Premiers émois
Récit érotique écrit par Océane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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Premiers émois
C'est mon tout premier récit, mais chacune de mes histoires aura un lien plus ou moins proche avec la réalité, que ce soit la mienne ou celle d'un ou d'une de mes proches, et sera plus ou moins déformés.
Mais ce qui arrive aux protoganistes est imprégné de faits réels ou réellement fantasmés.
Premiers émois.
Jeune ado j'étais un peu en retard sur ma sexualité, autour de moi ça parlait mec et filles, masturbation, "quel beau cul!", "je vais me la faire!", "quand il me regarde, je te raconte pas ce qui se passe en bas..." Et moi au milieu de tout ça je n'arrivais pas à me situer, autant a l'aise avec les gars et les filles, je ne les comprenais plus...
"Quoi? Lui tu le kiffes ? Une brute qui parle des filles comme de salopes?""Quoi, elle tu la kiffes ? Elle passe son temps a draguer les mecs et se foutre de leur gueule!"Peut-être étais-ce du au divorce violent de mes parents ou de mon corps, que je trouvais disgracieux, grand, maigre... et quand je me regardais dans la glace je ne trouvais ni masculinité ni féminité, bref j'étais quoi?
Bien sur comme tout les ados de mon âge il m'était arriver de me toucher mais mon principal centre d'intérêt n'était pas du tout "avec qui je vais me dépuceler de la bouche"... expression en vogue à l'époque dans les cours de récré. J'étais plus fan de lecture (heroïc fantasy), cinéma, musique etc...
Néanmoins pendant les vacances de la Toussaint, de cette année j'ai vécu des choses un peu particulière.... comme je vous l'ai dit, mes parents étaient divorcés et j'étais chez mon père, sinistre personnage s'il en est! Mais sa compagne de l'époque, loin d'être une beauté fatale n'en était pas moins douce et attentionnée avec moi, ils habitaient dans une petite longère de centre Bretagne, et Édith était mon rayon de soleil quand j'y allais, petite rousse frisée au yeux verts, j'aimais bien les moments que l'on passait ensemble quand le paternel était en sortie pêche. Je pense qu'elle compensait le fait de ne pas avoir d'enfants à bientôt 35 ans en étant ma mère de substitution quand j'étais présent.
Hors un soir ou le paternel avait préféré la dive amphore et la pêche à ses proches je me retrouvais seule avec elle. La soirée se passa naturellement et au moment du coucher vers 22h elle veint m'embrasser pour me souhaiter bonne nuit, je l'avait trouvé inhabituellement souriante et détendue ce soir là, j'avais même commencé à la regarder d'un œil différent. J'avais remarqué ses petits seins fermes et trouvais que son pantalon lui moulait admirablement son petit cul (réflexion que je ne m'étais jamais faite).
Ayant du mal a m'endormir je pris un de mes livres favoris d'heroïc fantasy et après quelques temps, la vessie me le suppliant j'allais au toilettes, sans faire de bruit m'imaginant naïvement qu'elle dormait lorsque, m'approchant de la salle de bain je vois de la lumière. Me pensant seul éveillé j'ouvre la porte pour éteindre la lumière, et je vois ma belle mère sursauter et fermer rapidement un tiroir. Elle se tourne. Je reste sur le seuil de la porte.
"Qu'est-ce tu fais debout a cette heure? dit-elle la voix tremblante et rougissante".
-Je, euh j'allais au toilettes et j'ai vue de la lumière, répondit-je, gêné de je ne savais quoi.
Je voyais bien que je l'avais profondément gêner mais je ne savais pas de quoi. Et autre chose me faisait bizarre, c'était la première fois que je la voyais comme habillée comme ça, en noisette de satin rose saumon et en bas, ce qui donnait à ses jambes une taille incroyable...
Je poursuivait ma route mais une chose inhabituelle se produit, mon sexe n'était pas dur mais la mixion fut différente de d'habitude.
