Première fois au boulot
Récit érotique écrit par Jioha [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2004 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Première fois au boulot
Nous sommes vendredi début de soirée.Je suis encore au bureau, car il
faut que je peaufine un contrat que je
dois signer avec un client pour lundi à la première heure.
Ce contrat m'est très important car j'ai mis du temps pour parvenir à
mes fins.
En effet, je suis responsable d'une petite boutique de vêtements sur
Paris et je m'apprête, si tout ce passe
comme convenu, à faire signer un grossiste qui pourrait me faire des
prix qui me reviendraient 3 fois moins cher
qu'à l'accoutumée.J'ai la chance d'avoir quelques connaissances qui
m'ont misent sur ce coup.
Ce contrat, s'il n'est pas vital, me permettrait tout de même
d'envisager l'avenir avec beaucoup plus de
sérénité.
Malheureusement, je ne suis pas tout seul sur le coup.Une autre boite
serait aussi sur les rangs.C'est pour cette
raison que je suis encore au boulot à 21heures.
Mais cette fois, c'est bon, je viens de boucler la rédaction de ces
fichus contrats.Je n'ai plus qu'à attendre lundi,
pour lui faire parvenir a son bureau à la première heure.
Du coup, je rentre chez moi un peu plus léger, même si ce n'est pas
encore çà, tout à fait.Le stress de cette
semaine est encore bien présent.
Sur le chemin du retour, qui dure à peu près 30 minutes, je décompresse
comme je peux en écoutant de la
musique.Celle -ci me fait l'effet escompté, du moins, me faisait, car
10 minutes à peine après être parti, mon
portable sonne.C'est le numéro de l'un de mes collègues, qui lui aussi
a eu une rude semaine, et cette appel ne me
laisse rien présager de bon.Quand il m'appel à cette heure-ci c'est
qu'il y a un problème.
Si cela n'avait été que çà!
Il m'apprend, je ne sais comment, que mon conccurrent a été plus rapide
que moi pour rédiger ses contrats et
qu'il les a déjà fait envoyés dans l'après-midi.
Catastrophe!Cela signifie qu'ils seront déja sur son bureau quand les
miens arriveront.Et dans ce genre
d'affaire, c'est le plus rapide qui l'emporte.
Alors que faire?
A ce moment là, je ne saurais pas l'expliquer, mais la seule idée qui
me soit venue en tête a été de couper l'herbe
sous les pieds de la conccurrence plus rapide, en proposant à mon futur
client de diner ensemble.
Sachant qu'il n'était pas de la région et qu'il était à Paris
uniquement pour signer les contrats, il ne devait pas
faire grand chose ce week-end.Alors je l'ai appelé.
Nous entretenons tous les deux de bons rapports.C'est quelqu'un qui
est, malgré son poste enviable dans sa
société, très ouvert et à l'écoute.Le courant est très vite passé entre
nous.Ce qui a surement fait que je puisse
rivaliser sur ce dossier avec l'autre boite, plus importante que la
mienne.
Au départ il fut surpris de ma proposition, mais contournant habilement
le fond de mon appel, je sus le faire
accepté.
Rendez-vous était pris pour le lendemain soir à la maison.
J'ai eu beaucoup de mal à dormir cette nuit là, pensant sans cesse a ce
que j'allais lui dire, comment j'allais lui
présenter la chose et surtout, allait-il bien prendre le fait que je
l'invitait juste pour lui faire signer mes
contrats?
Je me suis endormi en pensant à tout çà, espérant que tout se passe
pour le mieux.
Le lendemain, dès le réveil, j'étais tout excité par le stress de
cette soirée.Ma femme, que j'avais informé la
veille au soir, était mise à contribution.En effet c'est elle qui
allait s'occuper de tout ce qui serait
extra-contractuel.Ayant elle-même vécut par mon biais l'importance de
cette affaire, elle savait qu'il fallait que
tout soit le plus agréable possible pour lui ce soir.
