PREMIERS EMOIS
Récit érotique écrit par POESEXE2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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PREMIERS EMOIS
PREMIERS EMOIS
Les histoires d’amour, ou de sexe, tirée de mon expérience ont parfois été assez torrides, mais, en fait, la première fois fut assez timide.
J’étais parti en vacances avec mes parents. Ma sœur était sans doute venue aussi, mais je n’en ai aucun souvenir. Cette année là, nous étions partis camper, non loin du bord de mer. A cette époque, la plupart des gens campaient ; la caravane, luxe suprême était encore assez rare. En tout cas, mon père avait planté la tente familiale, sur ce petit terrain, où nous étions entourés par des touristes Hollandais. Mes parents, passionnés de voile étaient souvent partis naviguer. Bien sur, je pratiquais la voile également, mais à cet âge, étant coincé là pour trois semaines, je préférerais rester à terre pour essayer de me faire des copains.
J’ai rapidement sympathisé avec deux grands gaillards Keith et Bart, tous deux blonds et athlétiques, alors que j’étais brun et moins athlétique, il faut bien le dire. Ils m’ont présenté une de leurs compatriotes qui m’a tout de suite plu. Elle s’appelait Helena et avait un an de plus que moi. C’était une longue liane filiforme, aux longs cheveux d’un blond lumineux, aux grands yeux azur, et aux lèvres pulpeuses. Elle était généralement vêtue d’un short en jean dévoilant ses jambes fines et bronzées, et d’un débardeur sous lequel on voyait pointer ses petits seins, libres de toute attache.
Nous avons très vite formé un groupe inséparable, Héléna traduisant en anglais, pour moi, ce que mes deux copains disaient en néerlandais, puisqu’ils ne parlaient pas plus l’anglais ou le français, que moi, je ne comprenais leur langue natale.
Nous passions nos journées à jouer à des jeux de société, à nous balader, ou a aller nous baigner, dans une petite anse très proche, assez déserte.
Malgré mon envie de me rapprocher d’Héléna, ma timidité naturelle m’empêchait de tenter quoi que ce soit avec elle. Je ne me sentais pas à ma place et pensais que si elle avait dû choisir quelqu’un, elle se serait tournée vers ses compatriotes plutôt que vers moi. Cependant, au bout de quelques jours, alors qu’Helena était absente, Keith me fit comprendre, avec quelques mots d’anglais, et à grands renforts de gestes qu’elle en pinçait pour moi. Tout d’abord incrédule, je dus me rendre à l’évidence, suite à la confirmation de Bart, que cela pouvait être vrai. A moins qu’il ne s’agisse d’une plaisanterie.
Le lendemain, mes amis ne purent se joindre à nous et je partis seul à la plage avec la belle Héléna. Une fois nos serviettes posées Héléna se débarrassa de son short et de son débardeur, dévoilant un mini deux pièces fait d’un haut ou deux triangles de tissu masquaient ses seins riquiquis, et d’un bas tenu par deux ficelles, dévoilant largement ses hanches et une partie de son petit cul ferme et bronzé. Inutile de dire que je me sentis rapidement à l’étroit dans mon maillot de bain, et je partis me jeter à l’eau pour masquer mon émoi.
Héléna me rejoignit et après avoir nagé un peu, nous jouâmes à nous éclabousser. J’en profitais pour la frôler timidement, mais c’est elle qui prit l’initiative, venant se pendre à mon cou, son corps gracile collé à moi. En quelques mouvements, elle me mit dans un état qui ne me permettait plus de sortir de l’eau décemment. Appuyant son bassin contre moi, elle me dévisagea avec un sourire espiègle, en se frottant sur mon érection, puis me tendit ses lèvres pour un baiser passionné.
J’avais déjà embrassé quelques filles, dans les boums, mais rien de comparable à cette langue chaude qui s’enroulait autour de la mienne, ses lêvres soudées aux miennes, tandis que son bassin se frottait impudiquement contre mon maillot distendu. Elle se rejeta en arrière dans un éclat de rire, et sortit de l’eau, pour aller s’étendre sur son drap de plage, me laissant interdit.
