Prise au piège - histoire érotique

J'étais sur Facebook comme je passe le plus clair de mon temps lorsque je suis chez moi,

Je parlais avec quelques personnes, tranquillement, comme d'habitude, j'actualisais sans cesse la page d'accueil sur laquelle rien ne changeait, ou pas grand-chose !

Une notification de message se fit, je regardais, je ne connaissais pas la personne, pas de photo, pas de description, rien, juste un nom.

- Coucou toi.

M'indiquait ce message, je n'y répondis pas de suite, le dis à ma meilleure amie, mais je finis par répondre...

- Salut, qui es-tu ?

- Quelqu'un qui est là pour te sauver !

- Me sauver ? De quoi ?

- De toi ! Répondit alors l'inconnu derrière son ordinateur.

- Ok, bon vent... Je n'ai pas de temps à perdre !

Une photo apparue, c'était moi, dénudée, cette photo même que j'avais supprimée de mon téléphone quelques semaines plus tôt, je me sentis mal d'un coup ! Je le voyais écrire, j'attendais de voir ce qui allait être marqué...

- Pour que cela n'arrive plus ! Fut la réponse.

- Où avez-vous eu ça ? Demandais-je.

- Là n'est pas la question. Fut la réponse.

- C'est quoi la question alors ? Et qui es-tu ? Dis-je m'énervant derrière mon écran.

- La question est, qui pourrait voir cela ? Et où ?

- Ce sont des menaces ?

- Non, un conseil.

- Et qui es-tu ? Insistais-je.

- Que portes-tu ? Me répliquait l'inconnu.

- Qui es-tu ? Dis-je à nouveau.

- Je pense qu'elles vont devoir être diffusées ! Me menaçait la personne.

J'allais trouver ma meilleure amie, je lui en parlais, elle me dit de ne pas le provoquer et de voir ce que la personne voulait.

- Mais que veux-tu à la fin ? Et qui es-tu ? Merde quoi !

- Tu le sauras bien assez vite ! Patience, je t'ai posé une question, que portes-tu ?

- Un jean's et un tee-shirt...

- Et en dessous ? Ce n'est pas très féminin tout ça...

- String et soutien-gorge...

- Couleur ?

- Kaki... Répondis-je complètement abattu.

- Mets une robe et renvoie-moi une photo.

- Non ! Ca ne va pas ou quoi ? Pourquoi est-ce que je t'enverrais une photo ?

Une autre photo de moi légèrement vêtue apparut.

- Pour que je sois sûr que tu as bien mis une robe et surtout que ce genre de photo ne se promène pas, choisis une belle robe.

Je me levais et allait dans ma garde-robe, je regardais mes robes et prit une à fleure, légèrement décoleté. Je retirais mon tee-shirt et mon pantalon et l'enfilait, me mis devant mon miroir et prit une photo, j'envoyais la photo et attendait la réponse.

- Là tu es plus féminine !

- Que veux-tu...

- Tu le sauras assez vite !

- Ça ne m'amuse vraiment pas ! S.v.p. !

- Je sais, tu préfères t'amuser à te prendre en photo !

- ...

- Tu vas faire ce que je dis, d'accord ?

- J'ai le choix ?

- Oui, bien sûr, mais tu en connais les conséquences !

- ...

- Ne soit pas triste, tu aimes ça, je suis sur !

- Je veux savoir qui tu es !

- Dans une heure, je veux que tu sois derrière le concessionnaire Ford près de chez toi et seule.

- Non !

- D'accord, je sais ce qu'il me reste à faire...

- Ok...

- Habillée comme tu es là évidemment !

- Je m'en doutais...

- C'est bien tu n'es pas bête !

Plus de réponses de la part de l'inconnu, ma meilleure amie tenta de me persuader de ne pas y aller, où qu'elle vienne avec moi, mais je refusais et dit que j'allais éclaircir ça moi-même, mais qu'elle garde son téléphone près d'elle.

Arrivée là-bas, il n'y avait personne, je m'allumais une cigarette, attendant là où le seul endroit par où pouvait arriver l'inconnu était le même que moi, où les bois qui étaient face à moi ...

Je reçus un message :

- Je vois que tu es bien là, c'est bien !

Il avait aussi mon numéro? Je n'ai pas ce numéro ! Merde qui ça pouvait être, je tentais de regarder à travers les arbres, autour de moi, mais ne vis rien ...

- Oui, je n'ai pas eu trop le choix...

- Très bien, si tu retirais cette robe ?

Ce n’est pas vrai ? Me dis-je.

- Non !

- Je peux envoyer d'ici les photos aussi, sais-tu ? Tu n'as quand même pas fait tout ce chemin pour rien ?

- Jusqu'où vas-tu aller ? Envoyais-je sans vraiment attendre de réponse.

- Je ne te ferais pas de mal si c'est ce que tu veux savoir, je compte jusqu'à 10 au prochain message, si tu n'as pas retiré cette robe, tu peux retourner chez toi.

Dégoutée, je retirais ma robe, la déposant sur une palette à côté de moi, je reçus un autre message.

- Très bien, fais de même avec tes sous-vêtements.

Je ne discutais pas et fit de même, tenant de cacher avec mes bras, un autre message se fit.

- Écarte les bras et les jambes, et reste ainsi, ne caches pas !

Je le fis et restait ainsi quelques minutes, j'avais beau regarder, je ne voyais, personne ! Un message arrivait à nouveau.

