Première fois avec un homme? - histoire érotique

Alors voilà : j'ai un problème, j'ai des trous de mémoire. C'est des heures entières, voire carrément des demi-journées, que j'oublie complètement : impossible de me souvenir de quoi que ce soit, elles disparaissent de ma mémoire entièrement et définitivement. Ça arrive comme ça, sans raison depuis tout petit : et paf, 3 heures de ma vie rayées de mon histoire.

C'est ce qui vient de m'arriver. Je suis au lit. Je somnolais, et je me réveille. La fenêtre est entrouverte, dehors il fait beau, on entend la rumeur tranquille de la ville. Je suis juste couché sous le drap blanc : il n'y a pas de couverture, il fait assez chaud pour ne pas en avoir besoin.

Mais ce n'est pas mon lit : je ne sais pas où je suis. Je suis nu et il y a quelqu'un couché à côté de moi : c'est un homme. Je suis étonné : je ne suis pas homo, d'habitude (mais comme dit, je ne me souviens pas toujours de tout…). Sous le drap, je glisse doucement mon bras comme par inadvertance, je touche le type : évidemment, il est nu aussi.

Du coup, il se tourne vers moi, sur le côté, le bras replié sous la tête, et il me regarde en souriant. Il est plus âgé que moi : il doit avoir la quarantaine, peut-être même 50. Je ne suis pas homo, mais bon, OK, ça pourrait être mon type d'hommes : cheveux courts poivre et sel, un peu dégarni aux tempes, visage buriné, mâchoire forte, bras musclé, et, de ce que je peux en voir, beau torse couvert de poils courts.

Qu'est-ce qu'on a fait ? Je ne sais pas. Vu son regard, on a dû faire quelque chose qui l'a laissé satisfait. M'a-t-il enculé ? Je me concentre sur mon anus : j'ai effectivement l'impression de ressentir une… comment dire… sorte de légère gêne, une sollicitation dans ma chair à ce niveau… mais je me fais peut-être des idées. Je jette un coup d'œil autour, pour essayer de voir une boîte de capotes, ou un tube de gel ou quelque chose : non, je ne vois rien.

Je soulève le drap pour le regarder. Il est vraiment pas mal : ventre presque impeccablement plat, couvert aussi de petits poils courts qui se font plus drus au milieu et dessinent un joli chemin de poils qui descend de son nombril à son pubis bien velu. Il a les jambes allongées l'une sur l'autre. Ses bourse s'étalent sur sa cuisse, et la petite bite repose tranquillement dessus, circoncise, pas très longue mais très joliment formée. Elle me présente ainsi son gland rose de façon incroyablement émouvante.

Mes lèvres se sentent attirées par ce beau sexe si serein, ce gland si joliment rond. Mais je me retiens : je ne sais pas qui est cet homme, pourquoi on est là… Je relève les yeux : il m'observe en souriant amicalement.

– Il faut que j'aille pisser… dis-je bêtement car la situation m'est embarrassante.
– C'est là, dit-il en m'indiquant une porte entrouverte, toujours avec un tendre sourire.

J'y vais : je me retrouve dans une salle de bains. Je n'ai pas du tout besoin de pisser. Je ferme la porte quand même, et je me regarde dans le miroir, puis je regarde autour de moi : toujours aucun indice intéressant. Je tire la chasse d'eau et je ressors. Il est maintenant debout, appuyé contre un mur, les bras croisé, et il me contemple. Je me dirige vers mes vêtements que j'ai repérés sur un dossier de chaise, mais je vois alors qu'il bande très solidement en me regardant.

Il sourit toujours. Sa bite n'est pas très grande : pas plus de 15 ou 16 cm, je pense. Mais elle se dresse si fermement vers moi, et sa forme est si exactement celle d'une bite parfaite, que cette fois-ci, je ne peux plus résister. Je m'approche le cœur battant et je me mets doucement à genoux devant lui. Il se redresse, écarte légèrement les jambes, et pose ses mains sur mes cheveux.

Je sens longuement ses poils dont la forte odeur de sueur me bouleverse. J'aime sentir leur frisottis me caresser le nez, les lèvres. J'en profite pour lécher aussi ses bourses duveteuses et cette partie si douce, entre les couilles et la cuisse. Son membre me frotte les joues.

Puis je prends son gland en bouche, le suce longuement avant de d'avaler sa bite entièrement. Je n'ai pas de mal à la faire entrer jusqu'au bout : à ses soupirs et ses caresses sur mes cheveux je sens qu'il adore cela. Je respire par le nez pour ne pas suffoquer avec ce gland au fond de ma bouche : je suis très à l'aise et le parfum de ses poils dans lesquels mon nez est de nouveau plongé m'enivre.

Il me saisit par les épaules, me relève, m'embrasse à pleine bouche tout en me repoussant vers le lit sur lequel il me fait monter à quatre pattes. Je garde mon cul dressé et cambré mais je pose les épaules et les bras sur le drap blanc et j'enfouis ma tête dans son oreiller, où je sens son odeur. J'entends qu'il met une capote, puis je sens du gel froid dans ma raie, et enfin, son gland qui appuie. Il reste un temps comme ça : la pression du gland fait chavirer mes sens, je respire longuement. Enfin, il me pénètre souplement. Sa bite glisse entièrement en moi, c'est fabuleux.