Prendre un Uber ...2
Récit érotique écrit par Pasal [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Prendre un Uber ...2
Il y a des rencontres comme ça, on ne s’y attend pas, elles arrivent, elles compliquent tout, le plus simple serait de tout laisser tomber, ce serait mieux, plus raisonnable, tellement honnête envers ma compagne et la sienne, c’est que du sexe, rien d’important finalement, pas de quoi prendre des risques…. Et juste un texto pour atomiser toutes ces belles résolutions ! Un texto qui me met dans un état de grande excitation avant même de l’avoir lu. A 27 ans, j’ai l’impression que mon fonctionnement hormonal fait marche arrière pour redevenir incontrôlable comme quand j’étais adolescent…Oh super, Jamel m’a envoyé un message, qu’est-ce qu’il dit ? Il veut qu’on se voit, moi aussi, il a envie de baiser, moi aussi, il va falloir qu’il trouve un moment pour se libérer, moi aussi ! J’hésite, que dois-je répondre, moi qui ai toujours un truc à dire, ben là, je sèche, je suis juste excité alors, du bout des doigts, je tape : « Moi aussi !». Il répond : « Quand ? Où ? ». « 12h30 chez moi, OK ? », « OK :) ».
Il est 10h15, je vais pas pouvoir attendre, c’est pas possible…. Ben si, j’ai attendu, j’ai même bossé sur mon chantier et, bien sûr, à midi, comme un fait exprès, mon patron a quelque chose à me demander ! J’abrège du mieux que je le peux tout en répondant et en ne lui donnant pas l’impression que j’ai beaucoup mais beaucoup mieux à faire !
12h30, je suis douché, j’ai mis un jeans propre, un T-shirt, je suis pieds-nus, je bande rien qu’à l’idée de ce que l’on va faire, j’ai l’impression que mon cœur bat plus vite… J’ai le front collé à la fenêtre, mon souffle fait de la buée sur la vitre. Alors, il arrive ?
Je vois sa voiture remonter la rue, il se gare juste en face, il descend, je l’admire : un costard bleu-marine, une chemise blanche, belles chaussures noires en cuir, il est super bien coiffé, toujours sa barbe de trois jours parfaitement entretenues, il regarde dans ma direction, il m’aperçoit, me fait un clin d’œil et me lance LE sourire qui me fout la trique direct ! « Putain, c’est moi qui vais me taper ce beau gosse ! », voilà ce que je laisse échapper à mi-voix.
Je me dirige vers la porte, j’attends qu’il sonne et j’ouvre. On se dit rapidement bonjour, il arbore toujours ce sourire magnétique, son regard se balade de haut en bas pour bien me mater, j’en fais autant et là, j’explose de rire en voyant comment son pantalon est déformé par sa queue raide et dure. Il rigole aussi en baissant les yeux vers sa bosse et en regardant la mienne, j’ai la même ! Je le fait entrer, il m’embrasse goulûment, nos langues se collent l’une à l’autre et s’enroulent, déjà je défais sa ceinture, je fais sauter le bouton, je descends la braguette, le pantalon tombe, mes mains sont sur ses fesses, je les prends à pleines mains et je les masse à travers son boxer. Il a baissé mon jeans et mon boxer sur mes cuisses, ma bite caresse son ventre et se frotte à la sienne, encore prisonnière mais déjà dure comme de la pierre.
Nos bouches se séparent, je l’embrasse dans le cou, sous son col de chemise que je suis en train de déboutonner, je respire fort pour m’enivrer de son parfum, mes mains caressent son torse glabre, sec et musclé, il expire longuement et rejette la tête en arrière, ses mains me caressent le dos, il me dit : « Ohhhh ouiiiiii, c’est trop bon, j’en ai enviiiiiie, fais-moi du bien… ».
J’enlève sa veste et sa chemise qui tombe à terre, je le saisis et le plaque contre le mur, ce corps m’électrise, je veux que chaque millimètre carré lui donne du plaisir et je veux le posséder totalement. Je soulève ses bras au-dessus de sa tête, je les embrasse jusqu‘aux aisselles à peine poilues, sèches, qui sentent bon, je reviens sur son cou, de la pomme d’Adam à ses jugulaires dans lesquelles son sang frappe fort, trahissant son désir. Je descends sur sa poitrine, ses tétons sont dressés, durs, j’en saisis un entre mes lèvres, ma langue vient le titiller alors que mes doigts pincent l’autre, ses mains se posent sur ma tête et me caressent doucement, j’alterne entre ses deux tétons, il kiffe bien, moi aussi !
