Présentation au roi - histoire érotique

Pendant le repas nous avons pastissées joyeusement ce qui passait à proximité et le repas avançant et les derniers plats servis les valets ont disparus , très vite Monseigneur a poussé un soupir de plaisir et j'ai moi même senti une bouche sur ma mentule déjà bien dressée. Je n'ai fait qu'écarter un peu plus les cuisses ce qui non seulement facilitait la sucion mais ouvrait aussi la voix à un doigt inquisiteur. Cette inquisition fort douce m'a fait gémir à mon tour. Mr de Noyers gémissait et passant la main sous la nappe j'ai senti son braquemart humide et une bouche qui s'activait. Nous nous sommes souris. Il a du se lacher poussant un cri de plaisir avant que de l'oeil il m'invite à faire de même. J'étais à l'âge où l'on peut jouir presque sur commande et j'ai joui à mon tour après quelques halètements. Monseigneur a eu un fin sourire. Je vous bats messieur et il s'est reculé montrant mon Nicolas pompant comme un beau diable. Le duc a eu un sursaut et nous avons applaudis.
Belle performance et quelle endurance Monseigneur!
Oui je suis assez fier de pouvoir me retenir et d'offrir ce plaisir après une durée supérieure aux autres. Il a jeté un oeil sur une fort belle pendule et s'est levé. Il est temps de nous préparer pour être présent au coucher du roi.J'espère pour le maître façonnier qu'il a terminé ou par ma fois je lui coupe les oreilles. Il s'est retiré sur ses mots.
Mr de Noyers m'a soufflé à l'oreille que le duc se paonnait de tenir plus que nous at qu'il était de bon aloi de se laisser aller avant lui comme nous l'avions fait avant de se retirer lui aussi. Nicolas vétu de sa seule chemise m'a guidé dans l'hôtel jusqu'à ma chambre. Sur le lit m'attendait un superbe pourpoint pourpres à crevés (plis dans les bras qui s'ouvraient en bougeant et d'une autre couleur assortie ou non).Un haut de chausse et des chausses grises , une chemise ouverte , deux jarretelles grises et et pourpres, un chapeau de la forme d'une galette un peu surélevée et des chaussures à petit talons et la aussi des rubans pour les fermer complétaient ma vêture .Les ouvriers mécaniques avaient fait du beau travail; j'en toucherait deux mots à MonseigneurJe me suis lavé, un baquet était ja(pas de faute) en place avec le linge et je n'ai eu qu'à enjamber , l'eaux tiède par le temps assez frais et la longueur entre la cuisine et ma chambre m'allait très bien , habitué à me laver à l'eau froide par tous les temps. J'avais ôté ma chemise, Nicolas maintenant me connaissait mieux que moi même et il m'a lavé partout, utilisant une lavette en coton puis une fois fait il m'a étrillé la peau avant de me sécher.Monsieur a une très belle peau.
Merci Nicolas.
Il a passé ma chemise assez longue qui s'est trouvée prise dans mon haut de chausse qu'il a serré avec un ruban à la taille.J'ai mise les pieds dans mes chausses qu'il a remonté haut sur la cuisse et femée par un ruban de couleur, en fait par je ne sais quel moyen ces rubans se serraient d'eux même sur la cuisse. Le pourpoint marquait ma taille que je qualifiais fort heureusement peu épaisse et rembourré à l'intérieur il gonflait un peu plus le torse que j'avais ja généreux. Nicolas m'a aidé à passer les souliers et les fermer avec les rubans et se reculant un peu a arrangé la chemise pour que l'on voit mon col nu et ma peau blanche et ajusté la sorte de béret . L'ouvier a bien travaillé.
