Première rencontre
Récit érotique écrit par jacques r [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Première rencontre
Cette série a été écrite initialement en anglais par whole punch sous le titre Vero, à partir de l’histoire vraie de ma femme et de moi-même. Qu’il en soit remercié. J’ai assuré, à sa demande, la traduction pour que les francophones en profitent également, puisque d’abord une histoire française.
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Véro s’était complètement adaptée à son travail au bar. Elle gagnait plus d’argent qu’elle n’en avait jamais possédé et pouvait économiser suffisamment, à moyen terme, pour investir dans un logement.
Elle était devenue populaire et avait de nombreux clients réguliers. Véro avait acquis la réputation d’être une femme un peu spéciale pour la clientèle - en quelque sorte encore ingénue, légèrement éthérée qui correspondait exactement à son apparence juvénile et angélique, une silhouette si légère avec de petits seins, un cul et des jambes incroyablement beaux. Elle était très sollicitée demande et s’en délectait.
Au fond de son esprit, cependant, Véro sait que cette vie ne peut durer éternellement. C’était une courte carrière à moins de vouloir finir dans la rue, à faire des passes pour des clopinettes. Au début, elle s’était fixé l’objectif de sortir de cette vie et de reprendre une occupation « normale » en 3 ans, et elle en était déjà à mi-chemin.
Peut-être est-elle dans cet état d’esprit, ce soir là, en retournant au bar au bras d’un client, qui venait de lui offrir un diner au restaurant, juste pour paraître en public avec une jolie femme. L’homme rentre alors chez lui, auprès de son épouse. Véro remarque un homme assis seul au bar, un verre devant lui. Elle sourit pour attirer son regard et celui-ci s’attarde une seconde ou deux sur ses jambes, vêtues d’un pantalon de cuir si serré qu’il aurait pu être peint, son chemisier de soie ajusté et ses mamelons bien dessinés, en l’absence de soutien-gorge.
Sentant un client potentiel, Véro s’assoit à côté de lui. Jacques se présente. Un peu nerveux, le jeune, pense-t-elle. Il est vite devenu évident que Jacques n’est pas en mesure de s’offrir ses services, et bientôt il lui semble aussi que ce serait mal de toute façon. Une petite coupe suffira, pendant qu’ils parlent et rient. Le bar est calme, juste après ces fêtes de fin d’année, quand l’argent se fait plus rare. Les deux seuls autres clients sont déjà pris en main par ses collègues.
Le courant passe immédiatement entre eux. Ils s’entendent si bien qu’on prend bientôt pour acquis qu’ils vont se revoir, ailleurs qu’au bar peut-être.
Véro, par la force de l’habitude, se pencha lentement au dessus bar devant Jacques, debout sur la rambarde en bois pour atteindre une bouteille et les servir toutes les deux, la barmaid étant sortie fumer. Elle exhibe ainsi son cul, prolongeant langoureusement le spectacle de sorte que Jacques déglutit fort en la regardant.
Assise à nouveau, elle trouve charmant son visage devenu rouge et il bégaie soudainement. Jacques s’excuse pour se rendre aux toilettes - en partie pour remettre son érection soudaine dans une position plus confortable.
En sortant, Jacques se regarde dans le miroir, se lissant un peu les cheveux avant de retourner au bar.
Son cœur se serre et il a un sentiment de malaise en voyant que deux hommes en costume-cravate sont arrivés durant son absence et sont assis de part et d’autre de Véro. Jacques s’assoit sur un tabouret à une distance raisonnable, regardant tristement dans leur direction. Bien sûr, il sait ce que Véro fait dans la vie, ayant fréquenté ce genre d’établissement de manière occasionnelle dès ses premières paies. Mais il est surtout surpris par ce mélange de jalousie, de colère et de frustration qu’il ressent, et ce pour la première fois. Juste parce que ces deux idiots ivres et en sueur ont du fric, ils peuvent acheter le temps de Véro. Ce n’est pas juste.
