Premiers émois naturistes épisode 1
Récit érotique écrit par Florence [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2003 dans la catégorie En solitaire
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Premiers émois naturistes épisode 1
<p>Je vais vous raconter une histoire qui m'est arrivée quand j'étais plus jeune (j'ai aujourd'hui 27 ans), qui a marqué et renforcé quelques peu ma féminité.
J'étais cette année encore en vacances avec mes parents et ma petite soeur, après avoir terminé ma dernière classe de lycée, avant de me retrouver en faculté en octobre.
C'était la première fois que nous allions en Ardèche et le cadre me plaisait beaucoup. Malgré la chaleur assez forte les après-midi, le climat était radieux tous les jours avec quelques rares orages le soir ou la nuit. Nous avions fait des excursions sur les montagnes et des sorties en vélo. Ma petite soeur de 8 ans prenait toute l'attention de mes parents et je les laissais souvent aller ensemble visiter un village pittoresque ou passer la journée à la piscine. Moi, j'en profitais pour me reposer en me levant tard le matin ou en faisant des siestes l'après-midi.
J'avais une chambre pour moi toute seule, calme, assez fraîche, avec une fenêtre qui donnait sur la garrigue à l'arrière de la maison.
J'appréciais beaucoup, après avoir déjeuné quelques crudités et des fruits, m'allonger et écouter les cigales dans un transat à l'ombre ou dans ma chambre à travers les volets clos.
Je travaillais un peu mes cours, écrivais, dessinais, en prenant mon temps, en savourant cette première indépendance.
Un après-midi, alors que mes parents et ma soeur étaient partis après le repas, je paressais, suite à une courte sieste. Je choisis ensuite de sortir faire une petite promenade. Il n'était pas encore 15 h. et j'écoutais les cigales innombrables et les oiseaux virevoltants. Je bus un coup d'eau fraîche et fermai la maison, isolée par des arbustes, des buissons, des oliviers et des figuiers. Je me dirigeai vers le petit chemin qui prenait à droite de la route étroite et défoncée. Il faisait chaud et la transpiration commença à perler sur mon front et couler derrière mes lunettes de soleil. Je marchais sur le sentier qui montait doucement vers une forêt plus dense et redescendait vers un petit vallon sec. L'odeur de l'herbe grillée et des essences d'arbres me plut beaucoup, je me sentais heureuse dans cette nature, même si la chaleur était assez suffocante. Je longeais des bouleaux dépouillés et des lentisques verdoyants. Les cigales chantaient toujours très forts et bientôt un bruit d'eau vint percer le silence de ma promenade.
En contrebas, un torrent s'écoulait entre les rochers et des galets. Je quittai le sentier pour traverser l'herbe assez haute et gagner le bord de la petite rivière limpide. L'eau était d'une transparence incroyable, éclaboussant des pierres roses ou blanches en gerbes rafraîchissantes et plongeait dans des vasques calmes et paisibles.
Cet endroit me ravit soudain, sentant une plénitude rassurante. L'envie me prit de remonter le cours pour explorer d'autres recoins et découvrir encore plus d'enchantement, avec une sorte de peur stimulante.
Il n'y avait pas de passage le long du ruisseau et je ne voulais pas m'aventurer dans des éboulis ou des pierres avec mes petites sandales de cuir. Même bien chaussée, je ne me sentais pas capable de tenter une telle expédition. Je retournai donc vers le sentier et remontais un peu pour m'engager dans les buissons, à travers les arbres.
Après avoir gravi quelques centaines de mètres, je pus trouver un passage qui descendait rapidement au bord de l'eau. Mes vêtements n'étaient pas appropriés à cette excursion : je pris mes précautions mais ma petite robe légère était la proie des ronces et des branches.
Une fois au bord du ruisseau, je découvris un endroit encore plus ravissant que le précédent. Le torrent serpentait entre des gros rochers et s'arrêtait parfois dans des grandes vasques naturelles où l'eau prenait une couleur cristalline. La première idée qui me vint fut l'envie de m'y baigner. Un bassin se calait entre des rochers aux formes variées, près des berges en galets clairs. Puis il y avait d'autres vasques en contrebas, avec des dalles très plates, de la place pour barboter, voire pour faire quelques brasses. Et là, il était plus aisé de sauter de pierres en pierres pour s'aventurer dans la petite rivière. Je marchais un peu, en gardant mon équilibre puis m'assis au bord de l'eau, calme à cet endroit. C'était merveilleux.
Je jetais des galets polis et restais pensive. J'aurais bien aimé me baigner mais je n'avais rien apporté avec moi. C'était sûr, il fallait que je revienne passer une après-midi ici, au calme. La nature était intacte, sans signe de pollution ni d'âme qui vive. Je restais longuement assise ainsi. J'avais retiré mes sandales et je trempais mes pieds dans l'eau. Je m'attendais à une température plus froide et mon envie de me baigner était réconfortée. J'aimais cette solitude dans ce lieu où il était sûr que personne ne pouvait s'y aventurer.
Je remis finalement mes sandales et après avoir profité du soleil qui commençait à brûler, je regagnais les bosquets de genévriers et de chênes verts, en remontant le cours d'eau par où j'étais descendue.