Je descends sur son ventre bien musclé, le genre de tablette de chocolat que l’on peut déguster sans modération et sans prendre le moindre gramme ! J’entre ma langue dans son nombril, il gémit et appuie sur ma tête, il faut dire que je lui caresse la bite à travers son boxer et, putain, il mouille bien, il a une belle auréole. Du coup, je la lèche, je l’aspire ainsi que son gland à travers le tissu, il bande à mort, je retire son boxer d’un coup, son chibre jailli d’un coup, enfin libéré, il me frappe la joue, y dépose de la mouille et se redresse fièrement devant moi. Une grosse bite de 19 cm circoncise rien que pour moi….
Je dépose mes lèvres dessus et ma langue titille le méat, je le regarde dans les yeux, il me sourit et la pression de sa main se fait plus forte derrière ma tête. Je me laisse faire et son vît s’enfonce dans ma bouche, le gland glisse contre mon palais et sur ma langue, il passe ma luette et s’engage dans ma gorge. Le salaud, il continue à appuyer, je sens ses couilles se poser sur mon menton tandis que mon nez entre dans ses poils pubiens et hume son odeur de mâle en rut. Je salive abondamment, j’étouffe, j’ai envie de tousser mais il me tient fermement et il gémit de plaisir. Il relâche enfin son étreinte, je recule pour pouvoir respirer, ma salive s’échappe et lubrifie ses couilles. J’ai à peine repris mon souffle qu’il appuie à nouveau et recommence mais là, ça dure moins longtemps et il commence à donner des coups de reins pour me baiser la gueule. Bien que ce soit un peu douloureux, je kiffe à mort. Pour bien le lui faire comprendre, je prends ses couilles dans une main et je les tire en arrière quasiment jusqu’à son trou. Alors qu’il me démonte la mâchoire, je l’entends crier : « Oh putain ouiiiii, c’est bon ça, oh ouiii, c’est pas possible de m’exciter comme ça, je veux me vider dans ton cul ».
Joignant le geste à la parole, il me fait mettre à quatre pattes et, d’un geste rapide et sec, descend mon pantalon sur mes genoux. Il m’écarte les fesses et crache dans ma raie puis, de son pouce, il étale sa salive en insistant sur ma rondelle, il appuie dessus pour forcer l’ouverture puis ressort sa pour récupérer sa salive et me lubrifier l’entrée. Moi, je me mords le dessus de la main pour étouffer mes cris de plaisir. Je l’entends bouger, je sens ses jambes se faufiler entre les miennes, il approche, son gland touche ma raie, se positionne devant mon trou, appuie, force et finit par faire céder mon sphincter. Entre douleur et plaisir, je lui dis : « Oh oui, vas-y ! ».
Son gland m’élargit les entrailles et progresse en moi de plus en plus profondément. 19 cm plus loin, je sens ses couilles qui s’écrasent sur mes fesses, il stoppe tout mouvement, ses mains se posent sur mes hanches, il souffle profondément et laisse échapper un : « Oh putaiiiiin que c’est bon ».
Il reprend ses esprits et commence les va-et-vient d’abord lents puis de plus en plus rapides. Il alterne entre coups de reins secs et puissants et mouvements plus langoureux. Je sens que je suis complètement ouvert et offert à cette belle bite de rebeu qui me donne un plaisir immense. J’avais débandé lors de la pénétration mais mon érection revient plus forte que jamais. Il se met à me défoncer, j’ai presque du mal à tenir sur mes genoux, je lutte pour ne pas perdre l’équilibre, le rythme s’accélère encore, les coups sont plus irréguliers, sa respiration se fait plus forte et sonore. Il s’enfonce au maximum, j’ai l’impression qu’il me transperce le corps, je l’entends pousser un râle et son jus se déverse en moi en 6 jets puissants et bouillants.
