Prendre ma fiancée
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 220 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Tamalou ont reçu un total de 2 646 551 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 13 830 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Prendre ma fiancée
Laure et moi étions fiancés depuis bientôt deux ans lorsque c’est arrivé. Nous étions allés à cette fête dans le bloc H, avec nos copains. Nous étions en troisième année à l'université, et tous les vendredi soir, un bâtiment organisait une soirée pour les étudiants présents. Avec de la bière, des sandwichs et des joints. Laure était assez prudente et ne buvait qu’une bière, sans jamais toucher aux autres friandises insolites.
Au milieu de la nuit, j'avais consommé beaucoup de joints et de bière. Laure voulait une bière fraîche, je me suis levé, péniblement, pour aller en prendre une. Mon ami Régis m’a dit "en voilà une" et m'a tendu une bouteille fraîche. J’allais l'attraper, quand Régis retira sa main, me fit un clin d'œil, avant de me passer la bouteille. Je n'avais aucune idée de ce que signifiait le clin d'œil de Régis, mais il était aussi mûr que moi, alors je n’y ai pas prêté attention, et j’ai passé la bouteille à Laure.
Alors que nous buvions nos bières, Cathy s'est approchée de moi et m'a dit « Salut beau gosse » Cathy est blonde, elle a les yeux bleus, et elle est très jolie. J’avais essayé de sortir avec elle, au début, mais elle m’avait ignoré. C’était avant que je sorte avec Laure. Mais Laure savait que j’avais eu le béguin pour Cathy, et elle ne l’aimait pas.
Cathy s'est faufilée entre Laure et moi, pour se blottir contre moi. Étrange, j’ai pensé qu’elle était cuite, elle aussi. Cathy avait accompagné Régis à la fête, ils n’étaient pas avec leurs chéris habituels, et j’ai pensé qu’elle avait abusé de la fumette et de la boisson. Tandis que Cathy se blottissait contre moi en jouant les amoureuses, Laure exprimait clairement son mécontentement. Laure a essayé de repousser Cathy, mais sans y parvenir. Moi, ça m’amusait de faire enrager Laure. Vexée, Laure m’a tourné le dos et s’est éloignée. Presque aussitôt, Cathy s’est éloignée.
Ensuite, Régis est venu me dire que nous n'avions presque plus de bière, et que nous devrions aller au ravitaillement. J'ai dit oui, sans penser que je venais de mettre deux packs entiers au réfrigérateur. J'ai dit à Laure que je m’absentais, et je me suis dirigé vers la voiture. Arrivé à la voiture, Régis était introuvable, et c’était Cathy qui m’attendait avec les clés de la voiture. Nous sommes partis chercher de la bière.
Cathy s’est trompée de route plusieurs fois, on était même un peu perdus, elle a mis une éternité à retrouver son portefeuille au magasin, et nous sommes revenus à la fête plus d’une heure après. Régis s’est précipité vers moi d’un air inquiet. Il m'a dit que pendant mon absence, Laure était devenue bizarre. Qu'elle avait commencé à flirter avec Alain. Laure a toujours eu le béguin pour Alain. C’est un antillais, un grand noir qui danse merveilleusement bien. Les filles se l’arrachent, ce qui l’arrange, parce que c’est un "sérial niqueur".
Régis a posé sa main sur mon épaule et m'a dit de le suivre. Régis m’a entraîné dans un long couloir sombre que je ne connaissais pas. Au fond, une porte. Régis m’a chuchoté « regarde ça » avant d’ouvrir la porte. Une grande pièce, avec, au centre, un grand lit plate-forme. Au plafond, un projecteur éclairait le lit comme une scène de théâtre. Devant le lit, une caméra vidéo, posée sur un trépied, filmait la scène. Il y avait plusieurs gars à côté du lit, et je ne voyais pas exactement ce qui se passait.
J’ai fait deux pas avant de voir clairement Laure dans les bras d’Alain. Elle était allongée sur le dos, les jambes écartées, avec Alain à demi-allongé sur elle. Alain ondulait des hanches contre Laure, en broyant son pubis contre son bas-ventre. Laure avait ses bras enroulés autour du cou d'Alain, elle caressait sa nuque en l’embrassant à pleine bouche. Alain retirait sa tête et clairement, c’était Laure qui s’agrippait à lui pour l’embrasser. Lui se contentait de frotter son bassin contre elle.