Il rougit lorsque Véro capte son regard et lui fait signe. Il fait aussi un signe de la main, juste pour indiquer « c’est comme ça ». L’un des clients murmure quelque chose et l’autre se tourne pour regarder Jacques, puis ils se mettent à rire tous les deux. Véro est choquée et réprimande doucement les deux hommes qui cessent leur ricanement. Jacques était bien l’objet de leur propos.
Les deux hommes buvaient une bière et n’avaient rien payé à Véro. C’était une bonne nouvelle et à moins qu’ils ne commencent à dépenser leur l’argent rapidement, ils seront gentiment poussés vers la sortie et Jacques aura à nouveau Véro pour lui.
Cependant, une conversation à voix basse et animée s’instaure entre les trois. Le premier homme désigne son collègue, puis sa propre poitrine, en souriant, et sort un gros portefeuille de la poche de son costume, comptant ce qui ressemble à une énorme somme d’argent et le mettant sur le bar devant Véro. Véro s’absente quelques minutes et disparait dans le bureau attenant au bar. Quand elle revient, elle hoche la tête et sourit, et, lance quand même un petit sourire à Jacques par-dessus son épaule alors qu’elle récupère son manteau. Le trio quitte le bar ensemble.
Jacques reste, dépensant lentement son argent en sirotant des bières. Peut-être qu’elle sera de retour avant son départ et qu’il pourra la ramener chez elle?
Dans le taxi qui les conduit à l’hôtel, ils sont tous les trois sur la banquette arrière, Véro coincée entre les deux hommes. Les mains sur son entrejambe (ils ne pouvaient pas enlever son pantalon dans cet espace trop limité) et à l’intérieur de son chemisier, tous deux léchant et embrassant son cou, tournant sa tête d’un côté puis de l’autre pour l’embrasser à pleine bouche. Ils sont très excités, comme en témoigne la tension à la hauteur de leurs braguettes.
Véro est également très excitée - elle n’a jamais couché avec deux hommes ensemble auparavant. Elle a déj eu une expérience professionnelle avec un homme et une femme (une de ses collègues de travail), mais jamais avec deux hommes. Elle est un peu nerveuse, mais sa chatte commence à mouiller et ses tétons répondent aux caresses des deux clients, qui les pincent allègrement avec une dureté douloureuse.
Ils se rendent dans la chambre, avec ses deux lits jumeaux, où une bouteille de champagne dans un seau à glace a été placée près de la fenêtre. Véro se tient entre eux, tenant leurs mains comme un enfant sur le point d’être balancé dans les airs.
Dès qu’ils entrent dans la pièce, les deux hommes ne perdent pas de temps - ensemble, ils la mettent nue en moins d’une minute, la caressant et la tripotant partout, Véro étant incapable de savoir à qui appartient mains ou doigts qui s’activent.
Elle est poussée sur le lit et a la surprise de trouver l’un des hommes derrière elle, déjà nu. Il la tient dans une étreinte passionnée, ses mains caressant doucement ses mamelons alors qu’elle se penche en arrière entre ses jambes alors qu’il est allongé sur le lit, berçant sa tête contre sa poitrine.
Véro se demande si les compères ont déjà fait cela auparavant alors que le deuxième, également nu et avec une belle érection, s’agenouille entre ses jambes et se penche sur elle. Véro frissonne alors que sa langue glisse à l’intérieur de sa chatte mouillée. C’est une grande langue qui commence à la baiser avec une efficacité surprenante, les mains de l’homme sous elle écartant ses cuisses, ouvrir davantage ses jambes pour aider son complice.
Véro peut sentir que l’homme derrière elle est très dur. sa bite fait de petits mouvements de poussée involontaires contre son dos, tout en regardant son ami lécher Véro jusqu’à l’orgasme. Elle vient très fort, incapable de s’empêcher d’enrouler ses cuisses autour de la tête de l’homme, croisant ses chevilles derrière son dos. Le lécheur ouvre largement la bouche, poussant sa langue le plus profondément possible et récupère un maximum de cyprine. Quand Véro se calme, et qu’il la regarde, elle s’aperçoit qu’il a tout avalé.