Il est encore agité de quelques soubresauts et son souffle est un peu saccadé. Il se calme un peu, se retire, je le regarde, il retrouve son sourire et me dit : « C’était parfait, j’ai grave kiffé, tu m’as bien vidé, à moi de m’occuper de toi ».
Je me relève, je l’embrasse, il me retourne, me plaque au mur, descend en léchant mon torse et mon ventre, ses mains me caressent en descendant également, il crispe un peu ses doigts comme s’il me griffait la peau, je jette la tête en arrière et je ferme les yeux tout en lui posant les mains sur la tête.
J’ai l’impression que, sans voir ce qu’il me fait, mes autres sens prennent le relais. Le toucher est le plus sollicité, ses mains et ses doigts qui se promènent sur mon corps, mes tétons qui sont titillés, triturés malmenés se redressent et durcissent de plaisir. Une de ses mains touche mon sexe, ce qui me donne un petit frisson qui part du bas du dos et remonte le long de ma colonne vertébrale. J’aime comme il me branle, je sens sa langue toucher l’extrémité de mon gland et laper la goutte de précum qui doit perler puis ses lèvres enveloppent mon gland, je le sens durcir encore et mon sang afflue pour l’irriguer au maximum, il entre dans sa bouche chaude et humide, sa langue s’enroule autour, je suis agité de soubresauts. Il va et vient sur mon gland tout en me caressant les couilles et en me branlant. Une de ses mains me saisit les couilles, les malaxe, les presse et les étire vers le bas, c’est à la fois si bon et si douloureux… Un de ses doigts glisse dans ma raie toujours humide, il titille mon trou encore bien ouvert, je reçois comme une décharge électrique.
Du côté de l’ouïe, le moindre son devient érotique pour ne pas dire pornographique. Je respire fort par la bouche en lâchant, dans un souffle, des « Oh ouiiii », « Continuuuuue », « C’est trop boooon », « Hummmmmm »,… J’entends les bruits de succions, ses gémissements, les bruits discrets de ses mains qui glissent sur ma peau et des miennes dans ses cheveux… Même les bruits dans l’appartement deviennent érotiques, c’est comme si tout ce qui nous entoure participait à nos ébats.
L’odorat est également sollicité, cette odeur de mâles en ruts et nos phéromones embaument la pièce, je voudrais qu’elle s’imprègne partout. Elle entre dans mes narines telle une drogue dure qui me fait perdre toute notion du temps, du lieu mais qui m’emmène loin dans le plaisir.
Il monte ses mains sur mon cou, le serre un peu, je sens mon pouls aussi rapide que si j’avais couru un marathon, j’ai chaud mais j’ai des frissons, il s’active sur ma bite, ses coups sont plus profonds, rapides, sa salive coule sur mes couilles. Il met deux doigts dans ma bouche, je les dévore, ils ont très bon goût, celui du plaisir, de sa salive de ma mouille et d’autres fluides.
Un ultime coup de langue, me fait enfin ouvrir les yeux, je baisse la tête, je vois ce beau beur au trois quart à poil, qui se branle et qui avale ma bite avec une gourmandise incroyable. Ce dernier coup de langue a déclenché le processus, les picotements apparaissent au fond des couilles, elles se contractent, ma bite se raidit complètement pour devenir comme de la pierre, mon gland est tendu à l’extrême et le flot monte inexorablement, il lui faut une seconde à peine pour exploser dans sa bouche en de longs jets libérateurs. Mon corps est tendu, contracté, toute ma tension se libère dans sa bouche, je me plaque dos au mur, j’expire enfin. Jamel a encore ma bite en bouche, il me regarde, avale et nettoie.
On reprend doucement nos esprits, il se relève, me sourit et m’embrasse, sa bite encore raide est collée à mon ventre, il a encore envie de moi, je le sens !
Pour l’instant, on va dans le salon, machinalement il regarde son portable et s’exclame : « Oh merde, trois messages, faut que je rappelle ! ». Il s’assoie sur la table basse, cale son téléphone entre son épaule et sa joue, il reboutonne sa chemise, je le trouve super beau. Le client au bout du fil ne se doute pas que l’Uber qui va le véhiculer dans quelques minutes vient de jouir et de me faire jouir, qu’il bande encore un peu, qu’il a le pantalon sur les chevilles et mon jus dans la bouche et l’estomac.