Je retournais me coucher, mais le sommeil ne vint pas, mon cerveau pensait à tout un tas de choses en même temps. D'abord pourquoi avait-elle eu l'air gênée ? Elle est chez elle, et fait ce qu'elle veut... plus j'y pensais plus je revoyais la scène et plus un détail me troublait. Déjà je ne la trouvais plus quelquonque mais charmante, je que savais pas dire pourquoi, mais aussi c'était quoi cette tenue pour dormir ? Nuisette en satin rose, ça a l'air doux comme matière, et bas blancs, j'avais jamais remarqué mais elle a de belles jambes peut-être sont-ce les bas qui donnent cet effet... à chaque fois que je repassait la scène un nouveau détail me sautait aux yeux et ma belle mère devenait un objet de désir. La nuisette, avec son décolleté laissait voir le haut de ses seins, de taille moyenne, un 85B ou C je pense, mais à l'air fermes, j'aimerai bien lui toucher les seins voir comment c'est, les bas, j'avais pu voir le haut de ses bas avec l'attache autocollante, c'est vrai qu'elle a de jolie jambes et avec les bas c'est encore plus beau, j'aimerai bien les carresser , la nuisette, un peu plus courte et j'aurais pu voir sa culotte, est-ce qu'elle en portait une? Et juste avant qu'elle se retourne, son cul était beau, petit, ferme, mes mains posée dessus se délectant de la sensation de sa lingerie et de sa peau sous mes doigts, ses seins sous la nuisette ou furtivement j'avais remarqué ses tetons pointer, je pourrais les embrasser, les malaxer d'une main pendant que l'autre glisserai dans sa culotte et pétrirais son cul si attrayant. Au fil de ses pensées j'avais commencer a me toucher, mmmh quelle sensation agréable, plus je m'imaginais la toucher, plus c'était agréable, j'étais dans ses bras, je l'embrassais, et vint l'orgasme ! Waouh c'est donc ça ! Il faudra recommencer et pourquoi pas à deux, et surtout être moins rapide.
Il fallait maintenant nettoyer tout ça et dormir, un passage au toilettes s'imposait.
En passant devant la chambre de ma belle-mère je voyais que la lumière était allumée, et je me dit que je pouvais bien prendre le risque de l'espionner, je regardai donc par le trou de la serrure. La vue n'était pas parfaite, mais suffisamment bonne pour découvrir une autre de ses facettes. Elle était allongée sur ses draps dans sa tenue de naïade, de ma position je pouvais enfin voir qu'elle portait une culotte blanche, comme ses bas, elle avait les jambes légèrement écartées et semblait soucieuse, a l'écoute des bruits de la maison, voulant continuer à profiter de la vue je me faisais le plus discret possible. Un regard vers la gauche, minuit dix, elle dut décidé qu'elle était tranquille car elle commenca a se détendre un peu, mais que fait elle? Pourquoi elle se touche les seins?, mon excitation repartie de plus belle, je la voyais se malaxer les seins, ses tétons commencèrent à pointer sous sa nuisette, ses pommettes rosirent, lentement ses seins se dégagement de leur prison de satin, ils étaient beaux, ronds, fermes, une main commenca à descendre vers l'entrejambe, elle releva sa nuisette sur le bas de son ventre, plat, d'un teint diaphane comme seule les rousses savent l'avoir. Sa main commença a carresser son sexe à travers le tissus blanc, des caressée douces au début, plus appuyées par la suite. De haut en bas puis en mouvement circulaires, elle commençait à se mordiller les lèvres, ses carresses commençaient à produire leur effet, mais le tissu la gênait, elle écarta un peu sa culotte pour libérer son sexe et continua ses carresses, écartant un peu ses lèvres on pouvait maintenant voir un sexe luisant de désir, d'une beauté rare, bien dessiné, des petites lèvres roses qui appellent à être caressée, embrassée, un clitoris rond, véritable appel au cunilingus. Continuant ses carresses son souffle devenait haletant, elle commençait à se tortiller, puis s'arrêta, d'un coup, avais-je fais du bruit en me masturbant? Et si je me faisais griller? Peut-être voudrait-elle m'apprendre ? Non impossible... ne remonte pas, elle resta dans son lit mais enleva sa culotte, je voyais maintenant clairement son sexe à la pilosité entretenue en un excitant ticket de métro, elle reprit ses caresses de plus belle un doigt entra dans son vagin et ressorti aussitôt, elle le porta à sa bouche pour l'humidifier, sa langue tournai sensuellement autour du doigt, elle le suça avec gourmandise pendant que son autre main laissait son sein pour continuer à s'occuper de sa chatte, écartant ses lèvres puis amenant son autre doigt humecté à l'orée de sa grotte, elle commenca de petits va et vient, un doigt expert s'occupant de son clitoris, un autre explorant la zone inervée elle commençait à gémir, son corps se tordait, pris de convulsions, et sur violent râle tout s'arrêta. Elle reprenait son souffle, j'étais prêt à partir mais voulait l'admirer encore un peu.