J'étais détruit ! J'ai réalisé que Régis avait tout combiné, le brusque intérêt de Cathy pour moi, la bière de Laure qui était probablement trafiquée, mon départ précipité avec Cathy qui avait dû rendre Laure folle de rage. J’étais tombé dans son piège comme un idiot.
Laure gémissait, la bouche collée à celle d’Alain, les yeux fermés. Son pantalon était descendu jusqu'aux genoux, et son chandail était troussé jusqu’à ses seins. Les mains d’Alain étaient sous le chandail. Laure embrassait Alain avec voracité, et je me suis surpris à penser qu’elle ne m’avait jamais embrassé ainsi. La main d'Alain a émergé de sous le pull de Laure, entraînant son soutien-gorge. Jetant le soutien-gorge au sol, il remonta son pull sur sa poitrine. La bouche d’Alain descendit sur la poitrine de Laure, pour sucer ses mamelons et mordiller ses tétons. Laure arqua le dos en poussant son sein contre la bouche d'Alain. Alain a continuer de descendre le long du corps de Laure, déposant des baisers mouillés sur son torse, puis sur son ventre, en s’attardant sur son nombril.
Laure s'agitait, se cambrait en roulant des hanches et en gémissant, folle de désir. Elle a saisi ses seins et les a pressé, pendant qu’Alain continuait sa lente progression vers le bas. La tête de Laure roulait en tous sens, les yeux révulsés, elle pantelait, en proie à un délire charnel. J’ai remarqué que ses mamelons portaient la trace de la dentition d’Alain.
J'étais anéanti ... Ma fiancée, celle que je voulais pour femme, se livrant sans pudeur à un de mes amis, devant des mecs qui se tripotaient en attendant leur tour. Je connaissais la plupart de ces mecs depuis des années, et ils organisaient une tournante autour de ma femme, dans mon dos.
Tandis que Laure se tortillait pour baisser son pantalon et sa culotte, j'ai été choqué de voir sa cyprine suinter de sa chatte trempée. Alain l’avait fait jouir sans la pénétrer, alors que moi j’avais besoin de longues minutes de travail avant d’obtenir un gémissement de sa part.
Alain a cessé de cajoler Laure et s'est levé. Il passa son pull par-dessus sa tête pendant qu'elle s'asseyait sur le lit. Il ôta ses chaussures, Laure le regardait amoureusement. Ses yeux contemplaient la stature musclée du jeune métis pendant qu’il achevait son strip-tease par son pantalon et son slip. Alain avait une trace humide et légèrement plus sombre dans le cou, là où Laure avait posé sa bouche, pour étouffer ses cris de luxure, lorsque le garçon l’avait caressée.
Tout en regardant Laure, il glissa ses mains sous l’élastique de son slip. Surgissant à la vue de tous, tel un diable jaillissant de sa boîte, la bite la plus longue et la plus charnue que je n’ai jamais vue. Alain était monté comme un bourricot. J'étais tétanisé, et j’entendais les exclamations de Régis et de Cathy derrière moi. Je ne comprenais pas pourquoi Laure n’était pas effrayée par l’énormité et la noirceur de son sexe. Laure regardait le sexe d'Alain avec fascination. Cathy m’a glissé dans l’oreille : « Regarde ... S’il la baise avec ça, elle ne voudra plus jamais de ta petite bite d’enfant, mon chou ! »
La pensée que ma fiancée ne pourrait plus jamais se satisfaire de moi, sexuellement, après avoir été baisée par ce jeune antillais monté comme un âne, m’a gelé l’estomac. Je ne savais pas quoi faire pour arrêter ça. Alain a rampé entre les jambes écartées de Laure, l’a attrapée par les chevilles, et il a relevé et replié ses jambes jusqu’à ce que ses genoux soient à côté de ses seins. Alain a posé sa bouche sur la chatte exposée de Laure.
Alain l’a broutée très fort en la stimulant avec des grognements égrillards. Ma douce fiancée est devenue comme possédée, oscillant des hanches en s’offrant à sa bouche. Je ne savais pas qu’elle pouvait se comporter ainsi. J’avais honte pour elle, de s’exposer sans pudeur en public, devant mes amis. Je me sentais très mal. Ce gars faisait faire à ma copine des trucs que je pensais impossible.
