Prendre un Uber...
Récit érotique écrit par Pasal [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Prendre un Uber...
Il parait qu’on peut toujours compter sur ses potes ! C’est vrai, mais pas toujours comme on le croit !
Moi, c’est Pascal, 27 ans, 1m78, 70kg, châtain clair, yeux clairs, sportif, en couple depuis 6ans avec une femme très souvent absente à cause de son travail. Il y a quelques années, j’ai découvert le sexe entre hommes et là, ce fut une révélation ! Moi qui avais une sexualité très ordinaire, je me suis mis à « chasser » et à multiplier les expériences gays, d’abord comme actif uniquement puis, de temps en temps, comme passif. Mon cul a été dépucelé à 25 ans lol !
Il y a environ un mois, je devais amener ma voiture à la révision, il était prévu que je la dépose le matin avant d’aller bosser, un pote devait me récupérer et me ramener le soir au garage, rien que de très banal en somme ! Sauf que, bien sûr, j’ai appelé le mauvais pote, celui qui n’a pas de mémoire, qui n’est pas du matin, qui accumule les plans foireux…. Bref, il m’a oublié le fameux matin ! Je l’appelle, il était déjà arrivé au taf, moi, comme un con, j’étais à près de 10 bornes, j’ai préféré lui raccrocher au nez avant d’être désagréable et l’urgence était de trouver un moyen d’aller bosser. Bien sûr, pas de voiture de prêt disponible, personne n’allait dans ma direction, le garagiste, l’air ennuyé, me tend une carte d’un Uber : « C’est un ami, c’est tout ce que je peux faire pour vous, vraiment désolé ! ». Au point où j’en suis, j’appelle, le mec n’est pas loin, il arrive au bout de 5 minutes, je saute dans sa voiture, je peux encore être à l’heure !
Je m’installe confortablement, je souffle un peu et me détends et j’entame la conversation banale, polie mais sympa. Je regarde le chauffeur dans le rétro, un beur, les yeux clairs en amande très bien dessinés, un sourire stylé, une petite barbe de trois jours super bien entretenue, une coiffure travaillée, classe et beau gosse ! Je l’entends me dire un truc du genre : « J’aime bien commencer ma journée par un mec », sourire dans le rétro, « euhhh, je veux dire par un seul client avec qui je parle, les couples qui s’engueulent ou qui se répartissent le boulot de la journée c’est saoulant ! ». Il m’a dit qu’il aimait commencer la journée par un mec ? Mes alarmes s’allument d’un coup : « Ah ouais, vous préférez les mecs ! » sourire carnassier de ma part, « Euhhh, je veux dire, pour discuter ? ». « Carrément ! ». Là, j’ai pas rêvé, il m’a détaillé de haut en bas dans le rétro, il remonte le regard et, à nouveau, sourire ravageur que je lui rends avec un petit clin d’œil.
On arrive, je paye, il me tend une carte, se retourne vers moi, putain ce sourire : « Voici ma carte, on sait jamais, je peux être très utile… ». « Sûrement, j’y penserai ! »
Trois jours passent, j’avais presque oublié quand je tombe sur sa carte en fouillant dans une poche. Là, ça a commencé à me trotter dans la tête, d’abord un peu et de temps en temps puis de plus en plus. Ça revenait comme un truc dont on n’arrive pas à se débarrasser, ça revient dans la journée, cette petite voix qui dit : "Il était pas mal, canon même, il avait l'air d'avoir un sacré beau petit cul, il avait envie de toi, il t'a laissé sa carte. Bah, vas-y appelle et envoie-toi en l'air, ça peut pas te faire de mal...". Vous voyez ce que je veux dire !