Elle se tourna vers le bord du lit encore haletante, pris un objet oblong, et commenca à le sucer, doucement, du bout de la langue, puis avec gourmandise, tout en se caressant la poitrine. Pour mon plus grand bonheur ce n'était pas finit ! Elle arrêta de super, appuya sur un bouton a la base l'objet et changent de position, a genou, les fesses en l'air dirigées moi, hypnotisantes, son sexe charnu trempé véritable appel à la luxure, je n'avais qu'une envie, y goûter ! Elle s'introduit le tube dans sa grotte le tenant fermement d'une main, l'autre triturant son bouton, elle faisait des va et vient de plus en plus rapide, j'avais une vue magnifique sur son cul, sa rondelle, ses mouvements a la fois gracieux et brutaux, son gode devenait trempé, elle poussait de petits cris, étouffés, augmentant la cadence ses cris devenaient plus intense jusqu'à l'apothéose, son sexe trempé l'avait mené à la jouissance, moi de même de l'autre côté de la porte.
Je retournais rapidement mais discrètement dans ma chambre, eu du mal à dormir, des images plein la tête.
Le lendemain je ne pouvais plus la regarder sans rougir. Au moment de la douche, je fouillais dans la panière à linge pour si par bonheur s'y trouvais sa lingerie de la veille ou son gode. Par chance je d'enchaîner les objets de mes désirs, la nuisette, tellement douce, les bas soyeux et sa culotte à l'odeur musquée. Cet odeur qui m'a heurter voire dégoûté en même temps qu'elle avait immédiatement provoquer une terrible excitation !
"Qu'est-ce que tu fais? Tu cherches quelque chose?"Je sursautais! Heureusement j'étais encore dans mes vêtements.
-euh je cherche un truc que j'ai du oublier dans mes poches, bégayais-je.
-ok dépêche-toi de prendre ta douche stp et ferme la porte me fit-elle avec un clin d'œil.
Nos positions avait, je l'espère, empêcher Edith de voir que touchait et admirait ses dessous bien que pas de doute sur le fait que je les avais en main. Je fermais la porte, me masturbait en sentant sa lingerie, je mis ses collants, a défaut d'être contre elle j'espérais sans doute sentir un peu sa seconde peau sur la mienne, sensation pas désagréable, la jouissance vint rapidement.
Le reste des vacances se passa différemment de toutes les autres, je regardai Edith avec envie et me demandait chaque jour si elle savait que je l'avais vue, si elle savait ce qu'elle provoquait en moi. Je continuais mes masturbations avant la douche avec ses sous vêtements dans les mains, elle se doutais certainement que nos rapports avaient changé, car le matin je voyais toujours sa lingerie de la veille en évidence sur le dessus du linge sale. Mais je n'osais pas lui parler de ce qu'elle avait déclenché en moi, chose qui se révélerait riche en rebondissement au fil des années, mais ça ce sera pour une prochaine fois.
