Première rencontre dans la nature
Récit érotique écrit par Romaric180 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Première rencontre dans la nature
La première rencontre est toujours un moment important, très vite les échanges virtuels ne suffisent plus et le passage à l’acte s’impose.
Le lieu de rendez-vous était fixé sur une place devant la mairie. Outre le fait que cet endroit était passagé et offrait une certaine sécurité, la place disposait de bancs permettant un échange dans de bonnes conditions.
Je n’eus pas de surprise, physiquement il était comme décrit et ressemblait à ses photos. De ma taille, à peu près de ma corpulence, il ne paraissait pas son âge. Qu’importe, je me sens toujours rassuré avec un homme plus âgé.
Notre conversation fut agréable, sans tabous puisque nous avions déjà évoqué nos goûts et fantasmes respectifs et nous avons décidé d’aller faire plus ample connaissance dans un endroit plus calme.
Je l’ai suivi jusqu’à un parking à l’orée d’un bois et nous nous sommes enfoncés dans le sous bois, nous éloignant de la petite route mais aussi des chemins. Arrivés dans une clairière que visiblement il connaissait, il me dit « Ici nous serons tranquilles, il ne vient jamais personne ». Un tronc était abattu et formerait un siège tout à fait acceptable si le besoin s’en faisait sentir.
Il posa dessus la couverture repliée qu’il avait pris soin d’emmener, s’assit sur le tronc et me demanda d’approcher.
- Montre-moi ce que tu caches là dessous.
Je m’approchais, déboutonnais et enlevais ma chemise, puis ce fut le tour de ma ceinture et des boutons de mon pantalon. Je restais ainsi torse nu, pantalon ouvert sans rien dire.
- Tu as peur ? Tu n’étais pas si pudique sur Skype !
Je baissais donc mon pantalon jusqu’aux genoux puis, en hésitant un peu, je me décidais à baisser mon slip. J’ai senti à ce moment la délicieuse fraicheur qui parcourait mes fesses et mon bas ventre ainsi libérés.
Sa main s’approcha de mon sexe, parcourut les bourses en les soupesant puis se déplaça sur la hampe, prenant soin de décalotter complètement mon gland.
- Pas mal côté face, voyons maintenant l’autre côté.
Je me retournais donc pour présenter mes fesses à son regard inquisiteur. Là encore, les mains prirent le relai et s’égarèrent sur les globes, s’immisçant entre les deux pour flatter mon anus qui se contracta par réflexe.
- Et timide avec ça, rigola-t-il !
Il me fit pencher en avant afin de lui dévoiler entièrement mon intimité tout en continuant son investigation. Son doigt appuyait sur ma rosette et réussit rapidement à en forcer le passage, il introduisit les deux premières phalanges de son majeur, le faisant tourner doucement. Je poussais un petit cri de surprise.
- Bien souple, dit-il semblant satisfait de cette constatation. Alors c’est vrai, tu ne veux pas tout enlever ?
Non, je ne voulais pas me retrouver entièrement nu dans un endroit où quelqu’un pouvait venir.
- Comme tu veux mais ça te vaudra une punition, c’est à toi de choisir.
Mon choix était fait. Il se leva, m’attrapa sous son bras, les fesses tendues, et sa main s’abattit sur mon postérieur. Le coup était fort, très appuyé, puis un autre le suivit et ainsi de suite. Il frappait équitablement les deux côtés et je sentais la chaleur monter. Il s’arrêta pour changer de position. Assis sur le tronc, il me plaça sur ses genoux, bloquant mes jambes de sa jambe droite et tenant mes poignets dans le dos de sa main gauche. Je ne pouvais pas bouger. Il recommença alors son ouvrage, n’oubliant aucun centimètre carré de mon postérieur. Dans cette position, je sentais son sexe prendre de l’ampleur contre ma hanche.
Satisfait de la couleur, il me releva et, sans un mot, défit son pantalon, baissa son slip et libéra un sexe de bonne taille.
- Mets-toi à genoux, m’intima-t-il.
A genoux devant lui je baissais la tête pour prendre sa queue en bouche. Tout doucement, mes lèvres se posèrent sur le gland, ma langue en parcouru les lignes avant que j’aspire plus profondément la hampe, je faisais des va et vient sur ce sexe dressé. Je n’osais penser à ce qui se serait passé si quelqu’un était arrivé, me voyant ainsi fesses en feu à m’appliquer sur un sexe brandi !
Il ne voulait pas jouir dans ma bouche, je lui avais fait part de ma réticence de cette pratique. Il m’arrêta donc, me demanda de me relever et de me pencher en avant en posant les mains sur le tronc. Il écarta mes cuisses, prit du gel dans son sac et en déposa une noix sur mon anus. Il utilisa son pouce pour travailler l’entrée puis un autre doigt et enfin un troisième pour parfaire l’ouverture. Il jouait à m’ouvrir avec ses doigts, je sentais ce plaisir indéfinissable m’envahir. Me jugeant assez ouvert, il retira ses doigts, plaça un préservatif sur son sexe dressé et se présenta à l’entrée. Son gland ne tarda pas à franchir la barrière et à s’engouffrer dans mon intimité. Il poussa alors un grand coup et pénétra complètement me faisant pousser un cri vite étouffé par la peur d’attirer du monde. Il commença à me pilonner de plus en plus rapidement, je bougeais sans le vouloir sous les coups qu’il me mettait, haletant en cadence avec ses mouvements. D’un coup il se raidit et éjacula en râlant. Nous sommes restés sans bouger quelques instants pour reprendre notre souffle puis il ressortit, retira le préservatif et s’essuya. J’en fis de même, tout poisseux qu’était mon cul après un tel traitement.
