Première fois (mais pas la mienne)
Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Première fois (mais pas la mienne)
- Oui… Oui… Comme ça, c’est… Oooh… C’est bon… Encooore ! ai-je gémi, planté sur la queue de Max que je chevauche. Presque par dépit, il l’a longue mais fine, en missionnaire, parfois il s’oublie et tape au fond de mon rectum, que j’ai vraiment court. Mais il a un gland épais, en andromaque, je peux gérer la pénétration sur une profondeur limitée, me torturer la prostate à la limite du plaisir, et évacuer ma semence sur son ventre, jusqu’à son torse, ce qui lui met alors un sourire victorieux de petit mâle actif. Sauf que là…
- Jérémie, je v… je vais jou… Aaaaah ! Jouir…
Pas grave, pour une fois. Je ne sais pas comment il fait, il reste encore raide une ou deux minutes, j’ai le temps de secouer la main sur ma bite et d’éjaculer sur sa peau.
- C’était pas prévu mais j’ai adoré, ai-je murmuré, le souffle court, "sauf que j’ai un… truc, là…"
- Ton... job complémentaire, j’ai capté, j’en ai un peu marre que tu t’offres à d’autres mecs.
- Je ne m’offre pas, je me vends, Max… C’est pas mon mi-temps qui va me nourrir, et je ne suis pas né avec une cuiller d’argent dans la bouche, tu vois ? Ton père ne joue pas au golf avec Edouard Leclerc, par hasard ? Il pourrait lui demander de me faire passer en temps complet ?
- Il est mort. Edouard Leclerc, je veux dire… Et mon père, il a monté sa société tout seul, il a gardé des goûts de prolo, lui, c’est le foot. Mais sa boîte est en expansion, il cherche des collaborateurs, je peux voir s’il n’a pas un boulot pour toi…
Plus le temps de me doucher, ni de me rincer le cul, je me suis épongé vite fait, quatre feuilles de PQ entre les fesses, déo partout, un peu d’Eau Sauvage, et j’ai quitté l’appart’ de Max pour rejoindre…
‘Curieux, 52 ans, pour découverte’… Tout un programme, et je vois bien le truc, le mec fraichement divorcé après s’être imposé un rôle d’hétéro pur jus, et qui peut enfin se taper un jeune mec…
[Adorable ! Tu as l’air d’un faune… Mais quel âge as-tu vraiment ?] avait-il demandé.
[23, c’est vérifié sur cette appli]
[Désolé, je te crois, je ne veux simplement pas… Voilà, quoi.]
Poli, et respectueux, il ne veut pas se taper un gamin, cool. N’empêche, ça sent la first time dans un rectum, après trente ans à limer des vagins. Et peut-être le même, en fait…
[Ne vous inquiétez pas, ça se passera bien] ai-je répondu, étrangement attendri… Pour vite penser ‘ça se passera vite, surtout’, avec un dernier regard sur le selfie qu’il a fini par accepter d’envoyer, d’un visage finalement rassurant.
- Twink Boy, pour votre service, ai-je soufflé à l’interphone.
- Je t’ouvre, huitième étage.
J’ai eu le temps de regarder l’immeuble, c’est le penthouse au sommet, en retrait, grande terrasse, j’aurais dû demander plus que les deux cents euros habituels…
- Tu es… je peux te tutoyer ? Bien… Tu es très délicat, je ne voudrais pas te briser.
‘Alors là, mec… Je me suis déjà fait une soirée à mille boules avec trois matures plutôt violents, et une cinquantaine d’autres bites d"Vous me semblez assez… délicat, vous aussi. Mais sinon… ‘pour découverte’, comme vous l’annoncez, c’est nouveau pour vous ?"
