Première pipe by night
Récit érotique écrit par Seitan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Première pipe by night
Je vais vous raconter ma première « petite » expérience gay. Cette histoire n’est pas romantique mais très excitante.
A 17 ans, j’avais couché pour la première fois avec une fille, c’est à ce moment que j’ai compris que j’étais gay, hé oui, pas de grand plaisir. Mais, j’ai ressentit beaucoup plus de satisfaction lorsque j’ai touché ma première bite raide. Pas celle de mon ami d’enfance gay, du même âge que moi, car quand on a fait « touche pipi » à 14-15 ans, c’était sans grand plaisir, seulement pour la découverte des sensations.
A 19 ans, je me sentais prêt à avoir une première expérience homosexuelle. Un vendredi soir, mon ami gay, (je l’appellerais D), me propose d’aller à Toulouse. Dans la ville où j’habite, il n’y avait pas d’établissement gay, que des lieux de drague, où, il n’y a pas de jeune ou si peu. Il était difficile pour moi de trouver quelqu’un, de plus, à l’époque j‘étais hyper coincé et très timide.
D, connaissait un copain plus âgé, gay lui aussi, qui avait le permis et une voiture. Poussé par la curiosité et une envie étrange j’accepte de les accompagner.
Donc, nous voilà partit pour Toulouse.
Arrivé là bas en début de soirée, pour commencer. Direction un lieu de drague. D, m’explique que c’est un parc où les mecs se retrouvent le soir pour baiser. Il faut dire qu’à l’époque, je n’avais jamais rien fait avec un mec et je ne connaissais rien au sexe entre hommes, ni aux habitudes et « coutumes » gay.
On entre dans ce parc sombre avec de grands arbres et un petit lac, et des tables de pique nique (plus pour niquer, me dit D). Il y a beaucoup d’hommes qui marchent un peu partout.
D, m’emmène vers une sorte de « grange ». Trois murs et un toit. Il y a des hommes, adossés aux murs qui on l’air d’attendre, d’autres en « couple » ou à trois se touchent et s’embrassent. Il y a même un petit groupe de cinq ou six mecs qui sont rassemblés en cercle.
Je suis nerveux, stressé, je me pose la question, qu’est-ce que je fais là ? D, essaie de me rassurer. Lui, je le trouve très à l’aise dans cet « enfer », je ne le connaissais pas comme ça.
Puis, tout s’accélère, il me prend par le bras et me traîne jusqu’au petit groupe, et me dit :
- regarde et régal toi !
Je me rapproche, plus poussé par mon ami que par ma volonté. Je regarde stupéfait et médusé par ce qui se passe. On n’y voit pas très bien, mais je distingue très bien les mecs en train de se branler les uns, les autres, il y en a même un qui est à genoux et qui suce deux mecs, en alternant une queue après l’autre. C’est excitant, je dois bien l’avouer, je sens ma bite qui durci rapidement, c’est la première fois que je vois un tel spectacle.
D’un coup, mon ami, toujours bien intentionné, me prend la main et me la pose sur une bite hyper raide. La sensation est terrible, c’est la première fois que je touche une autre que la mienne. De plus, elle est exagérément grosse et très dure, avec un énorme gland que j’aperçois tout rouge. Je la prends en main, poussée par D et je la masturbe vivement. Cela me rend dingue d’excitation. Je sens des mains me caresser les fesses et rechercher mon sexe sous mon pantalon. Très vite, la peur me prend au ventre. Je lâche cette queue et m’en vais rejoindre notre conducteur, un peu plus loin, qui lui ne fait que observer la scène. D, quand à lui, reste là bas, et je le vois partir dans un coin sombre avec un jeune mec.
Il revient quelques 15 minutes plus tard, en se vantant de s’être fait un « petit bourgeois » comme il dit.
Mais il déchante vite quand il s’aperçoit que ce dernier lui a maculé la chaussure droite de son sperme. Tout ceci nous fait bien rire, le conducteur et moi.