Sur le chemin du retour, je songeais à ma journée du lendemain au bord du torrent rafraîchissant et fus très contente de ma découverte.
A la maison, personne n'était encore rentré en cette fin d'après-midi et j'en profitais pour prendre une douche bienfaisante. A peine sous l'eau, j'entendis la voiture de mes parents rentrer et bientôt leurs voix peuplaient la cuisine.
La soirée se déroula joyeusement avec les faits et gestes de chacun racontés avec détails. Je me gardais bien de révéler ma découverte et expliquai simplement ma promenade dans la garrigue.
Le lendemain, je trépignais à l'idée d'aller passer l'après-midi à la rivière. Mes parents partirent en fin de matinée pour un circuit en voiture dans la région et j'insistai pour ne pas les accompagner. Ils prévoyaient de ne pas être de retour avant le soir.
Je me préparai alors quelques tomates avec des carottes râpées, des morceaux de fromage de chèvre que j'avalai goulûment avec du pain. A midi, j'avais fini de manger et rassasiée, je préparais mes affaires. Dans un sac, je mis une bouteille d'eau fraîche, un livre intéressant, ma crème solaire, une brosse et ma serviette de bain. Je me déshabillai tout aussi rapidement dans la chambre pour enfiler mon maillot de bain deux pièces gris et rouge. Je laissais tomber ma petite robe à fines bretelles d'hier pour passer un short et un débardeur, plus appropriés aux passages dans les taillis.
Je gagnai le chemin avec empressement, mon sac en bandoulière et mes lunettes de soleil sur le nez. Aujourd'hui, pas de sieste à l'ombre sur mon lit mais un bain rafraîchissant !
Je retrouvais facilement le chemin puis après quelques franchissements longs et fastidieux, je me retrouvais au bord de l'eau. Je choisis un endroit sur un très grand rocher plat, entouré de galets et bordé de buissons épais.
L'eau transparente m'invitait généreusement. Je posai mon sac et étendis ma serviette Puis après avoir retiré mes sandales et mes lunettes de soleil, j'enlevai mon débardeur de coton et mon short. Cela faisait bizarre de se retrouver toute seule en maillot de bain dans la nature. J'avais plutôt l'habitude d'être en maillot à la piscine ou dans le jardin chez mes parents, quand je m'allongeais sur un transat pour me faire bronzer.
Je trempai un pied puis deux dans l'eau. C'était froid mais avec la chaleur excessive, le contraste était amplifié. Puis je descendis doucement en me mouillant le cou et les épaules. Je fus bientôt complètement dans l'eau claire et fis quelques brasses pour me retrouver au milieu du bassin formé par les rochers. Je ris assez fort, tellement joyeuse d'être là, ivre de bonheur. Je fis la planche, tournais, mis la tête sous l'eau.
Je sortis ensuite, pour retrouver la chaleur du soleil, en me tenant aux galets pour ne pas tomber. J'avais envie de crier ma joie et mon excitation. Je m'assis sur ma serviette pour encore contempler la piscine naturelle et le havre de paix. Le soleil commençait déjà à me chauffer le corps.
Moi qui étais assez pudique, je me décidai là de retirer le haut de mon maillot en scrutant aux alentours. Je ne suis pas une adepte des seins nus mais ici, la sérénité de la rivière et la nature magnifique me poussèrent à dégrafer mon soutien-gorge. Je le posai derrière moi, à côté du sac.
Je restai un moment comme cela, à regarder les éclats que formaient les rayons du soleil dans les feuilles des arbres et à la surface de l'eau, avec un sentiment partagé d'excitation, de joie et de peur d'être surprise. J'étais bientôt sèche quand me vint l'idée de retirer ma culotte, ce qui restait de mon maillot de bain. Je réfléchis à cette envie avec hésitation, ne sachant pas quoi penser. Quelqu'un pourrait me surprendre. Cette indécision était partagée avec la sensation de bien-être que j'éprouvais.
Je me levai pour regarder dans tous les recoins s'il n'y avait personne. Je fis quelques pas un peu nerveuse en scrutant de tous côtés puis je fis glisser lentement mon slip sur mes hanches puis mes jambes, pour finalement l'enlever complètement et me retrouver toute nue. Comme par réflexe et soudainement enivrée par cette nouvelle sensation de sentir l'air me caresser la peau, je m'avançai vers l'eau. Craintive et émoustillée par cette voluptueuse découverte, je rentrai dans la piscine naturelle sans hésiter. Et là, je ressentis une chose inouïe, un bonheur intense de pouvoir nager complètement nue en sentant l'eau courir sur mon dos, mes fesses, mes jambes, sur mon ventre. Je ris et m'éclaboussais, la peau en alerte à cette nouvelle caresse. Je restais longuement dans l'eau à nager, tourner, plonger et m'ébattre toute nue.