- Je ne connais pas les codes, j’aurais dû écrire ‘par curiosité’ ou ‘pour savoir’, et c’est bête, mais… mon fils m’a fait son… coming-out, je crois que c’est le terme, il préfère les hommes… Et je respecte, je veux qu’il soit heureux, mais sorti des sentiments, et des caresses que je peux bien imaginer, l’usage de préservatifs, on passe un niveau, là. Et le concept m’échappe, et je ne comprends pas ce que…’’
- Le plaisir qu’il ressent avec d’autre garçons…
- Oui. Enfin, de son âge, et pas du mien, je l’espère, mais toi … comme tu en fais ta profession…
‘Hétéro-curieux, au mieux, donc… Et le fils gay probablement imaginaire est l’excuse la plus pourrie qu’un mec m’ait jamais donnée pour visiter mon rectum… Enfin, bon, pourvu qu’il arrive à bander’ ai-je pensé.
- On… vous faites comment, d’habitude ?
- Ainsi, simplement, ai-je dit, en le tirant par la main à travers le séjour, à reculons, vers la chambre, où je me suis assis sur le lit, pour minauder "On peut vouloir me déshabiller…" en sortant de ma poche, inutilement je pense, quatre pochettes de préservatif et de lubrifiant.
- Je n’ai plus fait ça depuis que mon fils était petit… juste pour le coucher le soir, bien sûr, a-t-il bafouillé, en me tirant mon polo, avant de s’attaquer à mes sneakers, mes socquettes, et la fermeture de mon slim, qu’il a lentement tiré, pour exposer mes jambes fines, et mes pieds que je lui ai, un peu gratuitement, mis sur la figure.
J’ai réalisé que, si c’était probablement sa première immersion dans un rectum, il devait au moins avoir pas mal creusé le sujet sur le net, car il a spontanément attrapé mes chevilles pour me sucer les orteils, avec un regard interrogateur, auquel j’ai répondu par un sourire que j’ai voulu rassurant.
Si le gel ne lui a pas posé de problème, l’enfilage de la capote sur sa queue, courte, mais parmi les plus épaisses que je me sois pris, et qui au final ne la couvrait qu’aux deux-tiers, par contre… J’ai pensé un instant qu’il allait l’abandonner en moi.
- Et là, tu te retournes, c’est cela ?
- Ou on le fait de face, ai-je dit, en nouant les jambes sur sa taille. "Dans le cas d’hommes agréable à l’œil, pour voir jouir celui qui me fait l’amour."
- Faire l’amour… Oui, je préfère cette formulation… Ainsi, donc ? a-t-il demandé, en posant son gland sur mon sphincter toujours légèrement dilaté par ma chevauchée avec Max.
- Aaah ! Doucement, s’il vous plait, vous êtes plutôt épais.
Pour une fois, je ne mentais pas, ça l’a flatté, je pense, puis incité à lentement me pénétrer, en lents mouvements qui m’ont longuement massé la prostate, source principale de mon plaisir.
Très vite, mes gémissements l’ont apparemment inquiété.
- Je te fais mal ?
- Non… Nooon, pas du tout, c’est… c’est parfait… comme ça… oui…
- Malgré le… latex, je sens… du… relief… c’est diablement excitant ! Mais pour toi ?
J’ai redressé la tête vers son corps calé entre mes cuisses, pour porter mon regard – en attirant le sien – sur ma queue dressée dont le gland à demi-décalotté suintait un filet de présperme fluide et translucide sur mon pubis.
- C’est du… Tu jouis vraiment ?
- Pas encore, ai-je corrigé, pour serrer les doigts sur ma tige que j’ai astiquée, afin de lui offrir une éjac’ satisfaisante pour son égo.
- C’est… étrangement beau, ces gouttelettes nacrées… et flatteur… Mais j’ai bien peu d’avoir déjà joui, avant toi.
- Je l’ai senti, ai-je menti, avant de l’embrasser. "Les pulsation de votre membre… et l’impression de sentir les jets de semence en moi…" Bref, les conneries habituelles que je raconte à mes clients… Avec le petit plus du plaisir prostatique inattendu que ‘Curieux, 52 ans’ m’a procuré ! La chance du débutant, on dira…
La capote pendouille tristement, presque juste roulée sur son gland, remplie d’une quantité de sperme que j’ai rarement vue, alors qu’il est agenouillé entre mes jambes, un peu perdu… J’ai redressé le torse, pour l’en débarrasser et la virer, avant de plonger la bouche sur son gland toujours suintant, et de le nettoyer d’une langue experte, lorsqu’un cliquetis s’est fait entendre dans la serrure de la porte d’entrée, suivi d’une voix trop connue.