J'étais jaloux d’Alain, de ce qu’elle acceptait de lui, mais aussi de sa technique. Vraiment, il se donnait à fond, et il la comblait. J’étais très triste, car je ne me sentais pas capable de lutter et de soutenir la comparaison. Mais j’étais excité par ce que je voyais, je n’avais jamais envisagé qu’une fille puisse se comporter ainsi, s’offrir entièrement et docilement aux caresses d’un garçon. L’atmosphère commençait à s’emplir des odeurs musquées des sécrétions vaginales de Laure.
Cathy s’est penchée sur moi pour glisser sa main dans mon entrejambe : « Mais tu bandes, mon salaud ! Ta nana se fait troncher devant toi, et toi tu restes là comme un con, à bander comme un malade ! T’es qu’une petite fiotte, et tu as ce que tu mérites ! »
Alain s’est redressé brusquement pour apostropher Laure : « T’es prête ? » Elle n'a pas répondu. Il a insisté : « Si tu veux que je te baise, il faut le demander maintenant ! » Laure n’a pas hésité longtemps, et elle a donné son accord de sa douce voix feutrée. « Supplie-moi ! » Elle l’a supplié, sans fierté.
J’étais dévasté. Elle le voulait. Ma théorie s’effondrait. Elle n’était ni droguée, ni forcée. Elle n’était pas tombée dans un traquenard. Elle voulait la bite de ce mec en elle, et peut importe les conséquences. Mon cœur se brisait. Elle le voulait, je ne pouvais plus le nier, et donc elle ne voulait plus de moi. Alain ne l’a pas fait attendre plus longtemps. Il s’est placé sur elle, son immense stature recouvrant entièrement la frêle silhouette de Laure, et il a présenté son immense pieu de chair noire à l’entrée de la grotte blonde de ma fiancée. Quelques mouvements du bassin pour s’ajuster, et il s’est enfoncé en elle.
J’étais anéanti. Elle a relevé un peu plus ses jambes pour entourer le bassin du gars qui l’embrochait. Avec ses bras, elle s’est cramponnée à ses larges épaules. Son visage ne marquait aucune souffrance, juste une immense joie lorsqu’elle s’est exclamée : « Oui ! Oh, oui ! » D’où j’étais placé, je pouvais voir sa petite chatte s’étirer pour accueillir l’immense pieu. J’ai vu ses yeux se révulser de bonheur, j’ai entendu ses plaintes lorsqu’elle lui a demandé de la baiser avec plus de vigueur. La tête me tournait, j’ai pensé mourir.
La grosse grosse bite d’Alain la fouillait, ravageait sa petite chatte, en domptant ma bien-aimée. Laure brûlait d’un désir bestial, bouche grande ouverte d’où s’échappaient des cris, des gémissements et des plaintes. Elle psalmodiait la mélopée charnelle que chante les femmes englouties dans la ferveur amoureuse. Je pouvais voir l’entrée de sa chatte déformée, étirée, creusée par la virilité du monstre qui la dévastait. Mais sa chatte ne restait pas passive, inactive. Ses lèvres suçaient, aspiraient, tétaient la bite sombre qui coulissait entre elles, envahies par un désir sexuel brutal. Je ne reconnaissais pas en cette créature dévergondée, la douce jeune fille que j’avais désiré épouser.
Laure glapissait, de petits cris brefs qui scandaient le rythme des puissants coups de reins qui plantaient le long gourdin au fond de sa féminité. Sa tête roulait en tous sens, ses yeux se révulsaient, elle était en transe, elle perdait la conscience en atteignant le paradis de la passion. Laure s'accrochait aux épaules d'Alain pour ne pas partir à la dérive, pendant qu’il heurtait son petit corps de toutes ses forces. À chaque poussée puissante, les chairs claquaient bruyamment. Clouée sur le lit comme un insecte pris au piège, écartelée par le format de la bite qui la possédait, elle semblait défaillir devant la force brutale du mâle dominant.
Je ne savais plus plus si je devais l’admirer, l’envier, ou la plaindre et la secourir. Son visage exprimait autant la passion que la douleur. Laure s’enfonçait dans le stupre et la fornication en s’éloignant de plus en plus de moi. Hier encore, elle me disait son amour, me jurait fidélité, voulait m’épouser. Maintenant, elle me rejetait, me balançait à la poubelle comme un vieux chiffon sale. Sa féminité révélée, elle s’offrait à corps perdu à la fornication volcanique de son amant noir.