Le soir venu enfin, après une très longue journée, notre invité se
présenta à notre domicile.Ma femme et moi, si
nous n'étions pas sur notre 31, étions habillés comme pour les grands
soirs, tandis que lui, contrairement à
d'habitude, etait plus décontracté:"C'est le week-end" me dit-il.
La soirée se déroula dans une ambiance exquise.Plus le temps passait,
plus je me déridais un peu, oubliant de
temps en temps ces fichus contrats.Nous en étions au fromage quand il
commenca a se livrer un peu.Prit dans la
bonne ambiance il nous parla un peu de lui, de sa vie de couple, de son
travail, etc.C'était un homme d'une bonne
quarantaine d'année, sportif car bien bati, et qui devait surement
plaire aux femmes autant qu'il était
intraitable en affaire.Gentil certes, mais intraitable.C'est à ce
moment là que j'ai fais une gaffe.Nous venions de
finir le dessert et Emma commencait à débarasser la table, quand j'ai
mis l'histoire des contrats sur la table.A son
regard, j'ai tout de suite compris que j'avais fait une boulette.Il
n'avait semble-t'il pas trop apprécié que je brise
la chaine de la convivialité avec mes histoires.
Malgré tout, nous avons parlé boulot.Je lui fis mon speach, que j'avais
préparé de puis l'après-midi, qu'il écouta
d'une oreille distraite.Cette attitude me laissait pantois.Je ne savais
pas comment le prendre.Je me suis levé
pour allé en cuisine, prétextant d'allé aider Emma, mais surtout pour
lui laisser le temps de bien réfléchir à ce
que j'avais dit.
Dans la cuisine, je dis a ma femme que je pensais avoir amené le sujet
trop tôt et que cela l'avait énervé.Elle me
rassura en disant que non et que de toutes façon c'était fait, me
rappelant l'importance de cette signature.
Rassuré, je revint m'asseoir a ses côtés.Mais cette assurance
s'effondra quand il me dit qu'il avait été très déçu
que je gache ce repas avec mes histoires et que sur-ce, il allait
rentrer et voir tout cela lundi.
La convivialité avec fait place a la froideur professionnelle.
Conscient de ma bourde je le suppliais de rester prendre un café, lui
promettant que j'allais tout faire pour me
rattraper.
D'Hôte dominant et sur de lui qui reçevait, j'étais passé à dominé prêt
à tout pour se racheter.
Il accepta ma proposition, ajoutant, avec un petit sourire en coin,
qu'il y avait peut-etre une solution pour ne
pas perdre les contrats.
A peine avait-il fini sa phrase, que j'avais déja deviné ce qu'il
voulait dire par là.
Et oui, j'avais très bien remarqué lors du repas, qu'il lorgnait , en
se cachant apeine, sur les cuisses de ma femme
lorsqu'elle se levait pour nous servir.J'avais très bien compris
qu'elle ne laissait pas indifférent et surtout, lui
aussi avait très bien vu que j'avais compris.D'où cette proposition
indécente.
Ma femme et moi avions déja fait l'amour a plusieurs, mais elle était
tjours consentante et c'est elle en générale
qui choisissait les partenaires.Allait-elle accepter si je lui
soumettait cette hypothèse?
En me levant pour allé la voir en cuisine, mon client, Paul de son
prénom, me lança un regard qui me signifiait qu'il
fallait mieux pour moi qu'elle accepte.
Dans la cuisine, je lui exposait les faits.Elle fut a moitié surprise
car elle aussi avait remarqué les oeillades
poussées de notre invités.Elle n'était pas franchement emballée alors
je lui ai rappelé combien cette signature
m'était importante et qu'elle nous aiderait a améliorer notre train de
vie.Je la poussais a faire un effort, pour
moi.Elle accepta sans dire un mot, juste en hochant la tête.
La remerciant, je lui dis que nous prendrions des café et revint dans
le salon.
Paul s'était installé dans le sofa.D'un regard, il me questionna pour
savoir si c'était bon.J'acquiessa également de
la tête ce qui lui fit esquisser un sourire de satisfaction.
Emma amena les cafés 2 minutes après.Toujours sans un mot, elle servit
les tasses et les plaça devant nous.