- Papa, tu es là ? J’ai un service à te demander pour un bon pote, si tu avais un boulot pour lui dans ta socié… té… Jérémie ? Mais que… ? Papa, sérieux ?
- Maxime, ce n’est pas ce que tu crois… a gémi le père.
Et là, ben, c’est silence radio du côté de Max, fallait pas rêver…
Alors que ses collègues ont une réputation de gestapiste, je ne sais pas pourquoi, la grosse moche contrôleuse au Pôle Emploi m’aime bien, on dirait. Là, c’est ma chemise qui lui a tapé dans l’œil.
- Ce motif cachemire à dominante verte vous va bien, il s’accorde à vos yeux, et avec vos cheveux blonds… Tu ne trouves pas, Erwan ? a-t-elle demandé à son collègue de gauche, un trentenaire châtain, qui n’a clairement rien à foutre du pauvre mec qu’il torture à son bureau, et m’a à peine lâché du regard depuis mon arrivée. "Quel gâchis que ce mi-temps dans la grande distribution, vous pourriez faire du mannequinat, sauf que et je n’ai pas de poste à vous y offrir, ils ne passent pas par le Pôle Emploi."
- Vous plaisantez, ai-je répondu en simulant la gêne, "m’exposer à moitié nu ? Je ne pourrais pas."
- Pour le plaisir des yeux, jeune homme… Mais vous avez raison de vous méfier, c’est un monde malsain, mon premier copain y a trempé un orteil, et il est devenu pédé comme un phoque…
‘On ne devient pas gay, grosse conne’ ai-je pensé, avant de me demander comment ce thon a pu, juste un moment, séduire un mec qui a défilé sur les catwalks…
- Enfin, bon, je vous laisse tranquille, on se revoit dans trois mois, mais continuez à chercher de votre côté, vous serez bientôt en fin de droit. Je complète votre dossier et je vous libère.
Erwan a expédié sa victime du moment, a soufflé "Je prends ma pause… cigarette, Maryse".
- Tu as repris la clope ?
- Roooh, diiiiis, c’est mon seul vice, a-t-il dit, avant de me lancer un rapide clin d’œil et de se précipiter vers la sortie.
- Jérémie, je v… je vais jou… Aaaaah ! Jouir…
Pas grave, pour une fois. Je ne sais pas comment il fait, il reste encore raide une ou deux minutes, j’ai le temps de secouer la main sur ma bite et d’éjaculer sur sa peau.
- C’était pas prévu mais j’ai adoré, ai-je murmuré, le souffle court, "sauf que j’ai un… truc, là…"
- Ton... job complémentaire, j’ai capté, j’en ai un peu marre que tu t’offres à d’autres mecs.
- Je ne m’offre pas, je me vends, Max… C’est pas mon mi-temps qui va me nourrir, et je ne suis pas né avec une cuiller d’argent dans la bouche, tu vois ? Ton père ne joue pas au golf avec Edouard Leclerc, par hasard ? Il pourrait lui demander de me faire passer en temps complet ?
- Il est mort. Edouard Leclerc, je veux dire… Et mon père, il a monté sa société tout seul, il a gardé des goûts de prolo, lui, c’est le foot. Mais sa boîte est en expansion, il cherche des collaborateurs, je peux voir s’il n’a pas un boulot pour toi…
Plus le temps de me doucher, ni de me rincer le cul, je me suis épongé vite fait, quatre feuilles de PQ entre les fesses, déo partout, un peu d’Eau Sauvage, et j’ai quitté l’appart’ de Max pour rejoindre…
‘Curieux, 52 ans, pour découverte’… Tout un programme, et je vois bien le truc, le mec fraichement divorcé après s’être imposé un rôle d’hétéro pur jus, et qui peut enfin se taper un jeune mec…
[Adorable ! Tu as l’air d’un faune… Mais quel âge as-tu vraiment ?] avait-il demandé.