Il a enfilé une livrée aux couleurs des Joyeuses avant de me guider vers le petit salon où Monseigneur finissait de s'habiller . Que dire d'autre de sa vêture qui me paraissait somptueuse. Un pourpoint merveilleux de soie bleue ciel avec un haut de chausse un peu plus tranché mais de tons aussi soyeux. Les chausses tendues par des jarretelles assorties en bleu plus sombre. Ses souliers à petits talons le réhaussait et sa chevelure frisée réhaussée d'un petit chapeauà plume. Sur son pourpoint de véritables perles servaient de boutons enfin un collier pendait sous son cou. Fort beau avec une croix patée et au centre une colombe. Il en était assez fier.
Tu regarde ma croix du St Esprit Titou?
Oui monseigneur elle est fort belle.
Le roi me l'a baillée pour mes actes de bravoure et un peu aussi pour la meurtrerie de quelques Guisards présomptueux. Tourne toi montre moi comment tu es fait. J'ai obéi attendant le vedict. Je trouve que le façonnier a fait du bon travail . Sais tu Titou que Notre roi est le premier à ne pas persécuter les juifs? Il travaille à la liberté des consciences. Lui est très catholique mais n'a rien contre les autres religions. On le dénigre pour cela alors que c'est un Roi juste comme tu e verras plus tard.
Oui ,c'est vrai, enfin pour toi . Il te manque un bijou et des bagues Hola que l'on amène ma cassette.
Un des valets lui a présnté une cassette point petite de laquelle il a tiré une feuille de peuplier en argent qu'il a mis à mon revers et a essayé deux bagues avec des pierres que j'ai jugé précieuses.
Bien je pense que tu me feras honneur j'ai parlé de toi à son coucher et le roi n'oublie rien, ni ses amis ni ses ennemis.
Dans la cour une carosse armoriée attendait marchepied baissé et une fois montés et installés le valet a replié le marchepied vivement avant de fermer la porte. Ce n'était pas la coche de voyage et celle ci était fort rembourrée et douillette avec des tissus fins qui recouvrait les assises et les dossiers. Le chemin de son hotel au Louvre était court mais les rues si sales et puantes que marcher eût gâché nos souliers et nos bas.
L'officier avait reconnu les armoiries et le duc ayant sorti la tête nous eûmes l'entrant. Un valet a ouvert et déplié le marchepied avant que Monseigneur descende suivi prestement de moi. Un majordome a quid de Monseigneur qui j'étais.
Mr de Nuelles dont j'ai parlé au Roi et qui désire le voir.
J'en ai ouï en effet sa Majesté en parler. Je vous demande de patienter le Roi est à sa chaise d'affaires et je pense que pour présenter Mr, il y a de meilleurs moments.
Nous attendrons en effet dans le petit cabinet attenant que le roi soi vêtu. Monseigneur m'avait fait répéter comment avancer , que regarder et comment faire une révérence à l'aulne de mon statut , enfin d'attendre que le roi me parle pour moi même répondre ou puisse le regarder.
Enfin la porte s'est ouverte sur la chambre du roi. Avant d'entrer j'ai vu sa vêture, une simple chemise et un pourpoint avec une sorte de chausson sans encore ses bas.
Entre mon cousin avec ton disciple. Le duc est entré et après moults révérences en avançant a mis un genou à terre pour baiser la main du roi.
Approchez Monsieur.
J'étais trémulant (tremblant ) mais j'ai fait maladroitement ma révérence, attendant les yeux baissés.
J'entendais Le Duc parler de moi et de mes aventures chez les barbaresques avec Mr de ...
Ah oui en effet le pauvre vit maintenant entre sa galère et sa terre, craignant de se faire dauber par des fâcheux.
Approche Titou puisque c'est ton premier nom, je t'appelerais ainsi quand nous serons seuls.
J'étais béant car il devait y avoir une bonne vingtaine de personnes dans et hors la balustrade séparant l'intime des autres nobles plus les valets.
Il a claqué dans ses mains pour que se retire les gens hors balustres. Il y a eu un frottement de vêtements et moins de bruit, seuls les familiers restant .