Puis je ressortis doucement et profitais toujours de cette nouvelle sensation, tout en gardant une légère crainte d'être surprise dans ma nudité. Je m'allongeais le dos sur ma serviette avec la chaleur qui m'entourait et le soleil qui commençait son doux frôlement. J'étais en extase, dans cet état de plénitude, seule au monde. Des gouttes perlaient sur ma peau éveillée de toutes parts et je me passais la main sur le ventre et les bras. Je rejoignis la base de mes seins en un frisson tendu, le souffle court, puis remontais à la pointe durcie, qui me laissa échapper un petit soupir. Mes orteils se tordaient de bonheur. Je pliai lentement une jambe et descendis une main sur ma toison encore humide. Je caressais tendrement mon entrejambe de deux doigts puis m'agitais un peu plus en me pinçant légèrement les seins. Mon index s'immisça entre mes poils frisés pour atteindre le haut de mes lèvres d'où perlait un suc tiède.
J'écartai un peu plus les jambes pour offrir à mon doigt la liberté de s'introduire en profondeur et remonter vers mon excroissance rubis. Je respirais fort. Je me détendis sur la serviette, cherchais dans mon sac et attrapai ma brosse à cheveux. Je frôlais le manche de ma bouche pour ensuite y promener ma langue. Bientôt, j'orientais le manche luisant contre mon bas-ventre pour l'introduire entre mes lèvres très humides. Je le poussais un peu plus au fond de moi en laissant échapper un gémissement. Je retirai le manche doucement pour l'enfoncer de nouveau et imprimer un va-et-vient insistant et langoureux. Je continuais à me titiller le clitoris et me tendis à chaque impulsion. J'étais prête à craquer et gémis assez fort avec un mouvement plus rapide du poignet. Le plaisir était irrésistible, indéfinissable.
Alors que le manche de ma brosse me transportait vers un abîme de jouissance, tendue au maximum et transpirante, je m'effleurais tout le corps. Je laissais échapper un petit cri soudain quand le plaisir me terrassa et m'irradia tous les sens d'une onde de choc violente.
Puis je me relâchai, respirant bruyamment et abandonnée.
Je restais quelques instants rêveuse, repensant à mon plaisir à l'instant assouvi.
A l'époque, je n'étais pas encore très experte en caresses et ma sexualité se bornait alors à des masturbations solitaires dans mon lit ou sous la douche. Je n'avais pas eu beaucoup de relations avec des garçons et la seule fois où j'avais pu aller un peu loin, ce fût quand mon dernier petit ami, me prenant la main, s'était caressé la verge. J'avais pu longuement lui donner du plaisir, ne lâchant pas ma paume, entourée sur son sexe dur jusqu'à ce qu'il éjacule sur son ventre.
En attendant avec impatience l'homme qui viendrait en moi, j'explorais les parties de mon anatomie avec délectation.
Ces caresses m'avaient donné très chaud et je me levai pour me diriger vers l'eau. je m'aspergeais tout le corps pour finalement plonger et nager comme tout à l'heure. Je ressentis encore la caresse sensuelle de l'eau et touchais les rochers. Je restais un moment immergée pour me rafraîchir pleinement quand soudain au loin, je vis deux personnes avancer vers le torrent.
Je fus saisie de panique et m'enfonça dans l'eau. Ils ne purent pas ne pas me voir sur le coup et continuaient, à une dizaine de mètres de moi, de marcher en équilibre sur les cailloux. C'était un couple avec un sac sur le dos qui se dirigeait vers une des vasques de la rivière formée par des gros rochers. Ils regardaient dans ma direction et virent mon sac, ma serviette et moi dans l'eau, qui ne dépassait que la tête.
Que faire ! moi qui étais si pudique, ils allaient m'accuser d'exhibitionnisme quand je sortirais de l'eau. Et mes affaires n'étaient pas toutes proches. Je réfléchis tout en les regardant. Ils s'arrêtèrent sur les galets, un peu plus loin. Ils se parlaient mais avec la distance, je ne saisissais pas toutes leurs paroles.
Comment allais-je sortir et enfiler mon maillot de bain ? J'aurais eu mieux fait d'attraper ma serviette pour m'enrouler dedans mais je ne pouvais pas le faire sans qu'ils me voient toute nue !
Je m'appuyais sur les rochers, désespérée et les regardais. Ils étendirent leurs serviettes sur des dalles de granit poli. L'homme enleva son T-shirt et ses chaussures pendant que la femme retira les siennes et sa jupe. Elle enleva ensuite sa chemisette et se retrouva avec son soutien-gorge blanc de dentelle. Elle l'ôta aussi et garda ce qui semblait être son maillot de bain de couleur vert pomme. Ils paraissaient assez jeunes. L'homme était bronzé, avec des cheveux courts et des muscles saillants. Ce qui lui faisait office de short devait être un caleçon de bain car il entrait maintenant dans l'eau. La femme, très belle, nouait ses grands cheveux bruns et le rejoignit en ne mettant pas de haut de maillot de bain. Ses seins étaient hâlés et fermes, bien hauts et assez ronds. Ils s'aspergèrent tous les deux en riant et chahutant.
Je ne me sentis plus très bien avec la fraîcheur de l'eau qui me gagnait et m'engourdissait.
Je devais trouver une solution pour sortir et ne pas choquer ou déconvenir ce couple qui n'avait pas choisi, comme moi, de se baigner dans le plus simple appareil.
- Oh et zut ! pensais-je. Ils savaient bien comment c'est fait une fille de 19 ans ! Et puis ils n'avaient qu'à pas venir ici.