Il était évident que les capacités sexuelles d’Alain étaient hors normes. Tout près de moi, la respiration sifflante de Cathy trahissait son émoi. Et sa stupéfaction. Et confirmait mon sentiment. Une nana comme elle, tout le contraire d’une pucelle, et qui s’étonnait du traitement que subissait Laure ? Ou alors, elle l’enviait ? L’évidence, c’était qu’Alain baisait Laure tellement rudement, qu’il lui retournait le cerveau.
« Quel beau couple ! » s’exclama Cathy près de moi. « Tu ne trouves pas ? »
Un moment de silence, troublé par les cris d’extase de Laure, et puis Cathy a repris son travail de démolition : « Il va la foutre en cloque ! Tu sais si elle est fertile ? Moi, je pense qu’il va mettre un bébé dans son ventre, à ta chérie ! Sois heureux, tu vas avoir un fils ! Il va falloir que tu l’élèves, parce qu’il faut pas compter sur Alain pour payer les couches. Il baise les pétasses, et après, le cocu se démerde ! Et ta famille, ils vont être secoués d’apprendre que l’héritier est un petit mulâtre ! »
Je me sentais comme de la merde. Mon cœur se brisait en regardant ma petite amie se faire baiser par un autre, mais le plus cruel, c’était de voir le plaisir qu’elle y prenait. Laure aimait chaque seconde. La grosse bite d’Alain n'arrêtait pas de la claquer et elle s’accrochait à lui, bruyante et trépidante sous la violence de ses orgasmes successifs. Ils étaient tous deux couverts de sueur, enlacés dans un combat sexuel qui les métamorphosait en une seule entité, embrochés l’un dans l’autre.
« Elle lui plaît vraiment, il ne m'a jamais baisée aussi intensément, ni aussi longtemps » soupira Cathy.
Mais la fin était proche. Alain a murmuré quelque chose à l’oreille de Laure. Il a dû lui demander si elle voulait qu’il se retire, parce qu’aussitôt, elle s’est écriée : « Non, reste ! Viens en moi. Je t’aime, bébé. Je veux que tu viennes en moi. Vas-y, chéri, je suis prête ! »
À peine a-t-elle fini de prononcer ces mots que Laure se souleva pour l'embrasser amoureusement à pleine bouche. Brusquement, Laure a relâché l’étreinte de ses jambes autour de son amant. Elle a dressé ses jambes en l’air, et ses jambes tendues ont été prises de tremblements. Alain s’est bloqué au fond de sa chatte accueillante, et j’ai compris qu’il était en train d’éjaculer en elle.
J'étais perturbé par ce spectacle. Jaloux, malheureux, mais émoustillé. Une fois de plus, Cathy m’a attrapé le paquet en me susurrant : « Ça t’as plu ? C’était chouette, non ? Pourquoi tu ne te branles pas, comme les autres ? Regarde tes potes ... » J’ai réussi à détourner mon regard. Les mecs, autour du couple, avaient tous la bite à la main, et se secouaient la tige. Mes potes ?
Alain s’est retiré et s’est allongé à côté de Laure, la bite encore tendue et pleine de crème. Aussitôt, Laure s’est accroupie pour le sucer. Elle pompait sa bite pleine de sperme pour le nettoyer, alors qu’elle n’avait jamais accepté de me prodiguer cette caresse, en prétendant que c’était sale et avilissant.
Perfide, Cathy m’a glissé à l’oreille : « C’est toi qui devrait aller sucer Alain, pour le remercier d’avoir si bien baisé ta femme ! »
Je ne pouvais pas en supporter plus. Je retournais dans la pièce principale. Tout le monde était parti. Je me suis effondré sur un canapé, choqué. J’avais envie de pleurer. Cathy m’avait suivi : « Tu sais ce qu’on dit, si tu goûtes au noir, tu ne reviendras jamais... »
Puis, sur un ton plus léger : « Ça m’a toute retournée. Tu veux bouffer ma petite chatte ? Ou je vais chercher un mec, à côté, pour me faire sauter ? » J’ai accepté sa proposition, espérant qu’elle accepte de baiser avec moi, après. Mais je n’ai pas dû être assez performant.
