Première fois à trois
Récit érotique écrit par dometbiche [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2024 dans la catégorie Plus on est
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Première fois à trois
Suite à ces deux aventures mon envie de la voir baiser par un autre homme n’a cessé de grandir. A chaque fois que nous faisions l’amour je lui disais mon désir de la prendre avec un autre homme mais cela restait toujours au stade du fantasme même si cela l’excitait énormément.
Environ 2 ans après cette aventure j’ai été amené à changer de travail, me retrouvant commercial grand export pour ma société. Cela impliquait beaucoup de déplacement dans le monde et donc des absences répétées. Heureusement nos enfants étaient déjà grands et ma belle était très occupée par son travail. Il s’ensuivit donc une période où mes désirs de la voir baiser avec d’autres étaient un peu éteints. Par contre chacun de mes retours était l’occasion de jouissance intense et de baise totale tant notre envie de faire l’amour était forte. Il m’arrivait très souvent également de lui téléphoner pour qu’elle se branle en m’écoutant l’exciter par mes fantasmes qui étaient devenus les siens. Par contre elle refusait d’avoir une nouvelle aventure avec quiconque afin de protéger sa solitude et notre couple. C’est ainsi que nous avons parcouru la fin de notre vie professionnelle.
Arrivés à la retraite nos désirs sont restés intacts, je dois dire que j’ai la chance que malgré l’âge elle a conservé son corps de jeune fille, 1m63 pour 49kg , qu’elle entretient par la pratique assidue de sports divers. Nos parties de baise sont restées très intenses et j’ai bien sûr continuer de la motiver pour des plaisirs à trois, ce à quoi elle ne restait pas insensible mais remettait toujours à un futur incertain.
Et puis fin 2022 la maladie vint perturber notre vie. Elle fit face avec beaucoup de courage et subit de lourds traitements pendant toute l’année suivante. Pour conserver le moral et la forme physique elle fréquentait régulièrement la salle de sport et faisait même du renforcement musculaire avec un coach sportif. Bien entendu notre vie s’en trouvait fort affectée et nos activités sexuelles étaient rares et pendant certaines périodes inexistantes.
Début de cette année 2024 ses envies revenaient peu à peu et elle m’avoua qu’elle avait envie de folie et de croquer la vie. Tout doucement nous refaisions l’amour de plus en plus souvent et je recommençais à lui souffler mes fantasmes de baise intense. Ce qui me frappa au fur et à mesure que nous faisions l’amour c’était sa soif de jouissance qui était de plus en plus forte et ses orgasmes quand je branlais son clito n’avaient jamais duré aussi longtemps et aussi forts ce qui est toujours le cas aujourd’hui’hui. L’autre fait marquant est que son besoin d’être baisée s’est intensifié et que depuis ce début d’année nous faisons l’amour tous les deux jours voir tous les jours à certaines périodes. Cette soif de baise m’a laissé supposer qu’elle avait besoin de plus et j’ai commencé des recherches sur un site échangiste pour trouver un homme qui pourrait devenir mon complice. Ma recherche s’est porté sur un homme de notre âge capable de lui prodiguer de réels massages et bien sûr capable de la satisfaire sexuellement.
C’est ainsi que j’ai fait connaissance de Jean-Jacques, homme de notre âge recherchant un couple pour moments coquins.
Habitant à 1h15 de notre domicile nous avons commencé par échanger par mail puis par téléphone jusqu’au jour où il profita d’un déplacement près de chez nous pour une rencontre entre hommes.
Dès son arrivée le contact fut excellent tant sur le plan physique, même taille et corpulence similaire, que sur le plan intellectuel. Il m’expliqua qu’il avait appris l’art du massage il y a très longtemps et que depuis qu’il est en retraite il le pratique de temps à autre pour son entourage, amis et famille. Vivant seul depuis de nombreuses années il recherche un couple avec qui entretenir une amitié coquine , l’aventure d’un soir ne l’interessant pas ce qui correspondait pleinement à ma vision des choses. De mon côté je lui parlais beaucoup de ma belle, lui montrant des photos dont certaines très explicites. Je lui parlais aussi de son évolution sexuelle et de son besoin grandissant depuis sa guérison, sa soif de jouir et de baiser toujours plus. Je lui confiais aussi que nous faisions l’amour tous les deux jours ce qui le surprit agréablement laissant supposer le potentiel de ma belle. Il profita de ces confidences intimes pour me dire qu’il était plutôt très endurant et qu’il ne souhaitait pas utiliser de capote car cela enlevait toutes sensations tant pour elle que pour lui. Par contre il comprenait et acceptait de faire un test HIV quelque temps avant la rencontre si celle ci bien sûr se faisait.