Je choisis de sortir comme ça, en me tenant aux pierres, délicatement pour ne pas tomber, car j'aurais eu l'air encore plus ridicule.
Je respirai un grand coup et regagnais ma serviette courageusement, comme si de rien n'était, attrapai mon slip de bain et l'enfilais le plus rapidement possible. Bien sûr, je m'offrais en spectacle malgré moi et l'opération qui consiste à remettre sa culotte prit une éternité. Je m'empêtrais les pieds, faillis tomber, me déhanchais dans tous les sens pour finalement réussir à me rhabiller avec beaucoup de mal. Le couple m'avait regardé sous toutes les coutures et dût trouver la situation plutôt cocasse. Je m'allongeais ensuite sur le ventre en n'ayant remis que le bas, puisque des seins nus ne semblaient pas gêner les nouveaux arrivants. Rouge de honte, j'attendis et ne semblais pas avoir déclenché de cataclysme.
Ils étaient toujours dans l'eau à nager et s'ébrouer tout en s'embrassant parfois. Leurs rires ont eu raison de mon calme et de ma tranquillité de tout à l'heure. Je leur en voulais d'être venus et songeais à repartir. Mais je souhaitais profiter de mon après-midi comme bon il me semblait.
Je continuais à les observer du coin de l'oeil et ils ne semblaient rien manifester à mon précédent état de baigneuse nue et de mon attitude peu familière. La femme parla et l'homme lui répondit sans que je comprenne.
Elle, maintenant, s'était assise au bord et je ne la vis que de sa tête jusqu'au milieu de son dos luisant. Lui, devait être dans l'eau. Puis elle disparut à son tour et je la retrouvais en train de nager, la tête parfois dans l'eau, parfois en dehors. Elle rit ensuite beaucoup. Lui dût s'asseoir dans l'eau sur un rocher car je ne le vis même plus.
Puis elle fit quelques brasses, s'éclipsa derrière les galets qui me masquaient le bord. Elle s'appuya sur ses mains pour sortir, les cheveux et le corps ruisselants. Elle se redressa pour sortir et là, quelle ne fût pas ma surprise en découvrant qu'elle était nue ! Elle fit quelques pas vers sa serviette et s'y allongea sur le dos.
Je fus stupéfaite ! Et en même temps presque rassurée sur mon sort de tout à l'heure. Cette femme avait fait comme moi. Elle devait se sentir peut-être à l'aise sachant qu'elle ne me gênerait pas. Ou alors, c'est en me voyant qu'elle en eut l'idée ! Maintenant, ma peur s'était estompée et mes sens s'étaient remis en éveil.
Je regardais en direction du couple et de la femme qui s'était allongée sur le dos. Elle se redressa sur les coudes et parla à son compagnon. J'admirais son corps, très beau, avec une sensation particulière. J'éprouvais non seulement un extrême bien-être de me trouver torse nu en pleine nature mais aussi un grand plaisir de voir cette femme qui avait une réaction similaire à la mienne.
L'homme n'était pas réapparu et je vis la jeune femme se lever, marquer un léger temps d'arrêt en regardant dans ma direction et rentrer dans l'eau. Là, il y eu des rires et des éclaboussements. Je les voyais, de temps en temps, tous les deux, nager ou s'ébattre joyeusement, avec la femme qui provoquait son compagnon ou qui le poussait dans l'eau.
Peu de temps après, la jeune femme nue retourna s'allonger sur sa serviette avec son maillot de bain à la main.
Je vis ensuite l'homme se rapprocher du bord et parler à la femme. Il sortit de l'eau. Je fus surprise de nouveau (peut-être qu'à moitié) car il se trouvait nu lui aussi et se dirigeait vers sa serviette. Il paraissait plus gêné que sa compagne, avec une chose qui me frappa : il avait une légère érection bien visible et semblait confus de cet état. La femme rit assez fort quand ils se retrouvèrent côte à côte, tout en regardant parfois dans ma direction.
Je me sentais tout excitée à la vue de ce couple nu, assez près de moi, qui avait franchi le cap de se déshabiller malgré ma présence et profiter de se baigner et s'allonger au soleil dans le plus simple appareil.
La femme embrassa son compagnon et ils se chamaillèrent encore un peu, je supposais à cause du fait que j'étais là à les regarder.
Puis une nouvelle chose me surprit encore. Le couple se parlait à voix basse et je distinguais très nettement que la femme prodiguait quelques caresses à son ami qui paraissait tout excité d'être ainsi dans la nature. Son sexe turgescent pointait vers le haut.
La jeune femme en profitait d'ailleurs pour en rajouter, ce qui gênait encore plus l'homme. Il semblait la repousser quelques fois, sûrement car je me trouvais la spectatrice de leurs ébats. La gêne commençait à tomber et voyant que je ne manifestais aucune animosité, la femme continua ses effleurements et s'orienta vers la verge de son ami.
Elle décalotta le gland rouge et tendu et fit des va-et vient.
Moi, je commençais à profiter du spectacle avec un certain plaisir, en me tortillant sur ma serviette. Je ne pouvais échapper à leur petit manège et ils en étaient tout à fait conscients.
