Pris(e) au piège chez l'esthéticienne
Récit érotique écrit par Nelson52 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Pris(e) au piège chez l'esthéticienne
Voici la suite de mes aventures.
Dans l'épisode précédent, j’expliquais comment mon histoire avec Claire avait pris fin :
http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=18140
Depuis, c'était le calme plat dans ma vie sexuelle. Mon ancienne routine avait repris sa place. J'avais maintenant 18 ans et je passais mes weekend à jouer aux
jeux vidéo, à trainer avec mes potes sans copine fixe, à mater des pornos, et bien sûr j'avais repris la masturbation. En vérité, j'avais repris la masturbation
comme unique activité sexuelle car je n'avais jamais arrêté !
Je n'avais connu que Claire jusqu'à présent et lorsque j'écoutais mes copines discuter, je me disais que cela allait être difficile de se retrouver quelqu'un
dans la "norme". Je décidais donc de laisser venir sans vraiment chercher. La masturbation et mes souvenir me suffisaient.
Comme prévu, un soir, alors que j'avais invité un pote à venir dormir chez moi (mes parents) pour "geeker" tout le weekend, une amie en commun me téléphona
pour nous inviter à une soirée. Il y aurait majoritairement que des filles et elle se proposait de venir nous chercher en voiture.
Pour faire simple, et bien c'est là que j'ai rencontré Aurore (je l’appellerai ainsi).
C'était une "gamine" de 17 ans qui m'avait tourné autour toute la soirée. Sans grande conviction, je cédais à son numéro et la soirée se finit en "bisous" de
"gens ensembles".
Nous avions même passé la nuit ensemble, MAIS, avec la copine qui m'avait invité. Aucune action possible de ma part donc. De toute façon j'avais bien compris
que vu son âge et son tempérament, elle n'était pas portée sur la chose comme moi.
C'est comme cela que notre relation a débuté. Je n'étais pas très enthousiaste mais au moins je n'étais plus seul, et surtout je gardais espoir d'un "on ne sait jamais".
Cela a continué quelques jours de manière très chaste. Mademoiselle était vierge et "gosse de vieux bourgeois". Elle craignait ses parent comme le diable et
notre relation devait rester secrète. Elle avait peur de la réaction de son père de 68 ans. C'est donc en temps que simple ami que je venais me taper la star academy le samedi soir, chez elle. Soit les parents étaient dupes soit leur fille se faisait des films...
La situation changea lorsque nous fumes invités à une soirée par notre amie en commun. La mère d'Aurore ne voyait que par elle, et elle donna l'autorisation à
sa fille d'y retourner "dormir entre fille".
La soirée fut longue et ennuyante. Aurore avait profité de l'occasion pour faire la "grande" et boire plus que de raison. C'est un peu en colère d'avoir passé
une soirée à attendre que j'allais passé la nuit avec Aurore, ivre, sur un matelas gonflable. Ses copines avaient bien pris le soin de nous laisser seuls cette fois ci.
J'avais bien l'intention de prendre ma revanche mais la culpabilité de profiter d'une femme ivre m’empêcha de faire quoi que ce soit. Évidemment, c'est Aurore
elle même qui me demanda de passer à la vitesse supérieure. L'alcool ça aide.
Aurore : Nelson... touche-moi...
Nelson : Heu... tu es sure de toi Aurore ? Tu penses pas que tu as un peu trop bu ce soir ?
A : Si je sais mais j'ai envie...
N : D'accord mais où ? (sur le moment j'avais envie de lui faire dire pour m’exciter)
A : Entre les jambes...
J'entrepris alors de glisser ma main dans son jeans qu'elle n'avait pas réussi à enlever. J'étais assis à côté d'elle et je lui caressais le sexe qu'elle avait
particulièrement poilu. Au bout de quelques minutes, je lui proposais de lui enlever tout le bas pour être plus à l'aise. Elle avait peur d'être surprise alors
il fallut la convaincre de se cacher sous le duvet.
Aurore était clairement très poilue. Je ne voyais pas ses lèvres. Je décidais tout même de lui faire un cunnilingus. Sa chatte (pour le coup s'en était une)
sentait l'urine de bière.
Le reste de nos préliminaires continua plusieurs heures sans jamais attendre le but ultime. Mademoiselle avait peur, surtout que ses parents l’apprennent.
Ce soir là, je ne fut que masturbé par une novice à qui il fallut que j'apprenne à ne pas serrer trop fort. L'éjaculation me fut interdite car, je cite, "les
duvets ne sont pas à nous". Obligé d'aller me finir aux toilettes quand elle s’endormit...
