PRIS EN FLAGRANT DELIT
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
PRIS EN FLAGRANT DELIT
Ceci c’est passé il y a quelques années. Je travaillais dans une grande entreprise, et le midi je déjeunais avec les collègues dans le restaurant destiné au personnel.
Ensuite, avec eux, on allait prendre le café au bistrot du coin.
De temps en temps, une jeune femme d’une trentaine d’années se joignait à nous. Elle travaillait non loin de là. J’ai sympathisé avec elle, ce qui a provoqué les railleries de mes collègues. C’est pourquoi, un jour, en ayant marre, je lui ai proposé de la rencontrer dans un autre café 2 rues plus loin. Elle était d’accord. Au moins, cette fois on a la paix. On s’installe à une table, dans le fond, et on discute comme ça, tranquillement pendant plus d’une demi-heure en sirotant notre café.
Nous sommes tous deux mariés. J’ai des enfants, elle non. Ma femme reste à la maison pour les élever.
Son mari a été muté en province, part le dimanche soir et ne rentre que le vendredi soir vers 21 h.
Elle habite dans le quartier à 10 mn à pieds, et travaille dans un magasin pas très loin, c’est pourquoi il lui reste du temps libre le midi. Elle ne reprend qu’à 15 h. Ca fait 3 ou 4 mois qu’on se rencontre le midi.
Or, un jour, sachant que je suis bricoleur, au lieu de prendre le café, elle me demande de l’accompagner chez elle car, après avoir bougé son téléviseur, elle n’a plus d’image.
Nous prenons l’ascenseur, elle habite au 2ème.
C’est l’été, il fait chaud. En entrant, elle prend ma veste et l’accroche au porte manteau. Un couloir, à gauche la cuisine et la salle de bain, en face la chambre dont la porte est ouverte. Au fond le séjour.
Elle m’invite à m’asseoir sur le canapé, allume la télé et part chercher des bières dans la cuisine. J’ai tout de suite compris que l’antenne était débranchée. Le problème a été vite résolu.
Elle a rempli les verres et s’est assise sagement à côté de moi. On a discuté un peu, comme d’habitude. Nos verres étant vides, elle est sortie.
Après quelques minutes d’absence, elle est réapparue ……. nue. Vraiment belle, 1 m 60, 45 kg, une toison noire bien fournie, des petits seins aux tétons arrogants ! En 10 ans de mariage je n’ai jamais trompé ma femme, modèle du même âge, un peu plus grande et aussi belle, me donnant entière satisfaction. Je crois que je me suis fait bêtement piéger. Je n’ai rien vu venir !! Pour moi ce n’était qu’une simple copine que j'allais dépanner.
Je sentais mon sexe gonfler à la vue de cette beauté. Elle est venue s’asseoir près de moi, m’a pris la bouche et a mis une main bien appuyée sur la bosse qui déformait mon pantalon. De mon côté je n’ai pas pu résister à la tentation de caresser ses seins. Je les sentais durcir et les tétons s’ériger dans ma bouche. Elle a dégrafé mon pantalon, puis ouvert ma braguette. Par l’ouverture du boxer, elle fait jaillir et s’empare de l’objet de son désir, déjà bien dur. Je passe la main entre ses cuisses et je m’aperçois qu’elle est trempée. Changeant de position, je m’adosse à l’accoudoir et j’allonge les jambes sur le canapé. Elle se met à genoux au-dessus de moi, m’avale en entier. Elle se montre très gloutonne, pompant mon dard au maximum, excitant le gland du bout de la langue et caressant les couilles. Son action fait durcir et augmenter un peu plus la longueur de la tige et la dimension du gland. Il devient si gros qu’il lui comble la bouche. Pourtant elle l’ouvre en grand mais a du mal à l’absorber. Elle va tellement loin que par moment elle manque de s’étouffer. Pendant ce temps, je titille son clito et introduit 2 doigts que je fais aller et venir dans son vagin plein de mouille dont, en écartant les lèvres velues, je peux admirer les chairs roses de l’entrée. Sentant qu’à ce régime je ne pourrais pas tenir longtemps, je la repousse. Je ne veux pas jaillir dans sa bouche, car j’ai de plus en plus envie de la prendre.
