Première fois ! (suite)
Récit érotique écrit par Volupta [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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Première fois ! (suite)
Cette première fois fut le début d’une longue série. Nous faisions l’amour partout, dès que nous avions un moment ou un peu d’intimité, ce qui n’était pas aisé à la colo. Je m’amusais à l’exciter, ce petit jeu coquin nous entrainait parfois dans des situations cocasses. Je ne mettais plus que des jupes, évidemment sans culotte ou très petites, lui passait son temps à me montrer son sexe ou à me le glisser dans la main sous son short lorsque nous marchions en groupe serré. Moi je soulevais ma jupe négligemment lui montrant mes fesses et le reste… Nous étions fous. Dès que je pouvais, je mettais son sexe dans ma bouche, même pour 1 minute, et si nous en avions 5 ou plus, il me pénétrait, debout, couchée, ou assise sur lui. J’étais folle de lui et de son sexe. J’aimais qu’il me prenne ainsi n’importe où. J’invitais même les copines à nous regarder à son insu ; leurs yeux brillaient d’envie et de stupeur. Je n’avais aucune honte, bien au contraire, j’étais devenue le centre d’attraction des filles de mon groupe. Je faisais l’amour comme une vraie femme, faisant ma coquine, négligeant les risques. Quelle inconsciente j’étais, nous ne prenions aucune protection, il jouissait aussi bien dans ma bouche que dans mon ventre et j’étais réglée depuis longtemps…Dès le matin en me levant, je pensais à lui, à son sexe et à l’amour que nous allions faire. Il tenait l’atelier photo et je le suivais dans le labo avec d’autres colons, non pour apprendre le tirage papier, mais je profitais de l’obscurité pour me faufiler sous la table et glisser son sexe dans ma bouche. Je le suçais doucement, lui assis et moi à genoux entre ses jambes, jusqu’à ce qu’il éjacule et dépose son sperme sur ma langue sans un bruit ! Puis je remontais à la surface, la bouche pleine et lui donnait un long baiser. Les autres ne s’apercevant de rien, c’était très excitant. Je n’avalais pas encore, découvrant ce plaisir que bien tard.
J’aimais faire l’amour, pourtant je ne savais pas encore ce que c’était de jouir. Je le découvris par hasard alors que nous le faisions pour la 1° fois d’une journée dans l’appentis d’une ferme proche, nous étions rentrés en cachette à l’intérieur… pressé et excité ,dans la pénombre il me retourna, m’appuya les mains sur une séparation en bois, fit glisser ma culotte jusqu’à mes chevilles et me prit debout sans préliminaire, la jupe retroussée sur mes fesses nues, son sexe planté au fond de moi, il me donnait des coups de boutoirs si fort que j’en avais le souffle coupé, mon bas ventre me chatouillait, ses mains malmenaient mes seins sous mon T-shirt, roulaient leurs pointes entre ses doigts, je fermais les yeux, sentant son membre aller et venir en moi , je sentais la chaleur de sa respiration contre ma nuque, le son rauque qui sortait de sa gorge presque animal. J’aimais cette sensation d’être prise, d’être SA chose SON objet sexuel dont-il pouvait user et abuser un instant, et de l’excitation que je lui procurais. Dans son élan il lâcha mes tétons et me donna une claque sur les fesses, puis une autre, pas une vraie fessée, mais suffisamment forte pour que cela fasse un peu mal, mon ventre se mit à devenir brulant …soudain la porte s’ouvrit d’un coup alors que nous étions en plein ébat, laissant apparaitre la tête hirsute du fermier surpris de nous voir nus et dans une position sans équivoque. Est-ce la surprise ou la peur, les claques sur les fesses, je n’en sais rien mais aussitôt une vague emplie mon ventre de spasmes, ma tête explosa et de ma gorge sortit de longs gémissements stridents que je ne pus contrôler. Je jouissais comme une folle, à la grande stupeur de mon compagnon qui crut d’abord que je m’étais faite mal…
A partir de là, tout changea, je ne faisais plus l’amour pour faire l’amour, mais pour retrouver ce plaisir qui m’avait coupé les jambes et mis le sexe et le ventre dans un état indescriptible.
Les deux semaines suivantes passèrent ainsi, à faire l’amour, le sucer ou à jouir comme une folle. Il me fit découvrir toutes les positions qu’il connaissait. Je découvris le plaisir de le voir entre mes cuisses, s’occuper de mon petit bouton, il avait une langue agile et délicieuse presque comme celle d’une fille…, il me mettait dans un tel état que j’étais ouverte à tout après… j’aimais garder son sexe en bouche après l’amour, le tétant comme un biberon léchant la petite goutte de sperme perlant au bout de son gland, jusqu’à ce qu’il devienne plus tendre, plus mou et puisse le prendre en entier. Je l’aurais sucé des heures….J’étais folle amoureuse de lui et de son sexe !! Pas une seule journée sans le faire et plusieurs fois. Je le laissais même une fois mettre le bout de son gland dans mon petit trou et l’enfoncer, mais j’eu trop peur, il était quand même bien monté…
Jusque dans le train du retour ou il réussit à m’épuiser de ses ardeurs (un des rares à avoir réussi), dans les toilettes du train, dans le soufflet entre les wagons, dans un compartiment libre, nous avons passé le voyage de nuit à faire l’amour. Quand il était épuisé, je le prenais dans ma bouche et redonnais vie à son sexe avec tous les talents que je savais procurer, il m’appelait avec malice sa : « p’tite suceuse » et j’adorais ça…Maman était venue me chercher à la gare, et dans la voiture qui me ramenait à la maison, je sentais encore dans mon sexe ses va et viens et ma mâchoire me faisait mal , mais c’était bon ! Épuisée mais heureuse…
Nous nous sommes séparés dans le train, sans larme ni espoir de se revoir (il habitait Paris), heureux chacun d’avoir pris ce que l’autre avait à lui donner et je savais que notre échange de lettres se terminerait un jour. Il me chuchota à l’oreille juste en partant, sur le quai alors que ma mère prenait ma valise : « Tu ne m’oublieras jamais ! » « Toi non plus » répondis-je ! Il eut raison…je ne saurais jamais pour lui….