Après ça, Laure n’a plus voulu de moi. Même quand Alain a épousé Cathy.
Au milieu de la nuit, j'avais consommé beaucoup de joints et de bière. Laure voulait une bière fraîche, je me suis levé, péniblement, pour aller en prendre une. Mon ami Régis m’a dit "en voilà une" et m'a tendu une bouteille fraîche. J’allais l'attraper, quand Régis retira sa main, me fit un clin d'œil, avant de me passer la bouteille. Je n'avais aucune idée de ce que signifiait le clin d'œil de Régis, mais il était aussi mûr que moi, alors je n’y ai pas prêté attention, et j’ai passé la bouteille à Laure.
Alors que nous buvions nos bières, Cathy s'est approchée de moi et m'a dit « Salut beau gosse » Cathy est blonde, elle a les yeux bleus, et elle est très jolie. J’avais essayé de sortir avec elle, au début, mais elle m’avait ignoré. C’était avant que je sorte avec Laure. Mais Laure savait que j’avais eu le béguin pour Cathy, et elle ne l’aimait pas.
Cathy s'est faufilée entre Laure et moi, pour se blottir contre moi. Étrange, j’ai pensé qu’elle était cuite, elle aussi. Cathy avait accompagné Régis à la fête, ils n’étaient pas avec leurs chéris habituels, et j’ai pensé qu’elle avait abusé de la fumette et de la boisson. Tandis que Cathy se blottissait contre moi en jouant les amoureuses, Laure exprimait clairement son mécontentement. Laure a essayé de repousser Cathy, mais sans y parvenir. Moi, ça m’amusait de faire enrager Laure. Vexée, Laure m’a tourné le dos et s’est éloignée. Presque aussitôt, Cathy s’est éloignée.
Ensuite, Régis est venu me dire que nous n'avions presque plus de bière, et que nous devrions aller au ravitaillement. J'ai dit oui, sans penser que je venais de mettre deux packs entiers au réfrigérateur. J'ai dit à Laure que je m’absentais, et je me suis dirigé vers la voiture. Arrivé à la voiture, Régis était introuvable, et c’était Cathy qui m’attendait avec les clés de la voiture. Nous sommes partis chercher de la bière.
Cathy s’est trompée de route plusieurs fois, on était même un peu perdus, elle a mis une éternité à retrouver son portefeuille au magasin, et nous sommes revenus à la fête plus d’une heure après. Régis s’est précipité vers moi d’un air inquiet. Il m'a dit que pendant mon absence, Laure était devenue bizarre. Qu'elle avait commencé à flirter avec Alain. Laure a toujours eu le béguin pour Alain. C’est un antillais, un grand noir qui danse merveilleusement bien. Les filles se l’arrachent, ce qui l’arrange, parce que c’est un "sérial niqueur".
Régis a posé sa main sur mon épaule et m'a dit de le suivre. Régis m’a entraîné dans un long couloir sombre que je ne connaissais pas. Au fond, une porte. Régis m’a chuchoté « regarde ça » avant d’ouvrir la porte. Une grande pièce, avec, au centre, un grand lit plate-forme. Au plafond, un projecteur éclairait le lit comme une scène de théâtre. Devant le lit, une caméra vidéo, posée sur un trépied, filmait la scène. Il y avait plusieurs gars à côté du lit, et je ne voyais pas exactement ce qui se passait.
J’ai fait deux pas avant de voir clairement Laure dans les bras d’Alain. Elle était allongée sur le dos, les jambes écartées, avec Alain à demi-allongé sur elle. Alain ondulait des hanches contre Laure, en broyant son pubis contre son bas-ventre. Laure avait ses bras enroulés autour du cou d'Alain, elle caressait sa nuque en l’embrassant à pleine bouche. Alain retirait sa tête et clairement, c’était Laure qui s’agrippait à lui pour l’embrasser. Lui se contentait de frotter son bassin contre elle.
J'étais détruit ! J'ai réalisé que Régis avait tout combiné, le brusque intérêt de Cathy pour moi, la bière de Laure qui était probablement trafiquée, mon départ précipité avec Cathy qui avait dû rendre Laure folle de rage. J’étais tombé dans son piège comme un idiot.
