Presque frères 23
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Presque frères 23
Presque frères 23
Bon il a fallu reprendre toutes les explications à zéro, sauf que le contrat était signé et parti pour le service Key-Holder de la PK. Au mieux on pouvait faire annuler le contrat mais il fallait au moins une semaine. Ça on a préféré ne pas lui dire
Et Willy s'est mis à brailler …
– Mais pourquoi vous m'avez laissé faire ?
– Il me fatigue me disait Tommy. Je renonce ! Je te laisse te débrouiller avec lui.
– Et ça va être de ma faute maintenant.
Comme je vous le disais plus tôt, Willy ne se prend pas la tête. Et moins d'une demie heure plus tard on le voyait s'enfiler deux hamburger frite et les caca-cola qui vont avec. Ça ne lui avait pas coupé l’appétit !
– Remarquez les cousin, je vais en profite pour faire une expérience dans ma vie … Comme ce sera la seule fois que je porterait ce genre de truc … Mais ça fait pas mal au moins, parce que là … Tout le monde m'en parle … En plus je pourrai en parler … etc ... Et puis c'est quoi ça six jours dans une vie …
– Willy !
– Oui mon cousin Paco …
– On n'a pas dit six jours mais SIX SEMAINES !
– Ah oui, merde ! …
Il semblait réfléchir un moment, le regard dans le vide puis reprenait.
– Je prendrais bien une glace maintenant ! Comme celle qu'il y a dans la vitrine là bas. En fait il ne regardait pas dans le vide ...
Je vous jure, depuis ce jour ou je l'ai revu, mon cousin est resté un mystère pour moi …
On a discuté longuement toute la soirée. Si, si je dis bien ' on ' par moment Tommy et moi arrivions à glisser une phrase, bein oui, c'était surtout le cousin qui parlait …
Puis à un moment je me réveillait, le son de sa voix me berçait et je ne l'entendais plus. J'ai senti Tommy bouger à côté de moi, lui aussi était réveillé par le silence. Willy s'était endormi.
Je vous jure il est mignon quand il dort et en plus ça repose. On s'est glissé dans le lit, le grand, et rapidement on s'endormait également.
Au réveil il y avait un bug dans le lit. Le bug c'était Willy, il s'était glissé entre nous. C'est vrai qu'il est vraiment mignon quand il dort. Tommy et moi glissions du lit le plus doucement possible, Willy est vraiment trop mignon quand il dort, on ne voulait pas le réveiller puis on glissait silencieusement dans la salle de bain. On allait passer sous la douche quand il arrivait comme une furie.
– Salut les cousin ... vous avez bien dormi, moi dormi comme un loir … Il fait vraiment beau on se croirait en été mais c'est peut être parce qu'on est en été. Tu avais raison cousin, ton truc ça fait pas mal et c'est même confortable, c'est bizarre mais … et puis à la plage tu es sûr qu'on vas se faire remarquer … Ne me dites pas qu'on va pas se faire remarquer avec ce truc sur la bite …
On ressortait de la salle de bain, il continuait à parler.
On passait sur la terrasse et on préparait le petit déjeuner, jusque là, nous on n'avait pas prononcé un mot et …
– Vous étiez passé ou, je vous voyais plus ? Alors c'est ou la plage ou on va aller ? C'est pas trop loin au moins ? Enfin c'est pas grave, on est jeune et c'est pas un petit moment de vélo qui … C'est comment, il y a des dunes, des rocher et puis … Il y a des gonzesses ?
– Et tu ferais quoi avec une gonzesse ?
– Oui c'est vrai que là, je ne pourrais pas faire grand chose mais de toutes façons, ça ne changerais pas grand chose. Je suis pas déluré moi comme vous moi, je suis puceau.
On le regardait, il nous regardait sans rien dire .
– Mais vous le répétez pas hein ?
Là Tommy et moi on ne savait plus quoi dire …
– Tu veux dire que … Avant hier, cousin Willy, tu n'avais jamais …
– Tout à fait cousin Paco, jamais touché un mec et encore maintenant jamais touché une fille. Enfin j'ai bien un peu flirté, normal … et puis c'est de mon âge … Mais vous êtes bien plus vieux … Et moi je suis encore pur.
Je n'avais pas attendu qu'il ait fini de parler pour servir le café, il aurait été froid.
– Un peu moins pur depuis hier tout de même. Rajoutais-je.
