Prêté 02

Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Prêté 02
Prêté 02
Je devais revoir Samy régulièrement. Nous devenions de plus en plus proche. Sa grosse queue ne me faisait plus peur, je n'avais plus l'impression que j'allais déchirer, pourtant elle était toujours aussi grosse. Je devais sans doute devenir de plus en plus large.
C'était un plaisir intense de le sentir me pénétrer, de me sentir envahi par cet énorme matraque. Il ne prenait plus aucune précautions, il lubrifiait bien à fond et s'enfonçait en moi tout simplement. Quelquefois s'il était pressé il en venait tout de suite au cœur du sujet. C'est lui qui décidait.
Dans ce cas, il me disait tout simplement de me déshabiller, il en faisait de même, puis il m'enculait sans autres préliminaires. C'était toujours aussi intense. Un peu violent mais j'adorais ça. Il s'enfonçait sur toute sa longueur, il écrasait son ventre contre mes fesses. Je tremblais de plaisir, un plaisir un peu douloureux mais un immense plaisir tout de même. Puis il me limais pendant un long moment.
Régulièrement il faisait des pauses, il pouvait se retirer , j'en profitais pour aller me laver si besoin et à chaque fois qu'il revenait, le plaisir était plus fort que la fois d'avant. Il me rendait fou de plaisir.
Au moment ou je jouissais, il n'était pas rare que j'éjacule, ça n'arrivait pas à chaque fois. Je pouvais aussi jouir à sec, enfin à sec pour moi. Pour lui il ne se retirait vraiment qu'après avoir pris son plaisir et avoir éjaculé dans mon cul.
Nous ne faisions pas que baiser, on sortait aussi. On allait dans un bar, ou au restaurant. On flânait. Mais c'était toujours lui qui décidait. Je pouvais suggérer, il m'écoutait et en tenais compte. Il pensait à moi, si j'avais quelque chose à dire, il m'écoutait.
Simplement en matière de sexe, c'était lui le maître, le seul maître. Il décidait de tout, de ce que je devais faire, de la position que je devais prendre et de ce qu'il allait faire. Se faire sucer ou m'enculer. Je m'en moquais, j 'aimais les deux.
Quand on dormais ensemble il y avait un truc qui me faisait très plaisir et qu'il aimait beaucoup. C'était le réveil. En général je me réveillais avant lui. Et c'est avec une extrême douceur que je le caressais. Je faisais glisser ma main sur son torse puis je descendais, son ventre, et finalement j'arrivais à son sexe. Par réflexe sa queue prenait du volume et devenait très dure, en général il ne se réveillais pas encore mais je suppose qu'il devait faire un très beau rêve à en croire les gémissements de plaisir qu'il murmurait.
Je me penchais alors sur lui et prenais son pénis dans ma bouche. Une nouvelle réaction de sa part, il semblait s'installer plus confortablement, sur le dos, sa tête s'enfonçait dans l’oreiller, il écartait ses jambes, là encore c'était des réflexe. Il dormait toujours .
Je le suçais alors avec tout mon hart et beaucoup de plaisir. Il finissait par se réveiller tout en douceur. Il sortait de ce rêve merveilleux, je le savais quand il me caressait les cheveux et que ses gémissement cessaient. Je sentais alors son corps se raidir. Oh, il ne se contractait pas, il se réveillait tout simplement, il étendait ses jambes et tout son torse. J'avalais sa queue autant que je pouvais. Ma langue glissait sur son gland, il appuyait sur ma tête, quelquefois un peu fort mais je faisais de mon mieux pour tout avaler. Son gland s'écrasait au fond de ma gorge c'était agréable pour moi et pour lui ce devait être un peut plus que cela.
Dans sa cage ma queue prenait toute la place disponible. La cage semblait de nouveau trop petite, beaucoup trop petite. Le reste de la journée elle était de taille satisfaisante mais là, avec l'érection matinale, je me sentais à l'étroit. Ça n'avait rien de confortable mais j'aimais cette sensation de confinement. Cette ferme caresse qui enveloppait mon pénis, sensation de douceur et de fermeté à la fois.
