PREMIERES FOIS (suite)

- Par l'auteur HDS Abasa-arioul -
Auteur homme.
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Récit libertin : PREMIERES FOIS (suite) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PREMIERES FOIS (suite)
Voici le troisième volet de mes confidences sur le thème PREMIERES FOIS (SUITE)
Si vous ne comprenez pas la signification de mon pseudo, demandez à un berbère marocain de la région d'AGADIR il vous fera la traduction.
C’est encore moi avec mes histoires de grosses bites, de toute façon vous savez comme moi, que quoi qu'on en dise ""avoir une belle biroute" quel plaisir !
Les sois disant sexologues qui pour les rassurer, disent aux faiblement montés que ça n'a pas d'importance, qu'une petite bite fait autant plaisir aux dames, cela est faux.
Les femmes sont comme la choucroute, elles aiment être "bien garnies".
Je continue mon bavardage.
Résumé des chapitres précédents,
Nous sommes dans les années 1950, j'ai 18 ans, de la macrogénitosomie, avantages et inconvénients, plutôt avantages.
Une madame Claire, voisine, au vagin de bonne largeur ma proprement déniaisé, je ne la remercierai jamais assez, quoique que notre rupture fût un peu rude et rapide.
Revenons à nos moutons, vous êtes là pour entendre mes exploits consécutifs à mon engin géniteur de forte taille.
Je vais éclairer ma lanterne pour que vous puissiez mieux comprendre la suite des événements.
J’habitais St Etienne je travaillais à la verrerie Franco Belge groupe BSN rival de St Gobain.
Nous habitions une cité ouvrière faisant partie du groupe, à cette époque, ça vous ferait rire, mais c'est vrai, je m’étais fait, sans le vouloir une réputation à cause de mon engin abasa-arioul (littéralement zob d'âne !).
Je vous ai déjà dit qu'à l 'usine on me surnommait ""forte queue"".
Un jour je fus désigné pour transporter du matériel à St Chamond voisine de 12 km.
Dans notre cité vivait une dame nommée CHE, je n'en dit pas plus, 45 ans qui me faisait les yeux doux, mais je n'en n'avait que faire.
Son mari verrier, mais en arrêt maladie pour tuberculose, c'était courant à l'époque.
Cette madame CHE tour de taille impressionnant, jambes louis XV ne me faisait pas frétiller du zizi.
Mais malgré tout, nous étions de bonne connaissance grâce à nos familles.
Et le jour où elle me demanda de l'amener à St Chamond 29 septembre Foire de la St Michel, je ne demandais qu'à lui faire plaisir, comme c'était le jour où je faisais ma livraison.
Il faut dire qu'à l'époque les moyens de transports étaient encore rares.
Elle allait chez sa soeur qui tenait une auberge restaurant de relais pour voitures à chevaux.
Eh oui ça existait encore à cette époque d'après guerre, où il y avait encore des restrictions sur pas mal de choses.
Je la déposais donc chez sa sœur et j'allais faire ma livraison.
J’avais emporté un casse-croûte avec moi, mais madame CHE m'avait dit, on vous attend à l'auberge vers 13h pour manger.
Je me pointais donc à l'heure dite, je commençais à avoir faim.
La grande salle était bondée de monde, un monde paysan et maquignon, blouses bleues ou noir, et ça festoyait malgré les restrictions que nous connaissions encore, nous les gens de la ville.
Il est vrai que nous étions en milieu campagnard, à l'époque du point de vue "bouffe" c'était un autre monde.
Je restais la, immobile, attendant que l'on m’interpelle, madame CHE s'affairait avec la clientèle, sa soeur pour ces occasions là, embauchait une partie de sa famille.
Elle me vit rapidement, venez, vous ne pouvez rester là, venez à la cuisine, on vous a réservé une petite place.
Une grande cuisine, où tout le monde courrait à sa tache, l'on m'avait déniché un petit guéridon ou l'on m'avait servi copieusement une grande assiette, avec charcuterie, omelette, fromage et un pot de vin.