Elle se retourne et se met à califourchon face à moi, au-dessus de mon pieu, le prend en main est s’embroche doucement. Penchée en avant, elle monte et descend, me faisant disparaître dans son ventre. Je bute au fond du vagin, la sensation est extraordinaire. Elle mouille abondamment, son jus coule sur mes couilles. Son vagin est étroit, je sens qu’elle le contracte, mais je coulisse facilement à l’intérieur, c’est bon.
Tout absorbé à la limer, soudain, je sens comme une présence. Je lève les yeux et vois un mec dans l’encadrement de la porte. Je suppose que c’est le mari (ou l’amant, va savoir ?). Normalement il n’aurait pas dû être là. Il est moins grand mais beaucoup plus costaud que moi (je mesure 1 m 80 pour 70 kg).Tout à notre plaisir, on ne l’a pas entendu arriver, je ne sais pas depuis combien de temps il nous observe. Il ne bouge pas et regarde sa femme en train de baiser. Il a ouvert son pantalon et astique son braquemart en érection (un sacré morceau) puis, se rendant compte que je l’ai vu, s’avance vers nous l’engin en main. Elle continue ses va et vient, elle ne se doute de rien, tournant le dos à la porte et savourant son plaisir, yeux fermés. Arrivé sans bruit derrière elle, d’une main il appuie sur son cou pour l’aplatir sur moi et l’immobiliser. Surprise elle essaye de se dégager, mais elle est emmanchée sur ma bite, et en bougeant offre son cul à la pine qui se présente en face de son petit trou. Sans ménagement il écarte les fesses, force l’entrée, l’empale d’un seul coup, s’enfonce jusqu’aux couilles, la faisant crier. Puis, la tenant fermement par les hanches et l’écrasant sur moi, il commence ses va et vient sans tenir compte de ses protestations. Elle crie » non arrête, tu me fais mal, arrête aïe- aïe arrête «. A chaque coup de butoir il dit « tiens garce prends ça » et la burine de plus en plus fort. Elle crie, pleure, le supplie d’arrêter, le traite de salaud, mais rien n’y fait, il a décidé d’aller jusqu’au bout.
Elle est aplatie sur moi, à genoux, jambes écartées au maximum. Je suis toujours dans son sexe, je ne bouge plus. Pas la peine, il s’active pour moi. L’acharnement de ce mec dans son cul la fait aller d’avant en arrière. Ce pilonnage me fait coulisser en elle au même rythme que ce mec qui se déchaîne dans son cul. Je sens sa queue frotter la mienne au travers des fines parois du vagin et du rectum. Sensation que je n’avais jamais connue auparavant. Je ne peux plus tenir, mon sexe est à l’étroit dans ce fourreau chaud et humide, il gonfle et en quelques soubresauts, j’envoie plusieurs giclées de foutre au fond de son vagin. Il la pilonne de plus en plus vite, se bloque au fond, s’arrête. Dans un long râle, il décharge dans ses entrailles, s’immobilise quelques instants, redonne plusieurs coups de butoir pour terminer l’assaut. Il transpire, halète, me regarde, a l’air de se calmer.
Puis tout s’accélère. Il sort sa queue du cul de sa femme, la bascule et la fait tomber sur le sol au pied du canapé. Elle est en larmes, recroquevillée par terre. Lui est furieux et la traite de putain. Elle lui répond « salaud, tu m’as enculée ». Je me lève précipitamment. Je tiens mon pantalon pour qu’il ne tombe pas à mes pieds. Il est devant moi, la bite toujours dressée, ne dit rien, m’attrape par la chemise. A voir sa tronche, je m’attends à prendre son poing dans la gueule. Penaud, mal à l’aise, je le regarde droit dans les yeux, la bite et les couilles toujours à l’air. Il me toise de la tête aux pieds et, sans ménagement, me pousse dans le couloir, prend ma veste, ouvre la porte, et d’un coup de pied dans le bas du dos m’expédie sur le palier en y jetant ma veste. Heureusement qu’il n’y avait personne à ce moment là ! Pas fier, j’ai remis en place l’objet du délit revenu au repos, fermé le pantalon, enfilé la veste, mis un peu d’ordre dans ma tenue. J’ai redescendu les escaliers quatre à quatre pour évacuer la pression. Je l’avais échappé belle ! Je suis rentré au bureau. J’ai quitté la veste puis je me suis rendu aux toilettes, pris du papier essuie main au dévidoir. J’en ai mouillé un et je l’ai enduit de savon liquide. Un autre simplement mouillé et un 3ème sec. Je me suis enfermé et, assis sur le siège, je me suis lavé et rincé soigneusement la queue et les couilles. Ensuite je me suis essuyé avec le papier sec. J’avais l’impression d’avoir sur moi une forte odeur de sexe. Je crois l’avoir fait disparaître. Je ne voulais pas que mes collègues et surtout ma femme se doutent de quelque chose.