Au début c'est un peu douloureux mais par la suite c'est agréable. Si la cage est à la bonne taille, c'est même très agréable. C'est une sorte d'inconfort agréable et jouissif. Je ne pouvais plus me passer de cette frustration. Il faut bien se dire que là, le plaisir est exclusivement mental. Physiquement il n'y a aucun risque d'avoir un orgasme.
Je ne me préoccupais pas de mon sexe. Toute mon attention était centralisée sur lui. Sa queue était tellement belle, tellement ferme, tellement grosse. Je pensais au moment ou il me la garerait dans le cul. C'était rare au réveil.
Au réveil le plaisir était pour lui, la frustration était pour moi. Mais la frustration, ma frustration était aussi une partie du plaisir. Devoir attendre le moment ou il déciderait de se vider en moi.
Le plus souvent c'est dans ma bouche qu'il se vidait. Il avait appris en quelques semaines à ne plus se préoccuper de moi, de mon plaisir et de mes désirs. J'étais en très peu de temps devenu son vide couille.
Ses attentions envers moi étaient nombreuses, sauf au niveau du sexe. À ce niveau là c'était son seul plaisir qui comptait. Il ne me parlait jamais de retirer ma cage, cette situation lui convenait. C'est vrai que c'était moi qui l'avait proposé. Quelquefois je me demandais si je n'aurais pas du y réfléchir un peu plus. Mais la seconde suivante je n'y aurais renoncé, à aucun prix !
Un soir il m'invitais à une soirée qu'il allait passer avec des amis. Je le retrouvais chez lui. Il était très bien habillé, j'étais en tenue décontractée.
– Il fallait me dire que c'était une soirée habillée ! Lui faisais-je remarqué.
– Ne t'inquiète pas de cela, tu es très bien comme tu es.
– Si tu le dis.
Nous arrivions dans une grande maison. Il y avait un homme jeune, très bien bâti qui nous recevais.
– Je te présente Terry, c'est notre hôte.
– C'est lui ? Demandait Terry.
– C'est lui ! Confirmait Samy.
Terry et Samy s'embrassaient d'une manière qui était plus que seulement amicale puis Terry se penchait vers moi et me donnait un baiser très chaleureux, pour ne pas dire très chaud.
Terry était lui aussi très bien habillé, comme pour une soirée mondaine. Je me sentais un peu débraillé à côté de ces deux là. Ma tenue n'avait rien d'exceptionnelle, blue djean, basket et T shirt. Samy me posait la main sur la nuque et me poussait doucement en avant. Je suivais Terry. On entrait dans une grande salle très luxueuse. Il y avait plusieurs canapés des fauteuils et un feu de cheminée qui mettait une ambiance très chaleureuses. Trois autres hommes discutaient autour du feu. Eux aussi étaient très bien habillés.
Tout le monde avait le sourire en me voyant.
– C'est lui ? Demandait un des trois hommes.
– C'est lui ! Répondait Terry.
Je ne comprenais pas tout se qu'il se passait, mais bon … Ils avait l'air gentils et souriant. Je leur souriais en retour. Ils se ressemblaient un peu par leur carrure. Tous très bien bâtis.
– Bien je vais vous laisser ! Déclarait Samy en saluant les trois autres hommes.
Il n'était pas arrivé que déjà il repartait. Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il faisait mais je m’apprêtais à le suivre.
– Non tu restes là toi ! me disait Terry.
Samy passait son bras autour de moi et m'embrassait sur les lèvres, il me retournait alors face à nos hôtes et déclarait.
Je vous le prête, ne me l’abîmez pas mais amusez vous bien avec. Je le récupère demain dans la journée.
Ça je ne m'y attendais pas . Mais les quatre hommes étaient bien foutus et très beaux gosses. Je n'étais finalement pas fâché, Déconcerté mais pas fâché.