C’était l’idéal, l'on ne peut se figurer aujourd’hui, ce que encore à l’époque, ce que cela représentait.
J’attaquais avec entrain ma pitance, jetant de temps en temps un coup d'oeil à la fourmilière qui s'agitait autour de moi.
Et parmi tout ce monde il y avait une belle jeune fille que je regardais sans voir, mais je m'en aperçu rapidement me regardait d'une manière curieuse et insistante.
J’étais très jeune 18 ans, pas spécialement beau, je ne veux pas me diminuer mais les filles en général ne se retournaient pas sur mon passage.
Et elle passait et repassait devant moi, sans doute pour son travail, mais sa manière de me regarder me fit comprendre que je ne lui étais pas indifférent.
Depuis mes aventures avec madame CLAIRE, je l'ai dit, j'avais pris confiance en moi sur le sujet de mes relations avec la gent féminine.
Donc je lui rendais ses regards, je ne baissais pas les yeux et elle non plus.
Au bout d'un certain temps, je m'enhardi et d'un signe de tête, je lui fit comprendre d’approcher, et je lui dit : "alors on sort, on y va ", elle mit un doigt devant sa bouche comme pour me faire comprendre d'attendre " un petit instant et je reviens, je sort la première".
Je restait là, un peu étonné de ce qui m'arrivait, et l'attente ne fut pas longue, d'un regard elle me fit comprendre que c'était le moment.
J’attendit un peu et la suivit derrière dans une grande cours ou était les chevaux et leur fourrage.
Arrivé là, nous n'avons pas hésité, le temps était précieux pour elle, nous sommes tombé dans les bras l'un de l'autre, embrassades goulues, langues dans la bouche je me sentais transformé, mon pantalon commençais à se remplir.
Je passais ma main sous la jupe légère, pas d’obstruction, j'arrivais au panier, les culottes à cette époque était lâche, on passait facilement la main, je senti une toison poilue, comme les femmes n'avait pas honte de porter à cette époque, aujourd'hui c'est le règne de l'épilation à outrance.
Je suis content de n'être plus opérationnel (76ans), car je me demande si ces chattes rasées me ferait "godiller" aussi bien qu'avant.
Je continue, tout était mouillée chez elle, son entre cuisse, sa foufoune, je fouraillais dedans avec délices, si bien que je n'hésitais, je sortis mes 25cm de bonne chair a consommer au four de la vie.
Elle ne fut pas trop surprise, elle s'exclama quand même, "vous avez du répondant me dit elle", et elle le l'empoigna d'une main rugueuse, on voyait que c'était une femme de la terre, travailleuse dans beaucoup de domaines.
Je n'allais pas tarder à m'en apercevoir, ses caresses étaient bienvenues, je me mis à bander comme un forcené.
Elle leva sa jupe et son tablier, se l'attacha autour de la taille, enleva sa culotte qu'elle déposa à coté sur un balle de paille.
Allez viens, elle prit ma bite, et commença a se masturber, la fente et le clitoris, je me dit elle va ma faire le ""bord à bord», je m'explique les filles de cette époque, "enfin certaines ", qui ne voulait pas se faire déflorer, et aussi la peur de la maternité pratiquait cette manière de faire, le garçon n'avait plus qu'a se finir en se branlant jusqu'a éjaculation
J’étais un peu déçu, m'attendant à une pénétration, mais la fille était jeune et je comprenais sa manière de faire.
Je m'étais trompé, la dame voulait bien se faire enfiler comme une reine, elle continua quelques instants son manège, puis d'un coup de reins se jeta sur la meule paille, ses cuisses écartées, sa chattes luisante de désir et de mouille, et me dit "viens on y va".
Un peu décontenancé, je m'arrêtais deux secondes pour contempler ce charmant spectacle, je vous le demande chers lecteurs qui me lirez, ouvrez ou fermez vos yeux, chacun sa manière, et fantasmez, qu'y a t'il de plus beau qu'une femme qui s'offre à vous, et à vos regards de la manière que je vous explique.
