Premiere tromperie
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Premiere tromperie
- Sandra tu ne veux vraiment pas m’accompagner au concours de pétanque dimanche ?
- Boff Kévin rester debout à regarder des boules rouler ne me dit rien, va-y seul j’irais faire un tour au vide grenier sur le parking d’Auchan
- Ha la carte bleue va encore chauffer !
- Soit rassuré j’irais a pied les mains dans les poches !
- Ça me fait tout drôle c’est la première fois depuis que nous sommes mariés que nous sortirons chacun de notre coté
- Alors ce sera un test, le soir nous nous retrouverons pour un gros câlin !
C’est ainsi que je me suis retrouvée a arpenter les allées, ça me rappelle mes jeunes années en célibataire, il y a beaucoup de chose a mettre a la poubelle sur les étals ! Mince j’ai oublié de faire pipi avant de partir ma vessie demande à être soulagée, je me dirige vers les w c public six personnes attendent leur tour me voilà bien embarrassée car j’ai très envie …il y a bien le petit bois de l’autre coté du parking, là ou Kévin m’a entrainée un jour pour ôter pour la première fois ma petite culotte
Une allée étroite, de chaque coté de grandes fougères pour me cacher pas besoin de m’enfoncer loin dans le bois, je piétine quelque plantes, lève ma robe, baisse ma culotte aux genoux, écarte les pieds, dés que je suis accroupie un jet intarissable fait un bruit de chute d’eau mais je suis seule a entendre ça !, a ce moment là je réalise que je n’ai rien pour m’essuyer ….comment faire ? Tien ! De jeunes feuilles encore soyeuses feront l’affaire, avec précaution je me relève pour cueillir une poignée de pousses, et là juste devant moi un homme d’une trentaine d’année comme moi vient de se débraguetter, une belle verge dépasse de sa main et commence à expulser l’urine, nos regards se croisent, l’un et l’autre reste cloués tétanisés par la surprise , il regarde ma fourche nue , je vois sa queue qui cesse de pisser a cause de la surprise , l’homme sans doute par mégarde tire sur la peau décalottant un gland tout rose
Je remonte ma culotte à toute vitesse tant pis pour les gouttes restées dans mes poils, je sors sur le chemin, il reste la queue encore sortie et me regarde partir vers le parking, je dois être rouge ! Me voilà repartie dans les allées, le spectacle de cette verge reste présent je ne vois plus ce qu’il y a sur les tréteaux ! Soudain mon voyeur a refait surface il m’a reconnue et me suit de loin, je m’arrête il s’arrête, il est bel homme, bien habillé mais loin de moi l’envie de tromper Kévin ! Bon, il devient décidément trop insistant je repars a la maison
Une fois sur la route je me retourne … il est là a cinquante mètres ! Si je ne lui prête pas attention il va en avoir mare, je poursuis mon chemin... tient, voilà l’église, c’est derrière cet édifice a la même époque dans un bosquet de lilas sauvages que Kévin m’a embrassée pour la première fois et a mis sa main dans ma culotte ! Je perçois encore l’instant magique ou ses doigts sont entrés en contact avec la couture de mon slip en coton, je tremblais comme une feuille, mes jambes ne me portaient plus quand il a entrouvert mes lèvres trempées, dans un réflexe de pudeur j’ai serrées les cuisses, ce soir là j’ai échappée a la pénétration pour céder huit jours plus tard dans le bois ou j’ai fais pipi…la tête remplie de souvenirs je décide de faire le tour de l’église comme pour un pèlerinage
J’en ai oublié mon suiveur … voilà les lilas en fleurs, c’est là exactement a cet endroit que ‘ ça ‘ c’est passé, je ferme les yeux en respirant a fond le doux parfum des fleurs, soudain des pas froissent l’herbe ?? des bras enserrent ma taille des mains se posent sur mes seins je renverse la tête, une épaule la reçoit …quelque chose de dur pèse sur mes fesses je ne me dérobe pas, une main quitte ma poitrine , glisse sur mon ventre, ma robe se lève ….mes pieds se séparent malgré moi, la main est a l’intérieur de ma cuisse sur la couture de mon string , des gouttes de mouille rejoignent l’humidité laissée par l’urine non essuyée, des doigts cherchent l’entrée de ma vulve et la trouve , NON ! comme avec Kévin la première fois je serre les cuisses emprisonnant la main dont les doigts fouillent déjà l’intérieur de mon vagin
- Laissez-moi !!!!!!