Après ces péripéties, nous nous rendons dans un bar gay. Que des mecs ! Une nouvelle situation et des sensations inhabituelles assez étranges, m’envahisses, mais finalement me plaisent.
Là, je me sens bien. Certains mecs me regardent avec insistance, cela me procure un sentiment de contentement (cela fait toujours plaisir).
Une heure après, on se rend tous les trois dans une boite très connue de Toulouse, le S.
Entrée sans problème, on se rend au premier étage pour déposer nos vestes au vestiaire. Puis, au rez-de-chaussée, un bar avec une piste de danse, des mecs et filles boivent, discutent et danses. Ensuite on descend au sous sol, deuxième bar et piste de danse avec musique techno à fond où mecs et filles se déchaînent. D et moi nous allons sur la piste pour nous amuser un peu.
D me demande si je veux aller au « coté mecs ». Curieux, je le suis, on passe une porte où est marquée que ce bar est exclusivement masculin. On longe un autre couloir et on arrive dans une salle où il y a un petit bar et, que des mecs. D et moi continuons la visite, un passage vers une autre salle. C’est une salle vidéo où une télé passe un film porno gay. Sensation encore nouvelle pour moi, à vrai dire, je n’ose même pas regarder, je suis trop gêné. Puis on commande un verre au bar et on va s’asseoir dans la salle vidéo. D me fait remarquer le fond de cette salle.
Je remarque un passage vers une autre salle, il me dit que c’est la fameuse « Back room ». Je croyais que c’était une légende. Quand je pense que des mecs font des choses sexuelles là dedans, j’ai des sentiments d’appréhension et de curiosité que j’essaie de cacher.
D me demande si je veux y aller, Je lui réponds :
- sûrement pas !
- mais ce n’est pas si terrible que ça, regarde.
Il se lève, rentre dans la salle par un coté et quelques secondes plus tard sort par l’autre.
- tu vois, tu ne risques rien.
Il me prend fermement le bras et m’entraîne dans cette salle. Je me retrouve dans le noir total, D me lâche le bras, je suis rempli d’un sentiment de terreur et je suis tétanisé. J’attends, sans bouger, que mes yeux s’habituent à la pénombre pour pouvoir distinguer la lueur de la sortie. Mais plus de lueur, on n’y voit plus rien (la vidéo qui créer la lueur c’est arrêtée).
Je perçois devant moi une présence et des mains qui essaient de me toucher. Je sais que ce n’est pas D. Pris de frayeur, je recule et me retrouve dos à un mur. Je ne bouge plus, attendant que la vidéo reparte pour voir la sortie. Mais, alors qu’une lueur apparaît, un mec se jette à mes pieds et en moins de quelques secondes me défait ceinture et boutons du jean, puis s’attaque à mon slip. Il sort ma bite, qu’il prend prestement en bouche et commence à me sucer. Je proteste en formulant un tout petit non inaudible.
Ma bouche et ma tête disent non, mais la sensation de sa de sa bouche et de sa langue sur ma queue me fait chavirer de plaisir. Ma bite me trahit en grossissant rapidement jusqu’à atteindre une taille remarquable. J’entends le suceur faire un « hum » de satisfaction. Cette nouvelle sensation me trouble et me comble d’extase.
Je ne dis plus rien, me laissant aller à cette fellation extrême. La première copine avec qui j’avais couché m’avait sucé quelques secondes, j’avais éprouvé un peu de plaisir, mais là, le mec s’y prend si bien, que c’est le nirvana.
Cela continue, il a l’air de se régaler et moi je savoure cette pipe.
Je sens bien sa bouche glisser le long de ma verge, ses lèvres sucer et sa langue, lécher le gland, en même temps il me branle d’une main et soupèse et caresse mes couilles de l’autre. C’est carrément divin, je ressens le désir et le plaisir monter à vitesse grand V.