Fort de tout cela, à chaque fois que nous faisions l’amour j’introduisais virtuellement Jean Jacques dans nos ébats en lui faisant imaginer qu’un homme vienne pour lui faire un massage complet de son joli corps pour la détendre et au final la faire jouir puis la baiser. Je lui parlais d’un homme de notre âge, bien membré et endurant qui saurait lui apporter de nouveaux plaisirs, tout cela bien sûr sans le nommer. Plus le temps passait et plus je sentais qu’elle n’était pas insensible à tout ce que je lui racontais et qu’elle était de plus en plus excitée et chaude, je profitais donc de son état pour lui dire que j’étais en contact avec un homme qui correspondait au fantasme que je lui décrivais. Je m’attendais à ce qu’elle refuse en bloc mais au contraire elle m’avoua que cela la tentait beaucoup surtout qu’elle savait que j’avais envie de cela depuis très longtemps. Par contre elle ajouta qu’elle ne se sentait pas encore prête et que je devais être patient.
Bien sûr je tenais Jean Jacques informé de cette information et il me confirma qu’il saurait être patient. C’est ainsi que je continuai de l’exciter à chaque séance de baise en étant de plus en plus insistant sur ce qu’on pourrait lui faire à deux pour lui faire vivre d’intenses jouissances.
La dernière semaine juin nous sommes allés passer une semaine en bord de mer et pendant le voyage en voiture elle m’annonça qu’elle en avait assez des privations qu’elle s’était imposé depuis pratiquement deux ans et qu’elle avait maintenant envie de profiter pleinement de la vie….
Je m’empressais de lui demander si elle était prête à tout et c’est avec un grand sourire qu’elle me répondit oui. A la première occasion j’envoyais un sms discret à Jean Jacques pour lui annoncer la bonne nouvelle et inutile de dire que durant cette semaine nous avons fait l’amour intensément tous les jours.
A notre retour je lui ai dit que je prenais contact afin d’organiser cette première soirée, elle me demanda toutefois de lui laisser le temps et de ne pas prévoir avant fin juillet. Le lendemain je lui annonçais que le 23 juillet étant le jour de sa fête nous profiterions de cette date pour s’occuper d’elle ce qui l’amusa. Les deux semaines précédant la soirée, ma belle pris rendez vous chez l’esthéticienne afin de se faire épiler soigneusement sa petite chatte gourmande. Il fut convenu également que Jean Jacques téléphone un soir afin d’entendre la voix de Brigitte, ce qui fut un plaisir de les entendre converser sans retenue, conversation durant laquelle il nous indiqua avoir réserver un gîte à 30 minutes environ de notre ville de résidence et qu’il nous attendrai autour de 17h. Le matin ma belle prépara une petite valise en prévision de la soirée et de la nuit car il était convenu que nous dormirions sur place. Tout au long de la journée je fus surpris car elle ne faisait preuve d’aucune appréhension, bien au contraire elle semblait très sereine et même un peu excitée.
Arrivés devant la maison où nous avions rendez vous, Jean Jacques nous attendait sur le pas de la porte. Après avoir embrassé Brigitte il nous aida à porter le bagage en nous faisant visiter les lieux. La maison était vaste avec de très grandes pièces complètement à l’abri des regards. Il nous emmena dans une grande chambre où il avait installé sa table de massage près du grand lit. Tout autour il avait disposé des bougies parfumées ainsi qu’une enceinte qui diffusait une musique douce. Après avoir déposé notre bagage dans une autre chambre, nous descendirent au salon afin de faire connaissance autour d’une bouteille de champagne. C’est ainsi que durant une heure environ nous avons discuté comme des amis de longue date sans aucune retenue, chacun sachant pourquoi nous étions là.
Puis, à un moment donné, Brigitte se leva et nous dit qu’il était temps de passer au massage pour lequel elle rêve depuis longtemps et que pour ce faire elle allait se changer. Peu de temps après elle apparut en bas des escaliers entièrement nue simplement vêtue d’un déshabillé en dentelle noir. Jean Jacques fut subjugué de la voir ainsi apparaitre et je dois avouer que j’étais moi même bluffé de tant d’audace de sa part. Je lui demandais de tourner sur elle même afin que notre ami puisse admirer son corps et surtout son joli cul de petite salope. Pendant que Jean Jacques partait lui aussi se changer pour le massage je fis part à ma belle de ma surprise de la voir aussi coquine, elle me répondit qu’elle venait pour cela et qu’elle se sentait prête à tout.
