Première rencontre charnelle d’Hector et Joanna
Récit érotique écrit par Cecilia69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Première rencontre charnelle d’Hector et Joanna
Depuis son bureau, Joanna observe chaque jour Hector. Cet homme l’intrigue profondément, pas uniquement parce qu’il est très bel homme mais aussi car il dégage quelque chose de viril, de protecteur et d’autoritaire. Elle est certaine qu’elle n’est pourtant pas amoureuse, mais le désir la dévore un peu plus chaque jour. Dés qu’elle aperçoit celui-ci, elle a furieusement envie, presque besoin, de sentir son corps, de le découvrir enfin..
Mais Joanna lui laissera faire le second pas, après tout n’a-t’elle pas fait le premier, à l’entretien, en adoptant une attitude provocante mais surtout charmeuse ? Elle espère qu’elle s’est montrer suffisamment claire sur ses réelles intentions envers son dieu grec de nouvel employé. Ce qu’elle ignore cependant, c’est qu’Hector pense aussi beaucoup à elle. Bien souvent, il se surprend à se la représenter, à la vouloir dans son lit froid, presque chaque soir… Rompre sa solitude, le temps d’une nuit torride, lui ferait très certainement un bien fou. Malgré tout, les occasions féminines se présente souvent à lui, c’est un homme qui plaît et sait pertinemment comment s’y prendre pour séduire une femme. Mais, c’est sa jeune et jolie directrice qu’il veut désormais…
Contrairement à Hector, Joanna n’est pas une séductrice, d’ailleurs elle repousse tout assaillant, tout prétendant qui se présente sur son chemin en revêtant son masque de femme indifférente, glaciale, moqueuse et parfois même impitoyable. Elle n’aime pas se faire draguer car celle-ci lui ai toujours subie et non consentante. Ah, ces hommes là, elle les trouve si niais, agaçants. Qu’est-ce qu’ils sont pitoyables, ces serpents siffleurs !
Cependant, si Hector s’y essayerait un jour, sans trop savoir pourquoi, elle est à peu près certaine qu’elle appréciera cela…
En tout cas, quel luxe d’avoir son bureau qui fait face au gymnase, ainsi elle peut le dévorer des yeux et se délecter du viril son de sa voix, à sa guise.
✨
Un beau jour de début octobre, Hector désira voir Joanna. Ainsi, il cherche un prétexte, fourni par l’une de ses élèves…
Ce jour-là, Joanna doit passer en revue les retards et les absences de toutes les classes que compte son établissement. Il y a mieux comme travail, se dit t’elle, son fixe sonne soudain, elle s’empresse dès lors de décrocher. Il s’agit de sa secrétaire.
— Madame, un de vos prof d’EPS, le nouveau, vous attends dans le hall.
Joanna manque de rire quand elle a déclare vos profs d’EPS.
— Très bien. Faites le donc entrer, ordonne t’elle.
Tremblante, Joanna l’aperçut enfin… Il lui sourit, mais elle est certaine que ce sourire trop charmant n’est pas que polit, il déborde bien trop. Il s’approche d’elle, il est étrangement trop proche. Le fait-il exprès ?
Longuement, elle le scrute, ne pouvant s’empêcher de penser qu’il est sacrément beau. Le temps se suspend, leurs regards s’affrontent…
Soudain gênée, Joanna se racle la gorge, Hector fronce légèrement les sourcils et elle déclare :
— Bonjour Monsieur Tissot, en quoi puis-je vous être utile ? Elle ne put s’empêcher d’ajouter, malicieuse :
— Vous paraissez tendu, un problème ?
Il l’a défia du regard en relevant lentement sa parfaite mâchoire carrée.
— Je viens vous voir, pour vous toucher deux mots au sujet d’une élève qui s’avère particulièrement insolente à mon égard, annonce t’il en insistant bien sur particulièrement insolente tout en continuant à défier Joanna de son regard vert vertigineux, comme si c’est elle qui l’est plutôt que l’élève.
Il s’approche davantage, tel un prédateur. Pas le choix… Joanna est maintenant dos au mur, elle esquisse un petit sourire qu’Hector juge moqueur.
— Qui est-ce ? Je vais là convoquer d’ici peu…
— Joanna, le souffle court il s’empresse de rectifier en rougissant.
— Pardon Madame la Directrice, je voulais dire Anna Clairveaux en Quatrième C.