Pour me calmer, je nageais vigoureusement vers le large, et la fraicheur de l’eau eut raison de ma raideur.
Je regagnais la rive et la trouvait allongée, à plat ventre, son petit soutien-gorge posé à côté d’elle. Je m’allongeais face à elle et nous restâmes un moment ainsi, nous dévisageant, nos doigts emmêlés. Je ne pouvais croire à ma chance et un sourire benêt devait rester accroché à ma face.
Le petit bout de plage se remplissait et quelques familles aux enfants bruyants vinrent s’installer non loin.
-Shall we go ? demanda la belle, et sans attendre de réponse, elle se releva, me dévoilant ses petits seins tout bronzés. Alors que je restais scotché, elle enfila son débardeur kaki, et le spectacle disparut. Elle plia sa serviette et la glissa dans un sac de plage avec son short, avant de mettre ses petits pieds dans ses tongs. Sur le sentier ramenant au camping, j’aperçus mes parents, gilets de sauvetage sur le dos, qui s’apprêtaient à une expédition maritime. Au camping, c’était le désert. Les parents d’Héléna étaient partis visiter la ville de Nantes. Nous nous dirigeâmes vers la tente de sa famille. Une fois sous l’auvent, elle se tourna vers moi et m’embrassa une nouvelle fois, avant d’ouvrir la fermeture éclair de la chambre, et d’y disparaître après un :-Wait à minut ! sans appelElle y entra, sans refermer derrière elle. Une fois à l’intérieur, elle fit passer son débardeur par dessus sa tête et le lança dans un coin, avant de se tourner vers moi, ses deux mais en conque sous sa poitrine menue.
-Do you like them ? demanda t’elle en me souriantLa gorge sèche, j’articulais péniblement un Yes à peine audibleDélaissant sa poitrine , ses mains vinrent sur ses hanches, dénouer les ficelles retenant sa culotte qui chut à ses pieds, et je découvris sa petite chatte renflée, à peine couverte d’un duvet Blond qui ne parvenait pas à cacher la fente de son sexe.
Elle me tendit la main, m’invitant à entrer, ce que je fis après avoir fait valser mes claquettes.
Elle m’attira à elle serra son corps tout chaud contre le mien. Elle caressa mon dos, pendant que j’explorais ses seins et son cou, puis ses mains descendirent sur mes hanches et elle entreprit de faire glisser mon maillot mouillé, mettant à jour mon sexe bien tendu. Elle le prit en main et le caressa un instant avant de se coucher sur le matelas pneumatique, m’attirant près d’elle.
Allongée sur le dos, elle me laissa partir à la découverte de son corps, poussant de petit gémissement quand je pris ses tétons entre mes lèvres, pour les téter goulument. Mes mains à plat découvraient son ventre, s’approchant , peu à peu, de son nombril, que je chatouillais un peu avant de caresser doucement son pubis et de perdre mes doigts dans la forêt clairsemée qui ornait son mont de Vénus. Alors que j’explorais la zone, je sentis, sous mes doigts, son corps de tendre et son bassin décoller au devant de ma main . Elle écarta complaisamment les cuisses pour me laisser accéder à sa fente qui s’ouvrait déjà. Je n’eus qu’a promener mes phalanges sur sa blessure, qui s’ouvrit aussitôt sur une corolle rose et humide . Niché en haut de sa fente, je découvris ce petit bouton qui semblait la rendre folle quand je le titillais. Je me positionnais entre ses cuisses et me penchais pour boire à cette source. Elle s’ouvrait de plus en plus et projetait son pubis vers ma bouche, et ma langue qui tantôt léchait sa fente, tantôt s’insinuait dans sa grotte, m’encourageant de petits cris de plaisir. Je glissai un doigt dans sa chatte, et commençais à l’agiter, provoquant des remous de tout son corps. Un deuxième doigt, lui arracha un cri rauque tandis qu’elle m’enserrait entre ses cuisses. Ce premier orgasme passé, elle m’allongea, et vint m’enjamber tête bèche, son sexe à hauteur de mon visage. Puis elle se pencha en avant et commença à embrasser ma queue, qui se raidit encore plus, avant de l’introduire dans sa bouche pour me sucer. Je crus défaillir et je dus me concentrer sur sa chatte, à quelques centimêtres de mon nez..