Le changement apporté par cette soirée c'était la glace brisée si je peux dire. Désormais Aurore retirait sa culotte devant la star academy. Ses parents allaient
au lit comme des poules donc on était tranquille. Il fallait tout de même que j'insiste pour pouvoir jouer avec son sexe poilu. Elle ne voulait ni le taillé
ni le raser de peur que sa mère pense qu'elle était "sexuellement active".
J'ai eu ma première fellation au bout de plusieurs semaines, et avec beaucoup de négociation. J'avais maintenant le droit d'éjaculer sur son ventre, uniquement.
Je l'avais piégé un jour avec cela. Une des rares fois où elle était venue chez moi, elle voulu voir comment cela faisait. Je m'étais masturbé devant elle alors
qu'elle était nue. Ses seins furent inondés de mon sperme et mademoiselle fut choquée. Bref, elle n'aimait rien faire d’extravagant, même dans les préliminaires.
J'étais son petit toutou et je devais céder à tous ses caprices pour espérer ne serait-ce que regarder ses fesses. On ne se voyait que le weekend car elle
était en internat la semaine, alors j'étais vraiment prêt à tout pour assouvir mes besoins le moment venu.
Un vendredi soir, elle m'envoya un SMS pour me prévenir qu'elle avait rendez vous chez l'esthéticienne le lendemain après midi. Sa mère, qui la laissait tout
de même se raser les jambes, en avait marre d'acheter sans arrêt des collants à sa fille. Soit disant que la repousse des poils (en abondance) arrachaient trop
souvent ses collant. Aurore avait donc pour ordre de se faire épiler les jambes car c'est plus doux à la repousse.
Je me tapais ce genre de SMS toute la semaine. Des trucs de femme dont j'avais l'obligation de faire semblant de m'y intéresser, sinon pas de touche pipi...
Je savais donc que l'après midi allait être très long... et bien sûr je n'étais officiellement pas présent pour voir Aurore en slip en train de se faire
torturer...
L'esthéticienne devait avoir dans la trentaine. C'était le genre de femme qui parle beaucoup. Elle faisait la conversation pratiquement toute seule et avait la
fâcheuse tendance de demander, par exemple, "on fait les aisselles ?" et CRACK trop tard, elle avait déjà posé la cire sans attendre la réponse.
C'est donc sans demander l'accord d'Aurore qu'elle me fit m'assoir dans le coin de la pièce. Elle s'appelait Muriel.
Muriel : Oh ben il va pas nous attendre tout seul à l’accueil ce jeune homme. C'est ton copain ? Tiens assied toi ici. Alors qu'est qu'on fait ? Tiens pose
tes habits sur la chaise Aurore.
Aurore s'était mise en slip blanc et en débardeur. Surement un truc simple pour ne pas abimer un de ses strings affriolants qu'elle me montrait timidement en montant ses
escaliers pour aller dans sa chambre, quand elle était en jupe.
M : Aller allonge-toi, Aurore. Bon je commence par les aisselles. Ah ben au fait, ta mère m'a dit que c'était la première fois. Du coup j'ai de la crème
anesthésiante pour tes jambes, c'est un peu plus cher mais ta mère est d'accord.
A : Heu oui, je veux bien.
M : Je la mets maintenant pour que ça fasse effet. Aller on y va.
L'esthéticienne commença par les aisselles d'Aurore. Cette dernière avait arrêté de se raser pour l'occasion et c'était bien la première chose qu'elle ne me
l'avait pas dit. D'habitude j'étais inondé de tous ces tracas de fille, règles y compris.
Arrivé aux jambes, l'esthéticienne s’attarda sur le maillot.
M : Tu veux aussi faire le maillot, parce que ça dépasse pas mal là. Tu permets que je regarde ?
Évidement Aurore n’eut pas le temps de répondre et Muriel écarta légèrement le slip sur l'intérieur pour dévoiler des poils plutôt long.
M : Oh ben oui en effet ! Tu vas pas laisser ça alors que je vais te faire les jambes complètes. C'est pas très joli. Hein ? Qu'est qu'il en pense ton copain ?
Comment tu t'appelles ?
N : Heu Nelson... et heu...
A : Je sais pas trop quand même c'est un peu...
M : Ben un peu quoi ? C'est rien à faire ça, surtout avec la crème ça passe mieux.
A : Oui mais...
M : Tu sais toutes les jeunes filles le font ça maintenant. Elle se rasent carrément tout mais ça gratte. Tu sais moi je peux te le faire en entier et ce sera
tout doux. Hein ?
A : Ah non non non non. Non si ma mère voit ça je me faire tuer et ...
M : Quoi ? Mais ta mère te regarde comme ça ?
A : Mais non mais on sait jamais et je préfère pas...
