Prêté 03

Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 710 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 681 706 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 820 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Prêté 03
Prêté 03
François posait sa main sur ma joue, j'inclinais légèrement ma tête sur sa main. C'était une caresse douce et virile. Il avait une main forte mais douce. Il glissait son pouce dans ma bouche, je le suçais, un peu comme on suce une tétine ou quand on est plus âgé, un peu plus gros, une grosse bite par exemple.
Ses quatre camarades nous regardaient, ils avaient l'air amusé, comme si il y avait une cacherie. Je regardais François, il était bel homme et me plaisait bien, je n'avais aucune intention de lui résister. Je pouvais voir une belle grosse bosse qui apparaissait au niveau de son entre jambe.
Sans prévenir, par surprise il ouvrait son pantalon et il en sortait une grosse bite, bien longue et bien large. J'étais aux anges et sans attendre qu'il ne me le demande je plongeais mon visage dessus et la prenait dans ma bouche.
Je passais ma langue autour de son gland, il était circoncis, j'aime bien les queue qui le sont. J'étais gâté,il avait un gland large et lisse qui brillait à la lumière de la cheminée. Oui je sais mais j'ai eu comme un moment de poésie dans ma tête alors je le prenais dans ma bouche.
Il me caressait la tête, ses camarades s'étaient rapprochés. Il le déshabillaient, lui retiraient sa chemise et en relevant les yeux je découvrais un corps parfait, une très belle tablette de chocolat qui en avait aussi la couleur. Je pausait un baiser sur le bas de son ventre puis en revenait à sa queue.
J'appuyais mon visage contre lui, mes lèvres se refermaient autour de la base de son pénis et mon nez s'écrasait sur son ventre. Sa queue, pourtant de belle taille entrait totalement dans ma bouche et s'écrasait dans ma gorge.
Son pantalon tombait, je me retirais au moment ou il relevait les jambes pour le retirer totalement. Je lui caressait alors les cuisses, je glissais ma main sur ses couilles, sur sa queue qui se redressait toujours dans ma direction puis je la prenais de nouveau dans ma bouche.
Je sentais des mains qui se posaient dur moi, un peu partout. Sur ma tête, on me poussait en avant et la queue de François s'enfonçait, on me tirait en arrière et elle ressortait. Je ne contrôlais plus rien. Je me laissais faire. Des mains glissaient aussi sur mon torse, sous ma chemise, d'autre sur mes cuisses .
Les boutons de ma chemise sautaient un à un. Ma ceinture s'ouvrait aussi. On me caressait le torse et le dos au moment ou on me retirait ma chemise. Plusieurs mains glissaient dans mon pantalon, on m'ouvrait ma braguette. Je me retrouvais rapidement torse nue et un peu débraillé, mais je continuais à sucer mon partenaire François.
Il se penchait vers moi, me relevait en passant ses mains sous mes bras. Mon pantalon glissait sur mes chevilles. François s'en amusait, il en profitait pour mieux me regarder. Il n'avait pas encore vu ma cage à bite et au moment ou il l'a vue, il a pouffé de rire.
– Wouah ! Trop génial ce truc ! J'adore !
Je me retrouvais entièrement nu devant lui. Ses camarades continuaient à me caresser, leurs mains glissait sur moi, tout particulièrement sur les partie les plus intimes de mon anatomie.
François me prenait dans ses bras, me serrait fermement et m'embrassait. Les autres nous caressaient, je sentais leurs mains qui glissaient entre lui et moi, sur mon ventre, sur son ventre, sur mes couilles ou sur son sexe. Il bandait, moi j'aurais bien voulu à cet instant, oui, là j'aurais bien voulu. Il y a des moments comme ce jour là ou j'ai envie de retirer mon dispositif. Heureusement ça ne dure pas !
Des mains glissaient entre mes cuisses, entre mes fesses, un doigt glissait dans mon cul. Au début, ça résistait mais rapidement je sentais qu'on me passait du gel et là ça allait mieux, un puis deux doigts entraient et glissaient facilement en moi. Ils me dilataient le cul, me préparait à plus gros.
François me retenait, il me souriait, il était beau et je le désirais, je désirais qu'il me prenne, qu'il me défonce le cul. Toutefois je restais calme, je ne montrais pas mon impatience. Je savais qu'il n'y avait pas urgence, que tout viendrait au moment voulu.