J’enfonçais deux doigts dans son vagin, et la branlais énergiquement. Elle mouillait abondamment, et vint attraper mes doigts lubrifiés par elle pour en orienter un vers son petit trou. Je ne mis pas longtemps à comprendre et , un doigt dans son sexe, l’autre dans son cul, je la limais, aidé par ses mouvements de hanche qui venaient emboiter son bassin sur mes doigts. Elle replongea alors sur mon chibre qui retrouva le contact soyeux de sa langue agile. Je sentais le plaisir monter en moi irrésistiblement, et je tendais mon vit vers cette bouche avide.
Au dernier moment j’eus la présence d’esprit de la repousser et je jouis à longs traits sur son visage et ses seins., Elle se retourna vers moi, des tache blanchâtres sur le visage et entreprit de s’essuyer avec la serviette de plage. Sans cesser d’agiter son petit cul devant mon visage, en soufflant et gémissant, ;Elle accéléra la cadence et se tendit comme un arc, laissant fuser une plainte de bonheur, avant de retomber sur moi. Elle vint se couler au creux de mes épaules et me tendit ses lèvres pour un splendide baiser.
Je restais un instant étendu, récupérant de ces nouvelles sensations, me demandant ce que j’allais découvrir encore.
Nous nous caressâmes doucement, repus,. J’appréciais le toucher de sa peu de satin, le galbe de ses petits seins, l’arrondi tendu de ses fesses de marbre, le long fuselé de ses cuisses, la minceur décharnée de ses bras. De son côté, elle trouva vite mon érection qui reprenait déjà de la vigueur.
-Oh ! you’re strong, me dit elle mutine, en astiquant ma virilité qui s’érigea très vite vers le toit de toile bleuté.
Luttant contre ma timidité naturelle, je parvins à dire- I want to make love with youElle me regarda en souriant, sans cesser de me manipuler- I’m sorry love, but I’m too young.I don’t want to have a baby.
Devant mon air dépité, elle vint se mettre à califourchon sur mes cuisses et vint frotter son sexe sur le mien. D’un long oscillement du bassin, elle faisait glisser ma queue sur sa fente, mais prenait garde à ne jamais me laisser entrer en elle.
Allongé j’avais une vue imprenable sur son sexe entrouvert qui inondait ma bite, au dessous de ses abdos qui se contractaient à chaque mouvement, sa poitrine ondulant au dessus de moi. Je saisis ses tétons et les pinçais doucement, provoquant des petits cris.
Bientôt, elle se souleva sur ses appuis et vint positionner ma queue contre son anus. Je n’eus rien à faire, car elle s’empala sur moi. Penchée en arrière, elle appuyait en grimaçant, guidant mon gland qui franchit la barrière de ses muscles intimes, en lui arrachant un cri de douleur.
-You’re in me, love balbutia t’elleJ’essayais de sortir, craignant de la blesser, mais elle continua, en me faisant un sourire.
Mon sexe s’enfonçait petit à petit à petit en elle, et ses fesses finirent par venir buter sur mes couilles. Elle entama alors un mouvement de piston, en grimaçant, mais avec une détermination sans faille. Son petit corps montait et descendait sur ma queue de plus en plus vite, la serrant étroitement dans ses boyaux. Appuyée sur ses pieds, elle se sodomisait violemment, et eut raison de moi en quelques minutes. Je voulus la repousser, mais cette fois elle continua son mouvement pendant que je me vidais en elle. Elle s’abattit ensuite sur mon torse et me garda en elle jusqu’à ce que mon sexe cesse de pulser.
-did you like it ? demanda t’elle-it was fantastic . First time for me, and you learned me so ; dis-je en l’embrassant-First time for me too. I did it for you, répondit la belle.
J’ai passé, cette année là, des vacances inoubliables. J’ai revu Héléna, un an plus tard, mais la flamme s’était éteinte.