- Pourquoi ???
- Laissez moi je suis mariée
- Excuse-moi madame
‘ Excuse-moi madame ? ‘ Quel drôle de langage ! Je pars en courant jusqu'à la maison la culotte à moitié mangée par ma vulve, haletante j’ai grand soif, je vais au frigo et prends une bouteille de bière glacée, jamais je n’en bois mais j’en ai subitement envie, une fois décapsulée j’en bois une grosse gorgée et je la passe la bouteille sur mon visage, ça me fait un bien fou …appuyée sur un coin de table je réfléchie …que m’est il arrivée ? Pour un peu je trompais mon mari avec un parfait inconnu, ma chatte n’est pas calmée … ce goulot effilé me trouble ….Je relève ma robe, ôte ma culotte, les fesse appuyées sur le coin de table j’écarte les cuisses, je saisie le flacon par le bas, le goulot pointé vers ma fente je remonte …. Haaaaaaaaaaaaaaaa ………. Que c’est booooooonnnnnnnnnnn, mes doigts sous le cul de bouteille poussent encore et encore vers le haut, la bouteille est entrée aux trois quart dans mon vagin, quel pied ce froid qui se répand dans mon ventre, les yeux fermés je baise ma moule avec cette verge factice … c’est cet inconnu qui me prend debout comme une pute …je pousse violement faisant mousser le liquide qui explose dans ma chatte simulant une éjaculation spectaculaire, en seulement quelques secondes j’explose dans un cri inhumain , ma cyprine mélangée a la bière s’écoule le long de mes cuisses pour former une large flaque sur le carrelage, le flacon poisseux glisse je le rattrape de justesse , ma soif n’est pas tarie aussi je bois a longues gorgées ce panaché euphorisant de mouille et de bière
Lorsque Kevin arrive je suis encore chaude il me faut une vraie bitte je tourne autour de lui comme une chatte en chaleur
- Tu t’ès régalée a ce vide grenier chérie ?
- Quatre heures sans toi c’est trop je t’attendais avec impatience, touche moi Kevin je n’ai plus de culotte j’ai envie de baiser tout de suite
- Ben ma salope ! tu es trempée, tu veux que je te prenne ou ?
- Là sur le coin de la table, debout …
La queue juste sortie de la braguette, accrochée a son cou mon mari m’enfile, il me soulève quasiment de terre chaque coups de reins, je suis en rut il l’a compris et ne cherche pas à fignoler, son éjaculation ne tarde pas, son sperme qui fouette mon utérus déclenche un orgasme formidable, enfin calmée je reprends mon souffle et une attitude paisible ? j’omets toutefois de parler de cette étrange aventure …
- Hé bien Sandra tu avais vraiment envie ! au fait si nous parlions de bébé tu n’a pas envie de pouponner ?
- Faire un bébé ? c’est encore trop tôt, je vais justement demain chez le nouveau docteur pour le renouvèlement de ma pilule, mais je te promets d’y réfléchir …
Le lendemain à neuf heures je suis dans la salle d’attente du docteur Ciprian Russesco, c’est donc lui le nouveau toubib roumain venu pour combler la désertification médicale, puis-je avoir confiance en lui ????
Lorsqu’il ouvre la porte j’ai un choc, que dis-je un choc ? Un vrai séisme oui, le docteur Russesco est tout bonnement l’homme d’hier celui qui a mis ses doigts dans ma chatte, trop tard pour me sauver il m’invite à entrer, il ne peut pas ne pas m’avoir reconnue ???
- Bonjour madame Vignaud assoyez-vous
Cet accent et ce ‘ excuse moi madame ‘ d’hier explique tout, je vous fais grâce des mots écorchés qui auraient suivit je vais donc poursuivre en bon français….