Il devaient m'expliquer plus tard qu'ils m'avaient emprunté à leur pote Samy pour se faire une petite soirée entre hommes. Ils attendaient encore quelqu'un. Un autre de leurs ami qui fêtait son anniversaire. Ils me proposaient de m'installer et de prendre un verre.
On me présentait Jonas, Eliot et Jonathan. Trois beaux gaillards bien carrés, bien bâtis. On ne me disait rien sur leur projets de la soirée. Samy était repartis, je ne savais pas ou j'étais, et j'étais sans moyen de transport. Je n'avais pas trop le choix. Et puis en plus on m'avait prêté.
Il n'a pas fallu attendre bien longtemps pour qu'un des quatre me demande de leur montrer ma cage à bite. Ça je ne vous cacherais pas que ça ne m'a pas surpris. C'est dons sans faire de manière que je m'exécutais. Je me levais et je baissais mon pantalon. Je n'avais pas de sous vêtements.
Ils regardaient cela avec un peu de surprise mais beaucoup d'intérêt. Il me faisait circuler entre eux, regardaient la chose de plus près. Il ne se retenaient pas de toucher, avec délicatesse je vous rassure.
– C'est génial ça. Déclarait Eliot. Moi aussi je veux un vide couille comme ça.
Je pouvais deviner une bosse qui apparaissait dans l'entre jambe de chacun de ces hommes. Ma bite se manifestait elle aussi, ils ne le remarquaient pas vraiment mais moi je le sentais bien. Elle prenait toute la place, et poussait contre les barreaux de la cage. C'était frustrant, un peu humiliant de me retrouver le pantalon sur les chevilles devant cette bande d'hommes totalement inconnus. J'avais compris que je devais leur obéir, tout comme je faisais avec Samy. Mais il faut bien se dire qu'ils étaient terriblement sexy.
J'étais passé entre les mains de chacun d'entre eux. Ils m'avaient longuement tripoté les couilles et avaient joué avec ma cage.
– Tu ne bandes donc jamais ? Me demandait Jonas.
– Bein là je bande mais on ne voit rien, c'est le mieux que je peux faire !
Ils prenaient le temps de me connaître et me posaient tout un tas de questions dans ce genre, me demandant si ça fait mal par exemple.
On sonnait à la porte.
– Rhabille toi vite ! M'ordonnait Terry. Ça doit être François.
Il ne me fallait que quelques instants pour remonter mon pantalon et bien l'ajuster. J'étais présentable. Terry était allé ouvrir, c'était bien François. Ils revenaient tous les deux, on me présentait.
François me serrait la main, c'est vrai qu'il ne me connaissait pas mais il embrassait les autres. Ils se connaissaient très bien c'était évident.
– On t'as préparé une petite surprise. Déclarait Jonathan.
– Et la surprise … c'est lui ! Déclarait Terry en me tenant fermement par les épaules et en me poussant ver François.
– Pas mal ! Répondait François. Et vous l'avez trouvé ou ?
– C'est Samy qui nous l'a prêté.
Prêté ? Bigre ? C'est un mot qui implique quelque chose de particulier .
– Il est mignon ? Tu ne trouves pas ? Demandait Jonathan.
– Il est adorable ! Répondait François.
– Et tu peux le retourner dans tous les sens ! Rajoutait Eliot.
– Vraiment ?
– C'est en tous cas ce que nous à promis Samy.
– C'est le doudou de Samy ? Demandait François.
– Bein oui, et il a accepté de le prêter pour ton anniversaire.
François me regardait avec un large sourire, son regard partait de mes yeux et descendait lentement vers mon pantalon. Ma cage laissait apparaître une bosse intéressante mais suspecte. Le dessin de ma cage pouvait se voir en effet au travers du tissus.
Son sourire devenait plus large il ne cachait pas qu'il aimait ce qu'il voyait. Je me demandais s'il était au courant. C'était probablement le cas. Il s'approchait de moi et posait doucement sa main sur mon cou, juste en dessous de mon menton.