Le soir, peut être parce que je me sentais coupable de m’être laissé entraîner dans cette aventure, mais surtout parce que j’en avais très envie, j’ai fait l’amour à ma femme comme au début de notre rencontre. Nous avons joui en même temps, c’était sublime.
Finalement, ça a été une journée mémorable, mais que ce serait-il passé si on en était venu aux mains. Comment expliquer une tête au carré en rentrant à la maison ? Je me sentais vraiment fautif, n’ayant pas su résister à la tentation. Je n’ai pas réagi quand il m’a attrapé pour me flanquer dehors. La situation était plutôt compromettante, je reconnais avoir manqué de courage. Je n’étais pas fier, j’étais chez lui, surpris en train de baiser sa femme... Mais que faire quand on a la bite à l’air et le pantalon qui risque de tomber sur les chaussures ? Je ne suis pas un ange, je ne suis pas comme eux, je n’ai pas d’ailes mais j’ai un sexe….moi ! Et je tiens à le conserver en bon état. C’est une baise qui a failli me coûter cher ! Heureusement que le mec n’était pas trop vindicatif. Il avait peut-être trouvé l’occasion d’assouvir un fantasme ? Par contre je ne connais pas sa réaction après mon départ. Il y a sûrement eu une explication mouvementée.
La semaine suivante je suis retourné au bistro. Elle n’est pas venue. Je ne l’ai jamais revue…
Ensuite, avec eux, on allait prendre le café au bistrot du coin.
De temps en temps, une jeune femme d’une trentaine d’années se joignait à nous. Elle travaillait non loin de là. J’ai sympathisé avec elle, ce qui a provoqué les railleries de mes collègues. C’est pourquoi, un jour, en ayant marre, je lui ai proposé de la rencontrer dans un autre café 2 rues plus loin. Elle était d’accord. Au moins, cette fois on a la paix. On s’installe à une table, dans le fond, et on discute comme ça, tranquillement pendant plus d’une demi-heure en sirotant notre café.
Nous sommes tous deux mariés. J’ai des enfants, elle non. Ma femme reste à la maison pour les élever.
Son mari a été muté en province, part le dimanche soir et ne rentre que le vendredi soir vers 21 h.
Elle habite dans le quartier à 10 mn à pieds, et travaille dans un magasin pas très loin, c’est pourquoi il lui reste du temps libre le midi. Elle ne reprend qu’à 15 h. Ca fait 3 ou 4 mois qu’on se rencontre le midi.
Or, un jour, sachant que je suis bricoleur, au lieu de prendre le café, elle me demande de l’accompagner chez elle car, après avoir bougé son téléviseur, elle n’a plus d’image.
Nous prenons l’ascenseur, elle habite au 2ème.
C’est l’été, il fait chaud. En entrant, elle prend ma veste et l’accroche au porte manteau. Un couloir, à gauche la cuisine et la salle de bain, en face la chambre dont la porte est ouverte. Au fond le séjour.
Elle m’invite à m’asseoir sur le canapé, allume la télé et part chercher des bières dans la cuisine. J’ai tout de suite compris que l’antenne était débranchée. Le problème a été vite résolu.
Elle a rempli les verres et s’est assise sagement à côté de moi. On a discuté un peu, comme d’habitude. Nos verres étant vides, elle est sortie.