Nous rejoignîmes Jean Jacques dans la chambre où il l’attendait pour le massage. Il avait revêtu une sorte de kimono composé d’un pantalon large et d’une chemise ample. Il commença par retirer le déshabillé de ma belle en déposant un petit baiser sur chacun de ses petits seins puis il l’invita à s’allonger sur le ventre. Il commença par enduire son corps d’huile de sésame tiède puis il entama un long massage allant de la tête au pied. Après une vingtaine de minutes il s’appliqua longuement à masser ses fesses en insistant longtemps sur la raie culière faisant bailler sa petite chatte. Puis il l’invita à se mettre sur le dos pour masser l’autre côté. Il recommença à enduire son joli corps d’huile tiède puis démarra par les épaules et la cou. Descendant progressivement il lui massa longuement les seins insistant sur les tétons ce qui commençait à la faire gémir. Puis il passa aux pieds et aux jambes pour remonter doucement vers le ventre et le pubis. Au fur et à mesure que ses mains se faisaient plus pressantes ses cuisses s’ouvraient dévoilant sa petite fente luisante de mouille. Il concentra alors les mouvements sur son clitoris provoquant des gémissements de plus en plus significatifs du plaisir ressenti par ma belle. Il me regardait en souriant, content de son oeuvre et par un clin d’oeil m’invita à venir près d’elle. Je voyais le pantalon de notre ami déformé par une érection importante qui laissait supposer une bite de belle taille. Je me mis à poil et tout en titillant les tétons de ma belle je pris sa main pour lui faire branler ma queue. Rapidement elle m’attira à elle pour me prendre en bouche pendant que Jean Jacques lui avait fait glisser l’autre main dans son pantalon tendu. Après avoir titiller mon gland avec sa langue gourmande je la vis se tourner pour sortir la bite de notre ami et la sucer à son tour. Comme je l’avais deviné la queue était bien plus longue que la mienne et surtout il avait un gland très épais gonflé de désir. Elle le pompa longuement sous ses encouragements pendant qu’il continuait de lui branler le clito qu’il faisait ressortir pour le pincer. Rapidement son corps entier fut pris de soubresaut et elle fut prise d’un orgasme très violent. Devant cette jouissance elle lâcha la bite qu’elle avait en bouche et lui continuait d’exciter son clitoris pour lui déclencher une vague d’orgasmes qui semblait ne pas finir. Pendant ce temps je l’embrassais à pleine bouche tout en continuant de triturer ses tétons durs et saillants.
Quand ses spasmes se calmèrent il l’invita à se lever de la table, la fit s’agenouiller sur le bord du lit et il se mit debout derrière elle pour ouvrir son con avec son gland turgescent. La vision de sa bite ouvrant sa chatte en deux était magnifique. Il me disait que sa moule était trempée et qu’elle lui serrait bien la bite. Ma belle haletait sous les coups de bite pendant que je la traitais de baiseuse et de petite salope aimant les belles bites. Après quelques minutes la position s’avérant inconfortable il la fit reprendre la position en venant se placer lui même a genoux sur le lit. Etant tout proche d’eux je pus voir sa vulve trempée baillante d’envie. Il vint alors placer son gros gland au bord des lèvres et je vis sa chatte aspirer la queue jusqu’à sentir les couilles contre son cul. Lui ne bougeait pas, elle se baisait toute seule par les mouvements de son bassin de plus en plus violents. Je me mit face à elle afin qu’elle me suce en même temps ce qu’elle fit avec gourmandise, m’amenant très rapidement à lui lâcher ma semence sur le visage. De son côté il alternait les pénétrations lentes avec les coups de bite violents lui arrachant à chaque fois des petits cris. Il la lima ainsi pendant au moins 20 minutes jusqu’à ce qu’elle lui demande de lui envoyer son jus. Il éjacula très longuement au fond de sa chatte sous ses halètements, elle m’avoua plus tard avoir adoré sentir ses jets de foutre abondants tout au fond de sa moule.
Après cette séance de baise ma belle se fit une beauté dans la salle de bains pendant que nous préparions le dîner ayant choisit de rester sur place dans une ambiance coquine pour manger.