- Alors vous venez pour la pilule … je vais vous demander de dénuder votre poitrine …
- Ah ? bon …
Mes seins il les a tâtés sensuellement hier ! Je vais devoir me faire palper médicalement aujourd’hui, pas un signe de sa part prouve qu’il m’a reconnue, je vais lui rafraichir la mémoire …
- Docteur, vous êtes nouveau dans cette ville, vous connaissez le petit bois d’Auchan et le bosquet de lilas derrière l’église ?
- Excuse moi madame je ne voulais pas abuser de vous, j’espère que ça resteras entre nous …
- Bien sûr
- Merci, je vais maintenant palper vos seins
Sans quitter son regard je dénude mon torse, il attend le moment ou mes seins vont être à l’air …mes tétons sont raides ma culotte se mouille et je n’éprouve aucune gêne
- Voilà docteur ….
- Allongez-vous …levez les bras …
Il a quand même accusé le coup car ses doigts tremblent, professionnel il examine le tissu fibreux puis devient plus délicat, il fait rouler mes tétons entre ses doigts ce qui n’arrange pas mon état d’excitation, mes cuisses se frottent l’une sur l’autre s’ouvrent se ferment, ça ne lui échappe pas sa main masse voluptueusement mes seins il me pelote purement et simplement
- Vous êtes sensible, très sensuelle je l’ai remarqué hier …
- Ha bon ?
- Vous m’en voulez pour avoir osé cette caresse ?
- Une femme apprécie lorsqu’ont lui fait du bien, j’ai paniqué tout simplement je n’ai jamais trompé mon mari
- Je vous comprends … Hummmm, il faudrait que j’examine votre vagin mais je comprendrais que vous refusiez
- Pour quelle raison ? vos doigts sont exquis ...
Sans attendre je me lève et ôte prestement le reste de mes vêtements, entièrement nue je m’allonge les jambes ouvertes, une bosse se déclare a sa braguette… je viens de comprendre que je vais tromper Kévin …
- Approchez vos talons se vos fesses, écartez les genoux
- Comme ça ?
- Très bien
Le vue que je lui offre ne le laisse pas insensible sa respiration s’en ressent la mienne aussi je ne le cache pas mes seins montent très haut
- Vous êtes une très belle femme …
Il a laissé une main sur un sein l’autre caresse délicatement mon ventre ses yeux ne quittent pas mon entre jambes, mes bras le long de mon corps je fixe le plafond soudain sa braguette vient se plaquer sur mon poignet, est-ce une invite ? La chose recourbée prisonnière du slip donne des coups
- Vous êtes marié docteur ?
- Oui mais elle est reste en Roumanie le temps que je me fasse une clientèle, cela fait quatre mois déjà c’est long
- D’où votre tentative de séduction d’hier ?
- J’ai honte mais j’avoue que oui...
- Vous savez si les conjoints ne sont pas au courant d’une incartade ils n’en souffriront jamais …
- C’est vrai …
- Alors qu’attendez-vous ?
- Vous voulez dire …
- Baisez-moi, ouvrez votre pantalon je vais vous caresser
L’homme me lâche il défait nerveusement son pantalon et le pose sur une chaise ainsi que le slip noir, sa bitte tendue dépasse entre les pans de sa chemise il s’approche de moi je m’en saisie a tâtons, a première vue elle est plus large que celle de Kévin plus longue aussi, enfin je perçois la chaleur de sa main sur ma motte, ses doigts pincent mes lèvres, il les pressent comme pour en extraire le jus, mon clitoris roule sous la chair en m’électrisant, mon bassin se soulève, je sens son souffle qui approche de ma vulve , je tourne la tête le gland rose est a portée de bouche, je l’embouche au moment ou sa langue se fraie un passage entre mes poils , ses doigts tirent mes lèvres vers l’extérieur ma chatte est béante il lape bruyamment le jus qui s’en écoule, sa langue parcoure ma moule du clito a la cible fripée
Sans cesser nos caresses nous adoptons au mieux une position afin que ce soixante neuf soit réussi, je pompe j’aspire je branle, j’ai hâte de soulager ses bourses, un murmure montant indique que je vais recevoir sa semence, ses doigts s’enfoncent au plus profond de mon ventre, les deux conjugués déclenchent ma jouissance, je m’abreuve de sperme tandis que des jets de cyprine giclent sur son visage
Il déchire des feuilles de papier pour essuyer les dégoulinades de mon orgasme, il se relève souriant et avec délicatesse essuie ma joue
- Tu a encore du sperme là …
- Merci, alors ? ça va mieux ?