J'apprécie que Mr de Joyeuse t'ai amené à la cour. J'ai une façon ainsi de voir et d'entendre la vie ou une tranche de vie de mes sujets. Je sais quels services tu rends à Mr de Joyeuse et tu dois désormais te méfier des ligueux qui veulent me enfermer me jugeant fou d'accepter les protestants qui reviennet à la cour et me veulent malemort pour cela , jugeant que Mr de Guise ferait meilleur roi alors que je suis moi l'oint du seigneur.
Il faudra bien lui faire rendre gorge a dit Joyeuse.
Pas maintenant, paix Joyeuse. Le temps n'est pas venu.
Ce soir Mr le baron de Nuelles me comtera ses affres avant que le sommeil me prenne.Il fera partie des gentilshommes de mes proches.
Je n'ai pas fait attention mais une fois sorti de la chambre, le Duc de Joyeuse m'a donné une tape dans le dos.
Titou te voilà baron et en charge à la cour. Je n'attendais pas tant du roi mais il est si aimant. Tu vas devoir assister au coucher du roi jusqu'à son endormissement mais quel honneur de le servir! Baron nous allons de ce pas en informer la maisonnée et faire une petite fête en ton honneur. Mon épouse sera là jusqu'au bal mais après je compte bien faire l'honneur de mon vit au nouveau baron.
Mais qu'es ce là! Qui ose se dauber de toi? Vous messieurs? Je ne peux supporter que l'on fasse injure à un ami. Tirez votre épée si vous en êtes digne, Baron vous serez mon second dans cette affaire.
Le beau baron que voilà! Un baron de couche oui! Ses yeux étincelaient en tirant son épée.
>Je vous averti que je suis le Duc de >Joyause une des plus fines lames du royaume, retirez vous vos propos? Il avait lui aussi öté son épée du fourreau.
Tout Duc que vous soyez, vous n'en serez pas moins roide dans peu de temps.
Le second avait lui aussi tiré son épée et j'ai fait de même.
Le ferraillement fut bref pour le fâcheux, plus long pour moi mais je suis venu à bout de mon adversaire en perçant le muscle du bras ce qui lui a fait lâcher son épée. Des valets nous ont entourés et ont emmené la dépouille de l'adversaire du duc suivi par son second qui se tenait le bras.
Le Duc m'a pris par le bras.
Bien Baron voici votre premier sang. Il en faut tirer pour évacuer cette engeance. A un valet venu s'encquérir du chamaillis pour rendre compte au roi. Joyeuse à dit avoir soigné définitivement un ligueux qui aubait son nouveau baron qui s'est fort bien comporté, blessant son second. Nous sommes repartis en sa carosse avertir sa mesnie (la maisonnée, les proches) de mon avancement.
Dans la cour ce ne fut que félicitations et embrassades et mon Nicolas m'est tombé dans les bras.
Ah monsieur , vous , Baron! Je ne vous en servirais que mieux.
Monsieur de Noyers encore vêtu à la diable de sa seule chemise est venu aussi me fêter comme il convenait et collé à moi j'ai du pour le retenir poser la main sur ses fesses nues sous la chemise qui a glissée un peu dévoilant son postérieur.
Sous les rires maicaux il a rabaissé la chemise disant que c'était là la seule plaie qu'il avait eu de sa vie et qu'il aimait en avoir mal.
Cette saillie fut fort bien acceuillie par tous. Ce n'est qu'une fois dans ma chambre que Nicolas a voulu être le premier à faire jouir son baron. Un peu comme si l'honneur rejaillissait sur lui. Ce qui a jailli de ma mentule a été fort abondant après la tension de la présentation royale.
Joyeuse est entré alors que Nicolas finissait. J'ai fait prévenir de te faire faire au moins sept tenues differentes, le roi aime que ses proches soient vétus de façon diffférentes.
Mais je ne pourrais jamais payer ces frais!
Allons Titou tu ignores que nomme par le roi baron et gentilhomme du couché tu recevras un boursicot (une bourse) conséquent chaque mois et tu seras à charge de l'état, en servant le roi. Je ne compte pas les petits cadeaux que le roi aime offrir à ceux qui le servent bien.