Il finit par raccrocher, se lève, se rhabille et me dit : « Désolé, faut que j’y aille, deux courses urgentes.»« Je comprends, on ne peut pas faire que baiser, va falloir que je reparte bosser moi-aussi. »
Il repart, je m’affale dans le canapé, encore sonné par ce qu’on vient de faire, je reçois un texto quelques minutes plus tard : « Trop bon, j’ai encore envie, je veux qu’on remette ça vite ! ». Ce mec est insatiable, moi aussi, il a toujours envie, moi aussi. Je lui réponds : « Moi aussi ! ».
Il est 10h15, je vais pas pouvoir attendre, c’est pas possible…. Ben si, j’ai attendu, j’ai même bossé sur mon chantier et, bien sûr, à midi, comme un fait exprès, mon patron a quelque chose à me demander ! J’abrège du mieux que je le peux tout en répondant et en ne lui donnant pas l’impression que j’ai beaucoup mais beaucoup mieux à faire !
12h30, je suis douché, j’ai mis un jeans propre, un T-shirt, je suis pieds-nus, je bande rien qu’à l’idée de ce que l’on va faire, j’ai l’impression que mon cœur bat plus vite… J’ai le front collé à la fenêtre, mon souffle fait de la buée sur la vitre. Alors, il arrive ?
Je vois sa voiture remonter la rue, il se gare juste en face, il descend, je l’admire : un costard bleu-marine, une chemise blanche, belles chaussures noires en cuir, il est super bien coiffé, toujours sa barbe de trois jours parfaitement entretenues, il regarde dans ma direction, il m’aperçoit, me fait un clin d’œil et me lance LE sourire qui me fout la trique direct ! « Putain, c’est moi qui vais me taper ce beau gosse ! », voilà ce que je laisse échapper à mi-voix.
Je me dirige vers la porte, j’attends qu’il sonne et j’ouvre. On se dit rapidement bonjour, il arbore toujours ce sourire magnétique, son regard se balade de haut en bas pour bien me mater, j’en fais autant et là, j’explose de rire en voyant comment son pantalon est déformé par sa queue raide et dure. Il rigole aussi en baissant les yeux vers sa bosse et en regardant la mienne, j’ai la même ! Je le fait entrer, il m’embrasse goulûment, nos langues se collent l’une à l’autre et s’enroulent, déjà je défais sa ceinture, je fais sauter le bouton, je descends la braguette, le pantalon tombe, mes mains sont sur ses fesses, je les prends à pleines mains et je les masse à travers son boxer. Il a baissé mon jeans et mon boxer sur mes cuisses, ma bite caresse son ventre et se frotte à la sienne, encore prisonnière mais déjà dure comme de la pierre.
Nos bouches se séparent, je l’embrasse dans le cou, sous son col de chemise que je suis en train de déboutonner, je respire fort pour m’enivrer de son parfum, mes mains caressent son torse glabre, sec et musclé, il expire longuement et rejette la tête en arrière, ses mains me caressent le dos, il me dit : « Ohhhh ouiiiiii, c’est trop bon, j’en ai enviiiiiie, fais-moi du bien… ».
J’enlève sa veste et sa chemise qui tombe à terre, je le saisis et le plaque contre le mur, ce corps m’électrise, je veux que chaque millimètre carré lui donne du plaisir et je veux le posséder totalement. Je soulève ses bras au-dessus de sa tête, je les embrasse jusqu‘aux aisselles à peine poilues, sèches, qui sentent bon, je reviens sur son cou, de la pomme d’Adam à ses jugulaires dans lesquelles son sang frappe fort, trahissant son désir. Je descends sur sa poitrine, ses tétons sont dressés, durs, j’en saisis un entre mes lèvres, ma langue vient le titiller alors que mes doigts pincent l’autre, ses mains se posent sur ma tête et me caressent doucement, j’alterne entre ses deux tétons, il kiffe bien, moi aussi !
