Pris pour la première fois
Récit érotique écrit par Sexyman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pris pour la première fois
Je me suis réveillé près de Patrick. Il dormait, paisible et plus beau que jamais. Depuis l’épisode du sexe à trois, Patrick semblait avoir changé. Je le sentais plus distant, j’avais l’impression de déceler de la tristesse dans ses yeux verts qui prenaient une allure plus terne. Peut-être était-ce simplement mon imagination ? Ou était-ce simplement mon propre malaise que je projetais sur lui ? J’étais inquiet, je craignais que quelque chose d’irréparable se soit brisé entre nous deux.
Mon cœur se serrait à l’idée de l’avoir possiblement perdu. J’ai frôlé doucement son épaule d’un doigt, faisant attention à ne pas troubler son sommeil. Il a réagi par un petit frissonnement. Je suis resté là à l’observer dormir pendant de longues minutes, j’aurais pu y passer la journée. Il a finalement ouvert les yeux, encore à moitié endormi. Il m’a fait un de ses plus beaux sourires. « Tu es réveillé depuis longtemps ? », m’a-t-il demandé. « Environ une demi-heure. Je profitais de la vue… » J’ai approché mon visage du sien et nous nous sommes embrassés tendrement. J’ai senti sa main parcourir mon torse et mon abdomen avant d’atterrir sur mon sexe déjà excité. De sa main, il s’est mis à me masturber lentement. Les miennes caressaient tout son corps, de ses larges épaules à ses fesses rebondies, en passant par son dos. De sa bouche, il me mordillait doucement le lobe de l’oreille, j’en avais des frissons partout. Sa respiration devenait plus haletante, cela m’excitait énormément. Je l’ai doucement repoussé pour qu’il s’étende sur le dos et ma bouche s’est mise à déposer une multitude de légers baisers sur sa poitrine et son abdomen. Arrivée à son nombril, ma langue a suivi la petite ligne de poils qui se dirigeait vers son sexe. J’ai embrassé celui-ci à travers son boxer qui devenait mouillé. Je sentais son pénis grandir sous le tissus, jusqu’à qu’il y soit vraiment trop à l’étroit. J’ai libéré Patrick de son sous-vêtement et ma langue s’est mise à parcourir le gland de mon amant. J’en léchais le pourtour, j’en suçais le bout. Patrick s’est mis à gémir. J’ai pris son sexe en bouche, essayant de l’engloutir le plus profondément possible. A chaque buttée de son sexe au fond de ma gorge, Patrick laissait échapper des petits cris de plaisir. Puis, peu à peu, les gémissements se firent différents, comme s’ils étaient empreints de tristesse. J’ai levé les yeux. Des larmes faisaient briller ceux de Patrick.
Je suis remonté pour le regarder. « Qu’est-ce qu’il y a ? », lui demandai-je doucement. Sur ses joues, coulaient de fins ruisseaux que j’ai séchés de mes mains. Patrick mit un petit temps à répondre. « Je ne peux pas supporter l’idée de te perdre », m’a-t-il avoué. « T’aie-je donné l’impression que tu allais me perdre ? Nous étions sur le point de faire l’amour. », lui répondis-je. « Si c’est à cause de Lucie, rassure-toi. J’avoue avoir trouvé ça très excitant sur le coup, mais depuis je le vis très mal. » Ces paroles parurent soulager mon amant. « C’est la même chose pour moi. Je sais que tu aimes aussi les femmes et ça me terrifie. J’ai peur de ne pas pouvoir toujours te satisfaire pleinement. » C’est la première fois que je voyais Patrick ainsi. Lui pourtant si fort, toujours si sûr de lui. Tout à coup, il me semblait si fragile. « Fini le sexe à trois ! En tout cas tant que ça ne nous convient pas à tous les deux.», lui promis-je. Puis je l’ai embrassé passionnément. Il m’a alors pris le visage entre ses deux mains et plongea son regard dans le mien: « Ce matin, j’aimerais qu’on change. C’est toi qui vas me prendre. » Je le regardais, stupéfait. « Tu m’as toujours dit avoir essayé quelques fois avec un de tes ex et que tu détestais ça. Tu sais, ça me va très bien comme on fait d’habitude. » Patrick eut l’air embarrassé : « En fait, j’ai menti… J’ai jamais tenté le coup, j’en ai jamais ressenti le besoin et je dois avouer que ça me fait même un peu peur. Mais l’autre soir avec Lucie, je t’ai vu sous un jour différent. Quand tu lui faisais l’amour, j’ai senti ton désir de la posséder et de lui donner du plaisir, tes yeux brillaient autrement, tu semblais à l’aise dans ce rôle, ça m’a énormément excité de te voir ainsi. Et puis je me suis senti jaloux d’elle. Elle avait obtenu de toi quelque chose que je n’avais jamais eu. Alors s’il te plaît, prends-moi. »
A ces mots, j’ai senti mon cœur bondir dans ma poitrine. J’avais effectivement très envie d’entrer en lui. Patrick ne m’avais jamais dit clairement qu’il m’aimait, mais ce matin-là, j’avais l’impression que son discours était bel et bien une déclaration d’amour. En moi-même, mes propres sentiments devenaient plus limpides. Soudainement, tout me semblait clair : je l’aimais moi aussi, de tout mon cœur et de toute mon âme, même si je n’arrivais pas à croire que cela puisse être possible puisqu’il était un homme. Je me suis étendu sur lui, nous nous sommes embrassés langoureusement et longtemps, effectuant des bascules de bassin pour frotter nos sexes l’un contre l’autre. C’était bon, nos queues étaient dures, pleines de désir. Nos respirations étaient de plus en plus rapides.