...
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Je devais revoir Samy régulièrement. Nous devenions de plus en plus proche. Sa grosse queue ne me faisait plus peur, je n'avais plus l'impression que j'allais déchirer, pourtant elle était toujours aussi grosse. Je devais sans doute devenir de plus en plus large.
C'était un plaisir intense de le sentir me pénétrer, de me sentir envahi par cet énorme matraque. Il ne prenait plus aucune précautions, il lubrifiait bien à fond et s'enfonçait en moi tout simplement. Quelquefois s'il était pressé il en venait tout de suite au cœur du sujet. C'est lui qui décidait.
Dans ce cas, il me disait tout simplement de me déshabiller, il en faisait de même, puis il m'enculait sans autres préliminaires. C'était toujours aussi intense. Un peu violent mais j'adorais ça. Il s'enfonçait sur toute sa longueur, il écrasait son ventre contre mes fesses. Je tremblais de plaisir, un plaisir un peu douloureux mais un immense plaisir tout de même. Puis il me limais pendant un long moment.
Régulièrement il faisait des pauses, il pouvait se retirer , j'en profitais pour aller me laver si besoin et à chaque fois qu'il revenait, le plaisir était plus fort que la fois d'avant. Il me rendait fou de plaisir.
Au moment ou je jouissais, il n'était pas rare que j'éjacule, ça n'arrivait pas à chaque fois. Je pouvais aussi jouir à sec, enfin à sec pour moi. Pour lui il ne se retirait vraiment qu'après avoir pris son plaisir et avoir éjaculé dans mon cul.
Nous ne faisions pas que baiser, on sortait aussi. On allait dans un bar, ou au restaurant. On flânait. Mais c'était toujours lui qui décidait. Je pouvais suggérer, il m'écoutait et en tenais compte. Il pensait à moi, si j'avais quelque chose à dire, il m'écoutait.
Simplement en matière de sexe, c'était lui le maître, le seul maître. Il décidait de tout, de ce que je devais faire, de la position que je devais prendre et de ce qu'il allait faire. Se faire sucer ou m'enculer. Je m'en moquais, j 'aimais les deux.
Quand on dormais ensemble il y avait un truc qui me faisait très plaisir et qu'il aimait beaucoup. C'était le réveil. En général je me réveillais avant lui. Et c'est avec une extrême douceur que je le caressais. Je faisais glisser ma main sur son torse puis je descendais, son ventre, et finalement j'arrivais à son sexe. Par réflexe sa queue prenait du volume et devenait très dure, en général il ne se réveillais pas encore mais je suppose qu'il devait faire un très beau rêve à en croire les gémissements de plaisir qu'il murmurait.
Je me penchais alors sur lui et prenais son pénis dans ma bouche. Une nouvelle réaction de sa part, il semblait s'installer plus confortablement, sur le dos, sa tête s'enfonçait dans l’oreiller, il écartait ses jambes, là encore c'était des réflexe. Il dormait toujours .
Je le suçais alors avec tout mon hart et beaucoup de plaisir. Il finissait par se réveiller tout en douceur. Il sortait de ce rêve merveilleux, je le savais quand il me caressait les cheveux et que ses gémissement cessaient. Je sentais alors son corps se raidir. Oh, il ne se contractait pas, il se réveillait tout simplement, il étendait ses jambes et tout son torse. J'avalais sa queue autant que je pouvais. Ma langue glissait sur son gland, il appuyait sur ma tête, quelquefois un peu fort mais je faisais de mon mieux pour tout avaler. Son gland s'écrasait au fond de ma gorge c'était agréable pour moi et pour lui ce devait être un peut plus que cela.
Dans sa cage ma queue prenait toute la place disponible. La cage semblait de nouveau trop petite, beaucoup trop petite. Le reste de la journée elle était de taille satisfaisante mais là, avec l'érection matinale, je me sentais à l'étroit. Ça n'avait rien de confortable mais j'aimais cette sensation de confinement. Cette ferme caresse qui enveloppait mon pénis, sensation de douceur et de fermeté à la fois.