Je descends sur son ventre bien musclé, le genre de tablette de chocolat que l’on peut déguster sans modération et sans prendre le moindre gramme ! J’entre ma langue dans son nombril, il gémit et appuie sur ma tête, il faut dire que je lui caresse la bite à travers son boxer et, putain, il mouille bien, il a une belle auréole. Du coup, je la lèche, je l’aspire ainsi que son gland à travers le tissu, il bande à mort, je retire son boxer d’un coup, son chibre jailli d’un coup, enfin libéré, il me frappe la joue, y dépose de la mouille et se redresse fièrement devant moi. Une grosse bite de 19 cm circoncise rien que pour moi….
Je dépose mes lèvres dessus et ma langue titille le méat, je le regarde dans les yeux, il me sourit et la pression de sa main se fait plus forte derrière ma tête. Je me laisse faire et son vît s’enfonce dans ma bouche, le gland glisse contre mon palais et sur ma langue, il passe ma luette et s’engage dans ma gorge. Le salaud, il continue à appuyer, je sens ses couilles se poser sur mon menton tandis que mon nez entre dans ses poils pubiens et hume son odeur de mâle en rut. Je salive abondamment, j’étouffe, j’ai envie de tousser mais il me tient fermement et il gémit de plaisir. Il relâche enfin son étreinte, je recule pour pouvoir respirer, ma salive s’échappe et lubrifie ses couilles. J’ai à peine repris mon souffle qu’il appuie à nouveau et recommence mais là, ça dure moins longtemps et il commence à donner des coups de reins pour me baiser la gueule. Bien que ce soit un peu douloureux, je kiffe à mort. Pour bien le lui faire comprendre, je prends ses couilles dans une main et je les tire en arrière quasiment jusqu’à son trou. Alors qu’il me démonte la mâchoire, je l’entends crier : « Oh putain ouiiiii, c’est bon ça, oh ouiii, c’est pas possible de m’exciter comme ça, je veux me vider dans ton cul ».
Joignant le geste à la parole, il me fait mettre à quatre pattes et, d’un geste rapide et sec, descend mon pantalon sur mes genoux. Il m’écarte les fesses et crache dans ma raie puis, de son pouce, il étale sa salive en insistant sur ma rondelle, il appuie dessus pour forcer l’ouverture puis ressort sa pour récupérer sa salive et me lubrifier l’entrée. Moi, je me mords le dessus de la main pour étouffer mes cris de plaisir. Je l’entends bouger, je sens ses jambes se faufiler entre les miennes, il approche, son gland touche ma raie, se positionne devant mon trou, appuie, force et finit par faire céder mon sphincter. Entre douleur et plaisir, je lui dis : « Oh oui, vas-y ! ».
Son gland m’élargit les entrailles et progresse en moi de plus en plus profondément. 19 cm plus loin, je sens ses couilles qui s’écrasent sur mes fesses, il stoppe tout mouvement, ses mains se posent sur mes hanches, il souffle profondément et laisse échapper un : « Oh putaiiiiin que c’est bon ».
Il reprend ses esprits et commence les va-et-vient d’abord lents puis de plus en plus rapides. Il alterne entre coups de reins secs et puissants et mouvements plus langoureux. Je sens que je suis complètement ouvert et offert à cette belle bite de rebeu qui me donne un plaisir immense. J’avais débandé lors de la pénétration mais mon érection revient plus forte que jamais. Il se met à me défoncer, j’ai presque du mal à tenir sur mes genoux, je lutte pour ne pas perdre l’équilibre, le rythme s’accélère encore, les coups sont plus irréguliers, sa respiration se fait plus forte et sonore. Il s’enfonce au maximum, j’ai l’impression qu’il me transperce le corps, je l’entends pousser un râle et son jus se déverse en moi en 6 jets puissants et bouillants.
Il est encore agité de quelques soubresauts et son souffle est un peu saccadé. Il se calme un peu, se retire, je le regarde, il retrouve son sourire et me dit : « C’était parfait, j’ai grave kiffé, tu m’as bien vidé, à moi de m’occuper de toi ».
Je me relève, je l’embrasse, il me retourne, me plaque au mur, descend en léchant mon torse et mon ventre, ses mains me caressent en descendant également, il crispe un peu ses doigts comme s’il me griffait la peau, je jette la tête en arrière et je ferme les yeux tout en lui posant les mains sur la tête.