Ma bouche partit explorer son corps pour la nième fois. J’avais le sentiment que jamais je ne pourrais me lasser de lui. Ma bouche déposa des baisers sur son sexe duquel perlait une goutte de liquide pré-séminal que je léchai avidement. J’ai écarté un peu les jambes de Patrick, léchant maintenant son scrotum et son périnée. Il poussa un petit râle. Puis, écartant encore plus ses jambes et les relevant, je vis apparaître devant moi l’anus de mon amant. Des petits poils blonds en parsemaient le pourtour. Ma langue s’est mise à tournoyer autour de cet anus que je n’avais jamais observé de près auparavant. Patrick râla plus fort, visiblement il appréciait le traitement. Je léchais un cul pour la première fois, mais j’avais été à la bonne école. Ma langue poussait doucement pour se frayer un chemin dans le petit canal serré. Quand j’écartais les fesses de mon partenaire, son anus était pris de petites contractions involontaires. Je salivais, je le mouillais, je le préparais à ma venue. Mon sexe était gonflé à bloc, il désirait s’engloutir dans la chaleur humide de mon amant qui s’offrait à moi.
J’ai placé un oreiller sous le bassin de Patrick, puis je me suis mis à genoux, les jambes écartées, posant mon sexe dans la raie entre les fesses de mon amant. J’ai pris du lubrifiant dans le tiroir de la table de chevet et j’en fis couler une bonne quantité sur ma queue et l’anus de mon partenaire. J’ai commencé de lents va-et-vient dans sa raie, question de l’exciter encore plus. Il s’est mis à avoir une respiration plus forte et profonde, moi aussi. Mon sexe glissait de plus en plus vite, des sensations de bonheur s’en emparaient. J’avais tellement envie d’initier le cul vierge de mon amant aux plaisirs de la sodomie. A 33 ans, c’était la première fois qu’il avait envie de se donner à un homme et c’était un honneur que ce soit à moi. Je craignais un peu de ne pas être à la hauteur. Je me suis penché sur Patrick pour l’embrasser. « C’est toujours ce que tu veux ? », lui demandais-je, « Parce qu’on n’est pas obligés. Je ne te quitterai pas pour autant. » « Non, j’en ai toujours envie. », m’a-t-il répondu. «Viens te perdre en moi. » Wow ! Il a parfois le don de dire des choses si excitantes ! Sans le quitter des yeux, mon gland se posta sur l’anus de Patrick et se mit à exercer de légères poussées, tout en douceur. Je me rappelais ma première fois, je voulais y aller tendrement.