Je me sentais femme ! Libre, ayant pris de l’avance sur les « grandes » que je connaissais, par le nombre et la coquinerie que j’avais déployé. Le sexe et l’amour dont personne ne m’avait parlé à la maison maintenant je le connaissais, je l’aimais et l’appréciais et j’en redemandais encore et encore. Aujourd’hui, je ne peux faire l’amour sans être coquine, c’est mon moteur…
J’aimais faire l’amour, pourtant je ne savais pas encore ce que c’était de jouir. Je le découvris par hasard alors que nous le faisions pour la 1° fois d’une journée dans l’appentis d’une ferme proche, nous étions rentrés en cachette à l’intérieur… pressé et excité ,dans la pénombre il me retourna, m’appuya les mains sur une séparation en bois, fit glisser ma culotte jusqu’à mes chevilles et me prit debout sans préliminaire, la jupe retroussée sur mes fesses nues, son sexe planté au fond de moi, il me donnait des coups de boutoirs si fort que j’en avais le souffle coupé, mon bas ventre me chatouillait, ses mains malmenaient mes seins sous mon T-shirt, roulaient leurs pointes entre ses doigts, je fermais les yeux, sentant son membre aller et venir en moi , je sentais la chaleur de sa respiration contre ma nuque, le son rauque qui sortait de sa gorge presque animal. J’aimais cette sensation d’être prise, d’être SA chose SON objet sexuel dont-il pouvait user et abuser un instant, et de l’excitation que je lui procurais. Dans son élan il lâcha mes tétons et me donna une claque sur les fesses, puis une autre, pas une vraie fessée, mais suffisamment forte pour que cela fasse un peu mal, mon ventre se mit à devenir brulant …soudain la porte s’ouvrit d’un coup alors que nous étions en plein ébat, laissant apparaitre la tête hirsute du fermier surpris de nous voir nus et dans une position sans équivoque. Est-ce la surprise ou la peur, les claques sur les fesses, je n’en sais rien mais aussitôt une vague emplie mon ventre de spasmes, ma tête explosa et de ma gorge sortit de longs gémissements stridents que je ne pus contrôler. Je jouissais comme une folle, à la grande stupeur de mon compagnon qui crut d’abord que je m’étais faite mal…
A partir de là, tout changea, je ne faisais plus l’amour pour faire l’amour, mais pour retrouver ce plaisir qui m’avait coupé les jambes et mis le sexe et le ventre dans un état indescriptible.
Les deux semaines suivantes passèrent ainsi, à faire l’amour, le sucer ou à jouir comme une folle. Il me fit découvrir toutes les positions qu’il connaissait. Je découvris le plaisir de le voir entre mes cuisses, s’occuper de mon petit bouton, il avait une langue agile et délicieuse presque comme celle d’une fille…, il me mettait dans un tel état que j’étais ouverte à tout après… j’aimais garder son sexe en bouche après l’amour, le tétant comme un biberon léchant la petite goutte de sperme perlant au bout de son gland, jusqu’à ce qu’il devienne plus tendre, plus mou et puisse le prendre en entier. Je l’aurais sucé des heures….J’étais folle amoureuse de lui et de son sexe !! Pas une seule journée sans le faire et plusieurs fois. Je le laissais même une fois mettre le bout de son gland dans mon petit trou et l’enfoncer, mais j’eu trop peur, il était quand même bien monté…
Jusque dans le train du retour ou il réussit à m’épuiser de ses ardeurs (un des rares à avoir réussi), dans les toilettes du train, dans le soufflet entre les wagons, dans un compartiment libre, nous avons passé le voyage de nuit à faire l’amour. Quand il était épuisé, je le prenais dans ma bouche et redonnais vie à son sexe avec tous les talents que je savais procurer, il m’appelait avec malice sa : « p’tite suceuse » et j’adorais ça…Maman était venue me chercher à la gare, et dans la voiture qui me ramenait à la maison, je sentais encore dans mon sexe ses va et viens et ma mâchoire me faisait mal , mais c’était bon ! Épuisée mais heureuse…
Nous nous sommes séparés dans le train, sans larme ni espoir de se revoir (il habitait Paris), heureux chacun d’avoir pris ce que l’autre avait à lui donner et je savais que notre échange de lettres se terminerait un jour. Il me chuchota à l’oreille juste en partant, sur le quai alors que ma mère prenait ma valise : « Tu ne m’oublieras jamais ! » « Toi non plus » répondis-je ! Il eut raison…je ne saurais jamais pour lui….
Je me sentais femme ! Libre, ayant pris de l’avance sur les « grandes » que je connaissais, par le nombre et la coquinerie que j’avais déployé. Le sexe et l’amour dont personne ne m’avait parlé à la maison maintenant je le connaissais, je l’aimais et l’appréciais et j’en redemandais encore et encore. Aujourd’hui, je ne peux faire l’amour sans être coquine, c’est mon moteur…
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