Je l’averti discrètement d’une voix étranglée :
- je vais jouir !
Mais il redouble d’ardeur en se cramponnant à mes fesses. Dans un râle dissimulé du mieux que je peux, je jouis dans sa bouche une quantité de sperme qui me semble conséquente. Je ressent qu’il se ravi de ma semence qu’il avale avec gourmandise. Il finit par quelques coup de langue en pressent mon sexe fermement, histoire de ne pas en laisser une goutte et de bien me la nettoyer. Puis il s’en va, sans rien dire, ni me demander quoique ce soit.
Perturbé, troublé et un peu soucieux, je remet ma queue dans mon slip, remonte et ferme mon pantalon. J’entrevois la lueur et me dirige vers a sortie.
Dans la salle vidéo, je retrouve D, qui assis, me regarde avec un large sourire et me demande :
- alors, tu y es resté longtemps ! Qu’est qui c’est passé ?
Je lui raconte. Il me dit amusé et un peu jaloux :
- et bien toi, tu ne perds pas ton temps ! C’est la première fois que je t’accompagne ici, et en quelques secondes tu te fais sucer par un mec. Tu en as de la chance !
Je ne réponds rien et souris en baissant le tête d’un air gêné.
Il ne s’est rien passé d’autre ce soi là, mais c’était déjà beaucoup pour moi. A 20 ans j’ai rencontré un mec dans ma ville qui m’a tout appris. Quand on s’est séparé, je suis revenu à Toulouse et au S, seul ou accompagné, mais ça c’est bien d’autres histoires…
Seithan
A 17 ans, j’avais couché pour la première fois avec une fille, c’est à ce moment que j’ai compris que j’étais gay, hé oui, pas de grand plaisir. Mais, j’ai ressentit beaucoup plus de satisfaction lorsque j’ai touché ma première bite raide. Pas celle de mon ami d’enfance gay, du même âge que moi, car quand on a fait « touche pipi » à 14-15 ans, c’était sans grand plaisir, seulement pour la découverte des sensations.
A 19 ans, je me sentais prêt à avoir une première expérience homosexuelle. Un vendredi soir, mon ami gay, (je l’appellerais D), me propose d’aller à Toulouse. Dans la ville où j’habite, il n’y avait pas d’établissement gay, que des lieux de drague, où, il n’y a pas de jeune ou si peu. Il était difficile pour moi de trouver quelqu’un, de plus, à l’époque j‘étais hyper coincé et très timide.
D, connaissait un copain plus âgé, gay lui aussi, qui avait le permis et une voiture. Poussé par la curiosité et une envie étrange j’accepte de les accompagner.
Donc, nous voilà partit pour Toulouse.
Arrivé là bas en début de soirée, pour commencer. Direction un lieu de drague. D, m’explique que c’est un parc où les mecs se retrouvent le soir pour baiser. Il faut dire qu’à l’époque, je n’avais jamais rien fait avec un mec et je ne connaissais rien au sexe entre hommes, ni aux habitudes et « coutumes » gay.
On entre dans ce parc sombre avec de grands arbres et un petit lac, et des tables de pique nique (plus pour niquer, me dit D). Il y a beaucoup d’hommes qui marchent un peu partout.
D, m’emmène vers une sorte de « grange ». Trois murs et un toit. Il y a des hommes, adossés aux murs qui on l’air d’attendre, d’autres en « couple » ou à trois se touchent et s’embrassent. Il y a même un petit groupe de cinq ou six mecs qui sont rassemblés en cercle.
Je suis nerveux, stressé, je me pose la question, qu’est-ce que je fais là ? D, essaie de me rassurer. Lui, je le trouve très à l’aise dans cet « enfer », je ne le connaissais pas comme ça.
Puis, tout s’accélère, il me prend par le bras et me traîne jusqu’au petit groupe, et me dit :
- regarde et régal toi !
