premières vacances avec nos amis
Récit érotique écrit par Nanou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2006 dans la catégorie Plus on est
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premières vacances avec nos amis
Après nos deux premières rencontres, avec Domi et Philippe, nous avons décidé de passer une partie de nos vacances ensembles. Nous avons donc loué un bungalow dans le camp de naturistes où nous avons fait connaissance.
L'après-midi, baignade et bronzage. Et dès le premier soir, c'est bien parti. Le repas fini nous passons au salon. Domi attaque très vite en me disant:
- Philippe m'a avoué qu'il t'avait fait l'amour, en même temps que Bernard, cela m'a beaucoup excitée. Et le fait de me le rappeler m'inonde le minou.
En même temps qu'elle dit cela, elle attire la main de Philippe sur son sexe.
- Mais, c'est vrai, elle est toute mouillée.
Et il commence à la caresser. Elle se laisse faire complaisamment, en écartant les cuisses.
Ce spectacle est aussi excitant pour Bernard et moi, je caresse son sexe qui devient vite raide.
Philippe s'agenouille devant Domi pour lui faire un cunnilingus, tout en la pénétrant de ses doigts. Elle devait avoir pensé à ça depuis quelque temps, car elle jouit rapidement. Puis, elle entraîne Philippe sur le tapis et lui demande de s'allonger sur le dos, elle l'enjambe, se met à genoux et dirige le chibre de Philippe dans son puits d'amour, qui m'a l'air bien lubrifié.
Évidemment, nous ne sommes pas resté inactif, la vue de nos deux amis en plein ébat et les caresses de Bernard me procure du plaisir. Pour continuer à jouer la voyeuse, je m'assois sur mon homme, le dos contre son torse en dirigeant son chibre dans mon jardin secret. Il me caresse les seins d'une main, l'autre s'occupe de mon clito.
Philippe est en train de caresser les fesses de Domi, un doigt descend dans son sillon et s'arrête sur son petit trou. Quand son doigt la pénètre, elle jouit presque immédiatement. Puis elle se lève et va dans la salle de bain. Elle revient et je vois aussitôt qu'elle a une capote dans les mains, je comprends tout de suite ce qu'elle veut. Elle retourne s'empaler sur Philippe. Je me relève, afin de pouvoir aider mon homme à enfiler le préservatif, car il a l'air un peu éberlué. Je lui dis d'aller s'occuper de Domi.
Bernard s'agenouille derrière elle, il mouille ses doigts, il en introduit un, puis deux.
Il les ressort et présente son chibre devant l'œillet de Domi. Elle recule et le sexe de Bernard pénètre sans coup férir l'arrière-train de notre amie. Je vois le chibre de mon homme aller et venir dans ce cul qui ne demande que cela. Domi est vraiment une fervente amatrice de l'amour anal, car elle arrive au septième ciel en émettant des petits cris très excitants. Bernard la rejoint dans la jouissance. Il se lève et vient s'asseoir sur un sofa.
Ce spectacle m'a grandement émoustillée et moi aussi j'ai bien envie de ma part de jouissance. Aussi, je vais demander à Domi si elle veut bien me laisser son petit mari. Elle est d'accord. Nous allons chercher un préservatif, que je reviens vite enfiler sur le sexe de Philippe. Puis je l'entraîne sur le tapis devant Bernard, je veux qu'il me voie me faire pénétrer par un autre homme, c'est un de ses désirs les plus grands. Je me mets à quatre pattes, Philippe s'installe derrière moi, il me caresse le minou, mais c'est inutile, je suis tellement excitée que je suis prête à tous les outrages. Surtout que la levrette est une de mes positions préférées. Philippe se contente de pénétrer ma grotte d'amour, mais il rentre d'un seul coup et fait tout de suite des mouvements amples et rapides qui, rapidement, m'emmènent au sommet du plaisir. Je sens Philippe qui crispe ses mains sur mes hanches en se calant au fond de mon vagin. Je jouis à nouveau.
Philippe va s'asseoir aux côtés de Domi, et moi de Bernard, pour nous reposer un peu.
Domi se lève pour aller nous chercher à boire.
Quand elle revient, elle me demande ce que cela m'avait fait de m'épiler le pubis pour Philippe et quelles sensations j'avais eu de me balader toute nue comme cela.
Je lui explique que c'était une proposition de Bernard et bien que je le fasse régulièrement, j'avais un peu hésité à le faire ici , car les gens que nous connaissons ne m'avaient jamais vue complètement épilée. Mais l'envie d'exciter Philippe avait été plus grande. Ensuite, sentir la caresse du vent, la chaleur du soleil et certaine fois le regard des gens, c'est vraiment super.
Je lui dis que maintenant, quand je suis épilée, j'aime encore plus être nue sous une robe. Savoir que seul mon homme le sait m'amuse beaucoup. C'est une tenue que j'utilise souvent. Quand nous allons sur des plages naturistes, je ne mets jamais de culotte et je suis toujours en robe ou en jupe.
Domi nous dit que malgré la fréquentation des clubs libertins et des camps de naturistes, elle ne s'est jamais épilée totalement et ne s'est jamais mise nue sous une robe. Demain elle essaiera, mais maintenant c'est l'heure du dodo.
Au petit déjeuner, Domi soulève le T-shirt qu'elle porte pour nous montrer qu'elle s'est épilé le minou. Du coup je décide de faire la même chose avant que nous allions faire des courses.
Dans la salle de bain,assise sur le bord de la baignoire, je demande à Bernard d'étaler la crème épilatoire sur mon pubis. Bernard va se raser. La porte est restée ouverte, Philippe passe devant et jette un regard sur moi, il est nu. Je lui propose de m'enlever la crème, ce qu'il s'empresse de faire. Avec la spatule, il découvre lentement ma peau débarrassée de toute pilosité. Je m'aperçois qu'il bande.
Bernard appelle Domi. Quand elle rentre, elle le traite gentiment de cochon et se dirige vers Bernard et se met contre lui face à nous. Il commence à la caresser.
Je me rince, puis prends le sexe de Philippe dans ma bouche. Il est bien raide et je sens que si je continue, il ne va pas tarder à éjaculer dans ma bouche. Aussi, j'enjambe le bord de la baignoire, je prends Philippe par le sexe et l'entraîne vers le placard à malice où il y a les préservatifs. Philippe en met un sur son chibre. Je me positionne fesses contre le meuble qui supporte le lavabo. Philippe s'approche de moi, présente son membre viril à l'entrée de mon minou tout nu et tout mouillé. Il est tellement excité qu'il me pénètre d'un seul coup. Il fait des mouvements rapides en me pénétrant profondément. Son excitation est telle, qu'il me la communique, mais il jouit assez vite,et, si cela me procure du plaisir, il n'est pas à la hauteur de mes attentes.