L'homme semblait tendu et répondait bien aux caresses par des halètements. La femme poursuivit sa masturbation et je vis très nettement l'homme se contracter au bout d'un moment et éjaculer dans un souffle court. Je fus tout étourdie par cette situation.
A suivre...
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J'étais cette année encore en vacances avec mes parents et ma petite soeur, après avoir terminé ma dernière classe de lycée, avant de me retrouver en faculté en octobre.
C'était la première fois que nous allions en Ardèche et le cadre me plaisait beaucoup. Malgré la chaleur assez forte les après-midi, le climat était radieux tous les jours avec quelques rares orages le soir ou la nuit. Nous avions fait des excursions sur les montagnes et des sorties en vélo. Ma petite soeur de 8 ans prenait toute l'attention de mes parents et je les laissais souvent aller ensemble visiter un village pittoresque ou passer la journée à la piscine. Moi, j'en profitais pour me reposer en me levant tard le matin ou en faisant des siestes l'après-midi.
J'avais une chambre pour moi toute seule, calme, assez fraîche, avec une fenêtre qui donnait sur la garrigue à l'arrière de la maison.
J'appréciais beaucoup, après avoir déjeuné quelques crudités et des fruits, m'allonger et écouter les cigales dans un transat à l'ombre ou dans ma chambre à travers les volets clos.
Je travaillais un peu mes cours, écrivais, dessinais, en prenant mon temps, en savourant cette première indépendance.
Un après-midi, alors que mes parents et ma soeur étaient partis après le repas, je paressais, suite à une courte sieste. Je choisis ensuite de sortir faire une petite promenade. Il n'était pas encore 15 h. et j'écoutais les cigales innombrables et les oiseaux virevoltants. Je bus un coup d'eau fraîche et fermai la maison, isolée par des arbustes, des buissons, des oliviers et des figuiers. Je me dirigeai vers le petit chemin qui prenait à droite de la route étroite et défoncée. Il faisait chaud et la transpiration commença à perler sur mon front et couler derrière mes lunettes de soleil. Je marchais sur le sentier qui montait doucement vers une forêt plus dense et redescendait vers un petit vallon sec. L'odeur de l'herbe grillée et des essences d'arbres me plut beaucoup, je me sentais heureuse dans cette nature, même si la chaleur était assez suffocante. Je longeais des bouleaux dépouillés et des lentisques verdoyants. Les cigales chantaient toujours très forts et bientôt un bruit d'eau vint percer le silence de ma promenade.
En contrebas, un torrent s'écoulait entre les rochers et des galets. Je quittai le sentier pour traverser l'herbe assez haute et gagner le bord de la petite rivière limpide. L'eau était d'une transparence incroyable, éclaboussant des pierres roses ou blanches en gerbes rafraîchissantes et plongeait dans des vasques calmes et paisibles.
Cet endroit me ravit soudain, sentant une plénitude rassurante. L'envie me prit de remonter le cours pour explorer d'autres recoins et découvrir encore plus d'enchantement, avec une sorte de peur stimulante.
Il n'y avait pas de passage le long du ruisseau et je ne voulais pas m'aventurer dans des éboulis ou des pierres avec mes petites sandales de cuir. Même bien chaussée, je ne me sentais pas capable de tenter une telle expédition. Je retournai donc vers le sentier et remontais un peu pour m'engager dans les buissons, à travers les arbres.
Après avoir gravi quelques centaines de mètres, je pus trouver un passage qui descendait rapidement au bord de l'eau. Mes vêtements n'étaient pas appropriés à cette excursion : je pris mes précautions mais ma petite robe légère était la proie des ronces et des branches.
Une fois au bord du ruisseau, je découvris un endroit encore plus ravissant que le précédent. Le torrent serpentait entre des gros rochers et s'arrêtait parfois dans des grandes vasques naturelles où l'eau prenait une couleur cristalline. La première idée qui me vint fut l'envie de m'y baigner. Un bassin se calait entre des rochers aux formes variées, près des berges en galets clairs. Puis il y avait d'autres vasques en contrebas, avec des dalles très plates, de la place pour barboter, voire pour faire quelques brasses. Et là, il était plus aisé de sauter de pierres en pierres pour s'aventurer dans la petite rivière. Je marchais un peu, en gardant mon équilibre puis m'assis au bord de l'eau, calme à cet endroit. C'était merveilleux.
Je jetais des galets polis et restais pensive. J'aurais bien aimé me baigner mais je n'avais rien apporté avec moi. C'était sûr, il fallait que je revienne passer une après-midi ici, au calme. La nature était intacte, sans signe de pollution ni d'âme qui vive. Je restais longuement assise ainsi. J'avais retiré mes sandales et je trempais mes pieds dans l'eau. Je m'attendais à une température plus froide et mon envie de me baigner était réconfortée. J'aimais cette solitude dans ce lieu où il était sûr que personne ne pouvait s'y aventurer.
Je remis finalement mes sandales et après avoir profité du soleil qui commençait à brûler, je regagnais les bosquets de genévriers et de chênes verts, en remontant le cours d'eau par où j'étais descendue.
Sur le chemin du retour, je songeais à ma journée du lendemain au bord du torrent rafraîchissant et fus très contente de ma découverte.