Je me rapproche, plus poussé par mon ami que par ma volonté. Je regarde stupéfait et médusé par ce qui se passe. On n’y voit pas très bien, mais je distingue très bien les mecs en train de se branler les uns, les autres, il y en a même un qui est à genoux et qui suce deux mecs, en alternant une queue après l’autre. C’est excitant, je dois bien l’avouer, je sens ma bite qui durci rapidement, c’est la première fois que je vois un tel spectacle.
D’un coup, mon ami, toujours bien intentionné, me prend la main et me la pose sur une bite hyper raide. La sensation est terrible, c’est la première fois que je touche une autre que la mienne. De plus, elle est exagérément grosse et très dure, avec un énorme gland que j’aperçois tout rouge. Je la prends en main, poussée par D et je la masturbe vivement. Cela me rend dingue d’excitation. Je sens des mains me caresser les fesses et rechercher mon sexe sous mon pantalon. Très vite, la peur me prend au ventre. Je lâche cette queue et m’en vais rejoindre notre conducteur, un peu plus loin, qui lui ne fait que observer la scène. D, quand à lui, reste là bas, et je le vois partir dans un coin sombre avec un jeune mec.
Il revient quelques 15 minutes plus tard, en se vantant de s’être fait un « petit bourgeois » comme il dit.
Mais il déchante vite quand il s’aperçoit que ce dernier lui a maculé la chaussure droite de son sperme. Tout ceci nous fait bien rire, le conducteur et moi.
Après ces péripéties, nous nous rendons dans un bar gay. Que des mecs ! Une nouvelle situation et des sensations inhabituelles assez étranges, m’envahisses, mais finalement me plaisent.
Là, je me sens bien. Certains mecs me regardent avec insistance, cela me procure un sentiment de contentement (cela fait toujours plaisir).
Une heure après, on se rend tous les trois dans une boite très connue de Toulouse, le S.
Entrée sans problème, on se rend au premier étage pour déposer nos vestes au vestiaire. Puis, au rez-de-chaussée, un bar avec une piste de danse, des mecs et filles boivent, discutent et danses. Ensuite on descend au sous sol, deuxième bar et piste de danse avec musique techno à fond où mecs et filles se déchaînent. D et moi nous allons sur la piste pour nous amuser un peu.
D me demande si je veux aller au « coté mecs ». Curieux, je le suis, on passe une porte où est marquée que ce bar est exclusivement masculin. On longe un autre couloir et on arrive dans une salle où il y a un petit bar et, que des mecs. D et moi continuons la visite, un passage vers une autre salle. C’est une salle vidéo où une télé passe un film porno gay. Sensation encore nouvelle pour moi, à vrai dire, je n’ose même pas regarder, je suis trop gêné. Puis on commande un verre au bar et on va s’asseoir dans la salle vidéo. D me fait remarquer le fond de cette salle.
Je remarque un passage vers une autre salle, il me dit que c’est la fameuse « Back room ». Je croyais que c’était une légende. Quand je pense que des mecs font des choses sexuelles là dedans, j’ai des sentiments d’appréhension et de curiosité que j’essaie de cacher.
D me demande si je veux y aller, Je lui réponds :
- sûrement pas !
- mais ce n’est pas si terrible que ça, regarde.
Il se lève, rentre dans la salle par un coté et quelques secondes plus tard sort par l’autre.
- tu vois, tu ne risques rien.
Il me prend fermement le bras et m’entraîne dans cette salle. Je me retrouve dans le noir total, D me lâche le bras, je suis rempli d’un sentiment de terreur et je suis tétanisé. J’attends, sans bouger, que mes yeux s’habituent à la pénombre pour pouvoir distinguer la lueur de la sortie. Mais plus de lueur, on n’y voit plus rien (la vidéo qui créer la lueur c’est arrêtée).