Je me plaçais entre ses deux gambettes, elle fermant les yeux, sa culotte à portée de la main, je ne la fis pas attendre, je pointais mon gros noeud vers ses lèvres "de la chatte" et je commençais à pénétrer dans ce magnifique endroit que certain poètes médiévaux ont appelé le four ou l'on fait cuire le pain de l'amour.
En attendant la cuisson de ce pain, je m'enquillais à fond dans ses profondeurs,
Et le four commença à me pétrir ma bonne quille, et je l'aidais de mon mieux.
Ce fut des instants brefs mais formidable, ma copine ondulait , cherchant à m'échapper par jeu, et moi remettent ça, là maintenant par les jambes m'enfonçant tant que dur dur, l'enconnant comme on disait au temps de Bocacce, ne voulant pas perdre un centimètre de bonheur.
Sa culotte qu'elle tenait auparavant à la main, était sur sa bouche, pour s'empêcher de crier je pense.
Le va et vient du plaisir continuait, elle gémissait par petits cris étouffés.
Enfin je sentis le moment divin arriver, elle ne put s'empêcher de crier un peu, et moi ne me contrôlant plus, je lui lançais une copieuse décharge dans ses entrailles.
Elle ne m'avait rien demandé concernant la prudence, nous somme resté un instant collé l'un à l'autre, et elle s'est déconné d'elle même, me fit un rapide petit bisous, et me dis," attend un peu avant de rentrer".
Je la regardais partir, un peu éberlué, je ne sais quoi dire par ce qui venait de m'arriver.
Je m'aperçu qu'elle oubliait son sous- vêtement, je l'appelais doucement, elle revint avec un sourire qui voulait dire "où ai je la tête", la mis dans une poche de son tablier et s'enfuis en courant.
Je rentrais à l’auberge, madame CHE me dit vous voyez c'est encore la foule, pouvez vous attendre encore quelques heures
Je ne pouvais pas lui refuser cela, je lui répondis, je viendrais vers 17 h, ça ira et tout heureux j'allais passer mon temps à la foire qui battait son plein.
Je regardais les camelots faire leurs boniments, il y avait des cracks en la matière c'était du spectacle, j'allais au champ de foire ou les transactions se finissaient, la clientèle de la soeur de madame CHE.
Et petit à petit j'arrivais vers 17h, heure que nous avions dit.
La salle dégarnie avait encore du monde, madame CHE me regardant me dit, on reste encore un peu, allez dans la cuisine à votre place, un gâteau vous attend.
Je ne pouvais pas moins faire après tout j'avais le temps.
Je m’installais, un superbe "pâté aux pommes" m'attendais, et la bouteille de vin.
Les gens dans notre région, étaient de forts consommateurs de pinard, cela à changer et ça n'est pas si mal.
Et bien sur, mon accorte compagne ne tarda pas à revenir ronronner dans le coin, à sa vue je me senti redevenir gaillard.
Un regard de tête, elle s’approcha, "on n'y retourne" lui dis je.
Elle remis son doigt devant sa bouche, comme pour me reprocher ma polissonnerie mais c'était du chiqué, je voyais qu'elle en avait autant envie que moi.
Un instant, quand je sors, vous me suivez, faites attention que l'on ne remarque rien.
Elle se faisait du souci pour rien, la ruche bourdonnait encore, personne ne faisait attention à nous.
Une fois à notre endroit préféré, embrassade fougueuse, moins pressé je pris le temps d'un petit bout de conversation.
Qu’est ce qui t'a plu en moi, lui demandai je, elle me répondit sans pudeur et sans façon "ta grosses bite".
Je restais un instant stupéfait, comment le savais tu, sa tante madame CHE au cours du repas qu'elle avait prise en commun en avait parlé vaguement.