Au début c'est un peu douloureux mais par la suite c'est agréable. Si la cage est à la bonne taille, c'est même très agréable. C'est une sorte d'inconfort agréable et jouissif. Je ne pouvais plus me passer de cette frustration. Il faut bien se dire que là, le plaisir est exclusivement mental. Physiquement il n'y a aucun risque d'avoir un orgasme.
Je ne me préoccupais pas de mon sexe. Toute mon attention était centralisée sur lui. Sa queue était tellement belle, tellement ferme, tellement grosse. Je pensais au moment ou il me la garerait dans le cul. C'était rare au réveil.
Au réveil le plaisir était pour lui, la frustration était pour moi. Mais la frustration, ma frustration était aussi une partie du plaisir. Devoir attendre le moment ou il déciderait de se vider en moi.
Le plus souvent c'est dans ma bouche qu'il se vidait. Il avait appris en quelques semaines à ne plus se préoccuper de moi, de mon plaisir et de mes désirs. J'étais en très peu de temps devenu son vide couille.
Ses attentions envers moi étaient nombreuses, sauf au niveau du sexe. À ce niveau là c'était son seul plaisir qui comptait. Il ne me parlait jamais de retirer ma cage, cette situation lui convenait. C'est vrai que c'était moi qui l'avait proposé. Quelquefois je me demandais si je n'aurais pas du y réfléchir un peu plus. Mais la seconde suivante je n'y aurais renoncé, à aucun prix !
Un soir il m'invitais à une soirée qu'il allait passer avec des amis. Je le retrouvais chez lui. Il était très bien habillé, j'étais en tenue décontractée.
– Il fallait me dire que c'était une soirée habillée ! Lui faisais-je remarqué.
– Ne t'inquiète pas de cela, tu es très bien comme tu es.
– Si tu le dis.
Nous arrivions dans une grande maison. Il y avait un homme jeune, très bien bâti qui nous recevais.
– Je te présente Terry, c'est notre hôte.
– C'est lui ? Demandait Terry.
– C'est lui ! Confirmait Samy.
Terry et Samy s'embrassaient d'une manière qui était plus que seulement amicale puis Terry se penchait vers moi et me donnait un baiser très chaleureux, pour ne pas dire très chaud.
Terry était lui aussi très bien habillé, comme pour une soirée mondaine. Je me sentais un peu débraillé à côté de ces deux là. Ma tenue n'avait rien d'exceptionnelle, blue djean, basket et T shirt. Samy me posait la main sur la nuque et me poussait doucement en avant. Je suivais Terry. On entrait dans une grande salle très luxueuse. Il y avait plusieurs canapés des fauteuils et un feu de cheminée qui mettait une ambiance très chaleureuses. Trois autres hommes discutaient autour du feu. Eux aussi étaient très bien habillés.
Tout le monde avait le sourire en me voyant.
– C'est lui ? Demandait un des trois hommes.
– C'est lui ! Répondait Terry.
Je ne comprenais pas tout se qu'il se passait, mais bon … Ils avait l'air gentils et souriant. Je leur souriais en retour. Ils se ressemblaient un peu par leur carrure. Tous très bien bâtis.
– Bien je vais vous laisser ! Déclarait Samy en saluant les trois autres hommes.
Il n'était pas arrivé que déjà il repartait. Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il faisait mais je m’apprêtais à le suivre.
– Non tu restes là toi ! me disait Terry.
Samy passait son bras autour de moi et m'embrassait sur les lèvres, il me retournait alors face à nos hôtes et déclarait.
Je vous le prête, ne me l’abîmez pas mais amusez vous bien avec. Je le récupère demain dans la journée.
Ça je ne m'y attendais pas . Mais les quatre hommes étaient bien foutus et très beaux gosses. Je n'étais finalement pas fâché, Déconcerté mais pas fâché.