Laure gémissait, la bouche collée à celle d’Alain, les yeux fermés. Son pantalon était descendu jusqu'aux genoux, et son chandail était troussé jusqu’à ses seins. Les mains d’Alain étaient sous le chandail. Laure embrassait Alain avec voracité, et je me suis surpris à penser qu’elle ne m’avait jamais embrassé ainsi. La main d'Alain a émergé de sous le pull de Laure, entraînant son soutien-gorge. Jetant le soutien-gorge au sol, il remonta son pull sur sa poitrine. La bouche d’Alain descendit sur la poitrine de Laure, pour sucer ses mamelons et mordiller ses tétons. Laure arqua le dos en poussant son sein contre la bouche d'Alain. Alain a continuer de descendre le long du corps de Laure, déposant des baisers mouillés sur son torse, puis sur son ventre, en s’attardant sur son nombril.
Laure s'agitait, se cambrait en roulant des hanches et en gémissant, folle de désir. Elle a saisi ses seins et les a pressé, pendant qu’Alain continuait sa lente progression vers le bas. La tête de Laure roulait en tous sens, les yeux révulsés, elle pantelait, en proie à un délire charnel. J’ai remarqué que ses mamelons portaient la trace de la dentition d’Alain.
J'étais anéanti ... Ma fiancée, celle que je voulais pour femme, se livrant sans pudeur à un de mes amis, devant des mecs qui se tripotaient en attendant leur tour. Je connaissais la plupart de ces mecs depuis des années, et ils organisaient une tournante autour de ma femme, dans mon dos.
Tandis que Laure se tortillait pour baisser son pantalon et sa culotte, j'ai été choqué de voir sa cyprine suinter de sa chatte trempée. Alain l’avait fait jouir sans la pénétrer, alors que moi j’avais besoin de longues minutes de travail avant d’obtenir un gémissement de sa part.
Alain a cessé de cajoler Laure et s'est levé. Il passa son pull par-dessus sa tête pendant qu'elle s'asseyait sur le lit. Il ôta ses chaussures, Laure le regardait amoureusement. Ses yeux contemplaient la stature musclée du jeune métis pendant qu’il achevait son strip-tease par son pantalon et son slip. Alain avait une trace humide et légèrement plus sombre dans le cou, là où Laure avait posé sa bouche, pour étouffer ses cris de luxure, lorsque le garçon l’avait caressée.
Tout en regardant Laure, il glissa ses mains sous l’élastique de son slip. Surgissant à la vue de tous, tel un diable jaillissant de sa boîte, la bite la plus longue et la plus charnue que je n’ai jamais vue. Alain était monté comme un bourricot. J'étais tétanisé, et j’entendais les exclamations de Régis et de Cathy derrière moi. Je ne comprenais pas pourquoi Laure n’était pas effrayée par l’énormité et la noirceur de son sexe. Laure regardait le sexe d'Alain avec fascination. Cathy m’a glissé dans l’oreille : « Regarde ... S’il la baise avec ça, elle ne voudra plus jamais de ta petite bite d’enfant, mon chou ! »
La pensée que ma fiancée ne pourrait plus jamais se satisfaire de moi, sexuellement, après avoir été baisée par ce jeune antillais monté comme un âne, m’a gelé l’estomac. Je ne savais pas quoi faire pour arrêter ça. Alain a rampé entre les jambes écartées de Laure, l’a attrapée par les chevilles, et il a relevé et replié ses jambes jusqu’à ce que ses genoux soient à côté de ses seins. Alain a posé sa bouche sur la chatte exposée de Laure.
Alain l’a broutée très fort en la stimulant avec des grognements égrillards. Ma douce fiancée est devenue comme possédée, oscillant des hanches en s’offrant à sa bouche. Je ne savais pas qu’elle pouvait se comporter ainsi. J’avais honte pour elle, de s’exposer sans pudeur en public, devant mes amis. Je me sentais très mal. Ce gars faisait faire à ma copine des trucs que je pensais impossible.
J'étais jaloux d’Alain, de ce qu’elle acceptait de lui, mais aussi de sa technique. Vraiment, il se donnait à fond, et il la comblait. J’étais très triste, car je ne me sentais pas capable de lutter et de soutenir la comparaison. Mais j’étais excité par ce que je voyais, je n’avais jamais envisagé qu’une fille puisse se comporter ainsi, s’offrir entièrement et docilement aux caresses d’un garçon. L’atmosphère commençait à s’emplir des odeurs musquées des sécrétions vaginales de Laure.