Maintenant, vient le tour de l’autre homme. Il lui dit : « Assieds-toi sur mon visage », et elle n’a plus besoin de persuasion. Ce sont certes des clients, mais putain, elle passe un bon moment.
Bientôt, Véro jouit à nouveau sur la bouche ouverte de l’homme qui suce son clito engorgé, sa langue glissant dans et hors de son vagin, les lèvres gonflées et ultra sensibles. Véro tient la tête de lit et chevauche le visage comme si elle était à cheval, ses hanches fléchissant et la tête jetée en arrière, des perles de sueur sur son cou courant jusqu’à sa poitrine.
Après quelques minutes de récupération mutuelle, le plus âgé dit à Véro :
- À genoux, sur le sol. Devant la fenêtre.
Il a tiré les stores entièrement du sol au plafond - donnant ainsi une vue dégagée de la chambre à quiconque regardait depuis les appartements situés en face de l’hôtel.
Véro fait ce qu’on lui demande, sentant son jus commencer à couler sur les cuisses. Avec un gémissement de plaisir, elle sent une bite arriver par derrière, dure et longue, et pousser dans sa chatte. Elle n’a aucune idée de celui qui agit ainsi. Une autre bite dure et chaude est à ses lèvres, et elle ouvre avidement la bouche et la suce, presque jusqu’à sa gorge, sa langue la travaillant durement, faisant gémir l’homme alors qu’il commence à entrer et sortir, baisant son visage, tenant sa tête, les doigts agrippés dans ses cheveux.
Véro commence à jouir avec la bite du premier homme - elle pense qu’elle le sent venir aussi, mais il reste dur, à son poste, et continue à la baiser - peut-être est-elle venue tellement intensément qu’elle a eu l’impression qu’il était hors d’elle. Elle peut entendre ce bruit caractéristique sur ses fesses, telle une gifle, alors qu’il la baise plus vite et plus fort. Soudain, les deux s’arrêtent et se retirent. Véro gémit de frustration - qu’est-ce que c’est que ça?
L’homme est allongé sur le dos sous elle, tirant Véro vers lui dans une étreinte brûlante, l’embrassant passionnément, baisers qu’elle rend volontiers. Elle sent sa bite entrer à nouveau en elle, et se rend compte, avec une poussée d’excitation, que c’est l’autre homme qui a introduit la bite en elle.
Puis Véro sent l’autre gars agenouillé derrière elle, la tête de sa bite sondant son petit trou. Véro n’a jamais été sodomisée. Elle a été doigtée là plusieurs fois et pour être honnête, cela l’avait rendue plus excitée que d’habitude pendant que quelqu’un la baisait, mais elle ne pouvait pas imaginer avoir une bite à cet endroit. Elle connait des filles qui l’ont fait et qui disent que c’est terrible et douloureux d’autres qui affirment que c’est incroyable, il n’y a pas de juste milieu.
Véro cesse d’embrasser et dit:
- Non - non, pas là-dedans, je ne fais pas ça.
- « Oui, oui, ou tu le fais ce soir en tout cas, putain. N’n’oublie pas que nous payons, alors on continue. Je suis sur le point de prendre ce cul incroyable.
Véro halète avec la douleur aiguë alors que le gland essaie d’ouvrir son cul serré. Frustré, il pousse et insiste mais ne peux entrer.
- Une fois que tu seras dedans, elle se détendra et tu pourras la baiser
dit l’autre homme, tenant toujours Véro, la bite toujours en elle, même si elle est maintenant figée, ne bougeant pas du tout.
L’homme derrière Véro grogne et se lève. En traversant la pièce, il ramasse une petite bouteille d’huile d’olive posée sur le plateau d’un repas à moitié consommé.
Véro sursaute alors que l’huile d’olive coule sur elle – entre ses fesses. L’homme derrière elle les écartent, versant autant qu’il peut de l’huile sur son anus. Puis Véro l’entend clairement cracher bruyamment, deux fois, sur sa main, poussant d’abord un, puis deux doigts lentement dans son cul.