Joanna, face à un Hector confus et gêné, ne put étouffer son rire, bientôt imité par lui-même… Soudain, elle décrète que le petit numéro d’Hector s’est suffisamment éternisé.
— Monsieur le Prof d’EPS, j’admire votre autorité, vous savez… N’y voyez aucun mal, mais je suis voyez-vous assez étonnée que vous veniez me voir pour cette raison là. La prochaine fois, trouvez un meilleur prétexte pour venir me voir…
Il fait un pas supplémentaire, ce qui forcément eut pour effet que leurs corps se touchent.
— Vous aussi, vous avez dû être une élève bien insolente… Et moi, les insolentes, je les punis comme il se doit, souffle t’il.
Joanna sent son sexe qui la titille de plus en plus ardemment, seul responsable : Hector. Ou plus précisément, sa voix chargée de testostérones qui profère une possible punition, son souffle viril qu’elle sent dans son cou et son parfum aux notes boisées…. Cela est bien simple ; elle n’en peut plus ! Sous le regard masculin satisfait, elle se tortille du plus avide désir, qui ne demande qu’à être rassasié sur le champ. Hector sait qu’il a gagné, mais il sait surtout ce qu’il doit faire à Joanna, désormais…
Il écrase son corps du sien, saisit son menton et l’embrasse. La fureur de son baiser fait cogner celle qui en est victime, mais son offenseur ne semble pas se calmer, il glisse sa main puissante sous sa jupe. Elle gémis dès qu’elle sent le contact irrésistible de la main d’Hector sur sa rose qui ne demande qu’à éclore, il va le faire c’est certain… Ses doigts se livrent à un véritable enchaînement enflammé en elle, de sa main courroucée il l’a soulève subitement et la plaque contre son torse vigoureux. Ils s’embrassent de plus belle, Joanna à son tour est envahie de la plus folle ardeur, elle lui abaisse son jogging, saisis fermement son sexe tendu et le serre dans sa paume pour mieux encore en ressentir ses veines…
Avec rage, Hector finit par prendre debout Joanna ; d’un geste, il écarte ses cuisses et la voici totalement offerte à lui. Sans ménagement, elle enserre de ses jambes sa taille, cela fait, il rempli son sexe humide qui ne réclame que cela pour former ensuite un emboîtement parfait.
Ils se perdent rapidement, quittent peu à peu le monde, ensemble, triomphants… En chœur, eh oui même Hector qui pourtant est toujours silencieux pendant le sexe, cris les sensations intenses qu’il éprouve. Les gémissements sensuels presque plaintifs de Joanna se mêlent aux cris bestiaux d’Hector. Comme pour se contrôler un peu, il mord soudain ses seins à travers son pull, laissant le tissu froissé de ses marques de dents. Elle lui caresse la nuque, pour l’apaiser un peu de sa furie sexuelle… Férocement, leurs langues se mêlent, formant un tourbillon parfait. L’un dans l’autre, leur ivresse commune a atteint son paroxysme. Leurs corps entremêlés bougent au rythme imposé par Hector. Joanna se déchaîne, plus libre que jamais, hurle, secoue ses cheveux, s’abandonne, oublie tout, relève la tête, il en profite pour lui lécher le cou avant de lui retirer avec une brusquerie sauvage son pull, il mord son épaule, s’emparent de ses seins, les serrent vivement tout en continuant à venir en elle, plus doucement cependant. Il ralentit davantage la cadence pour l’affronter du regard, il l’a saisis par le menton jusqu’à ce qu’elle ouvre à nouveau les yeux et plongent dans les siens. Joanna est encore subjuguée par la beauté transcendante de ses yeux allumés par le désir, ils sont vert topaze. Hector s’appuie de ses mains contre le mur, pour la prendre avec encore plus de vigueur, leurs regards enfiévrés se soutiennent…
Joanna caresse le ventre musclé d’Hector, elle s’attarde sur ses hanches puis baladent ses mains librement comme effrontément sur son fessier d’athlète. Elle finit par l’attraper, ses doigts s’y enfonce, elle prend du plaisir à comprimer sa peau tendue dépourvue d’une seule once de graisse. Cela amuse mais surprend beaucoup Hector, les femmes n’ont d’ordinaire jamais l’audace de lui toucher les fesses, encore moins d’en faire un terrain de plaisir ! Il redouble soudainement d’intensité, les hanches s’entrechoquent, le plaisir les brûlent, il geint, elle hurle et enfoncent maintenant ses ongles manucurés dans son fessier parfait. Avec un grand cri de rage viril, il s’écoule avec puissance en elle. Il ne se retire pas, ils s’embrassent.