Je me penchais encore en avant et de nouveau je prenais sa bite dans ma bouche, de nouveau je lui suçait généreusement la bite. Je le sentais tressaillir et je l'entendais gémir de plaisir. Il me donnait quelques coups de bassin qui m'allaient directement à la gorge. Avec ma langue je lui caressais la queue, son gland me caressait le fond de la gorge.
Il se retirait rapidement et m'ordonnait de me retourner.
Je pivotais sur moi même, toutes les mains qui me caressaient m'accompagnaient dans mes mouvements. Je me penchais en avant en m'appuyant sur le rebord d'un fauteuil. Sans que je sache qui en était responsable je me prenais alors une autre queue dans la bouche. Je suçais.
Au point ou j'en étais, je ne me posais plus de question. Si un morceau de peau passait à portée de main, je le caressais, si une queue portait à portée de bouche, je la suçais.
Et toujours ces mains qui me parcouraient le corps, toujours quelques doigts qui me lubrifiaient le cul. Je le sentais, je le devinais, les mains de François en faisaient partie. Puis je sentais ses mains me saisir par les hanches. J'aime bien sentir cette force virile et il était fort et virile.
Je sentais aussi son gland s'écraser contre mon cul, là c'est moi qui gémissais bien que j'avais la bouche pleine. Je ne sais pas lequel de mes hôtes en profitait pour s'enfoncer encore plus profond dans ma gorge, puis je ne gémissais plus, là je ne pouvais même plus respirer.
Il me tenait la tête bien fermement pendant que François poussait fort contre moi. Mon cul se dilatait, je me sentais pénétré par une masse très volumineux. Sa queue s'enfonçait rapidement, avec force. Je la sentais glisser sur toute sa longueur, il était décidé. Pour finir son ventre s'écrasait contre mes fesses et son gland s'écrasait je ne sais ou au fond de mes entrailles.
Il ressortait puis revenait, toujours aussi décidé. Il me dilatait le cul. C'était bon. Un autre gars me tripotait les couilles, un autre encore me caressait tout le corps et un me remplissait la bouche jusqu'au nombril. Un instant une image m'a traversé l'esprit. Je les imaginais se rencontrer quelque part au milieu de mon ventre. C'était de la folie.
Puis ils se sont énervé, l'un rentrait bien à fond pendant que l'autre ressortait, ensuite c'était le contraire. Je tenais le coup, je me laissais faire. C'était intense mais il y avait du plaisir, pas que certes, mais beaucoup de plaisir tout de même.
Le gars qui me limait la bouche se retirait, j'en profitais pour avaler ma salive mais ce moment de calme ne devait pas durer, un autre le remplaçait et à son tour il ne se retenait pas, il était bien monté aussi, à croire que j'étais tombé sur un nid de grosse queue.
C'est vrais que j'aime bien les grosses queue, mais là, j'aurais bien voulu un peu plus de calme. Aucun d'entre eux ne semblait vouloir m'en donner.
François se retirait. Il ressortait complètement, j'aurais presque pu respirer si seulement … Mais bon l'autre dans ma gorge ne me lâchait pas, il me tirait la tête contre lui, je suivais, c'est vrai que je n'avais pas vraiment le choix mais j'aurais pu me dégager, au moins essayer. Je n'ai rien fait. Je sentais mon cul se détendre, je récupérais sans doute.
C'est brusquement, avec force et même une certaine violence que François revenait à la charge. Il s'enfonçait brusquement, sans prévenir bien à fond. Je me suis contracter mais j'ai encaissé, je me suis laissé faire et le plaisir montait rapidement un peu plus que juste avant la pause. Là j'ai commencé à trembler. Il me limait ainsi avec force pendant un long moment, une autre bite passait dans ma bouche.
Un me pinçait les tétons, il me faisait presque mal, un autre me tripotait vigoureusement les couilles un encore appuyait sur ma tête. Je commençais à résister, à tenter de me dégager. Ils me laissaient un peu plus de liberté de mouvement un instant puis il me saisissaient de nouveau et tout recommençait. Ça faisait un long moment que j'étais la victime de ces cinq gaillards virils.
Je le sentais, je n'étais plus que leur jouet. On me tripotait, on me retournait, on m'enculait, on me remplissait la bouche. On faisait attention à moi, attention à ne pas me blesser, attention à ce que je ne manque pas d'air, que je puisse respirer.