Au début, j’ai résisté, puis de moins en moins, au final, j'ai ressorti sa carte et, rien que de la voir, j'ai bandé un peu. Je l'ai rangée puis ressortie jusqu'au moment où j'ai appelé :
"Salut, tu m'as filé ta carte l’autre matin, tu te souviens ?", "Ah ouais, grave ! Tu veux quoi ?", "Bah, je sais pas, on peut se voir non ? ","Ça peut se faire, là, je suis en course mais je décroche vers 20h, je te rappelle si tu veux", "On fait comme ça".
10 minutes après, je recevais un texto : "Actif ou passif ?", ça m’a donné la pèche et la trique : "Plutôt actif mais open et toi ?", "Pareil ! Gay ou bi ? ", "Bi et toi ?", "Pareil. On va bien s'entendre je pense", "On va surtout bien s'éclater..". On s'est échangé des textos comme ça pendant un moment, ça nous avait bien chauffé !
20h15, il appelle : "Salut, t'es toujours OK ?", "Carrément ! On se retrouve où ?", "Bah, chez toi si possible, chez moi, y'a du monde !". Je lui ai filé mon adresse, il est arrivé 20 minutes plus tard. Il a sonné, j'ai vite ouvert mais ma connasse de voisine de palier a ouvert en même temps, histoire de bien voir qui vient chez moi pendant que ma compagne est absente, on sait jamais si elle pouvait foutre la merde dans mon couple cette mal baisée ! Je la salue froidement, elle se fend d'un rire nerveux que je déteste et disant : "Oh excusez-moi, j'ai cru que ça sonnait chez moi.". Tu parles, une vieille fille acariâtre qui n'a peut-être jamais vu le loup, qui veux-tu qui sonne chez elle le soir à 20h30 ? "Vous avez du monde ce soir ?", "Ben oui, ça se voit, un ami. Ne vous inquiétez pas, on ne fera pas de bruit ! ".
Jamel entre et je referme la porte en la claquant un peu pour que l'autre comprenne bien que je n'aime pas qu'elle se mêle de mes affaires. Du coup, Jamel hésite, il est prêt à parler et je sens qu'il est fébrile. Je le plaque contre le mur, je l'embrasse à pleine bouche et commence à lui caresser la poitrine. Il répond par des caresses et accueille ma langue dans sa bouche, elle s'enroule autour de la sienne, mes mains passent sur ses fesses, je les malaxe, il en fait autant, nos bites se frottent l'une contre l'autre et, même à travers nos jeans, on sent bien qu'on bande.
On commence à se déshabiller, les sweats et les T-shirts volent dans le salon. On se déchausse et on balance les chaussures. Déjà je le pousse dans la chambre en lui donnant des coups de torse pour le faire reculer et en le guidant de mes mains, les boutons de nos braguettes sautent les uns après les autres, les pantalons nous tombent aux genoux. Dans la chambre, je le fais tomber sur le lit, je lui enlève son pantalon et le mien suit le même chemin ainsi que nos chaussettes. Nos boxers sont déformés par nos gaules, je me jette sur lui pour l'embrasser dans le cou, sur le torse, je lui mords les tétons, je remonte vers sa bouche, nos bassins se frottent l'un contre l'autre et nos bites raides se cognent l'une à l'autre, il me fait rouler sur le côté pour se retrouver sur moi et on reprend nos caresses.
Il descend m’embrasser le torse tout en me triturant les tétons, il me fait presque mal mais c’est si bon. Je gémis de plaisir. Ses mains descendent, attrapent l’élastique mon boxer et le descendent d’un coup, je soulève le bassin pour qu’il l’enlève entièrement. Il se relève et ôte le sien également. Je peux admirer son corps, des belles tablettes de chocolat, une peau au teint halé, quelques poils frisés sur son torse, un ventre glabre et un filet de poils qui reprend sous son nombril jusqu’à son pubis pas trop fourni. Une bite raide, circoncise que j’estime à 18 ou 19 cm et deux belles couilles pendantes dessous, pas trop poilues. Des cuisses fines mais musclées, le mec est un sportif qui prend soin de son corps, c’est sûr. Il se met à genoux entre mes jambes, se penche un peu et, d’une main, attrape nos deux bites et les branle doucement. Je relève la tête pour l’embrasser.