Véro gémit, toujours tenue contre l’homme sous d’elle, mais elle peut gérer cela - deux doigts c’est OK, agréable même.
Puis le gland fait de retour et cette fois il glisse juste à l’intérieur d’elle, au-delà de son sphincter, l’huile et la rigidité de l’engin facilitant son chemin. L’homme gémit et se retire, puis pousse lentement, très lentement en elle à nouveau. Chaque fois qu’il répète ce mouvement, il va un peu plus loin. Véro ressent la douleur – son cul s’élargit et elle se sent étrangement totalement remplie par ce dard. Alors, elle sait qu’il est complètement à l’intérieur d’elle - sa bite était enfouie dans son cul et il y en a une autre dans sa chatte.
Lentement, les deux hommes commencent à bouger. Ils agissent ensemble, leurs caresses à l’unisson, de sorte que chaque bite est totalement en elle puis retirée dans le même tempo. Véro peut savourer leurs sexes qui poussent l’un contre l’autre, à travers la mince séparation. Ils disent tout haut qu’ils peuvent se sentir l’un l’autre.
Ils la baisent plus vite, plus fort, elle transpire – la sueur dégouline de son visage sur l’homme sous d’elle, qui la tient toujours fermement contre lui alors qu’elle halète, la tête sur son épaule. Elle n’avait jamais, jamais, ressenti quelque chose comme ça. Sa cyprine coule littéralement le long de ses jambes jusqu’au tapis. Elle ne se soucie plus de savoir qui regarde - elle est juste vaguement consciente de plusieurs silhouettes aux fenêtres en face de l’hôtel.
Quand celui dans la chatte de Véro, crie et renifle comme un cheval de course, son partenaire est incapable de s’arrêter et se vide dans son cul, sa bite enfouie jusqu’à la garde, ses couilles palpitant contre ses fesses.
Véro revient au bar alors que Jacques part. finalement, elle pense que c’est mieux ainsi. Elle sent le foutre et peut à peine marcher. Elle le croise à la porte du bien Aimé. Le visage de Jacques prouve qu’il sait parfaitement qu’elle n’a pas joué à la belote avec les deux hommes dans leur chambre d’hôtel. Il a l’air peiné, jaloux, en colère même.
Véro ne veut pas y penser maintenant - elle a besoin d’un verre, d’un alcool fort.
************************************************************************************************
Cet épisode termine la partie consacrée au travail d’hôtesse de Véro. Elle, comme Jacques existent réellement et se sont mariés. Le Bien Aimé a existé, plus petit que décrit et sans videur, et sous un autre nom (que les amateurs d’histoire de France trouveront aisément). Ce bar était situé à Rennes, rue Saint-Louis. J’ai commencé, le premier soir, à être client, puis un client régulier, quand mes fonds me le permettait, sinon, je l’attendais à la fin du service, vers 1 heure du matin.
Même si mon ami whole punch a beaucoup romancé, tout part d’un fond de vérité (y compris les trios HFF ou HHF). Mais la vie d’hôtesse est assez différente de celle d’une prostituée. Un quotidien fait de pelotage et de baisers passionnés, de discussions d’alcôve plus ou moins grivoises mais parfois proche de la psychothérapie, moyennant l’acquisition de bouteilles de champagne médiocre. Des pipes ou des masturbations dans les coins les plus sombres de l’établissement, pour peu que le client achète une deuxième ou troisième bouteille, ce qui arrivait trois à quatre fois par semaine. Des sorties au restaurant au rythme d’une à deux fois par mois, lorsqu’un vieux client souhaitait s’afficher en ville avec une jeune et jolie femme. Et de manière beaucoup plus occasionnelle (mais réelle effectivement), le « grand jeu » dans une chambre d’hôtel (très souvent), parfois chez le client, mais jamais chez la fille.