A la maison, personne n'était encore rentré en cette fin d'après-midi et j'en profitais pour prendre une douche bienfaisante. A peine sous l'eau, j'entendis la voiture de mes parents rentrer et bientôt leurs voix peuplaient la cuisine.
La soirée se déroula joyeusement avec les faits et gestes de chacun racontés avec détails. Je me gardais bien de révéler ma découverte et expliquai simplement ma promenade dans la garrigue.
Le lendemain, je trépignais à l'idée d'aller passer l'après-midi à la rivière. Mes parents partirent en fin de matinée pour un circuit en voiture dans la région et j'insistai pour ne pas les accompagner. Ils prévoyaient de ne pas être de retour avant le soir.
Je me préparai alors quelques tomates avec des carottes râpées, des morceaux de fromage de chèvre que j'avalai goulûment avec du pain. A midi, j'avais fini de manger et rassasiée, je préparais mes affaires. Dans un sac, je mis une bouteille d'eau fraîche, un livre intéressant, ma crème solaire, une brosse et ma serviette de bain. Je me déshabillai tout aussi rapidement dans la chambre pour enfiler mon maillot de bain deux pièces gris et rouge. Je laissais tomber ma petite robe à fines bretelles d'hier pour passer un short et un débardeur, plus appropriés aux passages dans les taillis.
Je gagnai le chemin avec empressement, mon sac en bandoulière et mes lunettes de soleil sur le nez. Aujourd'hui, pas de sieste à l'ombre sur mon lit mais un bain rafraîchissant !
Je retrouvais facilement le chemin puis après quelques franchissements longs et fastidieux, je me retrouvais au bord de l'eau. Je choisis un endroit sur un très grand rocher plat, entouré de galets et bordé de buissons épais.
L'eau transparente m'invitait généreusement. Je posai mon sac et étendis ma serviette Puis après avoir retiré mes sandales et mes lunettes de soleil, j'enlevai mon débardeur de coton et mon short. Cela faisait bizarre de se retrouver toute seule en maillot de bain dans la nature. J'avais plutôt l'habitude d'être en maillot à la piscine ou dans le jardin chez mes parents, quand je m'allongeais sur un transat pour me faire bronzer.
Je trempai un pied puis deux dans l'eau. C'était froid mais avec la chaleur excessive, le contraste était amplifié. Puis je descendis doucement en me mouillant le cou et les épaules. Je fus bientôt complètement dans l'eau claire et fis quelques brasses pour me retrouver au milieu du bassin formé par les rochers. Je ris assez fort, tellement joyeuse d'être là, ivre de bonheur. Je fis la planche, tournais, mis la tête sous l'eau.
Je sortis ensuite, pour retrouver la chaleur du soleil, en me tenant aux galets pour ne pas tomber. J'avais envie de crier ma joie et mon excitation. Je m'assis sur ma serviette pour encore contempler la piscine naturelle et le havre de paix. Le soleil commençait déjà à me chauffer le corps.
Moi qui étais assez pudique, je me décidai là de retirer le haut de mon maillot en scrutant aux alentours. Je ne suis pas une adepte des seins nus mais ici, la sérénité de la rivière et la nature magnifique me poussèrent à dégrafer mon soutien-gorge. Je le posai derrière moi, à côté du sac.
Je restai un moment comme cela, à regarder les éclats que formaient les rayons du soleil dans les feuilles des arbres et à la surface de l'eau, avec un sentiment partagé d'excitation, de joie et de peur d'être surprise. J'étais bientôt sèche quand me vint l'idée de retirer ma culotte, ce qui restait de mon maillot de bain. Je réfléchis à cette envie avec hésitation, ne sachant pas quoi penser. Quelqu'un pourrait me surprendre. Cette indécision était partagée avec la sensation de bien-être que j'éprouvais.
Je me levai pour regarder dans tous les recoins s'il n'y avait personne. Je fis quelques pas un peu nerveuse en scrutant de tous côtés puis je fis glisser lentement mon slip sur mes hanches puis mes jambes, pour finalement l'enlever complètement et me retrouver toute nue. Comme par réflexe et soudainement enivrée par cette nouvelle sensation de sentir l'air me caresser la peau, je m'avançai vers l'eau. Craintive et émoustillée par cette voluptueuse découverte, je rentrai dans la piscine naturelle sans hésiter. Et là, je ressentis une chose inouïe, un bonheur intense de pouvoir nager complètement nue en sentant l'eau courir sur mon dos, mes fesses, mes jambes, sur mon ventre. Je ris et m'éclaboussais, la peau en alerte à cette nouvelle caresse. Je restais longuement dans l'eau à nager, tourner, plonger et m'ébattre toute nue.
Puis je ressortis doucement et profitais toujours de cette nouvelle sensation, tout en gardant une légère crainte d'être surprise dans ma nudité. Je m'allongeais le dos sur ma serviette avec la chaleur qui m'entourait et le soleil qui commençait son doux frôlement. J'étais en extase, dans cet état de plénitude, seule au monde. Des gouttes perlaient sur ma peau éveillée de toutes parts et je me passais la main sur le ventre et les bras. Je rejoignis la base de mes seins en un frisson tendu, le souffle court, puis remontais à la pointe durcie, qui me laissa échapper un petit soupir. Mes orteils se tordaient de bonheur. Je pliai lentement une jambe et descendis une main sur ma toison encore humide. Je caressais tendrement mon entrejambe de deux doigts puis m'agitais un peu plus en me pinçant légèrement les seins. Mon index s'immisça entre mes poils frisés pour atteindre le haut de mes lèvres d'où perlait un suc tiède.