D'un air autoritaire, il nous dit de nous détendre.Elle le regarda
assez froidement.
Et c'est là que tout a commencé.
Toujours d'un ton autoritaire, car il était claire que c'était lui qui
dominait les débats maintenant.Il lui ordonna
de se deshabiller tout doucement devant nous.Elle me regarda comme pour
me demander si vraiment j'étais sur
de vouloir faire çà.Chose que je lui confirmais d'un oeil
insistant.Alors ayant ma bénédiction, ma femme, qui est
déja peu farouche en temps normale quand elle est excitée, se lacha
totalement et accepta de lui obéir.
Elle ota délicatement son chemisier, bouton après bouton, laissant
apparaitre son soutien-gorge en lycra blanc
et le jetta en notre direction.Elle enleva également jupe en ondulant
son corps, d'une façon qui, la connaissant
bien, était faite pour aguicher celui qui l'observerait.
Son string, aussi en lycra blanc, contrastait avec la noirceur de ses
bas.Elle avait même fait attention a
conserver ses talons, car elle savait que c'est quelque chose que
j'adore.
De la façon dont elle bougeait, je savais qu'elle s'était totalement
prise au jeu et que plus rien ne l'arreterait
dorénavent.
Paul lui somma de monter sur la petite table de notre salon et de
s'agenouiller dessus.Elle s'exécuta.Se tournant
vers moi, il me dit d' aller derrière elle et de la tripoter.Ce que je
fit tout de suite, la situation commencant à me
plaire vraiment.Et pendant que je m'affairais à la doigter et la
"cunnilinguer", il l'obligea à se mettre face à lui,
car il voulait voir chacune de ses expressions.
Elle gémissait sous mes attouchements.
"Est-ce que tu aime çà?" lui demanda-t'il.
"ouiii" réponda-t'elle dans un râle de plaisir.
"tu veux vraiment aider ton mari à avoir ces contrats?"
" Ouiii".
"Vraiment?Alors il va falloir être très très gentille ce soir".
Et elle lui rétorqua de façon plus que décidée:"Alors tu peux déja les
signer!".
Venant d'elle, cela voulait tout dire.
Toujours à quatre pattes, elle lui ouvrit la braguette et en sortit son
sexe déja en érection.Il avait un beau
sexe, bien droit et de bonne taille.
Il se leva, lui attrapa la tête et lui remplit la bouche avec.
"allez, suces-moi salope.Montre à ton mari comment tu l'aimes."
Elle lui dévorait littérallement la queue, alternant des petites
suçions et des aspirations jusqu'à la garde.
"Baises la" me dit-il, "baises la comme tu ne l'a jamais baisé.Sois
obéissant et je te récompenserais" insista-t'il.
Je m'exécutais sans broncher.Il me parlait comme si j'étais son esclave
devant ma femme et je ne lui disais
rien.Au contraire, cela m'excitait.Alors je me suis aussi levé et j'ai
commencé à baiser Emma.
"Plus fort que ça.Plus fort que ça" criait-il.
Je la tamponnais à fond.Elle gémissait mais il l'empèchait de crier
avec sa bite dans sa bouche.
Mais plus je me donnais, moins il semblait content.
"Il faut vraiment tout faire tout seul ici, alors.Tourne toi
salope.C'est moi qui vais te tringler."
Il l'empoigna par les hanches et la retourna brutalement.Elle était sur
le dos et sa tête dépassait de la table.Elle
tombait un peu en arrière.
"toi, me dit-il, mets toi au dessus d'elle.Présente lui tes couilles
pour qu'elle te les sucent aussi".
Elle me les goba en entier.C'etait extrêmement bon.Elle me caressait
les fesses de ses mains, qu'elle balladait sur
mon corps.
Elle alla même jusqu'à me titiller l'anus, sachant que
j'appréciait.Voyant çà, il n'en fallu pas plus a Paul pour lui
ordonner de me lecher.Elle ne me l'avait jamais fait.elle avait deja
enfoncé un doigt ou deux dans ma rondelle
mais pas plus.
