Première rencontre avec un voyeur
Récit érotique écrit par Romaric180 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Première rencontre avec un voyeur
J’ai rencontré André à la suite d’une annonce qu’il avait passé, sa simplicité m’avait attiré l’œil : « cherche homme acceptant de se mettre nu devant moi ». Quoi de plus simple, en effet, pour quelqu’un aimant se montrer !
Je l’ai donc contacté et nous avons ainsi échangé par courriel pendant plusieurs jours. Souhaitant aller plus loin, André m’a demandé de le rejoindre sur Skype afin de se faire une idée de son interlocuteur.
Je me suis donc connecté et nous avons commencé par discuter comme si de rien était. C’était un homme de 68 ans, un peu dégarni, un peu de ventre, d’après ce que ses vêtements laissaient deviner, pas de quoi me rebuter, j’aime les hommes plus âgés que moi et l’aspect « nounours » n’est pas pour me déplaire. Je ressentais comme une petite gène de son côté, sans doute n’osait-il pas demander ce qui nous avait rapproché. C’est finalement moi qui lui ai proposé de juger la marchandise sur pièces.
J’ai donc commencé à me dévêtir, lentement, faisant durer le plaisir, enlevant ma chemise puis, me mettant debout, j’ai débouclé la ceinture de mon pantalon, ouvert le bouton et baissé la fermeture éclair de la braguette. Je me suis arrêté, lui posant la question : « Tu veux en voir plus ? ». Il a fait un signe de tête, montrant ainsi qu’il en voulait encore mais que la situation le gênait.
J’ai baissé lentement mon pantalon jusqu’aux chevilles, me montrant en slip, une bosse commençant à en déformer le devant.
« Encore ? », « Oui » dit-il dans un souffle.
Je me suis mis dos à la caméra et ai fait doucement descendre le slip, découvrant ainsi petit à petit mes fesses. Je me suis retourné, exhibant fièrement ma queue devant ses yeux.
Je l’entendais respirer fort, il était excité, c’est certain. « De quoi as-tu envie maintenant ? ». La seule réponse fut un écran noir, il avait coupé.
Bien sût ce n’était pas la première fois qu’il m’arrivait ce genre de mésaventure mais je dois avouer que j’étais déçu car la situation m’excitait. Je suis donc retourné à mes occupations sans trop y repenser.
Le lendemain j’ai reçu un mail de sa part, il s’excusait me disant qu’il avait aimé mais que sa femme risquait de rentrer. Il souhaitait garder le contact et, si j’en avais envie, que je vienne le voir.
Nous avons de nouveaux échangé des mails de plus en plus explicites, de mon côté, et nous avons fini par fixer un rendez-vous chez lui. Sa femme était absente toute la journée, elle ne rentrerait que tard dans la soirée, ce nous laissait du temps.
Le jour venu, je me suis présenté devant son immeuble, il habitait au deuxième étage, j’entrepris donc l’ascension d’un bon pas.
Arrivé devant sa porte j’ai sonné, le cœur battant plus fort, non de l’effort que je venais de fournir mais de cette excitation mêlée d’un soupçon de crainte que j’ai toujours la première fois que je rencontre un homme. Il m’a ouvert, vêtu d’un t-shirt et d’un pantalon de jogging.
Je suis entré, après avoir enlevé mes chaussures il m’a emmené dans un salon très sobre : une télévision, un ordinateur, des bibliothèques, un canapé et deux fauteuils. Une table basse complétait le mobilier. Il m’offrit un verre, sans doute pour faciliter le déroulement de ce qui allait suivre. J’ai pris un whisky afin de faire baisser ce sentiment qui m’habitait toujours.
Nous nous sommes assis et avons discuté agréablement puis vint le silence. C’était sans doute à moi de jouer maintenant.
- Tu as envie que je commence ?
- Vas-y, répondit-il.
Je me suis levé, j’ai enlevé mes chaussettes avant de déboutonner ma chemise, lentement, bouton après bouton. Je l’ai enlevée avant de commencer à attaquer le pantalon. Je ne le regardais pas mais j’entendais son souffle devenir plus rapide. Comme devant la caméra j’ai défait le bouton, fais glisser la braguette et ouvert le pantalon. Je me suis retourné face à lui, il avait chaud et avait placé sa main sur son sexe. D’un coup j’ai fait descendre le pantalon aux chevilles. Je portais un string dont la ficelle rentrait de manière impudique dans ma raie. Je me suis tourné devant lui, exhibant mes fesses.
- J’enlève tout ?
Sans attendre sa réponse je baissais la pièce de tissus me montrant tel que la nature m’avait faite.
J’ai tourné sur moi-même, lui permettant ainsi de découvrir toute mon intimité, ne cachant rien de mon anatomie.
Sa main était toujours crispée sur son bas-ventre.
Je me suis approché de lui, ai soulevé sa main et l’ai remplacé par la mienne. Son sexe était gonflé, pas énorme mais bien raide, j’ai osé un doigt sous la ceinture du jogging puis toute la main afin de découvrir ce qu’il cachait si bien. Mes doigts se sont glissés sous le slip et ont commencé à caresser son membre. Très vite j’ai senti quelque chose de chaud, il venait de jouir.
J’ai sorti ma main, pris un kleenex dans la boite qui était sur la table pour m’essuyer tout en souriant.
- Tu as envie de quelque chose, demandais-je ?
- Non, c’est bien, répondit-il.