Après quelques minutes d’absence, elle est réapparue ……. nue. Vraiment belle, 1 m 60, 45 kg, une toison noire bien fournie, des petits seins aux tétons arrogants ! En 10 ans de mariage je n’ai jamais trompé ma femme, modèle du même âge, un peu plus grande et aussi belle, me donnant entière satisfaction. Je crois que je me suis fait bêtement piéger. Je n’ai rien vu venir !! Pour moi ce n’était qu’une simple copine que j'allais dépanner.
Je sentais mon sexe gonfler à la vue de cette beauté. Elle est venue s’asseoir près de moi, m’a pris la bouche et a mis une main bien appuyée sur la bosse qui déformait mon pantalon. De mon côté je n’ai pas pu résister à la tentation de caresser ses seins. Je les sentais durcir et les tétons s’ériger dans ma bouche. Elle a dégrafé mon pantalon, puis ouvert ma braguette. Par l’ouverture du boxer, elle fait jaillir et s’empare de l’objet de son désir, déjà bien dur. Je passe la main entre ses cuisses et je m’aperçois qu’elle est trempée. Changeant de position, je m’adosse à l’accoudoir et j’allonge les jambes sur le canapé. Elle se met à genoux au-dessus de moi, m’avale en entier. Elle se montre très gloutonne, pompant mon dard au maximum, excitant le gland du bout de la langue et caressant les couilles. Son action fait durcir et augmenter un peu plus la longueur de la tige et la dimension du gland. Il devient si gros qu’il lui comble la bouche. Pourtant elle l’ouvre en grand mais a du mal à l’absorber. Elle va tellement loin que par moment elle manque de s’étouffer. Pendant ce temps, je titille son clito et introduit 2 doigts que je fais aller et venir dans son vagin plein de mouille dont, en écartant les lèvres velues, je peux admirer les chairs roses de l’entrée. Sentant qu’à ce régime je ne pourrais pas tenir longtemps, je la repousse. Je ne veux pas jaillir dans sa bouche, car j’ai de plus en plus envie de la prendre.
Elle se retourne et se met à califourchon face à moi, au-dessus de mon pieu, le prend en main est s’embroche doucement. Penchée en avant, elle monte et descend, me faisant disparaître dans son ventre. Je bute au fond du vagin, la sensation est extraordinaire. Elle mouille abondamment, son jus coule sur mes couilles. Son vagin est étroit, je sens qu’elle le contracte, mais je coulisse facilement à l’intérieur, c’est bon.
Tout absorbé à la limer, soudain, je sens comme une présence. Je lève les yeux et vois un mec dans l’encadrement de la porte. Je suppose que c’est le mari (ou l’amant, va savoir ?). Normalement il n’aurait pas dû être là. Il est moins grand mais beaucoup plus costaud que moi (je mesure 1 m 80 pour 70 kg).Tout à notre plaisir, on ne l’a pas entendu arriver, je ne sais pas depuis combien de temps il nous observe. Il ne bouge pas et regarde sa femme en train de baiser. Il a ouvert son pantalon et astique son braquemart en érection (un sacré morceau) puis, se rendant compte que je l’ai vu, s’avance vers nous l’engin en main. Elle continue ses va et vient, elle ne se doute de rien, tournant le dos à la porte et savourant son plaisir, yeux fermés. Arrivé sans bruit derrière elle, d’une main il appuie sur son cou pour l’aplatir sur moi et l’immobiliser. Surprise elle essaye de se dégager, mais elle est emmanchée sur ma bite, et en bougeant offre son cul à la pine qui se présente en face de son petit trou. Sans ménagement il écarte les fesses, force l’entrée, l’empale d’un seul coup, s’enfonce jusqu’aux couilles, la faisant crier. Puis, la tenant fermement par les hanches et l’écrasant sur moi, il commence ses va et vient sans tenir compte de ses protestations. Elle crie » non arrête, tu me fais mal, arrête aïe- aïe arrête «. A chaque coup de butoir il dit « tiens garce prends ça » et la burine de plus en plus fort. Elle crie, pleure, le supplie d’arrêter, le traite de salaud, mais rien n’y fait, il a décidé d’aller jusqu’au bout.