J’ai voulu voir par moi même me dit elle, et d'un air malicieux me dit c'est vrai, je n'ai jamais rien vu de pareil.
Ce qui signifiait qu'elle n'était pas une oie blanche.
Ces quelques mots nous avait rapproché, embrassade goulue, bord à bord et de nouveau ma belle complice sur le dos, la chatte velue et mouillée offerte a mes regards concupiscents.
J’étais en pleine érection, je lui demandais de me sucer, elle refusa d'un air offusqué, c'est les femmes de mauvaise vie qui font ça.
J’insistai, pour me faire plaisir, elle tenta la chose, mais sa bouche, grande, n’arrivait pas pourtant à enfourner.
Elle me dit viens, nous avons un peu de temps, essayons de faire durer le plaisir.
Je rentrais dans son vagin par petites secousses, ce qui plait aux femmes qui on l'occasion de baiser avec un mec bien monté.
Je rentrais et je sortais, ce petit jeu nous amusait beaucoup, elle se couvrait la bouche avec sa culotte serrée pour ne pas crier son plaisir.
A force de faire joujou de cette manière, elle ne pus se retenir, elle me cria, vas y ne te retient pas, jouis avec moi, ce que je fis en brusquant mon allure et j'éclatais de bonheur et de foutre dans son vagin distendu par la grosseur de ma bite et surtout par son désir à elle.
Je me retirai lentement, et je vis une chose que je n'oublierai jamais, sa fente, son trou, ses lèvres dégoulinaient de sperme et je crois d'urine.
Il faut croire que la secousse avait été forte pour en arriver la.
Nous nous séparâmes cette fois avec un dernier baiser langoureux et elle rentra pour finir son travail.
Je rentrai à mon tour, madame CHE me dit 15 minutes et l'on s'en va.
Je m'installai dans la camionnette à l'attendre et je pensais à ce qui venais de m'arriver, je venais de tirer deux coups en deux heures de temps, gicler dans sa chatte avec une fille dont je ne connaissais même pas le prénom.
Madame CHE arriva et nous partîmes pour rentrer à St Etienne.
En chemin j'amenais la conversation sur notre journée bien remplie, a nous deux, mais pas de la même manière.
Votre soeur travaille énormément à l'occasion de ces foires lui dis je, bien sur c'est très important pour elle. Vous êtes toute la famille pour l'aider.
Et cette jolie fille qui m'a servi c'est votre nièce, oui me dit elle vous l'avez remarqué elle est plutôt bien.
Mais ajouta t'elle avec un air moqueur, "c'est pas du mourrons pour votre zoiseau , elle se marie dans un mois"
Je failli lâcher le volant, je me repris, ha oui elle fera une jolie marié.
Et madame CHE me débita tour ce qui pouvait m'intéresser, elle se prénommait Marinette, elle épousait un cultivateur veuf sans enfant, un peu plus âgé qu’elle, mais qui possédait du bien, chose bien vue et normale à la campagne, je crois que cela n'a pas changé.
Nous rentrâmes chacun chez nous après remerciements mutuels, les miens hypocritement sincères.
Chez moi je me plongeais dans des réflexions, qu'est ce qui peut bien pousser une femme la veille de ses noces à venir se faire piner à outrance par un inconnu.
Ma bite d’accord, sa curiosité satisfaite, je n'ai jamais résolu le problème qui relève de la psychologie, le risque de se faire engrosser, à une époque où on ignorait les contraceptifs.
Madame CHE est parti quelque temps plus tard pour soigner son mari malade, je n'ai donc jamais pu avoir des nouvelles de Marinette et de son époux, à qui je lui la souhaite bonne et heureuse, car avec une compagne comme ça, s'il n'est pas à la hauteur, les cornes qu'il a du porter on du lui faire une belle parure.
Voila c'est fini, chers amis et amies, ces aventures et quelques autres qui viendront plus tard vous donneront à songer sur l'insondable subconscient humain.

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