C'est peut être à ce moment que j'ai remarqué que ce n'était plus François qui me limait le cul. Si mon doudou m'avait prêté, les bénéficiaire de ce prêt me partageaient.
Je ne sais pas, je n'ai pas pu voir, qui à commencé à jouir. Je me souviens d'une grosse queue juste devant mon nez, le gars se masturbait, je l'entendais respirer fort, je l'entendais pousser des gémissement puis finalement un cri de plaisir. Et je me prenais alors plusieurs giclées de sperme dans la figure, dans les yeux, sur le nez, sur les cheveux aussi.
Ensuite il m'enfonçait sa queue dans la bouche et je prenais les dernière gouttes de sperme dans la gorge, c'était bon. J'avalais et je recevais une autre queue dans le bouche. Je ne savais plus qui faisait quoi. Je ne voyais plus très bien ce qui se passait.
C'était un autre ou pas mais après une pause, encore une, on me limait de nouveau le cul et le plaisir montait encore plus, je gémissais. Je me prenait une autre giclée de sperme sur les cheveux, sur le dos, sur la figure. Puis une autre.
C'était des gémissements de plaisir qui s'entendaient et tous râlaient fort. Je me prenais encore quelques giclées de sperme, je me sentais couvert de sperme, je l'étais.
Je ne sais pas combien de temps ils se sont amusé avec moi. Mais je vous jure qu'ils se sont amusé. J'étais à quatre patte sur une sorte de tapis et je ne comprenais plus rien au moment ou la tension est retombée.
C'est très rapidement que tout se calmais, on me lâchait. Encore quelques caresses sur mon cul ou sur mon dos puis seules les caresses sur mes couilles. Il y en avait toujours un qui me tripotait les couilles, c'était pas toujours le même qui me tripotait les couilles depuis le début.
Ils rigolaient, il discutaient et je ne comprenais plus trop ce qui se passait ni ce qu'ils racontaient.
Brusquement sans prévenir je sentait quelques mains s'emparer de moi, me soulever et m'entraîner vers la salle de bain. On me posait sous la douche, je tenais à peine debout. Ils se serraient contre moi et me caressaient en me passant du gel douche un peu partout.
Un me nettoyait les couilles et un autre me lavait les cheveux. Je décidais de me laisser faire. Ce n'était finalement pas désagréable. J'avais joui, pas comme on le fait normalement avec la queue, mais j'avais joui. Le plaisir avait monté pendant un long moment puis tout mon corps avait tremblé et j 'avais joui avec tout mon corps. Un peu comme sous la douche à ce moment. Je n'avais pas éjaculé, enfin je ne pense pas mais là je vous jure que je n'était plus sûr de rien.
Je sentait toujours une infinie fatigue, mais je parvenais à tenir debout tout seul. On me lavait le cul en y glissant quelques doigts, je bandais toujours dans ma cage et ma bite était sous pression.
C'est à ce moment que j'ai éjaculé, j'ai joui de nouveau.
Ils ont terminé ma douche, m'ont couvert d'une serviette pour m'essuyer, m'ont généreusement frictionné et c'est finalement tout propre et tout sec que je me retrouvais dans le salon, à côté de la cheminée. Tout propre, tout sec et tout nu.
Je me sentais bien et je me suis rapidement endormi.
Quand je me suis réveillé le lendemain, j'étais dans les bras de François, il était endormi contre moi, nous étions sur le canapé, la température était douce, il y avait encore du feu dans la cheminée, quelqu'un l'avait rechargé pendant que je dormais. Je me sentais bien même si ne j'avais rien sur moi.
Puis tout le monde s'est réveillé, on m'a servi un petit déjeuner et on m' finalement rendu mes vêtements. Tout le monde s'est rhabillé, on m'a rhabillé. Ils continuaient à s'amuser avec moi, un peu comme une poupée qu'on habille .
C'est en fin d'après midi que François est passé pour me récupérer.
– Alors il a été sage ? Demandait-il à mes camarades
Tous répondaient oui, sans réserve et moi je hochait la tête de haut en bas pour confirmer. Ensuite on est reparti, je le suivais, sans oublier de saluer les autres. On avait échangé nos numéro de téléphone et je sortais avec un large sourire affiché sur ma figure !