Nous étions dans le salon quand Brigitte apparut à nouveau. Elle portait une robe longue noire (hotside) l ouverte entièrement sur les côtés, juste retenue par un lien fin avec dessous un porte jarretelles noir, des bas résilles et une culotte de dentelle. Jean Jacques la félicita de cette tenue qui mettait en valeur son corps longiligne et sa chute de rein qu’il avait beaucoup aimé.
Il ouvrit une nouvelle bouteille de champagne pour accompagner le repas et nous avons trinqué au merveilleux moment que nous venions de passer. Je demandais à ma belle comment elle avait trouver le massage ce à quoi elle répondit que notre ami avait des doigts magiques. Au fil de la conversation il la félicita en lui disant qu’elle était une vrai jouisseuse et surtout une bonne baiseuse et qu’il avait adoré la prendre en levrette. Durant le diner la conversation devenant de plus en plus chaude, Jean Jacques vint se placer à côté de ma belle sur le canapé, moi même étant de l’autre côté. Tout en lui faisant dire ce qu’elle avait aimé nos mains glissèrent doucement pour se retrouver entre ses cuisses largement ouvertes. Notre ami fit glisser la mini culotte de dentelle pour mettre à nue sa petite chatte et lui prenant chacun une jambe nous lui avons écarté en grand les cuisses pour faire bailler à nouveau sa moule qui commençait à être bien humide. Pour ma part je défaisais les liens de sa robe pour accéder à ses petits seins que je me mis à caresser avec douceur. Les yeux mi clos elle se laissait faire toute à son plaisir d’avoir deux langues et 4 mains pour elle. Jean Jacques se laissa glisser à genoux entre ses cuisses pour venir titiller le petit bouton avec sa langue. Rapidement elle se mit à haleter prouvant que la jouissance montait en elle. Je me mis à dévorer ses tétons pendant que notre ami aspirait son clito déclenchant en elle un orgasme sonore qu’il fit durer autant que possible, ce qui n’était pas facile tant elle se tortillait pour échapper à la langue qui la torturait.
Sachant que ma belle adore être enfilée rapidement après une telle jouissance j’invitais Jean Jacques à la prendre. Il se mit à poil et vint s’asseoir sur le canapé ce qui me permit de voir nettement sa grosse queue bandée surmontée par un gland épais et violacé puis prenant Brigitte par les hanches il la plaça dos à lui pour qu’elle s’empale sur son pieu. Face à eux je pouvais admirer sa chatte avaler cette bite qui me semblait énorme comparée à la mienne. Il avait passé les mains sous ses cuisses afin de bien l’ouvrir et ainsi la faire descendre jusqu’à reposer sur ses couilles. Assis dans un fauteuil face à eux je me branlais en admirant ma belle salope embrochée sur cette belle bite qui la fouillait au plus profond. Il l’a faisait monter en douceur jusqu’au gland puis la laissait retomber en lui arrachant des petits cris de plaisir. Ne pouvant retenir mon plaisir je m’approchais d’elle pour pommader ses seins de mon jus que j’étalais en douceur en pinçant ses tétons et en la traitant de belle salope. De son côté Jean Jacques lui disait qu’elle avait une chatte faite pour les grosses bites et qu’elle était bonne à baiser. Après de longues minutes de ce traitement je vis ma belle, les yeux révulsés, se tortiller en couinant montrant qu’elle était prête à jouir sur sa queue. Il accéléra les coups de bite pour lui donner l’assaut final et cracher son jus bien au fond de la moule en feu déclenchant chez elle un orgasme intense.
Suite à cette baise de folie elle n’avait qu’une envie, dormir. Après un passage rapide dans la salle de bains elle s’endormit dans mes bras me laissant savourer les images que j’avais dans les yeux de cette soirée magique. Le lendemain matin nous nous retrouvâmes pour le petit déjeuner, elle était rayonnante et très contente de la soirée. Jean Jacques en profita pour lui dire qu’il était à sa disposition pour un nouveau massage quand elle le souhaiterait. Puis elle fila prendre une douche nous laissant entre hommes. Je félicitai notre ami pour sa prestation tant pour le massage que pour pour la baise. De son côté il me remercia de l’avoir choisi pour cette première fois à trois en me disant que j’avais de la chance d’avoir une telle baiseuse dans mon lit. Il m’avoua qu’il n’avait pas eu l’occasion depuis longtemps de baiser une petite salope aussi gourmande et qu’il espérait fortement que nous recommencions prochainement.