– Oui mais je …
– Et puis attend un peu de t'être pris la queue de Tommy dans le cul avant de dire que tu n'est plus puceau …
Je lui avait cloué le bec. Là Willy ne répondait plus rien et on pris notre petit déjeuner en silence. Mais le silence n'a pas duré bien longtemps. Puis le temps de tout ranger et on était parti.
Il faisait beau, pas encore trop chaud on avançait vite, quelques kilomètre en vélo ne nous faisait pas peur. On l'emmenait dans un coin très ouvert, pas de rocher, une plage plate, sans la moindre dune et surtout une plage naturiste. Il y avait des hommes qui portaient un dispositif PK mais pas beaucoup, par contre les femmes, les gonzesses comme il dit, étaient toutes à poil.
On avait tout ce qu'il fallait, un parasol, tapis de plage, quelques jeux de baballes, des revues, ces trucs qu'on lance et qui planent … mais surtout aucun d'entre nous n'avais de sous vêtements. Remarquez sur la plage on n'avait pas non plus de vêtements.
Willy semblait totalement à son aise. Là je pouvais le voir bouger, courir, sauter, il était vraiment beau et il semblait s'habituer à sa cage de chasteté. C'est vrai qu'il ne la portait que depuis la veille.
– C'est délire ton truc, je peux me laisser aller sans risquer de le faire remarquer. Là par exemple on peut pas voir que je bande …
– Bein non.
– Et Tommy, il fait comment Tommy pour rester calme.
– Il se contrôle !
– Là ça m'épate. Il m'épate lui. Bon toi c'est comme moi, tu ne peux pas te contrôler, un peu comme moi, c'est courageux de renoncer à ta virilité juste pour être présentable … Je t'admire tu sais … Moi si j'ai accepté c'était juste pour vous faire plaisir et par curiosité un peu aussi. J'en ai pas besoin.
Il me faisait tout un discours puis allait faire du charme à un petit groupe de filles qui nous regardaient. On les avait remarquées, avec Tommy on surveillait l'affaire de loin. Elles s'amusaient, elles riaient et ne semblaient pas farouche, c'est vrai qu'elles avait tout de suite vu qu'il était inoffensif avec sa cage à bite.
Quelques instants plus tard on jouait à tous les six avec cette soucoupe qu'on lance et qui plane. Les filles s'amusaient de nous, s'amusaient avec nous, elles lançaient des regards ver mon ami Tommy.
Il était aussi beau que nous autres mais lui il avait une belle longue queue qui se balançait à chacun de ses mouvement. Elle pendait lourdement et c'est ça qui me provoquait une érection, c'est mon pote Tommy qui me faisait réagir. J'avais envie de lui.
Mon cousin lui était plus attiré par les poitrines fermes de nos trois nouvelles amies. Et sa cage à bite débordait, bon, c'est vrai je me moque là, la mienne aussi débordait.
Les filles nous ont rejoint, on a parlé, mais pas de cage. On s'est laissé aller mais sans câlin. On s'est détendu mais on est resté sérieux. Willy n'en pouvait plus. Il m'a dit un moment …
– Je crois que je vais craquer !
Mais l'avantage avec ce dispositif c'est que justement on ne laisse rien voire, on a aucune difficulté à dissimuler la moindre réaction physique. Willy le savait et par moment j'avais même l'impression qu'il s'exhibait. Il montrait son corps dans l'effort, il bandait ses muscles. Je devinais qu'il devait bien avoir envie de bander autre chose mais là, il y avait obstruction.
On est remonté de la plage en même temps en se promettant de se retrouver le lendemain. Nous avons alors traîné un long moment. On s'est promené en ville et avons terminé par un restau.
Le soir à la maison, Willy était énervé. Dès qu'il est entré il a retiré ses vêtements. Il était magnifique. Ça ne lui pas pris beaucoup de temps pour retrouvé à poil, il ne portait qu'un pantalon en toile légère et une chemise, légère aussi.
On faisait comme lui. Il se tripotait les couilles, il était tendu.
– Vous faites quoi dans ce cas ? Nous demandait-il.
– Suce lui la queue ! Lui conseillais-je en indiquant Tommy avec la tête.
– Tu es sûr cousin Paco.
Je faisais oui avec la tête, Tommy était plié de rire.
– Et ça va faire quoi ? Continuait Willy.
– Suce le ! Répétais-je.
Il hésitait comme s'il supposait un piège puis prenait position entre les jambes de Tommy qui s'installait bien confortablement.