M : Rhooo tu as peur de ta mère comme ça ? Tu sais qu'elle se le fait bien elle et pourtant à son age... enfin excuse-moi mais je pense pas que ton père en
profite vu ce que j'ai cru comprendre. Enfin bon je dis rien moi. Aller je te force pas mais réfléchis pendant la première jambe car si le je le fais je dois
mettre la crème avant.
A : Je sais pas... On verra bien...
Aurore était brusquée par Muriel. Elle n'avait pas l'habitude d'entendre quelqu'un allant contre son avis, et elle s'en retrouvait toute timide et presque muette.
Moi je ne disait rien car la situation, bizarre, me rappelait bien des choses. Ce qui était sûr c'est que je bandais comme un fou et je devais être tout rouge.
Muriel n'arrêtait pas de parler de tout et de rien.
Elle parlait d'Aurore et de sa mère. C'était de la psychologie de comptoir mais au moins Aurore semblait se détendre. Elle devait en avoir besoin car Muriel
lui avait expliqué qu'il fallait qu'Aurore retire sa culotte pour l'épilation intégral.
M : Je suppose que vous vous êtes au moins déjà vu tout nu hein ?
A : Heu oui...
M : Alors c'est bon ton copain pourra rester il pourra même te tenir la main si ça te fait peur !
N : Oh ben oui !
J'étais vraiment content de la suite du programme. Aurore s'était laissé convaincre et Muriel allait maintenant lui appliquer la crème anesthésiante sur sa
toison. Aurore retira donc sa culotte. Muriel mis une noisette de crème dans sa paume, écarta légèrement les jambes d'Aurore et lui fit un petit massage en
forme de rond sur le haut du sexe. Avec ses indexes, elle passa sur les côtés des lèvres pour enfin finir sur l'anus.
Je pu admirer le corps d'Aurore pendant l'épilation de la seconde jambe.
Arrivèrent les choses sérieuses.
Muriel déplia deux étriers, jusqu'à présent cachés par la serviette recouvrant la table. Cela eu pour effet de crisper Aurore.
M : Ne t’inquiètes pas, c'est juste pour que tu sois bien. Regarde il y a de la mousse dessus. Nelson, viens t'assoir à côté d'elle pour lui tenir la main.
En me déplaçant, je ne manquais pas de me rincer l’œil. Ma copine était devenu muette et me serrait la main très fort. Le téléphone sonna et Muriel passa à
l’accueil pour répondre. Nous en avons profité pour échanger quelques mots.
N : Ça va ma chérie ?
A : J'ai trop peur et comment je suis trop gênée d'être à poil devant elle ! Putain comment j'ai fait pour accepter ! J'ai envie de partir !
N : Mais non arrête calme toi ! C'est son boulot de faire ça, c'est rien. Dis toi qu'elle voit la chatte de ta mère tout le temps.
A : Ah tais toi hein !
N : Aller c'est bon ma chérie. C'est un truc que tu auras décidé toute seule. En plus tu vas être trop belle après.
A : Parce que je suis moche maintenant ?
N : Mais non... aller tiens elle revient !
M : Excusez moi. C'était la cliente d'après qui ne pouvait pas venir. Aller on y va.
Les lèvres d'Aurore apparurent après quelques bandes de cires et beaucoup de courage. Muriel fit mettre Aurore sur le côté pour lui épiler l'anus. Elle me
tournait le dos et j'avais son petit poilu devant moi. Vu que celle ci ne voulait pas me lâcher la main, c'est à moi que Muriel demanda de bien vouloir écarter
ses fesses. Quand je me suis levé pour le faire, mon érection ne pouvait plus être cachée et Muriel s'en amusa en plissant les yeux.
C'était fini.
Aurore était lisse de partout et vraiment très attirante. Le téléphone sonna de nouveau et avant d'aller répondre, Muriel nous tendit un flacon de gel nettoyant
à appliquer.
N : Vas y je vais le faire.
A : Si tu veux.
A ma grande surprise, Aurore me laissa masser son sexe et son petit trou. Surement l'émotion. J'en profitais alors pour rentrer mes doigts dans ses orifices.
Muriel était occupée et même si elle nous voyait, j'aurais pu ressortir mes doigts au dernier moment. Aurore était exténuée et se laissait pistonner les 2 trous,
elle qui, d'habitude, n'aimait même pas aborder le sujet de l'anal. Un bruit suspect fit se retourner brièvement Muriel, ce qui ne m’arrêta pas pour autant.
Lorsqu'elle raccrocha, je stoppais net.
M : Bon ben c'est fini les jeunes. Par contre cela peut irriter le vagin d'Aurore si tu rentres tes doigts dedans avec le produit.
Nous étions vraiment tout bêtes. Et cela ne nous sortit pas de notre embarra quand Muriel rigola en disant que c'était pas vrai et que c'était de notre age.