J'écartai un peu plus les jambes pour offrir à mon doigt la liberté de s'introduire en profondeur et remonter vers mon excroissance rubis. Je respirais fort. Je me détendis sur la serviette, cherchais dans mon sac et attrapai ma brosse à cheveux. Je frôlais le manche de ma bouche pour ensuite y promener ma langue. Bientôt, j'orientais le manche luisant contre mon bas-ventre pour l'introduire entre mes lèvres très humides. Je le poussais un peu plus au fond de moi en laissant échapper un gémissement. Je retirai le manche doucement pour l'enfoncer de nouveau et imprimer un va-et-vient insistant et langoureux. Je continuais à me titiller le clitoris et me tendis à chaque impulsion. J'étais prête à craquer et gémis assez fort avec un mouvement plus rapide du poignet. Le plaisir était irrésistible, indéfinissable.
Alors que le manche de ma brosse me transportait vers un abîme de jouissance, tendue au maximum et transpirante, je m'effleurais tout le corps. Je laissais échapper un petit cri soudain quand le plaisir me terrassa et m'irradia tous les sens d'une onde de choc violente.
Puis je me relâchai, respirant bruyamment et abandonnée.
Je restais quelques instants rêveuse, repensant à mon plaisir à l'instant assouvi.
A l'époque, je n'étais pas encore très experte en caresses et ma sexualité se bornait alors à des masturbations solitaires dans mon lit ou sous la douche. Je n'avais pas eu beaucoup de relations avec des garçons et la seule fois où j'avais pu aller un peu loin, ce fût quand mon dernier petit ami, me prenant la main, s'était caressé la verge. J'avais pu longuement lui donner du plaisir, ne lâchant pas ma paume, entourée sur son sexe dur jusqu'à ce qu'il éjacule sur son ventre.
En attendant avec impatience l'homme qui viendrait en moi, j'explorais les parties de mon anatomie avec délectation.
Ces caresses m'avaient donné très chaud et je me levai pour me diriger vers l'eau. je m'aspergeais tout le corps pour finalement plonger et nager comme tout à l'heure. Je ressentis encore la caresse sensuelle de l'eau et touchais les rochers. Je restais un moment immergée pour me rafraîchir pleinement quand soudain au loin, je vis deux personnes avancer vers le torrent.
Je fus saisie de panique et m'enfonça dans l'eau. Ils ne purent pas ne pas me voir sur le coup et continuaient, à une dizaine de mètres de moi, de marcher en équilibre sur les cailloux. C'était un couple avec un sac sur le dos qui se dirigeait vers une des vasques de la rivière formée par des gros rochers. Ils regardaient dans ma direction et virent mon sac, ma serviette et moi dans l'eau, qui ne dépassait que la tête.
Que faire ! moi qui étais si pudique, ils allaient m'accuser d'exhibitionnisme quand je sortirais de l'eau. Et mes affaires n'étaient pas toutes proches. Je réfléchis tout en les regardant. Ils s'arrêtèrent sur les galets, un peu plus loin. Ils se parlaient mais avec la distance, je ne saisissais pas toutes leurs paroles.
Comment allais-je sortir et enfiler mon maillot de bain ? J'aurais eu mieux fait d'attraper ma serviette pour m'enrouler dedans mais je ne pouvais pas le faire sans qu'ils me voient toute nue !
Je m'appuyais sur les rochers, désespérée et les regardais. Ils étendirent leurs serviettes sur des dalles de granit poli. L'homme enleva son T-shirt et ses chaussures pendant que la femme retira les siennes et sa jupe. Elle enleva ensuite sa chemisette et se retrouva avec son soutien-gorge blanc de dentelle. Elle l'ôta aussi et garda ce qui semblait être son maillot de bain de couleur vert pomme. Ils paraissaient assez jeunes. L'homme était bronzé, avec des cheveux courts et des muscles saillants. Ce qui lui faisait office de short devait être un caleçon de bain car il entrait maintenant dans l'eau. La femme, très belle, nouait ses grands cheveux bruns et le rejoignit en ne mettant pas de haut de maillot de bain. Ses seins étaient hâlés et fermes, bien hauts et assez ronds. Ils s'aspergèrent tous les deux en riant et chahutant.
Je ne me sentis plus très bien avec la fraîcheur de l'eau qui me gagnait et m'engourdissait.
Je devais trouver une solution pour sortir et ne pas choquer ou déconvenir ce couple qui n'avait pas choisi, comme moi, de se baigner dans le plus simple appareil.
- Oh et zut ! pensais-je. Ils savaient bien comment c'est fait une fille de 19 ans ! Et puis ils n'avaient qu'à pas venir ici.
Je choisis de sortir comme ça, en me tenant aux pierres, délicatement pour ne pas tomber, car j'aurais eu l'air encore plus ridicule.
