Pris en stop, la suite ! - histoire érotique

Le Lundi, donc le lendemain de cette folle baise avec le groupe de copains, je suis encore sous la déception de l'impossibilité de baiser encore avec eux.
Je pensais bêtement avoir trouvé un groupe d'hommes qui me baiseraient dès mon retour à la vie civile.

Mon père me sort de mes pensées lubriques, il m'exaspère en pestant sur le couple de pédés qui habitent en face de chez nous.

"Putain, de pédés ! Heureusement que j'ai pas de fils comme ça ! Ca devrait pas exister des gens comme eux !".

Il me regarde ensuite:

"Ca va Pascal, t'étais ou hier ? On t'as pas vu de la journée ?".
"On est allé en boite avec des potes ! Comme il était tard, j'ai dormi chez un copain !".
"T'avais l'air fatigué ! En tout cas ! Comment ça se fait ?".
"On a beaucoup bu ! Plus le manque de sommeil ! Tu comprends !".
"Oh, oui, c'est de ton âge, après tout !".

Ouf ! Il ne se pose pas plus de questions ! S'il savait que ce fils, dont il est si fier se fait démonter l'anus par des hommes de son âge, il en perdrai la raison.
Ma future reprise de liaison avec ma petite amie va le conforter dans la croyance que je suis l'hétéro parfait.

Je sais par ma mère, qu'il est fier de moi, je suis le seul de ses fils qui a fait son service militaire.
S'il savait que je suis devenu la pute du camp d'entrainement, et que si je m'y épanouis, c'est pas de la manière qu'il pense.

Cependant, les images de mon corps dans le miroir, pendant que je copulais avec les quatre hommes m'obsèdent.
Tout me revient et me fait bander comme un fou.

Les sodomies, les fellations, le sperme qui dégouline hors de mon cul, l'éjaculation faciale que j'ai subi avec vice.
Se voir dans un reflet, augmente la précision des souvenirs, j'ai adoré baiser ainsi avec ces hommes.

Mon érection me pousse à vouloir recommencer, j'ai envie qu'on m'encule !

Je décide d'aller dans le quartier ou Jacques réside, pas très loin d'un bar, que je fréquente.
Je vais d'abord au bar, puis je vais faire un passage devant sa villa.
Après, un long moment, je me résigne à retourner au bar.
Je n'ose pas importuner Jacques, s'il s'y trouve.

Je m'éloigne de la maison, puis je sursaute en entendant:

"Pascal ?".

C'est Jean-Luc !

"Oui, euh désolé...je voulais pas que tu me vois ici !".
"Qu'est-ce que tu fais là, alors ?".
"J'étais au bar le B... et je me suis dis que ça me rappellerai des choses !".
"C'étais hier ! C'est pas si loin !".
"Oui, mais j'arrête pas d'y penser ! Mais oublies ça, je vais te laisser tranquille !".
"Mais non, pourquoi ? Ca te dit que je t'emmène quelque part pour t'enculer ?".
"Euh, je comprends pas ! Vous m'aviez dit que...".
"Ca te dit ou pas ?".
"Oui, surtout avec toi ! C'était génial !".
"Pareil, pour moi ! Allez, on y va !".

Il m'entraine à sa voiture et m'explique qu'il a dormi chez Jacques, après une beuverie ou j'étais le sujet de discussion principal.

"Ah bon ? Ca me flatte ! Merci !".
"De rien, c'est normal, on rencontre pas beaucoup de jeune pédé comme toi !".
"Euh..., je me considère pas comme pédé !".
"Quoi ? T'aimes les filles ? Je te crois pas ! J'ai jamais enculé un mec qui aime ça, autant que toi ! Et tu en baises souvent des filles ?".
"Pas encore, je suis puceau de ce coté là ! Je sais, c'est ridicule !".
"Alors ça, je l'ai jamais entendu ! T'es une vraie salope pour les hommes et tu continues de penser que t'es hétéro ?".
"Oui, je sais, mais je suis naturellement attiré par elles ! Avec les hommes, c'est physique et sexuel !".
"Bon ! si tu veux ! Mais je vais encore te confirmer que tu aimes te faire enculer ! T'es partant ?".
"Oui, j'en ai envie !".

Il m'emmène dans un petit fourré éloigné de la circulation, puis m'attire hors de la voiture.
J'ai une énorme peur d'être vu, lorsqu'il m'impose de le sucer en pleine nature.
Il s'amuse à m'humilier en me baisant la gorge, me savoir hétéro le motive encore davantage.