J’ai eu l’occasion de découvrir ceci durant les trois mois où j’ai vécu avec Véro dans son studio, avant qu’elle ne démissionne, qu’on se fiance un peu plus tard puis qu’on se marie, avant de partir nous installer en Afrique.
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Véro s’était complètement adaptée à son travail au bar. Elle gagnait plus d’argent qu’elle n’en avait jamais possédé et pouvait économiser suffisamment, à moyen terme, pour investir dans un logement.
Elle était devenue populaire et avait de nombreux clients réguliers. Véro avait acquis la réputation d’être une femme un peu spéciale pour la clientèle - en quelque sorte encore ingénue, légèrement éthérée qui correspondait exactement à son apparence juvénile et angélique, une silhouette si légère avec de petits seins, un cul et des jambes incroyablement beaux. Elle était très sollicitée demande et s’en délectait.
Au fond de son esprit, cependant, Véro sait que cette vie ne peut durer éternellement. C’était une courte carrière à moins de vouloir finir dans la rue, à faire des passes pour des clopinettes. Au début, elle s’était fixé l’objectif de sortir de cette vie et de reprendre une occupation « normale » en 3 ans, et elle en était déjà à mi-chemin.
Peut-être est-elle dans cet état d’esprit, ce soir là, en retournant au bar au bras d’un client, qui venait de lui offrir un diner au restaurant, juste pour paraître en public avec une jolie femme. L’homme rentre alors chez lui, auprès de son épouse. Véro remarque un homme assis seul au bar, un verre devant lui. Elle sourit pour attirer son regard et celui-ci s’attarde une seconde ou deux sur ses jambes, vêtues d’un pantalon de cuir si serré qu’il aurait pu être peint, son chemisier de soie ajusté et ses mamelons bien dessinés, en l’absence de soutien-gorge.
Sentant un client potentiel, Véro s’assoit à côté de lui. Jacques se présente. Un peu nerveux, le jeune, pense-t-elle. Il est vite devenu évident que Jacques n’est pas en mesure de s’offrir ses services, et bientôt il lui semble aussi que ce serait mal de toute façon. Une petite coupe suffira, pendant qu’ils parlent et rient. Le bar est calme, juste après ces fêtes de fin d’année, quand l’argent se fait plus rare. Les deux seuls autres clients sont déjà pris en main par ses collègues.
Le courant passe immédiatement entre eux. Ils s’entendent si bien qu’on prend bientôt pour acquis qu’ils vont se revoir, ailleurs qu’au bar peut-être.
Véro, par la force de l’habitude, se pencha lentement au dessus bar devant Jacques, debout sur la rambarde en bois pour atteindre une bouteille et les servir toutes les deux, la barmaid étant sortie fumer. Elle exhibe ainsi son cul, prolongeant langoureusement le spectacle de sorte que Jacques déglutit fort en la regardant.
Assise à nouveau, elle trouve charmant son visage devenu rouge et il bégaie soudainement. Jacques s’excuse pour se rendre aux toilettes - en partie pour remettre son érection soudaine dans une position plus confortable.
En sortant, Jacques se regarde dans le miroir, se lissant un peu les cheveux avant de retourner au bar.
Son cœur se serre et il a un sentiment de malaise en voyant que deux hommes en costume-cravate sont arrivés durant son absence et sont assis de part et d’autre de Véro. Jacques s’assoit sur un tabouret à une distance raisonnable, regardant tristement dans leur direction. Bien sûr, il sait ce que Véro fait dans la vie, ayant fréquenté ce genre d’établissement de manière occasionnelle dès ses premières paies. Mais il est surtout surpris par ce mélange de jalousie, de colère et de frustration qu’il ressent, et ce pour la première fois. Juste parce que ces deux idiots ivres et en sueur ont du fric, ils peuvent acheter le temps de Véro. Ce n’est pas juste.
Il rougit lorsque Véro capte son regard et lui fait signe. Il fait aussi un signe de la main, juste pour indiquer « c’est comme ça ». L’un des clients murmure quelque chose et l’autre se tourne pour regarder Jacques, puis ils se mettent à rire tous les deux. Véro est choquée et réprimande doucement les deux hommes qui cessent leur ricanement. Jacques était bien l’objet de leur propos.