Domi a les mains appuyées sur le meuble, Bernard la pénètre par derrière et eux aussi doivent être très excités, car ils jouissent peu de temps après nous.
Après une douche rapide, retour dans nos chambres pour nous habiller avant d'aller faire nos courses. Je mets une robe plutôt courte, fluide, du genre qui s'envole au moindre coup de vent. Ni soutien-gorge, ni culotte. Bernard met un polo et un bermuda.
Nous rejoignons Phil et Domi. Phil aussi a mis un bermuda, Domi porte une robe jaune flashy avec des bretelles très fines.
Je lui demande si elle a mis une culotte, elle me dit qu'elle a mis un string. Je soulève ma robe pour lui montrer que je n'ai rien dessous. Je lui propose de l'enlever pour avoir cette sensation fantastique de nudité cachée, que seuls nos hommes connaîtront, ce qui ne manquera pas de les exciter, j'en suis sûre. Du coup, elle enlève son minuscule string.
Nous partons faire nos emplettes. Mais cet intermède érotique m'a mise dans un état d'envie à la limite de l'insatiabilité. Philippe a joui assez vite et si j'ai pris du plaisir à ce rapport, cela ne m'a pas totalement satisfaite.
Aussi, lorsque je monte à l'arrière de notre voiture (un monospace, donc haute) je m'empresse de montrer mes trésors à mon trésor. Je sais qu'il aime ça. Philippe s'assied devant, à côté de mon époux.
Nous discutons de ce que nous devons acheter. Une fois énumérer les victuailles essentielles, je propose de racheter des préservatifs. Domi dit que, de leur côté, ils sont surs de ne pas avoir de problèmes, car, hormis avec nous, ils n'ont pas eu d'autres partenaires. Bernard enchérit, car nous non plus, n'avons pas eu d'autres relations, depuis le début de notre vie commune, qui date de 12 ans. Question close : nous nous passerons de capote, ce qui n'est pas un mal.
Pendant que nous évoquions ce sujet, Philippe s'est retourné vers Domi et moi. J'en ai profité pour lui exposer mon anatomie : j'ai posé mon pied gauche sur l'assise du siège, il ne peut pas rater le spectacle. A un feu rouge, Bernard, intrigué, se retourne, vers moi. La vision que je lui offre le fait sourire, il dit à Philippe que je suis une petite dévergondée.
En premier, nous allons au marché pour acheter fruits et légumes. Chaque fois que je peux, je m'accroupis pour ranger nos achats dans le panier. Evidemment, pour continuer le spectacle, je le fais les genoux écartés et face à Philippe. Ensuite, dans une supérette, je change de tactique, je me penche en avant, sans plier les genoux, pour charger le chariot. Je m'arrange pour que Philippe soit derrière moi. D'ailleurs, je ne suis pas sûre qu'il soit le seul spectateur. Mais je m'en moque.
Nous ramenons une deuxième fois nos achats à la voiture, avant d'aller boire un coup dans un café. Nous allons sur la terrasse, il y a des chaises confortables. Je me débrouille pour me placer face à Philippe. Je ne sais pourquoi, mais j'ai envie de le mettre dans un état tel, qu'il s"en souvienne longtemps, je vais lui faire "payer", gentiment, son empressement de tout à l'heure.
Dès que je suis assise, je me remets dans une position similaire à celle que j'ai prise dans la voiture. J'ai pris la précaution de mettre ma chaise dans une position où il ne peut que voir ce que je veux lui dévoiler à nouveau. Notre table est située près de l'entrée du bar, et moi, je suis face au trottoir, je pense qu'il va falloir que je fasse attention à ceux qui vont à l'intérieur.
Quoique ? Je n'entends pas arriver le serveur, je n'ai pas le temps de rabaisser ma robe et il ne manque pas le spectacle. Plutôt que le faire à retardement, je reste dans cette position, je sais bien qu'il doit se rincer l'œil, tant pis, ou tant mieux pour lui. Il prend nos commandes et rentre dans le bar.
Philippe dit à Bernard, que non seulement, je fais tout pour me dévoiler à lui, ce qui n'est pas gênant, vu nos relations, mais en plus je ne fais rien pour me cacher du regard des autres.
D'ailleurs, juste à ce moment, deux hommes entrent dans le troquet et comme j'étais à l'écoute de Philippe, je n'ai pas bougé. De ce fait, celui qui est le plus proche de moi donne un coup de coude à son voisin, preuve qu'il a tout vu.
Cette situation, un peu nouvelle pour moi, commence à me donner des frissons de plaisir. Quand j'ai marché toute nue, toute épilée, dans le camp de naturistes, j'ai découvert le plaisir de m'exhiber. Etre nue toute la journée, au milieu de gens nus ne m'a jamais fait quoi que ce soit. Au début, quand Bernard m'a épilée pour "allumer" Philippe, j'ai été un peu gênée et petit à petit, cette gêne s'est transformée en plaisir. Ce qui, pour moi, était naturel : se promener nue, est devenu une source d'excitation, il y avait peu de femmes sans poil, et malgré la légendaire ouverture d'esprit des naturistes, j'ai bien vu que les regards se dirigeaient plus souvent vers moi qu'avant.
Ensuite, sur les plages dites naturistes (il y a toujours des "textiles") j'ai découvert le regard des mateurs. Les amateurs, en général discrets, ils se mettent nus, avec ou sans leur compagne, les pros qui ne font même pas ça discrètement et certaines fois restent en maillot. Mais tous ces endroits sont prévus pour les adeptes de la nudité. Désormais, je franchis une étape supplémentaire : l'exhibition en public.
Le garçon vient nous servir, il ne dit rien, mais visiblement, ce n'est pas l'envie qui lui manque. D'autres clients entrent, certains ne voient rien, d'autres sont vivement intéressés. Il y a même une femme qui me fait un grand sourire, une pratiquante peut-être ?
Bernard, assis à mes côtés, fait le jaloux. Il dit à Domi que lui ne profite pas du spectacle, que ce n'est pas juste. Aussi, elle se met dans la même position, elle va même plus loin, elle pose ses deux pieds sur la chaise, en glissant le bassin sur l'avant.
Cette fois-ci-ci, non seulement, les clients qui entrent ont un spectacle, mais aussi ceux qui sortent. Philippe nous dit que la majorité a l'air d'apprécier, mais que certains font de drôle de tête. Avant de déclencher un esclandre, nous réglons nos consommations et partons.
Le retour en voiture me donne l'occasion de me mettre en valeur : j'ai relevé complètement ma robe pour m'asseoir directement sur le siége, de cette façon, je peux remonter mon vêtement au-dessus de mon nombril. Philippe continue à profiter de la vue que je lui offre.