– Tu te branles tous les jours ? Demandais-je à Willy.
– Pourquoi, pas toi ? Me répondait-il. Oui bon forcément pas toi, t'as pas le choix …
Puis il s'exécutait, il prenait délicatement la queue de Tommy dans la bouche. Ma queue protestait et hurlait silencieusement dans sa cage. Willy avait l'air un peu embarrassé, il n'avait pas l'habitude, sans doute encore une première fois.
Mais rapidement il se concentrait sur sa technique et Tommy me faisait signe qu'il faisait ça très bien. Il posait sa main sur la tête du cousin et le guidait, appuyait doucement puis un peu plus fort.
Il lui laissait juste la liberté de relever la tête pour respirer, Willy n'avait pas vraiment l'air convaincu mais il mettait du cœur à son ouvrage. Je me tripotais les couilles, c'est tout ce que je pouvais faire pour me faire plaisir.
Je faisais quelques commentaires pour l'encourager. Il était finalement docile mon jeune cousin, il faisait tout ce qu'on lui disait. Mais je savais bien qu'il finirait par comprendre que je m'étais un peu moqué de lui. En fait ça ne lui apporterait aucun plaisir, aucun orgasme en tout cas.
Mais il insistait, il ne lâchait. Tommy l'encourageait à sons tour. Je lui avais fait connaître le même plaisir, et pas plus tard que la veille. Je me disais que ce serait une marche en plus, après ça il serait encore un peu moins puceau qu'à son arrivée, il serait content finalement.
Il apprenait vite mon jeune cousin, rapidement il avalait la queue de Tommy sur toute sa longueur, mais il ne la gardait pas bien longtemps dans la gorge, il ne tenait pas la position.
C'est vrai que Tommy avait une grosse bite, et je sais qu'il fallait de l'entraînement pour y parvenir.
Mais à part ce détail, Willy était parfait. Tommy me le confirmait. Je voyais qu'il allait jouir.
– Quand il éjacule, tu avales ! Ordonnais-je.
Quelques instants plus tard Tommy éjaculait, pour Willy c'était la surprise, c'est toujours une surprise la première fois. Mais il était docile et avait beaucoup de bonne volonté, il avalait.
Puis il me regardait de travers !
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Bon il a fallu reprendre toutes les explications à zéro, sauf que le contrat était signé et parti pour le service Key-Holder de la PK. Au mieux on pouvait faire annuler le contrat mais il fallait au moins une semaine. Ça on a préféré ne pas lui dire
Et Willy s'est mis à brailler …
– Mais pourquoi vous m'avez laissé faire ?
– Il me fatigue me disait Tommy. Je renonce ! Je te laisse te débrouiller avec lui.
– Et ça va être de ma faute maintenant.
Comme je vous le disais plus tôt, Willy ne se prend pas la tête. Et moins d'une demie heure plus tard on le voyait s'enfiler deux hamburger frite et les caca-cola qui vont avec. Ça ne lui avait pas coupé l’appétit !
– Remarquez les cousin, je vais en profite pour faire une expérience dans ma vie … Comme ce sera la seule fois que je porterait ce genre de truc … Mais ça fait pas mal au moins, parce que là … Tout le monde m'en parle … En plus je pourrai en parler … etc ... Et puis c'est quoi ça six jours dans une vie …
– Willy !
– Oui mon cousin Paco …
– On n'a pas dit six jours mais SIX SEMAINES !
– Ah oui, merde ! …
Il semblait réfléchir un moment, le regard dans le vide puis reprenait.
– Je prendrais bien une glace maintenant ! Comme celle qu'il y a dans la vitrine là bas. En fait il ne regardait pas dans le vide ...
Je vous jure, depuis ce jour ou je l'ai revu, mon cousin est resté un mystère pour moi …
On a discuté longuement toute la soirée. Si, si je dis bien ' on ' par moment Tommy et moi arrivions à glisser une phrase, bein oui, c'était surtout le cousin qui parlait …
Puis à un moment je me réveillait, le son de sa voix me berçait et je ne l'entendais plus. J'ai senti Tommy bouger à côté de moi, lui aussi était réveillé par le silence. Willy s'était endormi.
Je vous jure il est mignon quand il dort et en plus ça repose. On s'est glissé dans le lit, le grand, et rapidement on s'endormait également.