[23, c’est vérifié sur cette appli]
[Désolé, je te crois, je ne veux simplement pas… Voilà, quoi.]
Poli, et respectueux, il ne veut pas se taper un gamin, cool. N’empêche, ça sent la first time dans un rectum, après trente ans à limer des vagins. Et peut-être le même, en fait…
[Ne vous inquiétez pas, ça se passera bien] ai-je répondu, étrangement attendri… Pour vite penser ‘ça se passera vite, surtout’, avec un dernier regard sur le selfie qu’il a fini par accepter d’envoyer, d’un visage finalement rassurant.
- Twink Boy, pour votre service, ai-je soufflé à l’interphone.
- Je t’ouvre, huitième étage.
J’ai eu le temps de regarder l’immeuble, c’est le penthouse au sommet, en retrait, grande terrasse, j’aurais dû demander plus que les deux cents euros habituels…
- Tu es… je peux te tutoyer ? Bien… Tu es très délicat, je ne voudrais pas te briser.
‘Alors là, mec… Je me suis déjà fait une soirée à mille boules avec trois matures plutôt violents, et une cinquantaine d’autres bites d"Vous me semblez assez… délicat, vous aussi. Mais sinon… ‘pour découverte’, comme vous l’annoncez, c’est nouveau pour vous ?"
- Je ne connais pas les codes, j’aurais dû écrire ‘par curiosité’ ou ‘pour savoir’, et c’est bête, mais… mon fils m’a fait son… coming-out, je crois que c’est le terme, il préfère les hommes… Et je respecte, je veux qu’il soit heureux, mais sorti des sentiments, et des caresses que je peux bien imaginer, l’usage de préservatifs, on passe un niveau, là. Et le concept m’échappe, et je ne comprends pas ce que…’’
- Le plaisir qu’il ressent avec d’autre garçons…
- Oui. Enfin, de son âge, et pas du mien, je l’espère, mais toi … comme tu en fais ta profession…
‘Hétéro-curieux, au mieux, donc… Et le fils gay probablement imaginaire est l’excuse la plus pourrie qu’un mec m’ait jamais donnée pour visiter mon rectum… Enfin, bon, pourvu qu’il arrive à bander’ ai-je pensé.
- On… vous faites comment, d’habitude ?
- Ainsi, simplement, ai-je dit, en le tirant par la main à travers le séjour, à reculons, vers la chambre, où je me suis assis sur le lit, pour minauder "On peut vouloir me déshabiller…" en sortant de ma poche, inutilement je pense, quatre pochettes de préservatif et de lubrifiant.
- Je n’ai plus fait ça depuis que mon fils était petit… juste pour le coucher le soir, bien sûr, a-t-il bafouillé, en me tirant mon polo, avant de s’attaquer à mes sneakers, mes socquettes, et la fermeture de mon slim, qu’il a lentement tiré, pour exposer mes jambes fines, et mes pieds que je lui ai, un peu gratuitement, mis sur la figure.
J’ai réalisé que, si c’était probablement sa première immersion dans un rectum, il devait au moins avoir pas mal creusé le sujet sur le net, car il a spontanément attrapé mes chevilles pour me sucer les orteils, avec un regard interrogateur, auquel j’ai répondu par un sourire que j’ai voulu rassurant.
Si le gel ne lui a pas posé de problème, l’enfilage de la capote sur sa queue, courte, mais parmi les plus épaisses que je me sois pris, et qui au final ne la couvrait qu’aux deux-tiers, par contre… J’ai pensé un instant qu’il allait l’abandonner en moi.
- Et là, tu te retournes, c’est cela ?
- Ou on le fait de face, ai-je dit, en nouant les jambes sur sa taille. "Dans le cas d’hommes agréable à l’œil, pour voir jouir celui qui me fait l’amour."
- Faire l’amour… Oui, je préfère cette formulation… Ainsi, donc ? a-t-il demandé, en posant son gland sur mon sphincter toujours légèrement dilaté par ma chevauchée avec Max.