Il lui caresses les épaules avant d’en mordre une, puis il descend plus bas tandis qu’elle caresse ses cheveux, leurs regards se croisent avec défi avant qu’Hector éclate d’un rire joyeux, imité par Joanna, radieuse. Le rire qu’il émet traversent leurs corps encore scellés, elle l’a tout de même encore aux confins d’elle-même… Il finit cependant par se retirer enfin et lui ordonne en lui attrapant le menton, de rester toute la journée avec les traces de sa virilité. Devant ses yeux pleins de triomphe pervers, elle remet ainsi jupe et culotte. Il sourit alors, content. Elle s’avance pour remettre son sexe dans son boxer avant de replacer son jogging. Une dernière fois, ils s’embrassent puis Hector lui offre un large sourire avant de repartir en courant presque, aussi gai qu’un pinson tandis que Joanna le regarde s’éloigner avec un air ravi, presque rêveur…
Le même soir, aux abords de 19 heures, il décide de revenir l’a voir…
Dés qu’elle l’aperçoit, le visage de Joanna s’illumine immédiatement et l’excitation s’empare à nouveau d’elle, elle quitte son siège de bureau et s’avance vers lui. Dés lors, il l’a pousse contre la porte maintenant fermée, il glisse ses mains sous son pull puis passe ensuite une main habile dans sa culotte, il s’aperçoit en soulevant sa jupe qu’elle a finalement changer celle-ci pour une encore plus sexy et minuscule, soulignant encore tout en discrétion malgré le tissu d’acrylique le si mince dessin de son sexe. Cela l’excite terriblement, il sort alors son sexe et le frotte tout contre le tissu avant de frotter son gland très abruptement sur son clitoris, jusqu’à s’en faire mal. D’un geste habile, il baisse sa culotte jusqu’à ses chevilles. Il aime tant la voir ainsi, nue et soumise. Il l’embrasse puis retire précipitamment son pull, ses mains s’attarde sur ses seins durs, il les titilles pour les réchauffer, caresse d’un doigt son abdomen avant d’agripper doucement ses hanches. Il s’agenouille soudain, sans même lui écarter ses jambes, il arrive à accéder à son sexe pourtant si étroit… Quand Joanna sent la langue indécente d’Hector parcourir son sexe, elle se sent peu à peu défaillir. Il poursuit ainsi ses assauts avec sa langue, sans même un accès direct, il parvient à s’en occuper divinement bien. Tout en continuant à la goûter, il glisse sa main en elle. Joanna caresse et appuie tendrement sur sa tête, elle le pousse davantage dans son repère intime et ne tarde pas à être secouée d’ondes et d’incroyables spasmes. Hector ne lui laisse aucun répit, il continue quand même à user de ses grands coups de langue…
— C’est comme ça que tu punis les élèves insolentes ! Laisse moi alors te dire que ta punition est divine !, hurle t’elle soudain entre deux gémissements.
Hector rit.
— Je te réserve le meilleur pour la fin !
Il lui lance ainsi un ordre.
— Mets toi à genoux et suce moi.
Immédiatement, l’ordre devient réalité, Joanna adore aussitôt le goût citronné de son sexe, elle se délecte avec appétit sous l’expression glorieuse et triomphante d’Hector qui exulte. Il maintient sa tête pour l’a guider davantage même si elle n’en as pas besoin, elle sait très bien manier sa langue. Bientôt, il lui intimes l’ordre de le regarder. Elle lève alors ses yeux et réalise combien en ce moment même elle lui appartient. Hector pense aussi la même chose, si soumise à ses ordres, à lui-même, il est comme fou et ne tarde donc pas à se laisser succomber. Il crie son plaisir et se perd dans la bouche de cette femme qui la tourmente depuis peu. Il n’en peut plus, crie, balance son dos en arrière et manque de basculer en arrière. Joanna le maintient solidement par les hanches, elle est encore enfuie dans son sexe, le front contre le bas de son ventre. Elle semble songeuse, elle sème quelques baisers sur ses hanches parfaites avant de se relever. Il l’a prend entre ses bras et l’a rhabille, ses gestes sont lents et doux. Il lui sourit.