Je perçois devant moi une présence et des mains qui essaient de me toucher. Je sais que ce n’est pas D. Pris de frayeur, je recule et me retrouve dos à un mur. Je ne bouge plus, attendant que la vidéo reparte pour voir la sortie. Mais, alors qu’une lueur apparaît, un mec se jette à mes pieds et en moins de quelques secondes me défait ceinture et boutons du jean, puis s’attaque à mon slip. Il sort ma bite, qu’il prend prestement en bouche et commence à me sucer. Je proteste en formulant un tout petit non inaudible.
Ma bouche et ma tête disent non, mais la sensation de sa de sa bouche et de sa langue sur ma queue me fait chavirer de plaisir. Ma bite me trahit en grossissant rapidement jusqu’à atteindre une taille remarquable. J’entends le suceur faire un « hum » de satisfaction. Cette nouvelle sensation me trouble et me comble d’extase.
Je ne dis plus rien, me laissant aller à cette fellation extrême. La première copine avec qui j’avais couché m’avait sucé quelques secondes, j’avais éprouvé un peu de plaisir, mais là, le mec s’y prend si bien, que c’est le nirvana.
Cela continue, il a l’air de se régaler et moi je savoure cette pipe.
Je sens bien sa bouche glisser le long de ma verge, ses lèvres sucer et sa langue, lécher le gland, en même temps il me branle d’une main et soupèse et caresse mes couilles de l’autre. C’est carrément divin, je ressens le désir et le plaisir monter à vitesse grand V.
Je l’averti discrètement d’une voix étranglée :
- je vais jouir !
Mais il redouble d’ardeur en se cramponnant à mes fesses. Dans un râle dissimulé du mieux que je peux, je jouis dans sa bouche une quantité de sperme qui me semble conséquente. Je ressent qu’il se ravi de ma semence qu’il avale avec gourmandise. Il finit par quelques coup de langue en pressent mon sexe fermement, histoire de ne pas en laisser une goutte et de bien me la nettoyer. Puis il s’en va, sans rien dire, ni me demander quoique ce soit.
Perturbé, troublé et un peu soucieux, je remet ma queue dans mon slip, remonte et ferme mon pantalon. J’entrevois la lueur et me dirige vers a sortie.
Dans la salle vidéo, je retrouve D, qui assis, me regarde avec un large sourire et me demande :
- alors, tu y es resté longtemps ! Qu’est qui c’est passé ?
Je lui raconte. Il me dit amusé et un peu jaloux :
- et bien toi, tu ne perds pas ton temps ! C’est la première fois que je t’accompagne ici, et en quelques secondes tu te fais sucer par un mec. Tu en as de la chance !
Je ne réponds rien et souris en baissant le tête d’un air gêné.
Il ne s’est rien passé d’autre ce soi là, mais c’était déjà beaucoup pour moi. A 20 ans j’ai rencontré un mec dans ma ville qui m’a tout appris. Quand on s’est séparé, je suis revenu à Toulouse et au S, seul ou accompagné, mais ça c’est bien d’autres histoires…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis devenu un accro de la fellation ( j'adore sucer les petites bites de 13 à 14 cms rasées intégralement comme la mienne , car elles sont beaucoup plus juteuses et ont un très bon gout ! ), mais j'adore aussi etre sucé très longuement , c'est à dire pendant au moins 1h30 !J'aimerais beaucoup rencontrer un " suck friend " de 18 ans pour qu'on fasse des 69 au moins une fois par semaine !
j'ai découvert le plaisir de la fellation grace à un mec métopolitain habitant prés de chez moi ,dans une charmante petite commune de montagne située dans le nord de la Martinique .quand il a pris mon sexe dans sa bouche ,j'ai failli mourir de plaisir et je regrette d'avoir joui au bout de 10mns seulement !j'aurais souhaité que cela dure une éternité !
Très bandant
pas mal, pleins de doutes et d'amertume...la vraie vie quoi...