M : Bon aller c'est rien les jeunes, ce sera notre secret. Bon je vais finir plus tôt moi du coup.
Soudain Aurore coupa la parole de l'esthéticienne pour lui demander une chose qui allait me surprendre.
A : Vous faites aussi les hommes ?
M : Oh ben oui, c'est rare mais oui, pourquoi ? Oh toi tu veux que j'épile ton copain non ?
A : Là il faut que je rentre mais une prochaine oui je veux bien ! (Aurore riait)
M : Ben je peux le faire maintenant et si tu t'inquiètes pour ta mère je peux l'appeler pour lui dire que j'aurais du retard !
A : Mais non je veux pas vous déranger...
Une fois de plus Muriel n'en fit qu'à sa tête et téléphona à la mère d'Aurore pour inventer une panne de machine à chauffer la cire, que le boulot était fait à moitié
mais que c'était reparti. J'étais littéralement sur le cul et très gêné car je bandais encore comme un taureau. Une fois de retour, Muriel prit les commandes.
M : Aller jeune homme, déshabilles toi et allonges toi.
N : Heu entièrement...?
M : Mais oui, il n'y a pas de raison, ta copine l'a bien fait elle. Et puis te tracasse pas pour ton érection j'en ai vu d'autre.
Aurore ria et m’obligea à le faire. Une fois nu, mon sexe était droit comme un I et je ne pouvais vraiment plus le cacher.
Muriel décida de ce qu'elle allait faire. Pour moi cela allait être une tonte de mon torse et de mon sexe, et une épilation des jambes et des aisselles.
Muriel confia la crème anesthésiante à Aurore qui entreprit de me l'appliquer pendant que cette première me tondait le torse.
Aurore s’attarda sur mon sexe encore au garde à vous. Après m'avoir masser les bourses, elle me masturbait très lentement.
Une barrière avait sauté et c'est donc sans gène que ma main trouva le chemin de la fente toute lisse de ma copine qui n'avait toujours pas remis ses vêtements.
Muriel souriait lorsqu'elle m'enleva la main pour me lever le bras afin d'épiler mon aisselle.
Ce fut ensuite le tour de mes jambes. Même avec la crème, c'était douloureux. Une belle arnaque oui ! Aurore lâcha enfin mon sexe pour que Muriel tourne autour
avec sa cire. Celle ci ne se gêna pas pour le prendre à pleine main et le plier dans tous les sens pour passer sa tondeuse. Le moment où je fut le plus réticent
c'est quand les filles m'ont obligé à me mettre sur le côté pour m'épiler l'anus !
Une vrai torture !
M : Oh mais quel douillet celui là ! Voilà c'est fini ! Regarde comme tu es beau. Il te plait Aurore ?
A : Oui, il fait plus viril comme cela et son sexe semble plus grand !
Le téléphone nous sépara une ultime fois de Muriel. Cette fois ci, Aurore souriait. Elle semblait heureuse. Sans me dire un mot elle se pencha sur mon sexe
pour le prendre en bouche. Il n'y avait vraiment plus aucune gène chez elle. Elle me masturber habillement tout en aspirant mon gland. Elle avait retenu ma
leçon. En réponse à ce traitement, j'attrapais ses fesses pour qu'elle se place au dessus de moi. C'est alors qu'un 69 endiablé commença. J'aspirais le clitoris
d'aurore tout en alternant mes doigts dans son vagin et son anus. Aurore fut prise d'un spasme de plaisir. Elle sortit mon sexe de sa bouche pour laisser
échapper un gémissement de jouissance. Muriel se tenait dans l'encadrement de la porte et c'est lorsque j'ai remarqué sa présence que mon sperme jaillit pour
maculer le cou d'Aurore.
Nous nous sommes essuyé avec la serviette de la table sur les conseils de Muriel. Nous n'avons rien dit de plus qu'un au revoir et à la prochaine et nous sommes
sortis du salon de beauté.
Depuis ce moment, nos rapports ont agréablement évolué. Aurore était devenue beaucoup plus ouverte d'esprit et ne craignait plus de faire des choses en cachette
de ses parents. Chaque weekend, nous avions maintenant notre rituel de retrouvaille. Aurore ne m'ouvrait plus la porte mais c'était sa mère. Je devais
rejoindre l'étage pour aller à la chambre d'Aurore qui faisait des devoirs. Celle ci m'y attendait souvent en jupe et sans culotte pour que je lèche ses orifices
en guise de bonjour.
Nous avons appris par la suite que l'esthéticienne faisait partie du club échangiste du coin. Pas étonnant en fin de compte.