C'étais divin.
"dis donc, tu as l'air d'apprécier ça toi aussi" me lança-t'il tout en
besognant ardemment ma femme.
"Alors je suis tombé sur un couple de salope?Mais il fallait me le dire
tout de suite.Agenouille toi, m'
ordonna-t'il.Agenouille toi devant moi."
Je n'en pouvais plus.J'étais complètement dominé.J'avais très bien
deviné dans ses yeux ce qu'il allait me
demander.Mais je m'en fichais.J'etais prêt à tout pour avoir ces
contrats.Et comme j'avais deja penser faire
l'amour un jour avec un homme, l'occasion etait trop bonne.
Alors je l'ai pris en bouche de moi même et je l'ai sucé.
Il n'avait pas l'air plus étonné que cela.Il devait avoir l'habitude de
ce genres d'expériences.
Ma femme , elle, était sciée.Son mari était en train de sucer une bite
devant elle.Et il y mettait du coeur.
Mais elle n'eut pas vraiment le temps d'en prendre conscience.
"Continus à lui lécher le cul, salope.Mets lui tes doigts dans le trou
de balle.Je veux qu'il soit bien dilater quand je
vais l'enculer.
Parce qu'il rêve de ça.Hein que tu rêves de ça petite pute" me dit-il.
Je me cambrais encore plus pour montrer que j'étais d'accord.
Pendant ce temps ma femme m'enfoncait encore plus profondemment ses
doigts.
"Alors comme ça t'aimes aussi les hommes, salaud?"
Son etonnement etait passé et j'ai compris a cette phrase que cela ne
lui déplaisait pas forçément.Alors elle me
pénétra de plus belle, pendant que je m'occupais à bien sucer cette
queue que j'avais en bouche.J'avais
l'impression d'avoir fait ça toute ma vie.je prenais du plaisir à le
faire et je semblais bien le faire.
"Allez, tournes toi mon coco, je vais te montrer comment on baise un
cul."
Je fis ce qu'il me dit.J'étais à genoux par terre, le torse sur le
sofa, bien ouvert, soumis et je l'ai senti présenter
son gland chaud contre mon oeillet que ma femme avait bien préparé, car
il rentra sans trop de peine.
Elle, cette salope, en profita pour se glisser devant moi pour que je
lui lèche la chatte.
J'étais pris en sandwich, comme j'aimais à le faire subir à Emma
lorsque nous nous partagions.
"Regarde comme je l'encule bien ton pédé de mari.Ca te plait ça salope,
pas vrai?"
"Oui!Vas-y, baise le fort.Plus fort que moi.Défonce lui son ptit cul"
lui réponda-t'elle.
A l'entendre dire ca, je m'excitais encore plus.
" Tu as entendu petite pute, me dit-il, elle veut que je te cartonne le
cul.C'est vrai que tu as un beau cul.Il était
tout frais.Maintenant je vais en faire mon territoire!".
Et il décupla ses coups de butoir.
J'étais à deux doigts de jouir quand il se retira de mon anus, se
compressant la verge à la base.
"A genoux, tous les deux.Vous allez boire mon foutre petites salopes!"
Et il cracha sa semence dans nos bouches grandes ouvertes, pendant que
ma femme du bout des doits me titillait
l'anus.
Le visage plein de sperme, j'ai embrassé Emma, et nous lui avons
nettoyé le sexe avec nos langues.
Depuis ce jour, ma vie sexuelle et professionnelle a un peu évoluée.
Professionnellement, j'ai eu les contrats, ce qui m'a permis de doubler
mon chiffre d'affaire cette année et donc
de voir plus grand.
Et Sexuellement, je réalise des fantasmes que je ne me connaissais pas,
tout comme ma femme.Désormais, quand
nous faisons l'amour en groupe, il n'y a plus qu'elle qui se fait
ramoner le derrière, quand ce n'est pas moi qui
encule d'autres étalons et même lorsque nous sommes seuls, elle s'est
découvert le plaisir de sodomiser son petit
amour a l'aide d'un gode-ceinture.
