Pris au piège (premier épisode)
Récit érotique écrit par Aéduquer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Pris au piège (premier épisode)
Je suis hétéro, marié, bon père de famille. J’éprouve depuis longtemps du plaisir à porter des sous-vêtements féminins. Je le fais occasionnellement quand ma femme me laisse trop longtemps en manque de câlins.
Il y a huit mois, elle a du partir pour son travail pendant deux semaines à l’autre bout du pays.
Son régulier coup de téléphone du soir ne m’a plus suffit dès le premier jeudi. Seul, j’en ai profité pour essayer quelques uns de ses sous-vêtements. Devant le miroir, je trouvais cela plutôt excitant. J’ai cherché une de ses paires de chaussures pour voir l’effet de marcher en me déhanchant, je me suis clairement fait rire en me voyant dans le miroir du couloir. Trébuchant, maladroit, j’étais parfaitement ridicule. Je me suis pris au jeu et j’ai essayé de m’appliquer à marcher sans hésitation sur des chaussures à petits talons de cinq centimètres.
Au bout d’une heure d’essai, je devenais crédible. J’ai essayé des sandales qui me serraient moins les pieds avec un talon de sept centimètres et après plusieurs allez retour dans le couloir, je commençais à avoir un déhanché qui m’a surpris. Je me suis dit qu’avec une robe ou une jupe l’effet serait presque celui des filles qui me font rêver chaque jour. Me voila donc parti pour chercher une jupe. Malheureusement ma femme fait du 38, pas de problème pour mes hanches, mais la taille …Après de multiples essayages, je trouve une jolie jupe droite qui m’arrive sept ou huit centimètres au dessus du genou et veut bien se fermer autour de ma taille. C’est une découverte, un plaisir de ce sentir entourer, serré par cette jupe qui en même temps laisse passer l’air entre mes jambes. Je ne comprends décidément pas les femmes qui mettent des pantalons.
Devant le miroir du couloir l’effet est saisissant. J’en suis très excité. Je décide de compléter ma tenue d’un chemisier et de mettre des bas opaques pour cacher ma pilosité.
Mon excitation va grandissante lorsque je me voie ainsi déguisé. Excepté la tête, j’ai l’allure d’une jeune femme. Je me rappelle où ma femme range une ou deux perruques qu’elle met de temps à autres quand la fantaisie lui prend.
Je me colle du rouge à lèvres et reviens devant le miroir. Je ne me reconnais pas. C’est à la fois perturbant et très excitant. Je saute sur le clavier de l’ordi pour aller sur des sites coquins que je fréquente de temps à autres. Je créé un pseudo au nom de sophie coquine en indiquant que je suis un homme qui cherche à être dominé et travesti et je colle la photo de la superbe jeune femme qui me faisait face dans le miroir. A peine mis en ligne, je reçois dix sept messages. Malheureusement dix sept hommes. Un plus intelligent que les autres engage un dialogue sur ce que j’éprouve. Nous conversons longuement et il me propose de passer sur MSN. J’accepte émoustillé par la situation. Nous nous connectons et il me fait rougir par ses remarques et allusions. Je me prends au jeu. Il me propose de mettre la webcam en marche et là je me dis que je suis très peu reconnaissable, si je ne montre pas mon visage. J’accepte après avoir mis un coussin sur mon siège pour ne pas être dans le champ de la caméra.
La connexion s’établit et là sur l’écran en face de moi mon voisin de palier. Je reste cloué de stupeur. Sans voix. Terrorisé. Je tremble de tous mes membres et il s’en aperçoit. Il comprend instantanément l’origine de mon tremblement. Me dit de montrer mon visage. Je refuse et il éclate d’un grand éclat de rire. Je sais qui tu es petite lopette ta voix t’a trahie ainsi que le joli chemisier transparent de ta femme. Je suis tétanisé. Alors ta femme s’en va et en moins d’une semaine tu révèle ton penchant pour les hommes. Son rire accroît mes tremblements, je suis perdu. Je n’arrive plus à penser clairement pris en flagrant délit. Ecoutes me dit-il, si tu fais ce que je souhaite je n’en dirai rien à ton épouse. Dans le cas contraire, je lui raconte tout dès le jour de son retour. Tu es d’accord ? je ne répond pas. Je réfléchis vite quel va être l’échappatoire à cette terrible erreur. Je lui dis en modifiant ma voix, je ne sais pas de quoi vous parlez, vous vous trompez nous ne nous connaissons pas. Mon cher voisin de palier me dit-il je vais te le prouver de suite.