Dans un prochain récit, je vous expliquerai jusqu'où nous sommes allés dans l'éducation sexuelle d'Aurore.
Dans l'épisode précédent, j’expliquais comment mon histoire avec Claire avait pris fin :
http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=18140
Depuis, c'était le calme plat dans ma vie sexuelle. Mon ancienne routine avait repris sa place. J'avais maintenant 18 ans et je passais mes weekend à jouer aux
jeux vidéo, à trainer avec mes potes sans copine fixe, à mater des pornos, et bien sûr j'avais repris la masturbation. En vérité, j'avais repris la masturbation
comme unique activité sexuelle car je n'avais jamais arrêté !
Je n'avais connu que Claire jusqu'à présent et lorsque j'écoutais mes copines discuter, je me disais que cela allait être difficile de se retrouver quelqu'un
dans la "norme". Je décidais donc de laisser venir sans vraiment chercher. La masturbation et mes souvenir me suffisaient.
Comme prévu, un soir, alors que j'avais invité un pote à venir dormir chez moi (mes parents) pour "geeker" tout le weekend, une amie en commun me téléphona
pour nous inviter à une soirée. Il y aurait majoritairement que des filles et elle se proposait de venir nous chercher en voiture.
Pour faire simple, et bien c'est là que j'ai rencontré Aurore (je l’appellerai ainsi).
C'était une "gamine" de 17 ans qui m'avait tourné autour toute la soirée. Sans grande conviction, je cédais à son numéro et la soirée se finit en "bisous" de
"gens ensembles".
Nous avions même passé la nuit ensemble, MAIS, avec la copine qui m'avait invité. Aucune action possible de ma part donc. De toute façon j'avais bien compris
que vu son âge et son tempérament, elle n'était pas portée sur la chose comme moi.
C'est comme cela que notre relation a débuté. Je n'étais pas très enthousiaste mais au moins je n'étais plus seul, et surtout je gardais espoir d'un "on ne sait jamais".
Cela a continué quelques jours de manière très chaste. Mademoiselle était vierge et "gosse de vieux bourgeois". Elle craignait ses parent comme le diable et
notre relation devait rester secrète. Elle avait peur de la réaction de son père de 68 ans. C'est donc en temps que simple ami que je venais me taper la star academy le samedi soir, chez elle. Soit les parents étaient dupes soit leur fille se faisait des films...
La situation changea lorsque nous fumes invités à une soirée par notre amie en commun. La mère d'Aurore ne voyait que par elle, et elle donna l'autorisation à
sa fille d'y retourner "dormir entre fille".
La soirée fut longue et ennuyante. Aurore avait profité de l'occasion pour faire la "grande" et boire plus que de raison. C'est un peu en colère d'avoir passé
une soirée à attendre que j'allais passé la nuit avec Aurore, ivre, sur un matelas gonflable. Ses copines avaient bien pris le soin de nous laisser seuls cette fois ci.
J'avais bien l'intention de prendre ma revanche mais la culpabilité de profiter d'une femme ivre m’empêcha de faire quoi que ce soit. Évidemment, c'est Aurore
elle même qui me demanda de passer à la vitesse supérieure. L'alcool ça aide.
Aurore : Nelson... touche-moi...
Nelson : Heu... tu es sure de toi Aurore ? Tu penses pas que tu as un peu trop bu ce soir ?
A : Si je sais mais j'ai envie...
N : D'accord mais où ? (sur le moment j'avais envie de lui faire dire pour m’exciter)
A : Entre les jambes...
J'entrepris alors de glisser ma main dans son jeans qu'elle n'avait pas réussi à enlever. J'étais assis à côté d'elle et je lui caressais le sexe qu'elle avait
particulièrement poilu. Au bout de quelques minutes, je lui proposais de lui enlever tout le bas pour être plus à l'aise. Elle avait peur d'être surprise alors
il fallut la convaincre de se cacher sous le duvet.
Aurore était clairement très poilue. Je ne voyais pas ses lèvres. Je décidais tout même de lui faire un cunnilingus. Sa chatte (pour le coup s'en était une)
sentait l'urine de bière.
Le reste de nos préliminaires continua plusieurs heures sans jamais attendre le but ultime. Mademoiselle avait peur, surtout que ses parents l’apprennent.
Ce soir là, je ne fut que masturbé par une novice à qui il fallut que j'apprenne à ne pas serrer trop fort. L'éjaculation me fut interdite car, je cite, "les
duvets ne sont pas à nous". Obligé d'aller me finir aux toilettes quand elle s’endormit...
Le changement apporté par cette soirée c'était la glace brisée si je peux dire. Désormais Aurore retirait sa culotte devant la star academy. Ses parents allaient
au lit comme des poules donc on était tranquille. Il fallait tout de même que j'insiste pour pouvoir jouer avec son sexe poilu. Elle ne voulait ni le taillé
ni le raser de peur que sa mère pense qu'elle était "sexuellement active".