Je me suis rhabillé, toujours lentement histoire de faire durer le plaisir de me montrer, nous nous sommes salués.
- A une prochaine fois ?
- Peut-être répondit-il en fermant la porte.
Je l’ai donc contacté et nous avons ainsi échangé par courriel pendant plusieurs jours. Souhaitant aller plus loin, André m’a demandé de le rejoindre sur Skype afin de se faire une idée de son interlocuteur.
Je me suis donc connecté et nous avons commencé par discuter comme si de rien était. C’était un homme de 68 ans, un peu dégarni, un peu de ventre, d’après ce que ses vêtements laissaient deviner, pas de quoi me rebuter, j’aime les hommes plus âgés que moi et l’aspect « nounours » n’est pas pour me déplaire. Je ressentais comme une petite gène de son côté, sans doute n’osait-il pas demander ce qui nous avait rapproché. C’est finalement moi qui lui ai proposé de juger la marchandise sur pièces.
J’ai donc commencé à me dévêtir, lentement, faisant durer le plaisir, enlevant ma chemise puis, me mettant debout, j’ai débouclé la ceinture de mon pantalon, ouvert le bouton et baissé la fermeture éclair de la braguette. Je me suis arrêté, lui posant la question : « Tu veux en voir plus ? ». Il a fait un signe de tête, montrant ainsi qu’il en voulait encore mais que la situation le gênait.
J’ai baissé lentement mon pantalon jusqu’aux chevilles, me montrant en slip, une bosse commençant à en déformer le devant.
« Encore ? », « Oui » dit-il dans un souffle.
Je me suis mis dos à la caméra et ai fait doucement descendre le slip, découvrant ainsi petit à petit mes fesses. Je me suis retourné, exhibant fièrement ma queue devant ses yeux.
Je l’entendais respirer fort, il était excité, c’est certain. « De quoi as-tu envie maintenant ? ». La seule réponse fut un écran noir, il avait coupé.
Bien sût ce n’était pas la première fois qu’il m’arrivait ce genre de mésaventure mais je dois avouer que j’étais déçu car la situation m’excitait. Je suis donc retourné à mes occupations sans trop y repenser.
Le lendemain j’ai reçu un mail de sa part, il s’excusait me disant qu’il avait aimé mais que sa femme risquait de rentrer. Il souhaitait garder le contact et, si j’en avais envie, que je vienne le voir.
Nous avons de nouveaux échangé des mails de plus en plus explicites, de mon côté, et nous avons fini par fixer un rendez-vous chez lui. Sa femme était absente toute la journée, elle ne rentrerait que tard dans la soirée, ce nous laissait du temps.
Le jour venu, je me suis présenté devant son immeuble, il habitait au deuxième étage, j’entrepris donc l’ascension d’un bon pas.
Arrivé devant sa porte j’ai sonné, le cœur battant plus fort, non de l’effort que je venais de fournir mais de cette excitation mêlée d’un soupçon de crainte que j’ai toujours la première fois que je rencontre un homme. Il m’a ouvert, vêtu d’un t-shirt et d’un pantalon de jogging.
Je suis entré, après avoir enlevé mes chaussures il m’a emmené dans un salon très sobre : une télévision, un ordinateur, des bibliothèques, un canapé et deux fauteuils. Une table basse complétait le mobilier. Il m’offrit un verre, sans doute pour faciliter le déroulement de ce qui allait suivre. J’ai pris un whisky afin de faire baisser ce sentiment qui m’habitait toujours.
Nous nous sommes assis et avons discuté agréablement puis vint le silence. C’était sans doute à moi de jouer maintenant.
- Tu as envie que je commence ?
- Vas-y, répondit-il.
Je me suis levé, j’ai enlevé mes chaussettes avant de déboutonner ma chemise, lentement, bouton après bouton. Je l’ai enlevée avant de commencer à attaquer le pantalon. Je ne le regardais pas mais j’entendais son souffle devenir plus rapide. Comme devant la caméra j’ai défait le bouton, fais glisser la braguette et ouvert le pantalon. Je me suis retourné face à lui, il avait chaud et avait placé sa main sur son sexe. D’un coup j’ai fait descendre le pantalon aux chevilles. Je portais un string dont la ficelle rentrait de manière impudique dans ma raie. Je me suis tourné devant lui, exhibant mes fesses.
- J’enlève tout ?
Sans attendre sa réponse je baissais la pièce de tissus me montrant tel que la nature m’avait faite.
J’ai tourné sur moi-même, lui permettant ainsi de découvrir toute mon intimité, ne cachant rien de mon anatomie.
Sa main était toujours crispée sur son bas-ventre.
Je me suis approché de lui, ai soulevé sa main et l’ai remplacé par la mienne. Son sexe était gonflé, pas énorme mais bien raide, j’ai osé un doigt sous la ceinture du jogging puis toute la main afin de découvrir ce qu’il cachait si bien. Mes doigts se sont glissés sous le slip et ont commencé à caresser son membre. Très vite j’ai senti quelque chose de chaud, il venait de jouir.
J’ai sorti ma main, pris un kleenex dans la boite qui était sur la table pour m’essuyer tout en souriant.
- Tu as envie de quelque chose, demandais-je ?
- Non, c’est bien, répondit-il.
Je me suis rhabillé, toujours lentement histoire de faire durer le plaisir de me montrer, nous nous sommes salués.
- A une prochaine fois ?
- Peut-être répondit-il en fermant la porte.
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BIEN MAIS UN PEU COURT