Que veut-il dire ? Il disparait de son écran et j’en profite pour modifier la position de la caméra. A ce moment j’entends une clé dans la serrure de la porte d’entrée. Pris de panique, je me lève pour tomber nez à nez avec mon voisin de palier.
Alors petite salope tu avais oublié que tu m’avais confié la clé de chez toi lors de vos dernières vacances. Et bien je crois que je vais les garder encore un moment, pour mes loisirs.
Allez ouste on va chez moi !
Et il me prend le poignet et me pousse devant lui.
Avant que je ne réagisse je suis sur le palier, il claque la porte, je suis à sa merci, seul lui a la clé de mon appartement.
Contre toute attente, il me pousse vers le haut de l’escalier en me disant de lui montrer comment une pétasse monte bien les escaliers en se déhanchant.
Je tremble, lui demande de me donner mes clés. Il rit. Si tu ne fais pas ce que je veux tout de suite, j’alerte tout le voisinage en gueulant et tes penchants de femelle seront dévoilés à tous.
Son ton monte. J’essaie maladroitement d’attraper la clé. Il me cueille d’une droite dans l’estomac. Je manque tomber, je tousse, j’ai les larmes aux yeux. Il me tord le bras et me pousse vers le haut de l’escalier. Je monte les premières marches.
J’entends un bruit et me retourne, il est en train de défaire sa ceinture et me dit « Trémousses toi ou gare ! » Je monte en me déhanchant de mon mieux, il me claque les fesses avec sa ceinture et me dit de m’appliquer sinon il va falloir rester dans l’escalier jusqu’au soir. Je blêmis en m’imaginant rencontrer tous les voisins un à un lors de leur rentrée du travail. Je m’applique et il semble content car j’entends des rires étouffés. Il me complimente, continue comme ça ma salope tu es vraiment doué. Arrivé en haut, il me dit de redescendre et de le faire avec application au moment de faire demi tour, je vois qu’il a filmé ma progression à l’aide de son portable. Je redescends en m’appliquant et j’essaie d’engager le dialogue. Cela me vaut deux ou trois coups de ceinture et je comprends qu’il souhaite que je me taise. Nous arrivons à notre étage et je m’arrête. Mais il me dit de descendre jusqu’au rez de chaussée. Mon angoisse augmente pourvu que personne n’arrive maintenant. Au rez de chaussée, il me guide vers la cave et je ne peux rien faire que d’y entrer. Il me guide dans le labyrinthe et me dit ici on va être tranquille pour que tu puisses gueuler.
Merci de vos mails
Il y a huit mois, elle a du partir pour son travail pendant deux semaines à l’autre bout du pays.
Son régulier coup de téléphone du soir ne m’a plus suffit dès le premier jeudi. Seul, j’en ai profité pour essayer quelques uns de ses sous-vêtements. Devant le miroir, je trouvais cela plutôt excitant. J’ai cherché une de ses paires de chaussures pour voir l’effet de marcher en me déhanchant, je me suis clairement fait rire en me voyant dans le miroir du couloir. Trébuchant, maladroit, j’étais parfaitement ridicule. Je me suis pris au jeu et j’ai essayé de m’appliquer à marcher sans hésitation sur des chaussures à petits talons de cinq centimètres.
Au bout d’une heure d’essai, je devenais crédible. J’ai essayé des sandales qui me serraient moins les pieds avec un talon de sept centimètres et après plusieurs allez retour dans le couloir, je commençais à avoir un déhanché qui m’a surpris. Je me suis dit qu’avec une robe ou une jupe l’effet serait presque celui des filles qui me font rêver chaque jour. Me voila donc parti pour chercher une jupe. Malheureusement ma femme fait du 38, pas de problème pour mes hanches, mais la taille …Après de multiples essayages, je trouve une jolie jupe droite qui m’arrive sept ou huit centimètres au dessus du genou et veut bien se fermer autour de ma taille. C’est une découverte, un plaisir de ce sentir entourer, serré par cette jupe qui en même temps laisse passer l’air entre mes jambes. Je ne comprends décidément pas les femmes qui mettent des pantalons.
Devant le miroir du couloir l’effet est saisissant. J’en suis très excité. Je décide de compléter ma tenue d’un chemisier et de mettre des bas opaques pour cacher ma pilosité.
Mon excitation va grandissante lorsque je me voie ainsi déguisé. Excepté la tête, j’ai l’allure d’une jeune femme. Je me rappelle où ma femme range une ou deux perruques qu’elle met de temps à autres quand la fantaisie lui prend.