Merci Mr Paul.Je vous rend la pareil quand vous le désirez.
faut que je peaufine un contrat que je
dois signer avec un client pour lundi à la première heure.
Ce contrat m'est très important car j'ai mis du temps pour parvenir à
mes fins.
En effet, je suis responsable d'une petite boutique de vêtements sur
Paris et je m'apprête, si tout ce passe
comme convenu, à faire signer un grossiste qui pourrait me faire des
prix qui me reviendraient 3 fois moins cher
qu'à l'accoutumée.J'ai la chance d'avoir quelques connaissances qui
m'ont misent sur ce coup.
Ce contrat, s'il n'est pas vital, me permettrait tout de même
d'envisager l'avenir avec beaucoup plus de
sérénité.
Malheureusement, je ne suis pas tout seul sur le coup.Une autre boite
serait aussi sur les rangs.C'est pour cette
raison que je suis encore au boulot à 21heures.
Mais cette fois, c'est bon, je viens de boucler la rédaction de ces
fichus contrats.Je n'ai plus qu'à attendre lundi,
pour lui faire parvenir a son bureau à la première heure.
Du coup, je rentre chez moi un peu plus léger, même si ce n'est pas
encore çà, tout à fait.Le stress de cette
semaine est encore bien présent.
Sur le chemin du retour, qui dure à peu près 30 minutes, je décompresse
comme je peux en écoutant de la
musique.Celle -ci me fait l'effet escompté, du moins, me faisait, car
10 minutes à peine après être parti, mon
portable sonne.C'est le numéro de l'un de mes collègues, qui lui aussi
a eu une rude semaine, et cette appel ne me
laisse rien présager de bon.Quand il m'appel à cette heure-ci c'est
qu'il y a un problème.
Si cela n'avait été que çà!
Il m'apprend, je ne sais comment, que mon conccurrent a été plus rapide
que moi pour rédiger ses contrats et
qu'il les a déjà fait envoyés dans l'après-midi.
Catastrophe!Cela signifie qu'ils seront déja sur son bureau quand les
miens arriveront.Et dans ce genre
d'affaire, c'est le plus rapide qui l'emporte.
Alors que faire?
A ce moment là, je ne saurais pas l'expliquer, mais la seule idée qui
me soit venue en tête a été de couper l'herbe
sous les pieds de la conccurrence plus rapide, en proposant à mon futur
client de diner ensemble.
Sachant qu'il n'était pas de la région et qu'il était à Paris
uniquement pour signer les contrats, il ne devait pas
faire grand chose ce week-end.Alors je l'ai appelé.
Nous entretenons tous les deux de bons rapports.C'est quelqu'un qui
est, malgré son poste enviable dans sa
société, très ouvert et à l'écoute.Le courant est très vite passé entre
nous.Ce qui a surement fait que je puisse
rivaliser sur ce dossier avec l'autre boite, plus importante que la
mienne.
Au départ il fut surpris de ma proposition, mais contournant habilement
le fond de mon appel, je sus le faire
accepté.
Rendez-vous était pris pour le lendemain soir à la maison.
J'ai eu beaucoup de mal à dormir cette nuit là, pensant sans cesse a ce
que j'allais lui dire, comment j'allais lui
présenter la chose et surtout, allait-il bien prendre le fait que je
l'invitait juste pour lui faire signer mes
contrats?
Je me suis endormi en pensant à tout çà, espérant que tout se passe
pour le mieux.
Le lendemain, dès le réveil, j'étais tout excité par le stress de
cette soirée.Ma femme, que j'avais informé la
veille au soir, était mise à contribution.En effet c'est elle qui
allait s'occuper de tout ce qui serait
extra-contractuel.Ayant elle-même vécut par mon biais l'importance de
cette affaire, elle savait qu'il fallait que
tout soit le plus agréable possible pour lui ce soir.
Le soir venu enfin, après une très longue journée, notre invité se
présenta à notre domicile.Ma femme et moi, si
nous n'étions pas sur notre 31, étions habillés comme pour les grands
soirs, tandis que lui, contrairement à
d'habitude, etait plus décontracté:"C'est le week-end" me dit-il.
