Première soirée avec mes artisans, des WC publics - histoire érotique

Après ce moment très sexe, et inespéré pour moi, j'ai passé le Week end avec ma copine.
En jouant l'amoureux hétéro parfait !

Mais je ne pouvais m'empêcher d'avoir des moments d'absence !
Je revivais mon plaisir, dans les toilettes publiques !

"A quoi tu penses ? Mon amour ?".
"Euh, désolé, à rien ! J'ai des soucis au boulot, en ce moment !".

Si elle avait su, que je retrouvais enfin, de bonnes sensations avec des hommes !
Mon amour pour elle, a fini de me suffire !

Je suis en plein refus de mon homosexualité, mais j'y succombe de plus en plus !
Mes quelques rencontres après l'armée, m'ont beaucoup déçues.
Trop d'hommes mariés sans endurance.

Mourad et Claudio m'ont rappelé cette délicieuse période d'orgasmes, avec mon amant militaire et ses amis.

Cela devient une évidence, je vais devoir assumer de vivre une double existence !
J'aime trop me donner aux hommes, surtout quand ils sont endurants !
J'ai besoin d'avoir un beau sexe masculin dans la bouche, ou dans l'anus.
Leur domination m'équilibre !
Plus je me fais humilier, et plus ça me fait du bien !

Même ma copine, le dit ! Sans en connaitre la cause !

Le lundi, c'est elle que je vois en premier.
Cette fois, on fait l'amour dans le grenier, mais moins longtemps, on a qu'une heure !
Puis, je la raccompagne.

On passe devant leur chantier, j'ai la gorge nouée en approchant !
Mourad sort avec un seau vide, qu'il rempli de ciment frais, pris dans la bétonnière.
Il s'arrête pour me regarder passer, et me fait un clin d'œil.

Ma copine le prend pour elle !
Ca me sauve !

"Il se prend pour qui, lui ?".
"Qu'est-ce qui se passe ? Bébé ?".
"T'as pas vu le type ? Il m'a fait un clin d'œil ! Je me tape pas des vieux ! Et encore moins des arabes !".

Je reste muet, de toute façon, Mourad est déjà rentré !
Mais je pense intérieurement:
"Ben, moi oui ! Et si tu savais, comme c'est bon ! J'ai hâte de te quitter pour recommencer !".

Je me sens vicieux, et salaud de penser ça !
Elle qui me croit dépourvu de vice !

Mais je suis jeune, et je suis accroc à ce plaisir pervers, de la soumission aux hommes !
C'est si bon, de jouir analement avec une grosse verge !

Je pensais pouvoir m'en passer, avec elle.
Mais c'est plus fort que moi, et je vais devoir vivre avec cette double sexualité !
Je l'ai compris, maintenant.

Le contraire aussi, est évident ! J'aime mon hétérosexualité, le corps des filles me passionnent !
Pas question de m'en passer, non plus !

Et puis grâce à ça, je peux vivre "normalement" avec une femme !

On arrive devant chez elle.
On profite de nos derniers moments, avant de nous embrasser, et nous quitter.
Je m'en veux presque, d'avoir plus envie de Mourad et Claudio, que de rester avec elle !

La nuit commence à tomber, j'approche des WC publics.
Claudio s'approche en même temps que moi !

"Salut ! Euh... c'est Patrick ? C'est ça ?".
"Non ! Pascal !".

"Ah, oui ! Désolé ! Tu veux pas plutôt venir sur le chantier ? On aura moins froid ! Mourad nous attend !".
"Pas de souci ! Mais on sera seuls ?".
"Oui, t'inquiètes pas ! Le chef de chantier nous a passé les doubles des clefs ! On est souvent les derniers à partir !".
"Super !".