Arrivés au camp, Domi part en premier, je laisse les deux hommes se charger des courses en leur disant que je fermerai le hayon. Quand ils sont devant moi, j'enlève ma robe et accélère le pas pour les doubler. Au moment où je les dépasse, je jette ma robe sur la tête de Philippe, puis je prends une démarche lascive, du genre de celle que les mannequins prennent, qui oblige à se déhancher. J'entends Philippe qui dit à mon mari :
- J'ai l'impression que, depuis ce matin, ta femme n'arrête pas de m'allumer. Si cela continue, elle va, encore une fois, passer à la casserole.
- Ouh là ! Débrouille toi avec elle, c'est ton problème, je ne sais pas ce que tu lui as fait et je ne veux pas d'ennuis. Tout ça d'un air rigolard.
Dans le bungalow, ils posent les courses sur la table du coin cuisine , je m'empresse de ranger les produit frais dans le frigo. Evidemment, je m'arrange pour me baisser les fesses dans la direction de Philippe.
Je sens une main qui passe entre mes cuisses et remonte vers mon sexe tout trempé d'excitation. Je ne me retourne pas et profite de cette caresse douce et agréable , un doigt écarte mes nymphes et se dirige vers mon bouton. Je m'appuie sur le frigo pour me concentrer sur le plaisir que je sens monter en moi.
Puis, la main quitte mon bas-ventre et deux m'aident à me relever. C'est Philippe. Il m'entraîne vers un canapé, m'aide à prendre place et se met à genoux devant moi. Il me caresse le pubis, il écarte mes lèvres pour prendre mon clito entre ses doigts.
Ensuite, il commence à le lécher. A ce moment, Domi revient dans la pièce. Elle s'est déshabillée, sans nous avoir vu, elle nous propose :- On va se baigner ?
- Je ne crois pas qu'ils soient prêts à ça, lui répond Bernard- Eh bien! Depuis ce matin, ils ne s'en font pas. Allez ! Viens, nous aussi on va s'occuper.
Bernard se dirige vers elle, en quittant son polo. Elle l'aide à enlever son bermuda, il bande déjà.
Philippe continue ses caresses buccales, il m'attire vers lui. J'ai les fesses juste au bord canapé. Des doigts entrent dans mon vagin, un autre vient tournoyer autour de mon petit trou qu'il finit par pénétrer. Une triple caresse qui se prolonge jusqu'à me transporter au septième ciel. Philippe me demande de me mettre à genoux, la poitrine appuyée sur le canapé. J'exécute "l'ordre". Je tourne la tête vers l'autre canapé qui est perpendiculaire au nôtre.
Domi s'est allongée dessus, Bernard caresse ses cuisses et embrasse ses seins. Elle me regarde, visiblement, comme elle nous l'a dit hier soir, elle prend plaisir à voir son homme s'occuper d'une autre femme.
Philippe est en train de présenter son sexe à l'entrée du mien, cette fois-ci-ci-ci, il me pénètre doucement, commence des va-et-vient lents. Petit à petit, sa pénétration est plus profonde. Quand son ventre touche mes fesses, il accélère le mouvement. A nouveau, je sens le plaisir monter en moi.
Domi et Bernard changent de position, il s'assied sur le canapé, elle vient au-dessus de lui, face à moi, et s'enfile sur sa queue. Je vois bien son minou tout nu, ses lèvres qui enserrent le pénis de mon homme.
En même temps que je jouis, Philippe me caresse la rosette avec un doigt, cela augmente encore mon plaisir. Et me donne une idée qui va plaire à mon homme : je passe une main derrière mon dos, je prends le chibre de Philippe, le sors de mon sexe et le présente devant mon anus. La jouissance m'a détendue, il franchit sans effort la porte de mes reins. Il fait des mouvements très doux, lents et courts, pour m'habituer à la présence de son chibre dans mes fesses. Une de ses mains passe sous mon ventre, un doigt titille mon clito, puis pénètre mon sexe, puis reviens sur mon clito., etc. Je ne sais pas combien de temps cela dure, mais je sens venir un nouvel orgasme. Sa pénétration est maintenant beaucoup plus profonde. A chaque pénétration, je sens son ventre qui touche mes fesses et ses boules qui touchent mes lèvres intimes. Il accélère le mouvement graduellement, mais il se relève pour s'agripper à mes hanches, en laissant mon clito et mon sexe esseulés. Je le remplace avec ma main, je regarde mon homme qui semble très excité de me voir pénétré analement. En fait, cela me plait de me montrer, de voir Domi et Bernard qui me regardent pendant que je me fais sodomiser. Je crois que c'est plus cette exhibition qui déclenche mon orgasme, que les mouvements de Philippe dans mon corps. Je me sens jouir comme rarement et quand Philippe déverse sa semence au fond de moi, c'est vraiment fantastique.
Philippe se retire lentement de mon corps, je reste dans la même position, abattue par la jouissance que je viens de ressentir. Philippe se dirige vers nos conjoints. En fait, je m'aperçois que, pendant mon voyage au septième ciel, ils ont changé de position, Bernard s'est allongé sur le sofa et Domi s'est mise sur lui. Elle s'agite sur le sexe de mon homme le visage extatique. Philippe caresse le dos de sa femme et descend vers son postérieur, il atteint sa rosette, puis la pénètre avec un doigt, il agite son doigt dans sa femme. Elle gémit et ferme les yeux quand la jouissance la submerge. Elle reste, quelques instants, complètement détendue sur Bernard. Puis elle se lève dans sa nudité rayonnante de bonheur et se dirige vers la salle de bain.
`Le reste de la journée est plutôt calme, nous allons un peu à la piscine avant le déjeuner. Malgré la discrétion des naturistes, j'aperçois quand même des regards dirigés sur Domi et moi, il est vrai que la veille, ni elle, ni moi, n'étions épilées.
J'avoue que ces regards me plaisent énormément. L'après-midi, bain de soleil et baignade au bord de la rivière, à l'endroit de nos premières rencontres avec Philippe. Après une soirée tranquille à jouer au scrabble, nous allons nous coucher.
Dans le secret de notre chambre, Bernard m'avoue qu'il a beaucoup aimé notre début de séjour : la veille, il a vu le sexe de Philippe me pénétrer ce qui lui a beaucoup plu , en plus, aujourd'hui, il m'a vu me faire sodomiser. Il ne pensait pas que cela arriverait de cette façon et aussi vite, il est d'autant plus satisfait. Surtout que lui aussi en a profité avec Domi. Cette confession l'a remis en forme, il bande ferme, je reconnais bien là son côté voyeur qui ressort. Je caresse son sexe qui se tend comme un arc. Je n'ai pas trop envie de faire l'amour, mais je n'ai pas le cœur à le laisser dans cet état, aussi, je le prends dans ma bouche pour lui faire une pipe.