- Mets-toi à 4 pattes et promène-toi en aboyant.

Au point où j'étais, il était de toute manière trop tard pour faire demi-tour, à quatre pattes je me mis à marcher dans toute la "cour" en aboyant, j'entendis mon téléphone recevoir encore un message.

- Ah ah ah c'était bien marrant ! Tire la palette où tu as déposé ta robe, il y a un petit sac derrière, sers-toi de ce qu'il y a dedans.

Je tirais la palette, et je vis un petit sachet blanc, je l'ouvris et y vit un gode dont la largeur me laissait penser que j'allais avoir du mal à le rentrer...

Face au bois, j'approchais le gode près de mon sexe, je me rendis compte que j'étais un peu mouillée, en plus de la honte que j'éprouvais, une autre honte m'apparut, celle qu'une partie de moi aimait ça !

Peu à peu je le fis rentrer en moi, des courts va et viens, mon téléphone vibrait, je regardais.

- Plus vite que ça ! Tu aimes te faire pilonner alors donne-toi à fond !

J'accélérais le mouvement du gode qui "m'arrachait" mais me faisait tant mouillée, alors que je me laissais aller, je reçu un autre message.

- Dans ton cul maintenant.

J'avais pratiquée la sodomie à plusieurs reprises, mais les sexes de mes partenaires n'ont jamais été aussi épais, je me mis à jouer avec mes doigts autour de mon anus, peu à peu l'écartait, je savais qu'on me regardait, mais d'où ? Mon téléphone vibre encore.

- Tu t'appuieras sur les palettes à ta droite, que je vois bien ton cul se faire enculer.

Je partis près des palettes, déposait mon téléphone dessus et continuait à me doigter le cul afin de l'écarter le plus possible afin de me faire le moins mal possible, mais ça semblait inévitable ! Appuyée sur les palettes, je finis par mettre ce gode contre mon cul, pousser petit à petit, bouger le plus possible pour le faire rentrer le plus simplement possible, mais c'était raté, j'en avais les larmes aux yeux !

Mon téléphone sonnait, de ma main libre je regardais.

- Allais, enfonce le bien loin dans ton cul, tu en as eu d'autres ! Et comme pour ta chatte, VITE !

Une fois senti que je ne pouvais aller plus loin, je fis comme il m'était ordonnée de faire, vite, j'avais conscience de pousser des petits cris et surtout que mon cul allait me bruler ! Après bien 10 minutes à m'auto sodomiser je reçu un autre message.

- Met toi contre le mur, la tête posée dessus, les mains derrières la tête et les jambes écartées, tu gardes le gode dans ton cul. Tu ne bouges pas !

Je restais ainsi, combien de temps ? Je ne sais pas... Peut-être cinq bonnes minutes ! Lorsque j'entendis des pas, ils étaient légers et une voix se fit.

- Tu vois, ce n'était pas compliquée !

Sans me retourner, de peur que les premières menaces soient mises à exécution, je reconnus la personne.

- Pourquoi ? Pourquoi me fais-tu ça ?

- Parce que tu n'es qu'une grosse salope !

- Je ne te permets pas ! Dis-je tentant de protester, mais pas trop...

- Retourne-toi et mets-toi à genou les mains derrière la tête !

Je le fis, me retrouvant face à ma meilleure amie ! Elle tenait son téléphone en main et le tournait vers moi, il y avait une vidéo de moi et de son ex en train de coucher dans la voiture.

- Tu veux le son ?

Elle augmentait le son, je m'entendais gémir, crier lorsqu'il m'avait prit par-derrière...

- C'est pour toi que j'ai fait ça... Dis-je baissant les yeux.

- Pour moi ? Pour moi tu t'es fait prendre par mon ex dans sa voiture ?

- Oui... Il te faisait du mal, c'était la condition pour qu'il te laisse tranquille !

- Tu as juste sauté sur l'occasion pour te faire sauter !

- Je m'excuse, vraiment... Demande-moi ce que tu veux pour me faire pardonner !

- Rend-le-moi... Dit-elle les yeux pleins de tristesse...

- Je ne saurais pas !

- Relève toi, met toi contre le mur...

Je le fis, elle mit sa main sur le gode et commençais à faire les va et viens dans mon cul sans aucune douceur au point que j'en tombe par terre et qu'elle continue, comme si elle venait d'extérioriser toute sa rage d'un coup, elle s'arrêtait, retirait son pied de sa chaussure et me le tendis.

- Embrasse-moi les pieds et je te pardonnerais peut-être !

Je m'exécutais, les léchant, suçant chacun de ses doigts de pied, elle me regardait, toujours cette tristesse, ce n’était même pas la colère que je voyais.

Lorsqu'elle considérait que c'était assez, elle retirait son pied et me dit :

- Je ne veux plus jamais te revoir, ne me contacte plus, on est plus amie, tu n'es plus rien pour moi ! J'efface toutes tes photos ne t'inquiètent pas, les images que j'ai de toi sont bien plus humiliante que tes photos.

Et elle partit, je restais quelques minutes par terre, sans bouger, la regardant partir, le gode toujours enfoncé dans mon cul et fit un message à son ex.

- Espèce de c..... à cause de toi, nous ne sommes plus amie !

- Grâce à vous deux, j'ai pu prendre mon pied ! Répondit-il quelques secondes plus tard...