On marche l'un près de l'autre, il me fait plaisir en disant:

"C'était trop bon, vendredi soir ! On a beaucoup parlé de toi, avec Mourad !".
"Ca fait plaisir ! Moi aussi, j'ai adoré ! Ca m'a beaucoup perturbé avec ma copine ! Mais vous vous êtes connu comment ? C'est pas évident de bosser ensemble, et baiser des mecs ! En général, on le garde pour soi ! Non ?".

"Oui, t'as raison, mais c'est le hasard ! On est tombé l'un sur l'autre, dans un lieu chaud de Nice ! Mourad m'a surpris entrain de me faire sucer, par un jeune mec !".
"Et alors ?".

"Ben, on a surmonté notre gêne, et il l'a enculé avant moi ! Depuis, on sort souvent ensemble pour baiser des mecs !".
"C'est génial ! Surtout pour moi !".

On échange de grands sourires.
Le désir augmente en marchant, putain, j'ai envie qu'ils m'enculent !

On pénètre dans le chantier, jusqu'à une pièce presque vide.
Je remarque que les volets roulants sont baissés !
Des paquets de carrelage sont entassés.
Mourad les recouvre avec une bâche en plastique.

Je comprend que c'est là, que je vais me faire prendre !
Ca m'excite encore davantage !

Mourad engage le dialogue:

"Elle est magnifique ta gonzesse ! Mais elle a l'air très conne !".
"Euh, oui, désolé ! Je suis pas comme elle ! Vous vous en doutez !".

"J'espère que tu la baises ! Au moins !".
"Oui, mais pas que !".
"Non ? Tu l'encules aussi ?".
"Oui ! Presque à chaque fois ! Il faut dire qu'elle prend pas la pilule, donc ça m'arrange bien !".

"Ha ! Ha ! Donc, elle aussi, c'est une petite salope ! La prochaine fois, mets lui un coup pour moi ! Ca me ferait plaisir !".

Je suis un peu gêné, mais un peu seulement, je pense trop à mon envie de me faire défoncer !
Ils s'approchent de moi.

"Hummm ! Tu nous as manqué ! Tu sais ? C'était dur d'attendre ce lundi !".

Mon corps frissonne de désir pour eux.

"Orhhhhh ! Vous aussi ! J'ai pas arrêté de penser à vos bites ! Pendant trois jours, j'en peux plus ! Il faut que vous me baisiez !".
"Putain, c'est excitant ça !". Dit Claudio.
"Justement, on pensait à un truc, avec Claudio ! Plutôt que galérer dans des lieux chauds ! Ca te dirait de baiser avec nous, pendant les deux semaines qui nous restent ?".

Je jubile !
Je me jette sur la bouche de Mourad, avec gourmandise, puis m'arrête pour lui dire:

"Merci ! Merci ! Merci ! Vous pouvez pas me rendre plus heureux !".

Puis, j'embrasse aussi Claudio ! Alors que Mourad ajoute:

"Super ! Mais, il faudra venir tous les deux jours ! C'est possible ?".
"Je ferai l'effort ! Ca me rappellera mon premier homme, et ses copains ! J'ai trop envie ! Merci encore !".
"Eh ben ! T'es une vraie p'tite salope ! C'est sûr ! Mais on aime ça, nous !".

Mourad enlève le haut de ses vêtements, alors que Claudio me dénude en m'embrassant.
Le magrébin revient vers nous, il est nu avec sa verge épaisse en érection !
Putain, il est trop beau ! Sa verge m'excite !

Il m'attire à lui, et me dirige vers son torse.
Je devine que je dois lui lécher les tétons, j'ai pas l'habitude !
Personnellement, les miens sont insensibles !
Mais il a l'air d'aimer ma langue, pendant que je lui branle la queue !

Claudio revient vers mes fesses, il les tient fermement pour me faire un anulingus appuyé.
Il s'arrête pour me dire, avant de reprendre:

"Putain ! Minot ! T'es encore plus beau dans la lumière ! Et ton cul, il est magnifique ! J'adore lécher des culs imberbes !".
"Je pensais la même chose ! On va bien s'éclater pendant deux semaines !". Ajoute Mourad !

