Première rencontre avec Jacques - histoire érotique

J’ai toujours préféré les femmes, mais il y a eu une période durant laquelle je ne fréquentais plus que des mecs. Avec une compagne aux désirs spéciaux car soumise et masochiste nous formions un couple particulier certes mais qui allait avoir un bébé. Au-delà des considérations sexuelles nous étions vraiment amoureux et on envisageait de vraiment fonder une famille en dépit de nos particularités. Hélas nous étions jeunes et un peu fous ma belle, ne souhaitais pas malgré son état de femme enceinte cesser ou au moins limiter nos activités SM. Pourtant médecin de profession, Viviane m’assurait que ce qu’on faisait n’avais pas de danger pour le bébé. Enceinte de 6 mois, un soir nous étions en plein jeux quand elle fut prise de douleurs et connu d’importantes hémorragies. Hôpital, mise en observation elle avait perdu le bébé. Les médecins ont eu beau affirmer que ce qui nous arrivait n’était pas lié à la pratique du SM. Pour le couple cette perte était trop insupportable et nous n’avons pas pu surmonter ce drame. On s'est quitté, enfin c’est plutôt Vivianne qui a disparu, je n’ai jamais pu savoir ni où ni comment elle disparut.



J’étais au plus bas, la picole, les rencontres avec des gays, des bars louches, des boites encore plus louches, une vraie descente aux enfers, volontaire. Je ne suis pas gay mais bisexuel total. Naturellement mon goût pour le SM est valable avec les femmes ou les hommes. Mais si je suis dominateur avec les femmes, je suis plutôt soumis avec les mecs. Et durant une période de 6/8 mois de fut une fuite en avant, une autodestruction lente avant de rencontrer une femme qui me fit sortir de cette spirale, que j’ai épousée avant de m’apercevoir que c’était une connerie. Ce qui me vaut un mariage de 15 jours dans les faits mais qui administrativement a duré 7 ans avec les frais et les emmerdes connexes. J’avais rencontré une autre femme avant de me marier, mais j’avais donné ma parole pour ce mariage et je ne reviens pas sur ma parole. Cela fait maintenant 37 ans qu’on est ensemble.

Donc dans ce laps de temps a tendance gay j’ai rencontré pas mal de mecs bien barrés aussi. En particulier un gars qui habitait un petit village pas loin de chez moi. Jacques était toujours marié, plus âgé que moi je devais avoir 35 ans lui 55 a peu prés. Il avait vendu son entreprise et vivait en province au lieu de Paris d’où il venait. Il avait 2 enfants majeurs, il avait fini par cesser de se planquer pour vivre comme il l’entendait. Pas de drame, la femme les enfants étaient au courant qu’il préférait les mecs. Il avait réussi à faire une transition sans drames. Je l’avais à cette époque rencontré sur le Minitel.

J’avais été invité à le rencontrer en fin d’après-midi chez lui. Belle et grande maison, je gare la voiture devant chez lui. Si je me souviens bien ce devait être la Ford Grenada Ghia V6 j’ai toujours adoré les vraies voitures.

Une fois entré on s’installe, un café pour commencer, puis un scotch sec. On bavarde on fait connaissance. Agréable discussion, un homme cultivé, intelligent c’est une vraie chance. Je suis tellement souvent tombé sur des types bas de plafond mais qui aimaient le cul qui vous foutaient la main au paquet à peine après bonjour. Je peux être très extrême dans le cul mais cela n’empêche pas d’être civilisé. Jacques, un pervers bien élevé c’était le pied. Je ne parle pas trop du physique car cela n’a jamais été un vrai critère pour moi. Je préfère 100 fois un mec motivé et nature au physique moyen qu’un super beau mec con comme ses pieds. Mon physique a moi n’étant ni beau mec ni quasimodo, je dirais passe partout (non pas le nain).

Jacques était un peu comme moi, il me fit juste une remarque,

- J’aimes pas trop les barbes mais bon on s’habitue.

Je lui expliquais que j’avais la barbe depuis mon entrée en seconde et que je ne l’ai jamais coupée. Sauf une fois temporairement suite a un feu lié au tir avec un fusil a silex de collection, oui il n’y a pas que le cul dans la vie.