FIN
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
François posait sa main sur ma joue, j'inclinais légèrement ma tête sur sa main. C'était une caresse douce et virile. Il avait une main forte mais douce. Il glissait son pouce dans ma bouche, je le suçais, un peu comme on suce une tétine ou quand on est plus âgé, un peu plus gros, une grosse bite par exemple.
Ses quatre camarades nous regardaient, ils avaient l'air amusé, comme si il y avait une cacherie. Je regardais François, il était bel homme et me plaisait bien, je n'avais aucune intention de lui résister. Je pouvais voir une belle grosse bosse qui apparaissait au niveau de son entre jambe.
Sans prévenir, par surprise il ouvrait son pantalon et il en sortait une grosse bite, bien longue et bien large. J'étais aux anges et sans attendre qu'il ne me le demande je plongeais mon visage dessus et la prenait dans ma bouche.
Je passais ma langue autour de son gland, il était circoncis, j'aime bien les queue qui le sont. J'étais gâté,il avait un gland large et lisse qui brillait à la lumière de la cheminée. Oui je sais mais j'ai eu comme un moment de poésie dans ma tête alors je le prenais dans ma bouche.
Il me caressait la tête, ses camarades s'étaient rapprochés. Il le déshabillaient, lui retiraient sa chemise et en relevant les yeux je découvrais un corps parfait, une très belle tablette de chocolat qui en avait aussi la couleur. Je pausait un baiser sur le bas de son ventre puis en revenait à sa queue.
J'appuyais mon visage contre lui, mes lèvres se refermaient autour de la base de son pénis et mon nez s'écrasait sur son ventre. Sa queue, pourtant de belle taille entrait totalement dans ma bouche et s'écrasait dans ma gorge.
Son pantalon tombait, je me retirais au moment ou il relevait les jambes pour le retirer totalement. Je lui caressait alors les cuisses, je glissais ma main sur ses couilles, sur sa queue qui se redressait toujours dans ma direction puis je la prenais de nouveau dans ma bouche.
Je sentais des mains qui se posaient dur moi, un peu partout. Sur ma tête, on me poussait en avant et la queue de François s'enfonçait, on me tirait en arrière et elle ressortait. Je ne contrôlais plus rien. Je me laissais faire. Des mains glissaient aussi sur mon torse, sous ma chemise, d'autre sur mes cuisses .
Les boutons de ma chemise sautaient un à un. Ma ceinture s'ouvrait aussi. On me caressait le torse et le dos au moment ou on me retirait ma chemise. Plusieurs mains glissaient dans mon pantalon, on m'ouvrait ma braguette. Je me retrouvais rapidement torse nue et un peu débraillé, mais je continuais à sucer mon partenaire François.
Il se penchait vers moi, me relevait en passant ses mains sous mes bras. Mon pantalon glissait sur mes chevilles. François s'en amusait, il en profitait pour mieux me regarder. Il n'avait pas encore vu ma cage à bite et au moment ou il l'a vue, il a pouffé de rire.
– Wouah ! Trop génial ce truc ! J'adore !
Je me retrouvais entièrement nu devant lui. Ses camarades continuaient à me caresser, leurs mains glissait sur moi, tout particulièrement sur les partie les plus intimes de mon anatomie.
François me prenait dans ses bras, me serrait fermement et m'embrassait. Les autres nous caressaient, je sentais leurs mains qui glissaient entre lui et moi, sur mon ventre, sur son ventre, sur mes couilles ou sur son sexe. Il bandait, moi j'aurais bien voulu à cet instant, oui, là j'aurais bien voulu. Il y a des moments comme ce jour là ou j'ai envie de retirer mon dispositif. Heureusement ça ne dure pas !
Des mains glissaient entre mes cuisses, entre mes fesses, un doigt glissait dans mon cul. Au début, ça résistait mais rapidement je sentais qu'on me passait du gel et là ça allait mieux, un puis deux doigts entraient et glissaient facilement en moi. Ils me dilataient le cul, me préparait à plus gros.
François me retenait, il me souriait, il était beau et je le désirais, je désirais qu'il me prenne, qu'il me défonce le cul. Toutefois je restais calme, je ne montrais pas mon impatience. Je savais qu'il n'y avait pas urgence, que tout viendrait au moment voulu.
