recevant aussitôt le jet brûlant qui gicle jusqu’au fond de ma gorge. Puis je me dégage pour que mon amie puisse voir les jets saccadés qui jaillissent du gland violacé. Je lèche le jus qui coule le long de la hampe et enfourne le membre dans ma bouche pour le ressortir gluant de sperme. Armelle, qui a d'abord eu un mouvement de répulsion en voyant le foutre qui jaillit par saccades, se décide à faire comme moi, elle lèche aussi le membre maculé et ose le prendre dans sa bouche, absorbant un peu de la liqueur séminale qui reste encore. Apparemment, elle ne trouve plus cela répugnant, goûtant la saveur qui en est légèrement salée. Surtout, elle semble heureuse de voir le contentement de son époux, alors que se retirant, il se baisse et l'embrasse tendrement sur ses lèvres.
Les voyants tendrement enlacés, je m’éclipse en catimini et je rejoins ma chambre pour les laisser tous les deux se retrouver sans témoins. Je prends un bain chaud et je me masturbe pour apaiser mes sens exacerbés par cette soirée où j’ai beaucoup donné, mais rien reçu. Puis enfilant un déshabillé vaporeux, je me couche en songeant à la queue du bel Hervé que j’ai sucé avec un grand plaisir et qui m’aurait fait le plus grand bien en ce moment entre mes cuisses. Je plonge trois doigts dans ma chatte en feu, fouillant mes chairs avec force, m’imaginant que c’est Hervé qui me pilonne ainsi ma matrice qui laisse couler une mouille abondante.
À suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par VIEULOU
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...