J'ai eu ma première fellation au bout de plusieurs semaines, et avec beaucoup de négociation. J'avais maintenant le droit d'éjaculer sur son ventre, uniquement.
Je l'avais piégé un jour avec cela. Une des rares fois où elle était venue chez moi, elle voulu voir comment cela faisait. Je m'étais masturbé devant elle alors
qu'elle était nue. Ses seins furent inondés de mon sperme et mademoiselle fut choquée. Bref, elle n'aimait rien faire d’extravagant, même dans les préliminaires.
J'étais son petit toutou et je devais céder à tous ses caprices pour espérer ne serait-ce que regarder ses fesses. On ne se voyait que le weekend car elle
était en internat la semaine, alors j'étais vraiment prêt à tout pour assouvir mes besoins le moment venu.
Un vendredi soir, elle m'envoya un SMS pour me prévenir qu'elle avait rendez vous chez l'esthéticienne le lendemain après midi. Sa mère, qui la laissait tout
de même se raser les jambes, en avait marre d'acheter sans arrêt des collants à sa fille. Soit disant que la repousse des poils (en abondance) arrachaient trop
souvent ses collant. Aurore avait donc pour ordre de se faire épiler les jambes car c'est plus doux à la repousse.
Je me tapais ce genre de SMS toute la semaine. Des trucs de femme dont j'avais l'obligation de faire semblant de m'y intéresser, sinon pas de touche pipi...
Je savais donc que l'après midi allait être très long... et bien sûr je n'étais officiellement pas présent pour voir Aurore en slip en train de se faire
torturer...
L'esthéticienne devait avoir dans la trentaine. C'était le genre de femme qui parle beaucoup. Elle faisait la conversation pratiquement toute seule et avait la
fâcheuse tendance de demander, par exemple, "on fait les aisselles ?" et CRACK trop tard, elle avait déjà posé la cire sans attendre la réponse.
C'est donc sans demander l'accord d'Aurore qu'elle me fit m'assoir dans le coin de la pièce. Elle s'appelait Muriel.
Muriel : Oh ben il va pas nous attendre tout seul à l’accueil ce jeune homme. C'est ton copain ? Tiens assied toi ici. Alors qu'est qu'on fait ? Tiens pose
tes habits sur la chaise Aurore.
Aurore s'était mise en slip blanc et en débardeur. Surement un truc simple pour ne pas abimer un de ses strings affriolants qu'elle me montrait timidement en montant ses
escaliers pour aller dans sa chambre, quand elle était en jupe.
M : Aller allonge-toi, Aurore. Bon je commence par les aisselles. Ah ben au fait, ta mère m'a dit que c'était la première fois. Du coup j'ai de la crème
anesthésiante pour tes jambes, c'est un peu plus cher mais ta mère est d'accord.
A : Heu oui, je veux bien.
M : Je la mets maintenant pour que ça fasse effet. Aller on y va.
L'esthéticienne commença par les aisselles d'Aurore. Cette dernière avait arrêté de se raser pour l'occasion et c'était bien la première chose qu'elle ne me
l'avait pas dit. D'habitude j'étais inondé de tous ces tracas de fille, règles y compris.
Arrivé aux jambes, l'esthéticienne s’attarda sur le maillot.
M : Tu veux aussi faire le maillot, parce que ça dépasse pas mal là. Tu permets que je regarde ?
Évidement Aurore n’eut pas le temps de répondre et Muriel écarta légèrement le slip sur l'intérieur pour dévoiler des poils plutôt long.
M : Oh ben oui en effet ! Tu vas pas laisser ça alors que je vais te faire les jambes complètes. C'est pas très joli. Hein ? Qu'est qu'il en pense ton copain ?
Comment tu t'appelles ?
N : Heu Nelson... et heu...
A : Je sais pas trop quand même c'est un peu...
M : Ben un peu quoi ? C'est rien à faire ça, surtout avec la crème ça passe mieux.
A : Oui mais...
M : Tu sais toutes les jeunes filles le font ça maintenant. Elle se rasent carrément tout mais ça gratte. Tu sais moi je peux te le faire en entier et ce sera
tout doux. Hein ?
A : Ah non non non non. Non si ma mère voit ça je me faire tuer et ...
M : Quoi ? Mais ta mère te regarde comme ça ?
A : Mais non mais on sait jamais et je préfère pas...
M : Rhooo tu as peur de ta mère comme ça ? Tu sais qu'elle se le fait bien elle et pourtant à son age... enfin excuse-moi mais je pense pas que ton père en
profite vu ce que j'ai cru comprendre. Enfin bon je dis rien moi. Aller je te force pas mais réfléchis pendant la première jambe car si le je le fais je dois
mettre la crème avant.