- Aaah ! Doucement, s’il vous plait, vous êtes plutôt épais.
Pour une fois, je ne mentais pas, ça l’a flatté, je pense, puis incité à lentement me pénétrer, en lents mouvements qui m’ont longuement massé la prostate, source principale de mon plaisir.
Très vite, mes gémissements l’ont apparemment inquiété.
- Je te fais mal ?
- Non… Nooon, pas du tout, c’est… c’est parfait… comme ça… oui…
- Malgré le… latex, je sens… du… relief… c’est diablement excitant ! Mais pour toi ?
J’ai redressé la tête vers son corps calé entre mes cuisses, pour porter mon regard – en attirant le sien – sur ma queue dressée dont le gland à demi-décalotté suintait un filet de présperme fluide et translucide sur mon pubis.
- C’est du… Tu jouis vraiment ?
- Pas encore, ai-je corrigé, pour serrer les doigts sur ma tige que j’ai astiquée, afin de lui offrir une éjac’ satisfaisante pour son égo.
- C’est… étrangement beau, ces gouttelettes nacrées… et flatteur… Mais j’ai bien peu d’avoir déjà joui, avant toi.
- Je l’ai senti, ai-je menti, avant de l’embrasser. "Les pulsation de votre membre… et l’impression de sentir les jets de semence en moi…" Bref, les conneries habituelles que je raconte à mes clients… Avec le petit plus du plaisir prostatique inattendu que ‘Curieux, 52 ans’ m’a procuré ! La chance du débutant, on dira…
La capote pendouille tristement, presque juste roulée sur son gland, remplie d’une quantité de sperme que j’ai rarement vue, alors qu’il est agenouillé entre mes jambes, un peu perdu… J’ai redressé le torse, pour l’en débarrasser et la virer, avant de plonger la bouche sur son gland toujours suintant, et de le nettoyer d’une langue experte, lorsqu’un cliquetis s’est fait entendre dans la serrure de la porte d’entrée, suivi d’une voix trop connue.
- Papa, tu es là ? J’ai un service à te demander pour un bon pote, si tu avais un boulot pour lui dans ta socié… té… Jérémie ? Mais que… ? Papa, sérieux ?
- Maxime, ce n’est pas ce que tu crois… a gémi le père.
Et là, ben, c’est silence radio du côté de Max, fallait pas rêver…
Alors que ses collègues ont une réputation de gestapiste, je ne sais pas pourquoi, la grosse moche contrôleuse au Pôle Emploi m’aime bien, on dirait. Là, c’est ma chemise qui lui a tapé dans l’œil.
- Ce motif cachemire à dominante verte vous va bien, il s’accorde à vos yeux, et avec vos cheveux blonds… Tu ne trouves pas, Erwan ? a-t-elle demandé à son collègue de gauche, un trentenaire châtain, qui n’a clairement rien à foutre du pauvre mec qu’il torture à son bureau, et m’a à peine lâché du regard depuis mon arrivée. "Quel gâchis que ce mi-temps dans la grande distribution, vous pourriez faire du mannequinat, sauf que et je n’ai pas de poste à vous y offrir, ils ne passent pas par le Pôle Emploi."
- Vous plaisantez, ai-je répondu en simulant la gêne, "m’exposer à moitié nu ? Je ne pourrais pas."
- Pour le plaisir des yeux, jeune homme… Mais vous avez raison de vous méfier, c’est un monde malsain, mon premier copain y a trempé un orteil, et il est devenu pédé comme un phoque…
‘On ne devient pas gay, grosse conne’ ai-je pensé, avant de me demander comment ce thon a pu, juste un moment, séduire un mec qui a défilé sur les catwalks…
- Enfin, bon, je vous laisse tranquille, on se revoit dans trois mois, mais continuez à chercher de votre côté, vous serez bientôt en fin de droit. Je complète votre dossier et je vous libère.
Erwan a expédié sa victime du moment, a soufflé "Je prends ma pause… cigarette, Maryse".
- Tu as repris la clope ?
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