Cathy s’est penchée sur moi pour glisser sa main dans mon entrejambe : « Mais tu bandes, mon salaud ! Ta nana se fait troncher devant toi, et toi tu restes là comme un con, à bander comme un malade ! T’es qu’une petite fiotte, et tu as ce que tu mérites ! »
Alain s’est redressé brusquement pour apostropher Laure : « T’es prête ? » Elle n'a pas répondu. Il a insisté : « Si tu veux que je te baise, il faut le demander maintenant ! » Laure n’a pas hésité longtemps, et elle a donné son accord de sa douce voix feutrée. « Supplie-moi ! » Elle l’a supplié, sans fierté.
J’étais dévasté. Elle le voulait. Ma théorie s’effondrait. Elle n’était ni droguée, ni forcée. Elle n’était pas tombée dans un traquenard. Elle voulait la bite de ce mec en elle, et peut importe les conséquences. Mon cœur se brisait. Elle le voulait, je ne pouvais plus le nier, et donc elle ne voulait plus de moi. Alain ne l’a pas fait attendre plus longtemps. Il s’est placé sur elle, son immense stature recouvrant entièrement la frêle silhouette de Laure, et il a présenté son immense pieu de chair noire à l’entrée de la grotte blonde de ma fiancée. Quelques mouvements du bassin pour s’ajuster, et il s’est enfoncé en elle.
J’étais anéanti. Elle a relevé un peu plus ses jambes pour entourer le bassin du gars qui l’embrochait. Avec ses bras, elle s’est cramponnée à ses larges épaules. Son visage ne marquait aucune souffrance, juste une immense joie lorsqu’elle s’est exclamée : « Oui ! Oh, oui ! » D’où j’étais placé, je pouvais voir sa petite chatte s’étirer pour accueillir l’immense pieu. J’ai vu ses yeux se révulser de bonheur, j’ai entendu ses plaintes lorsqu’elle lui a demandé de la baiser avec plus de vigueur. La tête me tournait, j’ai pensé mourir.
La grosse grosse bite d’Alain la fouillait, ravageait sa petite chatte, en domptant ma bien-aimée. Laure brûlait d’un désir bestial, bouche grande ouverte d’où s’échappaient des cris, des gémissements et des plaintes. Elle psalmodiait la mélopée charnelle que chante les femmes englouties dans la ferveur amoureuse. Je pouvais voir l’entrée de sa chatte déformée, étirée, creusée par la virilité du monstre qui la dévastait. Mais sa chatte ne restait pas passive, inactive. Ses lèvres suçaient, aspiraient, tétaient la bite sombre qui coulissait entre elles, envahies par un désir sexuel brutal. Je ne reconnaissais pas en cette créature dévergondée, la douce jeune fille que j’avais désiré épouser.
Laure glapissait, de petits cris brefs qui scandaient le rythme des puissants coups de reins qui plantaient le long gourdin au fond de sa féminité. Sa tête roulait en tous sens, ses yeux se révulsaient, elle était en transe, elle perdait la conscience en atteignant le paradis de la passion. Laure s'accrochait aux épaules d'Alain pour ne pas partir à la dérive, pendant qu’il heurtait son petit corps de toutes ses forces. À chaque poussée puissante, les chairs claquaient bruyamment. Clouée sur le lit comme un insecte pris au piège, écartelée par le format de la bite qui la possédait, elle semblait défaillir devant la force brutale du mâle dominant.
Je ne savais plus plus si je devais l’admirer, l’envier, ou la plaindre et la secourir. Son visage exprimait autant la passion que la douleur. Laure s’enfonçait dans le stupre et la fornication en s’éloignant de plus en plus de moi. Hier encore, elle me disait son amour, me jurait fidélité, voulait m’épouser. Maintenant, elle me rejetait, me balançait à la poubelle comme un vieux chiffon sale. Sa féminité révélée, elle s’offrait à corps perdu à la fornication volcanique de son amant noir.
Il était évident que les capacités sexuelles d’Alain étaient hors normes. Tout près de moi, la respiration sifflante de Cathy trahissait son émoi. Et sa stupéfaction. Et confirmait mon sentiment. Une nana comme elle, tout le contraire d’une pucelle, et qui s’étonnait du traitement que subissait Laure ? Ou alors, elle l’enviait ? L’évidence, c’était qu’Alain baisait Laure tellement rudement, qu’il lui retournait le cerveau.