Nous sommes restés amis, mais n’avons jamais fait l’amour. Ce qui s’est passé entre nous est resté secret.
Les histoires d’amour, ou de sexe, tirée de mon expérience ont parfois été assez torrides, mais, en fait, la première fois fut assez timide.
J’étais parti en vacances avec mes parents. Ma sœur était sans doute venue aussi, mais je n’en ai aucun souvenir. Cette année là, nous étions partis camper, non loin du bord de mer. A cette époque, la plupart des gens campaient ; la caravane, luxe suprême était encore assez rare. En tout cas, mon père avait planté la tente familiale, sur ce petit terrain, où nous étions entourés par des touristes Hollandais. Mes parents, passionnés de voile étaient souvent partis naviguer. Bien sur, je pratiquais la voile également, mais à cet âge, étant coincé là pour trois semaines, je préférerais rester à terre pour essayer de me faire des copains.
J’ai rapidement sympathisé avec deux grands gaillards Keith et Bart, tous deux blonds et athlétiques, alors que j’étais brun et moins athlétique, il faut bien le dire. Ils m’ont présenté une de leurs compatriotes qui m’a tout de suite plu. Elle s’appelait Helena et avait un an de plus que moi. C’était une longue liane filiforme, aux longs cheveux d’un blond lumineux, aux grands yeux azur, et aux lèvres pulpeuses. Elle était généralement vêtue d’un short en jean dévoilant ses jambes fines et bronzées, et d’un débardeur sous lequel on voyait pointer ses petits seins, libres de toute attache.
Nous avons très vite formé un groupe inséparable, Héléna traduisant en anglais, pour moi, ce que mes deux copains disaient en néerlandais, puisqu’ils ne parlaient pas plus l’anglais ou le français, que moi, je ne comprenais leur langue natale.
Nous passions nos journées à jouer à des jeux de société, à nous balader, ou a aller nous baigner, dans une petite anse très proche, assez déserte.
Malgré mon envie de me rapprocher d’Héléna, ma timidité naturelle m’empêchait de tenter quoi que ce soit avec elle. Je ne me sentais pas à ma place et pensais que si elle avait dû choisir quelqu’un, elle se serait tournée vers ses compatriotes plutôt que vers moi. Cependant, au bout de quelques jours, alors qu’Helena était absente, Keith me fit comprendre, avec quelques mots d’anglais, et à grands renforts de gestes qu’elle en pinçait pour moi. Tout d’abord incrédule, je dus me rendre à l’évidence, suite à la confirmation de Bart, que cela pouvait être vrai. A moins qu’il ne s’agisse d’une plaisanterie.
Le lendemain, mes amis ne purent se joindre à nous et je partis seul à la plage avec la belle Héléna. Une fois nos serviettes posées Héléna se débarrassa de son short et de son débardeur, dévoilant un mini deux pièces fait d’un haut ou deux triangles de tissu masquaient ses seins riquiquis, et d’un bas tenu par deux ficelles, dévoilant largement ses hanches et une partie de son petit cul ferme et bronzé. Inutile de dire que je me sentis rapidement à l’étroit dans mon maillot de bain, et je partis me jeter à l’eau pour masquer mon émoi.
Héléna me rejoignit et après avoir nagé un peu, nous jouâmes à nous éclabousser. J’en profitais pour la frôler timidement, mais c’est elle qui prit l’initiative, venant se pendre à mon cou, son corps gracile collé à moi. En quelques mouvements, elle me mit dans un état qui ne me permettait plus de sortir de l’eau décemment. Appuyant son bassin contre moi, elle me dévisagea avec un sourire espiègle, en se frottant sur mon érection, puis me tendit ses lèvres pour un baiser passionné.
J’avais déjà embrassé quelques filles, dans les boums, mais rien de comparable à cette langue chaude qui s’enroulait autour de la mienne, ses lêvres soudées aux miennes, tandis que son bassin se frottait impudiquement contre mon maillot distendu. Elle se rejeta en arrière dans un éclat de rire, et sortit de l’eau, pour aller s’étendre sur son drap de plage, me laissant interdit.
Pour me calmer, je nageais vigoureusement vers le large, et la fraicheur de l’eau eut raison de ma raideur.