Même s'il a la trique, lui non plus n'a pas trop envie, je me tourne sur le côté, il se met derrière moi, me pénètre (cette discussion m'a un peu émoustillée) et nous nous endormons dans cette position où je me sens bien, calée contre son corps, un de ses bras sur ma poitrine.
Le lendemain matin, dès que je suis réveillée, Bernard, qui est plus matinal, m'embrasse, tout en me caressant, il me dit : - Tu sais, pour moi, c'est un début de séjour qui dépasse toutes mes espérances.
- Ah ! Oui ! Et qu'est ce que tu espérais ?
- Je n'avais d'idée particulière, mais je m'imaginais que, vu nos relations avec Philippe et leur fréquentation de club échangiste, on arriverait bien à aller plus loin, mais pas aussi tôt, quand même.
- Et cela t'a plu apparemment, parce que rien que d'en parler, je sens ton engin qui gonfle.
- Oui, j'ai beaucoup aimé.
- D'accord, mais qu'est ce qui t'a plu le plus ?
- Tout d'abord, j'ai bien apprécié de prendre Domi en sandwich avec Philippe, ensuite j'ai vu Philippe te pénétrer devant moi, ce dont je rêvais depuis quelque temps, même s'il l'avait déjà fait, je n'avais rien vu, du fait de ma position.
Rappel : La première fois que Philippe m'a pénétrée, c'était en me sodomisant, alors que je chevauchais Bernard.
- Si je comprends bien, tu aimes bien me voir prise par un autre.
- Oui, j'adore ça, mais je pense que toi aussi tu aimes bien te faire voir.
En même temps, il a continué ses caresses : il a relevé ma nuisette, s'est redressé et maintenant il caresse ma poitrine et mon petit chat tout nu. Mes seins se durcissent de plaisir et je sens mon minou s'humidifier. J'aime beaucoup quand on fait l'amour au réveil, je suis toujours très réceptive, surtout quand j'ai passé une bonne nuit, ce qui est le cas.
- En fait, oui, j'aime quand on me regarde, et cela depuis notre première rencontre avec Philippe, savoir que j'attire le regard des autres est très agréable. Et cet été-là, j'ai été gâtée , d'abord Philippe, puis tous ceux qui m'ont reluqué avec mon sexe épilé : le bonheur.
- Et moi, qu'est ce que cela te fait que je te regarde ?
- C'est à un autre niveau, toi, je sais que tu me mates, tu m'épies même. Chaque fois que je sors sans culotte avec toi, je m'aperçois bien que tu cherches à voir sous mes jupes, même si tu me connais par cœur.
J'ouvre les cuisses pour qu'il puisse me caresser plus facilement, il prend ça pour une invitation spéciale. Il repousse la couette et descend sa tête vers mon bas-ventre. Il me lèche les nymphes, je sens sa langue qui s'insinue entre elles pour atteindre mon bouton d'amour. L'excitation me gagne, j'ai envie de son sexe en moi, je le prends par les aisselles, pour qu'il remonte à mon niveau. Son membre viril trouve mon coquillage bien ouvert et s'enfonce doucement en moi. Il reste un moment immobile, puis se lève en appui sur ses mains pour lui permettre d'aller et venir en moi.
Mais j'ai encore envie de savoir ce qu'il pense des deux jours passés :
- Et qu'as-tu encore aimé ?
- A vrai dire, j'ai vraiment aimé quand tu t'es exhibée en public, puis quand Philippe t'as dirigée vers le divan pour te prendre en levrette, et j'ai adoré quand tu as pris son chibre dans ta main pour le diriger entre tes fesses.
Je lève les genoux vers ma poitrine. Dans cette position, je sens bien la pénétration, je ne sais pas si c'est le fameux point G qui est touché, en tout cas, la jouissance est toujours rapide.
- Ça, j'étais sûre de te faire plaisir.
- Ah oui ! Voir un sexe entrer dans ton petit cul, c'était particulièrement excitant.
J'ai beaucoup aimé, et toi ? Tu n'es pourtant pas une fana !
- Non, mais là j'avais vraiment envie de m'exhiber totalement, un peu pour te faire plaisir, un peu pour moi, et en plus, j'ai beaucoup joui.
A ce moment, j'ai envie d'être triviale, je lui demande :
- Cela doit te plaire que je te dise que j'ai pris du plaisir à me faire enculer. Tu aimerais bien entrer dans mon petit cul, hein ? Eh bien vas-y !
- Tu te retournes ?
- Non, comme ça !
Je prends son sexe d'une main, pour l'enlever de mon vagin et le pointe à l'entrée de mon petit trou. Puis à l'aide de mes mains, j'écarte mes fesses. La tige de mon homme entre doucement dans mes entrailles. Il change légèrement de position pour me permettre d'appuyer mes cuisses sur ses épaules, ce qui facilite la pénétration.
Quand il est bien profond, je relâche mes fesses et, d'une main, je me caresse le clito et le minou. Il fait des mouvements lents pour ne pas me faire mal. Ma main glisse sur sa tige de chair qui est bien ferme, puis je pénètre mon sexe avec mon majeur. Je sens l'étroitesse de mon vagin causée par cette présence dans mon anus.
A la réflexion, je me demande comment deux sexes ont pu entrer dans mon corps, l'excitation devait être importante.
Là, ce n'est pas le cas, j'aime me voir dans cette position assez particulière. Je vois le chibre de mon homme entrer et sortir de mes fesses, je sais que cela lui plaît et mes caresses me procure du plaisir, mais pas autant que ce que j'ai éprouvé hier, lorsque Domi et Bernard me regardaient.
Bernard accélère le rythme, sans brusquerie. Puis il jouit au fond de mon corps.
Nous changeons rapidement de position, car, bien que je sois très souple, elle n'est pas très confortable.
Après quelque temps de repos, nous allons dans la salle de bain pour prendre une douche bien méritée. Je remets ma nuisette et nous rejoignons nos amis qui sont en train de déjeuner. Domi et Philippe nous disent bonjour, ils sont nus. Philippe renchérit :
- Alors les amoureux, vous avez fini votre gymnastique matinale ?
- Nous avons été bruyants ?
- Non, mais ce genre de gémissements ne laisse pas de doute sur ce que vous faites. Tiens, tu as gardé ta nuisette, Nanou ! C'est pour être plus érotique ?
- Non, c'est machinal, je l'enlève. Mais pour le bruit je plaide non coupable, c'est de la faute de Bernard.
- Ah bon ! Pourquoi ?
- Je crois qu'il était un peu jaloux du traitement que tu m'as fait subir hier soir, enfin façon de parler, parce que j'ai bien aimé.
- Et pourquoi il était jaloux ? Il pouvait faire la même chose à Domi.
- Eh ! Dis donc toi ! Qui t'as permis de disposer de mon corps comme cela ?
- Oh! Fait pas la fine bouche, je suis sûr que tu aurais apprécié.