C’est sans peine que j’ai convaincu ma belle de renouveler, rendez vous pris pour fin septembre.
Cela sera peut être l’occasion d’une autre histoire.
Bien sûr tout ce récit est authentique.
Environ 2 ans après cette aventure j’ai été amené à changer de travail, me retrouvant commercial grand export pour ma société. Cela impliquait beaucoup de déplacement dans le monde et donc des absences répétées. Heureusement nos enfants étaient déjà grands et ma belle était très occupée par son travail. Il s’ensuivit donc une période où mes désirs de la voir baiser avec d’autres étaient un peu éteints. Par contre chacun de mes retours était l’occasion de jouissance intense et de baise totale tant notre envie de faire l’amour était forte. Il m’arrivait très souvent également de lui téléphoner pour qu’elle se branle en m’écoutant l’exciter par mes fantasmes qui étaient devenus les siens. Par contre elle refusait d’avoir une nouvelle aventure avec quiconque afin de protéger sa solitude et notre couple. C’est ainsi que nous avons parcouru la fin de notre vie professionnelle.
Arrivés à la retraite nos désirs sont restés intacts, je dois dire que j’ai la chance que malgré l’âge elle a conservé son corps de jeune fille, 1m63 pour 49kg , qu’elle entretient par la pratique assidue de sports divers. Nos parties de baise sont restées très intenses et j’ai bien sûr continuer de la motiver pour des plaisirs à trois, ce à quoi elle ne restait pas insensible mais remettait toujours à un futur incertain.
Et puis fin 2022 la maladie vint perturber notre vie. Elle fit face avec beaucoup de courage et subit de lourds traitements pendant toute l’année suivante. Pour conserver le moral et la forme physique elle fréquentait régulièrement la salle de sport et faisait même du renforcement musculaire avec un coach sportif. Bien entendu notre vie s’en trouvait fort affectée et nos activités sexuelles étaient rares et pendant certaines périodes inexistantes.
Début de cette année 2024 ses envies revenaient peu à peu et elle m’avoua qu’elle avait envie de folie et de croquer la vie. Tout doucement nous refaisions l’amour de plus en plus souvent et je recommençais à lui souffler mes fantasmes de baise intense. Ce qui me frappa au fur et à mesure que nous faisions l’amour c’était sa soif de jouissance qui était de plus en plus forte et ses orgasmes quand je branlais son clito n’avaient jamais duré aussi longtemps et aussi forts ce qui est toujours le cas aujourd’hui’hui. L’autre fait marquant est que son besoin d’être baisée s’est intensifié et que depuis ce début d’année nous faisons l’amour tous les deux jours voir tous les jours à certaines périodes. Cette soif de baise m’a laissé supposer qu’elle avait besoin de plus et j’ai commencé des recherches sur un site échangiste pour trouver un homme qui pourrait devenir mon complice. Ma recherche s’est porté sur un homme de notre âge capable de lui prodiguer de réels massages et bien sûr capable de la satisfaire sexuellement.
C’est ainsi que j’ai fait connaissance de Jean-Jacques, homme de notre âge recherchant un couple pour moments coquins.
Habitant à 1h15 de notre domicile nous avons commencé par échanger par mail puis par téléphone jusqu’au jour où il profita d’un déplacement près de chez nous pour une rencontre entre hommes.
Dès son arrivée le contact fut excellent tant sur le plan physique, même taille et corpulence similaire, que sur le plan intellectuel. Il m’expliqua qu’il avait appris l’art du massage il y a très longtemps et que depuis qu’il est en retraite il le pratique de temps à autre pour son entourage, amis et famille. Vivant seul depuis de nombreuses années il recherche un couple avec qui entretenir une amitié coquine , l’aventure d’un soir ne l’interessant pas ce qui correspondait pleinement à ma vision des choses. De mon côté je lui parlais beaucoup de ma belle, lui montrant des photos dont certaines très explicites. Je lui parlais aussi de son évolution sexuelle et de son besoin grandissant depuis sa guérison, sa soif de jouir et de baiser toujours plus. Je lui confiais aussi que nous faisions l’amour tous les deux jours ce qui le surprit agréablement laissant supposer le potentiel de ma belle. Il profita de ces confidences intimes pour me dire qu’il était plutôt très endurant et qu’il ne souhaitait pas utiliser de capote car cela enlevait toutes sensations tant pour elle que pour lui. Par contre il comprenait et acceptait de faire un test HIV quelque temps avant la rencontre si celle ci bien sûr se faisait.