Je regagnais la rive et la trouvait allongée, à plat ventre, son petit soutien-gorge posé à côté d’elle. Je m’allongeais face à elle et nous restâmes un moment ainsi, nous dévisageant, nos doigts emmêlés. Je ne pouvais croire à ma chance et un sourire benêt devait rester accroché à ma face.
Le petit bout de plage se remplissait et quelques familles aux enfants bruyants vinrent s’installer non loin.
-Shall we go ? demanda la belle, et sans attendre de réponse, elle se releva, me dévoilant ses petits seins tout bronzés. Alors que je restais scotché, elle enfila son débardeur kaki, et le spectacle disparut. Elle plia sa serviette et la glissa dans un sac de plage avec son short, avant de mettre ses petits pieds dans ses tongs. Sur le sentier ramenant au camping, j’aperçus mes parents, gilets de sauvetage sur le dos, qui s’apprêtaient à une expédition maritime. Au camping, c’était le désert. Les parents d’Héléna étaient partis visiter la ville de Nantes. Nous nous dirigeâmes vers la tente de sa famille. Une fois sous l’auvent, elle se tourna vers moi et m’embrassa une nouvelle fois, avant d’ouvrir la fermeture éclair de la chambre, et d’y disparaître après un :-Wait à minut ! sans appelElle y entra, sans refermer derrière elle. Une fois à l’intérieur, elle fit passer son débardeur par dessus sa tête et le lança dans un coin, avant de se tourner vers moi, ses deux mais en conque sous sa poitrine menue.
-Do you like them ? demanda t’elle en me souriantLa gorge sèche, j’articulais péniblement un Yes à peine audibleDélaissant sa poitrine , ses mains vinrent sur ses hanches, dénouer les ficelles retenant sa culotte qui chut à ses pieds, et je découvris sa petite chatte renflée, à peine couverte d’un duvet Blond qui ne parvenait pas à cacher la fente de son sexe.
Elle me tendit la main, m’invitant à entrer, ce que je fis après avoir fait valser mes claquettes.
Elle m’attira à elle serra son corps tout chaud contre le mien. Elle caressa mon dos, pendant que j’explorais ses seins et son cou, puis ses mains descendirent sur mes hanches et elle entreprit de faire glisser mon maillot mouillé, mettant à jour mon sexe bien tendu. Elle le prit en main et le caressa un instant avant de se coucher sur le matelas pneumatique, m’attirant près d’elle.
Allongée sur le dos, elle me laissa partir à la découverte de son corps, poussant de petit gémissement quand je pris ses tétons entre mes lèvres, pour les téter goulument. Mes mains à plat découvraient son ventre, s’approchant , peu à peu, de son nombril, que je chatouillais un peu avant de caresser doucement son pubis et de perdre mes doigts dans la forêt clairsemée qui ornait son mont de Vénus. Alors que j’explorais la zone, je sentis, sous mes doigts, son corps de tendre et son bassin décoller au devant de ma main . Elle écarta complaisamment les cuisses pour me laisser accéder à sa fente qui s’ouvrait déjà. Je n’eus qu’a promener mes phalanges sur sa blessure, qui s’ouvrit aussitôt sur une corolle rose et humide . Niché en haut de sa fente, je découvris ce petit bouton qui semblait la rendre folle quand je le titillais. Je me positionnais entre ses cuisses et me penchais pour boire à cette source. Elle s’ouvrait de plus en plus et projetait son pubis vers ma bouche, et ma langue qui tantôt léchait sa fente, tantôt s’insinuait dans sa grotte, m’encourageant de petits cris de plaisir. Je glissai un doigt dans sa chatte, et commençais à l’agiter, provoquant des remous de tout son corps. Un deuxième doigt, lui arracha un cri rauque tandis qu’elle m’enserrait entre ses cuisses. Ce premier orgasme passé, elle m’allongea, et vint m’enjamber tête bèche, son sexe à hauteur de mon visage. Puis elle se pencha en avant et commença à embrasser ma queue, qui se raidit encore plus, avant de l’introduire dans sa bouche pour me sucer. Je crus défaillir et je dus me concentrer sur sa chatte, à quelques centimêtres de mon nez..