Les deux hommes buvaient une bière et n’avaient rien payé à Véro. C’était une bonne nouvelle et à moins qu’ils ne commencent à dépenser leur l’argent rapidement, ils seront gentiment poussés vers la sortie et Jacques aura à nouveau Véro pour lui.
Cependant, une conversation à voix basse et animée s’instaure entre les trois. Le premier homme désigne son collègue, puis sa propre poitrine, en souriant, et sort un gros portefeuille de la poche de son costume, comptant ce qui ressemble à une énorme somme d’argent et le mettant sur le bar devant Véro. Véro s’absente quelques minutes et disparait dans le bureau attenant au bar. Quand elle revient, elle hoche la tête et sourit, et, lance quand même un petit sourire à Jacques par-dessus son épaule alors qu’elle récupère son manteau. Le trio quitte le bar ensemble.
Jacques reste, dépensant lentement son argent en sirotant des bières. Peut-être qu’elle sera de retour avant son départ et qu’il pourra la ramener chez elle?
Dans le taxi qui les conduit à l’hôtel, ils sont tous les trois sur la banquette arrière, Véro coincée entre les deux hommes. Les mains sur son entrejambe (ils ne pouvaient pas enlever son pantalon dans cet espace trop limité) et à l’intérieur de son chemisier, tous deux léchant et embrassant son cou, tournant sa tête d’un côté puis de l’autre pour l’embrasser à pleine bouche. Ils sont très excités, comme en témoigne la tension à la hauteur de leurs braguettes.
Véro est également très excitée - elle n’a jamais couché avec deux hommes ensemble auparavant. Elle a déj eu une expérience professionnelle avec un homme et une femme (une de ses collègues de travail), mais jamais avec deux hommes. Elle est un peu nerveuse, mais sa chatte commence à mouiller et ses tétons répondent aux caresses des deux clients, qui les pincent allègrement avec une dureté douloureuse.
Ils se rendent dans la chambre, avec ses deux lits jumeaux, où une bouteille de champagne dans un seau à glace a été placée près de la fenêtre. Véro se tient entre eux, tenant leurs mains comme un enfant sur le point d’être balancé dans les airs.
Dès qu’ils entrent dans la pièce, les deux hommes ne perdent pas de temps - ensemble, ils la mettent nue en moins d’une minute, la caressant et la tripotant partout, Véro étant incapable de savoir à qui appartient mains ou doigts qui s’activent.
Elle est poussée sur le lit et a la surprise de trouver l’un des hommes derrière elle, déjà nu. Il la tient dans une étreinte passionnée, ses mains caressant doucement ses mamelons alors qu’elle se penche en arrière entre ses jambes alors qu’il est allongé sur le lit, berçant sa tête contre sa poitrine.
Véro se demande si les compères ont déjà fait cela auparavant alors que le deuxième, également nu et avec une belle érection, s’agenouille entre ses jambes et se penche sur elle. Véro frissonne alors que sa langue glisse à l’intérieur de sa chatte mouillée. C’est une grande langue qui commence à la baiser avec une efficacité surprenante, les mains de l’homme sous elle écartant ses cuisses, ouvrir davantage ses jambes pour aider son complice.
Véro peut sentir que l’homme derrière elle est très dur. sa bite fait de petits mouvements de poussée involontaires contre son dos, tout en regardant son ami lécher Véro jusqu’à l’orgasme. Elle vient très fort, incapable de s’empêcher d’enrouler ses cuisses autour de la tête de l’homme, croisant ses chevilles derrière son dos. Le lécheur ouvre largement la bouche, poussant sa langue le plus profondément possible et récupère un maximum de cyprine. Quand Véro se calme, et qu’il la regarde, elle s’aperçoit qu’il a tout avalé.
