Première rencontre réelle avec mon Maître
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Première rencontre réelle avec mon Maître
Cher maître, Je me rends au rendez-vous que mon Maître m’a accordé avec beaucoup de joie et d’envie. sa commande est claire. Pour la tenue « correcte exigée », j’ai mis un jean noir, une chemise sous un pull car il fait froid et par-dessus un manteau. En dessous rien, vous avez demandé que je sois « cul nu » sous mon pantalon. Je n’ai donc ni slip ni caleçon. Tandis que je marche vers vous, mon sexe se balance librement entre mes jambes, me procurant une sensation jusqu’ici inconnue. Loin d’être incommodé, je me sens libre.
A quelques mètres de la terrasse du bistro je vous reconnais d’après la photo que vous m’avez envoyée. Je ralentis, j’hésite sur la manière de vous aborder. Mais vous m’avez reconnu et me faites signe de la main. J’approche, vous me tendez la main. Bonjour Pascal, je suis Rémi. Bonjour soumis Rémi, appelle moi Maître. Oui Bonjour Maître. « Assied toi juste à côté de moi ». Nous échangeons alors quelques banalités du genre la pluie et le beau temps ou le trafic du métro le Maître et buvons un verre lui un café et moi une Ice-tea. D’un coup, il me dit me dit « Bon, je dois vérifier si tu m’as obéi ! Ouvre ta braguette » et sans plus attendre, il glisse sa main dans l’ouverture et vérifie qu’aucun tissu ne se trouve sous mon pantalon. Je sens ses doigts s’agiter de ma tige et descendre vers les bourses. C’est alors que je lui dis « tu vois j’ai obéi ». Il retire sa main immédiatement, en me disant « je ne t’ai pas autorisé à me tutoyer, je suis le Maître, écoute obéis et demande à ton Maître si tu peux parler ».
Mais nous ne sommes pas là pour parler, il me dit alors de me lever, ne ferme pas ta braguette et suis moi cinq pas derrière en silence.
« Oui Maître » et je le suis durant environ 500 mètres, nous entrons dans un immeuble et prenons l’escalier. Tu vois mon soumis, personne ne prends l’escalier maintenant tu ne dis rien, prends ce foulard, par contre tu te fais un bandeau pour cacher tes yeux, ne triche pas. On va prendre l’ascenseur, tu ne sauras pas à quel étage. Je sens sa main entrer dans mon pantalon resté ouvert, prends mon appareil en main et avance. Quelques marches, une porte s’ouvre, attente en silence, porte d’ascenseur, ouverture fermeture, mouvement. Sa main entoure toujours mon sexe qui ne reste pas inerte. Dans le noir et ainsi serré, je bande. Ouverture. Mon Maître reprend sa marche et me tire en avant. Bruit de serrure, de porte qui s’ouvre, on avance, fermeture et quelques pas en avant. « On est arrivés, un bruit de moteurs électriques. Le Maître me dit que je ne verrais pas l’extérieur, ce sont les volets qui se ferment.
« Enlève ton bandeau » nous sommes dans un appartement genre pièce unique.
« Déshabille-moi »Oui MaîtreJe m’approche donc de mon Maître, assez près pour apprécier son physique puisque la photo qu’il m’avait adressée, un peu floue, ne le mettait pas vraiment en valeur. Mais je sens qu’il s’impatiente aussi je lui enlève son manteau, je tente une bise dans le cou avec peu de réactions. Je retire mon manteau et mon pull. Je déboutonne alors sa chemise bouton par bouton. Je prends le temps de défaire également ceux qui ferment les poignets. Lentement j’enlève ma chemise. Je vois son torse maintenant nu. J’y passe mes mains, sur les côtes, le ventre, les pectoraux. Je m’attarde un peu sur la pointe des seins. Je veux voir s’il est sensible des tétons. Pour le moment rien ne me permet de voir si c’est le cas. Je lui enlève donc complétement sa chemise et j’en profite pour l’embrasser à nouveau dans le cou et prendre mon temps en caressant ses pectoraux.
« On ne va pas y passer la nuit » Oui Maître, j’ai compris que je dois reprendre le déshabillage. Une bise sur les tétons et je m’agenouille. Il est toujours debout. Une bise sur le nombril au passage et je m’attaque à la ceinture. La boucle est vite enlevée, le Zip baissé et le pantalon déboutonné. Tiens mon Maître porte un slip… ce doit être un slim tant il lui colle à la peau ! Il ne fait pas lui-même ce qu’il me demande mais c’est vrai que c’est lui le Maître… Je baisse le pantalon jusqu’à ses pieds et je remonte la tête pour mordiller le bout de tissus qui recouvre son bas ventre. Je mets mes mains sur ses hanches pour me rapprocher de lui. Si tige a grossi et dépasse le haut du slip. Elle semble d’une longueur intéressante. Je souhaite juste embrasser le gland avant de finir de le déshabiller. Pour avoir une bonne prise, je passe mes mains sur ses fesses. Surprise le slip est un Jockstrap. Avec gourmandise, tandis qu’avec la bouche j’embrasse le gland, de mes deux mains je caresse ses muscles fessiers. Je ne touche pas à la raie malgré mon envie. Je ne vais pas plus loin par derrière car sa commande est claire. Cela lui plait apparemment. J’accroche donc le slip entre mes dents du côté droit et le baisse un peur, je fais de même côté gauche, recommence à droite, à gauche puis avec délicatesse approche mes dents de son gland, saisi le tissus tire dessus et le descend. Maintenant c’est la partie arrière de la ceinture du Jockstrap qui retient le tout. Je le tire donc vers le bas avec les mains et en profite pour lécher ses bourses.