La soirée se déroula dans une ambiance exquise.Plus le temps passait,
plus je me déridais un peu, oubliant de
temps en temps ces fichus contrats.Nous en étions au fromage quand il
commenca a se livrer un peu.Prit dans la
bonne ambiance il nous parla un peu de lui, de sa vie de couple, de son
travail, etc.C'était un homme d'une bonne
quarantaine d'année, sportif car bien bati, et qui devait surement
plaire aux femmes autant qu'il était
intraitable en affaire.Gentil certes, mais intraitable.C'est à ce
moment là que j'ai fais une gaffe.Nous venions de
finir le dessert et Emma commencait à débarasser la table, quand j'ai
mis l'histoire des contrats sur la table.A son
regard, j'ai tout de suite compris que j'avais fait une boulette.Il
n'avait semble-t'il pas trop apprécié que je brise
la chaine de la convivialité avec mes histoires.
Malgré tout, nous avons parlé boulot.Je lui fis mon speach, que j'avais
préparé de puis l'après-midi, qu'il écouta
d'une oreille distraite.Cette attitude me laissait pantois.Je ne savais
pas comment le prendre.Je me suis levé
pour allé en cuisine, prétextant d'allé aider Emma, mais surtout pour
lui laisser le temps de bien réfléchir à ce
que j'avais dit.
Dans la cuisine, je dis a ma femme que je pensais avoir amené le sujet
trop tôt et que cela l'avait énervé.Elle me
rassura en disant que non et que de toutes façon c'était fait, me
rappelant l'importance de cette signature.
Rassuré, je revint m'asseoir a ses côtés.Mais cette assurance
s'effondra quand il me dit qu'il avait été très déçu
que je gache ce repas avec mes histoires et que sur-ce, il allait
rentrer et voir tout cela lundi.
La convivialité avec fait place a la froideur professionnelle.
Conscient de ma bourde je le suppliais de rester prendre un café, lui
promettant que j'allais tout faire pour me
rattraper.
D'Hôte dominant et sur de lui qui reçevait, j'étais passé à dominé prêt
à tout pour se racheter.
Il accepta ma proposition, ajoutant, avec un petit sourire en coin,
qu'il y avait peut-etre une solution pour ne
pas perdre les contrats.
A peine avait-il fini sa phrase, que j'avais déja deviné ce qu'il
voulait dire par là.
Et oui, j'avais très bien remarqué lors du repas, qu'il lorgnait , en
se cachant apeine, sur les cuisses de ma femme
lorsqu'elle se levait pour nous servir.J'avais très bien compris
qu'elle ne laissait pas indifférent et surtout, lui
aussi avait très bien vu que j'avais compris.D'où cette proposition
indécente.
Ma femme et moi avions déja fait l'amour a plusieurs, mais elle était
tjours consentante et c'est elle en générale
qui choisissait les partenaires.Allait-elle accepter si je lui
soumettait cette hypothèse?
En me levant pour allé la voir en cuisine, mon client, Paul de son
prénom, me lança un regard qui me signifiait qu'il
fallait mieux pour moi qu'elle accepte.
Dans la cuisine, je lui exposait les faits.Elle fut a moitié surprise
car elle aussi avait remarqué les oeillades
poussées de notre invités.Elle n'était pas franchement emballée alors
je lui ai rappelé combien cette signature
m'était importante et qu'elle nous aiderait a améliorer notre train de
vie.Je la poussais a faire un effort, pour
moi.Elle accepta sans dire un mot, juste en hochant la tête.
La remerciant, je lui dis que nous prendrions des café et revint dans
le salon.
Paul s'était installé dans le sofa.D'un regard, il me questionna pour
savoir si c'était bon.J'acquiessa également de
la tête ce qui lui fit esquisser un sourire de satisfaction.
Emma amena les cafés 2 minutes après.Toujours sans un mot, elle servit
les tasses et les plaça devant nous.
D'un air autoritaire, il nous dit de nous détendre.Elle le regarda
assez froidement.