Je me penchais encore en avant et de nouveau je prenais sa bite dans ma bouche, de nouveau je lui suçait généreusement la bite. Je le sentais tressaillir et je l'entendais gémir de plaisir. Il me donnait quelques coups de bassin qui m'allaient directement à la gorge. Avec ma langue je lui caressais la queue, son gland me caressait le fond de la gorge.
Il se retirait rapidement et m'ordonnait de me retourner.
Je pivotais sur moi même, toutes les mains qui me caressaient m'accompagnaient dans mes mouvements. Je me penchais en avant en m'appuyant sur le rebord d'un fauteuil. Sans que je sache qui en était responsable je me prenais alors une autre queue dans la bouche. Je suçais.
Au point ou j'en étais, je ne me posais plus de question. Si un morceau de peau passait à portée de main, je le caressais, si une queue portait à portée de bouche, je la suçais.
Et toujours ces mains qui me parcouraient le corps, toujours quelques doigts qui me lubrifiaient le cul. Je le sentais, je le devinais, les mains de François en faisaient partie. Puis je sentais ses mains me saisir par les hanches. J'aime bien sentir cette force virile et il était fort et virile.
Je sentais aussi son gland s'écraser contre mon cul, là c'est moi qui gémissais bien que j'avais la bouche pleine. Je ne sais pas lequel de mes hôtes en profitait pour s'enfoncer encore plus profond dans ma gorge, puis je ne gémissais plus, là je ne pouvais même plus respirer.
Il me tenait la tête bien fermement pendant que François poussait fort contre moi. Mon cul se dilatait, je me sentais pénétré par une masse très volumineux. Sa queue s'enfonçait rapidement, avec force. Je la sentais glisser sur toute sa longueur, il était décidé. Pour finir son ventre s'écrasait contre mes fesses et son gland s'écrasait je ne sais ou au fond de mes entrailles.
Il ressortait puis revenait, toujours aussi décidé. Il me dilatait le cul. C'était bon. Un autre gars me tripotait les couilles, un autre encore me caressait tout le corps et un me remplissait la bouche jusqu'au nombril. Un instant une image m'a traversé l'esprit. Je les imaginais se rencontrer quelque part au milieu de mon ventre. C'était de la folie.
Puis ils se sont énervé, l'un rentrait bien à fond pendant que l'autre ressortait, ensuite c'était le contraire. Je tenais le coup, je me laissais faire. C'était intense mais il y avait du plaisir, pas que certes, mais beaucoup de plaisir tout de même.
Le gars qui me limait la bouche se retirait, j'en profitais pour avaler ma salive mais ce moment de calme ne devait pas durer, un autre le remplaçait et à son tour il ne se retenait pas, il était bien monté aussi, à croire que j'étais tombé sur un nid de grosse queue.
C'est vrais que j'aime bien les grosses queue, mais là, j'aurais bien voulu un peu plus de calme. Aucun d'entre eux ne semblait vouloir m'en donner.
François se retirait. Il ressortait complètement, j'aurais presque pu respirer si seulement … Mais bon l'autre dans ma gorge ne me lâchait pas, il me tirait la tête contre lui, je suivais, c'est vrai que je n'avais pas vraiment le choix mais j'aurais pu me dégager, au moins essayer. Je n'ai rien fait. Je sentais mon cul se détendre, je récupérais sans doute.
C'est brusquement, avec force et même une certaine violence que François revenait à la charge. Il s'enfonçait brusquement, sans prévenir bien à fond. Je me suis contracter mais j'ai encaissé, je me suis laissé faire et le plaisir montait rapidement un peu plus que juste avant la pause. Là j'ai commencé à trembler. Il me limait ainsi avec force pendant un long moment, une autre bite passait dans ma bouche.
Un me pinçait les tétons, il me faisait presque mal, un autre me tripotait vigoureusement les couilles un encore appuyait sur ma tête. Je commençais à résister, à tenter de me dégager. Ils me laissaient un peu plus de liberté de mouvement un instant puis il me saisissaient de nouveau et tout recommençait. Ça faisait un long moment que j'étais la victime de ces cinq gaillards virils.
Je le sentais, je n'étais plus que leur jouet. On me tripotait, on me retournait, on m'enculait, on me remplissait la bouche. On faisait attention à moi, attention à ne pas me blesser, attention à ce que je ne manque pas d'air, que je puisse respirer.