Après ce long baiser, il me dit : « T’es sûr qu’on va pas faire du bruit ? ». Je ris et lui réponds : « T’inquiète, la voisine n’a jamais dû s’envoyer en l’air, elle ne saura pas ce qu’on fait ! ». Il rit aussi et m’embrasse à nouveau.
Au bout d’un moment, il se relève et je le vois se retourner complètement, il m’offre sa bite et veut sucer la mienne. J’adore les 69, donner du plaisir avec ma bouche et en prendre en même temps, c’est le pied. Son gland est mouillé, comme le mien j’imagine, je lèche la pointe, sa bite se raidit encore plus d’un coup. Le mec est réactif, j’adore ! Je prends son gland entre mes lèvres et ma langue titille le méat, je salive un maximum mais, d’un coup, je lâche tout, sa bouche vient de prendre ma bite, sa langue chaude et humide s’enroule autour de mon gland, je pousse un long soupir qui se finit en râle de plaisir. Il salive abondamment et s’enfonce sur mon vît puis ressort et recommence. C’est super bon ! Je me ressaisis et reprends sa bite en bouche pour lui faire la même. Je l’entends gémir avec ma queue dans la bouche.
Je me mets à lui masser les couilles, il en fait de même, puis une de mes mains s’aventure dans sa raie, je le caresse puis je m’attarde sur son trou, je lubrifie mes doigts et commence à forcer un peu l’entrée. Il m’a l’air bien serré mais élastique, il se contracte mais s’ouvre assez facilement, un vrai cadeau !
Avec deux doigts dans le trou, il commence à me donner des coups de reins pour me baiser la gueule, sa bite s’enfonce de plus en plus profond dans ma bouche et entre dans ma gorge m’arrachant quelques toux. Il m’impose des gorges profondes tandis que je lui lime le trou de plus en plus vite. De son côté, il me fait une pipe de rêve, il joue avec sa langue et étire mes couilles qui sont mouillées de sa salive.
A mon tour, je le fais basculer pour qu’on se retrouve sur le côté tous les deux, on reprend nos mouvements de bouche et de reins. A mon tour de vouloir une gorge profonde, je lui donne des coups de reins secs et rapides, je lui baise la gueule à mon tour alors qu’il en fait de même avec moi.
Je sens qu’il ressort ma bite de sa bouche, il la branle, gémit et me dit : « Si tu continues comme ça, je réponds de rien, j’aimerais tenir un peu plus, j’ai envie de ta bite en moi ».
Du coup, on se relève, il se met à quatre pattes sur le lit, les jambes écartées et le cul bien cambré, j’admire quelques secondes, il n’a pas un seul poil et une rosette de rêve, juste un peu mouillée par mon doigtage. J’embrasse ses fesses, je les mordille et je plonge ma langue pour lui lécher la raie, le trou et le lubrifier. Il souffle, râle et m’encourage, ses mains écartent ses fesses pour être le plus écarté et ouvert possible. Mes doigts et ma langue se succèdent en lui, il gémit de plus en plus et bouge son bassin, c’est terriblement excitant.
Je me relève, me positionne entre ses jambes, j’attrape une capote, je m’équipe, mon gland s’approche, touche son trou et, au moment où j’appuie, il se recule me faisant entrer d’un coup en lui, bien au fond. La surprise me fait pousser un long râle qui se mêle au sien. Il commence à bouger son bassin de gauche à droite et à avancer et reculer, il se baise tout seul, moi, j’ai les mains derrière ma tête, j’admire ce beau gosse avec ce cul de rêve qui se donne et prend son pied sur ma bite. Je me mets à lui donner quelques petits coups de reins en rythme avec ses mouvements. Il finit par s’arrêter, du coup, je prends les choses en main, je le saisi par les hanches et je commence les va-et-vient, d’abord lents puis de plus en plus rapides et secs, il pousse des cris à chaque fois et des « Putain, c’est bon, elle est bonne ta queue… ». Il m’excite en me disant ça, je lui saisis la poitrine pour le relever et lui plaquer le dos contre mon torse, une de mes mains descend pour le branler tandis que l’autre lui pince les tétons, il penche sa tête en arrière, je l’embrasse, ma langue entre dans sa bouche pour s’enrouler autour de la sienne. Je le sens haleter de plus en plus vite et de plus en plus fort, d’un coup, sa bit se durcit et est secouée de spasmes, il crache son jus sur son ventre, 6 beaux jets bien fournis.