En fait, Domi dit cela en souriant. Nous déjeunons avant de commencer une nouvelle journée qui s'annonce sous les meilleurs auspices.
A suivre.
L'après-midi, baignade et bronzage. Et dès le premier soir, c'est bien parti. Le repas fini nous passons au salon. Domi attaque très vite en me disant:
- Philippe m'a avoué qu'il t'avait fait l'amour, en même temps que Bernard, cela m'a beaucoup excitée. Et le fait de me le rappeler m'inonde le minou.
En même temps qu'elle dit cela, elle attire la main de Philippe sur son sexe.
- Mais, c'est vrai, elle est toute mouillée.
Et il commence à la caresser. Elle se laisse faire complaisamment, en écartant les cuisses.
Ce spectacle est aussi excitant pour Bernard et moi, je caresse son sexe qui devient vite raide.
Philippe s'agenouille devant Domi pour lui faire un cunnilingus, tout en la pénétrant de ses doigts. Elle devait avoir pensé à ça depuis quelque temps, car elle jouit rapidement. Puis, elle entraîne Philippe sur le tapis et lui demande de s'allonger sur le dos, elle l'enjambe, se met à genoux et dirige le chibre de Philippe dans son puits d'amour, qui m'a l'air bien lubrifié.
Évidemment, nous ne sommes pas resté inactif, la vue de nos deux amis en plein ébat et les caresses de Bernard me procure du plaisir. Pour continuer à jouer la voyeuse, je m'assois sur mon homme, le dos contre son torse en dirigeant son chibre dans mon jardin secret. Il me caresse les seins d'une main, l'autre s'occupe de mon clito.
Philippe est en train de caresser les fesses de Domi, un doigt descend dans son sillon et s'arrête sur son petit trou. Quand son doigt la pénètre, elle jouit presque immédiatement. Puis elle se lève et va dans la salle de bain. Elle revient et je vois aussitôt qu'elle a une capote dans les mains, je comprends tout de suite ce qu'elle veut. Elle retourne s'empaler sur Philippe. Je me relève, afin de pouvoir aider mon homme à enfiler le préservatif, car il a l'air un peu éberlué. Je lui dis d'aller s'occuper de Domi.
Bernard s'agenouille derrière elle, il mouille ses doigts, il en introduit un, puis deux.
Il les ressort et présente son chibre devant l'œillet de Domi. Elle recule et le sexe de Bernard pénètre sans coup férir l'arrière-train de notre amie. Je vois le chibre de mon homme aller et venir dans ce cul qui ne demande que cela. Domi est vraiment une fervente amatrice de l'amour anal, car elle arrive au septième ciel en émettant des petits cris très excitants. Bernard la rejoint dans la jouissance. Il se lève et vient s'asseoir sur un sofa.
Ce spectacle m'a grandement émoustillée et moi aussi j'ai bien envie de ma part de jouissance. Aussi, je vais demander à Domi si elle veut bien me laisser son petit mari. Elle est d'accord. Nous allons chercher un préservatif, que je reviens vite enfiler sur le sexe de Philippe. Puis je l'entraîne sur le tapis devant Bernard, je veux qu'il me voie me faire pénétrer par un autre homme, c'est un de ses désirs les plus grands. Je me mets à quatre pattes, Philippe s'installe derrière moi, il me caresse le minou, mais c'est inutile, je suis tellement excitée que je suis prête à tous les outrages. Surtout que la levrette est une de mes positions préférées. Philippe se contente de pénétrer ma grotte d'amour, mais il rentre d'un seul coup et fait tout de suite des mouvements amples et rapides qui, rapidement, m'emmènent au sommet du plaisir. Je sens Philippe qui crispe ses mains sur mes hanches en se calant au fond de mon vagin. Je jouis à nouveau.
Philippe va s'asseoir aux côtés de Domi, et moi de Bernard, pour nous reposer un peu.
Domi se lève pour aller nous chercher à boire.
Quand elle revient, elle me demande ce que cela m'avait fait de m'épiler le pubis pour Philippe et quelles sensations j'avais eu de me balader toute nue comme cela.
Je lui explique que c'était une proposition de Bernard et bien que je le fasse régulièrement, j'avais un peu hésité à le faire ici , car les gens que nous connaissons ne m'avaient jamais vue complètement épilée. Mais l'envie d'exciter Philippe avait été plus grande. Ensuite, sentir la caresse du vent, la chaleur du soleil et certaine fois le regard des gens, c'est vraiment super.
Je lui dis que maintenant, quand je suis épilée, j'aime encore plus être nue sous une robe. Savoir que seul mon homme le sait m'amuse beaucoup. C'est une tenue que j'utilise souvent. Quand nous allons sur des plages naturistes, je ne mets jamais de culotte et je suis toujours en robe ou en jupe.
Domi nous dit que malgré la fréquentation des clubs libertins et des camps de naturistes, elle ne s'est jamais épilée totalement et ne s'est jamais mise nue sous une robe. Demain elle essaiera, mais maintenant c'est l'heure du dodo.
Au petit déjeuner, Domi soulève le T-shirt qu'elle porte pour nous montrer qu'elle s'est épilé le minou. Du coup je décide de faire la même chose avant que nous allions faire des courses.
Dans la salle de bain,assise sur le bord de la baignoire, je demande à Bernard d'étaler la crème épilatoire sur mon pubis. Bernard va se raser. La porte est restée ouverte, Philippe passe devant et jette un regard sur moi, il est nu. Je lui propose de m'enlever la crème, ce qu'il s'empresse de faire. Avec la spatule, il découvre lentement ma peau débarrassée de toute pilosité. Je m'aperçois qu'il bande.
Bernard appelle Domi. Quand elle rentre, elle le traite gentiment de cochon et se dirige vers Bernard et se met contre lui face à nous. Il commence à la caresser.
Je me rince, puis prends le sexe de Philippe dans ma bouche. Il est bien raide et je sens que si je continue, il ne va pas tarder à éjaculer dans ma bouche. Aussi, j'enjambe le bord de la baignoire, je prends Philippe par le sexe et l'entraîne vers le placard à malice où il y a les préservatifs. Philippe en met un sur son chibre. Je me positionne fesses contre le meuble qui supporte le lavabo. Philippe s'approche de moi, présente son membre viril à l'entrée de mon minou tout nu et tout mouillé. Il est tellement excité qu'il me pénètre d'un seul coup. Il fait des mouvements rapides en me pénétrant profondément. Son excitation est telle, qu'il me la communique, mais il jouit assez vite,et, si cela me procure du plaisir, il n'est pas à la hauteur de mes attentes.
Domi a les mains appuyées sur le meuble, Bernard la pénètre par derrière et eux aussi doivent être très excités, car ils jouissent peu de temps après nous.
