Première fois....suite. - histoire érotique

Je me suis ensuite relevé et nous avons fini de nous déshabiller. J’avais prévu de boire un coup afin de nous détendre avant de baiser. Je lui passe donc un peignoir et j’en enfile un également avant d’aller dans le salon boire ce coup qui va servir à nous remonter un peu. Si lui ne bande plus, il n’en est pas de même pour moi. Assis sur le canapé, ma bite pointe hors du peignoir. Je ne fais aucun effort pour cacher cette érection et Sylvain ne rate pas une miette de cette exhibition.
Il vient avec son verre s’asseoir à côté de moi et commence à me branler doucement.
-Garde la bien dure. Tu as commencé à me préparer le cul et j’ai bien envie de te sentir au fond de moi.
Je pensais qu’il aurait préféré commencer par me sucer, me prodiguer une fellation comme je venais de lui faire mais après tout….
-Je ne suis pas sur d’aimer le sperme et je ne voudrais pas qu’après t’avoir sucé, je ne me sente pas capable de recevoir ton foutre et de te laisser jouir en dehors de ma bouche.
-Mais il n’y a pas de soucis. Je ne prendrais pas de plaisir à t’obliger à faire ce que tu ne veux pas.
Tout en discutant, il avait lâché ma bite et je ne bandais plus vraiment. Et s’il ne voulais plus continuer maintenant qu’il avait joui ? La tension retombée, il n’avait peut-être plus envie. Cette première fois inachevée lui suffit sans doute pour comprendre qu’il n’aimais pas vraiment les queues ?
Mais non, sinon il ne m’aurait quand même pas dit qu’il avait envie que je l’encule ?
Soudainement sa bouche chaude et humide vint happer mon gland et commença à aspirer ma tige qui se remit doucement à durcir ! Si j’avais encore des doutes, je crois qu’ils n’ont plus lieu d’être ! Quelques coups de langues bien appuyés le long de ma queue finissent de lui redonner toute sa vigueur.
Je me levais et retirais mon peignoir et c’est nu, le sexe fièrement dressé, que je lui pris la main.
-Viens, on va sur le lit, c’est plus confortable.
-C’est vrai, tu as raison.
Il se lève à son tour, se met également nu et passe devant moi me montrant ainsi ses fesses. Je ne peux me retenir de les caresser et de le prendre par les hanches pour l’obliger à se coller contre moi. Mon sexe commence alors à glisser entre ces deux lobes et mon gland vint buter contre son œillet encore fermé.
-Mmmm, attend, prend ton temps, n’oublie pas que c’est la première fois ! Savoure ce moment et laisse moi l’apprécier également !
-Tu as raison et je vais faire en sorte que tu n’oublies pas cet instant.
Arrivés au bord du lit, il s’assied et recommence à me sucer brièvement et s’allonge sur le dos en relevant ses cuisses me laissant admirer ainsi son petit trou. Je ne résiste pas à l’envie de le lécher. Je me laisse tomber plus que je m’agenouille et maintenant ses deux jambes relevées sur mes épaule, je glisse ma tête entre ses cuisses et ma langue vient naturellement titiller son anus avant de s’y introduire.
-Ooohh ouiiii. c’est bon ! T’arrête pas !
Tout en continuant mes caresses buccales, une de mains commence à le branler. De l’autre main, je caresse ses fesses et la dirige vers son petit trou. Un doigt vient accompagner ma langue puis un deuxième et c’est enfin trois doigts qui le pénètrent en remplacement de ma langue.
Puis, je lui redressais les jambes et me mis debout. Mon gland pointait à l’entrée, élargie par mes doigts et lubrifiée par ma langue. Je poussais lentement afin de ne pas le faire souffrir mais visiblement il semblait y prendre du plaisir.
-Oui, vas-y, enfonce moi ta queue, je veux te sentir en moi !
Son visage était un mélange de désir, de crainte et de plaisir.
N’y tenant plus, une fois mon gland passé, je pousse et le pénètre complètement. Mes cuisses collent aux siennes relevées et son regard en dit long sur le plaisir qu’il éprouve ! Je commence alors à aller et venir dans son cul le faisant ainsi gémir.
-Va-s’y, va bien au fond, mmmm, c’est bon de te sentir en moi.
-Ohh ouiiiii. Je suis bien dans ton cul !!!!
Ainsi pendant quelques minutes je continue mes allers et retours dans son ventre en lui maintenant les jambes sur mes épaules.
Sylvain commençait à se branler et sa pine avait repris de la vigueur. La voir se dresser de nouveau et durcir sous ses caresses me procura des sensations qui m’amenèrent au bord de la jouissance. Une envie folle de le reprendre en bouche me fit bander encore plus alors que je pensais être au maximum ! Sylvain a du s’en rendre compte et voulant prolonger notre plaisir, il m’a repoussé et s’est relevé. J’en ai profité pour happer sa bite au passage et l’aspirer goulûment. Puis il s’est mis à genoux sur le lit et s’est penché me présentant ainsi ses fesses.
Viens prends moi ! Et ajoutant le geste à la parole, il écarta ses fesses de ses mains m’invitant ainsi à l’enculer de nouveau, ce que je fis sans me faire prier.
Je le saisis aux hanches et plaça mon sexe bien dur sur son trou encore dilaté. Je laissais couler un filet de salive sur ma bite et ainsi lubrifié je le pénétrais d’un coup. Mon ventre collé sur ses fesses, mes mains glissant sur son pubis afin de me saisir de sa bite je recommençais à l’enculer tout en le branlant.
Son cul venait maintenant cogner sur mes couilles. Il se cambrait tout en gémissant de plaisir.
-Vas-y, plus fort !!!
J’avais lâché sa queue et je l’empoignais fermement par les hanches le forçant ainsi à venir s’empaler le plus profondément possible sur ma bite. De temps en temps une claque sur ses fesses le faisait frémir.
-Ohh ouiii. Je vais jouir !!
-Moi aussi ! Je vais te remplir de foutre !!!!
Je ne sais pas combien de giclées de sperme chaud vinrent en lui mais je ne me souviens pas avoir déjà jouis autant !
Sylvain, quant à lui, s’était branlé dans le même temps et jouit également dans sa main, contractant ainsi ses sphincters autour de mon sexe qui dans un dernier soubresaut lui envoya une dernière giclée de foutre.
Allongé sur son dos, ma queue toujours plantée dans son cul je l’embrassais dans son cou avant de me glisser sur le dos à côté de lui. Il glissa un bras sur mon torse puis vint s’allonger à son tour sur moi. Nos queues respectives, gluante de nos jus, se frottaient l’une contre l’autre, contribuant ainsi à conserver une demi érection agréable. Nos bouches se trouvèrent et un long baiser fut échangé.
C’est un peu fatigué que nous avons pris le chemin de la douche et c’est un peu collé l’un contre l’autre que nous nous sommes mutuellement enduit de mousse maintenant de cette façon un peu de notre désir respectif.