"Alors comme ça, t'es un hétéro puceau qui aime se faire casser le cul ! Et depuis quand tu baises avec des mecs ?".
"Depuis un an ! C'est le militaire qui m'a dépucelé ! Il a été le premier à m'enculer !".
"Je vois ! Et il a fait de toi sa pute, on dirait ! Ca te plait ?".
"Oui, j'adore !".

Il me tient le visage avec la bouche ouverte et se frotte la bite sur moi, me flagelle par moment.
Je suis excité comme une petite pute.

"Tu sais que je vais te défoncer comme une chienne ?".
"Oui, je sais ! J'en ai envie ! Défonces-moi comme tu veux !".

Il me redresse et me dénude les fesses en me collant contre sa voiture.
Il force déjà contre mon anus non lubrifié.

"Pas si vite ! Mouille moi un peu ! S'il te plait !".

Il se baisse et me crache sur le cul, plusieurs fois.
Il remonte, sa grosse verge dure pousse aussitôt entre mes fesses.

Je l'aide de mon coté en poussant sur mon muscle anal, tant je le désire en moi.
Son gland passe mon œillet en me faisant gémir dans mon bras.

Il entame de courts va et vient, lentement sa grosse verge se lubrifie et me transperce enfin jusqu'aux couilles.

"Arghhhhhhhhhh ! Jean-Luc ! C'est trop bon ! J'adore ta queue !".
"Ah bon, c'est pas le discours d'un hétéro ça ! Et si je fais ça, qu'est ce que tu me dis ?".

Il me transperce plusieurs fois profondément et avec puissance.

"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui, encore !".
"Tu sais que t'es un pédé, tu pourras pas lutter contre ta nature, t'es une grosse salope ! C'est comme ça !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui, je sais, je suis une salope, un pédé ! Arghhhhhhhhhh !".

A cause de ma petite taille, il me force à me soutenir sur la pointe des pieds, tant il s'enfonce puissamment en moi.

Ses assauts continus deviennent plus amples grâce à ma lubrification anale.
Il en profite alors et joue avec l'ouverture de mon anus.
Sans cesse, il se retire et me transperce d'un coup profond et puissant en me faisant gémir entre mes lèvres.

"Putain, tu me trempes la bite, salope ! T'aimes ça, te faire enculer !".
"Arghhhhhhhh ! Oui, c'est ce que je voulais ! Merci Jean Luc ! Arghhhhhhhhhh !".
"Putain, je vais t'enculer sur le capot ! Tu me salis le pantalon là !".

Il me déporte sur le capot moteur et se dégage de son pantalon pour avoir plus d'aisance.
Il me défonce encore plus fort en utilisant le véhicule comme appui pour mon cul.
Je porte ma main à ma bouche pour contenir mes cris d'orgasme anal.

Sans cesse, il se déchaine pendant plus d'une minute, puis se calme et joue avec mon anus avec vice ensuite.
Dans les moments calmes, il me parle:

"Tu penses toujours être hétéro ?".
"Mmmm ! Oui !".
"Et si ça te plait pas, quand tu vas baiser une meuf, pour la première fois ?".
"Arhhhhhh ! Je verrais ! Je crois que j'assumerais mon homosexualité ! Mais ce sera pas facile, ma famille ne l'acceptera pas !".
"Comme beaucoup d'entre nous ! Tu le feras en cachette !".
"C'est pour ça que j'espère que j'aimerai faire l'amour avec une fille ! Arhhhhhhh ! J'essaierai de m'en passer !".
"Tu rêves ! Ma petite salope ! Tu vas la tromper sans arrêt avec des hommes, c'est sûr !".

Sur cette phrase, il se retire de mon cul et attend un moment avant de me demander:

"Tu la veux encore ?".
"Oui, s'il te plait !".
"Ben, je comprends pas, t'es hétéro !".

Il m'a piégé encore, je le supplie:

"Non, t'as raison ! je suis une vraie salope pour les hommes comme toi, j'aime trop la bite ! Je suis un pédé !".
"Voilà ! Tu vas devoir vivre avec, ma salope ! Tiens, tu l'as méritée !".
"Arghhhhhhhhhh ! Merci ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !".

Son endurance m'étonne encore, je dégouline de jus anal entre mes cuisses.
Sa défonce est interminablement délicieuse.
Longtemps après, j'entends un bruit, Jean-Luc dit:

"Viens te faire sucer mec ! Il adore ça !".

Je suis surpris de comprendre qu'un voyeur nous matait en se masturbant.

"Regardes Pascal ! Une autre belle queue pour toi ! Tu veux lui donner du plaisir ?".
"Oui !".

L'homme approche, Jean-Luc me déporte pour que je puisse le recevoir dans ma bouche.