Après une douche rapide, retour dans nos chambres pour nous habiller avant d'aller faire nos courses. Je mets une robe plutôt courte, fluide, du genre qui s'envole au moindre coup de vent. Ni soutien-gorge, ni culotte. Bernard met un polo et un bermuda.
Nous rejoignons Phil et Domi. Phil aussi a mis un bermuda, Domi porte une robe jaune flashy avec des bretelles très fines.
Je lui demande si elle a mis une culotte, elle me dit qu'elle a mis un string. Je soulève ma robe pour lui montrer que je n'ai rien dessous. Je lui propose de l'enlever pour avoir cette sensation fantastique de nudité cachée, que seuls nos hommes connaîtront, ce qui ne manquera pas de les exciter, j'en suis sûre. Du coup, elle enlève son minuscule string.
Nous partons faire nos emplettes. Mais cet intermède érotique m'a mise dans un état d'envie à la limite de l'insatiabilité. Philippe a joui assez vite et si j'ai pris du plaisir à ce rapport, cela ne m'a pas totalement satisfaite.
Aussi, lorsque je monte à l'arrière de notre voiture (un monospace, donc haute) je m'empresse de montrer mes trésors à mon trésor. Je sais qu'il aime ça. Philippe s'assied devant, à côté de mon époux.
Nous discutons de ce que nous devons acheter. Une fois énumérer les victuailles essentielles, je propose de racheter des préservatifs. Domi dit que, de leur côté, ils sont surs de ne pas avoir de problèmes, car, hormis avec nous, ils n'ont pas eu d'autres partenaires. Bernard enchérit, car nous non plus, n'avons pas eu d'autres relations, depuis le début de notre vie commune, qui date de 12 ans. Question close : nous nous passerons de capote, ce qui n'est pas un mal.
Pendant que nous évoquions ce sujet, Philippe s'est retourné vers Domi et moi. J'en ai profité pour lui exposer mon anatomie : j'ai posé mon pied gauche sur l'assise du siège, il ne peut pas rater le spectacle. A un feu rouge, Bernard, intrigué, se retourne, vers moi. La vision que je lui offre le fait sourire, il dit à Philippe que je suis une petite dévergondée.
En premier, nous allons au marché pour acheter fruits et légumes. Chaque fois que je peux, je m'accroupis pour ranger nos achats dans le panier. Evidemment, pour continuer le spectacle, je le fais les genoux écartés et face à Philippe. Ensuite, dans une supérette, je change de tactique, je me penche en avant, sans plier les genoux, pour charger le chariot. Je m'arrange pour que Philippe soit derrière moi. D'ailleurs, je ne suis pas sûre qu'il soit le seul spectateur. Mais je m'en moque.
Nous ramenons une deuxième fois nos achats à la voiture, avant d'aller boire un coup dans un café. Nous allons sur la terrasse, il y a des chaises confortables. Je me débrouille pour me placer face à Philippe. Je ne sais pourquoi, mais j'ai envie de le mettre dans un état tel, qu'il s"en souvienne longtemps, je vais lui faire "payer", gentiment, son empressement de tout à l'heure.
Dès que je suis assise, je me remets dans une position similaire à celle que j'ai prise dans la voiture. J'ai pris la précaution de mettre ma chaise dans une position où il ne peut que voir ce que je veux lui dévoiler à nouveau. Notre table est située près de l'entrée du bar, et moi, je suis face au trottoir, je pense qu'il va falloir que je fasse attention à ceux qui vont à l'intérieur.
Quoique ? Je n'entends pas arriver le serveur, je n'ai pas le temps de rabaisser ma robe et il ne manque pas le spectacle. Plutôt que le faire à retardement, je reste dans cette position, je sais bien qu'il doit se rincer l'œil, tant pis, ou tant mieux pour lui. Il prend nos commandes et rentre dans le bar.
Philippe dit à Bernard, que non seulement, je fais tout pour me dévoiler à lui, ce qui n'est pas gênant, vu nos relations, mais en plus je ne fais rien pour me cacher du regard des autres.
D'ailleurs, juste à ce moment, deux hommes entrent dans le troquet et comme j'étais à l'écoute de Philippe, je n'ai pas bougé. De ce fait, celui qui est le plus proche de moi donne un coup de coude à son voisin, preuve qu'il a tout vu.
Cette situation, un peu nouvelle pour moi, commence à me donner des frissons de plaisir. Quand j'ai marché toute nue, toute épilée, dans le camp de naturistes, j'ai découvert le plaisir de m'exhiber. Etre nue toute la journée, au milieu de gens nus ne m'a jamais fait quoi que ce soit. Au début, quand Bernard m'a épilée pour "allumer" Philippe, j'ai été un peu gênée et petit à petit, cette gêne s'est transformée en plaisir. Ce qui, pour moi, était naturel : se promener nue, est devenu une source d'excitation, il y avait peu de femmes sans poil, et malgré la légendaire ouverture d'esprit des naturistes, j'ai bien vu que les regards se dirigeaient plus souvent vers moi qu'avant.
Ensuite, sur les plages dites naturistes (il y a toujours des "textiles") j'ai découvert le regard des mateurs. Les amateurs, en général discrets, ils se mettent nus, avec ou sans leur compagne, les pros qui ne font même pas ça discrètement et certaines fois restent en maillot. Mais tous ces endroits sont prévus pour les adeptes de la nudité. Désormais, je franchis une étape supplémentaire : l'exhibition en public.
Le garçon vient nous servir, il ne dit rien, mais visiblement, ce n'est pas l'envie qui lui manque. D'autres clients entrent, certains ne voient rien, d'autres sont vivement intéressés. Il y a même une femme qui me fait un grand sourire, une pratiquante peut-être ?
Bernard, assis à mes côtés, fait le jaloux. Il dit à Domi que lui ne profite pas du spectacle, que ce n'est pas juste. Aussi, elle se met dans la même position, elle va même plus loin, elle pose ses deux pieds sur la chaise, en glissant le bassin sur l'avant.
Cette fois-ci-ci, non seulement, les clients qui entrent ont un spectacle, mais aussi ceux qui sortent. Philippe nous dit que la majorité a l'air d'apprécier, mais que certains font de drôle de tête. Avant de déclencher un esclandre, nous réglons nos consommations et partons.
Le retour en voiture me donne l'occasion de me mettre en valeur : j'ai relevé complètement ma robe pour m'asseoir directement sur le siége, de cette façon, je peux remonter mon vêtement au-dessus de mon nombril. Philippe continue à profiter de la vue que je lui offre.