Maintenant, vient le tour de l’autre homme. Il lui dit : « Assieds-toi sur mon visage », et elle n’a plus besoin de persuasion. Ce sont certes des clients, mais putain, elle passe un bon moment.
Bientôt, Véro jouit à nouveau sur la bouche ouverte de l’homme qui suce son clito engorgé, sa langue glissant dans et hors de son vagin, les lèvres gonflées et ultra sensibles. Véro tient la tête de lit et chevauche le visage comme si elle était à cheval, ses hanches fléchissant et la tête jetée en arrière, des perles de sueur sur son cou courant jusqu’à sa poitrine.
Après quelques minutes de récupération mutuelle, le plus âgé dit à Véro :
- À genoux, sur le sol. Devant la fenêtre.
Il a tiré les stores entièrement du sol au plafond - donnant ainsi une vue dégagée de la chambre à quiconque regardait depuis les appartements situés en face de l’hôtel.
Véro fait ce qu’on lui demande, sentant son jus commencer à couler sur les cuisses. Avec un gémissement de plaisir, elle sent une bite arriver par derrière, dure et longue, et pousser dans sa chatte. Elle n’a aucune idée de celui qui agit ainsi. Une autre bite dure et chaude est à ses lèvres, et elle ouvre avidement la bouche et la suce, presque jusqu’à sa gorge, sa langue la travaillant durement, faisant gémir l’homme alors qu’il commence à entrer et sortir, baisant son visage, tenant sa tête, les doigts agrippés dans ses cheveux.
Véro commence à jouir avec la bite du premier homme - elle pense qu’elle le sent venir aussi, mais il reste dur, à son poste, et continue à la baiser - peut-être est-elle venue tellement intensément qu’elle a eu l’impression qu’il était hors d’elle. Elle peut entendre ce bruit caractéristique sur ses fesses, telle une gifle, alors qu’il la baise plus vite et plus fort. Soudain, les deux s’arrêtent et se retirent. Véro gémit de frustration - qu’est-ce que c’est que ça?
L’homme est allongé sur le dos sous elle, tirant Véro vers lui dans une étreinte brûlante, l’embrassant passionnément, baisers qu’elle rend volontiers. Elle sent sa bite entrer à nouveau en elle, et se rend compte, avec une poussée d’excitation, que c’est l’autre homme qui a introduit la bite en elle.
Puis Véro sent l’autre gars agenouillé derrière elle, la tête de sa bite sondant son petit trou. Véro n’a jamais été sodomisée. Elle a été doigtée là plusieurs fois et pour être honnête, cela l’avait rendue plus excitée que d’habitude pendant que quelqu’un la baisait, mais elle ne pouvait pas imaginer avoir une bite à cet endroit. Elle connait des filles qui l’ont fait et qui disent que c’est terrible et douloureux d’autres qui affirment que c’est incroyable, il n’y a pas de juste milieu.
Véro cesse d’embrasser et dit:
- Non - non, pas là-dedans, je ne fais pas ça.
- « Oui, oui, ou tu le fais ce soir en tout cas, putain. N’n’oublie pas que nous payons, alors on continue. Je suis sur le point de prendre ce cul incroyable.
Véro halète avec la douleur aiguë alors que le gland essaie d’ouvrir son cul serré. Frustré, il pousse et insiste mais ne peux entrer.
- Une fois que tu seras dedans, elle se détendra et tu pourras la baiser
dit l’autre homme, tenant toujours Véro, la bite toujours en elle, même si elle est maintenant figée, ne bougeant pas du tout.
L’homme derrière Véro grogne et se lève. En traversant la pièce, il ramasse une petite bouteille d’huile d’olive posée sur le plateau d’un repas à moitié consommé.
Véro sursaute alors que l’huile d’olive coule sur elle – entre ses fesses. L’homme derrière elle les écartent, versant autant qu’il peut de l’huile sur son anus. Puis Véro l’entend clairement cracher bruyamment, deux fois, sur sa main, poussant d’abord un, puis deux doigts lentement dans son cul.