Il m'est difficile de lui prodiguer une fellation convenable tant Jean-Luc me défonce puissamment.
Mais cela doit contenter l'inconnu, puisqu'il éjacule assez rapidement dans ma gorge.

"Restes dans sa bouche ! Allez ! Pascal ! Avales le bien, salope !".

Je fais des bruits significatifs d'ingestion de sperme, Jean-Luc est comme un fou, ses assauts se font saccadés.

"Oh, Putain, tu m'excites ! Arghhhhhhhhhhhh ! Ahnnhhhhhhh ! Je me vides dans ton cul ! Arhhhhhhhhhh !".

Je continue d'avaler en ressentant un plaisir anal énorme, causé par ses derniers assauts d'éjection de foutre en moi.

L'inconnu recule, sa bite est vidée de toute substance de plaisir.
Il nous remercie, puis disparait.

"Serre les fesses !". Me dit Jean-Luc.

Après son retrait, je fais ce qu'il veut, puis je lui demande:

"Tu as des mouchoirs pour me nettoyer ?".
"Non, t'es une pédale et tu vas rentre comme ça, avec mon foutre dans le cul !".

Sur ça, il me remonte le slip et me couvre les fesses, je fais de même avec mon jeans.
J'ai une sensation d'humidité entre les cuisses et les fesses, à cause de mes écoulements.

Bien sûr, je suis déjà allé chez moi avec du sperme dans l'anus, mais après une aussi longue sodomie, jamais.

Dans la voiture sur le retour, je le questionne sur le voyeur:

"Qu'est-ce qu'il foutais là, le mec ?".
"Ben, c'est un endroit ou les hommes baisent entre eux, tu le savais pas ?".
"Non, j'ai pas encore fréquenté ce genre d'endroit ! Dommage que ce soit trop loin pour moi !".
"Bon, tu sais que cette fois ci, c'était notre dernière fois ! C'était bon, mais j'aime bien le changement ! J'ai pas envie de m'attacher, désolé !".
"Pas grave ! De toute façon, je vais me faire baiser à l'armée ! C'est pas comme si, j'étais en manque ! Mais merci quand même, c'était très bon !".
"Merci à toi aussi, je me suis bien régalé avec toi ! Et arrête de refuser l'évidence ! T'es homo ! Au mieux bisexuel, mais ce sera encore moins facile pour toi !".
"Merci, je verrais, j'ai le temps de m'y faire !".

Le Mardi matin, je suis déjà au camp militaire, la tête pleine de souvenirs vicieux.
Je ne résiste pas au besoin de me branler, mais je suis surpris par le sergent qui entre sans prévenir.

"Et alors ? Gueule d'ange, Qu'est-ce que tu fous ? On te suffit plus ?".
"Euh, non, c'est pas ça, je suis excité par...".
"Par quoi ? Dis-moi ?".
"Ben, j'ose pas ! Je...je me suis fais baiser par 4 hommes pendant tout le Week end !".
"Quoi ? Tu nous as trompé ?".
"Euh, oui, désolé !".
"Je plaisante ! T'es une salope, c'est normal ! C'était bon ?".
"Oui, trop bon, en plus il y avait un miroir, c'était excitant ! Ils m'ont aussi enculé en double, comme vous la dernière fois !".

Il déballe sa grosse bite et me place devant elle.

"Suces-moi, et racontes-moi !".

Je m'applique à lui donner ce plaisir que j'aime tant, je lui raconte tout, jusqu'au lendemain, puis le lundi, avec Jean-Luc et le voyeur.
Il m'abreuve de son foutre brulant avec abondance, dans une longue série de râles.
Je suis fier de moi, en entendant son plaisir.

En fin d'après-midi, le chauffeur du lieutenant passe me chercher.
Dès mon arrivée, mon amant adoré, accompagné du commandant, me dit:
"Alors salope ! Tu nous as trompé ? Le sergent m'a tout dit !".
"Désolé, mon lieutenant, vous m'aviez dit que je pouvais... si".
"Mais oui, t'as eu raison ! Par contre le commandant et moi, on va pas te faire de cadeau !".

Excités comme jamais, les deux militaires m'ont détruit le cul, et rempli la gorge, deux fois d'affilée.
J'ai eu droit à une nouvelle double anale, mon nouveau plaisir préféré !

Le lieutenant m'a ensuite proposé de dormir chez lui, pour mieux dormir et me reposer.
Une longue fellation a débuté ma journée du lendemain !
Je vivais mes derniers moments de sexe homo à fond, je prenais ça comme une parenthèse de plaisir entre hommes avant de retrouver une vie plus simple, quel naïf !