On avait épuisé les sujets annexes on en était arrivé au cul, il m’expliquait qu’il avait pas mal de potes et qu’il organisait souvent des Week ends de débauche a plusieurs, la maison étant immense on pouvait se retrouver là une vingtaine sans aucun doute. Un prénom revenait souvent Michel.

- Dis-moi Jacques tu parles souvent de Michel c’est un mec qui compte on dirait ?

- Oh oui c’est un bon pote et un queutard fini. Avec lui c’est la folie. Il est très dominateur, il adore ça s’occuper des mecs soumis. C’est un spécialiste.

- Hé mais ça tombe bien çà moi je suis soumis et très maso avec les mecs

- Sans blague, tu plaisante non ? Dit Jacques

- Ah pas du tout je peux être une bonne salope, on peut tout me faire, et me faire faire.

- Je n’aurais pas du tout imaginé çà en te voyant, tu as plutôt un look de dominant.

- Je suis domi avec les femmes surtout, avec les mecs je suis soumis en principe. En fait selon les partenaires je change. J’ai déjà dominé des mecs mais je préfère faire la pute

- Carrément faire la pute ? Tu y va fort, combien tu pourrais t’en prendre.

- Aucune idée, mon max c’est 4 mais je pense que 10 ou 15 ça serait faisable.

- Ok tu veux qu’on organise çà ? Dit Jacques.

- Oh attends on n’a même rien fait tous les deux, on ne va pas convoquer les potes tout de suite non ?

Il se lève et vient vers moi, il est bien plus grand que moi il doit faire 1m80 au moins assez carré un peu de bide.

- Lève toi s’il te plait, il y a un truc que je vois depuis que tu es arrivé et j’aimerais savoir.

- Quoi ? Dis-je

- Chut laisse moi faire.

Il commence à enlever les boutons de ma chemise, puis l’ouvre en grand. Exposant ma poitrine.

- J’en étais certain, quels jolis tétons, tout durs on dirait et tendus. Sensibles ?

Je n’ai pas le temps de répondre il passe ses pouces sur mes pointes, et là naturellement je ne peux retenir un soupir de plaisir.

- Oh trés sensible dit Jacques en continuant de me caresser les pointes.

- Oh oui je suis sensible des bouts. Et ça me fait bander comme un fou.

Il pose sa main droite sur mon jean, sur la bosse de mon jean.

- Hmmm oui tu bandes bien Gilles. Tu es à l’étroit là.

Il s’attaque à ma ceinture, et en moins de 10 secondes mon jean tombe au sol.

J’adore, pas de slip c’est super.

Sa main s’empare de ma queue alors qu’il s’agenouille devant moi. Son autre main m’attrape le paquet, il forme un anneau du pouce et de l’index étranglant mes couilles, il tire vers le bas. Ma bite jusque-là dressée contre mon ventre, s’abaisse à l’horizontale.

- Belle queue mon gars, ce n’est pas un monstre tu es normal, mais comment tu bande dur et elle est épaisse, et regarde toutes ces veines gonflées, avec un cock ring elle serait vachement bien.

Ses manipulations ne me laissent pas indifférent. Je bande de plus en plus à chaque instant.

- J’y tiens plus dit Jacques en avalant mon chibre.

Il commence a me sucer avec science, je donne de petits coups de reins, son autre main pétris ma fesse gauche. Il me prend profondément dans sa bouche.

- Oh putain tu suce bien, oui comme çà. Dis-je

De plus en plus excité, j’attrape mes tétons entre mes doigts et les tortille les fait rouler, je les pince. Je suis cette fois bien excité. On va devoir aller au bout.

Jacques cesse de me sucer et me dit.

- Tu as l’air bien excité, bien salope. Tu veux que je te défonce ? Regarde ta queue à la goutte au nez.

En effet je mouille du gland, une grosse goute transparente qui se transforme en n long fil transparent qui reste accroché à mon chibre.

- Attends je vais chercher des capotes.et du gel Dit Jacques

- Non laisse tomber j’ai trop envie là. Et pas besoin je suis assez large.

- Oh çà me va encore mieux tu sais. Mets toi la sur le canapé, cambre toi

Il me colle une magistrale claque sur le cul. Je ne retiens pas mon soupir de plaisir.

