Première sodomie
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Première sodomie
- J'aime quand tu me tiens la bite, m'a dit mon mari !
Je devais bien lui dire quelque chose d'agréable en retour :
- Moi, j'aime bien que tu me touches la poitrine !
C'était vrai. Depuis qu'on faisait l'amour en levrette, j'aimais bien qu'on fasse une pause et qu'il me touche les seins, qu'il m'en pince les mamelons et même me les tortille jusqu'à m'en faire mal. J'ai ajouté que j'aimais bien le sucer. Ça faisait à peine trois mois que nous étions mariés et la catastrophe du début s'était transformée en merveilleuse union. Comme je n'avais pas voulu qu'on répète avant le mariage, j'avais douté des capacités de mon mari à me satisfaire mais ça s'était amélioré. Il prenait la plupart du temps le dessus et je n'avais plus qu'à me laisser faire.
J'avais tant rêvé qu'il me prenne, qu'un homme et pourquoi pas un mari, me prenne sans me demander mon avis.
- Je voudrais t'enculer, a ajouté mon mari !
Je suis restée sans répondre. Je me suis mis à penser que je m'étais trompée du tout au tout et que j'étais tombée sur un pervers. Mais j'étais déjà enceinte et je ne me voyais pas divorcer et rester seule avec un enfant.
- Je t'aime et c'est pour ça que je veux t'enculer, a insister mon mari ! C'est pour te prouver mon amour !
J'ai aussi pensé que mon mari voulait faire de moi sa putain ou peut-être une putain parmi d'autres et capable de pratiquer ça, la sodomie.
- Tu ne te souviens pas, lors de notre nuit de noces, a continué mon mari, je m'étais trompé, j'avais enfoncé le bout de ma bite dans ton anus et quand je m'en suis aperçu, je te l'ai dit et tu m'as dit que tu ne comprenais pas ce que je te disais et tu m'as dit de continuer mais j'ai refusé...
Je m'en souvenais et d'ailleurs, comment aurais-je pu faire la différence ? Ma seule expérience c'était mes masturbations. Je m'étais bien enfoncé un crayon dans l'anus mais je n'étais pas allé plus loin...
- Je ne veux pas te faire mal, a continué mon mari... Si tu ne veux pas, je n'insisterai plus !
Il était couché dans mon dos et je sentais son pénis allongé dans la raie de mes fesses. Il était dur et agité de petites secousses.
- Tu veux bien, insista mon mari ?
Je lui ai répondu que ça me dégoûtait et il m'a dit qu'il ne me ferait pas mal puis il s'est reculé et s'est enfoncé dans mon vagin.
- Tu préfères ça, m'a dit mon mari et tout en me prenant il me caressait la poitrine et j'ai fini par m'exciter.
J'aimais bien lui mettre un mamelon dans la bouche et lui demander de m'avaler le sein jusqu'à en étouffer. Il me pelotait les seins. J'avais des aréoles horribles à mon goût, immenses et sombres à cause de mon état et lui les aimait et il a fini par me les faire aimer. Il s'impatientait aussi de savoir si j'avais du lait et j'arrivais parfois à en faire sortir une goutte d'un liquide blanchâtre pas encore du lait. "Tu me promets, me disait-il, de me faire goûter ?" Je lui avais promis et j'ai tenu ma promesse.
- Je sais très bien que tu vas aimer ça, a insisté mon mari !
- Quoi ?
- Que je t'encule !
- Tu n'as pas honte, lui ai-je rétorqué !
- Non, a fait mon mari !
Il a sorti sa bite de mon vagin et me l'a enfoncé dans l'anus, sans que je n'aie la force de m'y opposer. C'était une autre sensation, toute autre que quand mon mari m'avait pénétré le vagin pour la première fois. Il s'enfonçait dans mon anus et c'était agréable. Mon orifice anal se dilatait et laissait passer son membre et je fus bientôt entièrement pénétrée, mes fesses collées au ventre de mon mari.
- Tu vois bien que tu aimes, m'a-t-il fait ! Tu te voilais la face !
Il s'est mis à me limer mais je sentais bien que ce n'était pas la même chose que par l'autre orifice. La semence m'a envahie et mon mari s'est retiré.
- Tu vois, insista-t-il encore, je ne t'ai pas fait mal et tu as aimé !
Je lui ai répondu qu'il avait fait de moi une putain et qu'une honnête femme ne ferait pas ça. Mon mari m'a répondu qu'il n'en savait rien mais que c'était bien qu'on le fasse tous les deux. Par la suite, ce ne fut plus qu'une petite visite entre d'autres pénétrations. Mon ventre grossissait et ma poitrine s'aplatissait de plus en plus sur lui et c'était plus intéressant pour mon mari qui n'arrêtait pas de me prendre en photo et de me filmer. Ça m'amusait d'autant plus que je voyais bien que mon gros ventre faisait envie et ce furent les meilleures périodes de notre vie sexuelle qui, en dehors de mes grossesses, ne fut plus aussi excitante.
Hélène
Je devais bien lui dire quelque chose d'agréable en retour :
- Moi, j'aime bien que tu me touches la poitrine !