Au réveil il y avait un bug dans le lit. Le bug c'était Willy, il s'était glissé entre nous. C'est vrai qu'il est vraiment mignon quand il dort. Tommy et moi glissions du lit le plus doucement possible, Willy est vraiment trop mignon quand il dort, on ne voulait pas le réveiller puis on glissait silencieusement dans la salle de bain. On allait passer sous la douche quand il arrivait comme une furie.
– Salut les cousin ... vous avez bien dormi, moi dormi comme un loir … Il fait vraiment beau on se croirait en été mais c'est peut être parce qu'on est en été. Tu avais raison cousin, ton truc ça fait pas mal et c'est même confortable, c'est bizarre mais … et puis à la plage tu es sûr qu'on vas se faire remarquer … Ne me dites pas qu'on va pas se faire remarquer avec ce truc sur la bite …
On ressortait de la salle de bain, il continuait à parler.
On passait sur la terrasse et on préparait le petit déjeuner, jusque là, nous on n'avait pas prononcé un mot et …
– Vous étiez passé ou, je vous voyais plus ? Alors c'est ou la plage ou on va aller ? C'est pas trop loin au moins ? Enfin c'est pas grave, on est jeune et c'est pas un petit moment de vélo qui … C'est comment, il y a des dunes, des rocher et puis … Il y a des gonzesses ?
– Et tu ferais quoi avec une gonzesse ?
– Oui c'est vrai que là, je ne pourrais pas faire grand chose mais de toutes façons, ça ne changerais pas grand chose. Je suis pas déluré moi comme vous moi, je suis puceau.
On le regardait, il nous regardait sans rien dire .
– Mais vous le répétez pas hein ?
Là Tommy et moi on ne savait plus quoi dire …
– Tu veux dire que … Avant hier, cousin Willy, tu n'avais jamais …
– Tout à fait cousin Paco, jamais touché un mec et encore maintenant jamais touché une fille. Enfin j'ai bien un peu flirté, normal … et puis c'est de mon âge … Mais vous êtes bien plus vieux … Et moi je suis encore pur.
Je n'avais pas attendu qu'il ait fini de parler pour servir le café, il aurait été froid.
– Un peu moins pur depuis hier tout de même. Rajoutais-je.
– Oui mais je …
– Et puis attend un peu de t'être pris la queue de Tommy dans le cul avant de dire que tu n'est plus puceau …
Je lui avait cloué le bec. Là Willy ne répondait plus rien et on pris notre petit déjeuner en silence. Mais le silence n'a pas duré bien longtemps. Puis le temps de tout ranger et on était parti.
Il faisait beau, pas encore trop chaud on avançait vite, quelques kilomètre en vélo ne nous faisait pas peur. On l'emmenait dans un coin très ouvert, pas de rocher, une plage plate, sans la moindre dune et surtout une plage naturiste. Il y avait des hommes qui portaient un dispositif PK mais pas beaucoup, par contre les femmes, les gonzesses comme il dit, étaient toutes à poil.
On avait tout ce qu'il fallait, un parasol, tapis de plage, quelques jeux de baballes, des revues, ces trucs qu'on lance et qui planent … mais surtout aucun d'entre nous n'avais de sous vêtements. Remarquez sur la plage on n'avait pas non plus de vêtements.
Willy semblait totalement à son aise. Là je pouvais le voir bouger, courir, sauter, il était vraiment beau et il semblait s'habituer à sa cage de chasteté. C'est vrai qu'il ne la portait que depuis la veille.
– C'est délire ton truc, je peux me laisser aller sans risquer de le faire remarquer. Là par exemple on peut pas voir que je bande …
– Bein non.
– Et Tommy, il fait comment Tommy pour rester calme.
– Il se contrôle !
– Là ça m'épate. Il m'épate lui. Bon toi c'est comme moi, tu ne peux pas te contrôler, un peu comme moi, c'est courageux de renoncer à ta virilité juste pour être présentable … Je t'admire tu sais … Moi si j'ai accepté c'était juste pour vous faire plaisir et par curiosité un peu aussi. J'en ai pas besoin.
Il me faisait tout un discours puis allait faire du charme à un petit groupe de filles qui nous regardaient. On les avait remarquées, avec Tommy on surveillait l'affaire de loin. Elles s'amusaient, elles riaient et ne semblaient pas farouche, c'est vrai qu'elles avait tout de suite vu qu'il était inoffensif avec sa cage à bite.