Véro gémit, toujours tenue contre l’homme sous d’elle, mais elle peut gérer cela - deux doigts c’est OK, agréable même.
Puis le gland fait de retour et cette fois il glisse juste à l’intérieur d’elle, au-delà de son sphincter, l’huile et la rigidité de l’engin facilitant son chemin. L’homme gémit et se retire, puis pousse lentement, très lentement en elle à nouveau. Chaque fois qu’il répète ce mouvement, il va un peu plus loin. Véro ressent la douleur – son cul s’élargit et elle se sent étrangement totalement remplie par ce dard. Alors, elle sait qu’il est complètement à l’intérieur d’elle - sa bite était enfouie dans son cul et il y en a une autre dans sa chatte.
Lentement, les deux hommes commencent à bouger. Ils agissent ensemble, leurs caresses à l’unisson, de sorte que chaque bite est totalement en elle puis retirée dans le même tempo. Véro peut savourer leurs sexes qui poussent l’un contre l’autre, à travers la mince séparation. Ils disent tout haut qu’ils peuvent se sentir l’un l’autre.
Ils la baisent plus vite, plus fort, elle transpire – la sueur dégouline de son visage sur l’homme sous d’elle, qui la tient toujours fermement contre lui alors qu’elle halète, la tête sur son épaule. Elle n’avait jamais, jamais, ressenti quelque chose comme ça. Sa cyprine coule littéralement le long de ses jambes jusqu’au tapis. Elle ne se soucie plus de savoir qui regarde - elle est juste vaguement consciente de plusieurs silhouettes aux fenêtres en face de l’hôtel.
Quand celui dans la chatte de Véro, crie et renifle comme un cheval de course, son partenaire est incapable de s’arrêter et se vide dans son cul, sa bite enfouie jusqu’à la garde, ses couilles palpitant contre ses fesses.
Véro revient au bar alors que Jacques part. finalement, elle pense que c’est mieux ainsi. Elle sent le foutre et peut à peine marcher. Elle le croise à la porte du bien Aimé. Le visage de Jacques prouve qu’il sait parfaitement qu’elle n’a pas joué à la belote avec les deux hommes dans leur chambre d’hôtel. Il a l’air peiné, jaloux, en colère même.
Véro ne veut pas y penser maintenant - elle a besoin d’un verre, d’un alcool fort.
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Cet épisode termine la partie consacrée au travail d’hôtesse de Véro. Elle, comme Jacques existent réellement et se sont mariés. Le Bien Aimé a existé, plus petit que décrit et sans videur, et sous un autre nom (que les amateurs d’histoire de France trouveront aisément). Ce bar était situé à Rennes, rue Saint-Louis. J’ai commencé, le premier soir, à être client, puis un client régulier, quand mes fonds me le permettait, sinon, je l’attendais à la fin du service, vers 1 heure du matin.
Même si mon ami whole punch a beaucoup romancé, tout part d’un fond de vérité (y compris les trios HFF ou HHF). Mais la vie d’hôtesse est assez différente de celle d’une prostituée. Un quotidien fait de pelotage et de baisers passionnés, de discussions d’alcôve plus ou moins grivoises mais parfois proche de la psychothérapie, moyennant l’acquisition de bouteilles de champagne médiocre. Des pipes ou des masturbations dans les coins les plus sombres de l’établissement, pour peu que le client achète une deuxième ou troisième bouteille, ce qui arrivait trois à quatre fois par semaine. Des sorties au restaurant au rythme d’une à deux fois par mois, lorsqu’un vieux client souhaitait s’afficher en ville avec une jeune et jolie femme. Et de manière beaucoup plus occasionnelle (mais réelle effectivement), le « grand jeu » dans une chambre d’hôtel (très souvent), parfois chez le client, mais jamais chez la fille.
J’ai eu l’occasion de découvrir ceci durant les trois mois où j’ai vécu avec Véro dans son studio, avant qu’elle ne démissionne, qu’on se fiance un peu plus tard puis qu’on se marie, avant de partir nous installer en Afrique.
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