Fort de tout cela, à chaque fois que nous faisions l’amour j’introduisais virtuellement Jean Jacques dans nos ébats en lui faisant imaginer qu’un homme vienne pour lui faire un massage complet de son joli corps pour la détendre et au final la faire jouir puis la baiser. Je lui parlais d’un homme de notre âge, bien membré et endurant qui saurait lui apporter de nouveaux plaisirs, tout cela bien sûr sans le nommer. Plus le temps passait et plus je sentais qu’elle n’était pas insensible à tout ce que je lui racontais et qu’elle était de plus en plus excitée et chaude, je profitais donc de son état pour lui dire que j’étais en contact avec un homme qui correspondait au fantasme que je lui décrivais. Je m’attendais à ce qu’elle refuse en bloc mais au contraire elle m’avoua que cela la tentait beaucoup surtout qu’elle savait que j’avais envie de cela depuis très longtemps. Par contre elle ajouta qu’elle ne se sentait pas encore prête et que je devais être patient.
Bien sûr je tenais Jean Jacques informé de cette information et il me confirma qu’il saurait être patient. C’est ainsi que je continuai de l’exciter à chaque séance de baise en étant de plus en plus insistant sur ce qu’on pourrait lui faire à deux pour lui faire vivre d’intenses jouissances.
La dernière semaine juin nous sommes allés passer une semaine en bord de mer et pendant le voyage en voiture elle m’annonça qu’elle en avait assez des privations qu’elle s’était imposé depuis pratiquement deux ans et qu’elle avait maintenant envie de profiter pleinement de la vie….
Je m’empressais de lui demander si elle était prête à tout et c’est avec un grand sourire qu’elle me répondit oui. A la première occasion j’envoyais un sms discret à Jean Jacques pour lui annoncer la bonne nouvelle et inutile de dire que durant cette semaine nous avons fait l’amour intensément tous les jours.
A notre retour je lui ai dit que je prenais contact afin d’organiser cette première soirée, elle me demanda toutefois de lui laisser le temps et de ne pas prévoir avant fin juillet. Le lendemain je lui annonçais que le 23 juillet étant le jour de sa fête nous profiterions de cette date pour s’occuper d’elle ce qui l’amusa. Les deux semaines précédant la soirée, ma belle pris rendez vous chez l’esthéticienne afin de se faire épiler soigneusement sa petite chatte gourmande. Il fut convenu également que Jean Jacques téléphone un soir afin d’entendre la voix de Brigitte, ce qui fut un plaisir de les entendre converser sans retenue, conversation durant laquelle il nous indiqua avoir réserver un gîte à 30 minutes environ de notre ville de résidence et qu’il nous attendrai autour de 17h. Le matin ma belle prépara une petite valise en prévision de la soirée et de la nuit car il était convenu que nous dormirions sur place. Tout au long de la journée je fus surpris car elle ne faisait preuve d’aucune appréhension, bien au contraire elle semblait très sereine et même un peu excitée.
Arrivés devant la maison où nous avions rendez vous, Jean Jacques nous attendait sur le pas de la porte. Après avoir embrassé Brigitte il nous aida à porter le bagage en nous faisant visiter les lieux. La maison était vaste avec de très grandes pièces complètement à l’abri des regards. Il nous emmena dans une grande chambre où il avait installé sa table de massage près du grand lit. Tout autour il avait disposé des bougies parfumées ainsi qu’une enceinte qui diffusait une musique douce. Après avoir déposé notre bagage dans une autre chambre, nous descendirent au salon afin de faire connaissance autour d’une bouteille de champagne. C’est ainsi que durant une heure environ nous avons discuté comme des amis de longue date sans aucune retenue, chacun sachant pourquoi nous étions là.
Puis, à un moment donné, Brigitte se leva et nous dit qu’il était temps de passer au massage pour lequel elle rêve depuis longtemps et que pour ce faire elle allait se changer. Peu de temps après elle apparut en bas des escaliers entièrement nue simplement vêtue d’un déshabillé en dentelle noir. Jean Jacques fut subjugué de la voir ainsi apparaitre et je dois avouer que j’étais moi même bluffé de tant d’audace de sa part. Je lui demandais de tourner sur elle même afin que notre ami puisse admirer son corps et surtout son joli cul de petite salope. Pendant que Jean Jacques partait lui aussi se changer pour le massage je fis part à ma belle de ma surprise de la voir aussi coquine, elle me répondit qu’elle venait pour cela et qu’elle se sentait prête à tout.