A : Je sais pas... On verra bien...
Aurore était brusquée par Muriel. Elle n'avait pas l'habitude d'entendre quelqu'un allant contre son avis, et elle s'en retrouvait toute timide et presque muette.
Moi je ne disait rien car la situation, bizarre, me rappelait bien des choses. Ce qui était sûr c'est que je bandais comme un fou et je devais être tout rouge.
Muriel n'arrêtait pas de parler de tout et de rien.
Elle parlait d'Aurore et de sa mère. C'était de la psychologie de comptoir mais au moins Aurore semblait se détendre. Elle devait en avoir besoin car Muriel
lui avait expliqué qu'il fallait qu'Aurore retire sa culotte pour l'épilation intégral.
M : Je suppose que vous vous êtes au moins déjà vu tout nu hein ?
A : Heu oui...
M : Alors c'est bon ton copain pourra rester il pourra même te tenir la main si ça te fait peur !
N : Oh ben oui !
J'étais vraiment content de la suite du programme. Aurore s'était laissé convaincre et Muriel allait maintenant lui appliquer la crème anesthésiante sur sa
toison. Aurore retira donc sa culotte. Muriel mis une noisette de crème dans sa paume, écarta légèrement les jambes d'Aurore et lui fit un petit massage en
forme de rond sur le haut du sexe. Avec ses indexes, elle passa sur les côtés des lèvres pour enfin finir sur l'anus.
Je pu admirer le corps d'Aurore pendant l'épilation de la seconde jambe.
Arrivèrent les choses sérieuses.
Muriel déplia deux étriers, jusqu'à présent cachés par la serviette recouvrant la table. Cela eu pour effet de crisper Aurore.
M : Ne t’inquiètes pas, c'est juste pour que tu sois bien. Regarde il y a de la mousse dessus. Nelson, viens t'assoir à côté d'elle pour lui tenir la main.
En me déplaçant, je ne manquais pas de me rincer l’œil. Ma copine était devenu muette et me serrait la main très fort. Le téléphone sonna et Muriel passa à
l’accueil pour répondre. Nous en avons profité pour échanger quelques mots.
N : Ça va ma chérie ?
A : J'ai trop peur et comment je suis trop gênée d'être à poil devant elle ! Putain comment j'ai fait pour accepter ! J'ai envie de partir !
N : Mais non arrête calme toi ! C'est son boulot de faire ça, c'est rien. Dis toi qu'elle voit la chatte de ta mère tout le temps.
A : Ah tais toi hein !
N : Aller c'est bon ma chérie. C'est un truc que tu auras décidé toute seule. En plus tu vas être trop belle après.
A : Parce que je suis moche maintenant ?
N : Mais non... aller tiens elle revient !
M : Excusez moi. C'était la cliente d'après qui ne pouvait pas venir. Aller on y va.
Les lèvres d'Aurore apparurent après quelques bandes de cires et beaucoup de courage. Muriel fit mettre Aurore sur le côté pour lui épiler l'anus. Elle me
tournait le dos et j'avais son petit poilu devant moi. Vu que celle ci ne voulait pas me lâcher la main, c'est à moi que Muriel demanda de bien vouloir écarter
ses fesses. Quand je me suis levé pour le faire, mon érection ne pouvait plus être cachée et Muriel s'en amusa en plissant les yeux.
C'était fini.
Aurore était lisse de partout et vraiment très attirante. Le téléphone sonna de nouveau et avant d'aller répondre, Muriel nous tendit un flacon de gel nettoyant
à appliquer.
N : Vas y je vais le faire.
A : Si tu veux.
A ma grande surprise, Aurore me laissa masser son sexe et son petit trou. Surement l'émotion. J'en profitais alors pour rentrer mes doigts dans ses orifices.
Muriel était occupée et même si elle nous voyait, j'aurais pu ressortir mes doigts au dernier moment. Aurore était exténuée et se laissait pistonner les 2 trous,
elle qui, d'habitude, n'aimait même pas aborder le sujet de l'anal. Un bruit suspect fit se retourner brièvement Muriel, ce qui ne m’arrêta pas pour autant.
Lorsqu'elle raccrocha, je stoppais net.
M : Bon ben c'est fini les jeunes. Par contre cela peut irriter le vagin d'Aurore si tu rentres tes doigts dedans avec le produit.
Nous étions vraiment tout bêtes. Et cela ne nous sortit pas de notre embarra quand Muriel rigola en disant que c'était pas vrai et que c'était de notre age.