Arrivés au camp, Domi part en premier, je laisse les deux hommes se charger des courses en leur disant que je fermerai le hayon. Quand ils sont devant moi, j'enlève ma robe et accélère le pas pour les doubler. Au moment où je les dépasse, je jette ma robe sur la tête de Philippe, puis je prends une démarche lascive, du genre de celle que les mannequins prennent, qui oblige à se déhancher. J'entends Philippe qui dit à mon mari :
- J'ai l'impression que, depuis ce matin, ta femme n'arrête pas de m'allumer. Si cela continue, elle va, encore une fois, passer à la casserole.
- Ouh là ! Débrouille toi avec elle, c'est ton problème, je ne sais pas ce que tu lui as fait et je ne veux pas d'ennuis. Tout ça d'un air rigolard.
Dans le bungalow, ils posent les courses sur la table du coin cuisine , je m'empresse de ranger les produit frais dans le frigo. Evidemment, je m'arrange pour me baisser les fesses dans la direction de Philippe.
Je sens une main qui passe entre mes cuisses et remonte vers mon sexe tout trempé d'excitation. Je ne me retourne pas et profite de cette caresse douce et agréable , un doigt écarte mes nymphes et se dirige vers mon bouton. Je m'appuie sur le frigo pour me concentrer sur le plaisir que je sens monter en moi.
Puis, la main quitte mon bas-ventre et deux m'aident à me relever. C'est Philippe. Il m'entraîne vers un canapé, m'aide à prendre place et se met à genoux devant moi. Il me caresse le pubis, il écarte mes lèvres pour prendre mon clito entre ses doigts.
Ensuite, il commence à le lécher. A ce moment, Domi revient dans la pièce. Elle s'est déshabillée, sans nous avoir vu, elle nous propose :- On va se baigner ?
- Je ne crois pas qu'ils soient prêts à ça, lui répond Bernard- Eh bien! Depuis ce matin, ils ne s'en font pas. Allez ! Viens, nous aussi on va s'occuper.
Bernard se dirige vers elle, en quittant son polo. Elle l'aide à enlever son bermuda, il bande déjà.
Philippe continue ses caresses buccales, il m'attire vers lui. J'ai les fesses juste au bord canapé. Des doigts entrent dans mon vagin, un autre vient tournoyer autour de mon petit trou qu'il finit par pénétrer. Une triple caresse qui se prolonge jusqu'à me transporter au septième ciel. Philippe me demande de me mettre à genoux, la poitrine appuyée sur le canapé. J'exécute "l'ordre". Je tourne la tête vers l'autre canapé qui est perpendiculaire au nôtre.
Domi s'est allongée dessus, Bernard caresse ses cuisses et embrasse ses seins. Elle me regarde, visiblement, comme elle nous l'a dit hier soir, elle prend plaisir à voir son homme s'occuper d'une autre femme.
Philippe est en train de présenter son sexe à l'entrée du mien, cette fois-ci-ci-ci, il me pénètre doucement, commence des va-et-vient lents. Petit à petit, sa pénétration est plus profonde. Quand son ventre touche mes fesses, il accélère le mouvement. A nouveau, je sens le plaisir monter en moi.
Domi et Bernard changent de position, il s'assied sur le canapé, elle vient au-dessus de lui, face à moi, et s'enfile sur sa queue. Je vois bien son minou tout nu, ses lèvres qui enserrent le pénis de mon homme.
En même temps que je jouis, Philippe me caresse la rosette avec un doigt, cela augmente encore mon plaisir. Et me donne une idée qui va plaire à mon homme : je passe une main derrière mon dos, je prends le chibre de Philippe, le sors de mon sexe et le présente devant mon anus. La jouissance m'a détendue, il franchit sans effort la porte de mes reins. Il fait des mouvements très doux, lents et courts, pour m'habituer à la présence de son chibre dans mes fesses. Une de ses mains passe sous mon ventre, un doigt titille mon clito, puis pénètre mon sexe, puis reviens sur mon clito., etc. Je ne sais pas combien de temps cela dure, mais je sens venir un nouvel orgasme. Sa pénétration est maintenant beaucoup plus profonde. A chaque pénétration, je sens son ventre qui touche mes fesses et ses boules qui touchent mes lèvres intimes. Il accélère le mouvement graduellement, mais il se relève pour s'agripper à mes hanches, en laissant mon clito et mon sexe esseulés. Je le remplace avec ma main, je regarde mon homme qui semble très excité de me voir pénétré analement. En fait, cela me plait de me montrer, de voir Domi et Bernard qui me regardent pendant que je me fais sodomiser. Je crois que c'est plus cette exhibition qui déclenche mon orgasme, que les mouvements de Philippe dans mon corps. Je me sens jouir comme rarement et quand Philippe déverse sa semence au fond de moi, c'est vraiment fantastique.
Philippe se retire lentement de mon corps, je reste dans la même position, abattue par la jouissance que je viens de ressentir. Philippe se dirige vers nos conjoints. En fait, je m'aperçois que, pendant mon voyage au septième ciel, ils ont changé de position, Bernard s'est allongé sur le sofa et Domi s'est mise sur lui. Elle s'agite sur le sexe de mon homme le visage extatique. Philippe caresse le dos de sa femme et descend vers son postérieur, il atteint sa rosette, puis la pénètre avec un doigt, il agite son doigt dans sa femme. Elle gémit et ferme les yeux quand la jouissance la submerge. Elle reste, quelques instants, complètement détendue sur Bernard. Puis elle se lève dans sa nudité rayonnante de bonheur et se dirige vers la salle de bain.
`Le reste de la journée est plutôt calme, nous allons un peu à la piscine avant le déjeuner. Malgré la discrétion des naturistes, j'aperçois quand même des regards dirigés sur Domi et moi, il est vrai que la veille, ni elle, ni moi, n'étions épilées.
J'avoue que ces regards me plaisent énormément. L'après-midi, bain de soleil et baignade au bord de la rivière, à l'endroit de nos premières rencontres avec Philippe. Après une soirée tranquille à jouer au scrabble, nous allons nous coucher.
Dans le secret de notre chambre, Bernard m'avoue qu'il a beaucoup aimé notre début de séjour : la veille, il a vu le sexe de Philippe me pénétrer ce qui lui a beaucoup plu , en plus, aujourd'hui, il m'a vu me faire sodomiser. Il ne pensait pas que cela arriverait de cette façon et aussi vite, il est d'autant plus satisfait. Surtout que lui aussi en a profité avec Domi. Cette confession l'a remis en forme, il bande ferme, je reconnais bien là son côté voyeur qui ressort. Je caresse son sexe qui se tend comme un arc. Je n'ai pas trop envie de faire l'amour, mais je n'ai pas le cœur à le laisser dans cet état, aussi, je le prends dans ma bouche pour lui faire une pipe.
Même s'il a la trique, lui non plus n'a pas trop envie, je me tourne sur le côté, il se met derrière moi, me pénètre (cette discussion m'a un peu émoustillée) et nous nous endormons dans cette position où je me sens bien, calée contre son corps, un de ses bras sur ma poitrine.