Je ne sais plus ou j'en suis, tout mon corps est pris de désir.
Mon excitation atteint son paroxysme !

"Orhhh ! Vous me faites perdre la tête ! Prenez moi ! J'suis à vous ! Putain, j'en ai trop envie !".

Mourad prend ma bouche, pendant que Claudio se colle derrière mes fesses, et me taquine l'anus avec son gros gland.

Mes fesses sont écartées à quatre mains !
C'est excitant d'être à leur merci !
Je me sens si fragile et petit, entre leurs grands corps massifs.

Le gland commence à m'écarteler, je gémis mon bonheur, de bientôt le recevoir !
Mais il recule et me tourne !
Mourad prend la suite, son gland m'ouvre davantage ! Il est plus large !
Je pivote de nouveau !

"Orhhh ! Salauds ! Vous avez pas le droit de jouer avec mon cul, comme ça !".
"T'es à nous ! On fait ce qu'on veux avec ta chatte ! D'accord ?".
"Oui ! Arhhhh !...".

La verge de Claudio vient de faire passer son gland !
Il glisse plusieurs fois, sur quelques centimètres, puis me pivote encore !

Mourad pointe sa grosse verge, il m'empale d'une traite jusqu'aux couilles !
Sa verge me rempli les parois anales !

"Arhhhhhhhhh ! Mourad ! C'est trop bon ! Oui ! Encules-moi !".

Mais il joue de nouveau, et après quelques assauts, me donne à Claudio !
Il m'encule lui aussi, pendant quelques secondes, puis ressort.
Je craque !

Les deux m'allongent enfin, sur le dos, sur le tas de carrelage !
Claudio me penche la tête en arrière, pour m'enfoncer sa bite dans la gorge.
Mourad m'écarte les cuisses, et m'empale profondément !

"Alors, chéri ! T'es bien là ? Avec ma queue dans la chatte ? Et celle de mon pote, dans la bouche ?".
"Mmmmm ! Arhhhhhhhhhh ! Oui, faites moi jouir ! Je suis là pour ça !".
"Tu vas être notre petite salope, pendant deux semaines ! On est OK ?".
"Mmmmmm ! Mmmouiiiiiiiii ! C'est tout ce que je veux !".

Mourad s'attèle à me donner un premier orgasme anal, jusqu'au bout.
Je joui du cul puissamment.

Ensuite, il rejoint Claudio dans ma bouche retournée.
Ils m'écartèlent les lèvres, j'aime ce long traitement buccal.
Mon anus flatule.

"Ohh ! On dirait que ta chatte réclame ! Je vais m'en occuper !".

C'est donc Claudio qui me plante, et me laboure dans un interminable rythme effréné, cette fois !
Je hurle mon plaisir, en m'étouffant sur la bite du magrébin.
Ce magrébin que j'adore, et qui me libère de sa verge, en disant:

"Tu prends ton pied là ! Il te défonce bien, mon pote !".
"Ouiiiiiiiiiiiiii ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhh !...".

Il me relève le torse, en ajoutant:

"Regardes ce qu'il te met ! Comme il t'encule ! Il te défonce bien la chatte ! T'aime ça ! P'tite salope !".
"Arghhhhhhhhh ! Arggggggggggggggggggg ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !...".

Au bout de plusieurs minutes de défonce, Claudio atteint un point de non retour.
J'ai enchainé les sommets de plaisir anal, et il va encore me faire jouir.

"Putain ! Mourad ! Je vais lui remplir le cul ! J'aime trop l'enculer ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Huuuuuuuuhhhhhhhhh !".

Je râle mon orgasme anal et cérébral, avec lui qui se déverse dans mon trou poisseux.
Comme je bande fermement, je ressens encore plus fort, les spasmes d'éjaculation qui lui secouent la verge.