Elle est aplatie sur moi, à genoux, jambes écartées au maximum. Je suis toujours dans son sexe, je ne bouge plus. Pas la peine, il s’active pour moi. L’acharnement de ce mec dans son cul la fait aller d’avant en arrière. Ce pilonnage me fait coulisser en elle au même rythme que ce mec qui se déchaîne dans son cul. Je sens sa queue frotter la mienne au travers des fines parois du vagin et du rectum. Sensation que je n’avais jamais connue auparavant. Je ne peux plus tenir, mon sexe est à l’étroit dans ce fourreau chaud et humide, il gonfle et en quelques soubresauts, j’envoie plusieurs giclées de foutre au fond de son vagin. Il la pilonne de plus en plus vite, se bloque au fond, s’arrête. Dans un long râle, il décharge dans ses entrailles, s’immobilise quelques instants, redonne plusieurs coups de butoir pour terminer l’assaut. Il transpire, halète, me regarde, a l’air de se calmer.
Puis tout s’accélère. Il sort sa queue du cul de sa femme, la bascule et la fait tomber sur le sol au pied du canapé. Elle est en larmes, recroquevillée par terre. Lui est furieux et la traite de putain. Elle lui répond « salaud, tu m’as enculée ». Je me lève précipitamment. Je tiens mon pantalon pour qu’il ne tombe pas à mes pieds. Il est devant moi, la bite toujours dressée, ne dit rien, m’attrape par la chemise. A voir sa tronche, je m’attends à prendre son poing dans la gueule. Penaud, mal à l’aise, je le regarde droit dans les yeux, la bite et les couilles toujours à l’air. Il me toise de la tête aux pieds et, sans ménagement, me pousse dans le couloir, prend ma veste, ouvre la porte, et d’un coup de pied dans le bas du dos m’expédie sur le palier en y jetant ma veste. Heureusement qu’il n’y avait personne à ce moment là ! Pas fier, j’ai remis en place l’objet du délit revenu au repos, fermé le pantalon, enfilé la veste, mis un peu d’ordre dans ma tenue. J’ai redescendu les escaliers quatre à quatre pour évacuer la pression. Je l’avais échappé belle ! Je suis rentré au bureau. J’ai quitté la veste puis je me suis rendu aux toilettes, pris du papier essuie main au dévidoir. J’en ai mouillé un et je l’ai enduit de savon liquide. Un autre simplement mouillé et un 3ème sec. Je me suis enfermé et, assis sur le siège, je me suis lavé et rincé soigneusement la queue et les couilles. Ensuite je me suis essuyé avec le papier sec. J’avais l’impression d’avoir sur moi une forte odeur de sexe. Je crois l’avoir fait disparaître. Je ne voulais pas que mes collègues et surtout ma femme se doutent de quelque chose.
Le soir, peut être parce que je me sentais coupable de m’être laissé entraîner dans cette aventure, mais surtout parce que j’en avais très envie, j’ai fait l’amour à ma femme comme au début de notre rencontre. Nous avons joui en même temps, c’était sublime.
Finalement, ça a été une journée mémorable, mais que ce serait-il passé si on en était venu aux mains. Comment expliquer une tête au carré en rentrant à la maison ? Je me sentais vraiment fautif, n’ayant pas su résister à la tentation. Je n’ai pas réagi quand il m’a attrapé pour me flanquer dehors. La situation était plutôt compromettante, je reconnais avoir manqué de courage. Je n’étais pas fier, j’étais chez lui, surpris en train de baiser sa femme... Mais que faire quand on a la bite à l’air et le pantalon qui risque de tomber sur les chaussures ? Je ne suis pas un ange, je ne suis pas comme eux, je n’ai pas d’ailes mais j’ai un sexe….moi ! Et je tiens à le conserver en bon état. C’est une baise qui a failli me coûter cher ! Heureusement que le mec n’était pas trop vindicatif. Il avait peut-être trouvé l’occasion d’assouvir un fantasme ? Par contre je ne connais pas sa réaction après mon départ. Il y a sûrement eu une explication mouvementée.
La semaine suivante je suis retourné au bistro. Elle n’est pas venue. Je ne l’ai jamais revue…
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