En même temps son anus se contracte, c’est tellement bon que mon plaisir monte et je remplis ma capote en jouissant en lui. Je pousse, à mon tour un râle énorme étouffé dans sa bouche. On s’effondre l’un sur l’autre, essoufflés, vidés, encore secoués des derniers soubresauts du plaisir que l’on vient de se donner.
C’est une petite sonnerie de téléphone qui nous fait réagir, il se lève, je mate ce beau gosse avec ce cul de rêve qui part dans la salle à manger. Je l’entends parler pendant que je me rhabille, il revient et me dit : « J’ai une dernière course et je dois rentrer. C’était trop bon ! ». « Ouais, on remet ça dès qu’on peut ! », « OK ». Il m‘a embrassé, s’est rhabillé et est parti.
Finalement, je lui en veux pas à mon collègue qui m’a oublié ce matin-là, au contraire, on peut toujours compter sur ses potes….
Moi, c’est Pascal, 27 ans, 1m78, 70kg, châtain clair, yeux clairs, sportif, en couple depuis 6ans avec une femme très souvent absente à cause de son travail. Il y a quelques années, j’ai découvert le sexe entre hommes et là, ce fut une révélation ! Moi qui avais une sexualité très ordinaire, je me suis mis à « chasser » et à multiplier les expériences gays, d’abord comme actif uniquement puis, de temps en temps, comme passif. Mon cul a été dépucelé à 25 ans lol !
Il y a environ un mois, je devais amener ma voiture à la révision, il était prévu que je la dépose le matin avant d’aller bosser, un pote devait me récupérer et me ramener le soir au garage, rien que de très banal en somme ! Sauf que, bien sûr, j’ai appelé le mauvais pote, celui qui n’a pas de mémoire, qui n’est pas du matin, qui accumule les plans foireux…. Bref, il m’a oublié le fameux matin ! Je l’appelle, il était déjà arrivé au taf, moi, comme un con, j’étais à près de 10 bornes, j’ai préféré lui raccrocher au nez avant d’être désagréable et l’urgence était de trouver un moyen d’aller bosser. Bien sûr, pas de voiture de prêt disponible, personne n’allait dans ma direction, le garagiste, l’air ennuyé, me tend une carte d’un Uber : « C’est un ami, c’est tout ce que je peux faire pour vous, vraiment désolé ! ». Au point où j’en suis, j’appelle, le mec n’est pas loin, il arrive au bout de 5 minutes, je saute dans sa voiture, je peux encore être à l’heure !
Je m’installe confortablement, je souffle un peu et me détends et j’entame la conversation banale, polie mais sympa. Je regarde le chauffeur dans le rétro, un beur, les yeux clairs en amande très bien dessinés, un sourire stylé, une petite barbe de trois jours super bien entretenue, une coiffure travaillée, classe et beau gosse ! Je l’entends me dire un truc du genre : « J’aime bien commencer ma journée par un mec », sourire dans le rétro, « euhhh, je veux dire par un seul client avec qui je parle, les couples qui s’engueulent ou qui se répartissent le boulot de la journée c’est saoulant ! ». Il m’a dit qu’il aimait commencer la journée par un mec ? Mes alarmes s’allument d’un coup : « Ah ouais, vous préférez les mecs ! » sourire carnassier de ma part, « Euhhh, je veux dire, pour discuter ? ». « Carrément ! ». Là, j’ai pas rêvé, il m’a détaillé de haut en bas dans le rétro, il remonte le regard et, à nouveau, sourire ravageur que je lui rends avec un petit clin d’œil.