Il devaient m'expliquer plus tard qu'ils m'avaient emprunté à leur pote Samy pour se faire une petite soirée entre hommes. Ils attendaient encore quelqu'un. Un autre de leurs ami qui fêtait son anniversaire. Ils me proposaient de m'installer et de prendre un verre.
On me présentait Jonas, Eliot et Jonathan. Trois beaux gaillards bien carrés, bien bâtis. On ne me disait rien sur leur projets de la soirée. Samy était repartis, je ne savais pas ou j'étais, et j'étais sans moyen de transport. Je n'avais pas trop le choix. Et puis en plus on m'avait prêté.
Il n'a pas fallu attendre bien longtemps pour qu'un des quatre me demande de leur montrer ma cage à bite. Ça je ne vous cacherais pas que ça ne m'a pas surpris. C'est dons sans faire de manière que je m'exécutais. Je me levais et je baissais mon pantalon. Je n'avais pas de sous vêtements.
Ils regardaient cela avec un peu de surprise mais beaucoup d'intérêt. Il me faisait circuler entre eux, regardaient la chose de plus près. Il ne se retenaient pas de toucher, avec délicatesse je vous rassure.
– C'est génial ça. Déclarait Eliot. Moi aussi je veux un vide couille comme ça.
Je pouvais deviner une bosse qui apparaissait dans l'entre jambe de chacun de ces hommes. Ma bite se manifestait elle aussi, ils ne le remarquaient pas vraiment mais moi je le sentais bien. Elle prenait toute la place, et poussait contre les barreaux de la cage. C'était frustrant, un peu humiliant de me retrouver le pantalon sur les chevilles devant cette bande d'hommes totalement inconnus. J'avais compris que je devais leur obéir, tout comme je faisais avec Samy. Mais il faut bien se dire qu'ils étaient terriblement sexy.
J'étais passé entre les mains de chacun d'entre eux. Ils m'avaient longuement tripoté les couilles et avaient joué avec ma cage.
– Tu ne bandes donc jamais ? Me demandait Jonas.
– Bein là je bande mais on ne voit rien, c'est le mieux que je peux faire !
Ils prenaient le temps de me connaître et me posaient tout un tas de questions dans ce genre, me demandant si ça fait mal par exemple.
On sonnait à la porte.
– Rhabille toi vite ! M'ordonnait Terry. Ça doit être François.
Il ne me fallait que quelques instants pour remonter mon pantalon et bien l'ajuster. J'étais présentable. Terry était allé ouvrir, c'était bien François. Ils revenaient tous les deux, on me présentait.
François me serrait la main, c'est vrai qu'il ne me connaissait pas mais il embrassait les autres. Ils se connaissaient très bien c'était évident.
– On t'as préparé une petite surprise. Déclarait Jonathan.
– Et la surprise … c'est lui ! Déclarait Terry en me tenant fermement par les épaules et en me poussant ver François.
– Pas mal ! Répondait François. Et vous l'avez trouvé ou ?
– C'est Samy qui nous l'a prêté.
Prêté ? Bigre ? C'est un mot qui implique quelque chose de particulier .
– Il est mignon ? Tu ne trouves pas ? Demandait Jonathan.
– Il est adorable ! Répondait François.
– Et tu peux le retourner dans tous les sens ! Rajoutait Eliot.
– Vraiment ?
– C'est en tous cas ce que nous à promis Samy.
– C'est le doudou de Samy ? Demandait François.
– Bein oui, et il a accepté de le prêter pour ton anniversaire.
François me regardait avec un large sourire, son regard partait de mes yeux et descendait lentement vers mon pantalon. Ma cage laissait apparaître une bosse intéressante mais suspecte. Le dessin de ma cage pouvait se voir en effet au travers du tissus.
Son sourire devenait plus large il ne cachait pas qu'il aimait ce qu'il voyait. Je me demandais s'il était au courant. C'était probablement le cas. Il s'approchait de moi et posait doucement sa main sur mon cou, juste en dessous de mon menton.
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