Mais Joanna lui laissera faire le second pas, après tout n’a-t’elle pas fait le premier, à l’entretien, en adoptant une attitude provocante mais surtout charmeuse ? Elle espère qu’elle s’est montrer suffisamment claire sur ses réelles intentions envers son dieu grec de nouvel employé. Ce qu’elle ignore cependant, c’est qu’Hector pense aussi beaucoup à elle. Bien souvent, il se surprend à se la représenter, à la vouloir dans son lit froid, presque chaque soir… Rompre sa solitude, le temps d’une nuit torride, lui ferait très certainement un bien fou. Malgré tout, les occasions féminines se présente souvent à lui, c’est un homme qui plaît et sait pertinemment comment s’y prendre pour séduire une femme. Mais, c’est sa jeune et jolie directrice qu’il veut désormais…
Contrairement à Hector, Joanna n’est pas une séductrice, d’ailleurs elle repousse tout assaillant, tout prétendant qui se présente sur son chemin en revêtant son masque de femme indifférente, glaciale, moqueuse et parfois même impitoyable. Elle n’aime pas se faire draguer car celle-ci lui ai toujours subie et non consentante. Ah, ces hommes là, elle les trouve si niais, agaçants. Qu’est-ce qu’ils sont pitoyables, ces serpents siffleurs !
Cependant, si Hector s’y essayerait un jour, sans trop savoir pourquoi, elle est à peu près certaine qu’elle appréciera cela…
En tout cas, quel luxe d’avoir son bureau qui fait face au gymnase, ainsi elle peut le dévorer des yeux et se délecter du viril son de sa voix, à sa guise.
✨
Un beau jour de début octobre, Hector désira voir Joanna. Ainsi, il cherche un prétexte, fourni par l’une de ses élèves…
Ce jour-là, Joanna doit passer en revue les retards et les absences de toutes les classes que compte son établissement. Il y a mieux comme travail, se dit t’elle, son fixe sonne soudain, elle s’empresse dès lors de décrocher. Il s’agit de sa secrétaire.
— Madame, un de vos prof d’EPS, le nouveau, vous attends dans le hall.
Joanna manque de rire quand elle a déclare vos profs d’EPS.
— Très bien. Faites le donc entrer, ordonne t’elle.
Tremblante, Joanna l’aperçut enfin… Il lui sourit, mais elle est certaine que ce sourire trop charmant n’est pas que polit, il déborde bien trop. Il s’approche d’elle, il est étrangement trop proche. Le fait-il exprès ?
Longuement, elle le scrute, ne pouvant s’empêcher de penser qu’il est sacrément beau. Le temps se suspend, leurs regards s’affrontent…
Soudain gênée, Joanna se racle la gorge, Hector fronce légèrement les sourcils et elle déclare :
— Bonjour Monsieur Tissot, en quoi puis-je vous être utile ? Elle ne put s’empêcher d’ajouter, malicieuse :
— Vous paraissez tendu, un problème ?
Il l’a défia du regard en relevant lentement sa parfaite mâchoire carrée.
— Je viens vous voir, pour vous toucher deux mots au sujet d’une élève qui s’avère particulièrement insolente à mon égard, annonce t’il en insistant bien sur particulièrement insolente tout en continuant à défier Joanna de son regard vert vertigineux, comme si c’est elle qui l’est plutôt que l’élève.
Il s’approche davantage, tel un prédateur. Pas le choix… Joanna est maintenant dos au mur, elle esquisse un petit sourire qu’Hector juge moqueur.
— Qui est-ce ? Je vais là convoquer d’ici peu…
— Joanna, le souffle court il s’empresse de rectifier en rougissant.
— Pardon Madame la Directrice, je voulais dire Anna Clairveaux en Quatrième C.
Joanna, face à un Hector confus et gêné, ne put étouffer son rire, bientôt imité par lui-même… Soudain, elle décrète que le petit numéro d’Hector s’est suffisamment éternisé.
— Monsieur le Prof d’EPS, j’admire votre autorité, vous savez… N’y voyez aucun mal, mais je suis voyez-vous assez étonnée que vous veniez me voir pour cette raison là. La prochaine fois, trouvez un meilleur prétexte pour venir me voir…
Il fait un pas supplémentaire, ce qui forcément eut pour effet que leurs corps se touchent.