Le lendemain matin, dès que je suis réveillée, Bernard, qui est plus matinal, m'embrasse, tout en me caressant, il me dit : - Tu sais, pour moi, c'est un début de séjour qui dépasse toutes mes espérances.
- Ah ! Oui ! Et qu'est ce que tu espérais ?
- Je n'avais d'idée particulière, mais je m'imaginais que, vu nos relations avec Philippe et leur fréquentation de club échangiste, on arriverait bien à aller plus loin, mais pas aussi tôt, quand même.
- Et cela t'a plu apparemment, parce que rien que d'en parler, je sens ton engin qui gonfle.
- Oui, j'ai beaucoup aimé.
- D'accord, mais qu'est ce qui t'a plu le plus ?
- Tout d'abord, j'ai bien apprécié de prendre Domi en sandwich avec Philippe, ensuite j'ai vu Philippe te pénétrer devant moi, ce dont je rêvais depuis quelque temps, même s'il l'avait déjà fait, je n'avais rien vu, du fait de ma position.
Rappel : La première fois que Philippe m'a pénétrée, c'était en me sodomisant, alors que je chevauchais Bernard.
- Si je comprends bien, tu aimes bien me voir prise par un autre.
- Oui, j'adore ça, mais je pense que toi aussi tu aimes bien te faire voir.
En même temps, il a continué ses caresses : il a relevé ma nuisette, s'est redressé et maintenant il caresse ma poitrine et mon petit chat tout nu. Mes seins se durcissent de plaisir et je sens mon minou s'humidifier. J'aime beaucoup quand on fait l'amour au réveil, je suis toujours très réceptive, surtout quand j'ai passé une bonne nuit, ce qui est le cas.
- En fait, oui, j'aime quand on me regarde, et cela depuis notre première rencontre avec Philippe, savoir que j'attire le regard des autres est très agréable. Et cet été-là, j'ai été gâtée , d'abord Philippe, puis tous ceux qui m'ont reluqué avec mon sexe épilé : le bonheur.
- Et moi, qu'est ce que cela te fait que je te regarde ?
- C'est à un autre niveau, toi, je sais que tu me mates, tu m'épies même. Chaque fois que je sors sans culotte avec toi, je m'aperçois bien que tu cherches à voir sous mes jupes, même si tu me connais par cœur.
J'ouvre les cuisses pour qu'il puisse me caresser plus facilement, il prend ça pour une invitation spéciale. Il repousse la couette et descend sa tête vers mon bas-ventre. Il me lèche les nymphes, je sens sa langue qui s'insinue entre elles pour atteindre mon bouton d'amour. L'excitation me gagne, j'ai envie de son sexe en moi, je le prends par les aisselles, pour qu'il remonte à mon niveau. Son membre viril trouve mon coquillage bien ouvert et s'enfonce doucement en moi. Il reste un moment immobile, puis se lève en appui sur ses mains pour lui permettre d'aller et venir en moi.
Mais j'ai encore envie de savoir ce qu'il pense des deux jours passés :
- Et qu'as-tu encore aimé ?
- A vrai dire, j'ai vraiment aimé quand tu t'es exhibée en public, puis quand Philippe t'as dirigée vers le divan pour te prendre en levrette, et j'ai adoré quand tu as pris son chibre dans ta main pour le diriger entre tes fesses.
Je lève les genoux vers ma poitrine. Dans cette position, je sens bien la pénétration, je ne sais pas si c'est le fameux point G qui est touché, en tout cas, la jouissance est toujours rapide.
- Ça, j'étais sûre de te faire plaisir.
- Ah oui ! Voir un sexe entrer dans ton petit cul, c'était particulièrement excitant.
J'ai beaucoup aimé, et toi ? Tu n'es pourtant pas une fana !
- Non, mais là j'avais vraiment envie de m'exhiber totalement, un peu pour te faire plaisir, un peu pour moi, et en plus, j'ai beaucoup joui.
A ce moment, j'ai envie d'être triviale, je lui demande :
- Cela doit te plaire que je te dise que j'ai pris du plaisir à me faire enculer. Tu aimerais bien entrer dans mon petit cul, hein ? Eh bien vas-y !
- Tu te retournes ?
- Non, comme ça !
Je prends son sexe d'une main, pour l'enlever de mon vagin et le pointe à l'entrée de mon petit trou. Puis à l'aide de mes mains, j'écarte mes fesses. La tige de mon homme entre doucement dans mes entrailles. Il change légèrement de position pour me permettre d'appuyer mes cuisses sur ses épaules, ce qui facilite la pénétration.
Quand il est bien profond, je relâche mes fesses et, d'une main, je me caresse le clito et le minou. Il fait des mouvements lents pour ne pas me faire mal. Ma main glisse sur sa tige de chair qui est bien ferme, puis je pénètre mon sexe avec mon majeur. Je sens l'étroitesse de mon vagin causée par cette présence dans mon anus.
A la réflexion, je me demande comment deux sexes ont pu entrer dans mon corps, l'excitation devait être importante.
Là, ce n'est pas le cas, j'aime me voir dans cette position assez particulière. Je vois le chibre de mon homme entrer et sortir de mes fesses, je sais que cela lui plaît et mes caresses me procure du plaisir, mais pas autant que ce que j'ai éprouvé hier, lorsque Domi et Bernard me regardaient.
Bernard accélère le rythme, sans brusquerie. Puis il jouit au fond de mon corps.
Nous changeons rapidement de position, car, bien que je sois très souple, elle n'est pas très confortable.
Après quelque temps de repos, nous allons dans la salle de bain pour prendre une douche bien méritée. Je remets ma nuisette et nous rejoignons nos amis qui sont en train de déjeuner. Domi et Philippe nous disent bonjour, ils sont nus. Philippe renchérit :
- Alors les amoureux, vous avez fini votre gymnastique matinale ?
- Nous avons été bruyants ?
- Non, mais ce genre de gémissements ne laisse pas de doute sur ce que vous faites. Tiens, tu as gardé ta nuisette, Nanou ! C'est pour être plus érotique ?
- Non, c'est machinal, je l'enlève. Mais pour le bruit je plaide non coupable, c'est de la faute de Bernard.
- Ah bon ! Pourquoi ?
- Je crois qu'il était un peu jaloux du traitement que tu m'as fait subir hier soir, enfin façon de parler, parce que j'ai bien aimé.
- Et pourquoi il était jaloux ? Il pouvait faire la même chose à Domi.
- Eh ! Dis donc toi ! Qui t'as permis de disposer de mon corps comme cela ?
- Oh! Fait pas la fine bouche, je suis sûr que tu aurais apprécié.
En fait, Domi dit cela en souriant. Nous déjeunons avant de commencer une nouvelle journée qui s'annonce sous les meilleurs auspices.
A suivre.
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