Et c'est là que tout a commencé.
Toujours d'un ton autoritaire, car il était claire que c'était lui qui
dominait les débats maintenant.Il lui ordonna
de se deshabiller tout doucement devant nous.Elle me regarda comme pour
me demander si vraiment j'étais sur
de vouloir faire çà.Chose que je lui confirmais d'un oeil
insistant.Alors ayant ma bénédiction, ma femme, qui est
déja peu farouche en temps normale quand elle est excitée, se lacha
totalement et accepta de lui obéir.
Elle ota délicatement son chemisier, bouton après bouton, laissant
apparaitre son soutien-gorge en lycra blanc
et le jetta en notre direction.Elle enleva également jupe en ondulant
son corps, d'une façon qui, la connaissant
bien, était faite pour aguicher celui qui l'observerait.
Son string, aussi en lycra blanc, contrastait avec la noirceur de ses
bas.Elle avait même fait attention a
conserver ses talons, car elle savait que c'est quelque chose que
j'adore.
De la façon dont elle bougeait, je savais qu'elle s'était totalement
prise au jeu et que plus rien ne l'arreterait
dorénavent.
Paul lui somma de monter sur la petite table de notre salon et de
s'agenouiller dessus.Elle s'exécuta.Se tournant
vers moi, il me dit d' aller derrière elle et de la tripoter.Ce que je
fit tout de suite, la situation commencant à me
plaire vraiment.Et pendant que je m'affairais à la doigter et la
"cunnilinguer", il l'obligea à se mettre face à lui,
car il voulait voir chacune de ses expressions.
Elle gémissait sous mes attouchements.
"Est-ce que tu aime çà?" lui demanda-t'il.
"ouiii" réponda-t'elle dans un râle de plaisir.
"tu veux vraiment aider ton mari à avoir ces contrats?"
" Ouiii".
"Vraiment?Alors il va falloir être très très gentille ce soir".
Et elle lui rétorqua de façon plus que décidée:"Alors tu peux déja les
signer!".
Venant d'elle, cela voulait tout dire.
Toujours à quatre pattes, elle lui ouvrit la braguette et en sortit son
sexe déja en érection.Il avait un beau
sexe, bien droit et de bonne taille.
Il se leva, lui attrapa la tête et lui remplit la bouche avec.
"allez, suces-moi salope.Montre à ton mari comment tu l'aimes."
Elle lui dévorait littérallement la queue, alternant des petites
suçions et des aspirations jusqu'à la garde.
"Baises la" me dit-il, "baises la comme tu ne l'a jamais baisé.Sois
obéissant et je te récompenserais" insista-t'il.
Je m'exécutais sans broncher.Il me parlait comme si j'étais son esclave
devant ma femme et je ne lui disais
rien.Au contraire, cela m'excitait.Alors je me suis aussi levé et j'ai
commencé à baiser Emma.
"Plus fort que ça.Plus fort que ça" criait-il.
Je la tamponnais à fond.Elle gémissait mais il l'empèchait de crier
avec sa bite dans sa bouche.
Mais plus je me donnais, moins il semblait content.
"Il faut vraiment tout faire tout seul ici, alors.Tourne toi
salope.C'est moi qui vais te tringler."
Il l'empoigna par les hanches et la retourna brutalement.Elle était sur
le dos et sa tête dépassait de la table.Elle
tombait un peu en arrière.
"toi, me dit-il, mets toi au dessus d'elle.Présente lui tes couilles
pour qu'elle te les sucent aussi".
Elle me les goba en entier.C'etait extrêmement bon.Elle me caressait
les fesses de ses mains, qu'elle balladait sur
mon corps.
Elle alla même jusqu'à me titiller l'anus, sachant que
j'appréciait.Voyant çà, il n'en fallu pas plus a Paul pour lui
ordonner de me lecher.Elle ne me l'avait jamais fait.elle avait deja
enfoncé un doigt ou deux dans ma rondelle
mais pas plus.
C'étais divin.