Je suis maintenant à ses pieds ; je délace ses chaussures, les enlève ainsi que les chaussettes puis, jambe après jambe le pantalon. Mon Maître est maintenant tout nu.
« Soumis qu’attends tu, enlève ce qui te reste, vite »Je m’exécute rapidement ? Me voici nu devant lui.
« Tourne toi et mets toi à quatre pattes »
.. A suivre …
A quelques mètres de la terrasse du bistro je vous reconnais d’après la photo que vous m’avez envoyée. Je ralentis, j’hésite sur la manière de vous aborder. Mais vous m’avez reconnu et me faites signe de la main. J’approche, vous me tendez la main. Bonjour Pascal, je suis Rémi. Bonjour soumis Rémi, appelle moi Maître. Oui Bonjour Maître. « Assied toi juste à côté de moi ». Nous échangeons alors quelques banalités du genre la pluie et le beau temps ou le trafic du métro le Maître et buvons un verre lui un café et moi une Ice-tea. D’un coup, il me dit me dit « Bon, je dois vérifier si tu m’as obéi ! Ouvre ta braguette » et sans plus attendre, il glisse sa main dans l’ouverture et vérifie qu’aucun tissu ne se trouve sous mon pantalon. Je sens ses doigts s’agiter de ma tige et descendre vers les bourses. C’est alors que je lui dis « tu vois j’ai obéi ». Il retire sa main immédiatement, en me disant « je ne t’ai pas autorisé à me tutoyer, je suis le Maître, écoute obéis et demande à ton Maître si tu peux parler ».
Mais nous ne sommes pas là pour parler, il me dit alors de me lever, ne ferme pas ta braguette et suis moi cinq pas derrière en silence.
« Oui Maître » et je le suis durant environ 500 mètres, nous entrons dans un immeuble et prenons l’escalier. Tu vois mon soumis, personne ne prends l’escalier maintenant tu ne dis rien, prends ce foulard, par contre tu te fais un bandeau pour cacher tes yeux, ne triche pas. On va prendre l’ascenseur, tu ne sauras pas à quel étage. Je sens sa main entrer dans mon pantalon resté ouvert, prends mon appareil en main et avance. Quelques marches, une porte s’ouvre, attente en silence, porte d’ascenseur, ouverture fermeture, mouvement. Sa main entoure toujours mon sexe qui ne reste pas inerte. Dans le noir et ainsi serré, je bande. Ouverture. Mon Maître reprend sa marche et me tire en avant. Bruit de serrure, de porte qui s’ouvre, on avance, fermeture et quelques pas en avant. « On est arrivés, un bruit de moteurs électriques. Le Maître me dit que je ne verrais pas l’extérieur, ce sont les volets qui se ferment.
« Enlève ton bandeau » nous sommes dans un appartement genre pièce unique.
« Déshabille-moi »Oui MaîtreJe m’approche donc de mon Maître, assez près pour apprécier son physique puisque la photo qu’il m’avait adressée, un peu floue, ne le mettait pas vraiment en valeur. Mais je sens qu’il s’impatiente aussi je lui enlève son manteau, je tente une bise dans le cou avec peu de réactions. Je retire mon manteau et mon pull. Je déboutonne alors sa chemise bouton par bouton. Je prends le temps de défaire également ceux qui ferment les poignets. Lentement j’enlève ma chemise. Je vois son torse maintenant nu. J’y passe mes mains, sur les côtes, le ventre, les pectoraux. Je m’attarde un peu sur la pointe des seins. Je veux voir s’il est sensible des tétons. Pour le moment rien ne me permet de voir si c’est le cas. Je lui enlève donc complétement sa chemise et j’en profite pour l’embrasser à nouveau dans le cou et prendre mon temps en caressant ses pectoraux.
« On ne va pas y passer la nuit » Oui Maître, j’ai compris que je dois reprendre le déshabillage. Une bise sur les tétons et je m’agenouille. Il est toujours debout. Une bise sur le nombril au passage et je m’attaque à la ceinture. La boucle est vite enlevée, le Zip baissé et le pantalon déboutonné. Tiens mon Maître porte un slip… ce doit être un slim tant il lui colle à la peau ! Il ne fait pas lui-même ce qu’il me demande mais c’est vrai que c’est lui le Maître… Je baisse le pantalon jusqu’à ses pieds et je remonte la tête pour mordiller le bout de tissus qui recouvre son bas ventre. Je mets mes mains sur ses hanches pour me rapprocher de lui. Si tige a grossi et dépasse le haut du slip. Elle semble d’une longueur intéressante. Je souhaite juste embrasser le gland avant de finir de le déshabiller. Pour avoir une bonne prise, je passe mes mains sur ses fesses. Surprise le slip est un Jockstrap. Avec gourmandise, tandis qu’avec la bouche j’embrasse le gland, de mes deux mains je caresse ses muscles fessiers. Je ne touche pas à la raie malgré mon envie. Je ne vais pas plus loin par derrière car sa commande est claire. Cela lui plait apparemment. J’accroche donc le slip entre mes dents du côté droit et le baisse un peur, je fais de même côté gauche, recommence à droite, à gauche puis avec délicatesse approche mes dents de son gland, saisi le tissus tire dessus et le descend. Maintenant c’est la partie arrière de la ceinture du Jockstrap qui retient le tout. Je le tire donc vers le bas avec les mains et en profite pour lécher ses bourses.
Je suis maintenant à ses pieds ; je délace ses chaussures, les enlève ainsi que les chaussettes puis, jambe après jambe le pantalon. Mon Maître est maintenant tout nu.
« Soumis qu’attends tu, enlève ce qui te reste, vite »Je m’exécute rapidement ? Me voici nu devant lui.
« Tourne toi et mets toi à quatre pattes »
.. A suivre …
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