J'espère que vous aurez pris du plaisir en lisant cette histoire, je dois vous dire que j'ai du m'arrêter plusieurs fois...
Mais ce qui arrive aux protoganistes est imprégné de faits réels ou réellement fantasmés.
Premiers émois.
Jeune ado j'étais un peu en retard sur ma sexualité, autour de moi ça parlait mec et filles, masturbation, "quel beau cul!", "je vais me la faire!", "quand il me regarde, je te raconte pas ce qui se passe en bas..." Et moi au milieu de tout ça je n'arrivais pas à me situer, autant a l'aise avec les gars et les filles, je ne les comprenais plus...
"Quoi? Lui tu le kiffes ? Une brute qui parle des filles comme de salopes?""Quoi, elle tu la kiffes ? Elle passe son temps a draguer les mecs et se foutre de leur gueule!"Peut-être étais-ce du au divorce violent de mes parents ou de mon corps, que je trouvais disgracieux, grand, maigre... et quand je me regardais dans la glace je ne trouvais ni masculinité ni féminité, bref j'étais quoi?
Bien sur comme tout les ados de mon âge il m'était arriver de me toucher mais mon principal centre d'intérêt n'était pas du tout "avec qui je vais me dépuceler de la bouche"... expression en vogue à l'époque dans les cours de récré. J'étais plus fan de lecture (heroïc fantasy), cinéma, musique etc...
Néanmoins pendant les vacances de la Toussaint, de cette année j'ai vécu des choses un peu particulière.... comme je vous l'ai dit, mes parents étaient divorcés et j'étais chez mon père, sinistre personnage s'il en est! Mais sa compagne de l'époque, loin d'être une beauté fatale n'en était pas moins douce et attentionnée avec moi, ils habitaient dans une petite longère de centre Bretagne, et Édith était mon rayon de soleil quand j'y allais, petite rousse frisée au yeux verts, j'aimais bien les moments que l'on passait ensemble quand le paternel était en sortie pêche. Je pense qu'elle compensait le fait de ne pas avoir d'enfants à bientôt 35 ans en étant ma mère de substitution quand j'étais présent.
Hors un soir ou le paternel avait préféré la dive amphore et la pêche à ses proches je me retrouvais seule avec elle. La soirée se passa naturellement et au moment du coucher vers 22h elle veint m'embrasser pour me souhaiter bonne nuit, je l'avait trouvé inhabituellement souriante et détendue ce soir là, j'avais même commencé à la regarder d'un œil différent. J'avais remarqué ses petits seins fermes et trouvais que son pantalon lui moulait admirablement son petit cul (réflexion que je ne m'étais jamais faite).
Ayant du mal a m'endormir je pris un de mes livres favoris d'heroïc fantasy et après quelques temps, la vessie me le suppliant j'allais au toilettes, sans faire de bruit m'imaginant naïvement qu'elle dormait lorsque, m'approchant de la salle de bain je vois de la lumière. Me pensant seul éveillé j'ouvre la porte pour éteindre la lumière, et je vois ma belle mère sursauter et fermer rapidement un tiroir. Elle se tourne. Je reste sur le seuil de la porte.
"Qu'est-ce tu fais debout a cette heure? dit-elle la voix tremblante et rougissante".
-Je, euh j'allais au toilettes et j'ai vue de la lumière, répondit-je, gêné de je ne savais quoi.
Je voyais bien que je l'avais profondément gêner mais je ne savais pas de quoi. Et autre chose me faisait bizarre, c'était la première fois que je la voyais comme habillée comme ça, en noisette de satin rose saumon et en bas, ce qui donnait à ses jambes une taille incroyable...
Je poursuivait ma route mais une chose inhabituelle se produit, mon sexe n'était pas dur mais la mixion fut différente de d'habitude.