Je respirai un grand coup et regagnais ma serviette courageusement, comme si de rien n'était, attrapai mon slip de bain et l'enfilais le plus rapidement possible. Bien sûr, je m'offrais en spectacle malgré moi et l'opération qui consiste à remettre sa culotte prit une éternité. Je m'empêtrais les pieds, faillis tomber, me déhanchais dans tous les sens pour finalement réussir à me rhabiller avec beaucoup de mal. Le couple m'avait regardé sous toutes les coutures et dût trouver la situation plutôt cocasse. Je m'allongeais ensuite sur le ventre en n'ayant remis que le bas, puisque des seins nus ne semblaient pas gêner les nouveaux arrivants. Rouge de honte, j'attendis et ne semblais pas avoir déclenché de cataclysme.
Ils étaient toujours dans l'eau à nager et s'ébrouer tout en s'embrassant parfois. Leurs rires ont eu raison de mon calme et de ma tranquillité de tout à l'heure. Je leur en voulais d'être venus et songeais à repartir. Mais je souhaitais profiter de mon après-midi comme bon il me semblait.
Je continuais à les observer du coin de l'oeil et ils ne semblaient rien manifester à mon précédent état de baigneuse nue et de mon attitude peu familière. La femme parla et l'homme lui répondit sans que je comprenne.
Elle, maintenant, s'était assise au bord et je ne la vis que de sa tête jusqu'au milieu de son dos luisant. Lui, devait être dans l'eau. Puis elle disparut à son tour et je la retrouvais en train de nager, la tête parfois dans l'eau, parfois en dehors. Elle rit ensuite beaucoup. Lui dût s'asseoir dans l'eau sur un rocher car je ne le vis même plus.
Puis elle fit quelques brasses, s'éclipsa derrière les galets qui me masquaient le bord. Elle s'appuya sur ses mains pour sortir, les cheveux et le corps ruisselants. Elle se redressa pour sortir et là, quelle ne fût pas ma surprise en découvrant qu'elle était nue ! Elle fit quelques pas vers sa serviette et s'y allongea sur le dos.
Je fus stupéfaite ! Et en même temps presque rassurée sur mon sort de tout à l'heure. Cette femme avait fait comme moi. Elle devait se sentir peut-être à l'aise sachant qu'elle ne me gênerait pas. Ou alors, c'est en me voyant qu'elle en eut l'idée ! Maintenant, ma peur s'était estompée et mes sens s'étaient remis en éveil.
Je regardais en direction du couple et de la femme qui s'était allongée sur le dos. Elle se redressa sur les coudes et parla à son compagnon. J'admirais son corps, très beau, avec une sensation particulière. J'éprouvais non seulement un extrême bien-être de me trouver torse nu en pleine nature mais aussi un grand plaisir de voir cette femme qui avait une réaction similaire à la mienne.
L'homme n'était pas réapparu et je vis la jeune femme se lever, marquer un léger temps d'arrêt en regardant dans ma direction et rentrer dans l'eau. Là, il y eu des rires et des éclaboussements. Je les voyais, de temps en temps, tous les deux, nager ou s'ébattre joyeusement, avec la femme qui provoquait son compagnon ou qui le poussait dans l'eau.
Peu de temps après, la jeune femme nue retourna s'allonger sur sa serviette avec son maillot de bain à la main.
Je vis ensuite l'homme se rapprocher du bord et parler à la femme. Il sortit de l'eau. Je fus surprise de nouveau (peut-être qu'à moitié) car il se trouvait nu lui aussi et se dirigeait vers sa serviette. Il paraissait plus gêné que sa compagne, avec une chose qui me frappa : il avait une légère érection bien visible et semblait confus de cet état. La femme rit assez fort quand ils se retrouvèrent côte à côte, tout en regardant parfois dans ma direction.
Je me sentais tout excitée à la vue de ce couple nu, assez près de moi, qui avait franchi le cap de se déshabiller malgré ma présence et profiter de se baigner et s'allonger au soleil dans le plus simple appareil.
La femme embrassa son compagnon et ils se chamaillèrent encore un peu, je supposais à cause du fait que j'étais là à les regarder.
Puis une nouvelle chose me surprit encore. Le couple se parlait à voix basse et je distinguais très nettement que la femme prodiguait quelques caresses à son ami qui paraissait tout excité d'être ainsi dans la nature. Son sexe turgescent pointait vers le haut.
La jeune femme en profitait d'ailleurs pour en rajouter, ce qui gênait encore plus l'homme. Il semblait la repousser quelques fois, sûrement car je me trouvais la spectatrice de leurs ébats. La gêne commençait à tomber et voyant que je ne manifestais aucune animosité, la femme continua ses effleurements et s'orienta vers la verge de son ami.
Elle décalotta le gland rouge et tendu et fit des va-et vient.
Moi, je commençais à profiter du spectacle avec un certain plaisir, en me tortillant sur ma serviette. Je ne pouvais échapper à leur petit manège et ils en étaient tout à fait conscients.
L'homme semblait tendu et répondait bien aux caresses par des halètements. La femme poursuivit sa masturbation et je vis très nettement l'homme se contracter au bout d'un moment et éjaculer dans un souffle court. Je fus tout étourdie par cette situation.
A suivre...
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