Je me colle du rouge à lèvres et reviens devant le miroir. Je ne me reconnais pas. C’est à la fois perturbant et très excitant. Je saute sur le clavier de l’ordi pour aller sur des sites coquins que je fréquente de temps à autres. Je créé un pseudo au nom de sophie coquine en indiquant que je suis un homme qui cherche à être dominé et travesti et je colle la photo de la superbe jeune femme qui me faisait face dans le miroir. A peine mis en ligne, je reçois dix sept messages. Malheureusement dix sept hommes. Un plus intelligent que les autres engage un dialogue sur ce que j’éprouve. Nous conversons longuement et il me propose de passer sur MSN. J’accepte émoustillé par la situation. Nous nous connectons et il me fait rougir par ses remarques et allusions. Je me prends au jeu. Il me propose de mettre la webcam en marche et là je me dis que je suis très peu reconnaissable, si je ne montre pas mon visage. J’accepte après avoir mis un coussin sur mon siège pour ne pas être dans le champ de la caméra.
La connexion s’établit et là sur l’écran en face de moi mon voisin de palier. Je reste cloué de stupeur. Sans voix. Terrorisé. Je tremble de tous mes membres et il s’en aperçoit. Il comprend instantanément l’origine de mon tremblement. Me dit de montrer mon visage. Je refuse et il éclate d’un grand éclat de rire. Je sais qui tu es petite lopette ta voix t’a trahie ainsi que le joli chemisier transparent de ta femme. Je suis tétanisé. Alors ta femme s’en va et en moins d’une semaine tu révèle ton penchant pour les hommes. Son rire accroît mes tremblements, je suis perdu. Je n’arrive plus à penser clairement pris en flagrant délit. Ecoutes me dit-il, si tu fais ce que je souhaite je n’en dirai rien à ton épouse. Dans le cas contraire, je lui raconte tout dès le jour de son retour. Tu es d’accord ? je ne répond pas. Je réfléchis vite quel va être l’échappatoire à cette terrible erreur. Je lui dis en modifiant ma voix, je ne sais pas de quoi vous parlez, vous vous trompez nous ne nous connaissons pas. Mon cher voisin de palier me dit-il je vais te le prouver de suite.
Que veut-il dire ? Il disparait de son écran et j’en profite pour modifier la position de la caméra. A ce moment j’entends une clé dans la serrure de la porte d’entrée. Pris de panique, je me lève pour tomber nez à nez avec mon voisin de palier.
Alors petite salope tu avais oublié que tu m’avais confié la clé de chez toi lors de vos dernières vacances. Et bien je crois que je vais les garder encore un moment, pour mes loisirs.
Allez ouste on va chez moi !
Et il me prend le poignet et me pousse devant lui.
Avant que je ne réagisse je suis sur le palier, il claque la porte, je suis à sa merci, seul lui a la clé de mon appartement.
Contre toute attente, il me pousse vers le haut de l’escalier en me disant de lui montrer comment une pétasse monte bien les escaliers en se déhanchant.
Je tremble, lui demande de me donner mes clés. Il rit. Si tu ne fais pas ce que je veux tout de suite, j’alerte tout le voisinage en gueulant et tes penchants de femelle seront dévoilés à tous.
Son ton monte. J’essaie maladroitement d’attraper la clé. Il me cueille d’une droite dans l’estomac. Je manque tomber, je tousse, j’ai les larmes aux yeux. Il me tord le bras et me pousse vers le haut de l’escalier. Je monte les premières marches.
J’entends un bruit et me retourne, il est en train de défaire sa ceinture et me dit « Trémousses toi ou gare ! » Je monte en me déhanchant de mon mieux, il me claque les fesses avec sa ceinture et me dit de m’appliquer sinon il va falloir rester dans l’escalier jusqu’au soir. Je blêmis en m’imaginant rencontrer tous les voisins un à un lors de leur rentrée du travail. Je m’applique et il semble content car j’entends des rires étouffés. Il me complimente, continue comme ça ma salope tu es vraiment doué. Arrivé en haut, il me dit de redescendre et de le faire avec application au moment de faire demi tour, je vois qu’il a filmé ma progression à l’aide de son portable. Je redescends en m’appliquant et j’essaie d’engager le dialogue. Cela me vaut deux ou trois coups de ceinture et je comprends qu’il souhaite que je me taise. Nous arrivons à notre étage et je m’arrête. Mais il me dit de descendre jusqu’au rez de chaussée. Mon angoisse augmente pourvu que personne n’arrive maintenant. Au rez de chaussée, il me guide vers la cave et je ne peux rien faire que d’y entrer. Il me guide dans le labyrinthe et me dit ici on va être tranquille pour que tu puisses gueuler.
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