— Vous aussi, vous avez dû être une élève bien insolente… Et moi, les insolentes, je les punis comme il se doit, souffle t’il.
Joanna sent son sexe qui la titille de plus en plus ardemment, seul responsable : Hector. Ou plus précisément, sa voix chargée de testostérones qui profère une possible punition, son souffle viril qu’elle sent dans son cou et son parfum aux notes boisées…. Cela est bien simple ; elle n’en peut plus ! Sous le regard masculin satisfait, elle se tortille du plus avide désir, qui ne demande qu’à être rassasié sur le champ. Hector sait qu’il a gagné, mais il sait surtout ce qu’il doit faire à Joanna, désormais…
Il écrase son corps du sien, saisit son menton et l’embrasse. La fureur de son baiser fait cogner celle qui en est victime, mais son offenseur ne semble pas se calmer, il glisse sa main puissante sous sa jupe. Elle gémis dès qu’elle sent le contact irrésistible de la main d’Hector sur sa rose qui ne demande qu’à éclore, il va le faire c’est certain… Ses doigts se livrent à un véritable enchaînement enflammé en elle, de sa main courroucée il l’a soulève subitement et la plaque contre son torse vigoureux. Ils s’embrassent de plus belle, Joanna à son tour est envahie de la plus folle ardeur, elle lui abaisse son jogging, saisis fermement son sexe tendu et le serre dans sa paume pour mieux encore en ressentir ses veines…
Avec rage, Hector finit par prendre debout Joanna ; d’un geste, il écarte ses cuisses et la voici totalement offerte à lui. Sans ménagement, elle enserre de ses jambes sa taille, cela fait, il rempli son sexe humide qui ne réclame que cela pour former ensuite un emboîtement parfait.
Ils se perdent rapidement, quittent peu à peu le monde, ensemble, triomphants… En chœur, eh oui même Hector qui pourtant est toujours silencieux pendant le sexe, cris les sensations intenses qu’il éprouve. Les gémissements sensuels presque plaintifs de Joanna se mêlent aux cris bestiaux d’Hector. Comme pour se contrôler un peu, il mord soudain ses seins à travers son pull, laissant le tissu froissé de ses marques de dents. Elle lui caresse la nuque, pour l’apaiser un peu de sa furie sexuelle… Férocement, leurs langues se mêlent, formant un tourbillon parfait. L’un dans l’autre, leur ivresse commune a atteint son paroxysme. Leurs corps entremêlés bougent au rythme imposé par Hector. Joanna se déchaîne, plus libre que jamais, hurle, secoue ses cheveux, s’abandonne, oublie tout, relève la tête, il en profite pour lui lécher le cou avant de lui retirer avec une brusquerie sauvage son pull, il mord son épaule, s’emparent de ses seins, les serrent vivement tout en continuant à venir en elle, plus doucement cependant. Il ralentit davantage la cadence pour l’affronter du regard, il l’a saisis par le menton jusqu’à ce qu’elle ouvre à nouveau les yeux et plongent dans les siens. Joanna est encore subjuguée par la beauté transcendante de ses yeux allumés par le désir, ils sont vert topaze. Hector s’appuie de ses mains contre le mur, pour la prendre avec encore plus de vigueur, leurs regards enfiévrés se soutiennent…
Joanna caresse le ventre musclé d’Hector, elle s’attarde sur ses hanches puis baladent ses mains librement comme effrontément sur son fessier d’athlète. Elle finit par l’attraper, ses doigts s’y enfonce, elle prend du plaisir à comprimer sa peau tendue dépourvue d’une seule once de graisse. Cela amuse mais surprend beaucoup Hector, les femmes n’ont d’ordinaire jamais l’audace de lui toucher les fesses, encore moins d’en faire un terrain de plaisir ! Il redouble soudainement d’intensité, les hanches s’entrechoquent, le plaisir les brûlent, il geint, elle hurle et enfoncent maintenant ses ongles manucurés dans son fessier parfait. Avec un grand cri de rage viril, il s’écoule avec puissance en elle. Il ne se retire pas, ils s’embrassent.