A chaque petite pression, je sentais le sphincter se dilater un peu plus, enserrant mon gland. C’était vraiment bon. Après un petit moment, tout mon gland avait franchi l’entrée. Le regard de Patrick exprimait un mélange de désir, d’amour et de crainte. J’ai poussé pour entrer plus loin. Les jambes de Patrick se sont raidies, il a détourné la tête, une petite grimace de douleur sur le visage. Je me suis arrêté net. J’ai chuchoté : « Détends-toi et respire calmement. C’est normal, ça m’a fait la même sensation la première fois. » Patrick a suivi mes conseils et s’est laissé aller. Sans bouger, mon pénis amadouait son rectum tout doucement. J’ai pris son sexe dans une main et j’ai accompagné la poussée suivante de mouvements de bas en haut sur son sexe. Patrick a gémi fortement. J’ai vu sa douleur faire place au plaisir. Toujours très lentement, je me suis immiscé au plus profond de lui, caressant toujours sa verge. Je le sentais si serré autour de ma queue, je me suis mis à gémir aussi. Mes mouvements de va-et-vient devinrent plus réguliers, toujours sur un rythme lent pour ne pas blesser mon partenaire.
Patrick s’est mis à basculer son bassin à chacun de mes coups de reins comme pour m’accueillir un peu plus loin. Je me suis mis à accélérer mes mouvements. J’avais chaud et la peau moite. Ma main astiquait toujours le sexe de Patrick. Il s’est mis à gémir encore et encore : « Ennnn…. Ennnnnn… Ennn… Merde ! Ennn… Ennn…Comment tu fais ça ? Enn… » Tous ces petits bruits augmentaient mon désir pour lui. Il m’entourait de sa chaleur, je lui donnais du plaisir, je le pénétrais, je le possédais… Lui, mon amant si fort, si en contrôle, si protecteur, il se laissait tout à coup faire, il s’offrait à moi, j’étais libre de le pilonner tant que je le voulais. Je le caressais amoureusement tout au fond de lui. Je le sentais vibrer sous mon corps. « C’est maintenant, je vais venir ! », a-t-il prévenu. « Alors on va jouir ensemble. Explose avec moi ! » J’ai plongé mon regard dans ses yeux, son visage s’est déformé sous l’effet de son orgasme, il était sublime. Nous nous sommes mis à crier de concert notre jouissance. Tous nos muscles se sont contractés. Nous nous sommes perdus ensemble dans un océan de plaisir.
Je me suis étendu sur mon amant, complètement assouvi. Il me caressait les cheveux. Mon sexe était toujours en lui, je le sentais se contracter autour de moi. Il a posé un doigt sous mon menton pour remonter mon visage : « Je t’aime et ça me fait peur. » Voilà, c’était dit. Il avait prononcé les fameux trois mots. J’ai senti mon cœur déborder d’amour. « Je t’aime aussi, Patrick. Et moi aussi ça me fait peur.»
Mon cœur se serrait à l’idée de l’avoir possiblement perdu. J’ai frôlé doucement son épaule d’un doigt, faisant attention à ne pas troubler son sommeil. Il a réagi par un petit frissonnement. Je suis resté là à l’observer dormir pendant de longues minutes, j’aurais pu y passer la journée. Il a finalement ouvert les yeux, encore à moitié endormi. Il m’a fait un de ses plus beaux sourires. « Tu es réveillé depuis longtemps ? », m’a-t-il demandé. « Environ une demi-heure. Je profitais de la vue… » J’ai approché mon visage du sien et nous nous sommes embrassés tendrement. J’ai senti sa main parcourir mon torse et mon abdomen avant d’atterrir sur mon sexe déjà excité. De sa main, il s’est mis à me masturber lentement. Les miennes caressaient tout son corps, de ses larges épaules à ses fesses rebondies, en passant par son dos. De sa bouche, il me mordillait doucement le lobe de l’oreille, j’en avais des frissons partout. Sa respiration devenait plus haletante, cela m’excitait énormément. Je l’ai doucement repoussé pour qu’il s’étende sur le dos et ma bouche s’est mise à déposer une multitude de légers baisers sur sa poitrine et son abdomen. Arrivée à son nombril, ma langue a suivi la petite ligne de poils qui se dirigeait vers son sexe. J’ai embrassé celui-ci à travers son boxer qui devenait mouillé. Je sentais son pénis grandir sous le tissus, jusqu’à qu’il y soit vraiment trop à l’étroit. J’ai libéré Patrick de son sous-vêtement et ma langue s’est mise à parcourir le gland de mon amant. J’en léchais le pourtour, j’en suçais le bout. Patrick s’est mis à gémir. J’ai pris son sexe en bouche, essayant de l’engloutir le plus profondément possible. A chaque buttée de son sexe au fond de ma gorge, Patrick laissait échapper des petits cris de plaisir. Puis, peu à peu, les gémissements se firent différents, comme s’ils étaient empreints de tristesse. J’ai levé les yeux. Des larmes faisaient briller ceux de Patrick.