- Hmmmm oui claque moi bien j’aime.

Il me chope le paquet a nouveau et m’écrase les couilles. La douleur irradie, monte dans mon ventre.

- Ohhh oui fais-moi exploser les burnes. Il met un coup avec le dos de la main . Je pousse un grand cri ohhhhh ouiiiii encore.

- Tiens prend çà ma salope et il me claque les couilles a nouveau.

- Hmmmm ouii putain enfile moi viens me prendre je suis ta pute

Jacques approche sa queue gonflée de mon anus, sans même l’humidifier il pose son gland contre mon anus, ses mains agrippent mes hanches. Le gland se fraye un passage dans mon cul.

- Arrghhh oui vas-y criais-je

La queue pénètre rapidement et son ventre claque contre mon cul. Il m’a enfilé d’un trait. Il ressort totalement et recommence me faisant gueuler à nouveau.

- Ahh tu prend bien ma salope, mais t’est bien ouvert pour un bi.

- Continue fort, défonce-moi j’en veux. Dis-je

Je suis très excité, Jacques m’ouvre en deux, je sais qu’a ce rythme dans une minute çà va glisser tout seul. Je mouille rapidement du cul dans ces conditions. Ses couilles heurtent les miennes quand il vient à fond. Je fais tout pour m'ouvrir le plus possible. Son gland frotte sur ma prostate et en peu de temps, je sens que ma queue se met à couler. Ma queue est dure et plaquée à mon ventre, contrairement à pas mal de mecs je bande énormément quand on m’enfile. Et j’aimes la façon dont il me travaille le fion. A chaque allez retour nous poussons tous deux des cris sans nous retenir. Jacques semble aimer mon cul, il me colle des claques sur le cul en cadence ou presque ce que j’adore.

Alors qu’il me baise mon cerveau prend de l’avance et imagine ce que pourrais donner une soirée avec plein de mecs ici. Mon petit cinéma interne me fait encore plus bander et mouiller.

La main de Jacques passe sous mon ventre et il choppe ma queue. Il sent j’humidité et s’ne colle plein les doigts. Alors qu’il empoigne ma tige et décalotte mon gland a fond, même plus qu’a fond me faisant gémir de plaisir et de douleur il faut bien l’avouer. J’ai l’impression que ma queue va se déchirer qu’elle plie à l’envers.

- Oh Ouii fort oui vas-y j’aimes çà.

- Bon dieu !! T'est une vraie chienne, tu mouilles comme une femelle tiens !

Il met sa main sur ma bouche et barbouille mes lèvres avec ce qu’il a sur les doigts, je sors la langue lèche ses doigts. Il me met trois doigts dans la gueule et pousse il va loin il a de grandes mains il va récupérer sa main encore plus mouillée qu’avant. Il le sent je bave sur les doigts, sa tombe sur le canapé en faisant des flocs comme s'il pleuvait. Il passe sa main dégoulinante sur mon visage, il s’essuie.

- Mais quelle pute tu fais ! Les potes vont te démonter et ti va adorer. ! On va pouvoir te cogner même.

Joignant le geste à la parole il me colle une droite dans les côtes flottantes du côté droit me coupant le souffle. Rapidement une autre sur la gauche. Mes bras ne me soutiennent, pls mes jambes flageole je me retrouve la gueule coincée contre le dossier du canapé, le poitrail sur le siège. Sa queue me ramone toujours. J’adore sa façon de me prendre, le suis prêt a tout trop excité pour refuser ou me plaindre. Avec les mecs qui savent me driver, je peux être totalement soumis et très maso. J’adorerait qu’il y ai d’autres mecs pour me travailler les couilles, les tétons. On me fourrerait une queue dans la bouche. Je dis une comme je dirais 4 ou 5 .