Chaque spasme fait relever ma queue, qui se tend !
Je suis au bord de cracher mon sperme.

J'admire mon amant qui se vide en moi, son bonheur sexuel me rempli d'un sentiment innommable.
J'ai envie de lui dire que je l'aime, même si ce n'est pas de l'amour véritable.

Il me secoue de ses derniers besoins de jouir, et coulisse encore longuement, pour apprécier la fin de sa jouissance.

"Orhhhhhhhhhhhh ! Putainnnnnnnn ! C'était le pied ! Désolé Mourad ! Tu vas devoir nager dans mon foutre ! Mais, c'était trop bon !".
"Je m'en fous, au contraire ! Moi, ça me plait !".

Claudio quitte mon orifice poisseux, et regarde Mourad qui me pivote sur le ventre, avant de me transpercer.

"Arhhhhhhhhhhh ! Oui, Mourad ! Je veux te faire jouir ! Toi aussi ! Défonces-moi, fais moi tout ce que tu as envie !".

Je me prends quelques enfoncées violentes, qui me font crier en me cambrant !

"Désolé, mon petit ! Tu va prendre cher ! J'ai envie de ça ! Tiens ! Salope !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ...".

Mon gland gonfle à nouveau, sous sa défonce violente.
Je m'étrangle en râlant mon orgasme, et crachant mon foutre contre la bâche en plastique.

"Arghhhhhhhhhh ! Mouraaaad ! Je... Je jouiiiiiiiii ! Je vous aime tous les deux ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! ...".

Ensuite, mon plaisir retombe, alors que mon amant magrébin continue de s'affairer dans ma chatte.
Il veut se libérer de son besoin d'éjaculer.

Il me provoque de nouvelles montées de plaisir anal, pendant que je tente de lécher convenablement, la bite de son copain.
Mon orifice dégouline de jus et de foutre !
Sa grosse bite augmente mes rejets liquides et gluants, en s'enfonçant sans cesse.
Des bruits vulgaires de flaques, emplissent la pièce !

Putain, je déguste ! Mais c'est trop puissant ! J'adore ces deux hommes !
Mourad annonce:

"Orhhhh ! Putain ! Laisses-le moi ! Je vais lui remplir la bouche ! Pousse-toi ! Arhhh ! Putain !".

Il se comprime la verge, et je décide de me jeter sur elle, en me mettant à ses pieds.

"Arhhhhhhhhh ! Oui, comme ça ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiii !".

J'ai un sentiment amoureux en l'avalant, il m'a tellement bien enculé !

"Arghhhhhhhhhh ! Pascal ! Je t'adore ! Orhhhh ! Tu me bois bien ! Orhhh ! C'est bon, ta langue !".

Putain, ce que j'aime recevoir son jus, en lui nettoyant le gland, avec ma langue !
Je lui recouvre la bite ensuite, pour absorber ses derniers jets.
C'est le bonheur buccal total, pour moi !

Ma chatte flatule encore, en rejetant son mélange, sous mes fesses.
Je m'en moque, j'ai trop bien joui !

Claudio vient se joindre à notre longue fellation, qui devient double du coup.
On se dit qu'on s'adore !

"C'est pas de l'amour, mais je vous aime trop ! Tous les deux ! Je sais pas si vous comprenez ce que je veux dire !".
"Oui, on comprend ! C'est une sorte de forte amitié de sexe !".

Je réponds:

"Oui, c'est ça, une vraie amitié sexuelle !".
"Bon, il est 20h passé ! Ca te dit de grignoter, et venir à l'hôtel avec nous ? Tu sais où on pourrait acheter des sandwichs chauds ?".
"J'adorerais ! Je vous y emmène, mais par contre, je bosse demain !".
"C'est loin ?".
"Non ! A coté !".
"Ben, tu dors avec nous, et on te dépose en venant bosser !".
"Génial ! Mes parents vont se demander où je suis, mais c'est pas la première fois que je découche !".