« Quel beau couple ! » s’exclama Cathy près de moi. « Tu ne trouves pas ? »
Un moment de silence, troublé par les cris d’extase de Laure, et puis Cathy a repris son travail de démolition : « Il va la foutre en cloque ! Tu sais si elle est fertile ? Moi, je pense qu’il va mettre un bébé dans son ventre, à ta chérie ! Sois heureux, tu vas avoir un fils ! Il va falloir que tu l’élèves, parce qu’il faut pas compter sur Alain pour payer les couches. Il baise les pétasses, et après, le cocu se démerde ! Et ta famille, ils vont être secoués d’apprendre que l’héritier est un petit mulâtre ! »
Je me sentais comme de la merde. Mon cœur se brisait en regardant ma petite amie se faire baiser par un autre, mais le plus cruel, c’était de voir le plaisir qu’elle y prenait. Laure aimait chaque seconde. La grosse bite d’Alain n'arrêtait pas de la claquer et elle s’accrochait à lui, bruyante et trépidante sous la violence de ses orgasmes successifs. Ils étaient tous deux couverts de sueur, enlacés dans un combat sexuel qui les métamorphosait en une seule entité, embrochés l’un dans l’autre.
« Elle lui plaît vraiment, il ne m'a jamais baisée aussi intensément, ni aussi longtemps » soupira Cathy.
Mais la fin était proche. Alain a murmuré quelque chose à l’oreille de Laure. Il a dû lui demander si elle voulait qu’il se retire, parce qu’aussitôt, elle s’est écriée : « Non, reste ! Viens en moi. Je t’aime, bébé. Je veux que tu viennes en moi. Vas-y, chéri, je suis prête ! »
À peine a-t-elle fini de prononcer ces mots que Laure se souleva pour l'embrasser amoureusement à pleine bouche. Brusquement, Laure a relâché l’étreinte de ses jambes autour de son amant. Elle a dressé ses jambes en l’air, et ses jambes tendues ont été prises de tremblements. Alain s’est bloqué au fond de sa chatte accueillante, et j’ai compris qu’il était en train d’éjaculer en elle.
J'étais perturbé par ce spectacle. Jaloux, malheureux, mais émoustillé. Une fois de plus, Cathy m’a attrapé le paquet en me susurrant : « Ça t’as plu ? C’était chouette, non ? Pourquoi tu ne te branles pas, comme les autres ? Regarde tes potes ... » J’ai réussi à détourner mon regard. Les mecs, autour du couple, avaient tous la bite à la main, et se secouaient la tige. Mes potes ?
Alain s’est retiré et s’est allongé à côté de Laure, la bite encore tendue et pleine de crème. Aussitôt, Laure s’est accroupie pour le sucer. Elle pompait sa bite pleine de sperme pour le nettoyer, alors qu’elle n’avait jamais accepté de me prodiguer cette caresse, en prétendant que c’était sale et avilissant.
Perfide, Cathy m’a glissé à l’oreille : « C’est toi qui devrait aller sucer Alain, pour le remercier d’avoir si bien baisé ta femme ! »
Je ne pouvais pas en supporter plus. Je retournais dans la pièce principale. Tout le monde était parti. Je me suis effondré sur un canapé, choqué. J’avais envie de pleurer. Cathy m’avait suivi : « Tu sais ce qu’on dit, si tu goûtes au noir, tu ne reviendras jamais... »
Puis, sur un ton plus léger : « Ça m’a toute retournée. Tu veux bouffer ma petite chatte ? Ou je vais chercher un mec, à côté, pour me faire sauter ? » J’ai accepté sa proposition, espérant qu’elle accepte de baiser avec moi, après. Mais je n’ai pas dû être assez performant.
Après ça, Laure n’a plus voulu de moi. Même quand Alain a épousé Cathy.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Tamalou
6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Nul. Pauvre type (dans le sens nul).
nul
Le coup du noir décidément certains auteurs sont obsédés par les noirs au lieu de leur refiler leur femme ils devraient se faire defoncer le cul par eux puisque ça a l air de les exciter et arrêter de faire chier les lecteurs .Quand à la femme elle deviendra une pute à blacks.
A chier cette histoire
Histoire sans intérêt
Femme debile