Je retournais me coucher, mais le sommeil ne vint pas, mon cerveau pensait à tout un tas de choses en même temps. D'abord pourquoi avait-elle eu l'air gênée ? Elle est chez elle, et fait ce qu'elle veut... plus j'y pensais plus je revoyais la scène et plus un détail me troublait. Déjà je ne la trouvais plus quelquonque mais charmante, je que savais pas dire pourquoi, mais aussi c'était quoi cette tenue pour dormir ? Nuisette en satin rose, ça a l'air doux comme matière, et bas blancs, j'avais jamais remarqué mais elle a de belles jambes peut-être sont-ce les bas qui donnent cet effet... à chaque fois que je repassait la scène un nouveau détail me sautait aux yeux et ma belle mère devenait un objet de désir. La nuisette, avec son décolleté laissait voir le haut de ses seins, de taille moyenne, un 85B ou C je pense, mais à l'air fermes, j'aimerai bien lui toucher les seins voir comment c'est, les bas, j'avais pu voir le haut de ses bas avec l'attache autocollante, c'est vrai qu'elle a de jolie jambes et avec les bas c'est encore plus beau, j'aimerai bien les carresser , la nuisette, un peu plus courte et j'aurais pu voir sa culotte, est-ce qu'elle en portait une? Et juste avant qu'elle se retourne, son cul était beau, petit, ferme, mes mains posée dessus se délectant de la sensation de sa lingerie et de sa peau sous mes doigts, ses seins sous la nuisette ou furtivement j'avais remarqué ses tetons pointer, je pourrais les embrasser, les malaxer d'une main pendant que l'autre glisserai dans sa culotte et pétrirais son cul si attrayant. Au fil de ses pensées j'avais commencer a me toucher, mmmh quelle sensation agréable, plus je m'imaginais la toucher, plus c'était agréable, j'étais dans ses bras, je l'embrassais, et vint l'orgasme ! Waouh c'est donc ça ! Il faudra recommencer et pourquoi pas à deux, et surtout être moins rapide.
Il fallait maintenant nettoyer tout ça et dormir, un passage au toilettes s'imposait.
En passant devant la chambre de ma belle-mère je voyais que la lumière était allumée, et je me dit que je pouvais bien prendre le risque de l'espionner, je regardai donc par le trou de la serrure. La vue n'était pas parfaite, mais suffisamment bonne pour découvrir une autre de ses facettes. Elle était allongée sur ses draps dans sa tenue de naïade, de ma position je pouvais enfin voir qu'elle portait une culotte blanche, comme ses bas, elle avait les jambes légèrement écartées et semblait soucieuse, a l'écoute des bruits de la maison, voulant continuer à profiter de la vue je me faisais le plus discret possible. Un regard vers la gauche, minuit dix, elle dut décidé qu'elle était tranquille car elle commenca a se détendre un peu, mais que fait elle? Pourquoi elle se touche les seins?, mon excitation repartie de plus belle, je la voyais se malaxer les seins, ses tétons commencèrent à pointer sous sa nuisette, ses pommettes rosirent, lentement ses seins se dégagement de leur prison de satin, ils étaient beaux, ronds, fermes, une main commenca à descendre vers l'entrejambe, elle releva sa nuisette sur le bas de son ventre, plat, d'un teint diaphane comme seule les rousses savent l'avoir. Sa main commença a carresser son sexe à travers le tissus blanc, des caressée douces au début, plus appuyées par la suite. De haut en bas puis en mouvement circulaires, elle commençait à se mordiller les lèvres, ses carresses commençaient à produire leur effet, mais le tissu la gênait, elle écarta un peu sa culotte pour libérer son sexe et continua ses carresses, écartant un peu ses lèvres on pouvait maintenant voir un sexe luisant de désir, d'une beauté rare, bien dessiné, des petites lèvres roses qui appellent à être caressée, embrassée, un clitoris rond, véritable appel au cunilingus. Continuant ses carresses son souffle devenait haletant, elle commençait à se tortiller, puis s'arrêta, d'un coup, avais-je fais du bruit en me masturbant? Et si je me faisais griller? Peut-être voudrait-elle m'apprendre ? Non impossible... ne remonte pas, elle resta dans son lit mais enleva sa culotte, je voyais maintenant clairement son sexe à la pilosité entretenue en un excitant ticket de métro, elle reprit ses caresses de plus belle un doigt entra dans son vagin et ressorti aussitôt, elle le porta à sa bouche pour l'humidifier, sa langue tournai sensuellement autour du doigt, elle le suça avec gourmandise pendant que son autre main laissait son sein pour continuer à s'occuper de sa chatte, écartant ses lèvres puis amenant son autre doigt humecté à l'orée de sa grotte, elle commenca de petits va et vient, un doigt expert s'occupant de son clitoris, un autre explorant la zone inervée elle commençait à gémir, son corps se tordait, pris de convulsions, et sur violent râle tout s'arrêta. Elle reprenait son souffle, j'étais prêt à partir mais voulait l'admirer encore un peu.