Quelques instants plus tard on jouait à tous les six avec cette soucoupe qu'on lance et qui plane. Les filles s'amusaient de nous, s'amusaient avec nous, elles lançaient des regards ver mon ami Tommy.
Il était aussi beau que nous autres mais lui il avait une belle longue queue qui se balançait à chacun de ses mouvement. Elle pendait lourdement et c'est ça qui me provoquait une érection, c'est mon pote Tommy qui me faisait réagir. J'avais envie de lui.
Mon cousin lui était plus attiré par les poitrines fermes de nos trois nouvelles amies. Et sa cage à bite débordait, bon, c'est vrai je me moque là, la mienne aussi débordait.
Les filles nous ont rejoint, on a parlé, mais pas de cage. On s'est laissé aller mais sans câlin. On s'est détendu mais on est resté sérieux. Willy n'en pouvait plus. Il m'a dit un moment …
– Je crois que je vais craquer !
Mais l'avantage avec ce dispositif c'est que justement on ne laisse rien voire, on a aucune difficulté à dissimuler la moindre réaction physique. Willy le savait et par moment j'avais même l'impression qu'il s'exhibait. Il montrait son corps dans l'effort, il bandait ses muscles. Je devinais qu'il devait bien avoir envie de bander autre chose mais là, il y avait obstruction.
On est remonté de la plage en même temps en se promettant de se retrouver le lendemain. Nous avons alors traîné un long moment. On s'est promené en ville et avons terminé par un restau.
Le soir à la maison, Willy était énervé. Dès qu'il est entré il a retiré ses vêtements. Il était magnifique. Ça ne lui pas pris beaucoup de temps pour retrouvé à poil, il ne portait qu'un pantalon en toile légère et une chemise, légère aussi.
On faisait comme lui. Il se tripotait les couilles, il était tendu.
– Vous faites quoi dans ce cas ? Nous demandait-il.
– Suce lui la queue ! Lui conseillais-je en indiquant Tommy avec la tête.
– Tu es sûr cousin Paco.
Je faisais oui avec la tête, Tommy était plié de rire.
– Et ça va faire quoi ? Continuait Willy.
– Suce le ! Répétais-je.
Il hésitait comme s'il supposait un piège puis prenait position entre les jambes de Tommy qui s'installait bien confortablement.
– Tu te branles tous les jours ? Demandais-je à Willy.
– Pourquoi, pas toi ? Me répondait-il. Oui bon forcément pas toi, t'as pas le choix …
Puis il s'exécutait, il prenait délicatement la queue de Tommy dans la bouche. Ma queue protestait et hurlait silencieusement dans sa cage. Willy avait l'air un peu embarrassé, il n'avait pas l'habitude, sans doute encore une première fois.
Mais rapidement il se concentrait sur sa technique et Tommy me faisait signe qu'il faisait ça très bien. Il posait sa main sur la tête du cousin et le guidait, appuyait doucement puis un peu plus fort.
Il lui laissait juste la liberté de relever la tête pour respirer, Willy n'avait pas vraiment l'air convaincu mais il mettait du cœur à son ouvrage. Je me tripotais les couilles, c'est tout ce que je pouvais faire pour me faire plaisir.
Je faisais quelques commentaires pour l'encourager. Il était finalement docile mon jeune cousin, il faisait tout ce qu'on lui disait. Mais je savais bien qu'il finirait par comprendre que je m'étais un peu moqué de lui. En fait ça ne lui apporterait aucun plaisir, aucun orgasme en tout cas.
Mais il insistait, il ne lâchait. Tommy l'encourageait à sons tour. Je lui avais fait connaître le même plaisir, et pas plus tard que la veille. Je me disais que ce serait une marche en plus, après ça il serait encore un peu moins puceau qu'à son arrivée, il serait content finalement.
Il apprenait vite mon jeune cousin, rapidement il avalait la queue de Tommy sur toute sa longueur, mais il ne la gardait pas bien longtemps dans la gorge, il ne tenait pas la position.
C'est vrai que Tommy avait une grosse bite, et je sais qu'il fallait de l'entraînement pour y parvenir.
Mais à part ce détail, Willy était parfait. Tommy me le confirmait. Je voyais qu'il allait jouir.
– Quand il éjacule, tu avales ! Ordonnais-je.
Quelques instants plus tard Tommy éjaculait, pour Willy c'était la surprise, c'est toujours une surprise la première fois. Mais il était docile et avait beaucoup de bonne volonté, il avalait.
Puis il me regardait de travers !
A suivre
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