- Hooo oui je peu reprendre sereinement l’examen
- Tu va me poser un spéculum ?
- Tu es contre ?
- Pas question d’insérer un truc en métal dans mon vagin ! pose-moi plutôt celui là !
- Ma verge ? tu es sûre ?
- Tu sentiras mieux mon intérieur avec quelque chose de vivant
- Mais je n’ai pas de préservatif...
- Je suis justement là pour la pilule ! et si je ne peu pas faire confiance a un toubib ou va- ton ?
- J’ai envie de reprendre mes caresses là ou je les aie interrompues sous les lilas
Pour lui faire plaisir je me mets debout en lui tournant le dos, aussitôt il m’enlace par derrière les mains en conques sous mes seins, son dard pointe sur mes fesses, ma tête repose sur son épaule je tourne mon visage vers le sien, nos bouches s’unissent une main descend sur mon ventre jusqu'à ma chatte, j’ai écartés mes pieds pour la rendre accessible, ses doigts n’ont aucuns mal à débusquer mon trou qui n’arrête pas de suinter, des bruits mouillés le prouve, les genoux fléchis je m’offre comme une catin , je vais tromper mon mari sans remords
- Tu es merveilleusement bonne
- Tu es doué pour doigter une femme
Je passe une main entre nous deux pour me saisir de sa trique, je la dirige dans ma raie il pousse et s’engouffre entre mes cuisses, la queue glisse sur ma fente sans chercher à me pénétrer il bouscule au passage mon clitoris gros comme un haricot
- Tu me fais du bien j’ai trop envie baise moi.
- Ainsi ? par derrière ?
- Oui
- Penche toi sur la table écarte toi bien …..
En appuis sur les avants bras je me cambre au maximum
- Tu as vraiment une belle ‘ pizdà ‘
- Une quoi ?
- Pizdà ! c’est un vagin en roumain, une chatte qui donne envie d’être défoncée
- Alors défonce ma pizdà !! bourre la moi, donne moi tout le foutre que tu as amassé depuis que tu es célibataire
- Je me suis branlé entre temps !
- Met moi tout ce qui te reste …
Le docteur frotte longuement son membre sur ma vulve sans me pénétrer pour m’exciter encore
- Qu’attends-tu ??????
- Que tu me supplie de t’embrocher
- Embroche mon con, transperce moi la moule, lime mon minou
- Je vais le faire miauler ton minou … TIENNNNNNNNNNNS
- HOOUUUAAAAAOOOOOOUUUUUUUUU ! OUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!
Mes seins vibrent comme deux flans, ses mains soudées à mes hanches il me baise comme j’aime presque violemment, plus virilement que mon mari, je résiste aux chocs donnant même des coups de cul, son piston bien lubrifié refoule mon utérus, ses couilles rebondissent sur mon clito enflé, l’orgasme attendu survient dévastateur pour exploser dans ma tête, je vois mille étoiles
- VIIIIIEEEEENNNNNNNNT MAINTENAAAAAAANNNNNNNNT JOOOOOUUIIIIIT
- Voilà mon sperme salope ! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!
- HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO que c’est booooooooooooonnnnnnnnnnn !!!!!!
La queue tressaute longtemps dans ma matrice en expulsant son venin qui transpire de mes lèvres distendues, cette fois je suis repue calmée mais pour combien de temps ?????
- Cyprian ?
- Oui Sandra ?
- Je dois me sauver mais sache que maintenant j’irais tous les samedis matins dans le petit bois ou tu urinais ….