Il se rajusta, je l’imitais et nous sommes retournés vers le parking où nous attendaient nos voitures. La prochaine fois nous nous verrons chez lui, mais il aura une surprise pour moi.
Le lieu de rendez-vous était fixé sur une place devant la mairie. Outre le fait que cet endroit était passagé et offrait une certaine sécurité, la place disposait de bancs permettant un échange dans de bonnes conditions.
Je n’eus pas de surprise, physiquement il était comme décrit et ressemblait à ses photos. De ma taille, à peu près de ma corpulence, il ne paraissait pas son âge. Qu’importe, je me sens toujours rassuré avec un homme plus âgé.
Notre conversation fut agréable, sans tabous puisque nous avions déjà évoqué nos goûts et fantasmes respectifs et nous avons décidé d’aller faire plus ample connaissance dans un endroit plus calme.
Je l’ai suivi jusqu’à un parking à l’orée d’un bois et nous nous sommes enfoncés dans le sous bois, nous éloignant de la petite route mais aussi des chemins. Arrivés dans une clairière que visiblement il connaissait, il me dit « Ici nous serons tranquilles, il ne vient jamais personne ». Un tronc était abattu et formerait un siège tout à fait acceptable si le besoin s’en faisait sentir.
Il posa dessus la couverture repliée qu’il avait pris soin d’emmener, s’assit sur le tronc et me demanda d’approcher.
- Montre-moi ce que tu caches là dessous.
Je m’approchais, déboutonnais et enlevais ma chemise, puis ce fut le tour de ma ceinture et des boutons de mon pantalon. Je restais ainsi torse nu, pantalon ouvert sans rien dire.
- Tu as peur ? Tu n’étais pas si pudique sur Skype !
Je baissais donc mon pantalon jusqu’aux genoux puis, en hésitant un peu, je me décidais à baisser mon slip. J’ai senti à ce moment la délicieuse fraicheur qui parcourait mes fesses et mon bas ventre ainsi libérés.
Sa main s’approcha de mon sexe, parcourut les bourses en les soupesant puis se déplaça sur la hampe, prenant soin de décalotter complètement mon gland.
- Pas mal côté face, voyons maintenant l’autre côté.
Je me retournais donc pour présenter mes fesses à son regard inquisiteur. Là encore, les mains prirent le relai et s’égarèrent sur les globes, s’immisçant entre les deux pour flatter mon anus qui se contracta par réflexe.
- Et timide avec ça, rigola-t-il !
Il me fit pencher en avant afin de lui dévoiler entièrement mon intimité tout en continuant son investigation. Son doigt appuyait sur ma rosette et réussit rapidement à en forcer le passage, il introduisit les deux premières phalanges de son majeur, le faisant tourner doucement. Je poussais un petit cri de surprise.
- Bien souple, dit-il semblant satisfait de cette constatation. Alors c’est vrai, tu ne veux pas tout enlever ?
Non, je ne voulais pas me retrouver entièrement nu dans un endroit où quelqu’un pouvait venir.
- Comme tu veux mais ça te vaudra une punition, c’est à toi de choisir.
Mon choix était fait. Il se leva, m’attrapa sous son bras, les fesses tendues, et sa main s’abattit sur mon postérieur. Le coup était fort, très appuyé, puis un autre le suivit et ainsi de suite. Il frappait équitablement les deux côtés et je sentais la chaleur monter. Il s’arrêta pour changer de position. Assis sur le tronc, il me plaça sur ses genoux, bloquant mes jambes de sa jambe droite et tenant mes poignets dans le dos de sa main gauche. Je ne pouvais pas bouger. Il recommença alors son ouvrage, n’oubliant aucun centimètre carré de mon postérieur. Dans cette position, je sentais son sexe prendre de l’ampleur contre ma hanche.
Satisfait de la couleur, il me releva et, sans un mot, défit son pantalon, baissa son slip et libéra un sexe de bonne taille.
- Mets-toi à genoux, m’intima-t-il.
A genoux devant lui je baissais la tête pour prendre sa queue en bouche. Tout doucement, mes lèvres se posèrent sur le gland, ma langue en parcouru les lignes avant que j’aspire plus profondément la hampe, je faisais des va et vient sur ce sexe dressé. Je n’osais penser à ce qui se serait passé si quelqu’un était arrivé, me voyant ainsi fesses en feu à m’appliquer sur un sexe brandi !
Il ne voulait pas jouir dans ma bouche, je lui avais fait part de ma réticence de cette pratique. Il m’arrêta donc, me demanda de me relever et de me pencher en avant en posant les mains sur le tronc. Il écarta mes cuisses, prit du gel dans son sac et en déposa une noix sur mon anus. Il utilisa son pouce pour travailler l’entrée puis un autre doigt et enfin un troisième pour parfaire l’ouverture. Il jouait à m’ouvrir avec ses doigts, je sentais ce plaisir indéfinissable m’envahir. Me jugeant assez ouvert, il retira ses doigts, plaça un préservatif sur son sexe dressé et se présenta à l’entrée. Son gland ne tarda pas à franchir la barrière et à s’engouffrer dans mon intimité. Il poussa alors un grand coup et pénétra complètement me faisant pousser un cri vite étouffé par la peur d’attirer du monde. Il commença à me pilonner de plus en plus rapidement, je bougeais sans le vouloir sous les coups qu’il me mettait, haletant en cadence avec ses mouvements. D’un coup il se raidit et éjacula en râlant. Nous sommes restés sans bouger quelques instants pour reprendre notre souffle puis il ressortit, retira le préservatif et s’essuya. J’en fis de même, tout poisseux qu’était mon cul après un tel traitement.
Il se rajusta, je l’imitais et nous sommes retournés vers le parking où nous attendaient nos voitures. La prochaine fois nous nous verrons chez lui, mais il aura une surprise pour moi.
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