On arrive, je paye, il me tend une carte, se retourne vers moi, putain ce sourire : « Voici ma carte, on sait jamais, je peux être très utile… ». « Sûrement, j’y penserai ! »
Trois jours passent, j’avais presque oublié quand je tombe sur sa carte en fouillant dans une poche. Là, ça a commencé à me trotter dans la tête, d’abord un peu et de temps en temps puis de plus en plus. Ça revenait comme un truc dont on n’arrive pas à se débarrasser, ça revient dans la journée, cette petite voix qui dit : "Il était pas mal, canon même, il avait l'air d'avoir un sacré beau petit cul, il avait envie de toi, il t'a laissé sa carte. Bah, vas-y appelle et envoie-toi en l'air, ça peut pas te faire de mal...". Vous voyez ce que je veux dire !
Au début, j’ai résisté, puis de moins en moins, au final, j'ai ressorti sa carte et, rien que de la voir, j'ai bandé un peu. Je l'ai rangée puis ressortie jusqu'au moment où j'ai appelé :
"Salut, tu m'as filé ta carte l’autre matin, tu te souviens ?", "Ah ouais, grave ! Tu veux quoi ?", "Bah, je sais pas, on peut se voir non ? ","Ça peut se faire, là, je suis en course mais je décroche vers 20h, je te rappelle si tu veux", "On fait comme ça".
10 minutes après, je recevais un texto : "Actif ou passif ?", ça m’a donné la pèche et la trique : "Plutôt actif mais open et toi ?", "Pareil ! Gay ou bi ? ", "Bi et toi ?", "Pareil. On va bien s'entendre je pense", "On va surtout bien s'éclater..". On s'est échangé des textos comme ça pendant un moment, ça nous avait bien chauffé !
20h15, il appelle : "Salut, t'es toujours OK ?", "Carrément ! On se retrouve où ?", "Bah, chez toi si possible, chez moi, y'a du monde !". Je lui ai filé mon adresse, il est arrivé 20 minutes plus tard. Il a sonné, j'ai vite ouvert mais ma connasse de voisine de palier a ouvert en même temps, histoire de bien voir qui vient chez moi pendant que ma compagne est absente, on sait jamais si elle pouvait foutre la merde dans mon couple cette mal baisée ! Je la salue froidement, elle se fend d'un rire nerveux que je déteste et disant : "Oh excusez-moi, j'ai cru que ça sonnait chez moi.". Tu parles, une vieille fille acariâtre qui n'a peut-être jamais vu le loup, qui veux-tu qui sonne chez elle le soir à 20h30 ? "Vous avez du monde ce soir ?", "Ben oui, ça se voit, un ami. Ne vous inquiétez pas, on ne fera pas de bruit ! ".
Jamel entre et je referme la porte en la claquant un peu pour que l'autre comprenne bien que je n'aime pas qu'elle se mêle de mes affaires. Du coup, Jamel hésite, il est prêt à parler et je sens qu'il est fébrile. Je le plaque contre le mur, je l'embrasse à pleine bouche et commence à lui caresser la poitrine. Il répond par des caresses et accueille ma langue dans sa bouche, elle s'enroule autour de la sienne, mes mains passent sur ses fesses, je les malaxe, il en fait autant, nos bites se frottent l'une contre l'autre et, même à travers nos jeans, on sent bien qu'on bande.