- Quelle coïncidence c’est justement là que je vais faire mon footing …
- Boff Kévin rester debout à regarder des boules rouler ne me dit rien, va-y seul j’irais faire un tour au vide grenier sur le parking d’Auchan
- Ha la carte bleue va encore chauffer !
- Soit rassuré j’irais a pied les mains dans les poches !
- Ça me fait tout drôle c’est la première fois depuis que nous sommes mariés que nous sortirons chacun de notre coté
- Alors ce sera un test, le soir nous nous retrouverons pour un gros câlin !
C’est ainsi que je me suis retrouvée a arpenter les allées, ça me rappelle mes jeunes années en célibataire, il y a beaucoup de chose a mettre a la poubelle sur les étals ! Mince j’ai oublié de faire pipi avant de partir ma vessie demande à être soulagée, je me dirige vers les w c public six personnes attendent leur tour me voilà bien embarrassée car j’ai très envie …il y a bien le petit bois de l’autre coté du parking, là ou Kévin m’a entrainée un jour pour ôter pour la première fois ma petite culotte
Une allée étroite, de chaque coté de grandes fougères pour me cacher pas besoin de m’enfoncer loin dans le bois, je piétine quelque plantes, lève ma robe, baisse ma culotte aux genoux, écarte les pieds, dés que je suis accroupie un jet intarissable fait un bruit de chute d’eau mais je suis seule a entendre ça !, a ce moment là je réalise que je n’ai rien pour m’essuyer ….comment faire ? Tien ! De jeunes feuilles encore soyeuses feront l’affaire, avec précaution je me relève pour cueillir une poignée de pousses, et là juste devant moi un homme d’une trentaine d’année comme moi vient de se débraguetter, une belle verge dépasse de sa main et commence à expulser l’urine, nos regards se croisent, l’un et l’autre reste cloués tétanisés par la surprise , il regarde ma fourche nue , je vois sa queue qui cesse de pisser a cause de la surprise , l’homme sans doute par mégarde tire sur la peau décalottant un gland tout rose
Je remonte ma culotte à toute vitesse tant pis pour les gouttes restées dans mes poils, je sors sur le chemin, il reste la queue encore sortie et me regarde partir vers le parking, je dois être rouge ! Me voilà repartie dans les allées, le spectacle de cette verge reste présent je ne vois plus ce qu’il y a sur les tréteaux ! Soudain mon voyeur a refait surface il m’a reconnue et me suit de loin, je m’arrête il s’arrête, il est bel homme, bien habillé mais loin de moi l’envie de tromper Kévin ! Bon, il devient décidément trop insistant je repars a la maison
Une fois sur la route je me retourne … il est là a cinquante mètres ! Si je ne lui prête pas attention il va en avoir mare, je poursuis mon chemin... tient, voilà l’église, c’est derrière cet édifice a la même époque dans un bosquet de lilas sauvages que Kévin m’a embrassée pour la première fois et a mis sa main dans ma culotte ! Je perçois encore l’instant magique ou ses doigts sont entrés en contact avec la couture de mon slip en coton, je tremblais comme une feuille, mes jambes ne me portaient plus quand il a entrouvert mes lèvres trempées, dans un réflexe de pudeur j’ai serrées les cuisses, ce soir là j’ai échappée a la pénétration pour céder huit jours plus tard dans le bois ou j’ai fais pipi…la tête remplie de souvenirs je décide de faire le tour de l’église comme pour un pèlerinage
J’en ai oublié mon suiveur … voilà les lilas en fleurs, c’est là exactement a cet endroit que ‘ ça ‘ c’est passé, je ferme les yeux en respirant a fond le doux parfum des fleurs, soudain des pas froissent l’herbe ?? des bras enserrent ma taille des mains se posent sur mes seins je renverse la tête, une épaule la reçoit …quelque chose de dur pèse sur mes fesses je ne me dérobe pas, une main quitte ma poitrine , glisse sur mon ventre, ma robe se lève ….mes pieds se séparent malgré moi, la main est a l’intérieur de ma cuisse sur la couture de mon string , des gouttes de mouille rejoignent l’humidité laissée par l’urine non essuyée, des doigts cherchent l’entrée de ma vulve et la trouve , NON ! comme avec Kévin la première fois je serre les cuisses emprisonnant la main dont les doigts fouillent déjà l’intérieur de mon vagin
- Laissez-moi !!!!!!