"dis donc, tu as l'air d'apprécier ça toi aussi" me lança-t'il tout en
besognant ardemment ma femme.
"Alors je suis tombé sur un couple de salope?Mais il fallait me le dire
tout de suite.Agenouille toi, m'
ordonna-t'il.Agenouille toi devant moi."
Je n'en pouvais plus.J'étais complètement dominé.J'avais très bien
deviné dans ses yeux ce qu'il allait me
demander.Mais je m'en fichais.J'etais prêt à tout pour avoir ces
contrats.Et comme j'avais deja penser faire
l'amour un jour avec un homme, l'occasion etait trop bonne.
Alors je l'ai pris en bouche de moi même et je l'ai sucé.
Il n'avait pas l'air plus étonné que cela.Il devait avoir l'habitude de
ce genres d'expériences.
Ma femme , elle, était sciée.Son mari était en train de sucer une bite
devant elle.Et il y mettait du coeur.
Mais elle n'eut pas vraiment le temps d'en prendre conscience.
"Continus à lui lécher le cul, salope.Mets lui tes doigts dans le trou
de balle.Je veux qu'il soit bien dilater quand je
vais l'enculer.
Parce qu'il rêve de ça.Hein que tu rêves de ça petite pute" me dit-il.
Je me cambrais encore plus pour montrer que j'étais d'accord.
Pendant ce temps ma femme m'enfoncait encore plus profondemment ses
doigts.
"Alors comme ça t'aimes aussi les hommes, salaud?"
Son etonnement etait passé et j'ai compris a cette phrase que cela ne
lui déplaisait pas forçément.Alors elle me
pénétra de plus belle, pendant que je m'occupais à bien sucer cette
queue que j'avais en bouche.J'avais
l'impression d'avoir fait ça toute ma vie.je prenais du plaisir à le
faire et je semblais bien le faire.
"Allez, tournes toi mon coco, je vais te montrer comment on baise un
cul."
Je fis ce qu'il me dit.J'étais à genoux par terre, le torse sur le
sofa, bien ouvert, soumis et je l'ai senti présenter
son gland chaud contre mon oeillet que ma femme avait bien préparé, car
il rentra sans trop de peine.
Elle, cette salope, en profita pour se glisser devant moi pour que je
lui lèche la chatte.
J'étais pris en sandwich, comme j'aimais à le faire subir à Emma
lorsque nous nous partagions.
"Regarde comme je l'encule bien ton pédé de mari.Ca te plait ça salope,
pas vrai?"
"Oui!Vas-y, baise le fort.Plus fort que moi.Défonce lui son ptit cul"
lui réponda-t'elle.
A l'entendre dire ca, je m'excitais encore plus.
" Tu as entendu petite pute, me dit-il, elle veut que je te cartonne le
cul.C'est vrai que tu as un beau cul.Il était
tout frais.Maintenant je vais en faire mon territoire!".
Et il décupla ses coups de butoir.
J'étais à deux doigts de jouir quand il se retira de mon anus, se
compressant la verge à la base.
"A genoux, tous les deux.Vous allez boire mon foutre petites salopes!"
Et il cracha sa semence dans nos bouches grandes ouvertes, pendant que
ma femme du bout des doits me titillait
l'anus.
Le visage plein de sperme, j'ai embrassé Emma, et nous lui avons
nettoyé le sexe avec nos langues.
Depuis ce jour, ma vie sexuelle et professionnelle a un peu évoluée.
Professionnellement, j'ai eu les contrats, ce qui m'a permis de doubler
mon chiffre d'affaire cette année et donc
de voir plus grand.
Et Sexuellement, je réalise des fantasmes que je ne me connaissais pas,
tout comme ma femme.Désormais, quand
nous faisons l'amour en groupe, il n'y a plus qu'elle qui se fait
ramoner le derrière, quand ce n'est pas moi qui
encule d'autres étalons et même lorsque nous sommes seuls, elle s'est
découvert le plaisir de sodomiser son petit
amour a l'aide d'un gode-ceinture.
Merci Mr Paul.Je vous rend la pareil quand vous le désirez.
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