Il lui caresses les épaules avant d’en mordre une, puis il descend plus bas tandis qu’elle caresse ses cheveux, leurs regards se croisent avec défi avant qu’Hector éclate d’un rire joyeux, imité par Joanna, radieuse. Le rire qu’il émet traversent leurs corps encore scellés, elle l’a tout de même encore aux confins d’elle-même… Il finit cependant par se retirer enfin et lui ordonne en lui attrapant le menton, de rester toute la journée avec les traces de sa virilité. Devant ses yeux pleins de triomphe pervers, elle remet ainsi jupe et culotte. Il sourit alors, content. Elle s’avance pour remettre son sexe dans son boxer avant de replacer son jogging. Une dernière fois, ils s’embrassent puis Hector lui offre un large sourire avant de repartir en courant presque, aussi gai qu’un pinson tandis que Joanna le regarde s’éloigner avec un air ravi, presque rêveur…
Le même soir, aux abords de 19 heures, il décide de revenir l’a voir…
Dés qu’elle l’aperçoit, le visage de Joanna s’illumine immédiatement et l’excitation s’empare à nouveau d’elle, elle quitte son siège de bureau et s’avance vers lui. Dés lors, il l’a pousse contre la porte maintenant fermée, il glisse ses mains sous son pull puis passe ensuite une main habile dans sa culotte, il s’aperçoit en soulevant sa jupe qu’elle a finalement changer celle-ci pour une encore plus sexy et minuscule, soulignant encore tout en discrétion malgré le tissu d’acrylique le si mince dessin de son sexe. Cela l’excite terriblement, il sort alors son sexe et le frotte tout contre le tissu avant de frotter son gland très abruptement sur son clitoris, jusqu’à s’en faire mal. D’un geste habile, il baisse sa culotte jusqu’à ses chevilles. Il aime tant la voir ainsi, nue et soumise. Il l’embrasse puis retire précipitamment son pull, ses mains s’attarde sur ses seins durs, il les titilles pour les réchauffer, caresse d’un doigt son abdomen avant d’agripper doucement ses hanches. Il s’agenouille soudain, sans même lui écarter ses jambes, il arrive à accéder à son sexe pourtant si étroit… Quand Joanna sent la langue indécente d’Hector parcourir son sexe, elle se sent peu à peu défaillir. Il poursuit ainsi ses assauts avec sa langue, sans même un accès direct, il parvient à s’en occuper divinement bien. Tout en continuant à la goûter, il glisse sa main en elle. Joanna caresse et appuie tendrement sur sa tête, elle le pousse davantage dans son repère intime et ne tarde pas à être secouée d’ondes et d’incroyables spasmes. Hector ne lui laisse aucun répit, il continue quand même à user de ses grands coups de langue…
— C’est comme ça que tu punis les élèves insolentes ! Laisse moi alors te dire que ta punition est divine !, hurle t’elle soudain entre deux gémissements.
Hector rit.
— Je te réserve le meilleur pour la fin !
Il lui lance ainsi un ordre.
— Mets toi à genoux et suce moi.
Immédiatement, l’ordre devient réalité, Joanna adore aussitôt le goût citronné de son sexe, elle se délecte avec appétit sous l’expression glorieuse et triomphante d’Hector qui exulte. Il maintient sa tête pour l’a guider davantage même si elle n’en as pas besoin, elle sait très bien manier sa langue. Bientôt, il lui intimes l’ordre de le regarder. Elle lève alors ses yeux et réalise combien en ce moment même elle lui appartient. Hector pense aussi la même chose, si soumise à ses ordres, à lui-même, il est comme fou et ne tarde donc pas à se laisser succomber. Il crie son plaisir et se perd dans la bouche de cette femme qui la tourmente depuis peu. Il n’en peut plus, crie, balance son dos en arrière et manque de basculer en arrière. Joanna le maintient solidement par les hanches, elle est encore enfuie dans son sexe, le front contre le bas de son ventre. Elle semble songeuse, elle sème quelques baisers sur ses hanches parfaites avant de se relever. Il l’a prend entre ses bras et l’a rhabille, ses gestes sont lents et doux. Il lui sourit.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour cette histoire qui m'a bien excitée car il y a un bon moment qu'un beau mâle viril et musclé, mon type préféré, ne m'a pas intimé l'ordre de le sucer en le regardant pour me faire comprendre que je lui appartiens
J'adore. C'est très bien écrit, on sent la tension sexuelle mnnter, l'emprise du prof sur joanna... un delice très excitant Ob imagine une suite, vite..