- Pourquoi ???
- Laissez moi je suis mariée
- Excuse-moi madame
‘ Excuse-moi madame ? ‘ Quel drôle de langage ! Je pars en courant jusqu'à la maison la culotte à moitié mangée par ma vulve, haletante j’ai grand soif, je vais au frigo et prends une bouteille de bière glacée, jamais je n’en bois mais j’en ai subitement envie, une fois décapsulée j’en bois une grosse gorgée et je la passe la bouteille sur mon visage, ça me fait un bien fou …appuyée sur un coin de table je réfléchie …que m’est il arrivée ? Pour un peu je trompais mon mari avec un parfait inconnu, ma chatte n’est pas calmée … ce goulot effilé me trouble ….Je relève ma robe, ôte ma culotte, les fesse appuyées sur le coin de table j’écarte les cuisses, je saisie le flacon par le bas, le goulot pointé vers ma fente je remonte …. Haaaaaaaaaaaaaaaa ………. Que c’est booooooonnnnnnnnnnn, mes doigts sous le cul de bouteille poussent encore et encore vers le haut, la bouteille est entrée aux trois quart dans mon vagin, quel pied ce froid qui se répand dans mon ventre, les yeux fermés je baise ma moule avec cette verge factice … c’est cet inconnu qui me prend debout comme une pute …je pousse violement faisant mousser le liquide qui explose dans ma chatte simulant une éjaculation spectaculaire, en seulement quelques secondes j’explose dans un cri inhumain , ma cyprine mélangée a la bière s’écoule le long de mes cuisses pour former une large flaque sur le carrelage, le flacon poisseux glisse je le rattrape de justesse , ma soif n’est pas tarie aussi je bois a longues gorgées ce panaché euphorisant de mouille et de bière
Lorsque Kevin arrive je suis encore chaude il me faut une vraie bitte je tourne autour de lui comme une chatte en chaleur
- Tu t’ès régalée a ce vide grenier chérie ?
- Quatre heures sans toi c’est trop je t’attendais avec impatience, touche moi Kevin je n’ai plus de culotte j’ai envie de baiser tout de suite
- Ben ma salope ! tu es trempée, tu veux que je te prenne ou ?
- Là sur le coin de la table, debout …
La queue juste sortie de la braguette, accrochée a son cou mon mari m’enfile, il me soulève quasiment de terre chaque coups de reins, je suis en rut il l’a compris et ne cherche pas à fignoler, son éjaculation ne tarde pas, son sperme qui fouette mon utérus déclenche un orgasme formidable, enfin calmée je reprends mon souffle et une attitude paisible ? j’omets toutefois de parler de cette étrange aventure …
- Hé bien Sandra tu avais vraiment envie ! au fait si nous parlions de bébé tu n’a pas envie de pouponner ?
- Faire un bébé ? c’est encore trop tôt, je vais justement demain chez le nouveau docteur pour le renouvèlement de ma pilule, mais je te promets d’y réfléchir …
Le lendemain à neuf heures je suis dans la salle d’attente du docteur Ciprian Russesco, c’est donc lui le nouveau toubib roumain venu pour combler la désertification médicale, puis-je avoir confiance en lui ????
Lorsqu’il ouvre la porte j’ai un choc, que dis-je un choc ? Un vrai séisme oui, le docteur Russesco est tout bonnement l’homme d’hier celui qui a mis ses doigts dans ma chatte, trop tard pour me sauver il m’invite à entrer, il ne peut pas ne pas m’avoir reconnue ???
- Bonjour madame Vignaud assoyez-vous
Cet accent et ce ‘ excuse moi madame ‘ d’hier explique tout, je vous fais grâce des mots écorchés qui auraient suivit je vais donc poursuivre en bon français….