On commence à se déshabiller, les sweats et les T-shirts volent dans le salon. On se déchausse et on balance les chaussures. Déjà je le pousse dans la chambre en lui donnant des coups de torse pour le faire reculer et en le guidant de mes mains, les boutons de nos braguettes sautent les uns après les autres, les pantalons nous tombent aux genoux. Dans la chambre, je le fais tomber sur le lit, je lui enlève son pantalon et le mien suit le même chemin ainsi que nos chaussettes. Nos boxers sont déformés par nos gaules, je me jette sur lui pour l'embrasser dans le cou, sur le torse, je lui mords les tétons, je remonte vers sa bouche, nos bassins se frottent l'un contre l'autre et nos bites raides se cognent l'une à l'autre, il me fait rouler sur le côté pour se retrouver sur moi et on reprend nos caresses.
Il descend m’embrasser le torse tout en me triturant les tétons, il me fait presque mal mais c’est si bon. Je gémis de plaisir. Ses mains descendent, attrapent l’élastique mon boxer et le descendent d’un coup, je soulève le bassin pour qu’il l’enlève entièrement. Il se relève et ôte le sien également. Je peux admirer son corps, des belles tablettes de chocolat, une peau au teint halé, quelques poils frisés sur son torse, un ventre glabre et un filet de poils qui reprend sous son nombril jusqu’à son pubis pas trop fourni. Une bite raide, circoncise que j’estime à 18 ou 19 cm et deux belles couilles pendantes dessous, pas trop poilues. Des cuisses fines mais musclées, le mec est un sportif qui prend soin de son corps, c’est sûr. Il se met à genoux entre mes jambes, se penche un peu et, d’une main, attrape nos deux bites et les branle doucement. Je relève la tête pour l’embrasser.
Après ce long baiser, il me dit : « T’es sûr qu’on va pas faire du bruit ? ». Je ris et lui réponds : « T’inquiète, la voisine n’a jamais dû s’envoyer en l’air, elle ne saura pas ce qu’on fait ! ». Il rit aussi et m’embrasse à nouveau.
Au bout d’un moment, il se relève et je le vois se retourner complètement, il m’offre sa bite et veut sucer la mienne. J’adore les 69, donner du plaisir avec ma bouche et en prendre en même temps, c’est le pied. Son gland est mouillé, comme le mien j’imagine, je lèche la pointe, sa bite se raidit encore plus d’un coup. Le mec est réactif, j’adore ! Je prends son gland entre mes lèvres et ma langue titille le méat, je salive un maximum mais, d’un coup, je lâche tout, sa bouche vient de prendre ma bite, sa langue chaude et humide s’enroule autour de mon gland, je pousse un long soupir qui se finit en râle de plaisir. Il salive abondamment et s’enfonce sur mon vît puis ressort et recommence. C’est super bon ! Je me ressaisis et reprends sa bite en bouche pour lui faire la même. Je l’entends gémir avec ma queue dans la bouche.
Je me mets à lui masser les couilles, il en fait de même, puis une de mes mains s’aventure dans sa raie, je le caresse puis je m’attarde sur son trou, je lubrifie mes doigts et commence à forcer un peu l’entrée. Il m’a l’air bien serré mais élastique, il se contracte mais s’ouvre assez facilement, un vrai cadeau !
Avec deux doigts dans le trou, il commence à me donner des coups de reins pour me baiser la gueule, sa bite s’enfonce de plus en plus profond dans ma bouche et entre dans ma gorge m’arrachant quelques toux. Il m’impose des gorges profondes tandis que je lui lime le trou de plus en plus vite. De son côté, il me fait une pipe de rêve, il joue avec sa langue et étire mes couilles qui sont mouillées de sa salive.
A mon tour, je le fais basculer pour qu’on se retrouve sur le côté tous les deux, on reprend nos mouvements de bouche et de reins. A mon tour de vouloir une gorge profonde, je lui donne des coups de reins secs et rapides, je lui baise la gueule à mon tour alors qu’il en fait de même avec moi.
Je sens qu’il ressort ma bite de sa bouche, il la branle, gémit et me dit : « Si tu continues comme ça, je réponds de rien, j’aimerais tenir un peu plus, j’ai envie de ta bite en moi ».