Je suis remonté pour le regarder. « Qu’est-ce qu’il y a ? », lui demandai-je doucement. Sur ses joues, coulaient de fins ruisseaux que j’ai séchés de mes mains. Patrick mit un petit temps à répondre. « Je ne peux pas supporter l’idée de te perdre », m’a-t-il avoué. « T’aie-je donné l’impression que tu allais me perdre ? Nous étions sur le point de faire l’amour. », lui répondis-je. « Si c’est à cause de Lucie, rassure-toi. J’avoue avoir trouvé ça très excitant sur le coup, mais depuis je le vis très mal. » Ces paroles parurent soulager mon amant. « C’est la même chose pour moi. Je sais que tu aimes aussi les femmes et ça me terrifie. J’ai peur de ne pas pouvoir toujours te satisfaire pleinement. » C’est la première fois que je voyais Patrick ainsi. Lui pourtant si fort, toujours si sûr de lui. Tout à coup, il me semblait si fragile. « Fini le sexe à trois ! En tout cas tant que ça ne nous convient pas à tous les deux.», lui promis-je. Puis je l’ai embrassé passionnément. Il m’a alors pris le visage entre ses deux mains et plongea son regard dans le mien: « Ce matin, j’aimerais qu’on change. C’est toi qui vas me prendre. » Je le regardais, stupéfait. « Tu m’as toujours dit avoir essayé quelques fois avec un de tes ex et que tu détestais ça. Tu sais, ça me va très bien comme on fait d’habitude. » Patrick eut l’air embarrassé : « En fait, j’ai menti… J’ai jamais tenté le coup, j’en ai jamais ressenti le besoin et je dois avouer que ça me fait même un peu peur. Mais l’autre soir avec Lucie, je t’ai vu sous un jour différent. Quand tu lui faisais l’amour, j’ai senti ton désir de la posséder et de lui donner du plaisir, tes yeux brillaient autrement, tu semblais à l’aise dans ce rôle, ça m’a énormément excité de te voir ainsi. Et puis je me suis senti jaloux d’elle. Elle avait obtenu de toi quelque chose que je n’avais jamais eu. Alors s’il te plaît, prends-moi. »
A ces mots, j’ai senti mon cœur bondir dans ma poitrine. J’avais effectivement très envie d’entrer en lui. Patrick ne m’avais jamais dit clairement qu’il m’aimait, mais ce matin-là, j’avais l’impression que son discours était bel et bien une déclaration d’amour. En moi-même, mes propres sentiments devenaient plus limpides. Soudainement, tout me semblait clair : je l’aimais moi aussi, de tout mon cœur et de toute mon âme, même si je n’arrivais pas à croire que cela puisse être possible puisqu’il était un homme. Je me suis étendu sur lui, nous nous sommes embrassés langoureusement et longtemps, effectuant des bascules de bassin pour frotter nos sexes l’un contre l’autre. C’était bon, nos queues étaient dures, pleines de désir. Nos respirations étaient de plus en plus rapides.
Ma bouche partit explorer son corps pour la nième fois. J’avais le sentiment que jamais je ne pourrais me lasser de lui. Ma bouche déposa des baisers sur son sexe duquel perlait une goutte de liquide pré-séminal que je léchai avidement. J’ai écarté un peu les jambes de Patrick, léchant maintenant son scrotum et son périnée. Il poussa un petit râle. Puis, écartant encore plus ses jambes et les relevant, je vis apparaître devant moi l’anus de mon amant. Des petits poils blonds en parsemaient le pourtour. Ma langue s’est mise à tournoyer autour de cet anus que je n’avais jamais observé de près auparavant. Patrick râla plus fort, visiblement il appréciait le traitement. Je léchais un cul pour la première fois, mais j’avais été à la bonne école. Ma langue poussait doucement pour se frayer un chemin dans le petit canal serré. Quand j’écartais les fesses de mon partenaire, son anus était pris de petites contractions involontaires. Je salivais, je le mouillais, je le préparais à ma venue. Mon sexe était gonflé à bloc, il désirait s’engloutir dans la chaleur humide de mon amant qui s’offrait à moi.