- Alors vous venez pour la pilule … je vais vous demander de dénuder votre poitrine …
- Ah ? bon …
Mes seins il les a tâtés sensuellement hier ! Je vais devoir me faire palper médicalement aujourd’hui, pas un signe de sa part prouve qu’il m’a reconnue, je vais lui rafraichir la mémoire …
- Docteur, vous êtes nouveau dans cette ville, vous connaissez le petit bois d’Auchan et le bosquet de lilas derrière l’église ?
- Excuse moi madame je ne voulais pas abuser de vous, j’espère que ça resteras entre nous …
- Bien sûr
- Merci, je vais maintenant palper vos seins
Sans quitter son regard je dénude mon torse, il attend le moment ou mes seins vont être à l’air …mes tétons sont raides ma culotte se mouille et je n’éprouve aucune gêne
- Voilà docteur ….
- Allongez-vous …levez les bras …
Il a quand même accusé le coup car ses doigts tremblent, professionnel il examine le tissu fibreux puis devient plus délicat, il fait rouler mes tétons entre ses doigts ce qui n’arrange pas mon état d’excitation, mes cuisses se frottent l’une sur l’autre s’ouvrent se ferment, ça ne lui échappe pas sa main masse voluptueusement mes seins il me pelote purement et simplement
- Vous êtes sensible, très sensuelle je l’ai remarqué hier …
- Ha bon ?
- Vous m’en voulez pour avoir osé cette caresse ?
- Une femme apprécie lorsqu’ont lui fait du bien, j’ai paniqué tout simplement je n’ai jamais trompé mon mari
- Je vous comprends … Hummmm, il faudrait que j’examine votre vagin mais je comprendrais que vous refusiez
- Pour quelle raison ? vos doigts sont exquis ...
Sans attendre je me lève et ôte prestement le reste de mes vêtements, entièrement nue je m’allonge les jambes ouvertes, une bosse se déclare a sa braguette… je viens de comprendre que je vais tromper Kévin …
- Approchez vos talons se vos fesses, écartez les genoux
- Comme ça ?
- Très bien
Le vue que je lui offre ne le laisse pas insensible sa respiration s’en ressent la mienne aussi je ne le cache pas mes seins montent très haut
- Vous êtes une très belle femme …
Il a laissé une main sur un sein l’autre caresse délicatement mon ventre ses yeux ne quittent pas mon entre jambes, mes bras le long de mon corps je fixe le plafond soudain sa braguette vient se plaquer sur mon poignet, est-ce une invite ? La chose recourbée prisonnière du slip donne des coups
- Vous êtes marié docteur ?
- Oui mais elle est reste en Roumanie le temps que je me fasse une clientèle, cela fait quatre mois déjà c’est long
- D’où votre tentative de séduction d’hier ?
- J’ai honte mais j’avoue que oui...
- Vous savez si les conjoints ne sont pas au courant d’une incartade ils n’en souffriront jamais …
- C’est vrai …
- Alors qu’attendez-vous ?
- Vous voulez dire …
- Baisez-moi, ouvrez votre pantalon je vais vous caresser
L’homme me lâche il défait nerveusement son pantalon et le pose sur une chaise ainsi que le slip noir, sa bitte tendue dépasse entre les pans de sa chemise il s’approche de moi je m’en saisie a tâtons, a première vue elle est plus large que celle de Kévin plus longue aussi, enfin je perçois la chaleur de sa main sur ma motte, ses doigts pincent mes lèvres, il les pressent comme pour en extraire le jus, mon clitoris roule sous la chair en m’électrisant, mon bassin se soulève, je sens son souffle qui approche de ma vulve , je tourne la tête le gland rose est a portée de bouche, je l’embouche au moment ou sa langue se fraie un passage entre mes poils , ses doigts tirent mes lèvres vers l’extérieur ma chatte est béante il lape bruyamment le jus qui s’en écoule, sa langue parcoure ma moule du clito a la cible fripée
Sans cesser nos caresses nous adoptons au mieux une position afin que ce soixante neuf soit réussi, je pompe j’aspire je branle, j’ai hâte de soulager ses bourses, un murmure montant indique que je vais recevoir sa semence, ses doigts s’enfoncent au plus profond de mon ventre, les deux conjugués déclenchent ma jouissance, je m’abreuve de sperme tandis que des jets de cyprine giclent sur son visage
Il déchire des feuilles de papier pour essuyer les dégoulinades de mon orgasme, il se relève souriant et avec délicatesse essuie ma joue
- Tu a encore du sperme là …
- Merci, alors ? ça va mieux ?