La main de Jacques, revient sur ma queue, descend jusqu’a mes couilles qu’il empaume totalement et graduellement il se met a serrer. Il m’écrase totalement les couilles. La douleur irradie grimpant le long de l’aine, pour se focaliser sous mon sternum. Je suis haletant, il continue a défoncer mon cul, je suis ouvert, souple. Quand il se retire parfois je sais que je reste béant un moment avant de me refermer. J’aimerais qu’on soit plus, que quand il se retire une autre queue me prenne. Ou une main, Jacques ne pourrais pas il a de trop grosses paluches et je ne pourrais pas l’accepter hélas. J’aurais du me faire fister par plus de mecs, me faire dilater. J’ai pas mal pratiqué le fist mais avec des femmes, leurs petites mains ne m’ont pas défoncé. Jamais aucune n’a pu aller jusqu’au coude, j’aurais vraiment adoré, mais un demi avant-bras était courant. Quelques gourmandes adoraient me prendre poing fermé et allait et venait longuement ainsi. Me menant à l’éjaculation sans même toucher ma queue.

Avec Jacques cela va être le cas, malgré l’intense douleur qu’il provoque ce broyage de burnes fait monter ma jouissance.

- Ohh je vais jouir baise moi ça vient continue putain !! Je vais cracher.

Jacques relâche brusquement la pression, ma queue frappe mon ventre et comme un escadron de cavalerie en plein charge mon sperme se rue dans l’urètre. Je sens monter la vague comme une brulure le long de ma tige.

Jacque continue de me baiser, il imprime le rythme de mes ejaculations.

- Putain je me vide !! Ohh oui je crache tout.

Les giclées se succèdent, puissantes elles s’éparpillent sur le canapé de cuir, mon sperme glisse en longues coulures. Je pensais que Jacques allait remplir mon cul, mais il attend, 6 ou 7 giclées plus tard, l’orgasme m’a fauché, je tombe a genoux au sol. La queue de Jacques, luisante et terriblement tendue, est là il me fait tourner vers lui et me plante sa queue dans la bouche, un coup de rein, son gland défonce mes amygdales

Mes mains sur ses fesses c’est moi cette fois qui impriment le rythme, ma laque cajole son sexe. Je l’avale plus loin que ce qu’il aurait osé m’imposer. J'ai envie de le sentir jouir dans ma bouche. Envie de sentir le sperme couler, jaillir dans mon gosier.

- Pompe moi fort, espèce de lope, bouffe ma queue tu vas boire mon jus espèce de truie Ohh oui oui ça viens ma pute.

Je ne peux m’empêcher de lâcher d’une main son cul, pour me branler ma queue tendue encore. Je le suce à fond, je me branle. Jacques est grand il réussit a m’attraper les mamelles et tords mes tétons avec violence. J’aimes çà Je grommelle la queue sur la langue.
Soudain Jacques pousse un cri, m’attrape la tête et me plaque contre son pubis. Il crache dans ma gorge où son gland est planté. Je subis sans pouvoir déglutir heureusement çà passe au bon endroit, j’ai cru en mourir une fois quand le sperme avait décidé d’envahir mes poumons. Cela est excessivement pénible et selon avis médical pourrait avoir de graves conséquences et provoquer un étouffement. Jacques donne un dernier coup de reins, se retire de ma bouche balance encore deux giclées sur ma langue et mes lèvres tandis que je continue à me branler furieusement.



- Bordel tu ne vas pas cracher aussi vite après ton premier coup quand même !! Dit il interloqué

- Ma ceinture !! Cognes moi !!

Il comprend ma demande et retire mon ceinturon de mon jean il se place près de moi ma queue est rouge mon gland violet. Le ceinturon fend l’air et flac sur mon dos.

- Plus fort criais je haletant. Plus fort cognes moi

Il obéit, vlan le coup est fort cette fois une brulure sur ma peau, je me cambre, chaque coup me brule et me fait sauter, cinq minutes je m’astique a fond, je me fais mal tellement je décalotte mon gland. Mes burnes sont serrées contre la base de ma queue je tremble soudain alors qu’un coup me déchire le cul éblouissement violent, coup de jus dans le cerveau. J’éjacule encore copieusement. A la première giclée j’ai juste tiré ma main à la base de ma queue, et le tire, je tire Les giclées son violentes, Jacques continue à me fouetter 7, 8 10 fois je décharge en gueulant. Avant de me laisser tomber sur le côté en position fœtale.

Première fois avec l’ami Jacques essai transformé. Je suis largement marqué le dos me cuit, mais bon sang quel pied. Tout ça a deux. Vivement du renfort.