C'était vrai. Depuis qu'on faisait l'amour en levrette, j'aimais bien qu'on fasse une pause et qu'il me touche les seins, qu'il m'en pince les mamelons et même me les tortille jusqu'à m'en faire mal. J'ai ajouté que j'aimais bien le sucer. Ça faisait à peine trois mois que nous étions mariés et la catastrophe du début s'était transformée en merveilleuse union. Comme je n'avais pas voulu qu'on répète avant le mariage, j'avais douté des capacités de mon mari à me satisfaire mais ça s'était amélioré. Il prenait la plupart du temps le dessus et je n'avais plus qu'à me laisser faire.
J'avais tant rêvé qu'il me prenne, qu'un homme et pourquoi pas un mari, me prenne sans me demander mon avis.
- Je voudrais t'enculer, a ajouté mon mari !
Je suis restée sans répondre. Je me suis mis à penser que je m'étais trompée du tout au tout et que j'étais tombée sur un pervers. Mais j'étais déjà enceinte et je ne me voyais pas divorcer et rester seule avec un enfant.
- Je t'aime et c'est pour ça que je veux t'enculer, a insister mon mari ! C'est pour te prouver mon amour !
J'ai aussi pensé que mon mari voulait faire de moi sa putain ou peut-être une putain parmi d'autres et capable de pratiquer ça, la sodomie.
- Tu ne te souviens pas, lors de notre nuit de noces, a continué mon mari, je m'étais trompé, j'avais enfoncé le bout de ma bite dans ton anus et quand je m'en suis aperçu, je te l'ai dit et tu m'as dit que tu ne comprenais pas ce que je te disais et tu m'as dit de continuer mais j'ai refusé...
Je m'en souvenais et d'ailleurs, comment aurais-je pu faire la différence ? Ma seule expérience c'était mes masturbations. Je m'étais bien enfoncé un crayon dans l'anus mais je n'étais pas allé plus loin...
- Je ne veux pas te faire mal, a continué mon mari... Si tu ne veux pas, je n'insisterai plus !
Il était couché dans mon dos et je sentais son pénis allongé dans la raie de mes fesses. Il était dur et agité de petites secousses.
- Tu veux bien, insista mon mari ?
Je lui ai répondu que ça me dégoûtait et il m'a dit qu'il ne me ferait pas mal puis il s'est reculé et s'est enfoncé dans mon vagin.
- Tu préfères ça, m'a dit mon mari et tout en me prenant il me caressait la poitrine et j'ai fini par m'exciter.
J'aimais bien lui mettre un mamelon dans la bouche et lui demander de m'avaler le sein jusqu'à en étouffer. Il me pelotait les seins. J'avais des aréoles horribles à mon goût, immenses et sombres à cause de mon état et lui les aimait et il a fini par me les faire aimer. Il s'impatientait aussi de savoir si j'avais du lait et j'arrivais parfois à en faire sortir une goutte d'un liquide blanchâtre pas encore du lait. "Tu me promets, me disait-il, de me faire goûter ?" Je lui avais promis et j'ai tenu ma promesse.
- Je sais très bien que tu vas aimer ça, a insisté mon mari !
- Quoi ?
- Que je t'encule !
- Tu n'as pas honte, lui ai-je rétorqué !
- Non, a fait mon mari !
Il a sorti sa bite de mon vagin et me l'a enfoncé dans l'anus, sans que je n'aie la force de m'y opposer. C'était une autre sensation, toute autre que quand mon mari m'avait pénétré le vagin pour la première fois. Il s'enfonçait dans mon anus et c'était agréable. Mon orifice anal se dilatait et laissait passer son membre et je fus bientôt entièrement pénétrée, mes fesses collées au ventre de mon mari.
- Tu vois bien que tu aimes, m'a-t-il fait ! Tu te voilais la face !
Il s'est mis à me limer mais je sentais bien que ce n'était pas la même chose que par l'autre orifice. La semence m'a envahie et mon mari s'est retiré.
- Tu vois, insista-t-il encore, je ne t'ai pas fait mal et tu as aimé !
Je lui ai répondu qu'il avait fait de moi une putain et qu'une honnête femme ne ferait pas ça. Mon mari m'a répondu qu'il n'en savait rien mais que c'était bien qu'on le fasse tous les deux. Par la suite, ce ne fut plus qu'une petite visite entre d'autres pénétrations. Mon ventre grossissait et ma poitrine s'aplatissait de plus en plus sur lui et c'était plus intéressant pour mon mari qui n'arrêtait pas de me prendre en photo et de me filmer. Ça m'amusait d'autant plus que je voyais bien que mon gros ventre faisait envie et ce furent les meilleures périodes de notre vie sexuelle qui, en dehors de mes grossesses, ne fut plus aussi excitante.
Hélène
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je comprends très bien que la jeune femme de l'histoire refuse d'être enculée.Finalement
il y a beaucoup de femmes qui refusent la sodomie. Mais pour l'homme entrer sa bite dans
le trou du cul de sa femme, son amie, sa maîtresse c'est délicieux, car il rentre dans
un paradis d'amour.
il y a beaucoup de femmes qui refusent la sodomie. Mais pour l'homme entrer sa bite dans
le trou du cul de sa femme, son amie, sa maîtresse c'est délicieux, car il rentre dans
un paradis d'amour.