- Hooo oui je peu reprendre sereinement l’examen
- Tu va me poser un spéculum ?
- Tu es contre ?
- Pas question d’insérer un truc en métal dans mon vagin ! pose-moi plutôt celui là !
- Ma verge ? tu es sûre ?
- Tu sentiras mieux mon intérieur avec quelque chose de vivant
- Mais je n’ai pas de préservatif...
- Je suis justement là pour la pilule ! et si je ne peu pas faire confiance a un toubib ou va- ton ?
- J’ai envie de reprendre mes caresses là ou je les aie interrompues sous les lilas
Pour lui faire plaisir je me mets debout en lui tournant le dos, aussitôt il m’enlace par derrière les mains en conques sous mes seins, son dard pointe sur mes fesses, ma tête repose sur son épaule je tourne mon visage vers le sien, nos bouches s’unissent une main descend sur mon ventre jusqu'à ma chatte, j’ai écartés mes pieds pour la rendre accessible, ses doigts n’ont aucuns mal à débusquer mon trou qui n’arrête pas de suinter, des bruits mouillés le prouve, les genoux fléchis je m’offre comme une catin , je vais tromper mon mari sans remords
- Tu es merveilleusement bonne
- Tu es doué pour doigter une femme
Je passe une main entre nous deux pour me saisir de sa trique, je la dirige dans ma raie il pousse et s’engouffre entre mes cuisses, la queue glisse sur ma fente sans chercher à me pénétrer il bouscule au passage mon clitoris gros comme un haricot
- Tu me fais du bien j’ai trop envie baise moi.
- Ainsi ? par derrière ?
- Oui
- Penche toi sur la table écarte toi bien …..
En appuis sur les avants bras je me cambre au maximum
- Tu as vraiment une belle ‘ pizdà ‘
- Une quoi ?
- Pizdà ! c’est un vagin en roumain, une chatte qui donne envie d’être défoncée
- Alors défonce ma pizdà !! bourre la moi, donne moi tout le foutre que tu as amassé depuis que tu es célibataire
- Je me suis branlé entre temps !
- Met moi tout ce qui te reste …
Le docteur frotte longuement son membre sur ma vulve sans me pénétrer pour m’exciter encore
- Qu’attends-tu ??????
- Que tu me supplie de t’embrocher
- Embroche mon con, transperce moi la moule, lime mon minou
- Je vais le faire miauler ton minou … TIENNNNNNNNNNNS
- HOOUUUAAAAAOOOOOOUUUUUUUUU ! OUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!
Mes seins vibrent comme deux flans, ses mains soudées à mes hanches il me baise comme j’aime presque violemment, plus virilement que mon mari, je résiste aux chocs donnant même des coups de cul, son piston bien lubrifié refoule mon utérus, ses couilles rebondissent sur mon clito enflé, l’orgasme attendu survient dévastateur pour exploser dans ma tête, je vois mille étoiles
- VIIIIIEEEEENNNNNNNNT MAINTENAAAAAAANNNNNNNNT JOOOOOUUIIIIIT
- Voilà mon sperme salope ! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!
- HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO que c’est booooooooooooonnnnnnnnnnn !!!!!!
La queue tressaute longtemps dans ma matrice en expulsant son venin qui transpire de mes lèvres distendues, cette fois je suis repue calmée mais pour combien de temps ?????
- Cyprian ?
- Oui Sandra ?
- Je dois me sauver mais sache que maintenant j’irais tous les samedis matins dans le petit bois ou tu urinais ….
- Quelle coïncidence c’est justement là que je vais faire mon footing …
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