Du coup, on se relève, il se met à quatre pattes sur le lit, les jambes écartées et le cul bien cambré, j’admire quelques secondes, il n’a pas un seul poil et une rosette de rêve, juste un peu mouillée par mon doigtage. J’embrasse ses fesses, je les mordille et je plonge ma langue pour lui lécher la raie, le trou et le lubrifier. Il souffle, râle et m’encourage, ses mains écartent ses fesses pour être le plus écarté et ouvert possible. Mes doigts et ma langue se succèdent en lui, il gémit de plus en plus et bouge son bassin, c’est terriblement excitant.
Je me relève, me positionne entre ses jambes, j’attrape une capote, je m’équipe, mon gland s’approche, touche son trou et, au moment où j’appuie, il se recule me faisant entrer d’un coup en lui, bien au fond. La surprise me fait pousser un long râle qui se mêle au sien. Il commence à bouger son bassin de gauche à droite et à avancer et reculer, il se baise tout seul, moi, j’ai les mains derrière ma tête, j’admire ce beau gosse avec ce cul de rêve qui se donne et prend son pied sur ma bite. Je me mets à lui donner quelques petits coups de reins en rythme avec ses mouvements. Il finit par s’arrêter, du coup, je prends les choses en main, je le saisi par les hanches et je commence les va-et-vient, d’abord lents puis de plus en plus rapides et secs, il pousse des cris à chaque fois et des « Putain, c’est bon, elle est bonne ta queue… ». Il m’excite en me disant ça, je lui saisis la poitrine pour le relever et lui plaquer le dos contre mon torse, une de mes mains descend pour le branler tandis que l’autre lui pince les tétons, il penche sa tête en arrière, je l’embrasse, ma langue entre dans sa bouche pour s’enrouler autour de la sienne. Je le sens haleter de plus en plus vite et de plus en plus fort, d’un coup, sa bit se durcit et est secouée de spasmes, il crache son jus sur son ventre, 6 beaux jets bien fournis.
En même temps son anus se contracte, c’est tellement bon que mon plaisir monte et je remplis ma capote en jouissant en lui. Je pousse, à mon tour un râle énorme étouffé dans sa bouche. On s’effondre l’un sur l’autre, essoufflés, vidés, encore secoués des derniers soubresauts du plaisir que l’on vient de se donner.
C’est une petite sonnerie de téléphone qui nous fait réagir, il se lève, je mate ce beau gosse avec ce cul de rêve qui part dans la salle à manger. Je l’entends parler pendant que je me rhabille, il revient et me dit : « J’ai une dernière course et je dois rentrer. C’était trop bon ! ». « Ouais, on remet ça dès qu’on peut ! », « OK ». Il m‘a embrassé, s’est rhabillé et est parti.
Finalement, je lui en veux pas à mon collègue qui m’a oublié ce matin-là, au contraire, on peut toujours compter sur ses potes….
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est nerveux, c'est sec, c'est mouillé, c'est bandant... ( Akileditu) J'adore les rebeus ...!
salut merci pour cette belle histoire et du bon sexe hate de te relire a bientot
Hmmm très excitant d'imaginer cette belle bite de rebeu circoncise :p
Bravo pour ta belle histoire , je me lasse pas de la relire . A bientôt la suite , je ne suis certainement pas le seul a l'attendre
Wouuahhh je bande encore comme un âne même si j'ai joui et m'en suis mis partout!!!!
J'aurais aimé que ça m'arrive!!
J'aurais adoré que ta femme arrive et qu'il la baise!!!
Trop bon ton histoire!
A bientôt par mail peut-être...
J'aurais aimé que ça m'arrive!!
J'aurais adoré que ta femme arrive et qu'il la baise!!!
Trop bon ton histoire!
A bientôt par mail peut-être...
punaise superbe histoire et jai grave bandé comme jamais en vous imaginant, jespere qu"il y aura une suite voir d'autres a cela :)