J’enfonçais deux doigts dans son vagin, et la branlais énergiquement. Elle mouillait abondamment, et vint attraper mes doigts lubrifiés par elle pour en orienter un vers son petit trou. Je ne mis pas longtemps à comprendre et , un doigt dans son sexe, l’autre dans son cul, je la limais, aidé par ses mouvements de hanche qui venaient emboiter son bassin sur mes doigts. Elle replongea alors sur mon chibre qui retrouva le contact soyeux de sa langue agile. Je sentais le plaisir monter en moi irrésistiblement, et je tendais mon vit vers cette bouche avide.
Au dernier moment j’eus la présence d’esprit de la repousser et je jouis à longs traits sur son visage et ses seins., Elle se retourna vers moi, des tache blanchâtres sur le visage et entreprit de s’essuyer avec la serviette de plage. Sans cesser d’agiter son petit cul devant mon visage, en soufflant et gémissant, ;Elle accéléra la cadence et se tendit comme un arc, laissant fuser une plainte de bonheur, avant de retomber sur moi. Elle vint se couler au creux de mes épaules et me tendit ses lèvres pour un splendide baiser.
Je restais un instant étendu, récupérant de ces nouvelles sensations, me demandant ce que j’allais découvrir encore.
Nous nous caressâmes doucement, repus,. J’appréciais le toucher de sa peu de satin, le galbe de ses petits seins, l’arrondi tendu de ses fesses de marbre, le long fuselé de ses cuisses, la minceur décharnée de ses bras. De son côté, elle trouva vite mon érection qui reprenait déjà de la vigueur.
-Oh ! you’re strong, me dit elle mutine, en astiquant ma virilité qui s’érigea très vite vers le toit de toile bleuté.
Luttant contre ma timidité naturelle, je parvins à dire- I want to make love with youElle me regarda en souriant, sans cesser de me manipuler- I’m sorry love, but I’m too young.I don’t want to have a baby.
Devant mon air dépité, elle vint se mettre à califourchon sur mes cuisses et vint frotter son sexe sur le mien. D’un long oscillement du bassin, elle faisait glisser ma queue sur sa fente, mais prenait garde à ne jamais me laisser entrer en elle.
Allongé j’avais une vue imprenable sur son sexe entrouvert qui inondait ma bite, au dessous de ses abdos qui se contractaient à chaque mouvement, sa poitrine ondulant au dessus de moi. Je saisis ses tétons et les pinçais doucement, provoquant des petits cris.
Bientôt, elle se souleva sur ses appuis et vint positionner ma queue contre son anus. Je n’eus rien à faire, car elle s’empala sur moi. Penchée en arrière, elle appuyait en grimaçant, guidant mon gland qui franchit la barrière de ses muscles intimes, en lui arrachant un cri de douleur.
-You’re in me, love balbutia t’elleJ’essayais de sortir, craignant de la blesser, mais elle continua, en me faisant un sourire.
Mon sexe s’enfonçait petit à petit à petit en elle, et ses fesses finirent par venir buter sur mes couilles. Elle entama alors un mouvement de piston, en grimaçant, mais avec une détermination sans faille. Son petit corps montait et descendait sur ma queue de plus en plus vite, la serrant étroitement dans ses boyaux. Appuyée sur ses pieds, elle se sodomisait violemment, et eut raison de moi en quelques minutes. Je voulus la repousser, mais cette fois elle continua son mouvement pendant que je me vidais en elle. Elle s’abattit ensuite sur mon torse et me garda en elle jusqu’à ce que mon sexe cesse de pulser.
-did you like it ? demanda t’elle-it was fantastic . First time for me, and you learned me so ; dis-je en l’embrassant-First time for me too. I did it for you, répondit la belle.
J’ai passé, cette année là, des vacances inoubliables. J’ai revu Héléna, un an plus tard, mais la flamme s’était éteinte.
Nous sommes restés amis, mais n’avons jamais fait l’amour. Ce qui s’est passé entre nous est resté secret.
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