C'est peut être à ce moment que j'ai remarqué que ce n'était plus François qui me limait le cul. Si mon doudou m'avait prêté, les bénéficiaire de ce prêt me partageaient.
Je ne sais pas, je n'ai pas pu voir, qui à commencé à jouir. Je me souviens d'une grosse queue juste devant mon nez, le gars se masturbait, je l'entendais respirer fort, je l'entendais pousser des gémissement puis finalement un cri de plaisir. Et je me prenais alors plusieurs giclées de sperme dans la figure, dans les yeux, sur le nez, sur les cheveux aussi.
Ensuite il m'enfonçait sa queue dans la bouche et je prenais les dernière gouttes de sperme dans la gorge, c'était bon. J'avalais et je recevais une autre queue dans le bouche. Je ne savais plus qui faisait quoi. Je ne voyais plus très bien ce qui se passait.
C'était un autre ou pas mais après une pause, encore une, on me limait de nouveau le cul et le plaisir montait encore plus, je gémissais. Je me prenait une autre giclée de sperme sur les cheveux, sur le dos, sur la figure. Puis une autre.
C'était des gémissements de plaisir qui s'entendaient et tous râlaient fort. Je me prenais encore quelques giclées de sperme, je me sentais couvert de sperme, je l'étais.
Je ne sais pas combien de temps ils se sont amusé avec moi. Mais je vous jure qu'ils se sont amusé. J'étais à quatre patte sur une sorte de tapis et je ne comprenais plus rien au moment ou la tension est retombée.
C'est très rapidement que tout se calmais, on me lâchait. Encore quelques caresses sur mon cul ou sur mon dos puis seules les caresses sur mes couilles. Il y en avait toujours un qui me tripotait les couilles, c'était pas toujours le même qui me tripotait les couilles depuis le début.
Ils rigolaient, il discutaient et je ne comprenais plus trop ce qui se passait ni ce qu'ils racontaient.
Brusquement sans prévenir je sentait quelques mains s'emparer de moi, me soulever et m'entraîner vers la salle de bain. On me posait sous la douche, je tenais à peine debout. Ils se serraient contre moi et me caressaient en me passant du gel douche un peu partout.
Un me nettoyait les couilles et un autre me lavait les cheveux. Je décidais de me laisser faire. Ce n'était finalement pas désagréable. J'avais joui, pas comme on le fait normalement avec la queue, mais j'avais joui. Le plaisir avait monté pendant un long moment puis tout mon corps avait tremblé et j 'avais joui avec tout mon corps. Un peu comme sous la douche à ce moment. Je n'avais pas éjaculé, enfin je ne pense pas mais là je vous jure que je n'était plus sûr de rien.
Je sentait toujours une infinie fatigue, mais je parvenais à tenir debout tout seul. On me lavait le cul en y glissant quelques doigts, je bandais toujours dans ma cage et ma bite était sous pression.
C'est à ce moment que j'ai éjaculé, j'ai joui de nouveau.
Ils ont terminé ma douche, m'ont couvert d'une serviette pour m'essuyer, m'ont généreusement frictionné et c'est finalement tout propre et tout sec que je me retrouvais dans le salon, à côté de la cheminée. Tout propre, tout sec et tout nu.
Je me sentais bien et je me suis rapidement endormi.
Quand je me suis réveillé le lendemain, j'étais dans les bras de François, il était endormi contre moi, nous étions sur le canapé, la température était douce, il y avait encore du feu dans la cheminée, quelqu'un l'avait rechargé pendant que je dormais. Je me sentais bien même si ne j'avais rien sur moi.
Puis tout le monde s'est réveillé, on m'a servi un petit déjeuner et on m' finalement rendu mes vêtements. Tout le monde s'est rhabillé, on m'a rhabillé. Ils continuaient à s'amuser avec moi, un peu comme une poupée qu'on habille .
C'est en fin d'après midi que François est passé pour me récupérer.
– Alors il a été sage ? Demandait-il à mes camarades
Tous répondaient oui, sans réserve et moi je hochait la tête de haut en bas pour confirmer. Ensuite on est reparti, je le suivais, sans oublier de saluer les autres. On avait échangé nos numéro de téléphone et je sortais avec un large sourire affiché sur ma figure !
FIN
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Charly Chast
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