Nous rejoignîmes Jean Jacques dans la chambre où il l’attendait pour le massage. Il avait revêtu une sorte de kimono composé d’un pantalon large et d’une chemise ample. Il commença par retirer le déshabillé de ma belle en déposant un petit baiser sur chacun de ses petits seins puis il l’invita à s’allonger sur le ventre. Il commença par enduire son corps d’huile de sésame tiède puis il entama un long massage allant de la tête au pied. Après une vingtaine de minutes il s’appliqua longuement à masser ses fesses en insistant longtemps sur la raie culière faisant bailler sa petite chatte. Puis il l’invita à se mettre sur le dos pour masser l’autre côté. Il recommença à enduire son joli corps d’huile tiède puis démarra par les épaules et la cou. Descendant progressivement il lui massa longuement les seins insistant sur les tétons ce qui commençait à la faire gémir. Puis il passa aux pieds et aux jambes pour remonter doucement vers le ventre et le pubis. Au fur et à mesure que ses mains se faisaient plus pressantes ses cuisses s’ouvraient dévoilant sa petite fente luisante de mouille. Il concentra alors les mouvements sur son clitoris provoquant des gémissements de plus en plus significatifs du plaisir ressenti par ma belle. Il me regardait en souriant, content de son oeuvre et par un clin d’oeil m’invita à venir près d’elle. Je voyais le pantalon de notre ami déformé par une érection importante qui laissait supposer une bite de belle taille. Je me mis à poil et tout en titillant les tétons de ma belle je pris sa main pour lui faire branler ma queue. Rapidement elle m’attira à elle pour me prendre en bouche pendant que Jean Jacques lui avait fait glisser l’autre main dans son pantalon tendu. Après avoir titiller mon gland avec sa langue gourmande je la vis se tourner pour sortir la bite de notre ami et la sucer à son tour. Comme je l’avais deviné la queue était bien plus longue que la mienne et surtout il avait un gland très épais gonflé de désir. Elle le pompa longuement sous ses encouragements pendant qu’il continuait de lui branler le clito qu’il faisait ressortir pour le pincer. Rapidement son corps entier fut pris de soubresaut et elle fut prise d’un orgasme très violent. Devant cette jouissance elle lâcha la bite qu’elle avait en bouche et lui continuait d’exciter son clitoris pour lui déclencher une vague d’orgasmes qui semblait ne pas finir. Pendant ce temps je l’embrassais à pleine bouche tout en continuant de triturer ses tétons durs et saillants.
Quand ses spasmes se calmèrent il l’invita à se lever de la table, la fit s’agenouiller sur le bord du lit et il se mit debout derrière elle pour ouvrir son con avec son gland turgescent. La vision de sa bite ouvrant sa chatte en deux était magnifique. Il me disait que sa moule était trempée et qu’elle lui serrait bien la bite. Ma belle haletait sous les coups de bite pendant que je la traitais de baiseuse et de petite salope aimant les belles bites. Après quelques minutes la position s’avérant inconfortable il la fit reprendre la position en venant se placer lui même a genoux sur le lit. Etant tout proche d’eux je pus voir sa vulve trempée baillante d’envie. Il vint alors placer son gros gland au bord des lèvres et je vis sa chatte aspirer la queue jusqu’à sentir les couilles contre son cul. Lui ne bougeait pas, elle se baisait toute seule par les mouvements de son bassin de plus en plus violents. Je me mit face à elle afin qu’elle me suce en même temps ce qu’elle fit avec gourmandise, m’amenant très rapidement à lui lâcher ma semence sur le visage. De son côté il alternait les pénétrations lentes avec les coups de bite violents lui arrachant à chaque fois des petits cris. Il la lima ainsi pendant au moins 20 minutes jusqu’à ce qu’elle lui demande de lui envoyer son jus. Il éjacula très longuement au fond de sa chatte sous ses halètements, elle m’avoua plus tard avoir adoré sentir ses jets de foutre abondants tout au fond de sa moule.
Après cette séance de baise ma belle se fit une beauté dans la salle de bains pendant que nous préparions le dîner ayant choisit de rester sur place dans une ambiance coquine pour manger.
Nous étions dans le salon quand Brigitte apparut à nouveau. Elle portait une robe longue noire (hotside) l ouverte entièrement sur les côtés, juste retenue par un lien fin avec dessous un porte jarretelles noir, des bas résilles et une culotte de dentelle. Jean Jacques la félicita de cette tenue qui mettait en valeur son corps longiligne et sa chute de rein qu’il avait beaucoup aimé.