J’ai placé un oreiller sous le bassin de Patrick, puis je me suis mis à genoux, les jambes écartées, posant mon sexe dans la raie entre les fesses de mon amant. J’ai pris du lubrifiant dans le tiroir de la table de chevet et j’en fis couler une bonne quantité sur ma queue et l’anus de mon partenaire. J’ai commencé de lents va-et-vient dans sa raie, question de l’exciter encore plus. Il s’est mis à avoir une respiration plus forte et profonde, moi aussi. Mon sexe glissait de plus en plus vite, des sensations de bonheur s’en emparaient. J’avais tellement envie d’initier le cul vierge de mon amant aux plaisirs de la sodomie. A 33 ans, c’était la première fois qu’il avait envie de se donner à un homme et c’était un honneur que ce soit à moi. Je craignais un peu de ne pas être à la hauteur. Je me suis penché sur Patrick pour l’embrasser. « C’est toujours ce que tu veux ? », lui demandais-je, « Parce qu’on n’est pas obligés. Je ne te quitterai pas pour autant. » « Non, j’en ai toujours envie. », m’a-t-il répondu. «Viens te perdre en moi. » Wow ! Il a parfois le don de dire des choses si excitantes ! Sans le quitter des yeux, mon gland se posta sur l’anus de Patrick et se mit à exercer de légères poussées, tout en douceur. Je me rappelais ma première fois, je voulais y aller tendrement.
A chaque petite pression, je sentais le sphincter se dilater un peu plus, enserrant mon gland. C’était vraiment bon. Après un petit moment, tout mon gland avait franchi l’entrée. Le regard de Patrick exprimait un mélange de désir, d’amour et de crainte. J’ai poussé pour entrer plus loin. Les jambes de Patrick se sont raidies, il a détourné la tête, une petite grimace de douleur sur le visage. Je me suis arrêté net. J’ai chuchoté : « Détends-toi et respire calmement. C’est normal, ça m’a fait la même sensation la première fois. » Patrick a suivi mes conseils et s’est laissé aller. Sans bouger, mon pénis amadouait son rectum tout doucement. J’ai pris son sexe dans une main et j’ai accompagné la poussée suivante de mouvements de bas en haut sur son sexe. Patrick a gémi fortement. J’ai vu sa douleur faire place au plaisir. Toujours très lentement, je me suis immiscé au plus profond de lui, caressant toujours sa verge. Je le sentais si serré autour de ma queue, je me suis mis à gémir aussi. Mes mouvements de va-et-vient devinrent plus réguliers, toujours sur un rythme lent pour ne pas blesser mon partenaire.
Patrick s’est mis à basculer son bassin à chacun de mes coups de reins comme pour m’accueillir un peu plus loin. Je me suis mis à accélérer mes mouvements. J’avais chaud et la peau moite. Ma main astiquait toujours le sexe de Patrick. Il s’est mis à gémir encore et encore : « Ennnn…. Ennnnnn… Ennn… Merde ! Ennn… Ennn…Comment tu fais ça ? Enn… » Tous ces petits bruits augmentaient mon désir pour lui. Il m’entourait de sa chaleur, je lui donnais du plaisir, je le pénétrais, je le possédais… Lui, mon amant si fort, si en contrôle, si protecteur, il se laissait tout à coup faire, il s’offrait à moi, j’étais libre de le pilonner tant que je le voulais. Je le caressais amoureusement tout au fond de lui. Je le sentais vibrer sous mon corps. « C’est maintenant, je vais venir ! », a-t-il prévenu. « Alors on va jouir ensemble. Explose avec moi ! » J’ai plongé mon regard dans ses yeux, son visage s’est déformé sous l’effet de son orgasme, il était sublime. Nous nous sommes mis à crier de concert notre jouissance. Tous nos muscles se sont contractés. Nous nous sommes perdus ensemble dans un océan de plaisir.
Je me suis étendu sur mon amant, complètement assouvi. Il me caressait les cheveux. Mon sexe était toujours en lui, je le sentais se contracter autour de moi. Il a posé un doigt sous mon menton pour remonter mon visage : « Je t’aime et ça me fait peur. » Voilà, c’était dit. Il avait prononcé les fameux trois mots. J’ai senti mon cœur déborder d’amour. « Je t’aime aussi, Patrick. Et moi aussi ça me fait peur.»
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une fois, très belle histoire, pleine de sentiments et de sensualité. Continue ! :)
Très belle histoire et, de surcroît bien écrite.
Toujours aussi magnifique.. sensuel, passionne et maintenant amoureux... bcp de bonheur avec ton Patrick... G.