Elle se tourna vers le bord du lit encore haletante, pris un objet oblong, et commenca à le sucer, doucement, du bout de la langue, puis avec gourmandise, tout en se caressant la poitrine. Pour mon plus grand bonheur ce n'était pas finit ! Elle arrêta de super, appuya sur un bouton a la base l'objet et changent de position, a genou, les fesses en l'air dirigées moi, hypnotisantes, son sexe charnu trempé véritable appel à la luxure, je n'avais qu'une envie, y goûter ! Elle s'introduit le tube dans sa grotte le tenant fermement d'une main, l'autre triturant son bouton, elle faisait des va et vient de plus en plus rapide, j'avais une vue magnifique sur son cul, sa rondelle, ses mouvements a la fois gracieux et brutaux, son gode devenait trempé, elle poussait de petits cris, étouffés, augmentant la cadence ses cris devenaient plus intense jusqu'à l'apothéose, son sexe trempé l'avait mené à la jouissance, moi de même de l'autre côté de la porte.
Je retournais rapidement mais discrètement dans ma chambre, eu du mal à dormir, des images plein la tête.
Le lendemain je ne pouvais plus la regarder sans rougir. Au moment de la douche, je fouillais dans la panière à linge pour si par bonheur s'y trouvais sa lingerie de la veille ou son gode. Par chance je d'enchaîner les objets de mes désirs, la nuisette, tellement douce, les bas soyeux et sa culotte à l'odeur musquée. Cet odeur qui m'a heurter voire dégoûté en même temps qu'elle avait immédiatement provoquer une terrible excitation !
"Qu'est-ce que tu fais? Tu cherches quelque chose?"Je sursautais! Heureusement j'étais encore dans mes vêtements.
-euh je cherche un truc que j'ai du oublier dans mes poches, bégayais-je.
-ok dépêche-toi de prendre ta douche stp et ferme la porte me fit-elle avec un clin d'œil.
Nos positions avait, je l'espère, empêcher Edith de voir que touchait et admirait ses dessous bien que pas de doute sur le fait que je les avais en main. Je fermais la porte, me masturbait en sentant sa lingerie, je mis ses collants, a défaut d'être contre elle j'espérais sans doute sentir un peu sa seconde peau sur la mienne, sensation pas désagréable, la jouissance vint rapidement.
Le reste des vacances se passa différemment de toutes les autres, je regardai Edith avec envie et me demandait chaque jour si elle savait que je l'avais vue, si elle savait ce qu'elle provoquait en moi. Je continuais mes masturbations avant la douche avec ses sous vêtements dans les mains, elle se doutais certainement que nos rapports avaient changé, car le matin je voyais toujours sa lingerie de la veille en évidence sur le dessus du linge sale. Mais je n'osais pas lui parler de ce qu'elle avait déclenché en moi, chose qui se révélerait riche en rebondissement au fil des années, mais ça ce sera pour une prochaine fois.
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