Il ouvrit une nouvelle bouteille de champagne pour accompagner le repas et nous avons trinqué au merveilleux moment que nous venions de passer. Je demandais à ma belle comment elle avait trouver le massage ce à quoi elle répondit que notre ami avait des doigts magiques. Au fil de la conversation il la félicita en lui disant qu’elle était une vrai jouisseuse et surtout une bonne baiseuse et qu’il avait adoré la prendre en levrette. Durant le diner la conversation devenant de plus en plus chaude, Jean Jacques vint se placer à côté de ma belle sur le canapé, moi même étant de l’autre côté. Tout en lui faisant dire ce qu’elle avait aimé nos mains glissèrent doucement pour se retrouver entre ses cuisses largement ouvertes. Notre ami fit glisser la mini culotte de dentelle pour mettre à nue sa petite chatte et lui prenant chacun une jambe nous lui avons écarté en grand les cuisses pour faire bailler à nouveau sa moule qui commençait à être bien humide. Pour ma part je défaisais les liens de sa robe pour accéder à ses petits seins que je me mis à caresser avec douceur. Les yeux mi clos elle se laissait faire toute à son plaisir d’avoir deux langues et 4 mains pour elle. Jean Jacques se laissa glisser à genoux entre ses cuisses pour venir titiller le petit bouton avec sa langue. Rapidement elle se mit à haleter prouvant que la jouissance montait en elle. Je me mis à dévorer ses tétons pendant que notre ami aspirait son clito déclenchant en elle un orgasme sonore qu’il fit durer autant que possible, ce qui n’était pas facile tant elle se tortillait pour échapper à la langue qui la torturait.
Sachant que ma belle adore être enfilée rapidement après une telle jouissance j’invitais Jean Jacques à la prendre. Il se mit à poil et vint s’asseoir sur le canapé ce qui me permit de voir nettement sa grosse queue bandée surmontée par un gland épais et violacé puis prenant Brigitte par les hanches il la plaça dos à lui pour qu’elle s’empale sur son pieu. Face à eux je pouvais admirer sa chatte avaler cette bite qui me semblait énorme comparée à la mienne. Il avait passé les mains sous ses cuisses afin de bien l’ouvrir et ainsi la faire descendre jusqu’à reposer sur ses couilles. Assis dans un fauteuil face à eux je me branlais en admirant ma belle salope embrochée sur cette belle bite qui la fouillait au plus profond. Il l’a faisait monter en douceur jusqu’au gland puis la laissait retomber en lui arrachant des petits cris de plaisir. Ne pouvant retenir mon plaisir je m’approchais d’elle pour pommader ses seins de mon jus que j’étalais en douceur en pinçant ses tétons et en la traitant de belle salope. De son côté Jean Jacques lui disait qu’elle avait une chatte faite pour les grosses bites et qu’elle était bonne à baiser. Après de longues minutes de ce traitement je vis ma belle, les yeux révulsés, se tortiller en couinant montrant qu’elle était prête à jouir sur sa queue. Il accéléra les coups de bite pour lui donner l’assaut final et cracher son jus bien au fond de la moule en feu déclenchant chez elle un orgasme intense.
Suite à cette baise de folie elle n’avait qu’une envie, dormir. Après un passage rapide dans la salle de bains elle s’endormit dans mes bras me laissant savourer les images que j’avais dans les yeux de cette soirée magique. Le lendemain matin nous nous retrouvâmes pour le petit déjeuner, elle était rayonnante et très contente de la soirée. Jean Jacques en profita pour lui dire qu’il était à sa disposition pour un nouveau massage quand elle le souhaiterait. Puis elle fila prendre une douche nous laissant entre hommes. Je félicitai notre ami pour sa prestation tant pour le massage que pour pour la baise. De son côté il me remercia de l’avoir choisi pour cette première fois à trois en me disant que j’avais de la chance d’avoir une telle baiseuse dans mon lit. Il m’avoua qu’il n’avait pas eu l’occasion depuis longtemps de baiser une petite salope aussi gourmande et qu’il espérait fortement que nous recommencions prochainement.
C’est sans peine que j’ai convaincu ma belle de renouveler, rendez vous pris pour fin septembre.
Cela sera peut être l’occasion d’une autre histoire.
Bien sûr tout ce récit est authentique.
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