J’ai l’impression que, sans voir ce qu’il me fait, mes autres sens prennent le relais. Le toucher est le plus sollicité, ses mains et ses doigts qui se promènent sur mon corps, mes tétons qui sont titillés, triturés malmenés se redressent et durcissent de plaisir. Une de ses mains touche mon sexe, ce qui me donne un petit frisson qui part du bas du dos et remonte le long de ma colonne vertébrale. J’aime comme il me branle, je sens sa langue toucher l’extrémité de mon gland et laper la goutte de précum qui doit perler puis ses lèvres enveloppent mon gland, je le sens durcir encore et mon sang afflue pour l’irriguer au maximum, il entre dans sa bouche chaude et humide, sa langue s’enroule autour, je suis agité de soubresauts. Il va et vient sur mon gland tout en me caressant les couilles et en me branlant. Une de ses mains me saisit les couilles, les malaxe, les presse et les étire vers le bas, c’est à la fois si bon et si douloureux… Un de ses doigts glisse dans ma raie toujours humide, il titille mon trou encore bien ouvert, je reçois comme une décharge électrique.
Du côté de l’ouïe, le moindre son devient érotique pour ne pas dire pornographique. Je respire fort par la bouche en lâchant, dans un souffle, des « Oh ouiiii », « Continuuuuue », « C’est trop boooon », « Hummmmmm »,… J’entends les bruits de succions, ses gémissements, les bruits discrets de ses mains qui glissent sur ma peau et des miennes dans ses cheveux… Même les bruits dans l’appartement deviennent érotiques, c’est comme si tout ce qui nous entoure participait à nos ébats.
L’odorat est également sollicité, cette odeur de mâles en ruts et nos phéromones embaument la pièce, je voudrais qu’elle s’imprègne partout. Elle entre dans mes narines telle une drogue dure qui me fait perdre toute notion du temps, du lieu mais qui m’emmène loin dans le plaisir.
Il monte ses mains sur mon cou, le serre un peu, je sens mon pouls aussi rapide que si j’avais couru un marathon, j’ai chaud mais j’ai des frissons, il s’active sur ma bite, ses coups sont plus profonds, rapides, sa salive coule sur mes couilles. Il met deux doigts dans ma bouche, je les dévore, ils ont très bon goût, celui du plaisir, de sa salive de ma mouille et d’autres fluides.
Un ultime coup de langue, me fait enfin ouvrir les yeux, je baisse la tête, je vois ce beau beur au trois quart à poil, qui se branle et qui avale ma bite avec une gourmandise incroyable. Ce dernier coup de langue a déclenché le processus, les picotements apparaissent au fond des couilles, elles se contractent, ma bite se raidit complètement pour devenir comme de la pierre, mon gland est tendu à l’extrême et le flot monte inexorablement, il lui faut une seconde à peine pour exploser dans sa bouche en de longs jets libérateurs. Mon corps est tendu, contracté, toute ma tension se libère dans sa bouche, je me plaque dos au mur, j’expire enfin. Jamel a encore ma bite en bouche, il me regarde, avale et nettoie.
On reprend doucement nos esprits, il se relève, me sourit et m’embrasse, sa bite encore raide est collée à mon ventre, il a encore envie de moi, je le sens !
Pour l’instant, on va dans le salon, machinalement il regarde son portable et s’exclame : « Oh merde, trois messages, faut que je rappelle ! ». Il s’assoie sur la table basse, cale son téléphone entre son épaule et sa joue, il reboutonne sa chemise, je le trouve super beau. Le client au bout du fil ne se doute pas que l’Uber qui va le véhiculer dans quelques minutes vient de jouir et de me faire jouir, qu’il bande encore un peu, qu’il a le pantalon sur les chevilles et mon jus dans la bouche et l’estomac.
Il finit par raccrocher, se lève, se rhabille et me dit : « Désolé, faut que j’y aille, deux courses urgentes.»« Je comprends, on ne peut pas faire que baiser, va falloir que je reparte bosser moi-aussi. »
Il repart, je m’affale dans le canapé, encore sonné par ce qu’on vient de faire, je reçois un texto quelques minutes plus tard : « Trop bon, j’ai encore envie, je veux qu’on remette ça vite ! ». Ce mec est insatiable, moi aussi, il a toujours envie, moi aussi. Je lui réponds : « Moi aussi ! ».
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