PRIS COMME UNE FEMME 2 (suite de la Publication du 13-02-2015)

- Par l'auteur HDS Eric-montdemarsan -
Auteur homme.
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Récit libertin : PRIS COMME UNE FEMME 2 (suite de la  Publication du 13-02-2015) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PRIS COMME UNE FEMME 2 (suite de la Publication du 13-02-2015)
Le coït fut rapide, il m’expliqua que lorsqu’il était bien excité, il jouissait assez rapidement et que c’est pour cette raison qu’il invitait souvent son pote à ses ébats amoureux pour qu’il finisse le travail. De plus comme le gros n’était pas un sexe symbole avec son physique ingrat, il pouvait ainsi tirer son coup sans avoir à chercher longtemps. C’est vrai qu’il était imposant avec des cuisses bien épaisses, un ventre énorme et avec des mains burinées par le travail manuel qui faisaient le double des miennes. C’est le genre d’homme à la mine un peu patibulaire que tu évites de rencontrer le soir au fond des bois, sauf si tu veux vraiment te faire violer.
Didier m’embrassa une dernière fois tendrement, m’avoua qu’il avait bien aimé me baiser comme une femme, mais que je devais à l’avenir assurer plus ma féminité et me faire plus chatte pendant l’amour, que j’oublie ma condition d’homme pour devenir une vraie femelle. J’acquiesçais et, avouant être novice en la matière, je m’engageais à suivre ses conseils et à lui faire confiance. La première exigence qu’il exprima fut celle que j’arrête de bander car cela n’avait rien de féminin, il fallait que j’exprime mon désir, mon excitation d’une façon différente. Il sortit sa verge de mon cul, se leva et alla s’assoir sur l’autre fauteuil, me laissant sur le canapé, les cuisses écartées et l’anus dilaté.
Autant Didier s’annonçait comme le cérébral, autant le gros semblait être le vicieux, et cela se devinait dans son regard.
Le gros m’ordonna de me mettre à quatre pattes sur le tapis du salon et de bien cambrer mon cul, puis s’installa derrière moi et empoignant mes fesses à pleine main, il plongea la tête la première à la recherche de mon anus. Sa langue, large et râpeuse, commença à me lécher la raie dans toute sa longueur puis à s’introduire en moi. Comme il me fallait être plus femelle, je tortillais mon cul comme une petite chienne, poussant des gémissements l’invitant à entreprendre ce qu’il voulait. Je le sentais bien excité, soufflant comme un boeuf et cela me plaisait de le voir ainsi. Voyant que je bandais, Il me prit les testicules dans sa grosse pogne, me les tira bien en arrière vigoureusement, puis saisissant sa verge de l’autre main commença à me les tapoter. Chaque coup de gland me faisait couiner même s’ils n’étaient pas donnés avec force car la zone était très sensible. Je me contorsionnais pour exprimer ma douleur, mais cela n’inspirait aucunement sa pitié, au contraire, les coups se faisaient plus forts. Je tremblais à la fois à cause de la douleur mais aussi à cause de l’excitation. J’avais peur d’avoir trop mal et d’être obligé de demander d’arrêter, mais je ne voulais pas les décevoir, aussi j’acceptais mon châtiment et le fait que je ne devais plus me comporter en homme. Je couinais, le cul en l’air, me laissant punir passivement. Ils appelaient ça le jeu du punchingball. Le résultat fut rapide et je me mis à débander à vue d’œil, ma queue, devenant flasque, pendait maintenant entre mes jambes. Didier me félicita en venant m’embrasser tendrement et il me tendit un grand verre de gnole en récompense que je dus avaler, je le bus cul-sec pour saluer la première étape franchie.
J’étais quelque part rassuré de me sentir désiré, de n’avoir rien à faire d’autre que de me laisser faire, je découvrais une certaine paresse à être totalement docile. Il fallait juste que j’apprenne à me soumettre et à en retirer du plaisir.
Puis le gros m’ordonna d’ouvrir mon cul. Je pris une fesse dans chaque main pour bien m’écarter et ainsi exposer mon anus à sa vue et l’invitais à me baiser. Il pointa son gland sur ma rondelle encore enduite de sa bave et s’enfonça en moi. Posant son énorme ventre sur mes reins Il se mit à me fouiller sans retenue, sa verge coulissant entre mes fesses violemment d’avant en arrière. Il me secouait de toute sa masse me traitant régulièrement de salope. Et au lieu de me concentrer uniquement sur ma chatte anale, sur le fait de ne sentir que son sexe en moi, je me remis à bander lorsqu’il m’insulta et ma bitte durcissait à chaque coup du buttoir qu’il m’infligeait.
Ce fut moi qui l’avertis, je lui demandais de me châtier les couilles car je ne respectais pas l’exigence première. Il recommença à me donner de grands coups de verge sur les testicules jusqu’à ce que la douleur me ramollisse la queue.
Puis Didier me fit sentir un flacon, du poppers, c’est un produit qui libère l’inhibition, Il m’expliqua comment le respirer par les narines. J’en pris donc plusieurs inspirations, jusqu’à me sentir complétement partir, c’était ma récompense. Cela amplifia mon exaltation, me permis de lâcher-prise encore plus. Plus rien ne me gênait, plus rien ne me retenait. Je demandais qu’on me baisa fort, qu’on me traita comme une pute et je me sentais bien maintenant dans ce rôle. Cela leur plaisait et ils me félicitaient de me voir ainsi transformé. Ils m’engrossaient comme une femelle en chaleur.
Le gros s’en donna à cœur joie, il me défonçait sans retenue et ses mains venaient claquer sur mes fesses régulièrement, ma queue se balançant au gré de ses coups de reins, des filets de liquide prostatique pendaient au bout de mon gland et ses couilles venaient se coller aux miennes. N’y tenant plus il se lâcha en moi dans un râle sauvage.
Lorsqu’il se retira, je sentis un grand vide en moi et mon anus resta ouvert encore un long instant. Je restais ainsi à quatre pattes jusqu’à ce qu’on m’ordonne de me relever. Lorsque j’eu l’autorisation de quitter le tapis, je vins ensuite m’assoir entre mes deux males qui m’enlacèrent affectueusement cette fois et me caressant avec tendresse. J’eu quelques compliments et aussi l’encouragement à revenir dès que je voulais me faire baiser.
Je savais maintenant quoi faire la prochaine fois……

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