M : Bon aller c'est rien les jeunes, ce sera notre secret. Bon je vais finir plus tôt moi du coup.
Soudain Aurore coupa la parole de l'esthéticienne pour lui demander une chose qui allait me surprendre.
A : Vous faites aussi les hommes ?
M : Oh ben oui, c'est rare mais oui, pourquoi ? Oh toi tu veux que j'épile ton copain non ?
A : Là il faut que je rentre mais une prochaine oui je veux bien ! (Aurore riait)
M : Ben je peux le faire maintenant et si tu t'inquiètes pour ta mère je peux l'appeler pour lui dire que j'aurais du retard !
A : Mais non je veux pas vous déranger...
Une fois de plus Muriel n'en fit qu'à sa tête et téléphona à la mère d'Aurore pour inventer une panne de machine à chauffer la cire, que le boulot était fait à moitié
mais que c'était reparti. J'étais littéralement sur le cul et très gêné car je bandais encore comme un taureau. Une fois de retour, Muriel prit les commandes.
M : Aller jeune homme, déshabilles toi et allonges toi.
N : Heu entièrement...?
M : Mais oui, il n'y a pas de raison, ta copine l'a bien fait elle. Et puis te tracasse pas pour ton érection j'en ai vu d'autre.
Aurore ria et m’obligea à le faire. Une fois nu, mon sexe était droit comme un I et je ne pouvais vraiment plus le cacher.
Muriel décida de ce qu'elle allait faire. Pour moi cela allait être une tonte de mon torse et de mon sexe, et une épilation des jambes et des aisselles.
Muriel confia la crème anesthésiante à Aurore qui entreprit de me l'appliquer pendant que cette première me tondait le torse.
Aurore s’attarda sur mon sexe encore au garde à vous. Après m'avoir masser les bourses, elle me masturbait très lentement.
Une barrière avait sauté et c'est donc sans gène que ma main trouva le chemin de la fente toute lisse de ma copine qui n'avait toujours pas remis ses vêtements.
Muriel souriait lorsqu'elle m'enleva la main pour me lever le bras afin d'épiler mon aisselle.
Ce fut ensuite le tour de mes jambes. Même avec la crème, c'était douloureux. Une belle arnaque oui ! Aurore lâcha enfin mon sexe pour que Muriel tourne autour
avec sa cire. Celle ci ne se gêna pas pour le prendre à pleine main et le plier dans tous les sens pour passer sa tondeuse. Le moment où je fut le plus réticent
c'est quand les filles m'ont obligé à me mettre sur le côté pour m'épiler l'anus !
Une vrai torture !
M : Oh mais quel douillet celui là ! Voilà c'est fini ! Regarde comme tu es beau. Il te plait Aurore ?
A : Oui, il fait plus viril comme cela et son sexe semble plus grand !
Le téléphone nous sépara une ultime fois de Muriel. Cette fois ci, Aurore souriait. Elle semblait heureuse. Sans me dire un mot elle se pencha sur mon sexe
pour le prendre en bouche. Il n'y avait vraiment plus aucune gène chez elle. Elle me masturber habillement tout en aspirant mon gland. Elle avait retenu ma
leçon. En réponse à ce traitement, j'attrapais ses fesses pour qu'elle se place au dessus de moi. C'est alors qu'un 69 endiablé commença. J'aspirais le clitoris
d'aurore tout en alternant mes doigts dans son vagin et son anus. Aurore fut prise d'un spasme de plaisir. Elle sortit mon sexe de sa bouche pour laisser
échapper un gémissement de jouissance. Muriel se tenait dans l'encadrement de la porte et c'est lorsque j'ai remarqué sa présence que mon sperme jaillit pour
maculer le cou d'Aurore.
Nous nous sommes essuyé avec la serviette de la table sur les conseils de Muriel. Nous n'avons rien dit de plus qu'un au revoir et à la prochaine et nous sommes
sortis du salon de beauté.
Depuis ce moment, nos rapports ont agréablement évolué. Aurore était devenue beaucoup plus ouverte d'esprit et ne craignait plus de faire des choses en cachette
de ses parents. Chaque weekend, nous avions maintenant notre rituel de retrouvaille. Aurore ne m'ouvrait plus la porte mais c'était sa mère. Je devais
rejoindre l'étage pour aller à la chambre d'Aurore qui faisait des devoirs. Celle ci m'y attendait souvent en jupe et sans culotte pour que je lèche ses orifices
en guise de bonjour.
Nous avons appris par la suite que l'esthéticienne faisait partie du club échangiste du coin. Pas étonnant en fin de compte.
Dans un prochain récit, je vous expliquerai jusqu'où nous sommes allés dans l'éducation sexuelle d'Aurore.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je mouille hihi
histoire sympa